Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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ClintReborn
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Ils ne m'ont jamais paru si sympathique ! :love:

Ah bon ? Pourtant la série était hardcore et métal dans mes souvenirs :lol: Faut pas oublier l'épisode final ou les habitants décident de tout détruire à l'explosif ! :rofl:

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pale
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ClintReborn a écrit :
dim. 27 déc. 2020 18:31
Ah bon ? Pourtant la série était hardcore et métal dans mes souvenirs :lol: Faut pas oublier l'épisode final ou les habitants décident de tout détruire à l'explosif ! :rofl:

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Sorti de son contexte on se croirait presque dans un épisode de L'agence tous risques :D
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:rofl:
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NaughtyDog
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l'Etrange Noel de Mr Jack jl'ai découvert quand j'avais 10 piges : j'avais trouvé ça bien et voilà quoi mdr


en ce moment jme suis replongé dans Band of Brothers : quel pied !

et j'enchainerai avec The Pacific (dont je garde très peu de souvenirs !)
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Pale
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A l'approche des 50 pages :hot: :hot: :hot:
Kahled
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Wickaël a écrit :
dim. 27 déc. 2020 18:28
Pale a écrit :
dim. 27 déc. 2020 16:13
Cocu a écrit :
dim. 27 déc. 2020 14:05
L'étrange Noël de M. jack j'adhère pas des masses non plus @Pale
Ça me rassure un peu :D

Après j'ai pas détesté non plus mais je sais pas, j'ai trouvé ça un peu pauvre :saint:
J'ai découvert le film il y a 2 ans. Je m'attendais à un chef d'œuvre, je l'ai trouvé juste bon.
Pareil pour moi (vu il y a 3-4 ans je crois). Hallucinant : le film n'a pas convaincu plus que ça sur le topic alors que c'est l'un des grands succès critique de Burton (et peu importe qu'il ne l'ait pas réalisé). :D

La DA je l'ai trouvée assez brouillonne moi (mais avec son charme). Et les chansons/jeux de mots pas toujours au top. :saint:

D'ailleurs, j'y réfléchis mais je crois que je n'ai trouvé aucune comédie musicale qui m'ait pleinement séduit musicalement.
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Kahled a écrit :
dim. 27 déc. 2020 19:28
Pareil pour moi (vu il y a 3-4 ans je crois). Hallucinant : le film n'a pas convaincu plus que ça sur le topic alors que c'est l'un des grands succès critique de Burton (et peu importe qu'il ne l'ait pas réalisé). :D

La DA je l'ai trouvée assez brouillonne moi (mais avec son charme). Et les chansons/jeux de mots pas toujours au top. :saint:

D'ailleurs, j'y réfléchis mais je crois que je n'ai trouvé aucune comédie musicale qui m'ait pleinement séduit musicalement.
En fait j'ai une large préférence pour Coraline du même réalisateur :D
Kahled
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Oui, j'ai aussi préféré Coraline.
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Je continue ma série de rattrapages de fin d'année avec Vivarium.

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Il fait partie des films que je voulais voir après avoir vu son affiche dans le métro, mais pour lequel j'ai voulu rester globalement dans l'inconnu vu qu'il semblait vouloir jouer sur l'étrangeté et le mystère.

J'ai globalement plutôt apprécié, surtout pour son aspect visuel qui correspond à un type de travail que j'aurais pu vouloir faire si j'étais metteur en scène. Il y a quelque chose de Magritte dans ce décor, volontairement ou non je ne sais pas, et comme c'est un peintre qui m'a toujours un peu fasciné je ne pouvais que tomber sous le charme.
J'aime aussi cette métaphore foncièrement pessimiste sur la vie de famille, ses difficultés, sa routine, etc... Mais j'ai le don pour aimer tout ce qui est très déprimant de base. :D

Bon point pour l'ambiance aussi, parfaitement oppressante.
Egalement pour le casting. Enfin surtout pour Imogen Poots et Jonathan Aris. Jesse Eisenberg m'a paru plus quelconque, mais il reste bien dans son rôle.

Mais à côté de ça le film m'a posé deux principaux soucis :

- déjà malgré sa durée de 1h30, le film souffre quand même d'un ventre mou je trouve où la narration peine à avancer. Je viens de voir que c'était le premier long de Lorcan Finnegan, qui n'avait fait que des courts avant ça. Ceci explique sans doute cela... Je me demande d'ailleurs si un format de moyen métrage n'aurait pas été plus adapté ici.

- et surtout très rapidement le film donne suffisamment d'indices pour qu'il n'y ait plus ou moins qu'une seule issue possible à cette histoire. Mais comme il joue dans le même temps sur l'énigme autour de la situation et du lieu, c'est un peu problématique. Le dernier plan du film est exactement celui auquel j'ai pensé 1h avant grosso modo, donc ça m'a un peu gâché la dernière partie.


