Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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On commence le spam avec les nombreuses dernières affiches de Alien: Romulus :

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L'image de la fille sur l'aigle, il s'agit du nouveau film des studios LAIKA qui s'intitule Wildwood.
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Cocu
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:hello: [mention]Pale[/mention] content de ton séjour ? Et de retrouver la fraîcheur ? :D
Pouet
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Voici d'ailleurs une couverture numérique en stop-motion pour Empire Magazine réalisée par les studios LAIKA :

[tweet][/tweet]
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Cocu a écrit : mer. 31 juil. 2024 10:20 :hello: @Pale content de ton séjour ? Et de retrouver la fraîcheur ? :D
Coucou :hello:

Très content oui par contre il fait très bon en ce moment en Belgique (hormis l'orage de cette nuit), ces derniers jours les températures ont atteint les 30° ^^

Après je me suis habitué à des 37-38° en Italie :sol: :lol:
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Cocu
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Pale a écrit : mer. 31 juil. 2024 10:25 Coucou :hello:

Très content oui par contre il fait très bon en ce moment en Belgique (hormis l'orage de cette nuit), ces derniers jours les températures ont atteint les 30° ^^

Après je me suis habitué à des 37-38° en Italie :sol: :lol:
Oh cool! Tant mieux moi je ne m'y habituerais jamais :hehe:
Pouet
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Cocu a écrit : mer. 31 juil. 2024 10:32
Pale a écrit : mer. 31 juil. 2024 10:25 Coucou :hello:

Très content oui par contre il fait très bon en ce moment en Belgique (hormis l'orage de cette nuit), ces derniers jours les températures ont atteint les 30° ^^

Après je me suis habitué à des 37-38° en Italie :sol: :lol:
Oh cool! Tant mieux moi je ne m'y habituerais jamais :hehe:
J'avoue que j'aurais du mal plusieurs semaines d'affilée :D
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On passe aux trailers :

[youtube]Idh8n5XuYIA[/youtube]
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[youtube]zUTQ8atM_9U[/youtube]
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[youtube]_OKAwz2MsJs[/youtube]
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[youtube]sBoPoKL0EQY[/youtube]
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[youtube]TcNNteP22gQ[/youtube]
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[youtube]InvnbXX0VV8[/youtube]
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[youtube]Icnysn53neU[/youtube]
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[youtube]HHGIRpaFgCs[/youtube]
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[youtube]lYMTzx2Qcmw[/youtube]
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[youtube]4fw2PIpndnM[/youtube]
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[youtube]pzJDzIDv0mo[/youtube]
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Pale a écrit : mer. 31 juil. 2024 02:11 De retour :hello:

Préparez-vous car ça va spammer de fou en journée :D
:hello: j'espère que t'as profité :)
Modifié en dernier par Kit le mer. 31 juil. 2024 11:49, modifié 1 fois.
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Kit a écrit : mer. 31 juil. 2024 11:22
Pale a écrit : mer. 31 juil. 2024 02:11 De retour :hello:

Préparez-vous car ça va spammer de fou en journée :D
:hello: j'espère que tas profité :)
:hello: De ouf oui, je partagerai quelques clichés un peu plus tard :hot:
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EL a aimé Maxxxine (3,5 étoiles) :

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Ce 31 juillet, le chouchou du cinéma d’horreur indépendant Ti West clôt sa trilogie, débutée par X et poursuivie par Pearl, avec Maxxxine. Mia Goth tient toujours le rôle principal, désormais accompagnée d’un casting hollywoodien (Kevin Bacon, Elizabeth Debicki, Giancarlo Esposito). En gagnant en ampleur, le cinéaste a-t-il perdu de sa malice ? Bien au contraire.

WEST SIDE STORIES


Opérant autrefois dans les tréfonds du cinéma indépendant, avec des budgets microscopiques, Ti West est désormais sur le devant de la scène horrifique. Son excellent X, produit sous la prestigieuse bannière A24, a beaucoup fait parler de lui, ainsi que son prequel pensé et tourné juste à la suite, Pearl. À la tête de Maxxxine, il peut se payer des décors gigantesques, un casting tenant du fantasme pour l’amateur du genre (Même Lily Collins est de la partie) et une précieuse liberté artistique.

