Aucune trace de Dicaprio dans les producteurs et c'est l'adaptation d'un roman récent de 2017robinne a écrit : ↑ven. 20 nov. 2020 14:28N’est-ce pas d’ailleurs Leo qui aurait apporté le projet à Scorsese ?Pale a écrit : ↑ven. 20 nov. 2020 12:19Après c'est un projet qui lui tient à cœur et puis le film en sera peut-être que meilleur et DiCaprio offrira encore une immense performance comme il en a le secretClintReborn a écrit : ↑ven. 20 nov. 2020 12:00Je ne suis pas trop d'accord c'est souvent dans les productions bancales que l'on change tout pour des caprices pas étonnant que le studio soit très frileux après ça Mais apparemment dicaprio est assez puissant pour imposer ses conditions et les autres ne peuvent pas faire autrement que négocier pour ne pas qu'il quitte le projet
Ou alors, Leo produit, tout simplement et impose ses conditions
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- ClintReborn
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Ca reste un article un peu stérile globalement quand même.
Des réécritures de scénario, c'est monnaie courante à Hollywood pour X ou Y raison.
Et les rumeurs (plus que faits) de l'article mentionnent à peine Scorsese alors qu'il est à la fois le metteur en scène, producteur... et premier fan de Leo.
Donc globalement ces changements se font avec son aval, et à partir de là c'est un non-sujet.
Des réécritures de scénario, c'est monnaie courante à Hollywood pour X ou Y raison.
Et les rumeurs (plus que faits) de l'article mentionnent à peine Scorsese alors qu'il est à la fois le metteur en scène, producteur... et premier fan de Leo.
Donc globalement ces changements se font avec son aval, et à partir de là c'est un non-sujet.
OMG le dernier épisode du Jeu de la Dame c'est quelque chose
Stranger Things : la saison 4 de la série Netflix s'offre Freddy Krueger en personne
La saison 4 de la série Netflix Stranger Things s'offre huit nouveaux acteurs dans son casting, y compris Robert Englund, l'interprète de Freddy Krueger.
Malgré un retard conséquent dans sa production et son tournage à cause de la pandémie de Covid-19, la saison 4 tant attendue de Stranger Things continue de faire parler d’elle entre les éloges de son producteur Shawn Levy et David Harbour qui compare le retour de son personnage à celui de Gandalf dans Le Seigneur des anneaux (oui, oui...).
Et ce n’est apparemment pas près de s’arrêter, puisque cette quatrième saison vient de s’offrir huit nouveaux membres à son casting, dont l’un d’eux n’est autre que le terrifiant Freddy Krueger en personne. Bien évidemment, nous parlons de l’acteur Robert Englund, qui a hanté les cauchemars de plusieurs générations dans Les griffes de la nuit de Wes Craven. L’original, pas le remake…
Et apparemment, l’acteur compte bien revêtir son vieux pull rouge sale de meurtrier pour pourchasser notre bande de héros, puisque, selon TVLine, il y jouera Victor Creel, un meurtrier perturbé et intimidant, emprisonné dans un hôpital psychiatrique pour un horrible meurtre commis dans les années 50.
À ses côtés, au casting, on retrouvera également Jamie Campbell Bower (la saga Twilight), Eduardo Franco (American Vandal), Joseph Quinn (Howards End), Sherman Augustus (Into the Badlands), Mason Dye, Nikolaj Djuricko, ou encore Tom Wlaschiha (Game of Thrones).
La présence d’un acteur légendaire du genre comme Englund prouve que cette saison 4 sera bien dans la continuité des précédentes saisons de la série, avec des invités réguliers qui ont marqué la pop culture des années 80. Pour rappel, la série avait déjà accueilli notamment Sean Astin, vu dans Les Goonies et surtout dans la trilogie du Seigneur des anneaux, mais aussi Paul Reiser, connu pour Aliens, le retour, ou encore Matthew Modine, vu notamment dans Full Metal Jacket de Stanley Kubrick.
Pour rappel, la saison 4 de Stranger Things n’a toujours pas de date de sortie annoncée, suite au retard pris à cause de la pandémie. Espérons que cette pandémie aura permis aux frères Matt et Ross Duffer de peaufiner leur scénario. On vous explique d’ailleurs pourquoi la saison 3 est, selon nous, la plus faible de la série à ce jour, avec notre critique disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... LAZu7V_HB4
La saison 4 de la série Netflix Stranger Things s'offre huit nouveaux acteurs dans son casting, y compris Robert Englund, l'interprète de Freddy Krueger.