Cela reste un film à concept plutôt intéressant, et je suis curieux de voir ce que le réalisateur fera dans le futur et avec un peu plus d'expérience.
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A côté de ça, j'ai toujours mes petits divertissements horrifiques pour faire des pauses entre les films plus sérieux.

En bref :

No Escape (Follow Me)

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Enième film d'horreur à surfer sur le concept des escapes room, et il le rend mieux que la moyenne du genre pour le coup je dirais. Mais il y adjoint une autre nouvelle mode dans le genre : les influenceurs.
On suit donc une sorte d'ersatz du débile Paul Logan, prêt à tout pour faire des vues, qui se retrouve embarqué dans un sombre escape game à l'autre bout du monde et construit soit disant sur mesure pour lui et sa bande.

Problème : le plot twist vers lequel on va est évident dès les 2 ou 3 premières minutes du film. Et plus le film avance, plus il se confirme au vu des événements. De quoi gâcher toute la tension.
Au-delà de ça, j'ai vu bien pire, j'ai vu aussi mieux. Un petit 4/10 disons.

Heks

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Un film d'horreur sud africain, ce n'est pas si banal. Et plutôt bien noté dans le genre sur imdb et cie, donc cette histoire de sorcière moderne était destinée à occuper ma fin de soirée du réveillon de Noël. :D

Bon au final, rien de fou à se mettre sous la dent, si ce n'est sa charmante héroïne.
Le film a peiné à me passionner, et le metteur en scène ne parvient pas vraiment à compenser un probable manque de moyen avec sa créativité ou un réel talent esthétique.
Du coup... Je me suis un chouilla emmerdé quand même.
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Cocu
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Pale a écrit :
dim. 27 déc. 2020 19:04
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:rofl:
:lol:
Pouet
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Kahled a écrit :
dim. 27 déc. 2020 19:28
D'ailleurs, j'y réfléchis mais je crois que je n'ai trouvé aucune comédie musicale qui m'ait pleinement séduit musicalement.
:ouch: les disney (reine des neiges, Vaïana?)? Mary poppins? Peau d'âne :D ? Singin' in the rain :love2: ? La la land :love2: ?
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@Kahled l'épisode musical de Buffy 😁😁
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Cocu a écrit :
dim. 27 déc. 2020 21:26
Kahled a écrit :
dim. 27 déc. 2020 19:28
D'ailleurs, j'y réfléchis mais je crois que je n'ai trouvé aucune comédie musicale qui m'ait pleinement séduit musicalement.
:ouch: les disney (reine des neiges, Vaïana?)? Mary poppins? Peau d'âne :D ? Singin' in the rain :love2: ? La la land :love2: ?
Musicalement, les Disney c'est les pires je trouve. :D

La la land et Chantons sous la pluie, c'est pas les chansons que j'aime le plus dans ces deux films.

Peau d'âne, mais quelle horreur ! :lol:
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Cocu a écrit :
dim. 27 déc. 2020 21:28
@Kahled l'épisode musical de Buffy 😁😁
Hum... alors comment dire ?
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Cocu a écrit :
dim. 27 déc. 2020 21:26
La la land :love2: ?
Ca y est je vais avoir envie de le revoir pour la jensaispascombientième fois.
Ce film :love:

Je ne suis pas franchement amateur de comédies musicales de manière générale.
Et en salles à l'époque, la toute première scène du film sur l'autoroute, j'ai cru que j'allais crever.
Mais en fait 30min après j'étais dedans comme jamais. :D
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Next a écrit :
dim. 27 déc. 2020 21:43
Cocu a écrit :
dim. 27 déc. 2020 21:26
La la land :love2: ?
Ca y est je vais avoir envie de le revoir pour la jensaispascombientième fois.
Ce film :love:

Je ne suis pas franchement amateur de comédies musicales de manière générale.
Et en salles à l'époque, la toute première scène du film sur l'autoroute, j'ai cru que j'allais crever.
Mais en fait 30min après j'étais dedans comme jamais. :D
Je ne suis pas comédie musicale non plus. Je n'ai d'ailleurs pas aimé la la land la 1ê fois, mais j'ai kiffé les chansons que j'ai écouté en boucle pendant 1 an, et le revoir après j'étais émerveillée 😍
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Kahled a écrit :
dim. 27 déc. 2020 21:38
Cocu a écrit :
dim. 27 déc. 2020 21:26
Kahled a écrit :
dim. 27 déc. 2020 19:28
D'ailleurs, j'y réfléchis mais je crois que je n'ai trouvé aucune comédie musicale qui m'ait pleinement séduit musicalement.
:ouch: les disney (reine des neiges, Vaïana?)? Mary poppins? Peau d'âne :D ? Singin' in the rain :love2: ? La la land :love2: ?
Musicalement, les Disney c'est les pires je trouve. :D

La la land et Chantons sous la pluie, c'est pas les chansons que j'aime le plus dans ces deux films.

