Top des Films sortis en 2024

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groil_groil
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1. Priscilla - Sofia Coppola
2. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
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Tamponn Destartinn
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let's go !

1. May December - Todd Haynes
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asketoner
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1. Jeunesse (le printemps) - Wang Bing
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sokol
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Je les reverrais bien un jour :

-

Une fois ça suffit :

- Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0 - Ce qui est interessant c’est que Wang montre (en image et en son) les deux nouveau dieux (fétiches, croyances…) des chinois d’aujourd’hui : l’argent (littéralement à un centime près) et le cul (quasiment tout le monde a un.e petit.e amie), chose assez rare dans les pays orientaux (c’est à dire : toute la planète sauf les pays occidentaux). Très probablement, sur ces deux éléments mise également le pouvoir illégitime, arbitraire et ordurier de la République Populaire de Chine, appuyé par un système policier (qu’il faut le voir sur place pour le croire) même si cela on ne le voit pas dans le film, tout en se posant la question de l’incroyable ‘paix sociale’ qui existe pendant le film.
Cela dit, on reste un peu sur la faim car, justement, durant les 20-30 minutes, Wang commence à s’intéresser vraiment à 2-3 personnes (qu’on voit très peu pendant les 3 premières heures - le film dure 3h30) et du coup, on a l’impression que c’est à ce moment là que commence le vrai film. Mais, une fois de plus (j’ai déjà parlé de ce phénomène dans certains films de Wang Bing) cela vient du fait que sa démarche est telle qu’elle peut s’épanouir réellement seulement dans des durées de 8-9 heures (À l’ouest des rails quoi).
Malgré cela, il faut aller le voir car c’est quand même pas tous les jours qu’on peut avoir des images réels de la Chine (sinon, allumez vos télé : peu importe votre fournisseur, les chaînes étatiques Chinoises CCTV (China Central Television) sont toujours gratuites et, au mieux elles vous feront rire (par leur côté pathétique), au pire vomir (par leur côté mensonger 🤮
)

Je n’aurais pas dû aller les voir :

-
Modifié en dernier par sokol le dim. 7 janv. 2024 13:48, modifié 2 fois.
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
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asketoner
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sokol a écrit :
sam. 6 janv. 2024 21:11

Cela dit, on reste un peu sur la faim car, justement, durant les 20-30 minutes, Wang commence à s’intéresser vraiment à 2-3 personnes (qu’on voit très peu pendant les 3 premières heures - le film dure 3h30) et du coup, on a l’impression que c’est à ce moment là que commence le vrai film. Mais, une fois de plus (j’ai déjà parlé de ce phénomène dans certains films de Wang Bing) cela vient du fait que sa démarche est telle qu’elle peut s’épanouir réellement seulement dans des durées de 8-9 heures (À l’ouest des rails quoi).
-
Ca n’est que la première partie ;)
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sokol
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asketoner a écrit :
sam. 6 janv. 2024 21:24

Ca n’est que la première partie ;)
S’il y en a 3, à mon opinion, il fallait les sortir les 3 en même temps car celui tout seul, ne fait pas vraiment un film. Mais, à mon avis, les deux autres volets ne parlent pas de la jeunesse qui travaille dans des ateliers de confections donc les deux autres parties n’auront pas grand chose à voir avec celui-ci, si ce n’est le fait que ça parle de la jeunesse chinoise au XXI siècle. Donc, ma ‘faim’ ne sera pas rassasiée par les deux autres. SAUF si elles suivent les mêmes personnages
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asketoner
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sokol a écrit :
sam. 6 janv. 2024 21:37
Mais, à mon avis, les deux autres volets ne parlent pas de la jeunesse qui travaille dans des ateliers de confections donc les deux autres parties n’auront pas grand chose à voir avec celui-ci, si ce n’est le fait que ça parle de la jeunesse chinoise au XXI siècle.
Ah, j'ai cru comprendre que Wang Bing avait passé 5 ans dans ces ateliers précisément, et pas ailleurs, mais peut-être que je me trompe.


