Pourquoi c'est nul?
j'avais bien aimé le 1 
Le Cercle des profileurs disparus
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ClintReborn
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C'est génial Troll 2 rien que pour cette scène
et le film fête ses 30 ans cette année ! 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
J'ai regardé ceci hier soir
Ni bon ni mauvais, au final c'est juste moyen. Quelques scènes font sourire mais ne provoquent jamais l'hilarité... Reste un casting assez bon même si voir Adam Sandler en mode teubé pendant 1h40 reste une épreuve j'ai toujours de la sympathie à son égard. Un détail m'a aussi marqué
Bref, 5/10
Ni bon ni mauvais, au final c'est juste moyen. Quelques scènes font sourire mais ne provoquent jamais l'hilarité... Reste un casting assez bon même si voir Adam Sandler en mode teubé pendant 1h40 reste une épreuve j'ai toujours de la sympathie à son égard. Un détail m'a aussi marqué
Bref, 5/10
Today n'est autre que le jour de l'anniversaire d'Anthony Starr, alias Le Protecteur (mon avatar). Bon anniversaire à lui
Je ne regrette tellement pas de l'avoir vu sur grand écran! C'était juste après mon tout dernier stage, j'étais exténué et je n'avais eu aucun loisir durant plusieurs semaines. Et je voyais l'affiche un peu partout quand je me rendais sur mon lieu de stage. Du coup, pour marquer la fin de celui-ci, j'ai été voir le film au cinoche, et ça m'avait fait le plus grand bien
+ de 4400 jours sur AlloCiné
*Mister gentil comme un coeur 2013*
*Mister gentil comme un coeur 2014*
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ClintReborn
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J'ai un peu honte
Mais j'avais pas reconnu que c’était l'acteur de Banshee en fait ... Il est tellement a l’opposé de ce personnage dans le jeu et le physique que j'ai jamais pu faire le rapprochement 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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BOX OFFICE STORY
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Pour ceux qui aiment Banshee (formidable série au demeurant) les auteurs ont produit "Warrior" qui est aussi une super série qui charcle bien dans le genre.
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
La série Banshee me tente grandementBOX OFFICE STORY a écrit : ↑dim. 25 oct. 2020 13:40Pour ceux qui aiment Banshee (formidable série au demeurant) les auteurs ont produit "Warrior" qui est aussi une super série qui charcle bien dans le genre.
Netflix a enregistré un taux de désabonnements vertigineux à cause du film Mignonnes
Mignonnes de Maimouna Doucouré a déclenché une vive polémique aux Etats-Unis, et celle-ci aura coûté cher à Netflix.
Malgré les retombées positives suite à sa projection à Sundance, Mignonnes de Maïmouna Doucouré s'est pris une tempête polémique en pleine face lors de sa sortie sur Netflix sur fond de supposée hyper-sexualisation d'enfants pré-pubères et et de plainte absurde pour pédopornographie. Une polémique bien hypocrite selon nous et quelques autres défenseurs : si la campagne marketing de Netflix n'était en effet pas du meilleur goût, nous avons déjà expliqué ici pourquoi s'en prendre au film lui-même est aberrant, ou encore exposé en détails ici pourquoi cette crucifixion en ligne est une sinistre blague. Mais selon Variety, le mal est fait, et Netflix l'a payé comptant.
La plate-forme enregistre en effet un troisième trimestre 2020 décevant selon Variety, et si Mignonnes n'explique probablement pas tout, il a clairement son rôle à jouer. Netflix n'aurait gagné que 2,2 millions d'abonnées au cours de ce trimestre, une sacrée douche froide après les tonitruants premier et deuxième trimestre, qui affichaient respectivement une hausse de 16 millions puis de 10 millions d'abonnés et sur lequel Mignonnes a eu un impact concret.
Deux jours après le début de la polémique sur Twitter, alors que le hashtag #CancelNetflix est en trending, les désabonnements à Netflix ont en effet bondi de pas moins de 800%. Selon le cabinet d'études Antenna, cité par Variety, les deux premières semaines de septembre ont fait perdre autant d'abonnées que tout le mois d'août à lui tout seul, et alors même que Mignonnes est sorti le 10 septembre.
Un coup dur certain pour Netflix, motivé en plus par une forme d'ignorance bête et méchante, mais pas vraiment de quoi s'inquiéter pour l'entreprise, dont le nombre d'abonnés reste spectaculaire (193 millions dans le monde à l'heure où ces lignes sont écrites) et continue de croître. Mais tout de même un signe supplémentaire que nous vivons une bien triste époque sans nuance.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 95R5JJ0yyc
Mignonnes de Maimouna Doucouré a déclenché une vive polémique aux Etats-Unis, et celle-ci aura coûté cher à Netflix.
Malgré les retombées positives suite à sa projection à Sundance, Mignonnes de Maïmouna Doucouré s'est pris une tempête polémique en pleine face lors de sa sortie sur Netflix sur fond de supposée hyper-sexualisation d'enfants pré-pubères et et de plainte absurde pour pédopornographie. Une polémique bien hypocrite selon nous et quelques autres défenseurs : si la campagne marketing de Netflix n'était en effet pas du meilleur goût, nous avons déjà expliqué ici pourquoi s'en prendre au film lui-même est aberrant, ou encore exposé en détails ici pourquoi cette crucifixion en ligne est une sinistre blague. Mais selon Variety, le mal est fait, et Netflix l'a payé comptant.
La plate-forme enregistre en effet un troisième trimestre 2020 décevant selon Variety, et si Mignonnes n'explique probablement pas tout, il a clairement son rôle à jouer. Netflix n'aurait gagné que 2,2 millions d'abonnées au cours de ce trimestre, une sacrée douche froide après les tonitruants premier et deuxième trimestre, qui affichaient respectivement une hausse de 16 millions puis de 10 millions d'abonnés et sur lequel Mignonnes a eu un impact concret.
Deux jours après le début de la polémique sur Twitter, alors que le hashtag #CancelNetflix est en trending, les désabonnements à Netflix ont en effet bondi de pas moins de 800%. Selon le cabinet d'études Antenna, cité par Variety, les deux premières semaines de septembre ont fait perdre autant d'abonnées que tout le mois d'août à lui tout seul, et alors même que Mignonnes est sorti le 10 septembre.