Peau d'âne, mais quelle horreur ! :lol:
Les Disney faut les écouter et réécouter en boucle pour les aimer 😁
Peau d'âne j'adore 🤣
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Je me remate Forrest Gump sur 6 ter 🥰
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Next a écrit :
dim. 27 déc. 2020 21:43
Je ne suis pas franchement amateur de comédies musicales de manière générale.
Et en salles à l'époque, la toute première scène du film sur l'autoroute, j'ai cru que j'allais crever.
Mais en fait 30min après j'étais dedans comme jamais. :D
The Greatest Showman tu l'as vu ? C'est une de mes préférées et elle plait généralement aux anti-comédies musicales :D
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@Pale moi j'aime pas 👻
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Pale a écrit :
dim. 27 déc. 2020 22:14
The Greatest Showman tu l'as vu ? C'est une de mes préférées et elle plait généralement aux anti-comédies musicales :D
Oui et je n'ai pas du tout aimé ! :D
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Dernier rattrapage de cette journée : Swallow !

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Apparemment j'ai le don pour regarder des films que l'on pourrait relier quelque part au confinement. :o
Après Vivarium tout à l'heure et son couple en un sens enfermé, j'ai donc suivi le parcours plutôt inquiétant d'une femme au foyer qui ne sort pour ainsi dire jamais de chez elle.
Et je dirais même que le lien avec Vivarium va encore au-delà (même si les films n'ont pas grand chose à voir) dans le sens où il est encore une fois question de difficultés dans la parenté et la vie de famille.

Ne sachant que peu de choses sur le film là avant de le lancer, c'est surtout le fait que Haley Bennett soit la tête d'affiche qui m'a incité à regarder, actrice que je trouve très très prometteuse et que j'avais notamment apprécié cette année dans "The Devil All The Time".

J'ai trouvé que c'était un vrai bon film. Imparfait et qui ne digère pas encore totalement ses influences, mais tout de même assez abouti pour un premier film.
Probablement à ne pas mettre entre toutes les mains parce que le film est assez pesant, dérangeant même sur certaines scènes et marche sur un rythme assez lancinant qui peut ennuyer.

Haley Bennett crève vraiment l'écran je trouve dans le rôle de cette femme aux réactions pas toujours simples à anticiper et dont le mal qui la ronge n'est pas forcément dû à ce que l'on croit au départ (encore que...).
Son personnage phagocyte d'ailleurs tellement l'attention du réalisateur que parfois il en oublie peut-être un peu trop ceux qui gravitent autour d'elle. Mais ce n'est pas vraiment gênant, l'intérêt et les messages du film passant de toute façon par elle.

Beau premier film qu'il va me falloir un peu de temps pour digérer... Si je puis dire !
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Kit
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comme film musical : West Side Story :love2:
quand j'étais ado je ne loupais pas la comédie musicale aux alentours de minuit la nuit de la st Sylvestre (les sols miroirs des films de la MGM sur lesquels dansaient Fred et Ginger)
il y en a un pour lequel j'ai gardé de la sympathie au point d'avoir acheté le dvd il y a quelques mois c'est "3 petits mots" de Richard Thorpe avec Fred Astaire, que je regarderai comme dans le temps la nuit de la st Sylvestre puisque je ne travaille pas cette nuit là.
avec Fred Astaire je rajouterai La Belle de Moscou (Rouben Mamoulian) avec Cyd Charisse, remake musical de Ninochka avec Greta Garbo
Brigadoon avec Gene Kelly, Cyd Charisse
films musicaux mais pas chanté, The Glenn Miller Story (Romance inachevée) et The Benny Goodman Story (Donna Reed :love2: ), Bird, Autour de minuit entrecoupés de morceaux de jazz
j'avoue que j'aimais aussi les films avec les ballets aquatiques d'Esther Williams :love2:
pour les films de Jacques Demy j'ai du mal à les voir en entier :D à part Les Demoiselles de Rochefort (quel casting !) même si c'est assez démodé
pour la saison je rajouterai Noël blanc (White Christmas) film musical américain de Michael Curtiz avec Bing Crosby et Danny Kaye sorti en 1954, j'avais acheté le blu-ray l'an dernier et revu avec plaisir
et Hair :love2: marrant je l'ai vu au cinoche de ma caserne il y a 40 ans :D
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Kit
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@ClintReborn
Bon 99ème anniversaire à l'amiral Philippe De Gaulle (fils du général, président)

