Mourir peut attendre : des fans veulent récolter 600 millions et racheter le film
L’espoir fait vivre.
Alors que la date de sortie de Mourir peut attendre a dernièrement été repoussée à avril 2021, des fans de James Bond se mobilisent pour tenter de racheter le film. Une entreprise un peu dingue, née après les indiscrétions de la presse US, qui assurait que des discussions ont eu lieu entre MGM et certaines plateformes de streaming, qui étaient prêtes à mettre 600 millions de dollars sur la table pour acquérir Mourir peut attendre. Le Guardian rapporte que certains adorateurs de 007 ont donc monté une campagne de financement participatif sur GoFundMe afin d’arriver à récolter 607 millions de livres (soit 781 millions de dollars). L’objectif est d’obtenir les droits du long-métrage et de le diffuser d’ici Noël 2020.
À l’heure où nous écrivons ces lignes, le compteur est à 790 livres… Il reste encore un peu de chemin avant de rendre James Bond au peuple.
Revu la dernière partie de Lone Ranger hier à la téloche, j'ai vraiment beaucoup de sympathie vis-à-vis de ce film, la course poursuite en trains est tellement excellente, sur un remix du french cancan
Revu la dernière partie de Lone Ranger hier à la téloche, j'ai vraiment beaucoup de sympathie vis-à-vis de ce film, la course poursuite en trains est tellement excellente, sur un remix du french cancan
Revu la dernière partie de Lone Ranger hier à la téloche, j'ai vraiment beaucoup de sympathie vis-à-vis de ce film, la course poursuite en trains est tellement excellente, sur un remix du french cancan
Il est grandiose ce film
Ah mais grave, je comprends pas les mauvais avis... c'est un blockbuster des plus agréables à regarder. De l'action et de l'humour et un casting 5 étoiles !
Esther : la diabolique gamine revient dans une suite inattendue
Dur dur d’être un bébé, sauf quand on zigouille les adultes bien sûr, ainsi que nous l’a appris Esther, qui va connaître une suite en forme de prequel. Attention spoilers !
Elle avait créé la surprise en 2009, devenant rapidement un succès et un personnage iconique. On parle bien sûr de l’orpheline interprétée par Isabelle Fuhrman dans Esther. Pour mémoire, elle jouait une gamine un peu louche, adoptée par une famille bien sous tout rapport, qui finissait par découvrir que l’enfant était en réalité une adulte et que ses projets étaient relativement incompatibles avec la notion d’espérance de vie.
Or, Deadline vient de dévoiler qu’une suite était d’ores et déjà en tournage, sous la houlette de William Brent Bell (derrière la franchise The Boy). Ce nouvel épisode se déroulera avant le premier film, alors qu’Esther s’évade d’un hôpital psychiatrique estonien pour rejoindre les Etats-Unis, où elle va pourrir l’existence d’une nouvelle famille, dont la mère devrait être interprétée par la comédienne Julia Stiles.
C’est à nouveau Isabelle Fuhrman qui campera Esther, ce qui représente un certain défi, l’actrice n’ayant pas rajeuni, et étant désormais âgée de 23 ans. Un challenge qui n’inquiète pas outre mesure la production, qui, toujours d’après Deadline, se serait donné les moyens de maintenir l’illusion :
“Afin d’aider Fuhrman à ramener ce personnage à la vie, le réalisateur utilise une combinaison de perspectives forcées sur le plateau et une équipe de maquilleurs de classe mondiale.”
On est d’ores et déjà curieux de voir quel sera le résultat, et si cette combinaison de talents permettra au long-métrage, qui semble ne pas souhaiter avoir recours au rajeunissement numérique, de nous faire croire à cette délicate illusion. Le film n’a pas encore de date de sortie, mais devrait prochainement se positionner sur l’agenda de l’année 2021.
Après Marvel, Dave Bautista va bientôt jouer les flics intergalactiques
Après Dwayne Johnson dans Rampage, ce sera au tour de Dave Bautista de casser de la bestiole dans le prochain film de Brad Peyton.
À l’image de Dwayne Johnson, aka The Rock, le catcheur de la WWE, Dave Bautista aura connu une ascension assez fulgurante ces dernières années sur le grand écran. De son rôle dans la peau de Drax, chez Marvel, dans Les Gardiens de la Galaxie de James Gunn, à son apparition en réplicant dans Blade Runner 2049 de Denis Villeneuve, en passant par Monsieur Hinx, l'homme de main de Christoph Waltz, auquel faisait face Daniel Craig, dans Spectre de Sam Mendes.