Un coup dur certain pour Netflix, motivé en plus par une forme d'ignorance bête et méchante, mais pas vraiment de quoi s'inquiéter pour l'entreprise, dont le nombre d'abonnés reste spectaculaire (193 millions dans le monde à l'heure où ces lignes sont écrites) et continue de croître. Mais tout de même un signe supplémentaire que nous vivons une bien triste époque sans nuance.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 95R5JJ0yyc
Après l'échec de Tenet, le studio n'est pas optimiste pour la suite
Alors que Tenet de Christopher Nolan n'a pas été le succès espéré au box-office, l'actuel boss d'AT&T, et donc de Warner Media, a commenté la situation, et le choix de sortir le blockbuster dans cette période.
Après pas loin de deux mois d'exploitation en salles, Tenet de Christopher Nolan, annoncé auparavant comme le sauveur du cinéma de 2020, affiche un bilan plus que mitigé au box-office mondial. Récemment dépassé par Liam Neeson et son thriller grabataire The Good Criminal, le film vient à peine d'atteindre les 50 millions de dollars au box-office domestique, ce qui est un peu moins que Le Prestige à l'époque... et donc très loin des scores logiques pour un tel blockbuster.
Ayant à peine dépassé les 330 millions de dollars au box-office mondial, pour un budget officiel supérieur à 200 millions, Tenet arrive en fin de parcours, dans sa course de fond. Le seuil de rentabilité, estimé aux alentours de 500-600 millions au box-office mondial, est donc loin.
Malgré les ambitions de Warner Bros. qui a décidé de sortir le film pendant la pandémie, le résultat est largement inférieur aux attentes côté business. Au vu du contexte actuel et de la situation des salles aux Etats-Unis, dont deux chaînes de multiplexes viennent de refermer leurs portes, Tenet est un semi-échec, qu'il faut toutefois relativiser.
Alors que la solution des cinémas privés a légèrement sauvé la carrière de Tenet en salles, John Stankey s'est exprimé. L'ancien PDG de WarnerMedia et actuel boss d'AT&T(qui possède WarnerMedia) a parlé avec Deadline de l'avenir de l'exploitation dans les salles, des reports multiples des blockbusters, des changements incessants des calendriers de tournages, et de la crise financière que vivent actuellement les grandes chaînes de multiplexes.
Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce cador de l'industrie est prudent voire peu optimiste, notamment à cause du faux-espoir que fut Tenet. Que pense t-il de l'avenir immédiat du cinéma et des salles ?
"C'est toujours l'une des choses sur lesquelles nous n'avons pas une grande visibilité. Je ne peux pas vous dire que nous sommes sortis de l'expérience Tenet en nous disant que c'était gagné.
Je suis heureux que nous l'ayons fait. Je pense que l'équipe est incroyablement créative. Je pense qu'on a appris quelque chose sur ce qu'on peut faire. Je pense que si les cinémas étaient réouverts dans le pays, si New York et la Californie était ouverts, on aurait plus de latitude... Donc peut-être qu'en arrivant à une situation où il y a plus de marge, on peut faire plus."
Il continue en parlant de la fin d'année comme la prochaine grosse étape, pour savoir s'ils peuvent de nouveau programmer des films en salles. Mais John Stankey reste très prudent :
"Nous sommes toujours décidés à diffuser en salles une partie du contenu qu'on pense être le plus important. Nous nous attendons à une transition agitée vers l'année prochaine... Nous ne sommes pas optimistes... nous n'attendons pas un grand redémarrage côté salles dès le début de l'année prochaine."
L'avenir est donc incertain, même pour Warner. C'est pour ça que Dune, prévu pour décembre, à été repoussé à septembre 2021. Seul Wonder Woman 1984 tient encore tête à la Covid-19, aux dernières nouvelles : c'est l'unique gros blockbuster à avoir encore une date de sortie prévue pour cette année, fixée au 30 décembre 2020.
Ne sachant pas ce que nous réserve 2021, la crise sanitaire pouvant évoluer de différentes manières d'ici là, les films reportés à début 2021 pourraient très bien être de nouveau repoussés si la situation ne s'améliore pas. Comme le dit John Stankey, nous marchons, littéralement, vers l'inconnu.
Pour rappel, Tenet, le dernier film de Christopher Nolan, est toujours actuellement en salles, ainsi que d'autres films qui valent autant le coup d'oeil. En attendant, vous pouvez toujours découvrir ce que l'on pense du sauveur du cinéma, avec notre critique disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 0f-KARneYU
Alors que Tenet de Christopher Nolan n'a pas été le succès espéré au box-office, l'actuel boss d'AT&T, et donc de Warner Media, a commenté la situation, et le choix de sortir le blockbuster dans cette période.
Après pas loin de deux mois d'exploitation en salles, Tenet de Christopher Nolan, annoncé auparavant comme le sauveur du cinéma de 2020, affiche un bilan plus que mitigé au box-office mondial. Récemment dépassé par Liam Neeson et son thriller grabataire The Good Criminal, le film vient à peine d'atteindre les 50 millions de dollars au box-office domestique, ce qui est un peu moins que Le Prestige à l'époque... et donc très loin des scores logiques pour un tel blockbuster.
Ayant à peine dépassé les 330 millions de dollars au box-office mondial, pour un budget officiel supérieur à 200 millions, Tenet arrive en fin de parcours, dans sa course de fond. Le seuil de rentabilité, estimé aux alentours de 500-600 millions au box-office mondial, est donc loin.
Malgré les ambitions de Warner Bros. qui a décidé de sortir le film pendant la pandémie, le résultat est largement inférieur aux attentes côté business. Au vu du contexte actuel et de la situation des salles aux Etats-Unis, dont deux chaînes de multiplexes viennent de refermer leurs portes, Tenet est un semi-échec, qu'il faut toutefois relativiser.
Alors que la solution des cinémas privés a légèrement sauvé la carrière de Tenet en salles, John Stankey s'est exprimé. L'ancien PDG de WarnerMedia et actuel boss d'AT&T(qui possède WarnerMedia) a parlé avec Deadline de l'avenir de l'exploitation dans les salles, des reports multiples des blockbusters, des changements incessants des calendriers de tournages, et de la crise financière que vivent actuellement les grandes chaînes de multiplexes.
Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ce cador de l'industrie est prudent voire peu optimiste, notamment à cause du faux-espoir que fut Tenet. Que pense t-il de l'avenir immédiat du cinéma et des salles ?