98ème anniversaire de la naissance de Stan Lee (Marvel)
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Kit
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j'avais annoncé ici la diffusion de La vie est belle de Capra pour ce soir sur Arte mais c'est pour demain mardi, ce soir Arte diffuse un très bon western de 1952 d'Anthony Mann Les Affameurs avec James Stewart et Arthur Kennedy
sur France 4 Le Père Noël est une ordure, film que je n'ai jamais vu :D et ce soir je travaille (je sais mauvaise excuse)
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Miamsolo
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Kit a écrit :
lun. 28 déc. 2020 02:06
et Hair :love2: marrant je l'ai vu au cinoche de ma caserne il y a 40 ans :D
J'allais justement le citer! :hot: :love2: Ma comédie musicale préférée :love2: :love2: :love2:
+ de 4400 jours sur AlloCiné
*Mister gentil comme un coeur 2013*
*Mister gentil comme un coeur 2014*
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Kit
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Miamsolo a écrit :
lun. 28 déc. 2020 12:02
Kit a écrit :
lun. 28 déc. 2020 02:06
et Hair :love2: marrant je l'ai vu au cinoche de ma caserne il y a 40 ans :D
J'allais justement le citer! :hot: :love2: Ma comédie musicale préférée :love2: :love2: :love2:
et Grease qui passe en ce moment sur Arte
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bewyder
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Tu n'as pas regardé Escape Game, pour le confinement ? :D
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Eh ben, j'ai trouvé ça assez accrocheur et efficace dans l'ensemble. :cool:
Même s'il faut éviter de se poser certaines questions... ^^
"Le plus important est toujours de se faire rire soi-même." bewyder
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Pale
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Kit a écrit :
lun. 28 déc. 2020 02:06
et Hair :love2: marrant je l'ai vu au cinoche de ma caserne il y a 40 ans :D
Pas mal, j'imagine que le film a dû avoir une résonance particulière.
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Pale
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Wonder Woman 3 de Patty Jenkins est officiellement annoncé par Warner

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À peine quelques jours après la sortie du deuxième opus, Warner vient d'annoncer un Wonder Woman 3, toujours de Patty Jenkins et avec Gal Gadot.

Si les premiers retours à propos de Wonder Woman 1984 étaient très positifs, la sortie du film a quelque peu calmé les ardeurs de la critique américaine. Il est passé de presque 90% à 65% sur Rotten Tomatoes en quelques jours. Les spectateurs n'ont pas été plus généreux. Certes, leur note stagne à 73% sur le site américain, mais beaucoup d'entre eux ont avoué être un peu déçus de ce nouvel épisode, tout de même long de 2h30. On est loin de l'enthousiasme immédiat sucité par son prédécesseur, clairement un des films DCEU les mieux accueillis.

Voilà pourquoi le studio, plus frileux que la concurrence à grandes oreilles à cause de quelques emballements prématurés passés, a préféré attendre d'avoir des chiffres pour songer à la suite des aventures de Diana Prince. Et malgré un démarrage très poussif en Chine, le long-métrage semble avoir satisfait Warner vis-à-vis du marché américain (16,7 millions de dollars au premier week-end, sans compter HBO max). De quoi justifier une suite, donc, annoncée officiellement via un communiqué et par le patron Toby Emmerich.

"Alors que les fans partout dans le monde continuent d'accueillir Diana Prince, étant donnée la grosse performance de l'ouverture de Wonder Woman 1984, nous sommes très heureux de pouvoir continuer son histoire avec nos Wonder Women de la vraie vie - Gal [Gadot] et Patty [Jenkins] - qui reviendront pour conclure la trilogie cinéma prévue depuis longtemps."

Si le retour du duo roi de la promo n'est pas une très grande surprise, les cinéphiles seront heureux d'apprendre que ce troisième volet devrait sortir en salles, révélant que la stratégie actuelle du studio est peut-être bien temporaire. Voilà qui devrait rassurer Jenkins, elle qui avait déclaré ne vouloir rempiler que si son film était garanti d'une sortie cinéma. Autre bonne nouvelle, il s'agira du dernier volet d'une trilogie, a priori pensée depuis longtemps. Que les fans se rassurent : l'Amazone ne devrait pas disparaître des écrans pour autant. Un spin-off et même peut-être une série animée sont prévus.