Malgré un retard conséquent dans sa production et son tournage à cause de la pandémie de Covid-19, la saison 4 tant attendue de Stranger Things continue de faire parler d’elle entre les éloges de son producteur Shawn Levy et David Harbour qui compare le retour de son personnage à celui de Gandalf dans Le Seigneur des anneaux (oui, oui...).
Et ce n’est apparemment pas près de s’arrêter, puisque cette quatrième saison vient de s’offrir huit nouveaux membres à son casting, dont l’un d’eux n’est autre que le terrifiant Freddy Krueger en personne. Bien évidemment, nous parlons de l’acteur Robert Englund, qui a hanté les cauchemars de plusieurs générations dans Les griffes de la nuit de Wes Craven. L’original, pas le remake…
Et apparemment, l’acteur compte bien revêtir son vieux pull rouge sale de meurtrier pour pourchasser notre bande de héros, puisque, selon TVLine, il y jouera Victor Creel, un meurtrier perturbé et intimidant, emprisonné dans un hôpital psychiatrique pour un horrible meurtre commis dans les années 50.
À ses côtés, au casting, on retrouvera également Jamie Campbell Bower (la saga Twilight), Eduardo Franco (American Vandal), Joseph Quinn (Howards End), Sherman Augustus (Into the Badlands), Mason Dye, Nikolaj Djuricko, ou encore Tom Wlaschiha (Game of Thrones).
La présence d’un acteur légendaire du genre comme Englund prouve que cette saison 4 sera bien dans la continuité des précédentes saisons de la série, avec des invités réguliers qui ont marqué la pop culture des années 80. Pour rappel, la série avait déjà accueilli notamment Sean Astin, vu dans Les Goonies et surtout dans la trilogie du Seigneur des anneaux, mais aussi Paul Reiser, connu pour Aliens, le retour, ou encore Matthew Modine, vu notamment dans Full Metal Jacket de Stanley Kubrick.
Pour rappel, la saison 4 de Stranger Things n’a toujours pas de date de sortie annoncée, suite au retard pris à cause de la pandémie. Espérons que cette pandémie aura permis aux frères Matt et Ross Duffer de peaufiner leur scénario. On vous explique d’ailleurs pourquoi la saison 3 est, selon nous, la plus faible de la série à ce jour, avec notre critique disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... LAZu7V_HB4
Monster Hunter vs Wonder Woman 1984 : le match absurde et drôle de fin 2020
Monster Hunter de Paul W.S. Anderson (Resident Evil, Event Horizon), avec Milla Jovovich, pourrait être le seul gros divertissement de fin 2020.
Dune, Top Gun : Maverick, Black Widow, Eternals, Mourir peut attendre... À un moment ou un autre, tous ces films ont failli occuper la fin d'année 2020, avant d'être repoussés à 2021. Dans ce désert de blockbuster, Wonder Woman 1984 semble désormais la seule à tenir le flambeau du spectacle hollywoodien, dès le 25 décembre aux États-Unis (pour la France, c'est en théorie le 16 décembre). Une sortie américaine très spéciale, puisque le blockbuster arrivera simultanément au cinéma et sur HBO Max.
Sauf que non. Car Monster Hunter est là aussi. Prévu à l'origine pour septembre 2020, le film de Paul W.S. Anderson adapté du jeu vidéo avait été repoussé à avril 2021. Jusqu'à ce que Sony ne l'avance à fin décembre aux États-Unis, avec une sortie en parallèle en Chine, pour se placer sur le créneau. Et face à l'offensive de l'Amazone super-héroïne, Sony a une nouvelle fois déplacé son pion Milla Jovovich : Monster Hunter sortira le 25 décembre aux États-Unis, directement face à Wonder Woman 1984.
La stratégie est claire : Sony croit dur comme fer en Milla Jovovich, ses gros guns et ses gros monstres. D'autant que Monster Hunter sortira uniquement au cinéma, contrairement à WW1984, dont la carrière sera partagée entre les salles et HBO Max. Néanmoins, il y a une grosse différence entre les deux films : Monster Hunter a coûté dans les 60 millions, loin des 200 millions de WW1984. Si tout le monde a bien compris que sortir un blockbuster à 200 millions était suicidaire jusque là, un film au budget medium a nettement plus de chance de s'en sortir.