"C'est toujours l'une des choses sur lesquelles nous n'avons pas une grande visibilité. Je ne peux pas vous dire que nous sommes sortis de l'expérience Tenet en nous disant que c'était gagné.
Je suis heureux que nous l'ayons fait. Je pense que l'équipe est incroyablement créative. Je pense qu'on a appris quelque chose sur ce qu'on peut faire. Je pense que si les cinémas étaient réouverts dans le pays, si New York et la Californie était ouverts, on aurait plus de latitude... Donc peut-être qu'en arrivant à une situation où il y a plus de marge, on peut faire plus."
Il continue en parlant de la fin d'année comme la prochaine grosse étape, pour savoir s'ils peuvent de nouveau programmer des films en salles. Mais John Stankey reste très prudent :
"Nous sommes toujours décidés à diffuser en salles une partie du contenu qu'on pense être le plus important. Nous nous attendons à une transition agitée vers l'année prochaine... Nous ne sommes pas optimistes... nous n'attendons pas un grand redémarrage côté salles dès le début de l'année prochaine."
L'avenir est donc incertain, même pour Warner. C'est pour ça que Dune, prévu pour décembre, à été repoussé à septembre 2021. Seul Wonder Woman 1984 tient encore tête à la Covid-19, aux dernières nouvelles : c'est l'unique gros blockbuster à avoir encore une date de sortie prévue pour cette année, fixée au 30 décembre 2020.
Ne sachant pas ce que nous réserve 2021, la crise sanitaire pouvant évoluer de différentes manières d'ici là, les films reportés à début 2021 pourraient très bien être de nouveau repoussés si la situation ne s'améliore pas. Comme le dit John Stankey, nous marchons, littéralement, vers l'inconnu.
Pour rappel, Tenet, le dernier film de Christopher Nolan, est toujours actuellement en salles, ainsi que d'autres films qui valent autant le coup d'oeil. En attendant, vous pouvez toujours découvrir ce que l'on pense du sauveur du cinéma, avec notre critique disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 0f-KARneYU
Mourir peut attendre : James Bond presque vendu à Netflix pour une somme record ?
MGM aurait sérieusement pensé à vendre Mourir peut attendre, le nouveau James Bond avec Daniel Craig, à Netflix, Amazon ou Apple, pour une très grosse somme d'argent.
Ce qui ressemblait simplement à une rumeur grandiloquente est devenu en quelques heures un potentiel coup de massue, rien que dans le principe : Mourir peut attendre, le nouveau James Bond dont la sortie a été plusieurs fois repoussée, pourrait être vendu à un service de SVOD comme Netflix, Amazon ou Apple TV+. Ou du moins aurait pu, selon Variety, qui revient sur la rumeur d'abord sortie par Bloomberg.
Variety explique que MGM a bel et bien cherché à vendre le nouveau James Bond à un service de SVOD comme Apple, Amazon ou Netflix. Deadline précise que les discussions ont eu lieu lorsque le studio a décalé la sortie du film, début octobre. L'option d'une sortie Premium, comme Disney avec Mulan, aurait été évoquée.
Tout ça a été aussi loin que trouver le prix extraordinaire qui rendrait cette opération intéressante : 600 millions. C'est très, très loin des sommes déboursées jusque là dans ce type de rachat, comme les 70 millions lâchées par Apple pour USS Greyhound - La Bataille de l'Atlantique avec Tom Hanks, ou les 50 millions minimum qui auraient été dépensés par Netflix pour The Cloverfield Paradox.
C'est apparemment cette somme de 600 millions qui a vite mis fin aux discussions, Netflix et Apple n'ayant pas la folie des grandeurs à ce point selon Variety (Deadline précise qu'ils partaient sur moitié moins, au maximum). Pourquoi autant d'argent ? Parce que Mourir peut attendre a coûté dans les 250 millions de dollars, sans compter le frais marketing (et MGM aurait déjà perdu 30-50 millions en marketing avec la date de sortie plusieurs fois repoussée).
Sachant que Skyfall avait atteint le milliard au box-office et Spectre, plus de 880 millions, et qu'une grosse part du box-office revient aux exploitants, le calcul est logique : Mourir peut attendre a coûté dans les 300-350 millions a priori, et le vendre pour 600 millions permet un bénéfice relativement satisfaisant, vu la situation.
Variety ajoute qu'une telle opération devait vraisemblablement être pilotée par Kevin Ulrich, PDG d'Anchorage Capital Group, qui détient la majorité du studio MGM. Ce qui signifie que les producteurs superstars de James Bond, Barbara Broccoli and Michael G. Wilson, pourraient ne pas avoir leur mot à dire via leur société Eon. Deadline ajoute toutefois que le duo a mis son veto, sans pour autant que cela ait pu peser.
MGM a donné une parole officielle à Variety face à la situation : "Nous ne commentons pas les rumeurs. Le film n'est pas à vendre. La sortie du film a été repoussée jusqu'à avril 2021 pour garantir l'expérience en salles des spectateurs." La déclaration est claire, nette, précise... tout comme la volonté de clore le dossier rapidement - et c'est suffisamment rare pour être significatif.
Si Mourir peut attendre se retrouvait privé de sortie cinéma et vendu à une plateforme de SVOD, ce serait un très mauvais signal pour l'industrie. Ce serait en plus un joli désastre pour la franchise increvable, et ses contrats juteux avec de grandes marques de luxe, pas forcément ravies de voir un blockbuster prévu pour les salles de cinéma à travers le monde, être diffusé uniquement dans les salons des abonnés. Variety rappelle ainsi que la vente à Amazon de la comédie Coming 2 America’s avec Eddie Murphy, a dû être validée par McDonald's et Crown Royal, partenaires commerciaux du film. Bienvenue dans le monde du marketing-roi.
Après les reports d'une pelletée de superproductions depuis des mois (Jungle Cruise, S.O.S. Fantômes : L'Héritage, Top Gun : Maverick, Morbius, Black Widow, Dune, Godzilla vs. Kong...), Wonder Woman 1984 est censé être le seul blockbuster de fin 2020, le 30 décembre. A noter néanmoins que Monster Hunter est annoncé pour décembre aux Etats-Unis, mais toujours avril en France, jusque là.