Ces spin-offs sont-ils voués à débarquer sur HBO Max ? Difficile à dire, alors que le deuxième opus de la franchise vient à peine d'arriver outre-atlantique, et qu'il ne sortira pas en France avant l'ouverture des salles.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... MvhAo9itH8
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EL n'a pas aimé C’est nous les héros (1,5 étoiles) :

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En cette fin d'année 2020, on nous a souvent reproché une certaine hostilité à l'encontre de Netflix. Il faut dire que la plateforme tend le bâton pour se faire battre : juste après avoir donné un chèque en blanc à George Clooney pour un Minuit dans l'univers qui s'est fait défoncer par la presse, elle a autorisé Robert Rodriguez à doter son traumatisant Les aventures de Shark Boy et Lava Girl d'une suite. Le résultat, C’est nous les héros, entâche avec application le premier de nos Noëls confinés.

Dissonance cognitive


C’était écrit : Pedro Pascal et Robert Rodriguez devaient se rencontrer. Le premier est parvenu à montrer sa trogne sur Netflix, Disney+ et HBO Max dans la même semaine, histoire de dépasser le Père Noël en notoriété dans les foyers américains. Le deuxième persiste dans son stakhanovisme décomplexé, passant d’un des blockbusters les plus ambitieux des années 2010 au film pour gosse décérébré, sans oublier une escale par la série la plus regardée du moment, pour laquelle il a composé une scène d’action géante quasiment intégralement improvisée.

Une rupture thématique permanente qui ne serait pas aussi absurde si elle ne s’accompagnait pas d’une irrégularité esthétique ahurissante. Déjà à la fin des années 1990, il avait glissé en 3 ans de The Faculty au bonbon rose un peu sucré Spy Kids. En 2005, il avait enchaîné Sin City et le cauchemar rétinophobe Shark Boy et Lava Girl. Ultime exemple en date de ses diptyques saugrenus : Alita : Battle Angel dernier grand chef-d’œuvre de la performance capture, multipliant les interactions entre une androïde ultra-réaliste et son environnement, et We Can Be Heroes, mélasse multicolore aux incrustations honteuses et éclairée comme un jeu télévisé Gulli.

Non pas que la simplicité des CGI soit un problème en soi. D’ailleurs, les parti-pris visuels vantés par le matériel promotionnel, s’attardant particulièrement sur le combat des héros adultes, auraient pu laisser présager une sorte de naïveté provocatrice et dirigée, tranchant volontairement avec le pseudo-réalisme devant lequel les productions super-héroïques s’agenouillent régulièrement. Un antidote à la morosité faussement torturée de Justice League et consorts, en somme.

Mais un tel acte de résistance, même s’il assumait ses effets cartoonesques tous droits hérités des arcanes des années 2000, exigeait une certaine sobriété. Rien de tout ça dans We Can Be Heroes, s’inspirant consciemment de son prédécesseur Shark Boy et Lava Girl, penchant enfantin du climax de Mortal Kombat 2 : Destruction finale. De fait, cette suite n’est pas seulement laide : elle est indigeste, comme la bûche artisanale de votre mamie. Et l’hideux climax, indigne des pires bugs de la version minitel de Cyberpunk 2077 en est témoin.

Le cas Rodriguez, pour qui le soutien de Netflix n’a pas permis de se débarrasser des défauts de ses précédents essais à destination des enfants, reste un mystère entier. Un mystère dépassant même le cadre de son impénétrable filmographie, puisque le monteur de profession ruine les quelques rares bonnes idées visuelles (l’escalier de méchants) via un découpage cut hyperactif. À d’autres instants, de simples champs/contre-champs parviennent à convoquer une nausée immédiate.

Une enfance volée

Les inconditionnels du cinéaste, dont le talent n’est ici pas remis en cause, pourraient sortir la fameuse carte piège : « oui, mais c’est pour les gosses ». Et certes, We Can Be Heroes légitime son aspect faussement peinturluré grâce à son public cible, peu rompu à l’exercice analytique. Mais reconnaître l’appétence des enfants pour tout ce qui est coloré et super-héroïque n’empêche pas de leur éviter un tel test de réaction à l’épilepsie. D’une part parce qu'il risque d'être positif. D’autre part parce que même eux méritent bien mieux.

En effet, non seulement le film confond dépouillement esthétique et choucroute niaise, mais il présume de la prétendue stupidité juvénile de ses spectateurs pour leur imposer les pires facilités. On suit une bande de fils et filles de super-héros, qui doivent s’unir pour libérer leurs illustres géniteurs, quelques super acteurs (Pedro Pascal, Christian Slater, Boyd Holbrook, Sung Kang) enfermés dans une boite en plastique pendant les 2/3 du film.