L’acteur a su se faire un nom à Hollywood, au même titre que son partenaire The Rock dont il suit le chemin, à en croire le prochain projet de l’acteur. En effet, selon Empire, après avoir fait s’affronter Dwayne Johnson avec des grosses bêbêtes dans Rampage - Hors de contrôle, le réalisateur Brad Peyton collabore cette fois avec Dave Bautista pour son prochain blockbuster, intitulé Universe's Most Wanted.
On ne sait pas grand-chose sur ce nouveau projet, si ce n’est que le film se déroulera dans une petite ville, qui voit débarquer un vaisseau spatial, avec de dangereux criminels à son bord. Le fils du Shérif de la ville va alors s’allier avec un flic intergalactique, interprété par Dave Bautista, pour traquer les prisonniers aliens qui se sont échappés, afin d’empêcher qu’ils ne détruisent le monde.
Le scénario sera écrit par les scénaristes F. Scott Frazier (xXx : Reactivated) et Jimmy Loweree, avec Brad Peyton derrière la caméra, pour un tournage prévu pour le printemps 2021. Le réalisateur a, par ailleurs, partagé son enthousiasme vis-à-vis du projet, dans un communiqué de presse :
« Nous ne pouvons qu’être que plus qu’excités à l’idée de partir sur Universe’s Most Wanted. C’est le genre de film fun, mystérieux, et plein d’aventures irrévérencieuses dont nous avons besoin en ce moment. »
En effet, quoi de mieux, en cette période de pandémie dû à la Covid-19, qu’un blockbuster XXL, par le réalisateur de Rampage, avec Dave Bautista en super flic intergalactique qui traque des aliens ? Universe’s Most Wanted n’a pas de date de sortie annoncée pour le moment. On retrouvera Dave Bautista de nouveau chez Denis Villeneuve, prochainement, à l'affiche de son très attendu Dune, dont la sortie est désormais prévue pour le 29 septembre 2021 en France.
En attendant, vous pouvez découvrir ce que l’on pense de Rampage, le précédent gros blockbuster bourrin du réalisateur, avec Dwayne Johnson qui combat des monstres aux côtés d’un gorille nommé Georges, avec notre critique disponible par ici.
Cet article sur le prochain film de Nicolas Cage est hilarant :
Nicolas Cage se bastonne dans un parc d'attraction dans le teaser de Willy's Wonderland
Comme tout être humain normalement constitué, on voue un culte à Nicolas Cage. La prochaine messe s'appelle Willy's Wonderland, et elle fait envie.
La divinité des cinéphiles déviants continue sa carrière non-sensique. Après le très bon The Color Out of Space, Nicolas Cage est revenu à la série B débile avec le prophétique Jiu Jitsu, dont la bande-annonce avait entretenue notre foi comme rarement auparavant. Alors qu'on attend encore avec une impatience palpable sa rencontre avec l'autre maboul de l'écran qu'est Sono Sion, son interpétation de Tiger King ou encore The Unbearable Weight of Massive Talent, où il jouera - bien sûr - son propre rôle, voilà qu'un autre de ses projets à venir se dévoile.
Cette prochaine célébration s'intitule Willy's Wonderland, et est réalisée par Kevin Lewis, à qui on doit sept longs-métrages inconnus au bataillon. Cage y jouera un concierge chargé d'un parc d'attraction abandonné. Mais comme le bougre a tendance à attirer les ennuis, il va se faire attaquer par les animatroniques du parc, possédés par des démons bien vénère. C'est tout ce qu'on en sait, et ça nous suffit largement, d'autant plus que le premier teaser disponible ne fait pas non plus dans la dentelle.
Les quelques images suffisent à nous rendre toutes choses. Un Cage à lunettes, un Cage qui défonce des portes, quelques giclées de sang, des mascottes affamées de tripes, une lubricité assumée et un beau fusil à pompe : que demander de plus pour le salut de nos âmes ? Dans l'ombre du roi, on trouvera aussi Beth Grant (vue dans Donnie Darko et Speed) ou Grant Cramer (à l'affiche des Clowns tueurs venus d'ailleurs, une référence, on l'espère).
Le film devrait sortir en 2021 sur à peu près tous les supports (VOD, salles) au royaume de l'oncle Sam. En France, on espère une accalmie dans la pandémie pour lui laisser l'ouverture du Festival de Cannes. Mais à part ça, rien n'est envisagé.
Après le désastre Hellboy, Neil Marshall de retour aux monstres à la The Descent
Neil Marshall (The Descent, Dog Soldiers) prépare The Lair, un film d'horreur avec des monstres qui donne bien envie.