Mourir peut attendre de Cary Fukunaga est officiellement prévu pour le 31 mars 2021. Au cinéma.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 7MD6R4kmwM
MGM aurait sérieusement pensé à vendre Mourir peut attendre, le nouveau James Bond avec Daniel Craig, à Netflix, Amazon ou Apple, pour une très grosse somme d'argent.
Ce qui ressemblait simplement à une rumeur grandiloquente est devenu en quelques heures un potentiel coup de massue, rien que dans le principe : Mourir peut attendre, le nouveau James Bond dont la sortie a été plusieurs fois repoussée, pourrait être vendu à un service de SVOD comme Netflix, Amazon ou Apple TV+. Ou du moins aurait pu, selon Variety, qui revient sur la rumeur d'abord sortie par Bloomberg.
Variety explique que MGM a bel et bien cherché à vendre le nouveau James Bond à un service de SVOD comme Apple, Amazon ou Netflix. Deadline précise que les discussions ont eu lieu lorsque le studio a décalé la sortie du film, début octobre. L'option d'une sortie Premium, comme Disney avec Mulan, aurait été évoquée.
Tout ça a été aussi loin que trouver le prix extraordinaire qui rendrait cette opération intéressante : 600 millions. C'est très, très loin des sommes déboursées jusque là dans ce type de rachat, comme les 70 millions lâchées par Apple pour USS Greyhound - La Bataille de l'Atlantique avec Tom Hanks, ou les 50 millions minimum qui auraient été dépensés par Netflix pour The Cloverfield Paradox.
C'est apparemment cette somme de 600 millions qui a vite mis fin aux discussions, Netflix et Apple n'ayant pas la folie des grandeurs à ce point selon Variety (Deadline précise qu'ils partaient sur moitié moins, au maximum). Pourquoi autant d'argent ? Parce que Mourir peut attendre a coûté dans les 250 millions de dollars, sans compter le frais marketing (et MGM aurait déjà perdu 30-50 millions en marketing avec la date de sortie plusieurs fois repoussée).
Sachant que Skyfall avait atteint le milliard au box-office et Spectre, plus de 880 millions, et qu'une grosse part du box-office revient aux exploitants, le calcul est logique : Mourir peut attendre a coûté dans les 300-350 millions a priori, et le vendre pour 600 millions permet un bénéfice relativement satisfaisant, vu la situation.
Variety ajoute qu'une telle opération devait vraisemblablement être pilotée par Kevin Ulrich, PDG d'Anchorage Capital Group, qui détient la majorité du studio MGM. Ce qui signifie que les producteurs superstars de James Bond, Barbara Broccoli and Michael G. Wilson, pourraient ne pas avoir leur mot à dire via leur société Eon. Deadline ajoute toutefois que le duo a mis son veto, sans pour autant que cela ait pu peser.
MGM a donné une parole officielle à Variety face à la situation : "Nous ne commentons pas les rumeurs. Le film n'est pas à vendre. La sortie du film a été repoussée jusqu'à avril 2021 pour garantir l'expérience en salles des spectateurs." La déclaration est claire, nette, précise... tout comme la volonté de clore le dossier rapidement - et c'est suffisamment rare pour être significatif.
Si Mourir peut attendre se retrouvait privé de sortie cinéma et vendu à une plateforme de SVOD, ce serait un très mauvais signal pour l'industrie. Ce serait en plus un joli désastre pour la franchise increvable, et ses contrats juteux avec de grandes marques de luxe, pas forcément ravies de voir un blockbuster prévu pour les salles de cinéma à travers le monde, être diffusé uniquement dans les salons des abonnés. Variety rappelle ainsi que la vente à Amazon de la comédie Coming 2 America’s avec Eddie Murphy, a dû être validée par McDonald's et Crown Royal, partenaires commerciaux du film. Bienvenue dans le monde du marketing-roi.
Après les reports d'une pelletée de superproductions depuis des mois (Jungle Cruise, S.O.S. Fantômes : L'Héritage, Top Gun : Maverick, Morbius, Black Widow, Dune, Godzilla vs. Kong...), Wonder Woman 1984 est censé être le seul blockbuster de fin 2020, le 30 décembre. A noter néanmoins que Monster Hunter est annoncé pour décembre aux Etats-Unis, mais toujours avril en France, jusque là.
Mourir peut attendre de Cary Fukunaga est officiellement prévu pour le 31 mars 2021. Au cinéma.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 7MD6R4kmwM
Jurassic World : Le Monde d'après - le trio du premier Jurassic Park se réunit en photo pour annoncer une excellente nouvelle
Jurassic World 3 a connu quelques difficultés dernièrement, mais le trio mythique de Jurassic Park s'est réunit pour annoncer une bonne nouvelle dans une photo symbolique.
Le sixième (et dernier ?) épisode de la saga cinématographique la plus célèbre consacrée aux dinosaures devait finir son tournage cet été. Or, on le sait, le Royaume-Uni, où se tourne le film aux studios Pinewood, a été durement touché par l'épidémie de coronavirus, et Jurassic World : Le Monde d'après et son studio producteur Universal en ont durement fait les frais. Heureusement, les choses semblent être rentrée dans l'ordre, si l'on en croit la photo diffusée sur Twitter par le réalisateur Colin Trevorrow :
Prenant la pose devant le plateau nommé d'après le défunt Richard Attenborough, l'acteur qui interpréta le Dr John Hammond dans Jurassic Park, on y voit Sam Neill, Jeff Goldblum et Laura Dern, avec une simple légende : "de retour". Un symbole fort pour une annonce sans ambiguïté : Jurassic World : Le Monde d'après reprend son tournage, après de nombreuses interruptions.
De quoi sourire en cette période tristoune, mais qui ne doit pas non plus faire oublier qu'en Europe, l'épidémie repart à la hausse. L'Irlande et le Pays de Galles, zones géographiques proches de l'Angleterre, en sont d'ailleurs les foyers les plus actifs actuellement et ont du se reconfiner. Jurassic World : Le Monde d'après se remet donc à flots, mais navigue à nouveau en eaux très troubles...
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 20ro0dnM1s
Jurassic World 3 a connu quelques difficultés dernièrement, mais le trio mythique de Jurassic Park s'est réunit pour annoncer une bonne nouvelle dans une photo symbolique.
