J'ai pris 15js début juillet comme ça ça repose et j'ai repris 1 semaine fin août comme ça quand tu reviens de vacances ben t'as encore des vacances à venir
Le Cercle des profileurs disparus
Cool
C'est sympa la montagne en été. Ce ne sera pas pour moi cette année en revanche (je vais un peu plus au Sud).
Je vais faire pareil
Mais l'inconvénient, c'est qu'on profite un peu moins des longues journées estivales...
Lui aussi s'est vendu à Netflix ?
Que valent les plateformes chinoises ? Elles sont accessibles en Europe ?
Ou c'est juste les chiffres pour leur pays ? Si c'est le cas, elles ont encore du potentiel
A ajouter à la liste de trucs à voir un jour
Oui bien sûr mais a priori je décide de ne pas me fier à ces critiques : j’attends de voir le film.ClintReborn a écrit : ↑jeu. 19 août 2021 13:42Il y a un certain consensus la par contre même sur rotten... Parfois c'est juste raté
Bonnes vacances !
Je le suis tout le mois d'août, mais comme ma copine travaille je garde le petit, et avec la météo pas super on est souvent à la maison, quoique là le soleil et la chaleur reviennent tout doucement.
Merci !
Vu ce matin :
C'est pas mal. La première partie est bourrée de facilités. Le tout paraît extrêmement classique mais il y a par la suite des rebondissements qui rehaussent l'ensemble et maintiennent notre intérêt. Le film offre quelques bonnes bastons (dans des décors désespérément vides) ainsi qu'un bon duo d'acteurs.
De Daniel Craig à Robert Pattinson : les stars les mieux payées du moment à Hollywood
Jouer Batman, ça paye moins que de tourner les suites d'A couteaux tirés pour Netflix !
Variety établit comme chaque année un top des stars les mieux payées du moment à Hollywood, avec une particularité cette année : les deux grands gagnants du top sont Daniel Craig et Dwayne Johnson, qui ont amassé chacun des sommes très importantes grâce à des films destinés à des services de plateforme. Le premier a touché 100 millions de dollars pour tourner dans les deux suites d'A couteaux tirés, de Rian Johnson, pour Netflix, et le second a raflé 50 millions (30 millions + des bonus) pour être la star de Red One pour Amazon Prime. Tout en bas de la liste, Robert Pattinson est loin derrière avec ses 3 millions pour The Batman, l'un des prochains super-films de la Warner Bros destiné au cinéma.
Pourtant, incarner des super-héros peut parfois être payant. Robert Downey Jr. a plusieurs fois été en tête de ce classement grâce à ses salaires fous pour jouer Iron Man, et Chris Hemsworth a touché 20 millions de billets verts pour rempiler dans le rôle de Thor dans Love & Thunder. Pourtant, il y a effectivement une forte présence de services de streaming dans ce nouveau classement. Si Sandra Bullock a gagné cette même somme pour sa comédie romantique The Lost City of D, qui est prévue sur grand écran, tout comme Brad Pitt pour le film d'action Bullet Train, Leonardo DiCaprio et Jennifer Lawrence figurent dans ce top grâce à leurs 30 et 25 millions de dollars respectivement acquis pour jouer dans Don't Look Up, le prochain film d'Adam McKay prévu sur Netflix.
L'article souligne d'ailleurs que la question de la diffusion des films au cinéma ou en streaming commence à poser des problèmes, à l'heure où plusieurs studios, tels que Disney avec Disney Plus ou Warner Bros avec HBO Max, proposent leurs nouveautés à la fois sur grand écran et à la maison. Ce dernier a ainsi signé des contrats avec Denzel Washington, Will Smith ou Keanu Reeves, à hauteur de 40 millions pour les deux premiers et entre 12 et 14 millions pour le troisième, afin qu'ils jouent dans The Little Things, King Richard et Matrix 4, mais ceux-ci prévoient un bénéfice sur les recettes au cinéma... qui sera forcément moindre si leurs films sortent en parallèle sur le site de streaming. Variety précise enfin qu'avec son statut de star plus traditionnel, Tom Cruise s'en sort bien en signant des contrats qui lui permettent de toucher tout son salaire avant même que le studio n'ait gagné le moindre centime sur ses films. Il a ainsi déjà touché 13 millions pour Top Gun Maverick, une somme qui devrait grimper si le film est un succès en salles.
https://www.premiere.fr/People/News-Peo ... gOUyLzI3jQ
Jouer Batman, ça paye moins que de tourner les suites d'A couteaux tirés pour Netflix !