Fut un temps où le nom de Neil Marshall rimait avec les loups-garous de Dog Soldiers, les bestioles des cavernes de The Descent, les Mad Max en furie de Doomsday et les guerriers barbares de Centurion. Comme un Christopher Smith (Creep, Triangle), le réalisateur britannique s'était placé parmi les nouveaux espoirs du cinéma de genre, avec une approche old school du sang et des monstres.
Exporté aux Etats-Unis, il avait signé des épisodes de Game of Thrones, Hannibal, Westworld et Perdus dans l'espace, et ce n'était qu'une question de temps avant qu'il se retrouve à la tête d'une production hollywoodienne. La sentence a pris la forme de Hellboy et si l'idée était belle sur le papier, le résultat a été douloureux à l'écran.
Bancal dans son ADN de suite-reboot après les deux films de Guillermo del Toro, fruit d'une production de toute évidence chaotique où il a perdu le contrôle, ce nouveau Hellboy a fini dans le mur, pour être un giga-bide (moins de 45 millions au box-office mondial pour un budget officiel de 50). Autant dire que tout espoir (ou désespoir) de suite a vite été enterré.
Heureusement, Neil Marshall continue sa route, et n'avait d'ailleurs pas attendu Hellboy pour ça puisqu'il a créé avec l'actrice Charlotte Kirk (également sa compagne) une société de production, Scarlett Productions. Le duo a déjà emballé The Reckoning, une histoire de chasse aux sorcières après l'horreur de la Grande Peste de Londres, centrée sur une jeune veuve accusée et torturée.
Le cinéaste continue en revenant encore plus vers ses premières amours, puisqu'il va enchaîner avec The Lair. Et le pitch donne très envie puisque ce sera tout simplement l'histoire d'une pilote de l'armée britannique, qui s'écrase en Afghanistan et se réfugie dans un bunker rempli de monstres moitié humains, moitié aliens, et entièrement avides de chair fraîche. Et les bestioles vont la suivre tandis qu'elle s'enfuit vers une base américaine.
Dans un joli communiqué qui transpire l'excitation, Neil Marshall a déclaré : "Si The Reckoning était un drame gothique témoignant de la force et résilience des femmes, alors The Lair est mon vrai retour à l'horreur sanglante et au genre de l'action dans le style de Dog Soldiers, The Descent et Doomsday.
Je fais quelque chose de super effrayant, haletant et fun. C'est un pur spectacle, une attraction pleine d'adrénaline, spectaculaire et bruyante, inspirée par des classiques comme Aliens, le retour, Predator et The Thing et leur utilisation incroyable des effets pour les créatures. Avec une nouvelle race de créatures terrifiantes, The Lair sera un film monstrueusement hargneux et vorace."
En voilà une bien belle note d'intention, qui prend le risque de se placer dès le départ dans l'ombre de James Cameron, John McTiernan et John Carpenter, ainsi que le travail des maquilleurs et autres magiciens comme Rob Bottin et Stan Winston.
Pas de date de sortie pour The Lair, mais il rejoint instantanément la liste de nos grosses attentes. Avec un grand espoir : que Hellboy n'ait été qu'une malheureuse sortie de route pour Neil Marshall. Et on attend toujours une sortie française pour The Reckoning.
Quand Sean Connery insultait Disney pour une rallonge de budget sur Rock
Michael Bay a rendu hommage à l'acteur en révélant une belle anecdote.
Le réalisateur Michael Bay (6 Underground, Transformers, Bad Boys) vient de publier sur The Hollywood Reporter un très bel hommage à Sean Connery, qu'il avait dirigé dans Rock (1995). Il y raconte sa première rencontre avec cette légende du cinéma, son premier jour de tournage avec lui mais surtout une petite anecdote qui en dit long sur l’ancien James Bond...
Sean Connery, l’immortel interprète de James Bond, nous a quittés
Il faut se rappeler qu’à l’époque du tournage de Rock, si la notoriété de Sean Connery n’était plus à prouver depuis longtemps, celle de Michael Bay était loin d’égaler celle dont il jouit aujourd’hui. C’était son second film, et son pouvoir à Hollywood n’était pas immense…
"Tournage de The Rock. Une poursuite en voiture. Sean conduit et je suis seul à le filmer. Il pile violemment, ma tête heurte la fenêtre. Il me dit : 'Ça va?' Je réponds : 'Non, les gens de Disney sont là pour me botter le cul parce que j'ai dépassé de deux jours le planning.' Sean, avec ce regard sournois, me demande : 'Tu veux que je t'aide?' Cut.