Ce serait toutefois mal le connaitre que de considérer le diptyque formé par X et Pearl comme un simple tremplin et Maxxxine comme une simple opportunité de partir à l’assaut d’Hollywood, à l’instar de son héroine. Ce troisième film n’est pas une vulgaire suite de plus. C’est la troisième partie cohérente de la véritable démonstration qu’est la trilogie. X racontait le bis de la fin des années 1970, Pearl la naissance du rêve hollywoodien dans les années 1920 et 1930. Maxxxine nous immerge dans la folie cruelle des années 1980.

Trois époques pour trois périodes charnière du cinéma d’exploitation. En retraçant deux générations de femmes éprouvées par l’industrie, ses mensonges et ses vices, West se constitue presque historien de la série B. A ceci près qu’il s’intéresse moins aux grandes étapes du genre qu’à la manière dont celui-ci subit, cristallise, reproduit et accentue les relents idéologiques sociaux et vicieux de son temps.

Ici, une Maxine encore marquée par sa rencontre des époux Douglas tente de faire son trou à Hollywood sans finir dans un autre trou. En effet, tandis qu’elle passe des auditions afin de percer dans le cinéma d’horreur et se débarrasser de son image de hardeuse, une mystérieuse silhouette toute de cuir et de haine trucide allégrement prostituées… et aspirantes actrices. Et comme cela ne suffisait pas, un détective privé plus que collant vient s’inviter dans son quotidien.

YOU’LL NEVER MAKE IT IN HOLLYWOOD BABY

Toute comparaison avec Stranger Things et autres produits populaires carburant à la nostalgie pure serait donc fortuite : le récit a beau se dérouler à une époque désormais surexploitée, il ne la résume pas à un ensemble de codes, à son taux de néon ou à la coolitude de ses vidéoclubs. Comme dans les deux précédents volets, il la caractérise d’abord par un paradoxe, lequel va être au centre de tous les enjeux. Car pour le cinéaste, le divertissement populaire n’est toujours que le résultat d’un paradoxe.

Dans les années 1920 et les années 1930, ce sont les deux facettes de la fabrique à image qui détraquent l’esprit de la jeune Pearl. L’illusion du rêve hollywoodien contre sa réalité sordide. Dans les années 1970, c’est plutôt le fantasme hippie du sexe libre qui vient se fracasser contre les valeurs de l’oncle Sam, sur le point d’industrialiser le moindre corps. Dans les années 1980, le cinéma populaire se retrouve coincé entre un néolibéralisme agressif et un puritanisme outré.

À chaque fois, les plus crapoteuses des branches du 7e art s’immiscent dans ce conflit. La messe est dite : elles sont condamnées à creuser leur sillon dans le scandale et la complaisance, qu’importent finalement les ambitions mégalo des artistes, représentés ici par une Elizabeth Debicki amusante en réalisatrice démiurge, mais dont la rigueur libertarienne ne fait pas grand cas de ses actrices.

Malgré l’environnement plus ouvert au sein duquel se déroule l’intrigue, le terrain de jeu du metteur en scène se limite quasi intégralement à deux pôles : les plateaux de tournage et les bas-fonds de Los Angeles. Soit les deux perspectives d’une viande fraiche pleine d’espoir, elle aussi écrabouillée entre les portes des studios et la violence qu’elle suscite. Le premier plan du film, qui reproduit celui de X, annonçait la couleur : les rues angelines ne forment qu’une grange meurtrière de plus. Et l’horreur du premier volet va revenir exactement de la même manière, avec les mêmes acteurs, les mêmes thèmes, les mêmes motifs, à une échelle plus large. Seulement, cette fois, Maxine est prête.

STAR MANIAQUE

Ayant le sang-froid d’un boogeyman au lendemain de ses péripéties du Texas (elle ne tarde pas à prouver qu’elle en a), l’héroïne tente donc de dompter le monstre hollywoodien, et même sa tête la plus dangereuse : le star system.

Dans une pirouette narrative d’autant plus audacieuse quand on sait que Mia Goth a défrayé la chronique pour ses comportements agressifs (sans compter qu’elle avait déjà directement influencé son personnage en co-écrivant le précédent volet), West nous donne à voir ce qu’il en coûte de se hisser parmi les stars : foncer l’écume aux babines et la rage au ventre, envers et contre la violence environnante. Jusqu’à un ultime travelling vertical faisant office de conclusion parfaite à la trilogie, diamétralement opposé au fameux ultime plan fixe de Pearl.