Le sixième (et dernier ?) épisode de la saga cinématographique la plus célèbre consacrée aux dinosaures devait finir son tournage cet été. Or, on le sait, le Royaume-Uni, où se tourne le film aux studios Pinewood, a été durement touché par l'épidémie de coronavirus, et Jurassic World : Le Monde d'après et son studio producteur Universal en ont durement fait les frais. Heureusement, les choses semblent être rentrée dans l'ordre, si l'on en croit la photo diffusée sur Twitter par le réalisateur Colin Trevorrow :
Prenant la pose devant le plateau nommé d'après le défunt Richard Attenborough, l'acteur qui interpréta le Dr John Hammond dans Jurassic Park, on y voit Sam Neill, Jeff Goldblum et Laura Dern, avec une simple légende : "de retour". Un symbole fort pour une annonce sans ambiguïté : Jurassic World : Le Monde d'après reprend son tournage, après de nombreuses interruptions.
De quoi sourire en cette période tristoune, mais qui ne doit pas non plus faire oublier qu'en Europe, l'épidémie repart à la hausse. L'Irlande et le Pays de Galles, zones géographiques proches de l'Angleterre, en sont d'ailleurs les foyers les plus actifs actuellement et ont du se reconfiner. Jurassic World : Le Monde d'après se remet donc à flots, mais navigue à nouveau en eaux très troubles...
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 20ro0dnM1s
Mindhunter : David Fincher est très pessimiste concernant la suite de la série Netflix
Fin de partie pour Mindhunter ? David Fincher le pense en tout cas, et ne croit pas que la série Netflix aura de saison 3.
C'est un cliché peut-être, mais qui semble se vérifier aujourd'hui : l'argent, c'est le pouvoir (et vice-versa), et Mindhunter pourrait bien ne pas en rapporter suffisamment pour que Netflix n'accepte de donner les moyens suffisants à David Fincher de continuer son excellente série. Alors que la plate-forme a mis en marche le rouleau compresseur promotionnel pour la sortie de son nouveau film Mank, le réalisateur est revenu sur la série dans une interview pour Vulture, et ses propos risquent de doucher de nombreux espoirs :
"Écoutez, pour l'audience qu'elle avait, c'était une série très chère. On m'a dit, 'termine Mank et on verra comment tu te sens', mais honnêtement je ne pense pas qu'on aura la capacité de reprendre avec moins d'argent que sur la saison 2. Au bout du compte, il faut être réaliste : les dollars doivent être proportionnels aux spectateurs."
Mais l'argent n'est pas tout. David Fincher admet également que Mindhunter lui demande beaucoup de ressources physiques... voire un peu trop :
"Cela représente 90 heures de travail hebdomadaires. Après la saison 2, j'étais vraiment épuisé et j'ai dit 'je ne suis pas sûr d'avoir en moi ce qu'il faut pour faire la sasion 3."
Propos sur lequel Netflix n'aurait pas cherché à argumenter... Vulture a d'ailleurs pris les devants et contacté le géant rouge, dont un porte-parole leur a confirmé que une saison 3 n'était pas dans les tuyaux pour le moment et aurait ajouté : "peut-être dans cinq ans". Pas officiellement annulée mais renvoyée aux calendes grecques, Mindhunter s'apprête à passer un sacré bout de temps dans les limbes.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... ZJPl1QEfvU
Fin de partie pour Mindhunter ? David Fincher le pense en tout cas, et ne croit pas que la série Netflix aura de saison 3.
C'est un cliché peut-être, mais qui semble se vérifier aujourd'hui : l'argent, c'est le pouvoir (et vice-versa), et Mindhunter pourrait bien ne pas en rapporter suffisamment pour que Netflix n'accepte de donner les moyens suffisants à David Fincher de continuer son excellente série. Alors que la plate-forme a mis en marche le rouleau compresseur promotionnel pour la sortie de son nouveau film Mank, le réalisateur est revenu sur la série dans une interview pour Vulture, et ses propos risquent de doucher de nombreux espoirs :
"Écoutez, pour l'audience qu'elle avait, c'était une série très chère. On m'a dit, 'termine Mank et on verra comment tu te sens', mais honnêtement je ne pense pas qu'on aura la capacité de reprendre avec moins d'argent que sur la saison 2. Au bout du compte, il faut être réaliste : les dollars doivent être proportionnels aux spectateurs."
Mais l'argent n'est pas tout. David Fincher admet également que Mindhunter lui demande beaucoup de ressources physiques... voire un peu trop :
"Cela représente 90 heures de travail hebdomadaires. Après la saison 2, j'étais vraiment épuisé et j'ai dit 'je ne suis pas sûr d'avoir en moi ce qu'il faut pour faire la sasion 3."
Propos sur lequel Netflix n'aurait pas cherché à argumenter... Vulture a d'ailleurs pris les devants et contacté le géant rouge, dont un porte-parole leur a confirmé que une saison 3 n'était pas dans les tuyaux pour le moment et aurait ajouté : "peut-être dans cinq ans". Pas officiellement annulée mais renvoyée aux calendes grecques, Mindhunter s'apprête à passer un sacré bout de temps dans les limbes.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... ZJPl1QEfvU
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ClintReborn
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Je ne veux pas jouer les troubles fêtes mais ils ne se rappellent déjà plus de ce qui se passait en mars 2020 sur la planète ?Mourir peut attendre de Cary Fukunaga est officiellement prévu pour le 31 mars 2021. Au cinéma.
James Bond sur une plate forme pourquoi pas
Mais pour le coup ce serait vraiment un clou sur le cercueil des salles de cinéma...Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
C'est une date qui a été choisie de manière optimiste, des nouveaux reports ne sont pas malheureusement pas à exclureClintReborn a écrit : ↑dim. 25 oct. 2020 15:59Je ne veux pas jouer les troubles fêtes mais ils ne se rappellent déjà plus de ce qui se passait en mars 2020 sur la planète ?Mourir peut attendre de Cary Fukunaga est officiellement prévu pour le 31 mars 2021. Au cinéma.
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ClintReborn
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Si c'est vraiment le dernier cela aurait pu être une bonne idée qu’apparaisse en frère d'Hammond le véritable frère de Richard Attenborough; David il à 94 ans mais il tourne toujours des documentaires en 2020 !Pale a écrit : ↑dim. 25 oct. 2020 15:55
Prenant la pose devant le plateau nommé d'après le défunt Richard Attenborough, l'acteur qui interpréta le Dr John Hammond dans Jurassic Park, on y voit Sam Neill, Jeff Goldblum et Laura Dern, avec une simple légende : "de retour". Un symbole fort pour une annonce sans ambiguïté : Jurassic World : Le Monde d'après reprend son tournage, après de nombreuses interruptions.
