Le top ERNST LUBITSCH des internautes
Période allemande :
1916 : Quand j’étais mort (Als ich tot war ou Wo ist mein Schatz?)
1916 : Le Palais de la chaussure Pinkus (Schuhpalast Pinkus)
1917 : Quand quatre font la même chose (Wenn vier dasselbe tun), avec Emil Jannings, Ossi Oswalda, Margarete Kupfer, Fritz Schulz, Victor Janson
1917 : La Joyeuse Prison (Das fidele Gefängnis ou Ein fideles Gefängnis), avec Harry Liedtke, Kitty Dewall, Agda Nilsson, Emil Jannings, Erich Schönfelder, d'après l'opérette La Chauve-Souris de Johann Strauss
1918 : Je ne voudrais pas être un homme (Ich möchte kein Mann sein), avec Ferry Sikla, Ossi Oswalda, Margarete Kupfer, Victor Janson
1918 : Les Yeux de la momie(Die Augen der Mumie Ma), avec Pola Negri, Emil Jannings, Harry Liedtke
1918 : Carmen34, avec Pola Negri, Harry Liedtke, Leopold von Ledebour (d'après Mérimée et Bizet)
1918 : Meyer aus Berlin, avec E.L., Ethel Orff, Heinz Lanzmann
1919 : La Princesse aux huîtres (Die Austernprinzessin) avec Victor Janson, Ossi Oswalda, Harry Liedtke
1919 : La Du Barry (Madame Du Barry), avec Pola Negri, Emil Jannings, Harry Liedtke
1919 : La Poupée (Die Puppe) avec Josefine Dora, Victor Janson, Marga Köhler
1920 : Les Filles de Kohlhiesel (Kohlhiesels Töchter) avec Emil Jannings, Henny Porten, Jakob Tiedtke, Gustav von Wangenheim
1920 : Roméo et Juliette dans la neige (Romeo und Julia im Schnee) avec Jakob Tiedtke, Marga Köhler, Lotte Neuman, Ernst Rückert
1920 : Sumurun avec E.L., Pola Negri, Paul Wegener
1920 : Anna Boleyn avec Henny Porten, Emil Jannings, Paul Hartmann
1921 : La Chatte des montagnes (Die Bergkatze) avec Pola Negri, Victor Janson, Paul Heidemann, Wilhelm Diegelmann
1922 : La Femme du pharaon (Das Weib des Pharao) avec Emil Jannings, Harry Liedtke, Dagny Servaes, Paul Wegener
1923 : Montmartre (Die Flamme) avec Pola Negri, Hilde Wörner, Alfred Abel, Hermann Thimig (en partie perdu)
Période américaine muette :
1923 : Rosita, coréalisateur : Raoul Walsh
1924 : Comédiennes (The Marriage Circle)
1924 : Trois femmes (Three Women)
1925 : Paradis défendu (Forbidden Paradise)
1925 : Ma femme et son flirt ou Embrassez-moi (Kiss Me Again)
1925 : L'Éventail de Lady Windermere (Lady Windermere's Fan)
1926 : Les Surprises de la TSF (So This is Paris), remake de La Joyeuse Prison
1926 : The Honeymoon Express, coréalisateur : James Flood
1927 : Le Prince étudiant (The Student Prince in Old Heidelberg), coréalisateur : John M. Stahl
1928 : Le Patriote (The Patriot)
1929 : L'Abîme (Eternal Love)
Période parlante :
1929 : Parade d'amour (The Love Parade)
1930 : Paramount on Parade, coréalisateurs : Frank Tuttle, Edmund Goulding, A. Edward Sutherland etc.