Variety établit comme chaque année un top des stars les mieux payées du moment à Hollywood, avec une particularité cette année : les deux grands gagnants du top sont Daniel Craig et Dwayne Johnson, qui ont amassé chacun des sommes très importantes grâce à des films destinés à des services de plateforme. Le premier a touché 100 millions de dollars pour tourner dans les deux suites d'A couteaux tirés, de Rian Johnson, pour Netflix, et le second a raflé 50 millions (30 millions + des bonus) pour être la star de Red One pour Amazon Prime. Tout en bas de la liste, Robert Pattinson est loin derrière avec ses 3 millions pour The Batman, l'un des prochains super-films de la Warner Bros destiné au cinéma.
Pourtant, incarner des super-héros peut parfois être payant. Robert Downey Jr. a plusieurs fois été en tête de ce classement grâce à ses salaires fous pour jouer Iron Man, et Chris Hemsworth a touché 20 millions de billets verts pour rempiler dans le rôle de Thor dans Love & Thunder. Pourtant, il y a effectivement une forte présence de services de streaming dans ce nouveau classement. Si Sandra Bullock a gagné cette même somme pour sa comédie romantique The Lost City of D, qui est prévue sur grand écran, tout comme Brad Pitt pour le film d'action Bullet Train, Leonardo DiCaprio et Jennifer Lawrence figurent dans ce top grâce à leurs 30 et 25 millions de dollars respectivement acquis pour jouer dans Don't Look Up, le prochain film d'Adam McKay prévu sur Netflix.
L'article souligne d'ailleurs que la question de la diffusion des films au cinéma ou en streaming commence à poser des problèmes, à l'heure où plusieurs studios, tels que Disney avec Disney Plus ou Warner Bros avec HBO Max, proposent leurs nouveautés à la fois sur grand écran et à la maison. Ce dernier a ainsi signé des contrats avec Denzel Washington, Will Smith ou Keanu Reeves, à hauteur de 40 millions pour les deux premiers et entre 12 et 14 millions pour le troisième, afin qu'ils jouent dans The Little Things, King Richard et Matrix 4, mais ceux-ci prévoient un bénéfice sur les recettes au cinéma... qui sera forcément moindre si leurs films sortent en parallèle sur le site de streaming. Variety précise enfin qu'avec son statut de star plus traditionnel, Tom Cruise s'en sort bien en signant des contrats qui lui permettent de toucher tout son salaire avant même que le studio n'ait gagné le moindre centime sur ses films. Il a ainsi déjà touché 13 millions pour Top Gun Maverick, une somme qui devrait grimper si le film est un succès en salles.
https://www.premiere.fr/People/News-Peo ... gOUyLzI3jQ
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Des salaires dingues qui font monter l'abonnement de Netflix....Je vais peut être me désabonner surtout que les films Netflix sont le jours même en tipiak...
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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Bruce Willis a trouvé comment faire des films en se tournant les pouces
Bruce Willis n'a tellement plus aucune motivation que sa version deepfake tourne des publicités pour des opérateurs russes à sa place.
En plus d'être un des chauves les plus coolement badass avec Jason Statham, Bruce Willis est également un être humain des plus polyvalents. Chanteur, propriétaire de restaurant...il est à la fois au four et au moulin à mandales. Mais ces dernières années, Bruce est pris d'une flemmingite aïgue qui lui fait tourner des navets indignes d'un potager de Fukushima ou des nanars galactiques du niveau de Cosmic Sin.