De quoi sourire en cette période tristoune, mais qui ne doit pas non plus faire oublier qu'en Europe, l'épidémie repart à la hausse. L'Irlande et le Pays de Galles, zones géographiques proches de l'Angleterre, en sont d'ailleurs les foyers les plus actifs actuellement et ont du se reconfiner. Jurassic World : Le Monde d'après se remet donc à flots, mais navigue à nouveau en eaux très troubles...
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 20ro0dnM1s
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Je dois être la seule à ne pas comprendre l'engouement autour de fe film
Il est sympa mais sans + !? J'ai vu les trolls 2, j'ai survécu
En vrai c'était sympa mais la fin est complètement bâclée, c'est dommage. Faut aimer les chansons 
Pouet
Ce soir Logan Lucky sur Netflix, ça faisait longtemps que je voulais le découvrir
Tout à fait. Je suis d'ordinaire pas trop fan de Soderbergh (sauf son Contagion que j'ai bien aimé) mais là j'ai passé un excellent moment. Le duo Tatum/Driver fonctionne bien, et puis moi qui suis pas du tout fan de Craig en général bah là je dois avouer qu'il m'a bluffé. De plus l'histoire est sympa et se suit sans déplaisir, avec quelques touches d'humour ici et là.
8/10
Pale a écrit : ↑dim. 25 oct. 2020 15:56Mindhunter : David Fincher est très pessimiste concernant la suite de la série Netflix
Fin de partie pour Mindhunter ? David Fincher le pense en tout cas, et ne croit pas que la série Netflix aura de saison 3.
C'est un cliché peut-être, mais qui semble se vérifier aujourd'hui : l'argent, c'est le pouvoir (et vice-versa), et Mindhunter pourrait bien ne pas en rapporter suffisamment pour que Netflix n'accepte de donner les moyens suffisants à David Fincher de continuer son excellente série. Alors que la plate-forme a mis en marche le rouleau compresseur promotionnel pour la sortie de son nouveau film Mank, le réalisateur est revenu sur la série dans une interview pour Vulture, et ses propos risquent de doucher de nombreux espoirs :
"Écoutez, pour l'audience qu'elle avait, c'était une série très chère. On m'a dit, 'termine Mank et on verra comment tu te sens', mais honnêtement je ne pense pas qu'on aura la capacité de reprendre avec moins d'argent que sur la saison 2. Au bout du compte, il faut être réaliste : les dollars doivent être proportionnels aux spectateurs."
Mais l'argent n'est pas tout. David Fincher admet également que Mindhunter lui demande beaucoup de ressources physiques... voire un peu trop :
"Cela représente 90 heures de travail hebdomadaires. Après la saison 2, j'étais vraiment épuisé et j'ai dit 'je ne suis pas sûr d'avoir en moi ce qu'il faut pour faire la sasion 3."
Propos sur lequel Netflix n'aurait pas cherché à argumenter... Vulture a d'ailleurs pris les devants et contacté le géant rouge, dont un porte-parole leur a confirmé que une saison 3 n'était pas dans les tuyaux pour le moment et aurait ajouté : "peut-être dans cinq ans". Pas officiellement annulée mais renvoyée aux calendes grecques, Mindhunter s'apprête à passer un sacré bout de temps dans les limbes.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... ZJPl1QEfvU
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NaughtyDog
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Salut tout le monde 
je rejoins enfin l'Arche d'Allociné
si quelqu'un peut me dire comment on publie des images mdr
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WelcomeNaughtyDog a écrit : ↑lun. 26 oct. 2020 12:38Salut tout le monde
je rejoins enfin l'Arche d'Allociné
Pour les balises c'est comme sur Allo, faut que tu fermes la balise img à la fin avec un /
NaughtyDog a écrit : ↑lun. 26 oct. 2020 12:38Salut tout le monde
je rejoins enfin l'Arche d'Allociné
Bienvenue
On ne verra pas ton petit faux-pas, car tu peux modifier ton message après son envoi
Bienvenue dans tout nouveau chez toi !NaughtyDog a écrit : ↑lun. 26 oct. 2020 12:38Salut tout le monde
je rejoins enfin l'Arche d'Allociné
si quelqu'un peut me dire comment on publie des images mdr
J'ai corrigé ton image.
Normalement quand tu composes ton post, ça devrait ressembler à ça :
Code : Tout sélectionner
[img]l'url de ton image[/img]Si tu passes par la réponse rapide en revanche, faudra mettre les balises à la main.
EL n'a pas trop aimé ADN de Maïwenn (2,5 étoiles) :
Positionné pour Cannes avant que le festival ne soit annulé, ADN est le nouveau film de Maïwenn, estampillé du fameux Label Cannes 2020. La metteuse en scène y mélange toujours étude de caractère et exploration psychanalytique, à travers un récit plus doux et apaisé qu'à l'accoutumée.
ALLÔ MAMAN BOBO
Depuis Le Bal des actrices, chaque nouveau film de Maïwenn est attendu avec curiosité par les uns, agacement par les autres. Mêlant volontiers expériences de cinéma et autofiction, la cinéaste est devenue au fil des années une des directrices d’acteurs les plus réputées de l’Hexagone, capable de pousser des artistes inattendus dans des retranchements non moins surprenants.
Et c’est à nouveau le cas avec ADN, chronique des tensions interpersonnelles au sein d’une famille confrontée au deuil d’une figure paternelle structurante. Devant sa caméra, on aura rarement vu Louis Garrel aussi évidemment drôle, tout en rupture de ton et vannes acides. Même chose pour Marine Vacth, qu’on n’attendait pas aussi vibrante et magnétique, à mille lieues des personnages déréalisés qui l’ont fait connaître chez François Ozon.
Mais la partition la plus singulière du film demeure sans doute celle de Fanny Ardant, tétanisante en matrone dont la personnalité et l’égo cannibalisent les siens. Le temps d’une séquence de confrontation avec Maïwenn, qui interprète sa fille, on croit non seulement redécouvrir la comédienne, fascinante en ogresse aux pieds d’argiles, mais pour la première fois, le dispositif de la réalisatrice, entre fiction et psychanalyse filmée, aboutit tout à fait cinématographiquement.