L’occasion de faire défiler un panorama de personnages secondaires hauts en couleur, qu’elle va finir par dépasser d’une manière ou l’autre. Du duo de flics sur le mode buddy movie (l’arc le plus mécanique du scénario) à l’imprésario protecteur, en passant bien sûr par le détective privé au look Chinatown, incarné par un Kevin Bacon génial et sur lequel Maxine va déverser sa rage.

Des touches d’humour noir plus présentes qu’auparavant et qui s’intègrent plutôt bien à une mise en scène embrassant l’opportunisme culturel de la période. Le tueur se déplace comme dans Maniac, tue comme dans un Argento, est éclairé comme un Carpenter. A l’image du cinéma américain post-Nouvel hollywood, qui assumait son recyclage, Maxxxine revendique son statut d’objet pop sucré, renfermant toute l’horreur d’un star-system en train de tout dévorer.

Peut-être l’exercice sera-t-il moins bien reçu, faisant face à une concurrence féroce sur le créneau hommage 80’s. Toutefois, il comporte assez de fulgurances formelles et fait preuve d’une densité thématique suffisante pour se hisser au dessus de la mêlée. Et lorsqu’il s’aventure entre le Bates Motel et le manoir de Psychose, il préfère s’enfermer – littéralement – dans l’envers du décor. Pas certain qu’il soit beaucoup plus reluisant aujourd’hui.

Ti West continue à ouvrir la brèche sociale et cruelle dans laquelle s’engouffre le cinéma qu’il défend. Maxxxine est bien moins un hommage aux années 1980 que le récit d’un star-system monstrueux. Ainsi qu’une conclusion parfaite à une trilogie parmi les plus fascinantes vues dans le genre.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 9ep6n-wYxA
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Le film sur les OVNIs de Steven Spielberg agrandit son casting et dévoile son titre

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Un nouvel acteur a rejoint le mystérieux film d’OVNI de Steven Spielberg, dont on connait enfin le titre.

Du haut de ses 77 ans, Steven Spielberg a eu le temps de passer par énormément de genre. Rien que ces dernières années, il a enchainé un drame historique, un film de science-fiction, une comédie musicale et un film autobiographique entre Pentagon Papers, Ready Player One, son super West Side Story et l’injuste échec The Fabelmans. Il est donc toujours assez difficile de deviner vers quel genre va se diriger le cinéaste pour sa prochaine création.

Ces derniers mois, on a toutefois appris qu’il allait s’intéresser à un film sur les OVNIs. Rien de spécialement étonnant pour Steven Spielberg lui qui s’est largement interrogé sur cette question entre Rencontres du troisième type, E.T., l’extra-terrestre ou encore La Guerre des mondes durant sa carrière. Son film s’attardera-t-il encore une fois sur les aliens ? Mystère à ce stade, mais on hâte de découvrir son prochain film, d’autant qu’il viendrait de recruter une nouvelle tête d’affiche et a enfin trouvé un titre.

C’est lors de la dernière présentation aux investisseurs d’IMAX que l’information a été repérée : Universal a donné un titre pour un film prévu le 15 mai 2026 : The Dish (qu’on pourrait possiblement traduire par « parabole » en français). En effet, c’est bien cette date-là qui a été donnée par le studio pour la sortie du long-métrage de Spielberg, et il serait étonnant que la société de production ait un autre projet IMAX prévu pour cette date. On ne sait pas encore grand-chose sur l’histoire de celui-ci, si ce n’est qu’il portera sur les OVNIS, et que ce sera un « film évènement ».

Du côté du casting, un premier nom est déjà dans les tuyaux d’Amblin et Universal : Emily Blunt. Pour l’accompagner à l’écran, Production Weekly rapporte que Josh O’Connor aurait rejoint l’aventure The Dish. L’acteur a récemment partagé la vedette avec Mike Faist et Zendaya dans le sacrément bon Challengers de Luca Guadagnino, et est attendu au casting de A couteaux tirés 3. Avec cette nouvelle ligne à son CV, l’acteur affirmerait clairement sa position d’étoile montante à Hollywood.