Autre différence : le marché asiatique. Ce public avait boudé Mulan malgré l'appel du pied de Disney, mais avait répondu présent pour la saga Resident Evil de Paul W.S. Anderson et Milla Jovovich. À mesure que le public américain se désintéressait des zombies et autres bestioles, l'enthousiasme côté Chine montait en flèche. Resident Evil : Chapitre Final s'était ainsi vautré côté américain avec seulement 27 millions, mais avait encaissé près de 160 millions en Chine.
Nul doute que l'équipe de Monster Hunter mise beaucoup sur le marché asiatique. En Chine, le film sera distribué par Tencent, énorme société spécialisée dans les services internet et mobile, et qui s'est lancée dans le cinéma depuis 2015 (avec notamment Warcraft, le commencement, Wonder Woman, Venom, ou encore Terminator : Dark Fate). Au Japon, c'est la célèbre boîte Tōhō qui s'en occupera. Monster Hunter est donc bien armé pour s'imposer dans les salles, malgré la situation.
Dans tous les cas, Sony maintient jusque là une sortie française le 28 avril 2021, ce qui semble périlleux vu le risque du téléchargement, et l'embouteillage à l'horizon. Monster Hunter se retrouverait coincé entre Mourir peut attendre, Sans un bruit 2, Black Widow, ou encore Spirale : L'Héritage de Saw - que des recalés de 2020.
Pour rappel, Monster Hunter est censé être adapté des jeux vidéo Capcom (comme Resident Evil oui). Milla Jovovich sera la boss d'une bande de soldats, emportés dans une tempête qui rappelle un peu beaucoup Mad Max : Fury Road. Le groupe se retrouve alors dans un monde fou, peuplé de gros monstres, où ils pourront exécuter des cascades entre Fast & Furious et King Kong. En décembre ou en avril, on sera là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... elDKEML4bU
Monster Hunter de Paul W.S. Anderson (Resident Evil, Event Horizon), avec Milla Jovovich, pourrait être le seul gros divertissement de fin 2020.
Dune, Top Gun : Maverick, Black Widow, Eternals, Mourir peut attendre... À un moment ou un autre, tous ces films ont failli occuper la fin d'année 2020, avant d'être repoussés à 2021. Dans ce désert de blockbuster, Wonder Woman 1984 semble désormais la seule à tenir le flambeau du spectacle hollywoodien, dès le 25 décembre aux États-Unis (pour la France, c'est en théorie le 16 décembre). Une sortie américaine très spéciale, puisque le blockbuster arrivera simultanément au cinéma et sur HBO Max.
Sauf que non. Car Monster Hunter est là aussi. Prévu à l'origine pour septembre 2020, le film de Paul W.S. Anderson adapté du jeu vidéo avait été repoussé à avril 2021. Jusqu'à ce que Sony ne l'avance à fin décembre aux États-Unis, avec une sortie en parallèle en Chine, pour se placer sur le créneau. Et face à l'offensive de l'Amazone super-héroïne, Sony a une nouvelle fois déplacé son pion Milla Jovovich : Monster Hunter sortira le 25 décembre aux États-Unis, directement face à Wonder Woman 1984.
La stratégie est claire : Sony croit dur comme fer en Milla Jovovich, ses gros guns et ses gros monstres. D'autant que Monster Hunter sortira uniquement au cinéma, contrairement à WW1984, dont la carrière sera partagée entre les salles et HBO Max. Néanmoins, il y a une grosse différence entre les deux films : Monster Hunter a coûté dans les 60 millions, loin des 200 millions de WW1984. Si tout le monde a bien compris que sortir un blockbuster à 200 millions était suicidaire jusque là, un film au budget medium a nettement plus de chance de s'en sortir.
Autre différence : le marché asiatique. Ce public avait boudé Mulan malgré l'appel du pied de Disney, mais avait répondu présent pour la saga Resident Evil de Paul W.S. Anderson et Milla Jovovich. À mesure que le public américain se désintéressait des zombies et autres bestioles, l'enthousiasme côté Chine montait en flèche. Resident Evil : Chapitre Final s'était ainsi vautré côté américain avec seulement 27 millions, mais avait encaissé près de 160 millions en Chine.