Découpage, montage, mise en abime et interprétation s’allient pour délivrer d’impressionnants boulets de démolition émotionnels.
DIS-MOI QUI TU HAIS
Malheureusement, si la partie du récit axée sur les soubresauts qui agitent la famille de Neige fonctionne excellemment bien – jusque dans ses articulations humoristiques, tendres et cruelles à la fois – le second axe narratif s’avère beaucoup plus flou. Parallèlement au maelstrom émotionnel engendré par la disparition de son grand-père, l’héroïne fait face à une profonde remise en cause identitaire (qui donne au métrage son titre). Et ce pendant du récit est autrement plus confus.
D’assertions simplettes en raccourci mécaniques (on comprend mal cette soudaine et superficielle focale sur la génétique), le film donne soudain l’impression de tourner en rond, d’épouser une thématique dont il n’a pas grand-chose à dire. Plus embêtante, cette irruption du questionnement sur les origines sape une bonne partie des belles trouvailles de la première moitié d’ADN. Alors que mise en scène et scénario se concentrent sur le rapport de Neige à l’Algérie, plusieurs protagonistes sont évacués de l’ensemble sans qu’on saisisse bien pourquoi.
Une construction au bulldozer qui souligne finalement combien l’architecture du film est fragile. Hormis la protagoniste jouée par Maïwenn et une poignée de seconds rôles, la caractérisation des personnages est souvent problématique (qui est Garrel ? Ami ? Aspirant ? Ex ?) et on ne saisit jamais vraiment ce qui les pousse à s’affronter, s’allier, se repousser, s’embrasser. Il en va finalement de même du spectateur, qui finit par abandonner cette troupe bruyante à ses passions mal digérées et ses joies mauvaises.
La chronique familiale de Maïwenn contient quelques-unes des plus belles fulgurances de son cinéma, mais finit par se perdre dans une sous-intrigue identitaire confuse et superficielle.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 2YG9m2TLMw
Un autre avis négatif (2 étoiles) :
"Maïwenn passe à côté de son sujet et signe son film le plus faible, tiraillée entre le portrait familial explosif qu'elle maîtrise sans effort, et l'ambition d'un récit identitaire qui tourne en rond. "
Positionné pour Cannes avant que le festival ne soit annulé, ADN est le nouveau film de Maïwenn, estampillé du fameux Label Cannes 2020. La metteuse en scène y mélange toujours étude de caractère et exploration psychanalytique, à travers un récit plus doux et apaisé qu'à l'accoutumée.
ALLÔ MAMAN BOBO
Depuis Le Bal des actrices, chaque nouveau film de Maïwenn est attendu avec curiosité par les uns, agacement par les autres. Mêlant volontiers expériences de cinéma et autofiction, la cinéaste est devenue au fil des années une des directrices d’acteurs les plus réputées de l’Hexagone, capable de pousser des artistes inattendus dans des retranchements non moins surprenants.
Et c’est à nouveau le cas avec ADN, chronique des tensions interpersonnelles au sein d’une famille confrontée au deuil d’une figure paternelle structurante. Devant sa caméra, on aura rarement vu Louis Garrel aussi évidemment drôle, tout en rupture de ton et vannes acides. Même chose pour Marine Vacth, qu’on n’attendait pas aussi vibrante et magnétique, à mille lieues des personnages déréalisés qui l’ont fait connaître chez François Ozon.
Mais la partition la plus singulière du film demeure sans doute celle de Fanny Ardant, tétanisante en matrone dont la personnalité et l’égo cannibalisent les siens. Le temps d’une séquence de confrontation avec Maïwenn, qui interprète sa fille, on croit non seulement redécouvrir la comédienne, fascinante en ogresse aux pieds d’argiles, mais pour la première fois, le dispositif de la réalisatrice, entre fiction et psychanalyse filmée, aboutit tout à fait cinématographiquement.
Découpage, montage, mise en abime et interprétation s’allient pour délivrer d’impressionnants boulets de démolition émotionnels.
DIS-MOI QUI TU HAIS
Malheureusement, si la partie du récit axée sur les soubresauts qui agitent la famille de Neige fonctionne excellemment bien – jusque dans ses articulations humoristiques, tendres et cruelles à la fois – le second axe narratif s’avère beaucoup plus flou. Parallèlement au maelstrom émotionnel engendré par la disparition de son grand-père, l’héroïne fait face à une profonde remise en cause identitaire (qui donne au métrage son titre). Et ce pendant du récit est autrement plus confus.
D’assertions simplettes en raccourci mécaniques (on comprend mal cette soudaine et superficielle focale sur la génétique), le film donne soudain l’impression de tourner en rond, d’épouser une thématique dont il n’a pas grand-chose à dire. Plus embêtante, cette irruption du questionnement sur les origines sape une bonne partie des belles trouvailles de la première moitié d’ADN. Alors que mise en scène et scénario se concentrent sur le rapport de Neige à l’Algérie, plusieurs protagonistes sont évacués de l’ensemble sans qu’on saisisse bien pourquoi.
Une construction au bulldozer qui souligne finalement combien l’architecture du film est fragile. Hormis la protagoniste jouée par Maïwenn et une poignée de seconds rôles, la caractérisation des personnages est souvent problématique (qui est Garrel ? Ami ? Aspirant ? Ex ?) et on ne saisit jamais vraiment ce qui les pousse à s’affronter, s’allier, se repousser, s’embrasser. Il en va finalement de même du spectateur, qui finit par abandonner cette troupe bruyante à ses passions mal digérées et ses joies mauvaises.
La chronique familiale de Maïwenn contient quelques-unes des plus belles fulgurances de son cinéma, mais finit par se perdre dans une sous-intrigue identitaire confuse et superficielle.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 2YG9m2TLMw
Un autre avis négatif (2 étoiles) :
"Maïwenn passe à côté de son sujet et signe son film le plus faible, tiraillée entre le portrait familial explosif qu'elle maîtrise sans effort, et l'ambition d'un récit identitaire qui tourne en rond. "
Modifié en dernier par Pale le jeu. 29 oct. 2020 15:40, modifié 1 fois.
En eaux troubles 2 : bonne nouvelle pour la suite du gros requin de Jason Staham
En eaux troubles, alias The Meg, avec Jason Statham, reviendra comme prévu pour une suite. Avec un réalisateur inattendu, qui donne envie d'y croire un peu.