Spielberg retrouvera un collaborateur de longue date pour ce mystérieux film : le scénariste David Koepp. La paire a déjà travaillé ensemble sur des petits projets comme les deux premiers Jurassic Park, La Guerre des Mondes et Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal. Avec un tel casting et un tel duo du côté de l’écriture et de la réalisation, on doit admettre que ce projet est de plus en plus alléchant. The Dish est donc attendu pour le 15 mai 2026 aux États-Unis (et sans doute aux alentours en France).


https://www.ecranlarge.com/films/news/f ... 9NX2_e0ytg
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EL a modérément apprécié Le Ministère de la Sale Guerre (3 étoiles) :

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Devenu coutumier du streaming en France (chez nous, Opération Fortune : Ruse de Guerre et The Covenant ne sont sortis que sur Prime Video), Guy Ritchie est de retour avec son nouveau film, Le Ministère de la Sale Guerre. Ce Inglourious Basterds-like avec Henry Cavill (qui a bidé aux États-Unis) débarque ce 25 juillet sur Amazon Prime Video. Verdict : sympathique divertissement ou énième production générique ?

SOLDATS TRÈS SPÉCIAUX : CODE SALE GUERRE


Le Ministère de la Sale Guerre suit un groupe de francs-tireurs dont la mission est de saboter le système de réapprovisionnement des sous-marins nazis durant la Seconde Guerre mondiale. Malgré l’ampleur historique de cette quête (elle aurait changé le cours de la guerre) et de ses protagonistes (mission commanditée par Winston Churchill, entouré notamment de Ian Fleming, le futur créateur de James Bond), le nouveau film réalisé par Guy Ritchie se révèle d’une ambition tout autre.

Dans ce Ministère de la Sale Guerre, pas de prétention didactique et/ou de grands enjeux dramatiques. Plus proche de la série B bien troussée que du grand récit d’aventure/historique, le nouveau bébé du réalisateur de Snatch et des Sherlock Holmes veut aller à l’essentiel et ne pas s’encombrer de superflu. Le film prend alors le risque de s’enfermer dans la case petite pastille d’action/espionnage, sympathique, mais pas révolutionnaire… mais vu qu’on aime ça, c’est pas grave.

En témoignent les premières minutes du film qui, non sans malice, présentent efficacement ses personnages et enjeux narratifs. Si le traitement désinvolte de la violence et la nonchalance des protagonistes ne réinventent pas le cinéma de Guy Ritchie, sa douce impertinence continue de divertir. Des soldats rigolos qui dézinguent du nazi et une mission (finalement pas si) dangereuse : en deux heures de long-métrage, Le Ministère de la Sale Guerre ne déborde presque jamais de ce programme, et c’est très bien comme ça.

LA SUICIDE SQUAD D’AMAZON ?

Ceci étant dit, côté violence cathartique, le film réalisé par Guy Ritchie retient trop souvent les chevaux du gore. Malgré son R-Rated (restriction pour les 17 ans et moins non accompagnés), Le Ministère de la Sale Guerre est un peu étouffé par ce déchainement festif, mais modéré. On sent que le réalisateur se retient, même si ses coscénaristes Paul Tamasy, Eric Johnson, Arash Amel et lui ne lésinent pas sur les victimes nazies. En reste quelques généreuses fusillades et de sympathiques mises à mort au couteau.

Par ailleurs, Guy Ritchie emballe ces séquences d’action avec savoir-faire. La précision de son cadre et le tempo soutenu de son montage sont au service de moments musclés et colorés. Quelque part entre la gesticulation de ses premiers films (Arnaques, Crimes et Botanique, Snatch) et l’académisme des plus récents (The Covenant), Le Ministère de la Sale Guerre ne transcende pas par sa singularité, mais s’impose comme un juste milieu joliment récréatif dans la filmographie du cinéaste.

Cependant, si ce Ministère de la Sale Guerre est habité d’une heureuse énergie, c’est surtout par celle de ses comédiens/comédiennes. Tous, avec plus ou moins de précision, animent le film d’une vigueur et d’un plaisir contagieux. La palme collective revient à la troupe de soldats menée par la moustache de Henry Cavill et les biscotos d’Alan Ritchson, dont l’alchimie et la sympathique décontraction fonctionnent du feu de Dieu.

Aussi, le nouveau film réalisé par Guy Ritchie évite tout virilisme asphyxiant, au profit d’une limpide camaraderie, voire d’un semblant d’homoérotisme – notamment quand il s’agit de filmer la plastique d’Alan Ritchson. À défaut de nous faire croire que ces joyeux lurons sont de dangereux criminels à la The Suicide Squad, les scénaristes du Ministère de la Sale Guerre aiment assez leurs personnages pour nous les rendre sympathiques.