1930 : Monte-Carlo
1931 : Le Lieutenant souriant (The Smiling Lieutenant)
1932 : L'Homme que j'ai tué (Broken Lullaby)
1932 : Une heure près de toi (One Hour with You) coréalisateur : George Cukor
1932 : Haute Pègre (Trouble in Paradise)
1932 : Si j'avais un million (If I Had a Million), sketch L'Huissier (The Clerck)
1933 : Sérénade à trois (Design for Living)
1934 : La Veuve joyeuse (The Merry Widow)
1937 : Ange (Angel)
1938 : La Huitième Femme de Barbe-Bleue (Blue Beard's Eighth Wife)
1939 : Ninotchka
1940 : Rendez-vous (The Shop Around the Corner)
1941 : Illusions perdues56 (That Uncertain Feeling)
1942 : Jeux dangereux (To Be or Not to Be)
1943 : Le ciel peut attendre (Heaven Can Wait)
1945 : Scandale à la cour (A Royal Scandal) coréalisateur : Otto Preminger
1946 : La Folle ingénue (Cluny Brown)
1948 : La Dame au manteau d'hermine (That Lady in Ermine), coréalisé avec Otto Preminger
1- 1940 : Rendez-vous (The Shop Around the Corner)
2- 1939 : Ninotchka
3- 1938 : La Huitième Femme de Barbe-Bleue (Blue Beard's Eighth Wife)
4- 1932 : Si j'avais un million (If I Had a Million), sketch L'Huissier (The Clerck)
5- 1943 : Le ciel peut attendre (Heaven Can Wait)
6- 1934 : La Veuve joyeuse (The Merry Widow)
2- 1939 : Ninotchka
3- 1938 : La Huitième Femme de Barbe-Bleue (Blue Beard's Eighth Wife)
4- 1932 : Si j'avais un million (If I Had a Million), sketch L'Huissier (The Clerck)
5- 1943 : Le ciel peut attendre (Heaven Can Wait)
6- 1934 : La Veuve joyeuse (The Merry Widow)
Vosg'patt de cœur
- groil_groil
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1. Le Ciel peut attendre - Heaven Can Wait (1943)
2. Jeux Dangereux - To Be or not to be (1942)
3. Je ne voudrais pas être un homme - Ich möchte kein Mann sein (1919)
4. La Princesse aux huîtres - Die Austernprinzessin (1918)
5. Anna Boleyn (1920)
6. Sumurun (1920)
7. La Chatte des Montagnes - Die Bergkatze (1921)
2. Jeux Dangereux - To Be or not to be (1942)
3. Je ne voudrais pas être un homme - Ich möchte kein Mann sein (1919)
4. La Princesse aux huîtres - Die Austernprinzessin (1918)
5. Anna Boleyn (1920)
6. Sumurun (1920)
7. La Chatte des Montagnes - Die Bergkatze (1921)
I like your hair.
- Skipper Mike
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1. Jeux dangereux
2. Ninotchka
3. Illusions perdues
4. Comédiennes
2. Ninotchka
3. Illusions perdues
4. Comédiennes
1. Haute pègre (1932)
2. La folle ingénue (1946)
3. To be or not to be (1942)
4. L'homme que j'ai tué (1932)
5. Le ciel peut attendre (1943)
6. Comédiennes (1924)
7. Rendez-vous (1940)
8. Ninotchka (1939)
9. L'éventail de Lady Windermere (1925)
10. Ange (1937)
11. La huitième femme de Barbe-bleue (1938)
12. La princesse aux huîtres (1919)
13. Je ne voudrais pas être un homme (1918)
14. Illusions perdues (1941)
15. Sérénade à trois (1933)
16. Une heure près de toi (1932)
17. La chatte des montagne (1921)
18. Eternal love (1929)
19. Anna Boleyn (1920)
20. Sumurun (1920)
21. Si j'avais un million (1932) (segment)
22. La dame au manteau d'hermine (1948)
2. La folle ingénue (1946)
3. To be or not to be (1942)
4. L'homme que j'ai tué (1932)
5. Le ciel peut attendre (1943)
6. Comédiennes (1924)
7. Rendez-vous (1940)
8. Ninotchka (1939)
9. L'éventail de Lady Windermere (1925)
10. Ange (1937)
11. La huitième femme de Barbe-bleue (1938)
12. La princesse aux huîtres (1919)
13. Je ne voudrais pas être un homme (1918)