Peu importe au fond si En eaux troubles a été pour beaucoup une sacrée déception, la faute à une dose d'hémoglobine aussi basse que le QI des personnages, et une promesse de spectacle décérébré pas entièrement tenue. Le film de Jon Turteltaub avec Jason Statham a été un carton plein au box-office de l'été 2018, avec plus de 530 millions pour un budget officiel de 150-180 millions, hors marketing. Comparé à Peur bleue (165 millions au box-office en 1999) ou Instinct de survie avec Blake Lively (120 millions en 2016), c'est un exploit de squale de compétition.
La suite n'avait pas tardé à être annoncée dans la foulée, et avec l'annonce du titre The Meg 2 : The Trench en septembre 2020 par Steve Alten (auteur du roman qui a inspiré le film), la machine est bel et bien lancée. La preuve : le réalisateur Ben Wheatley a été choisi pour mener la danse sanglante.
The Hollywood Reporter a annoncé que le réalisateur de Kill List, Touristes, High-Rise et Free Fire avait été choisi pour réaliser En eaux troubles 2. Et c'est encore une étape inattendue dans la carrière du cinéaste, qui sort de Rebecca (notre critique par ici) sur Netflix, et prépare toujours Tomb Raider 2 - lequel devait être filmé en 2020 pour une sortie début 2021, mais a bien sûr été décalé.
Ben Weatley va-t-il réellement enchaîner les aventures de Lara Croft dans le monde, et celles de Jason Statham dans les mers ? Ou est-ce un signal indiquant que Tomb Raider 2 va être retardé, ou lancé sans lui ? Vu que le film donne zéro nouvelle depuis un moment et que l'actrice Alicia Vikander est très occupée, possible que le retour de l'héroïne soit repoussé. D'autant que Warner Bros. est derrière Tomb Raider et En eaux troubles.
En tout cas, Ben Wheatley est un choix plus qu'intrigant, vu son talent en matière de mise en scène, et son profil atypique pour un tel blockbuster. De là à rêver d'une suite Rated R (comme évoquée à l'époque) et pas family friendly où même un vieux clébard survit au requin...
Dans tous les cas, The Meg 2 semble être sur les rails. The Trench est le nom du deuxième roman de Steve Alten, qui présente la douce Angel, le bébé femelle du mégalodon découvert dans la première aventure. Et vu qu'Angel est encore plus grosse et méchante, la montrer au public dans un aquarium géant est certainement l'idée du siècle. D'autant que la bête est en chaleur, ce qui excite tous les requins autour.
Rappelons que le studio peut chaleureusement remercier la Chine pour le succès d'En eaux troubles, puisque 153 millions viennent de ce territoire, soit plus que le box-office domestique. Nul doute que Bingbing Li et des acteurs locaux seront donc présents. Le premier film était le fruit d'une co-production entre le studio américain Warner Bros. et la société chinoise China Media Capital (via China Gravity).
Notre critique d'En eaux troubles est par ici. Et pour tout comprendre sur le carton de The Meg au box-office, c'est dans ce dossier.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... wy-Ykgw0Zo
En eaux troubles, alias The Meg, avec Jason Statham, reviendra comme prévu pour une suite. Avec un réalisateur inattendu, qui donne envie d'y croire un peu.
Peu importe au fond si En eaux troubles a été pour beaucoup une sacrée déception, la faute à une dose d'hémoglobine aussi basse que le QI des personnages, et une promesse de spectacle décérébré pas entièrement tenue. Le film de Jon Turteltaub avec Jason Statham a été un carton plein au box-office de l'été 2018, avec plus de 530 millions pour un budget officiel de 150-180 millions, hors marketing. Comparé à Peur bleue (165 millions au box-office en 1999) ou Instinct de survie avec Blake Lively (120 millions en 2016), c'est un exploit de squale de compétition.
La suite n'avait pas tardé à être annoncée dans la foulée, et avec l'annonce du titre The Meg 2 : The Trench en septembre 2020 par Steve Alten (auteur du roman qui a inspiré le film), la machine est bel et bien lancée. La preuve : le réalisateur Ben Wheatley a été choisi pour mener la danse sanglante.
The Hollywood Reporter a annoncé que le réalisateur de Kill List, Touristes, High-Rise et Free Fire avait été choisi pour réaliser En eaux troubles 2. Et c'est encore une étape inattendue dans la carrière du cinéaste, qui sort de Rebecca (notre critique par ici) sur Netflix, et prépare toujours Tomb Raider 2 - lequel devait être filmé en 2020 pour une sortie début 2021, mais a bien sûr été décalé.
Ben Weatley va-t-il réellement enchaîner les aventures de Lara Croft dans le monde, et celles de Jason Statham dans les mers ? Ou est-ce un signal indiquant que Tomb Raider 2 va être retardé, ou lancé sans lui ? Vu que le film donne zéro nouvelle depuis un moment et que l'actrice Alicia Vikander est très occupée, possible que le retour de l'héroïne soit repoussé. D'autant que Warner Bros. est derrière Tomb Raider et En eaux troubles.
En tout cas, Ben Wheatley est un choix plus qu'intrigant, vu son talent en matière de mise en scène, et son profil atypique pour un tel blockbuster. De là à rêver d'une suite Rated R (comme évoquée à l'époque) et pas family friendly où même un vieux clébard survit au requin...
Dans tous les cas, The Meg 2 semble être sur les rails. The Trench est le nom du deuxième roman de Steve Alten, qui présente la douce Angel, le bébé femelle du mégalodon découvert dans la première aventure. Et vu qu'Angel est encore plus grosse et méchante, la montrer au public dans un aquarium géant est certainement l'idée du siècle. D'autant que la bête est en chaleur, ce qui excite tous les requins autour.
Rappelons que le studio peut chaleureusement remercier la Chine pour le succès d'En eaux troubles, puisque 153 millions viennent de ce territoire, soit plus que le box-office domestique. Nul doute que Bingbing Li et des acteurs locaux seront donc présents. Le premier film était le fruit d'une co-production entre le studio américain Warner Bros. et la société chinoise China Media Capital (via China Gravity).
Notre critique d'En eaux troubles est par ici. Et pour tout comprendre sur le carton de The Meg au box-office, c'est dans ce dossier.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... wy-Ykgw0Zo