Pour ma part j'ai plutôt aimé suivre chaque groupe de personnages pendant vingt ou trente minutes et passer ailleurs ensuite, je trouvais ça assez juste.
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sokol
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asketoner a écrit :
sam. 6 janv. 2024 22:10


Ah, j'ai cru comprendre que Wang Bing avait passé 5 ans dans ces ateliers précisément, et pas ailleurs, mais peut-être que je me trompe.
Selon la gazette de mon cinéma, “ce film constitue le premier volet d’une trilogie qui devrait élargir l’horizon géographique à l’ensemble du fleuve Yangtsé”
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
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sokol a écrit :
sam. 6 janv. 2024 22:28
asketoner a écrit :
sam. 6 janv. 2024 22:10


Ah, j'ai cru comprendre que Wang Bing avait passé 5 ans dans ces ateliers précisément, et pas ailleurs, mais peut-être que je me trompe.
Selon la gazette de mon cinéma, “ce film constitue le premier volet d’une trilogie qui devrait élargir l’horizon géographique à l’ensemble du fleuve Yangtsé”
Ok, alors effectivement ce n'est pas ce que je croyais.
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groil_groil
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1. Priscilla - Sofia Coppola
2. Eileen - William Oldroyd
3. Iris et les Hommes - Caroline Vignal

Trois films, trois beaux portraits de femmes, et trois prénoms en titres.
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Narval
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1 - Jeunesse (Printemps) - Wang Bing Allez zou, ça c'est une année qui commence bien.
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groil_groil
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1. Priscilla - Sofia Coppola
2. Eileen - William Oldroyd
3. May December - Todd Haynes
4. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
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1. Eureka – Lisandro Alonso
2. Priscilla – Sofia Coppola
3. Los Delincuentes – Rodrigo Moreno (2024)
4. La Fleur de Buriti – Crowrã – João Salaviza et Renée Nader Messora (2024)
5. Jeunesse – Qīngchūn – Wang Bing
6. Man in Black – Wang Bing

7. La Zone d’interêt – The Zone of Interest – Jonathan Glazer (2024)
8. May December – Todd Haynes (2024)

9. Conte de feu – Riddle of fire – Weston Razooli
10. The Sweet East – Sean Price Williams
11. Rosalie – Stéphanie Di Giusto (2024)
12. Le Jeu de la reine – Firebrand – Karim Aïnouz (2024)

13. Sleep – Jam – Jason Yu

14. Salem – Jean-Bernard Marlin

En attente :
1. Black Flies – Jean-Stephane Sauvaire
2. The Year of the Everlasting Storm – Anthony Chen, David Lowery, Jafar Panahi, Laura Poitras, Dominga Sotomayor, Malik Vitthal, Apichatpong Weerasethakul
3. Project Silence – Talchul: Project Silence – Kim Tae-Gon
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sokol
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Je les reverrais bien un jour :

-

Une fois ça suffit :

1. Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0
2. Priscilla (Sofia Coppola, USA) 5.0 - C'est tellement facile à le noter car : si le premier quart (une merveille : une preuve supplémentaire qu'un biopic ne peut s'étaler plus que sur 3-4 ans de la vie du héros/ïne) mérite 10/10, le reste c'est decrescendo : 6, 4, 0. Donc, (10+6+4+0) : 4 = 5.
Pourquoi ce decrescendo ? Parce que le passage du leitmotiv Heideggerien "seul les débuts méritent d’être vécus" (donc les 20-30 premières minutes) au "je suis venu te dire que je m'en vais" est quasiment invisible dans le film. Pourquoi ? Parce qu'il n'y a pas de contrechamps (il n'y a presque pas d'Elvis, à part quelques pilules de drogue). Donc, au fond, il ne fallait pas faire une biopic (ou alors, un "biopic du couple" mais dans ce cas, il n'en est plus un).



Je n’aurais pas dû aller les voir :

-
Modifié en dernier par sokol le lun. 15 janv. 2024 11:55, modifié 1 fois.
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
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Tamponn Destartinn
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1. May December - Todd Haynes
2. Priscilla - Sofia Coppola


Assez d'accord avec sokol : excellente 1ere partie, légèrement déçu par la suite.
C'est un film bien plus classique que Marie Antoinette (son film jumeau sur le fond), mais ça reste clairement le 4e meilleur film de S. Coppola.
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sokol
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Tamponn Destartinn a écrit :
lun. 15 janv. 2024 11:47
D'ailleurs, le problème de la fin c'est que, elle n'est pas mauvaise en soi-même, mais c'est que le film s'était déjà essoufflé (pour les raisons que j'ai évoqué...).
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Tamponn Destartinn
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1. May December - Todd Haynes
2. Pauvres Créatures - Yórgos Lánthimos
3. Priscilla - Sofia Coppola