TARANTINO WISH

Les moments passés avec l’équipe Cavill rendent même plus laborieuse la sous-intrigue avec Eiza González et Babs Olusanmokun, plus bavarde et avare en action. Puisque Guy Ritchie et son équipe s’intéressent bien moins à la préparation de la mission sabotage qu’à son exécution, toute la partie autour de Marjorie sonne comme plus programmatique.

Ainsi, surtout en comparaison à la prestance et à l’alchimie de la troupe de soldats, le duo González/Olusanmokun apparaît comme plus fonctionnel. Leur ligne narrative est le seul gras du Ministère de la Sale Guerre : dommage qu’il étire autant son récit et isole les uns des autres les moments d’actions plus réjouissants.

L’autre limite de cette seconde trame narrative est son antagoniste, campé par Til Schweiger. Au premier abord, son interprétation colorée du grand méchant nazi sanguinaire peut amuser. Mais son jeu de séduction périmé avec Marjorie et le laborieux travail d’iconisation autour de ce sous-Hans Landa finissent par lasser. Par ailleurs, la production de ce Ministère de la Sale Guerre devait toujours avoir Inglourious Basterds dans un coin de leur tête, tant ses violents soldats, sa juive vengeresse et son méchant nazi renvoient systématiquement au film de 2009.

Til Schweiger y interprétait même un soldat juif, avant de passer du côté obscure dans le dernier Guy Ritchie. Ainsi, déjà comme le récent The Covenant (qui faisait terriblement penser à un sous-Voyage au bout de l’enfer), Le Ministère de la Sale Guerre sonne comme une redite plus légère et épurée, mais aussi moins inspirée et maligne d’un film antérieur.

Le Ministère de la Sale Guerre est disponible sur Amazon Prime Video depuis le 25 juillet

S’il ne va pas complètement au bout de sa promesse d’un actioner simple, mais bien troussé, Le Ministère de la Sale Guerre bénéficie de l’énergie de son cinéaste et de son casting. Finalement, ce Guy Ritchie ressemble beaucoup à ses derniers : un film fabriqué avec assez de savoir-faire pour divertir, mais très loin d’être marquant.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... o6xcFHGi1w
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EL a modérément apprécié Deadpool & Wolverine (3 étoiles) :

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Attendu par certains, redouté par d’autres, Deadpool & Wolverine de Shawn Levy permet enfin au mercenaire immortel de Ryan Reynolds de rejoindre un Marvel Cinematic Universe mal en point depuis Avengers : Endgame. Conscient de cette position bâtarde entre rachat des droits de la 20th Century Fox, Multivers et formule fatiguée, le personnage méta ramène dans son sillage le Wolverine de Hugh Jackman, moins pour annoncer un renouveau réjouissant que pour confirmer la fin d’une époque. Critique garantie SANS SPOILERS.

ESSAI TRANSFORMÉ ?


Sous couvert de sa déconstruction des codes super-héroïques et de son budget réduit, on oublie souvent ce qui faisait la vraie réussite du premier Deadpool. Tout Hollywood s’est jeté sur ses clins d’œil méta et sa moquerie connivente, quitte à omettre le contraste qui donnait un sens dramatique à cette origin-story. Entre l’annonce de son cancer et son envie de préserver de son dépérissement la femme qu’il aime, Wade Wilson est un super-héros qui “essaye”. Il rate beaucoup, et comme la plupart des modèles masculins actuels de la pop-culture, il enfouit ses insécurités derrière ses blagounettes, exactement comme son alter-ego Ryan Reynolds.

Mais la sincérité finissait toujours par pointer le bout de son nez, attachée à la profonde imperfection de sa figure héroïque. À ce titre, Deadpool 3 est un film qui “essaye”. Un film qui veut se trouver un petit cœur qui bat derrière les contraintes inhérentes à l’arrivée du personnage dans le giron du MCU. C’est même, d’une étrange manière, l’aveu d’échec qu’il choisit dans un premier temps de mettre en scène.

Si Deadpool fait son beurre en brisant le 4e mur et s’adressant directement aux spectateurs à travers l’écran, c’est peut-être parce que le cinéma populaire américain n’a plus que ça à proposer : des ramifications de franchises, où la connaissance des ayants-droit, des coulisses et du calendrier de sorties importe plus que l’histoire en elle-même.