A bien y regarder, l'un de ses derniers rôles dans un long-métrage diffusé en salles était le Brooklyn Affairs d'Edward Norton sorti fin 2019. Depuis, notre John Mc Clane s'est vautré dans les direct to video avec la grâce d'un lamantin sous prozac. Mais même tourner pour payer ses impôts commence à le lasser. Du coup, il a carrément autorisé l'utilisation de son image dans diverses pubs russes, dont celle-ci pour l'opérateur mobile Megafon.
Comme un sentiment de vallée dérangeante (traduction de l'expression "uncanney valley", terme définissant le sentiment d'étrangeté provoqué par une illusion vaguement perceptible)...Megafon a en effet recouru à la technique du Deepfake afin de créer l'illusion de la présence de Willis. , Le deepfake, aussi appelé hypertrucage (gigatrucage était déjà pris), consiste en la modification d'un enregistrement audio ou vidéo grâce à de l'intelligence artificielle. En gros, un mensonge visuel ou audio (ou audiovisuel) rendu crédible par la magie de l'intelligence artificielle.
Cette technique pourrait très vite faire son apparition sur le petit / grand écran. Récemment, le youtubeur Shamook y a eu recours pour retoucher la scène de Carrie Fisher tout de CGI vêtu dans Rogue One : A Star Wars Story et le résultat a tellement plu qu'il a été engagé par Lucasfilm. Dans le monde de la publicité, l'avénement de ce genre de technique risque de changer la donne, facilitant la présence de stars, vivantes ou mortes dans des spots partout dans le monde. Vasily Bolshakov, responsable de la communication de Megafon l'aborde en ces termes :
"Nous ne cachons pas le fait que nous utilisons cette technologie et nous n'induisons personne en erreur [...] au contraire, nous pensons que revoir le Bruce du temps de Die Hard et du Cinquiéme élément dans un nouveau rôle, est une opportunité géniale [...] Nous nous sommes rendu compte que nous pouvions réaliser un contenu de grande qualité sans devenir otage des restrictions liées à la pandémie. L'utilisation de cette technologie nous permet de tourner du contenu plus rapidement et pour moins d'argent que si les stars étaient venues sur le tournage."
A partir de là, l'horizon des fantasmes peut s'élargir à l'infini. On peut imaginer retrouver Humphrey Bogart tournant une pub pour trench-coat, Elizabeth Taylor pour les cures de désintoxication, Bernard Madoff pour les crédits solidaires...En revanche, on doute qu'il soit possible de ressuciter Patrick Poivey, doubleur iconique de Bruce Willis décédé le 16 juin 2020.
Si la carrière de Bruce Willis vous inspire encore un temps soit peu, ou vous fait juste beaucoup rire, on vous conseille notre critique du pêché pas mignon qu'est Cosmic Sin ou la bande-annonce de Midnight in the Switchgrass où il traque un tueur aux côtés de Megan Fox.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1629466031
Bruce Willis n'a tellement plus aucune motivation que sa version deepfake tourne des publicités pour des opérateurs russes à sa place.
En plus d'être un des chauves les plus coolement badass avec Jason Statham, Bruce Willis est également un être humain des plus polyvalents. Chanteur, propriétaire de restaurant...il est à la fois au four et au moulin à mandales. Mais ces dernières années, Bruce est pris d'une flemmingite aïgue qui lui fait tourner des navets indignes d'un potager de Fukushima ou des nanars galactiques du niveau de Cosmic Sin.
A bien y regarder, l'un de ses derniers rôles dans un long-métrage diffusé en salles était le Brooklyn Affairs d'Edward Norton sorti fin 2019. Depuis, notre John Mc Clane s'est vautré dans les direct to video avec la grâce d'un lamantin sous prozac. Mais même tourner pour payer ses impôts commence à le lasser. Du coup, il a carrément autorisé l'utilisation de son image dans diverses pubs russes, dont celle-ci pour l'opérateur mobile Megafon.