Quel début d'année !
Et y a le Glazer qui arrive...
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groil_groil
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1. Priscilla - Sofia Coppola
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1. Priscilla - Sofia Coppola
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5. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
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1. Priscilla - Sofia Coppola
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B-Lyndon
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1. Jeunesse (Le Printemps) – Wang Bing
2. Los Delicuentes – Rodrigo Moreno
3. Ici Brazza – Antoine Boutet
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
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1. Eureka – Lisandro Alonso
2. Priscilla – Sofia Coppola
3. Los Delincuentes – Rodrigo Moreno
4. La Fleur de Buriti – Crowrã – João Salaviza et Renée Nader Messora
5. Jeunesse – Qīngchūn – Wang Bing
6. Man in Black – Wang Bing

7. Pauvres Créatures – Poor Things – Yórgos Lánthimos
8. La Zone d’interêt – The Zone of Interest – Jonathan Glazer
9. May December – Todd Haynes

10. Conte de feu – Riddle of fire – Weston Razooli
11. Making of – Cédric Kahn
12. The Sweet East – Sean Price Williams
13. Rosalie – Stéphanie Di Giusto
14. Le Jeu de la reine – Firebrand – Karim Aïnouz

15. Sleep – Jam – Jason Yu

16. Salem – Jean-Bernard Marlin
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2. The Year of the Everlasting Storm – Anthony Chen, David Lowery, Jafar Panahi, Laura Poitras, Dominga Sotomayor, Malik Vitthal, Apichatpong Weerasethakul
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1. May December — Todd Haynes
2. Priscilla — Sofia Coppola
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1. Eureka – Lisandro Alonso
2. Priscilla – Sofia Coppola
3. Los Delincuentes – Rodrigo Moreno
4. La Fleur de Buriti – Crowrã – João Salaviza et Renée Nader Messora
5. Jeunesse – Qīngchūn – Wang Bing
6. Man in Black – Wang Bing

7. Pauvres Créatures – Poor Things – Yórgos Lánthimos
8. Iron Claw – The Iron Claw – Sean Durkin
9. La Zone d’interêt – The Zone of Interest – Jonathan Glazer
10. May December – Todd Haynes
11. Le Cercle des neiges – La sociedad de la nieve – J. A. Bayona

12. Conte de feu – Riddle of fire – Weston Razooli
13. Black Flies – Jean-Stephane Sauvaire
14. Making of – Cédric Kahn
15. The Sweet East – Sean Price Williams
16. Rosalie – Stéphanie Di Giusto
17. Le Jeu de la reine – Firebrand – Karim Aïnouz

18. Sleep – Jam – Jason Yu

19. Salem – Jean-Bernard Marlin
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1. The Year of the Everlasting Storm – Anthony Chen, David Lowery, Jafar Panahi, Laura Poitras, Dominga Sotomayor, Malik Vitthal, Apichatpong Weerasethakul
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sokol
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Je les reverrais bien un jour :

-

Une fois ça suffit :

1. Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0
2. Priscilla (Sofia Coppola, USA) 5.0


Je n’aurais pas dû aller les voir :

3. Pauvres créatures (Yorgos Lanthimos, Grande-Bretagne) 2.0 - Plus bavard on meurt. Mais pas dans le sens qu’on parle tout le temps dans le film. Non. Mais c’est que tout est expliqué via les dialogues. Tout.
Sinon, même si la réalisation est totalement différente, le film me faisait penser à «Un prophète »de Jacques Audiard : c’est exactement le même cinéma, en commençant par le titre qui est autant ironique.
C’est des cinéastes qui adoreraient faire des films porno (hasard : le seul bon moment cinématographique du film est quand Bella (Emma Stone) se fait sauter ! Là, j’y est cru (bon, ça dure 2 minutes mais c’est un bon exemple pour comprendre la nullité du reste).
Pauvre Lánthimos plutôt.
ps: j’ai beaucoup aimé la musique. Après, son utilisation c’est une autre affaire
ps 2: au XXI siècle, dis moi qui est le président du jury d’un festival, je te dirait quel film gagne le trophée : apres l’Ours d’or en 2021 pour Radu Jude de la part de Nadav Lapid (j’étais content !), voici le Lion d’or pour Lanthimos de la part de… Damien Chazelle 😉
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« Canine » reste de loin le meilleur film de Lanthimos : audacieux et intelligent. Depuis qu’il a mis les pied à Hollywood, c’est bête et ‘méchant’. Débile quoi
Modifié en dernier par sokol le sam. 27 janv. 2024 21:39, modifié 1 fois.
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sokol
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Je les reverrais bien un jour :