Plan : Déjeuner avec les cadres de Disney dans une classe de maternelle, assis à de minuscules tables et chaises. Nous ressemblions à des géants. J'annonce que M. Connery aimerait les rencontrer et leur dire bonjour. Sean entre, s'assoit en face des cadres bouche bée. Dans un pur style Sean Connery, il leur balance avec un accent écossais à couper au couteau : 'Ce garçon fait du bon travail, et vous vivez dans votre putain de tour d’ivoire Disney, nous avons besoin de plus de putain d'argent !!' Sans même prendre le temps de respirer, ils ont répondu : 'D'ACCORD !! Combien?'"
Jackie Chan fait tout péter dans la bande-annonce délirante de Vanguard
L'acteur hongkongais de 66 ans tient une forme du tonnerre.
Après avoir tourné trois films en 2019, Jackie Chan poursuit sa carrière en Asie à un rythme effréné. L'acteur hongkongais de 66 ans a sorti récemment en Chine son dernier long-métrage d'action, Vanguard, réalisé par Stanley Tong. Et comme il sortira surtout fin novembre en Amérique, on découvre aujourd'hui une bande-annonce officielle dans la langue de Shakespeare :
Le pitch : la société de sécurité secrète Vanguard est le dernier espoir de survie pour un comptable, pris pour cible par l'organisation de mercenaires la plus meurtrière au monde.
"Nous avons tourné dans 9 villes et 5 pays, Londres, Dubaï, la Zambie, l'Inde et la Chine. Nous avons vécu tellement de choses pendant cette production. Chaque fois que je travaille avec Jackie, nous essayons toujours d'impressionner notre public", confie le réalisateur Stanley Tong.
Effectivement, à en juger par ces images, Vanguard s'annonce comme un film d'action à gros budget, ultra-spectaculaire et un peu fou...
Certes, mais les scènes d'action dépotent bien comme il faut
Il y a aussi le fait qu'on ne s'inquiète jamais véritablement pour le personnage, quand il est en mauvaise posture, les autres personnages s'arrêtent alors de se battre au lieu de vouloir l'achever
Certes, mais les scènes d'action dépotent bien comme il faut
Il y a aussi le fait qu'on ne s'inquiète jamais véritablement pour le personnage, quand il est en mauvaise posture, les autres personnages s'arrêtent alors de se battre au lieu de vouloir l'achever
Certes, mais les scènes d'action dépotent bien comme il faut
Il y a aussi le fait qu'on ne s'inquiète jamais véritablement pour le personnage, quand il est en mauvaise posture, les autres personnages s'arrêtent alors de se battre au lieu de vouloir l'achever
C’est ça qui est drôle
Je n’imagine même pas l’opus 4
Il ne faudrait pas qu’ils poussent le bouchon trop loin non plus
Peut-être que John Wick 4 et Matrix 4 seront le même film ?
Hier, ce fut John Wick | Parabellum.
Ça bastonne sec
N'en déplaise à Wickaël, c'est celui que j'aime le moins
Ça devient trop répétitif
Je suis assez d’accord sur le côté répétitif, mais à chaque fois, ils vont encore plus loin dans « l’invraisemblable » (le cheval, la course à motos). J’ai été un peu déçu du séjour au Maroc ; ça enlève le côté urbain du film et unité de lieu des précédents opus.
Hier, ce fut John Wick | Parabellum.
Ça bastonne sec
N'en déplaise à Wickaël, c'est celui que j'aime le moins
Ça devient trop répétitif
Je suis assez d’accord sur le côté répétitif, mais à chaque fois, ils vont encore plus loin dans « l’invraisemblable » (le cheval, la course à motos). J’ai été un peu déçu du séjour au Maroc ; ça enlève le côté urbain du film et unité de lieu des précédents opus.
J'ai trouvé que le séjour au Maroc apportait du dépaysement justement
Ai maté Bob l'éponge, le film : Un héros sort de l'eau hier soir. Dans l'ensemble ça reste sympa mais un peu débile, surtout Banderas. Hâte de voir le nouveau film qui débarque normalement demain sur Netflix.
Ai maté Bob l'éponge, le film : Un héros sort de l'eau hier soir. Dans l'ensemble ça reste sympa mais un peu débile, surtout Banderas. Hâte de voir le nouveau film qui débarque normalement demain sur Netflix.
6/10
Ah bah justement j'allais faire un message à ce sujet.
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En plus j'ai grave envie de découvrir Twin Peaks, la série était un moment sur Netflix mais quand je me suis décidé à commencer elle a été retirée le lendemain, résultat j'ai vu qu'un épisode
tu peux même dire qu'il faudrait un sacré Bond en avant 