Comme un sentiment de vallée dérangeante (traduction de l'expression "uncanney valley", terme définissant le sentiment d'étrangeté provoqué par une illusion vaguement perceptible)...Megafon a en effet recouru à la technique du Deepfake afin de créer l'illusion de la présence de Willis. , Le deepfake, aussi appelé hypertrucage (gigatrucage était déjà pris), consiste en la modification d'un enregistrement audio ou vidéo grâce à de l'intelligence artificielle. En gros, un mensonge visuel ou audio (ou audiovisuel) rendu crédible par la magie de l'intelligence artificielle.
Cette technique pourrait très vite faire son apparition sur le petit / grand écran. Récemment, le youtubeur Shamook y a eu recours pour retoucher la scène de Carrie Fisher tout de CGI vêtu dans Rogue One : A Star Wars Story et le résultat a tellement plu qu'il a été engagé par Lucasfilm. Dans le monde de la publicité, l'avénement de ce genre de technique risque de changer la donne, facilitant la présence de stars, vivantes ou mortes dans des spots partout dans le monde. Vasily Bolshakov, responsable de la communication de Megafon l'aborde en ces termes :
"Nous ne cachons pas le fait que nous utilisons cette technologie et nous n'induisons personne en erreur [...] au contraire, nous pensons que revoir le Bruce du temps de Die Hard et du Cinquiéme élément dans un nouveau rôle, est une opportunité géniale [...] Nous nous sommes rendu compte que nous pouvions réaliser un contenu de grande qualité sans devenir otage des restrictions liées à la pandémie. L'utilisation de cette technologie nous permet de tourner du contenu plus rapidement et pour moins d'argent que si les stars étaient venues sur le tournage."
A partir de là, l'horizon des fantasmes peut s'élargir à l'infini. On peut imaginer retrouver Humphrey Bogart tournant une pub pour trench-coat, Elizabeth Taylor pour les cures de désintoxication, Bernard Madoff pour les crédits solidaires...En revanche, on doute qu'il soit possible de ressuciter Patrick Poivey, doubleur iconique de Bruce Willis décédé le 16 juin 2020.
Si la carrière de Bruce Willis vous inspire encore un temps soit peu, ou vous fait juste beaucoup rire, on vous conseille notre critique du pêché pas mignon qu'est Cosmic Sin ou la bande-annonce de Midnight in the Switchgrass où il traque un tueur aux côtés de Megan Fox.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1629466031
Vu :
A l'instar de Free Guy, Reminiscence est une grosse production originale (dans le sens où ce n'est issu d'aucune franchise) bénéficiant d'un concept directement accrocheur. Du moins au début car le film accuse de plusieurs baisses de rythme. Comme la bande-annonce le dévoilait, le film a des allures de film noir à l'ancienne à la différence que l'histoire se déroule dans un futur post-apocalyptique. Visuellement parlant c'est joli mais ça n'apporte strictement rien à l'intrigue d'autant plus que même si celle-ci se suit sans déplaisir, ça reste très léger quand même. C'est loin d'être une claque mais ça se mate, le casting est bon dans l'ensemble. Rebecca Ferguson est toujours aussi
A l'instar de Free Guy, Reminiscence est une grosse production originale (dans le sens où ce n'est issu d'aucune franchise) bénéficiant d'un concept directement accrocheur. Du moins au début car le film accuse de plusieurs baisses de rythme. Comme la bande-annonce le dévoilait, le film a des allures de film noir à l'ancienne à la différence que l'histoire se déroule dans un futur post-apocalyptique. Visuellement parlant c'est joli mais ça n'apporte strictement rien à l'intrigue d'autant plus que même si celle-ci se suit sans déplaisir, ça reste très léger quand même. C'est loin d'être une claque mais ça se mate, le casting est bon dans l'ensemble. Rebecca Ferguson est toujours aussi
- NaughtyDog
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perso grosse déception lolPale a écrit : ↑ven. 20 août 2021 23:03Vu :
A l'instar de Free Guy, Reminiscence est une grosse production originale (dans le sens où ce n'est issu d'aucune franchise) bénéficiant d'un concept directement accrocheur. Du moins au début car le film accuse de plusieurs baisses de rythme. Comme la bande-annonce le dévoilait, le film a des allures de film noir à l'ancienne à la différence que l'histoire se déroule dans un futur post-apocalyptique. Visuellement parlant c'est joli mais ça n'apporte strictement rien à l'intrigue d'autant plus que même si celle-ci se suit sans déplaisir, ça reste très léger quand même. C'est loin d'être une claque mais ça se mate, le casting est bon dans l'ensemble. Rebecca Ferguson est toujours aussi
Déjà ça bouffe à tous les râteliers : Chinatown, Ne le dis à personne,Total Recall/Johnny Mnemonic/Strange Days..