L’existence pure et simple du “Merc with a mouth” (surnom de Deadpool) au cinéma, après des années de réticence par la Fox, était à l’époque du premier volet l’un de ses arguments de vente. Pour sa part, Deadpool & Wolverine est avant tout très heureux de son crossover. Mais plus encore, il est ravi d’avoir pu garder son ton de sale gosse adolescent au sein de la marque Disney, comme le montre la première séquence du film (de loin la meilleure), sous la forme d’une géniale désacralisation gorasse.

MARVEL EST MORT. VIVE MARVEL !

A partir de là, personne n’est dupe quant à la nature du long-métrage. Qu’importe que le TVA (l’Autorité des Variations Temporelles surveillant les différentes réalités du Multivers) de Loki serve de béquille pour raccorder les univers (et pousser Wade à sauver le sien d’une oblitération certaine), Deadpool & Wolverine suture à la truelle les licences de la 20th Century Fox à Marvel Studios dans un ultime baroud d’honneur. L’occasion peu surprenante d’assister à une foire à la saucisse du caméo gratuit et du fan-service, si ce n’est que le film en fait son véritable sujet.

Alors que Deadpool lui-même a essayé de survivre au sein de rachats de multinationales et de décisions économiques qui dépassent largement son acteur principal, le long-métrage de Shawn Levy (toujours l’un des yes-man les plus impersonnels mais efficaces d’Hollywood) ne parle au fond que de ça. Avec une tendresse certaine, il iconise ceux “qui ont essayé”, depuis plus de vingt ans, de trouver leur place sur grand écran, de rendre justice aux comics et à leur transposition malgré les désidératas des costards-cravates des studios.

Il retrace un parcours, fait de fautes de goût, de mauvaises décisions, d’œuvres oubliées… en revenant toujours à la dimension humaine, à l’investissement de celles et ceux qui ont voulu faire de leur mieux, quitte à essuyer les plâtres pour une formule désormais contrôlée.

Bien sûr, le procédé est parfait pour reproduire les surprises calculées de Spider-Man : No Way Home, et il faut bien admettre que certaines apparitions font leur petit effet. Et elles touchent au-delà de leur simple potentiel nostalgique. Pour une fois, Deadpool raconte quelque chose de cette intertextualité envahissante, qui en vient à s’auto-dévorer (les piques envers l’état du MCU sont assez savoureuses). On pourrait même dire que le choix de Shawn Levy à la réalisation trouve un sens nouveau à l’aune de cette approche.

Ryan Reynolds a beau s’être tourné vers lui suite à leur collaboration sur Free Guy et Adam à travers le temps, le cinéaste ne fait pas que s’encanailler avec du gore et des gros mots après des années de cinéma familial (La Nuit au musée, Real Steel, Stranger Things…). Le petit cœur de Deadpool & Wolverine, c’est peut-être son parallèle avec Toy Story 3 (oui oui…) et sa façon de jeter ses super-héros dans le Vortex, une sorte de décharge du Multivers où ils ont plus que jamais des airs de figurines avec lesquelles on ne voudrait plus jouer.

LES COPAINS D’ABORD

La démarche est étonnamment pertinente, même si l’exécution de ses idées s’avère beaucoup plus inégale, à commencer dans ses scènes d’action. Tantôt inspiré (la montée en crescendo d’un combat étriqué dans une voiture), tantôt brouillon (la bataille générale qui conclut le deuxième acte), le long-métrage laisse poindre la pauvreté de sa direction artistique, encore plus aride et grisâtre que l’aéroport de Captain America : Civil War, sans parler de son climax réduit à une ruelle de studio et un pauvre sous-sol.

En même temps, difficile de ne pas y voir l’illustration de son discours sur la fin d’une époque et sur le début incertain d’une autre dans une franchise surchargée. Face à la mort de la Fox, Deadpool 3 épure au maximum la marque Marvel de ses atours, et fait de ses terrains vagues un bac à sable où ne restent plus que les symboles poussiéreux du passé, et ses jouets qui s’entrechoquent.

Par la force des choses (et surtout de sa réflexivité), le film ne met pas longtemps à abandonner ses enjeux et ses connexions forcées au MCU. On peut le voir comme une déception, en particulier du côté de l’antagoniste Cassandra Nova (Emma Corrin), sœur jumelle maléfique de Charles Xavier que les fans attendaient au tournant. Pas de chance, elle n’est qu’un outil narratif comme un autre, assez vite sacrifié.