Les pouvoirs des gosses, a priori amusants, sont en fait au service de la très maigre intrigue, exception faite de quelques séquences de baston aussi peu chorégraphiées que mal mises en scène et une double reprise de David Bowie qui ne manquera pas de pousser les puristes au suicide. Outre la stupidité des pouvoirs en eux-mêmes (chanter bas soulève les objets, d’accord), ils sont en quelque sorte des deus ex-machina intégrés, arrangeant à peine un récit qui s’enfonce dans le laxisme narratif et une niaiserie qui est loin d’être seulement due au catastrophique mais attendu jeu des très jeunes acteurs.

Shark Boy et Lava Girl était déjà d’une lourdeur impressionnante. We Can Be Heroes parvient presque à le surpasser, partant une fois de plus du principe que les enfants ne sont pas capables de comprendre les sous-entendus. La thématique du vivre-ensemble et de la cohésion d’équipe, élevée au rang de mantra dès 15 minutes de métrage et exhibée à intervalles réguliers, est matraquée sans répit, toujours à travers des dialogues appesantis de mièvrerie, jusqu’à un double twist final évident, qui en rajoute encore une couche dans la subtilité.

Tout dans le long-métrage participe de concert à une impression de gavage sans fin. Et les quelques bonnes idées logiquement issues de la loufoquerie initiale, notamment le personnage de Slow-mo, finissent avalées dans cette tarte à la crème avariée, qui épuisera les parents et dégoûtera les enfants.

Sortir un tel film en même temps que son antithèse absolue, à savoir le Soul de Pixar, était-il un sacrifice conscient ou un doigt d’honneur à la concurrence de la part du N rouge, alors que Robert Rodriguez vient de rejoindre l’équipe de production d’une des trouzaines de séries Disney Star Wars à venir ? On aimerait parfois se glisser dans les réunions des exécutifs de la firme, et goûter à leurs substances favorites.

We Can Be Heroes se veut plus Bowie que Lennon. Pour nous, c'est plus un laid non qu'un beau oui.


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Pale
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Après Tyler Rake et Cherry, Les frères Russo s'attaquent à un conte de Noël culte

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Joe et Anthony Russo plancheraient sur une nouvelle adaptation d'Un Chant de Noël de Charles Dickens.

Si Avengers : Endgame fut clairement le sommet de leur carrière, tant sa réussite économique est restée dans les esprits de tous les cinéphiles, les frères Russo continuent à régner tranquillement sur Hollywood, du haut de leur poste de producteurs (Tyler Rake, Manhattan Lockdown) ou de réalisateurs (le Cherry avec Tom Holland, prévu pour 2021). Une main-mise impressionnante, d'autant plus que le duo a encore beaucoup de projets en tête, de la suite de Tyler Rake à une adaptation de Magic : The Gathering, sans compter les possibilités de retour au film de super-héros.

Et ce n'est pas fini, car les scénaristes Mark Swift et Damian Shannon, auteurs de Freddy contre Jason, du remake de Vendredi 13 et de Baywatch - Alerte à Malibu, ont annoncé sur Twitter plancher sur une commande des deux frères. Et pas n'importe quelle commande, puisqu'il s'agirait d'une adaptation du Chant de Noël de Charles Dickens, célebrissime conte maintes et maintes fois adapté, comme Swift et Shannon le rappellent d'ailleurs en citant le Noël chez les Muppets.

"Nous avons été chargés par les frères Russo d'écrire une version moderne d'Un Chant de Noël, nous avons vu toutes les versions qui existent. Je peux vous dire que la version des Muppets est dans le top 3. Un immanquable pour chaque Noël. C'est merveilleux."

Bien que cette histoire d'esprits visitant un vieux crouton égoïste du nom de Scrooge est un grand classique du divertissement américain, les européens sont probablement plus familiers avec la charmante adaptation de Robert Zemeckis, sortie chez nous sous le titre Le Drôle de Noël de Scrooge, et troisième experience animée du cinéaste après Le Pôle Express et La Légende de Beowulf. Nul doute que cette version "moderne" transposera l'histoire au XXIème siècle.

Le duo espère voir la concrétisation de leur scénario débarquer en 2021, en décembre prochain, on suppose. À noter qu'il ne s'agit pas de la seule adaptation à venir. Apple TV+ serait en train d'en développer une avec Will Ferrell et Ryan Reynolds et Bill Condon devrait en tirer une comédie musicale pour Disney. De quoi avoir un chant de Noël tous les ans.


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EL n'a pas trop aimé Soul (2,5 étoiles) :

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Soul devait être un raz-de-marée de Noël dans les salles, mais une pandémie en a décidé autrement, le transformant en produit d’appel pour Disney+. Le nouveau film de Pete Docter est-il l’évènement attendu ?