-

Une fois ça suffit :

1. May December (Todd Haynes, USA) 9.0 - Magnifique film !
En ce qui me concerne, finalement je vois de mieux en mieux ce que j’aime chez ce cinéaste : si ça parle politique (Dark waters) c’est raté : ce n’est vraiment pas sa tasse de thé. Si ça parle que femmes (Safe, Carol) force est de constater que ce n’est pas bon non plus. Par contre, si ça parle hommes (mais via les femmes), là, il excelle.
Ce film parle avant tout des hommes (le personnage que Haynes filme le mieux c’est sans doute le mari, c’est à lui que le film est dédié).
Courrez le voir ! C’est inratable (en plus, l’année ne s'annonce pas tres bonne, vu le dossier des films les plus attendus de 24).

2. Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0
3. Priscilla (Sofia Coppola, USA) 5.0


Je n’aurais pas dû aller les voir :

4. Pauvres créatures (Yorgos Lanthimos, Grande-Bretagne) 2.0
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
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1. Eureka – Lisandro Alonso
2. Priscilla – Sofia Coppola
3. Los Delincuentes – Rodrigo Moreno
4. La Fleur de Buriti – Crowrã – João Salaviza et Renée Nader Messora
5. Ferrari – Michael Mann
6. Jeunesse – Qīngchūn – Wang Bing
7. Man in Black – Wang Bing

8. Pauvres Créatures – Poor Things – Yórgos Lánthimos
9. Iron Claw – The Iron Claw – Sean Durkin
10. La Zone d’interêt – The Zone of Interest – Jonathan Glazer
11. May December – Todd Haynes
12. Le Cercle des neiges – La sociedad de la nieve – J. A. Bayona

13. Conte de feu – Riddle of fire – Weston Razooli
14. Black Flies – Jean-Stephane Sauvaire
15. Making of – Cédric Kahn
16. The Sweet East – Sean Price Williams
17. Rosalie – Stéphanie Di Giusto
18. Le Jeu de la reine – Firebrand – Karim Aïnouz

19. Sleep – Jam – Jason Yu

20. Salem – Jean-Bernard Marlin

En attente :
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1. Priscilla - Sofia Coppola
2. Ferrari - Michael Mann
3. Un Eté Afghan - A Cooler Climate - James Ivory
4. Un Silence - Joachim Lafosse
5. Eileen - William Oldroyd
6. May December – Todd Haynes
7. Iris et les Hommes - Caroline Vignal
8. L'Affaire de la Mutinerie Caine - The Caine Mutiny Court-Martial - William Friedkin
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:hello:

1. Pauvres créatures – Poor things – Yórgos Lánthimos
2. Nous, les Leroy – Florent Bernard
3. Bis repetita – Émilie Noblet
4. May december – Todd Haynes
5. Le cercle des neiges – La sociedad de la nieve – Juan Antonio Bayona
6. Heureux gagnants – Maxime Govare & Romain Choay
7. Godzilla Minus One – Gojira Mainasu Wan – Takashi Yamazaki
8. Et plus si affinités – Olivier Ducray & Wilfried Meance
9. Allez ma fille – Chloé Jouannet
10. Les casseurs fraudeurs – Maxime Chefdeville
11. Priscilla – Sofia Coppola
12. Ici et là-bas – Ludovic Bernard
13. Presque légal – Max Mauroux
14. Elle & Lui et le reste du monde – Emmanuelle Belohradsky
15. Neuilly-Poissy – Grégory Boutboul
16. Les piscinistes – Elliott Suu
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sokol
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Je les reverrais bien un jour :
-

Une fois ça suffit :

1. May December (Todd Haynes, USA) 9.0
2. Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0
3. Priscilla (Sofia Coppola, USA) 5.0


Je n’aurais pas dû aller les voir :