Nul doute que l'équipe de Monster Hunter mise beaucoup sur le marché asiatique. En Chine, le film sera distribué par Tencent, énorme société spécialisée dans les services internet et mobile, et qui s'est lancée dans le cinéma depuis 2015 (avec notamment Warcraft, le commencement, Wonder Woman, Venom, ou encore Terminator : Dark Fate). Au Japon, c'est la célèbre boîte Tōhō qui s'en occupera. Monster Hunter est donc bien armé pour s'imposer dans les salles, malgré la situation.
Dans tous les cas, Sony maintient jusque là une sortie française le 28 avril 2021, ce qui semble périlleux vu le risque du téléchargement, et l'embouteillage à l'horizon. Monster Hunter se retrouverait coincé entre Mourir peut attendre, Sans un bruit 2, Black Widow, ou encore Spirale : L'Héritage de Saw - que des recalés de 2020.
Pour rappel, Monster Hunter est censé être adapté des jeux vidéo Capcom (comme Resident Evil oui). Milla Jovovich sera la boss d'une bande de soldats, emportés dans une tempête qui rappelle un peu beaucoup Mad Max : Fury Road. Le groupe se retrouve alors dans un monde fou, peuplé de gros monstres, où ils pourront exécuter des cascades entre Fast & Furious et King Kong. En décembre ou en avril, on sera là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... elDKEML4bU
Deux grosses news :
‘Deadpool 3’: Marvel Studios And Ryan Reynolds Tap The Molyneux Sisters To Pen The Sequel
https://deadline.com/2020/11/deadpool-3 ... KKlbbWw0aE
‘Predator’ Returning With ‘10 Cloverfield Lane’ Helmer Dan Trachtenberg At 20th Century Studios
https://deadline.com/2020/11/predator-m ... Ei7u4uTeh8
‘Deadpool 3’: Marvel Studios And Ryan Reynolds Tap The Molyneux Sisters To Pen The Sequel
https://deadline.com/2020/11/deadpool-3 ... KKlbbWw0aE
‘Predator’ Returning With ‘10 Cloverfield Lane’ Helmer Dan Trachtenberg At 20th Century Studios
https://deadline.com/2020/11/predator-m ... Ei7u4uTeh8
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super nouvelle pour TrachtenbergPale a écrit : ↑ven. 20 nov. 2020 23:45Deux grosses news :
‘Deadpool 3’: Marvel Studios And Ryan Reynolds Tap The Molyneux Sisters To Pen The Sequel
https://deadline.com/2020/11/deadpool-3 ... KKlbbWw0aE
‘Predator’ Returning With ‘10 Cloverfield Lane’ Helmer Dan Trachtenberg At 20th Century Studios
https://deadline.com/2020/11/predator-m ... Ei7u4uTeh8
d'ailleurs son film Predator est en gestation depuis 4 ans
il se déroulera apparemment dans le passé avec pour perso une Comanche qui défiera l'ordre établi de sa tribu pour e^tre une guerrière (au moment où un Predator déboule )
sinon Joaquin Phoenix rejoint le prochain film de Ari Aster "Beau is Afraid" !
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
Ce serait énormeNaughtyDog a écrit : ↑sam. 21 nov. 2020 02:50il se déroulera apparemment dans le passé avec pour perso une Comanche qui défiera l'ordre établi de sa tribu pour e^tre une guerrière (au moment où un Predator déboule )
Dans tous les cas ce fut une véritable surprise que cette mini-série made in Netflix. Et mention spéciale à l'actrice principale à qui je souhaite une carrière à la hauteur de son talent, et pour l'instant c'est bien parti !
Bon maintenant je vais m'attaquer à la saison 4 de Vikings !
Le film se fait tailler par les spectateurs mais en fait il faut accepter son rythme contemplatif et l'ambiance. Celle-ci est atmosphérique et sensorielle à souhait et j'avoue que j'ai trouvé ça excellent. De plus le casting est ouf. A commencer par son actrice principale même amputée d'un bras et d'une jambe (ce qui renforce son côté badass) mais aussi Jason Momoa qui transpire ici le charisme. On retrouve également Jim Carrey dans son rôle le plus à contre emploi et Keanu Reeves. Bref perso j'ai adoré
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Quelle beauté Mank !!