Néanmoins, la lassitude face à l’intertextualité marvelienne, qui a dépassé sa date de péremption depuis Endgame, nous amène à apprécier Deadpool & Wolverine plus que de raison pour son approche sarcastique de la saga. Pour le coup, le film ne tente même pas de feindre son intérêt pour l’étendue de son monde et son potentiel avenir (Wade assume que son univers est réduit aux neuf personnes qu’il aime).

La caméra n’a d’yeux que pour la rythmique comique de Ryan Reynolds et pour le charisme de Hugh Jackman. Deadpool a d’ailleurs le mérite de s’effacer pour laisser ce Wolverine déchu devenir l’ancrage émotionnel logique du long-métrage. Lui aussi “essaye” de se forger une forme de rédemption, de corriger les échecs du passé. Dans cette dynamique de buddy-movie fantasmé, le film trouve un équilibre vraiment fun entre la gaudriole facile (mais souvent drôle) et une ampleur dramatique insoupçonnée. Ça ne fonctionne pas toujours, mais au moins, ils “essayent”.

Derrière l’opportunisme de ce rapatriement chez Marvel, Deadpool & Wolverine surprend par son regard tendre sur la fin d’une époque (celle de la 20th Century Fox), qui sonde les tréfonds d’un coffre à jouets poussiéreux pour donner à ses figurines cassées un ultime tour de piste. Certainement pas un grand film méta, mais celui dont le MCU a besoin aujourd’hui.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 4iKEJysU1A
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Pale
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yhi
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[mention]Pale[/mention]

Pas beaucoup d'activité pendant tes vacances mais merci de continuer à faire des recaps.
Même sans poster je lis ! (Et je pense que d'autres aussi)
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Cocu
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yhi a écrit : mer. 31 juil. 2024 13:35 @Pale

Pas beaucoup d'activité pendant tes vacances mais merci de continuer à faire des recaps.
Même sans poster je lis ! (Et je pense que d'autres aussi)
Yep :jap:
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NaughtyDog
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Après avoir déjà profané l'oeuvre de Van Hamme, ce 3e opus de Largo Winch est le pire des 3, filmé tel un TVfilm mou du genou sacrifiant la dimension corporate du perso à une histoire de vendetta vue et revue.
Pire, le rythme est neurasthenique passée une intro efficace, préférant empiler les tunnels de dialogues avant de retrouver un peu d'action et de "dépaysement" en Thaïlande pour le climax.

Le cast fait le minimum avec ce qu'on leur donne (dont un James Franco voulant sauver sa carrière en dous bad guy James Bond-esque), mais en l'état c'est à peine figne du DTV

1.5/5
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yhi
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J'aime bien Cotilde Hesme, je suis triste de la voir se perdre la dedans :(
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Wickaël
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yhi a écrit : mer. 31 juil. 2024 13:35 @Pale

Pas beaucoup d'activité pendant tes vacances mais merci de continuer à faire des recaps.
Même sans poster je lis ! (Et je pense que d'autres aussi)
Pareil :jap:

Et puis c'est toujours un plaisir de lire les news de Pale.
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Pale
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[mention]yhi[/mention], [mention]Cocu[/mention], [mention]Wickaël[/mention] Merci à vous :love2: :hot:
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Vu :

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Exercice difficile de parler d'un Shyamalan sans rien dévoiler ou mettre sur la piste, même indirectement. Je dirai juste que j'ai... modérément apprécié. Beaucoup de facilités selon moi mais malgré tout c'est un thriller qui gagne en intérêt sur la longueur. Le véritable point fort du film c'est la prestation de Josh Hartnett, il est excellent. Mais on est très loin des chefs d’œuvre du réalisateur à mes yeux. C'est un film que je positionnerais davantage en seconde partie dans un classement du réalisateur, du côté de Split.
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... Ef0NYSoTTg
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robinne
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weird

Pale a écrit : mer. 31 juil. 2024 23:17 Vu :

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Exercice difficile de parler d'un Shyamalan sans rien dévoiler ou mettre sur la piste, même indirectement. Je dirai juste que j'ai... modérément apprécié. Beaucoup de facilités selon moi mais malgré tout c'est un thriller qui gagne en intérêt sur la longueur. Le véritable point fort du film c'est la prestation de Josh Hartnett, il est excellent. Mais on est très loin des chefs d’œuvre du réalisateur à mes yeux. C'est un film que je positionnerais davantage en seconde partie dans un classement du réalisateur, du côté de Split.
:hello:
Bon retour !
Les vacances, c'était bien ?