4. Pauvres créatures (Yorgos Lanthimos, Grande-Bretagne) 2.0
5. La zone d’intérêt (Jonathan Glazer, Angleterre) 0.0 - Vouloir faire et, on va dire, du Spielberg (effets de sens etc) et, on va dire, du Straub (je ne film l’infilmable, écran noir, filmage de musée), il faut vraiment être prétentieux (mais je crois que c’est le cas de ce cinéaste qui se la joue Terrence Malick, avec son coté un film par décennie).
Or, mine de rien, c'est du scénario filmé (donc un film naïf), exemple très simple : après un panneau qui annonce le titre, arrive un écran noir accompagné d'une musique tremblante, qui dure 2-3 minutes. Pourquoi ? Pour nous dire que nous allons trembler. Pourtant, le film n'avait même pas commencé ! 😂
Et pourtant, je suis resté jusqu'à la fin.
Conclusion : qu'est ce qu'il a laissé comme heritiers de merde ce Kubrick
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
Kahled
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sokol a écrit :
sam. 3 févr. 2024 01:52
Je les reverrais bien un jour :
-

Une fois ça suffit :

1. May December (Todd Haynes, USA) 9.0
2. Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0
3. Priscilla (Sofia Coppola, USA) 5.0


Je n’aurais pas dû aller les voir :

4. Pauvres créatures (Yorgos Lanthimos, Grande-Bretagne) 2.0
5. La zone d’intérêt (Jonathan Glazer, Angleterre) 0.0 - Vouloir faire et, on va dire, du Spielberg (effets de sens etc) et, on va dire, du Straub (je ne film l’infilmable, écran noir, filmage de musée), il faut vraiment être prétentieux (mais je crois que c’est le cas de ce cinéaste qui se la joue Terrence Malick, avec son coté un film par décennie).
Or, mine de rien, c'est du scénario filmé (donc un film naïf), exemple très simple : après un panneau qui annonce le titre, arrive un écran noir accompagné d'une musique tremblante, qui dure 2-3 minutes. Pourquoi ? Pour nous dire que nous allons trembler. Pourtant, le film n'avait même pas commencé ! 😂
Et pourtant, je suis resté jusqu'à la fin.
Conclusion : qu'est ce qu'il a laissé comme heritiers de merde ce Kubrick
Autant j’ai plutôt aimé le film, autant je te rejoins quand même sur à peu près tout ce que tu viens d’écrire (le panneau noir avec la musique au début non mais au secours, je pensais pas qu’on pouvait encore faire ce genre de trucs bien pompeux aujourd’hui, ca m’a bien énervé sur le moment :lol: …).
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sokol
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Kahled a écrit :
sam. 3 févr. 2024 15:40
le panneau noir avec la musique au début non mais au secours, je pensais pas qu’on pouvait encore faire ce genre de trucs bien pompeux aujourd’hui, ca m’a bien énervé sur le moment :lol: …).
Je lisais aujourd’hui un peu sur internet à propos de la personnalité de ce cinéaste. Il paraît qu’il est d’une prétention sans pareille. C’est dans ce sens que j’évoquais les Straub (qui ne mettrait jamais de la vie de la musique sur un écran noir qui dure 2-3 minutes, de surcroît avant que même le film ait commencé !!). On croit vraiment rêver en regardant ça (j’ai faillie me casser déjà du ciné mais cela faisait que la 4e minutes du film
😆 Quand même !!

Ce qui me paraît assez comique c’est la situation dans laquelle a dû se trouver le jury du festival de Cannes l’an dernier. Je ne sais pas qui a proposé ce film comme lauréat mais j’imagine bien ceux qui ne l’ont pas aimé : ils ont du bien fermer leurs gueules car, s’il vous plaît, le sujet est plus que sérieux donc, bien évidemment qu’on donnera un prix à ce film ! T’imagines s’il n’y avait pas en compétition L’anatomie d’une chute ? (un film qui fait assez facilement l’unanimité, quand même). La zone de l’interêt aurait eu la palme et personne aurait pipé mot 😂, j’en suis convaincu (il paraît que le réalisateur était vert quand il a pris qu’on lui a filé “que“ le Grand Prix. Un Théo Angelopulos bis quoi 😂 (à l’époque de son “Le regard d‘Ulysse“ qui a fini, pareil, avec un Grand Prix, et pas la Palme tant espéré).