VIENS VOIR LE DOCTER


La carrière de Docter est un progressif mouvement vers la mélancolie et l’abstraction. Monstres & Cie était une exploration du subconscient déguisée en buddy movie, Là-haut un faux film d’aventures et vrai récit de deuil, quand Vice Versa triturait la matière même de nos émotions en questionnant le concept d’acceptation. Avec Soul, l’auteur traite désormais de nos âmes, de pourquoi, comment nous nous accomplissons, et finalement, pourquoi nous souhaitons, envers et contre tout, ne pas mourir.

Vaste programme, qui appelait une vaste réflexion plastique, de celle que Pixar a menée plusieurs fois au cours de son histoire, et qui s’incarne ici à travers deux défis, tant esthétiques que plastiques. Le premier consiste à représenter visuellement des idées aussi vaporeuses que l’âme, l’au-delà, l’inconscient ou la névrose. Difficile, il convoque des influences aussi variées que Dali ou Escher, tant dans les jeux de perspectives, les contrastes de matière, que leur douceur parfois piégeuse.

Une charte à laquelle le film applique un tour de force technologique assez impressionnant. En effet, la plupart des éléments graphiques présents dans l’outre-monde sont duveteux et ne disposent pas de contours nets. Ce type de modélisation représente en soi un challenge technologique de taille, que les équipes de Docter ont relevé avec un brio indiscutable. Jamais pris en défaut, Soul propose même ici et là des jeux sur la matière, des mélanges 2D/3D parfaitement inédits, qui passionneront les amateurs d’animation.

R.I.P(IXAR)

Cette technicité ahurissante souffre malheureusement d’une direction artistique nettement moins inspirée. De la galerie des âmes aux airs de glaviots sucrés, en passant par un monde réel qui peine à sortir de la représentation désormais générique de la ville, Soul est un miracle technique qui manque cruellement... d’âme.

En témoigne la scène du barbier, sidérante de fluidité, de précision, et encore une fois d’accomplissement technique, mais terriblement convenue dans son découpage, son discours, et les interactions entre ses personnages. Comme si le studio ne pouvait plus proposer que de solides mises à jour de ses exploits d’hier. Ainsi, il ne suffit pas de modéliser à la perfection la fourrure d’un chat pour nous faire oublier la médiocrité de son design ou la dimension fonctionnelle de son écriture.

Ce constat vaut aussi pour la narration. À la manière de Rebelle, le scénario opère à son mitan un retournement certes malin (et inattendu), mais qui va soudain contraindre l’intrigue à changer un peu de braquet, la rendant souvent beaucoup trop superficielle. Et on s’agacera plus d’une fois de voir le film traiter ses meilleures idées par-dessus la jambe, à la manière de l’âme torturée d’un trader qu’on transformera en trois coups de cuillère à pot en humaniste patenté (venant d’une multinationale telle que Disney, qui vient de sacrifier le cinéma à ses actionnaires, la pilule est amère).

COULEZ MES LARMES, DIT L’ACTIONNAIRE

Et plus généralement, malgré la malice de ses idées, les trouvailles qui se succèdent manquent toutes d’aboutissement. Plus encore que dans Vice-Versa, la profondeur des thématiques se heurte à la rapidité de l’exécution, au grand-écart kamikaze d’un projet qui veut bouleverser les grands et éveiller les petits, tout en s’ouvrant sur la mort de son héros. Un point de départ assez affolant, qui sera finalement miné par un discours tristement convenu sur l'existence et l'inspiration, invraisemblablement contredit par un épilogue qui n'assume soudain plus la dimension funèbre et tragique de son récit.

Énième film de Pixar à nous parler de la mort, de la nécessité des adieux et de l’abandon, Soul arrive deux ans après le renvoi de John Lasseter, chef d’orchestre et créateur du studio, écarté dans le sillage de MeToo, suite à de nombreuses accusations de harcèlement sexuel au sein de l’entreprise. Lasseter était connu pour avoir installé au sein de Pixar et entre ses metteurs en scène un système d’émulation créative réputé. On se demande si la firme à la lampe est encore capable de transcender son propre programme.

Une nouvelle fois, l’impression d’assister à un requiem imparfait prédomine, comme si cette équipe naguère géniale ne pouvait plus qu’observer, de loin, sa propre dissolution dans l’empire Disney, et nous encourager à lui faire ses adieux. Une mise en perspective qui touche, passionne, mais témoigne aussi de profondes imperfections de cet ambitieux projet.

Soul est disponible sur Disney+ depuis le 25 décembre 2020

Miracle technologique et proposition plastique souvent ambitieuse, Soul souffre d'une direction artistique hésitante et de son incapacité à tout à fait assumer son sujet et ses thématiques.