L'intrigue en mode film noir débute de manière attendue mais intéressante (la disparition de la femme fatale qu'on a aimé, qui va conduire le héros dans les méandres d'une sordide affaire)
Sauf que tout est hyper balisé du coup y a 0 tentative d'apporter de la singularité
Bref c'est souvent écrit de manière pachydermique (mais bon Lisa Joy bosse sur Westworld donc rien d’étonnant lol)
C'est dommage car malgré des roles basiques, les acteurs arrivent a etre bons et à donner de l'incarnation (Jackmann rappelle presque par instants sa perf de Prisoners, et Ferguson est bonne comme d'hab quoi)
Autre mega souci : l'univers dystopique du film en mode "montée des eaux" a zero sens (et pour de la SF ça se voit que personne de censé à decidé de reflechir à creer un univers tangible)
Tout le setting d'un Miami immergé est supra cool (et les CGI sont reussis) mais d'un coté tout est quasi a l'abandon, de l'autre tu vois quasi personne dehors
T'as un ou 2 ponts pour le TGV, le reste y a pas un pelé ni un tondu
Tu vois parfois des clodos mais souvent des gens tout propres sur eux comme dans un film des 80s
Je veux bien qu'on essaye de coller a un imaginaire mais clairement y a eu zero architecte ou productioner designer de consulté lol
Ensuite la réal oscille entre embryon de chouettes idées (en lien avec le dispositif pour revivre des souvenirs en Inception du pauvre), monologues atmosphériques bien pensés mais aussi scenes d'action montés par un neurasthenique (y a un des gunfights les plus embarassants de mémoire récente en terme de montage !)
La fin est aussi sympathique, mais tu te dis "tout ça pour ça ?".
Bref ça se regarde grâce a (quand meme) un certain sens du mystere mais ça reste complètement anecdotique (je doute que Lisa Joy revienne au cinoche)
PS : la zik de Djawadi est sympa bien que manquant de personnalité
PS2 : Thandie Newton totalement inexploitée c'est non
2/5 ou 2.5/5
en ce moment j'enchaine les trucs déceptifs au possible, vais essayer de voir Bac Nord demain !
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
Je suis moyennement tenté par Bac Nord, en fait les films de banlieue me soulent au plus haut pointNaughtyDog a écrit : ↑ven. 20 août 2021 23:39en ce moment j'enchaine les trucs déceptifs au possible, vais essayer de voir Bac Nord demain !
- ClintReborn
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C'est la ou je prends la fuite également C'est le genre de film "constat" et réalité sociétale qu'on fait depuis 30 ans En adepte de l'hédonisme je n'ai pas besoin qu'on me rappel tout ces trucs négatifs qui ne changeront jamais...Pale a écrit : ↑ven. 20 août 2021 23:46Je suis moyennement tenté par Bac Nord, en fait les films de banlieue me soulent au plus haut pointNaughtyDog a écrit : ↑ven. 20 août 2021 23:39en ce moment j'enchaine les trucs déceptifs au possible, vais essayer de voir Bac Nord demain !