Bon, tant qu’on y est et puisque on a quasiment tout vu, mon palmarès Cannes 2023 aurait été :

Palme d’Or : L’été dernier
Grand Prix : Les herbes sèches
Prix du Jury : May December
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sokol a écrit :
sam. 3 févr. 2024 22:07
La zone de l’interêt aurait eu la palme et personne aurait pipé mot 😂, j’en suis convaincu (il paraît que le réalisateur était vert quand il a pris qu’on lui a filé “que“ le Grand Prix. Un Théo Angelopulos bis quoi 😂 (à l’époque de son “Le regard d‘Ulysse“ qui a fini, pareil, avec un Grand Prix, et pas la Palme tant espéré).
Glazer a accepté son "sort" avec bien plus de classe que Angelopulos, reconnais lui cela.
Il a pas ouin-ouin, quoi.
Sa tristesse se comprend aussi du fait que tout le monde autour de lui devait lui dire qu'il était le grand favori, et que c'était sûr qu'il allait avoir la palme (Almodovar avait raconté cette expérience avec pas mal d'honnêteté, à propos de Tout sur ma mère qui n'avait eu "que" le prix de la mise en scène au final)

Mais bon, dire cela ne m'empêche pas d'être d'accord avec toi : je n'ai pas aimé le film non plus.
J'y reviendrai, comme on dit :D



1. May December - Todd Haynes
2. Pauvres Créatures - Yórgos Lánthimos
3. Priscilla - Sofia Coppola
4. La Zone d'Intérêt - Jonathan Glazer
5. Making Of - Cédric Kahn
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B-Lyndon
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1. Jeunesse (Le Printemps) – Wang Bing
2. La Zone d’intérêt – Jonathan Glazer
3. Los Delicuentes – Rodrigo Moreno
4. Ici Brazza – Antoine Boutet


Bah moi j’en suis le premier surpris, mais j’ai aimé !
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
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groil_groil
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B-Lyndon a écrit :
lun. 5 févr. 2024 11:24
1. Jeunesse (Le Printemps) – Wang Bing
2. La Zone d’intérêt – Jonathan Glazer
3. Los Delicuentes – Rodrigo Moreno
4. Ici Brazza – Antoine Boutet


Bah moi j’en suis le premier surpris, mais j’ai aimé !
ahhh ce qui rend le débat ici encore plus passionnant !
I like your hair.
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sokol
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B-Lyndon a écrit :
lun. 5 févr. 2024 11:24
1. Jeunesse (Le Printemps) – Wang Bing
2. La Zone d’intérêt – Jonathan Glazer
3. Los Delicuentes – Rodrigo Moreno
4. Ici Brazza – Antoine Boutet


Bah moi j’en suis le premier surpris, mais j’ai aimé !
Ben (ou bah, si tu veux), tant mieux mais dis 3 mots quand même
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
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B-Lyndon
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sokol a écrit :
sam. 3 févr. 2024 22:07

Bon, tant qu’on y est et puisque on a quasiment tout vu, mon palmarès Cannes 2023 aurait été :

Palme d’Or : L’été dernier
Grand Prix : Les herbes sèches
Prix du Jury : May December

Palme d'or : Les Herbes sèches
Grand Prix : Jeunesse
Prix de la mise en scène : L'Été dernier
Prix du jury : La Zone d'intérêt
Prix du scénario : Vers un avenir radieux
Prix d'interprétation masculine : Olivier Rabourdin dans L'Été dernier
Prix d'interprétation féminie : Sandra Huller...dans La Zone d'intérêt :D
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sokol
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B-Lyndon a écrit :
mer. 7 févr. 2024 13:53
Palme d'or : Les Herbes sèches
Grand Prix : Jeunesse
Prix de la mise en scène : L'Été dernier
Prix du jury : La Zone d'intérêt
Prix du scénario : Vers un avenir radieux
Prix d'interprétation masculine : Olivier Rabourdin dans L'Été dernier
Prix d'interprétation féminie : Sandra Huller...dans La Zone d'intérêt :D
J'ai fait exprès de ne pas "décerner" les autres prix car à mes yeux (et pas seulement, mais tu le sais) ils n'ont pas de sens (la mise en scène ou le jeux des acteurs ou le scénario ne peuvent être jugé séparément car tout est "mise en scène", ou comme on dit dans ma langue maternelle, tout est régie - l'albanais utilise également la très belle unité syntaxique (ou sémantique ?) "film artistik" pour les 'films de fictions'). Mais bon, effectivement, on peut jouer le jeux (par exemple, j'aime bien le scénario de "Vers un avenir radieux", mais pas trop le film)

Je ne pensais pas que tu avais aimé tant "Jeunesse". Cela dit, tu devrais voir "Mai december" :love: :love: :love:
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
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B-Lyndon
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1. Jeunesse (Le Printemps) – Wang Bing
2. La Zone d’intérêt – Jonathan Glazer
3. Los Delicuentes – Rodrigo Moreno
4. Daaaaaali ! – Quentin Dupieux
5. Ici Brazza – Antoine Boutet