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Pour @Kahled : Buffy contre les vampires est l'une des meilleures séries du monde, voilà pourquoi

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Joyeux anniversaire au cinéma qui a 125 ans aujourd'hui :

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Pale a écrit :
lun. 28 déc. 2020 18:29
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J'ai d'ailleurs prévu d'enchaîner les trois saisons l'année prochaine.
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bewyder a écrit :
lun. 28 déc. 2020 16:10
Tu n'as pas regardé Escape Game, pour le confinement ? :D
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Eh ben, j'ai trouvé ça assez accrocheur et efficace dans l'ensemble. :cool:
Même s'il faut éviter de se poser certaines questions... ^^
J'ai du en voir 4 ou 5 avec plus ou moins le même nom et le même concept en un an ou deux là.
Ils ne font plus que ça. ^^

Du coup je les confonds un peu, mais je crois que celui-là est le "meilleur" du lot.
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Kit
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Pale a écrit :
lun. 28 déc. 2020 17:51
Kit a écrit :
lun. 28 déc. 2020 02:06
et Hair :love2: marrant je l'ai vu au cinoche de ma caserne il y a 40 ans :D
Pas mal, j'imagine que le film a dû avoir une résonance particulière.
oui en effet un film antimilitariste, d'ailleurs je me suis trompé ce n'était pas lors de mon service militaire en Allemagne mais quelques mois avant à Nancy pour mes 3 jours (c'était quand même une caserne) :D
Vosg'patt de cœur
Kahled
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Pale a écrit :
lun. 28 déc. 2020 18:15
Pour @Kahled : Buffy contre les vampires est l'une des meilleures séries du monde, voilà pourquoi

https://www.ecranlarge.com/series/dossi ... HyszvN72Ec
Je te laisse volontiers la regarder alors. :D
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J'ai revu une bonne partie de Buffy pendant le premier confinement parce que je me faisais chier.
Bon, je n'irai pas jusqu'à dire que c'est "une des meilleures séries du monde", ni même qu'elle ferait partie de mon top 30 loin de là, mais c'est quand même addictif et un sympathique plaisir coupable. :saint:

Par contre, la présence de Sarah Michelle Gellar fait 80% joue dans mon appréciation clairement. Sans elle, je pense que je ne tiendrais pas 2 épisodes. ^^
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Cocu
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@Next elle est sublime dedans 🥰
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Next a écrit :
lun. 28 déc. 2020 20:36
J'ai revu une bonne partie de Buffy pendant le premier confinement parce que je me faisais chier.
Bon, je n'irai pas jusqu'à dire que c'est "une des meilleures séries du monde", ni même qu'elle ferait partie de mon top 30 loin de là, mais c'est quand même addictif et un sympathique plaisir coupable. :saint:

Par contre, la présence de Sarah Michelle Gellar fait 80% joue dans mon appréciation clairement. Sans elle, je pense que je ne tiendrais pas 2 épisodes. ^^
Je ne me rappel plus trop des débuts je me rappel de la présence de David Boreanaz qui a fait du chemin dans le monde des séries depuis :D Et Anthony stewart head en bibliothécaire.
Dans les dernières saisons c'est plutôt spike qui tire son épingle du jeu :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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J'ai presque terminé la première saison de The Mandalorian. Mon top des épisodes pour le moment :

Épisode 7
Épisode 4
Épisode 2
Épisode 1
Épisode 6
Épisode 5
Épisode 3

Je viens de terminer le 7 à l'instant, très grand épisode et j'ai hâte de voir le dernier, réalisé par Taika Waititi. Ce sera pour demain et puis j'enchaine avec la seconde.

Cette série m'a déjà procuré pas mal d'émotions, plus que les films SW :D
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Cocu a écrit :
lun. 28 déc. 2020 20:50
@Next elle est sublime dedans 🥰
Et dans les dialogues, elle a quelques allusions que je n'avais pas totalement saisi à l'époque ^^ :hap:
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Pale a écrit :
lun. 28 déc. 2020 22:31
j'ai hâte de voir le dernier, réalisé par Taika Waititi.
L'intro de l'épisode en question (même si la scène n'a rien d'important en terme de narration). :love2:
Depuis ce moment j'attendais qu'on lui annonce un projet SW à lui. C'est chose faite entre temps. :D
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Wickaël
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Sans égaler le chef d'oeuvre qu'est The Devil's Rejects le film se suit principalement pour son trio de tarés. Après c'est un vrai plaisir de revoir Otis, Baby et (même si son temps à l'écran est très mince) Captain Spaulding. Y'a pas vraiment d'enjeux, on suit juste la cavale meurtrière des psychopathes jusqu'à un final bien sanglant.

6/10
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Pale
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:hello:

Hailee Steinfeld nous souhaite de joyeuses fêtes de fin d'année :

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J'adore son pyjama :love: :D
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Pale
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:hot:
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