Une immense attente de ma part (Fincher étant mon réal favori), pour un long-métrage originellement prévu il y a 20 ans, écrit par le père de Fincher en personne
Et le résultat est très très bon : une exploration des coulisses du monde du cinéma lors de l'âge d'Or Hollywoodien, sur la conception du scénario de Citizen Kane (on retrouve d'ailleurs un petit côté Barton Fink des frères Coen tant dans son sujet que dans la caractérisation du protagoniste) ! En plaçant en parallèle tout un contexte politique, le film fait une peinture admirable de Mankiewicz (et tape énormément sur Orson Welles donc clairement les fans du réal vont détester lol).
Un homme alcoolique et en marge des carcans de l'industrie, qui accouchera du grand chef-d'oeuvre cinématographique de l'époque. Gary Oldman est brillant, et mériterait facilement son 2nd Oscar. Il apporte une sympathie immédiate (malgré son alcoolisme et son addiction au jeu) et son duo avec Amanda Seyfried (pareil, superbe interprétation après son rôle dans First Reformed, qui rayonne ici dans chacun de ses costumes, ; Fincher la filme comme Madonna dans les 90's) porte tout le film via un crypto-amour platonique. Le reste du cast est extrêmement bien utilisé mais de manière plus périphérique (Charles Dance, Tuppence Middleton et Tom Pelphrey) là ou d'autres sont plus en retrait (Lily Collins, Arliss Howard ou même Tom Burke en Orson Welles), dommage mais chaque acteur livre parmi les meilleures perfs de leur carrière (donc on va pas se plaindre).
Evidemment niveau mise en scène c'est du velours : un noir et blanc qui flatte la rétine aux silhouettes expressives (même si Cronenweth me manque, le taff deMesserschmidt après Mindhunter et Raised by Wolves est de grande qualité, comme en témoigne ici une séquence hallucinante dans une synagogue), tournage numérique mais vieilli en post-prod (brulures de cigarette, changements de bobines) avec même un son mono d'époque aux musique délicieusement orchestrales des 40's par Trent Reznor & Atticus Ross ! Mise en scène c'est parfait (après tout c'est Fincher) : précis, méticuleux, quelques plans inspirés de Chinatown d'ailleurs, et le voir renouer avec le N&B de sa période clipesque est évidemment plaisant (mention spéciale à une scène de banquet, la plus belle du film). Pour chipoter : l'aspect visuel précis et méticuleux (quasi clinique) du film (du Fincher quoi) est un tantinet dichotomique avec la volonté d'une image d'époque (une illusion qui ne marche pas réellement même si il n'y a rien de problématique)
Les 2h filent à toute vitesse, c'est très verbeux mais toujours captivant de par une double structure usant de flash-backs. Même si dans sa finalité le film ne propose pas nécessairement le grand sentiment d'ouverture que j'attendais (et un côté très pointu et hermétique si on ne connait pas bien l’œuvre référencée ou la période dépeinte) via quand même une belle séquence invoquant la consécration de Citizen Kane, Mank est un des tous meilleurs films de l'année, et un superbe long-métrage sur les dérives du pouvoir au sein d'une industrie gangrenée (par la politique notamment). Un Fincher d'excellente facture (un Fincher quoi) !
9/10
Mangrove est le nouveau film de Steve McQueen, et le premier de sonanthologie SmallAxe, centrée sur la communauté antillaise britannique dans les 60's, 70s et 80s.
Et ce premier volet est excellent. Se déroulant en 1968 à Notting Hill, on y suit l'histoire vraie de Frank Crichclow, ayant ouvert son restaurant (le Mangrove). Un lieu d'échange et de retrouvailles pour toute la communauté trinidadienne,jamaicaine et de Grenade,qui sera la cible de la police locale.
Des raides intempestifs et violents s'ensuivront, jusqu'à ce qu'une marche contestataire soit lancée aux côtés d'activistes.
C'est à ce moment que la police operera une brutale répression, conduisant à l'inculpation de 9 personnes. Les Mangrove Nine seront donc trainés en justice, et s'ensuivra une passionnante (et passionnée) heure de drame pénal en quête de justice.
Niveau mise en scène c'est du McQueen, donc brut et puissant (ça rappelle un peu son premier film Hunger par moments)
Le casting est excellent (Letitia Wright dans sa meilleure perf) et même si son déroulé en finde film est plus attendu, tout est soigné.