Comment as-tu vu ce film ? Est-il déja sorti en Belgique ?
Pale a écrit : jeu. 1 août 2024 17:44 Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... Ef0NYSoTTg
N'ai vu qu'un film de cette liste :D
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Pale
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robinne a écrit : jeu. 1 août 2024 18:22 :hello:
Bon retour !
Les vacances, c'était bien ?

Comment as-tu vu ce film ? Est-il déja sorti en Belgique ?
:hello:

Merci et c'était très bien :hot:

Concernant Trap, oui il est sorti hier en Belgique.
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Pale
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Je suis allé quelques jours dans les Cinque Terre, voici quelques images :

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Je suis également allé à Florence et à Sienne :

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Je découvre cette comédie romantique et c'est mieux que je le pensais. On retrouve bien évidemment tous les moments obligés du genre mais outre l'humour (certaines scènes sont à mourir de rire), j'ai apprécié la sensibilité présente dans le film. Cette sensibilité on la doit avant tout à Sandra Bullock dont le personnage se montre exécrable au début mais dont la carapace va s'ouvrir au fur et à mesure pour y dévoiler une certaine vulnérabilité. Il y a malgré tout ici et là quelques scènes un peu gênantes mais j'ai beaucoup aimé.

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Pas mon préféré parmi les trois épisodes mais je trouve qu'il clôt à merveille la trilogie. Ce qui est admirable avec X, Pearl et MaXXXine c'est qu'ils se font parfaitement écho les uns aux autres tout en possédant chacun une identité bien spécifique. À ce titre, l'ambiance de ce troisième épisode est vraiment dingue tandis que Mia Goth brille encore une fois de mille feux. J'ai vraiment trouvé la dernière partie et la conclusion géniales, la boucle est admirablement bouclée.
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Wickaël
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Pale a écrit : jeu. 1 août 2024 18:59 Je suis allé quelques jours dans les Cinque Terre, voici quelques images :

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Je suis également allé à Florence et à Sienne :

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Magnifique :love:


Côté film ces derniers jours j'ai vu Le Ministère de la Sale Guerre avec Cavill. Un sous-Inglourious Basterds certes, mais doté d'un casting détonnant, le tout servi par pas mal d'humour et de scènes d'action bien foutues. 7/10

Et j'ai vu également Land of Bad, avec Liam Hemsworth et Russell Crowe. J'en attendais pas vraiment grand chose et la surprise fut d'autant plus grande. Un film où l'action ne connaît presque aucun temps mort, et où le frère du Dieu du Tonnerre y trouve son meilleur rôle. Et en prime on a droit à de magnifiques paysages. 7/10


Et en ce moment sur demande (ou plutôt ordre) de Madame on se refait l'intégrale de Black Sails.
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Pale a écrit : jeu. 1 août 2024 18:59 Je suis allé quelques jours dans les Cinque Terre, voici quelques images :

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Je suis également allé à Florence et à Sienne :

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:love: merci pour le partage
Vosg'patt de cœur
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Wickaël a écrit : ven. 2 août 2024 06:50 Magnifique :love:


Côté film ces derniers jours j'ai vu Le Ministère de la Sale Guerre avec Cavill. Un sous-Inglourious Basterds certes, mais doté d'un casting détonnant, le tout servi par pas mal d'humour et de scènes d'action bien foutues. 7/10

Et j'ai vu également Land of Bad, avec Liam Hemsworth et Russell Crowe. J'en attendais pas vraiment grand chose et la surprise fut d'autant plus grande. Un film où l'action ne connaît presque aucun temps mort, et où le frère du Dieu du Tonnerre y trouve son meilleur rôle. Et en prime on a droit à de magnifiques paysages. 7/10


Et en ce moment sur demande (ou plutôt ordre) de Madame on se refait l'intégrale de Black Sails.
Tu m'as donné envie de voir Land of Bad :hot:
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Kit a écrit : ven. 2 août 2024 08:02 :love: merci pour le partage
:jap:

J'ai fait quelques superbes randonnées :hot:
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Wickaël
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J'ai decouvert Pearl cet après-midi. La performance de Mia Goth est hallucinante.
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