Joli Dupieux, inventif et très drôle.
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teklow13
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1. La Bête – Bertrand Bonello
2. Eureka – Lisandro Alonso

3. Priscilla – Sofia Coppola
4. Los Delincuentes – Rodrigo Moreno
5. La Fleur de Buriti – Crowrã – João Salaviza et Renée Nader Messora
6. Ferrari – Michael Mann
7. Jeunesse – Qīngchūn – Wang Bing
8. Man in Black – Wang Bing

9. La Zone d’interêt – The Zone of Interest – Jonathan Glazer
10. Pauvres Créatures – Poor Things – Yórgos Lánthimos
11. May December – Todd Haynes
12. Iron Claw – The Iron Claw – Sean Durkin
13. Le Cercle des neiges – La sociedad de la nieve – J. A. Bayona

14. Conte de feu – Riddle of fire – Weston Razooli
15. Black Flies – Jean-Stephane Sauvaire
16. Making of – Cédric Kahn
17. The Sweet East – Sean Price Williams
18. Rosalie – Stéphanie Di Giusto
19. Le Jeu de la reine – Firebrand – Karim Aïnouz

20. Sleep – Jam – Jason Yu

21. Salem – Jean-Bernard Marlin

En attente :
1. Project Silence – Talchul: Project Silence – Kim Tae-Gon
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Mr-Orange
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teklow13 a écrit :
jeu. 8 févr. 2024 13:01
1. La Bête – Bertrand Bonello
2. Eureka – Lisandro Alonso

3. Priscilla – Sofia Coppola
4. Los Delincuentes – Rodrigo Moreno
5. La Fleur de Buriti – Crowrã – João Salaviza et Renée Nader Messora
6. Ferrari – Michael Mann
7. Jeunesse – Qīngchūn – Wang Bing
8. Man in Black – Wang Bing

9. La Zone d’interêt – The Zone of Interest – Jonathan Glazer
10. Pauvres Créatures – Poor Things – Yórgos Lánthimos
11. May December – Todd Haynes
12. Iron Claw – The Iron Claw – Sean Durkin
13. Le Cercle des neiges – La sociedad de la nieve – J. A. Bayona

14. Conte de feu – Riddle of fire – Weston Razooli
15. Black Flies – Jean-Stephane Sauvaire
16. Making of – Cédric Kahn
17. The Sweet East – Sean Price Williams
18. Rosalie – Stéphanie Di Giusto
19. Le Jeu de la reine – Firebrand – Karim Aïnouz

20. Sleep – Jam – Jason Yu

21. Salem – Jean-Bernard Marlin

En attente :
1. Project Silence – Talchul: Project Silence – Kim Tae-Gon
Il me tente autant qu'il me fait peur, celui-là, je sens le chef d'oeuvre ou la daube insupportable et pédante. Faut dire que le matériau de base de Henry James a l'air casse-gueule à adapter. Une autre adaptation, manifestement très différente, était sortie avec Tom Mercier et Anais Demoustier l'année dernière ; la bande-annonce filait de l'urticaire, on aurait dit un mélange de Mandico et de story Insta de teufeuse parisienne.

Mais tu donnes envie !

EDIT : Ah bah de toutes façons, problème réglé, mon cinéma ne le diffuse pas. Vive la province ^^
Kahled
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Pas diffusé chez moi non plus…
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Tamponn Destartinn
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B-Lyndon a écrit :
mer. 7 févr. 2024 13:53
sokol a écrit :
sam. 3 févr. 2024 22:07

Bon, tant qu’on y est et puisque on a quasiment tout vu, mon palmarès Cannes 2023 aurait été :

Palme d’Or : L’été dernier
Grand Prix : Les herbes sèches
Prix du Jury : May December

Palme d'or : Les Herbes sèches
Grand Prix : Jeunesse
Prix de la mise en scène : L'Été dernier
Prix du jury : La Zone d'intérêt
Prix du scénario : Vers un avenir radieux
Prix d'interprétation masculine : Olivier Rabourdin dans L'Été dernier
Prix d'interprétation féminie : Sandra Huller...dans La Zone d'intérêt :D


Mine de rien, j'ai loupé pas mal de films de cette compétition (Jeunesse, L'enlèvement, Dodin Bouffant, L'Innocence, Le retour...)
Mais mon palmarès serait le suivant :