D'ailleurs le film se finit de manière un peu douce-amère
Pareil : même si on pense aux 7 de Chicago ou Dans leur regard, Mangrove est singulier de par son identité brittanique, le regard de McQueen, et le fait qu'il ne dénonce pas nécessairement le racisme, mais appelle àune justice en toutes circonstances pour les générations futures.
ça file comme une lettre à la poste !
8 ou 8.5/10
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
sacrée date que ce 22 novembre
Bon anniversaire à
Terry Gilliam réalisateur américain
Bernard Stora (réal., scén. fr.)
Billie Jean King (tennis)
Art Sullivan (chant. belge)
Jamie Lee Curtis
Leos Carax (réal. fr.)
Mariel Hemingway (actr., petite-fille d'Ernest)
Mads Mikkelsen
Anne Brochet (actr. fr.)
Boris Becker (tennis)
Mark Ruffalo (Bruce Banner/Hulk dans les Avengers de Marvel)
Marjane Satrapi (auteur bd fr., réal., Persepolis, Poulet aux prunes)
Xavier Fagnon (act. doubl., vx fr. de Seth Rogen, Rob Corddry, Matthew Fox, Dylan McDermott, Danny Pino, Anthony Michael Hall et Michael Weatherly, maître Mante dans les œuvres Kung Fu Panda, Commandant dans les films Madagascar)
Mélanie Doutey (actr. fr.)
Isild Le Besco (actr., scén., réal. fr.)
Scarlett Johansson
Andrew James West (act. am., séries Greek, Once Upon a Time )
Adèle Exarchopoulos (actr. fr., La Vie d'Adèle : Chapitres 1 et 2 d'Abdellatif Kechiche)
une pensée pour
général Charles de Gaulle (130ème anniversaire de sa naissance)
Hoagy Carmichael (compos. am.)
Philippe Leclerc de Hauteclocque, maréchal de France
Benjamin Britten (compos. britan.)
Peter Townsend (héros britan. 2ème guerre mondiale, pilote de la RAF)
Arthur Hiller (réal. can., Les Jeux de l'amour et de la guerre )
Piéral (act. fr. de petite taille)
Rosy Varte (actr. fr., télé : La Mégère apprivoisée, Maguy)
Teddy Vrignault (duo humor. Les Frères ennemis)
Robert Vaughn (Les 7 mercenaires, série Les Agents très spéciaux)
Andrzej Żuławski (réal., scén. polonais, 80ème anniv. de sa naissance)
ainsi que pour les disparus un 22 novembre
Jack London (écriv., L'Appel de la forêt, Croc-Blanc)
René Coty (présdt 4ème rép.)
Aldous Huxley (écriv. britan., Le Meilleur des mondes)
C. S. Lewis (écriv. britan., Chroniques de Narnia)
John Fitzgerald Kennedy, 35e président des États-Unis, assassiné à Dallas
Raymond Souplex (Garou-Garou, le passe-muraille ; commissaire Bourrel de Les 5 dernières minutes)
Mae West (actr. am.)
John Gilling (réal., scén. britan.)
Sterling Holloway (act. am., vx orig. Winnie l'ourson de Disney)
Maria Casarès (coméd. fr.)
Christian Marquand (act., commandant Kieffer dans Le Jour le plus long ; frère de Nadine Trintignant)
Emil Zátopek (athlète tchèque, or olympique)
Norman Granz (impresario, prod. jazz, JATP )
Parley Baer (act. am., Le Bal des maudits, Quatre bassets pour un danois)
Maurice Béjart (dans., chor. fr.)
Julien Guiomar (act. fr.)
Danielle Mitterrand
Georges Lautner (réal., scén. fr.)
Bon anniversaire à
Terry Gilliam réalisateur américain
Bernard Stora (réal., scén. fr.)
Billie Jean King (tennis)
Art Sullivan (chant. belge)
Jamie Lee Curtis
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Mads Mikkelsen
Anne Brochet (actr. fr.)
Boris Becker (tennis)
Mark Ruffalo (Bruce Banner/Hulk dans les Avengers de Marvel)
Marjane Satrapi (auteur bd fr., réal., Persepolis, Poulet aux prunes)
Xavier Fagnon (act. doubl., vx fr. de Seth Rogen, Rob Corddry, Matthew Fox, Dylan McDermott, Danny Pino, Anthony Michael Hall et Michael Weatherly, maître Mante dans les œuvres Kung Fu Panda, Commandant dans les films Madagascar)
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Isild Le Besco (actr., scén., réal. fr.)