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Revu hier soir
J'apprécie toujours autant, c'est fun, gore, horrifique, drôle, à la limite du nanardesque. Mais avec moi ça fonctionne, je le préfère toujours aux deux films de del Toro, qui, même si esthétiquement ils sont toujours impressionnants, je trouve le film de Marshall plus sympa. La BO est aussi très rock, et accompagne bien les scènes d'action, la scène avec les géants et la dernière scène avant le générique
Après je reconnais aisément les défauts du film, persos pas toujours exploités, FX parfois pas terribles, histoire qui casse pas des briques (même si j'ai apprécié le côté légende arthurienne).
Bref, je fais parti des rares qui ont apprécié le film, mais je m'en fous
8/10
J'apprécie toujours autant, c'est fun, gore, horrifique, drôle, à la limite du nanardesque. Mais avec moi ça fonctionne, je le préfère toujours aux deux films de del Toro, qui, même si esthétiquement ils sont toujours impressionnants, je trouve le film de Marshall plus sympa. La BO est aussi très rock, et accompagne bien les scènes d'action, la scène avec les géants et la dernière scène avant le générique
Après je reconnais aisément les défauts du film, persos pas toujours exploités, FX parfois pas terribles, histoire qui casse pas des briques (même si j'ai apprécié le côté légende arthurienne).
Bref, je fais parti des rares qui ont apprécié le film, mais je m'en fous
8/10
EL a modérément apprécié Sweet Girl (3 étoiles) :
Dans Sweet Girl, Jason Momoa et Isabela Moner interprètent un père et sa fille, embarqués sur l'autoroute de la vengeance, celle qui n'a pas de péage, de limitation de vitesse ou de service d'ordre. Celle où on roule sur la finesse en klaxonnant la subtilité, quand on ne tamponne pas la diplomatie après l'avoir aspergée de kérosène. Celle où Netflix tient un restauroute éternel, qui ne ferme que quand nos yeux sont clos.
LA NUIT TOUS LES POINGS SONT GRIS
L'amateur de castagne le sait, le catalogue Netflix est une brochette de promesses mal cuites. Pour un inoffensif quoique sympathique Tyler Rake, un interminable, mais salement radical The Night Comes For Us, il se sera fadé d'interminables cauchemars filmiques, des hordes de The Old Guard, des attentats tels Le Dernier Mercenaire... D'où une relative méfiance quand se profile un récit de vengeance à l'apparence ultra-balisée, emmené par un comédien dont on sent qu'il lui suffirait de quelques déroutes au box-office pour devenir un vieux soudard de l'action mal réchauffée.
La méfiance est d'autant plus grande quand on constate que Sweet Girl est le premier long-métrage réalisé par le producteur Brian Andrew Mendoza, qui était derrière l'embarrassant Braven. Soit une série Z où officiait déjà Jason Momoa, qui y livrait au monde sa meilleure imitation de grizzly anthropophage. Il était aussi question de revanche, de justicier solitaire plus doué pour élonger les cartilages que réciter le cantique des cantiques, le tout fabriqué avec un je-m'en-foutisme patenté. Or, la timide bande-annonce du long-métrage qui nous intéresse laissait à craindre un filmage et un niveau d'exigence assez comparables.
Le fait est que, pour ce qui est de la mise en scène (exception faite des scènes de dézingage), il ne faut pas s'attendre à Byzance. Les cadres sont plus tristes qu'une gastroentérite à Neumours, ne cherchent jamais à travailler ce qu'ils déposent à nos yeux, et s'avèrent incapables de dynamiser l'essentiel du récit, à savoir de trop longs dialogues. Un constat d'autant plus évident que l'opérateur se contente de laisser la caméra flotter mollement à coup de steady-cam parkinsonien, comme pour s'assurer que nous ne nous assoupissions pas, anesthésiés par une photographie grisâtre, qui semble avoir pris en grippe le concept de style.