14. Illusions perdues (1941)
15. Sérénade à trois (1933)
16. Une heure près de toi (1932)
17. La chatte des montagne (1921)
18. Eternal love (1929)
19. Anna Boleyn (1920)
20. Sumurun (1920)
21. Si j'avais un million (1932) (segment)
22. La dame au manteau d'hermine (1948)
- Skipper Mike
- Messages : 407
- Enregistré le : mar. 13 oct. 2020 00:07
1. Jeux dangereux
2. Ninotchka
3. Haute Pègre
4. Illusions perdues
5. Comédiennes
2. Ninotchka
3. Haute Pègre
4. Illusions perdues
5. Comédiennes
1. La Folle ingénue (1946)
2. Sérénade à trois (1933)
3. La Huitième femme de Barbe-bleue (1938)
2. Sérénade à trois (1933)
3. La Huitième femme de Barbe-bleue (1938)
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
1. The Shop around the corner (Rendez-Vous)
2. Cluny Brown - La Folle ingénue
3. Sérénade à trois
4. Haute Pègre
5. La Huitième femme de Barbe-Bleue
6. Ninotchka
7. To be or not to be - Jeux dangereux
8. Le Ciel peut attendre
2. Cluny Brown - La Folle ingénue
3. Sérénade à trois
4. Haute Pègre
5. La Huitième femme de Barbe-Bleue
6. Ninotchka
7. To be or not to be - Jeux dangereux
8. Le Ciel peut attendre
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
Jean-Marie Straub
1) Rendez-vous (The Shop Around the Corner)
2) La Folle ingénue (Cluny Brown)
3) La Huitième Femme de Barbe-Bleue
4) Ninotchka
5) Jeux dangereux (To Be or Not to Be)
6) Sérénade à trois (Design for Living)
7) Haute Pègre (Trouble in Paradise)
8) Le ciel peut attendre (Heaven Can Wait)
2) La Folle ingénue (Cluny Brown)
3) La Huitième Femme de Barbe-Bleue
4) Ninotchka
5) Jeux dangereux (To Be or Not to Be)
6) Sérénade à trois (Design for Living)
7) Haute Pègre (Trouble in Paradise)
8) Le ciel peut attendre (Heaven Can Wait)
à la virgule près quoi
ps: les 5 premiers sont quasiment exæquo mais j'ai un petit penchant pour The shop around the corner
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
Jean-Marie Straub
J'en vois un par jour, je me régale...comment il faisait le mec ???
je vais essayer de regarder The Shop... ce soir.
par contre, vous me rassurez sur Ninotchka que j'avais commencé à regarder (mon premier Lubitsch) mais que je n'avais pas aimé...Heureusement qu'il y a eu des ressorties en salles, je pensais que ce cinéma n'était pas pour moi !
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
et moi pour Rendez-vous
anecdote : The shop around the corner est le nom de la librairie de Meg Ryan dans le remake de 1998 Vous avez un mess@ge (You've Got Mail) de Nora Ephron
Vosg'patt de cœur
très bon choixB-Lyndon a écrit : ↑mar. 10 janv. 2023 19:41
J'en vois un par jour, je me régale...comment il faisait le mec ???
je vais essayer de regarder The Shop... ce soir.
par contre, vous me rassurez sur Ninotchka que j'avais commencé à regarder (mon premier Lubitsch) mais que je n'avais pas aimé...Heureusement qu'il y a eu des ressorties en salles, je pensais que ce cinéma n'était pas pour moi !
Vosg'patt de cœur
Cela dit, sur le film règne l'ombre Leo McCarey (Cette sacrée vérité, Elle et lui), LE maitre de la comédie américaine de l'époque.
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
Jean-Marie Straub
de Leo je connais le Elle et lui de 1957 + La Route semée d'étoiles et Les Cloches de Sainte-Marie
McCarey et nous on a McRond ce n'est pas le même cinéma
Vosg'patt de cœur
Tu trouves ça si bien, Leo McCarey ?