Palme d'or : Anatomie d'une chute - Justine Triet
Grand Prix : May December - Todd Haynes
Prix du jury : Les filles d'Olfa - Kaouther Ben Hania

Prix de la mise en scène : Les feuilles mortes - Aki Kaurismäki (ma 2e palme. Du coup, j'ai hésité entre Grand Prix et ce prix là)
Prix du scénario : Les herbes sèches - Nuri Bilge Ceylan (est-ce que ça l'aurait encore plus fait chier que le prix d'interprétation féminine ? :D )

Prix d'interprétation masculine : Kōji Yakusho dans Perfect Days
Prix d'interprétation féminine : Léa Drucker dans L'été dernier
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yhi
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Mr-Orange a écrit :
jeu. 8 févr. 2024 14:08
Une autre adaptation, manifestement très différente, était sortie avec Tom Mercier et Anais Demoustier l'année dernière ;
Le film de Chiha avait des défauts mais n'était pas dénué d'intérêt. Un objet original probablement raté mais assez ambitieux. En tout cas ça m'a donné envie de lire le texte duquel c'est inspiré et encore plus alléché pour le Bonello. La comparaison des deux devrait être un jeu surprenant.
Kahled
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Bonnello s’est souvent fait damer le pion j’ai l’impression.

Sont Saint-Laurent qui s’était fait devancer par le film de Jalil Lespert en 2014 et maintenant La bête qui se fait devancer par le film de Patric Chiha. Il a décidément pas de chance (même si les deux propositions paraissent différentes)… :crazy:
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Mr-Orange
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yhi a écrit :
jeu. 8 févr. 2024 18:28
Mr-Orange a écrit :
jeu. 8 févr. 2024 14:08
Une autre adaptation, manifestement très différente, était sortie avec Tom Mercier et Anais Demoustier l'année dernière ;
Le film de Chiha avait des défauts mais n'était pas dénué d'intérêt. Un objet original probablement raté mais assez ambitieux. En tout cas ça m'a donné envie de lire le texte duquel c'est inspiré et encore plus alléché pour le Bonello. La comparaison des deux devrait être un jeu surprenant.
Ah oui sûrement, mais le côté vintage chic et "nuit magique" qui dégueule de la bande-annonce, c'est rédhibitoire pour moi. Je suis aussi un peu circonspect sur les films qui semblent reposer presque intégralement sur les performances de danse des acteurs - ce qui semble être le cas du Chiha. Les acteurs se chargent de tout dans le plan, du rythme, du mouvement, et le réalisateur peut se poser peinard et se dispenser de penser la mise en scène. Ça m'avait déjà un peu énervé dans Climax et son intro à la fois impressionnante et paresseuse.
Kahled a écrit :
ven. 9 févr. 2024 00:20
Bonnello s’est souvent fait damer le pion j’ai l’impression.

Sont Saint-Laurent qui s’était fait devancer par le film de Jalil Lespert en 2014 et maintenant La bête qui se fait devancer par le film de Patric Chiha. Il a décidément pas de chance (même si les deux propositions paraissent différentes)… :crazy:
Contrairement à la battle des YSL, Bonello devrait là gagner le rapport de force sans problème. Il l'a probablement gagné par K.O tant du point de vue du box office que de la critique dès le premier jour en salles :D
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1. The Zone of Interest — Jonathan Glazer

2. May December — Todd Haynes
3. Priscilla — Sofia Coppola
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sokol
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Je les reverrais bien un jour :
-

Une fois ça suffit :

1. May December (Todd Haynes, USA) 9.0
2. Jeunesse - le printemps - (Wang Bing, Chine) 7.0
3. Priscilla (Sofia Coppola, USA) 5.0


Je n’aurais pas dû aller les voir :

4. Daaaaali ! (Quentin Dupieux, France) 3.0 - le film est à l’image du non-fonctionnement de la multiplication de la figure de Picasso (5 acteurs différents jouent son rôle). Vain et paresseux
5. Pauvres créatures (Yorgos Lanthimos, Grande-Bretagne) 2.0
6. La zone d’intérêt (Jonathan Glazer, Angleterre) 0.0
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
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sokol a écrit :
sam. 10 févr. 2024 00:47

4. Daaaaali ! (Quentin Dupieux, France) 3.0 - le film est à l’image du non-fonctionnement de la multiplication de la figure de Picasso (5 acteurs différents jouent son rôle). Vain et paresseux
Picasso :D
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
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