STEPHANE SIGALE
Puis vient le premier tuto à base de salade de doigts et de carpaccio de duodénum, et on découvre soudain un découpage nettement plus pertinent. Sans génie, mais avec une attention soutenue envers les notions d'impact et de gravité, la mise en scène capture quelques jolies joutes, plusieurs bris d'os appréciables, et notamment une plaisante jongle de cervicales. Il faut dire que si Momoa n'a jamais fait preuve de plus de finesse qu'une boule de bowling lâchée sur un jardin d'enfants depuis un hélicoptère, son engagement physique fait toujours plaisir à voir, tout comme l'investissement émotionnel qu'il met dans chacun de ses rôles.
Une intensité qui rend Sweet Girl mollement divertissant dans un premier temps, jusqu'à ce que l'intrigue s'autorise de plaisants à côté, grâce à un casting plus malin qu'il n'y paraît. On se souvient que la jeune Isabela Moner avait marqué par sa justesse dans Transformers 5 : The Last Knight (si si) et Sicario : La Guerre des cartels. Elle rappelle ici que, même face à une partition très convenue, elle non plus ne se repose pas sur ses acquis. Forcément, quand le film a la bonne idée de la confronter à des seconds rôles aussi bons en parfaits salopards que Justin Bartha ou Manuel Garcia-Rulfo (lui aussi passé par le Bayhem et le second Sicario) ou encore Amy Brenneman (Heat), le plaisir en est décuplé.
Puis vient ce qui achève de faire du métrage une bonne surprise : un twist épais, énorme, bourrin à en décorner une vache, mais que la mise en scène comme l'intrigue assument totalement, jusqu'à la conclusion du récit. Mieux, ce retournement va jusqu'à éclairer et faire gagner en cohérence quelques zones grises ou évènements un peu lourdauds de séquences qui l'ont précédé. Enfin, il donne du relief à une confrontation réussie à la base, entre un père ivre de rage et un assassin glacial, hésitant sur l'attitude à employer. Rien qui révolutionne le genre, mais de quoi assurer une digestion idéale à qui dégustera Sweet Girl avec la viande grillée et le houblon distillé qu'il appelle de tous ses voeux.
À condition de supporter une mise en scène grisâtre et une photo moins belle que le visage d'un adolescent déminant un champ de gravier, voici une série B qui offre son lot de surprises et de scènes d'action divertissantes.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1629478531
Dans Sweet Girl, Jason Momoa et Isabela Moner interprètent un père et sa fille, embarqués sur l'autoroute de la vengeance, celle qui n'a pas de péage, de limitation de vitesse ou de service d'ordre. Celle où on roule sur la finesse en klaxonnant la subtilité, quand on ne tamponne pas la diplomatie après l'avoir aspergée de kérosène. Celle où Netflix tient un restauroute éternel, qui ne ferme que quand nos yeux sont clos.
LA NUIT TOUS LES POINGS SONT GRIS
L'amateur de castagne le sait, le catalogue Netflix est une brochette de promesses mal cuites. Pour un inoffensif quoique sympathique Tyler Rake, un interminable, mais salement radical The Night Comes For Us, il se sera fadé d'interminables cauchemars filmiques, des hordes de The Old Guard, des attentats tels Le Dernier Mercenaire... D'où une relative méfiance quand se profile un récit de vengeance à l'apparence ultra-balisée, emmené par un comédien dont on sent qu'il lui suffirait de quelques déroutes au box-office pour devenir un vieux soudard de l'action mal réchauffée.
La méfiance est d'autant plus grande quand on constate que Sweet Girl est le premier long-métrage réalisé par le producteur Brian Andrew Mendoza, qui était derrière l'embarrassant Braven. Soit une série Z où officiait déjà Jason Momoa, qui y livrait au monde sa meilleure imitation de grizzly anthropophage. Il était aussi question de revanche, de justicier solitaire plus doué pour élonger les cartilages que réciter le cantique des cantiques, le tout fabriqué avec un je-m'en-foutisme patenté. Or, la timide bande-annonce du long-métrage qui nous intéresse laissait à craindre un filmage et un niveau d'exigence assez comparables.