J'ai vu Place aux jeunes, Elle et lui et Cette sacrée vérité, c'est extrêmement bien fait, mais je trouve l'esprit plus plat, conventionnel. Quand Lubitsch est si fantaisiste.
Je trouve si bien McCarey peut être parce que c'est "les débuts" et donc un cinéma encore plus génuine. Du coup, plus naïf, mais pas forcement conventionnel : regarde "Soupe au canard" ou "L'extravagant Mr. Ruggles" : très fantaisiste pour le coup, mais toujours extrêmement génuine.
Je pense que McCaray (sa façon de faire des films) était le communisme (donc l'enfance) de la comédie au cinéma (c'est lui qui a crée Laurel et Hardy, par exemple) ; c'était également le premier cinéaste au monde qui arrivait avec un script sur le plateau en donnant à son équipe des renseignements uniquement au jour le jour. Pourtant, c'était un catho réac mais, justement !
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
Jean-Marie Straub
Ah oui mais tu vois ça se sent un peu dans ses films plus personnels (j'aime beaucoup la soupe au canard aussi, mais disons que c'est un Marx Brothers). Place aux jeunes est touchant, genuine comme tu dis, mais quand tu compares à Voyage à Tokyo de Ozu, c'est tellement peu de choses. Sa vision du monde, on le voit, est un peu étroite. Et Elle et lui, que j'adore, c'est un film construit sur la peur : réussir ou échouer, se rater ou se retrouver... Alors que Lubitsch, c'est frénétique, il y a de l'invention, les gens sont tout le temps en train d'inventer leur vie.
C'est complètement ce qui me bouleverse tant dans Elle et lui, parce que cette peur est tellement tenace, habitée, saisie, elle est la puissance du film. Chaque cinéaste a sa puissance.
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
1. La Folle ingénue (1946)
2. Rendez-vous (1940)
3. Sérénade à trois (1933)
4. Haute Pègre (1932)
5. La Huitième femme de Barbe-bleue (1938)
Mais l'ordre n'a que peu d'importance.
2. Rendez-vous (1940)
3. Sérénade à trois (1933)
4. Haute Pègre (1932)
5. La Huitième femme de Barbe-bleue (1938)
Mais l'ordre n'a que peu d'importance.
« j’aurais voulu t’offrir cent mille cigarettes blondes, douze robes des grands couturiers, l’appartement de la rue de Seine, une automobile, la petite maison de la forêt de Compiègne, celle de Belle-Isle et un petit bouquet à quatre sous »
Oui mais McCarey était, probablement, moins misanthrope (plus humaniste - dieu sait o combien je déteste ce mot mais bon, c'est pour dire qu'il aimait l'homme) que Lubitsch. Un peu comme Eastwood : réac à mort mais très très humaniste.asketoner a écrit : ↑mer. 11 janv. 2023 18:24
Ah oui mais tu vois ça se sent un peu dans ses films plus personnels (j'aime beaucoup la soupe au canard aussi, mais disons que c'est un Marx Brothers). Place aux jeunes est touchant, genuine comme tu dis, mais quand tu compares à Voyage à Tokyo de Ozu, c'est tellement peu de choses. Sa vision du monde, on le voit, est un peu étroite. Et Elle et lui, que j'adore, c'est un film construit sur la peur : réussir ou échouer, se rater ou se retrouver... Alors que Lubitsch, c'est frénétique, il y a de l'invention, les gens sont tout le temps en train d'inventer leur vie.
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
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Oui, mais ça c'est de l'ordre du scénario or, chez McCarey, niveau mise en scène, il y a plus d'improvisation (ça se sent, à part que ça se sait - voir : Leo et les aléas, entretien avec Leo McCarey par Serge Daney et Louis Skorecki, Cahiers du Cinéma, n° 163, février 1965).
"Le cinéma n'existe pas en soi, il n'est pas un langage. Il est un instrument d’analyse et c'est tout. Il ne doit pas devenir une fin en soi".
Jean-Marie Straub
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