Scarlett Johansson
Andrew James West (act. am., séries Greek, Once Upon a Time )
Adèle Exarchopoulos (actr. fr., La Vie d'Adèle : Chapitres 1 et 2 d'Abdellatif Kechiche)
une pensée pour
général Charles de Gaulle (130ème anniversaire de sa naissance)
Hoagy Carmichael (compos. am.)
Philippe Leclerc de Hauteclocque, maréchal de France
Benjamin Britten (compos. britan.)
Peter Townsend (héros britan. 2ème guerre mondiale, pilote de la RAF)
Arthur Hiller (réal. can., Les Jeux de l'amour et de la guerre )
Piéral (act. fr. de petite taille)
Rosy Varte (actr. fr., télé : La Mégère apprivoisée, Maguy)
Teddy Vrignault (duo humor. Les Frères ennemis)
Robert Vaughn (Les 7 mercenaires, série Les Agents très spéciaux)
Andrzej Żuławski (réal., scén. polonais, 80ème anniv. de sa naissance)
ainsi que pour les disparus un 22 novembre
Jack London (écriv., L'Appel de la forêt, Croc-Blanc)
René Coty (présdt 4ème rép.)
Aldous Huxley (écriv. britan., Le Meilleur des mondes)
C. S. Lewis (écriv. britan., Chroniques de Narnia)
John Fitzgerald Kennedy, 35e président des États-Unis, assassiné à Dallas
Raymond Souplex (Garou-Garou, le passe-muraille ; commissaire Bourrel de Les 5 dernières minutes)
Mae West (actr. am.)
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du même réal y a le Conte de la Princesse Kaguya (son dernier film avant sa mort) qui est également exceptionnel !
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Vu ce matin Le film est fidèle à sa réputation sur le plan lacrymal. Mais outre la fin, ce qui m'a beaucoup touché c'est la relation et la complicité qui se nouent entre le chien et Richard Gere (vraiment excellent ici). Donc voilà, l'émotion du film a parfaitement fonctionné sur moi. Ce fut un dimanche matin très humide
Merci c'est notéNaughtyDog a écrit : ↑dim. 22 nov. 2020 12:23du même réal y a le Conte de la Princesse Kaguya (son dernier film avant sa mort) qui est également exceptionnel !
C'était un des derniers que je n'avais pas vus (il me reste, Je peux entendre l'océan, mais sa réputation le précédent j'en meurs pas d'envie), et j'avais profité du premier confinement pour le regarder. Je trouve que Si tu tends l'oreille est carrément sous estimé. Probablement parce qu'il n'est pas réalisé par un des 2 pontes du studios et que le réalisateur est décédé trop tôt pour qu'on puisse profiter plus de son talent, mais pour moi il se hisse au même niveau que les meilleurs Miyazaki/Takahata.
Run (2020), réalisé par Aneesh Chaganty
"Une jeune adolescente paraplégique commence à soupçonner sa mère de lui cacher un terrible secret..."
Second film du réalisateur de Searching qui avait fait son petit buzz il y a deux ans.
Vendu un peu comme un film d'horreur, mais il s'agit plus dans les faits d'un thriller basé sur une montée progressive de la tension.
Très (trop) classique et convenu dans son déroulement, le film peine du coup à surprendre et souffre aussi de 2-3 trous dans le scénario évitables. Mais au-delà de ça, c'est plutôt efficace dans le genre et a le mérite de révéler la jeune Kiera Allen, vraiment douée et qu'on devrait revoir vite après ça.
Bon petit divertissement sans prétention en somme.
★★★★☆☆
Come Play (2020), réalisé par Jacob Chase
"Un enfant autiste découvre l'existence d'un monstre qui ne se manifeste qu'au travers des écrans. Ce dernier ne cherche qu'une seule chose : un ami..."
Mon petit film d'horreur hebdomadaire !
Un peu comme pour Lights Out il y a quelques années, Come Play est tiré d'un court-métrage ayant fait son petit effet et déjà mis en scène par Jacob Chase.
Si le résultat n'est pas aussi catastrophique que pour son modèle, le bilan reste mitigé. Il y a de bonnes choses dans le film : son concept plutôt cool déjà, puisque au-delà de son aspect horrifique efficace, il est l'objet de sous-textes intéressants (Larry, pouvant être assimilé au pseudo d'un prédateur caché derrière son ordinateur ou son téléphone pour amadouer un enfant). Aussi l'ambiance globale du film est plutôt réussie, même si elle ne brille pas par son originalité, et la jolie dernière séquence permet de finir sur une note positive.
Tout du long, on pense au Babadook , dont l'influence est assez évidente, mais sans toutefois jamais vraiment en atteindre le niveau horrifique. Le problème étant que le film tourne vite en rond (défaut récurrent du passage du court au long dans l'horreur), et le réalisateur se sent donc obligé de combler régulièrement avec des jump scares parfois ratés et surtout trop artificiels parce que placés au hasard même qu'il n'y a pas lieu d'en avoir. Le monstre, même s'il a quelques apparitions soignées, est quand à lui trop banal dans son design, son comportement et sa gestuelle.
★★★☆☆☆
"Une jeune adolescente paraplégique commence à soupçonner sa mère de lui cacher un terrible secret..."
Second film du réalisateur de Searching qui avait fait son petit buzz il y a deux ans.
Vendu un peu comme un film d'horreur, mais il s'agit plus dans les faits d'un thriller basé sur une montée progressive de la tension.
Très (trop) classique et convenu dans son déroulement, le film peine du coup à surprendre et souffre aussi de 2-3 trous dans le scénario évitables. Mais au-delà de ça, c'est plutôt efficace dans le genre et a le mérite de révéler la jeune Kiera Allen, vraiment douée et qu'on devrait revoir vite après ça.
Bon petit divertissement sans prétention en somme.
★★★★☆☆
Come Play (2020), réalisé par Jacob Chase
"Un enfant autiste découvre l'existence d'un monstre qui ne se manifeste qu'au travers des écrans. Ce dernier ne cherche qu'une seule chose : un ami..."
Mon petit film d'horreur hebdomadaire !
Un peu comme pour Lights Out il y a quelques années, Come Play est tiré d'un court-métrage ayant fait son petit effet et déjà mis en scène par Jacob Chase.
Si le résultat n'est pas aussi catastrophique que pour son modèle, le bilan reste mitigé. Il y a de bonnes choses dans le film : son concept plutôt cool déjà, puisque au-delà de son aspect horrifique efficace, il est l'objet de sous-textes intéressants (Larry, pouvant être assimilé au pseudo d'un prédateur caché derrière son ordinateur ou son téléphone pour amadouer un enfant). Aussi l'ambiance globale du film est plutôt réussie, même si elle ne brille pas par son originalité, et la jolie dernière séquence permet de finir sur une note positive.
Tout du long, on pense au Babadook , dont l'influence est assez évidente, mais sans toutefois jamais vraiment en atteindre le niveau horrifique. Le problème étant que le film tourne vite en rond (défaut récurrent du passage du court au long dans l'horreur), et le réalisateur se sent donc obligé de combler régulièrement avec des jump scares parfois ratés et surtout trop artificiels parce que placés au hasard même qu'il n'y a pas lieu d'en avoir. Le monstre, même s'il a quelques apparitions soignées, est quand à lui trop banal dans son design, son comportement et sa gestuelle.
★★★☆☆☆
Je découvre seulement ce Michael Bay, considéré comme l'un de ses meilleurs films. Je ne peux qu'approuver tant ce film est jouissif du début à la fin. Une magnifique spirale infernale dans laquelle s'enfoncent les personnages qui sont plus débiles les uns que les autres. Certaines scènes sont absolument hilarantes. Bref, une belle petite claque que ce film au rythme hallucinant.
Wahlberg et Johnson sont top dans leurs rôles. Je m'étais bien marré à l'époque.Pale a écrit : ↑dim. 22 nov. 2020 22:41
Je découvre seulement ce Michael Bay, considéré comme l'un de ses meilleurs films. Je ne peux qu'approuver tant ce film est jouissif du début à la fin. Une magnifique spirale infernale dans laquelle s'enfoncent les personnages qui sont plus débiles les uns que les autres. Certaines scènes sont absolument hilarantes. Bref, une belle petite claque que ce film au rythme hallucinant.
Le film est dans mon Top 3 Michael Bay, avec Rock et Transformers
Modifié en dernier par Wickaël le lun. 23 nov. 2020 08:28, modifié 1 fois.