Le fait est que, pour ce qui est de la mise en scène (exception faite des scènes de dézingage), il ne faut pas s'attendre à Byzance. Les cadres sont plus tristes qu'une gastroentérite à Neumours, ne cherchent jamais à travailler ce qu'ils déposent à nos yeux, et s'avèrent incapables de dynamiser l'essentiel du récit, à savoir de trop longs dialogues. Un constat d'autant plus évident que l'opérateur se contente de laisser la caméra flotter mollement à coup de steady-cam parkinsonien, comme pour s'assurer que nous ne nous assoupissions pas, anesthésiés par une photographie grisâtre, qui semble avoir pris en grippe le concept de style.
STEPHANE SIGALE
Puis vient le premier tuto à base de salade de doigts et de carpaccio de duodénum, et on découvre soudain un découpage nettement plus pertinent. Sans génie, mais avec une attention soutenue envers les notions d'impact et de gravité, la mise en scène capture quelques jolies joutes, plusieurs bris d'os appréciables, et notamment une plaisante jongle de cervicales. Il faut dire que si Momoa n'a jamais fait preuve de plus de finesse qu'une boule de bowling lâchée sur un jardin d'enfants depuis un hélicoptère, son engagement physique fait toujours plaisir à voir, tout comme l'investissement émotionnel qu'il met dans chacun de ses rôles.
Une intensité qui rend Sweet Girl mollement divertissant dans un premier temps, jusqu'à ce que l'intrigue s'autorise de plaisants à côté, grâce à un casting plus malin qu'il n'y paraît. On se souvient que la jeune Isabela Moner avait marqué par sa justesse dans Transformers 5 : The Last Knight (si si) et Sicario : La Guerre des cartels. Elle rappelle ici que, même face à une partition très convenue, elle non plus ne se repose pas sur ses acquis. Forcément, quand le film a la bonne idée de la confronter à des seconds rôles aussi bons en parfaits salopards que Justin Bartha ou Manuel Garcia-Rulfo (lui aussi passé par le Bayhem et le second Sicario) ou encore Amy Brenneman (Heat), le plaisir en est décuplé.
Puis vient ce qui achève de faire du métrage une bonne surprise : un twist épais, énorme, bourrin à en décorner une vache, mais que la mise en scène comme l'intrigue assument totalement, jusqu'à la conclusion du récit. Mieux, ce retournement va jusqu'à éclairer et faire gagner en cohérence quelques zones grises ou évènements un peu lourdauds de séquences qui l'ont précédé. Enfin, il donne du relief à une confrontation réussie à la base, entre un père ivre de rage et un assassin glacial, hésitant sur l'attitude à employer. Rien qui révolutionne le genre, mais de quoi assurer une digestion idéale à qui dégustera Sweet Girl avec la viande grillée et le houblon distillé qu'il appelle de tous ses voeux.
À condition de supporter une mise en scène grisâtre et une photo moins belle que le visage d'un adolescent déminant un champ de gravier, voici une série B qui offre son lot de surprises et de scènes d'action divertissantes.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1629478531
- ClintReborn
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Vu il n'y a pas longtemps les deux gardiens de la galaxie qui sont excellents Puis hier le film Fury qui est meilleur que je ne le pensais et bien plus dark que biens des films de guerre a la sauce US
C'était amusant aussi de voir Scott Eastwood dedans dans un petit rôle 45 ans après Clint en uniforme de soldat
C'était amusant aussi de voir Scott Eastwood dedans dans un petit rôle 45 ans après Clint en uniforme de soldat
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Ce que je n'avais pas trop apprécié dans FuryClintReborn a écrit : ↑sam. 21 août 2021 10:38Vu il n'y a pas longtemps les deux gardiens de la galaxie qui sont excellents Puis hier le film Fury qui est meilleur que je ne le pensais et bien plus dark que biens des films de guerre a la sauce US
C'était amusant aussi de voir Scott Eastwood dedans dans un petit rôle 45 ans après Clint en uniforme de soldat
Vu :
Un Statham movie n'est jamais un mauvais moment et celui-ci ne déroge pas à la règle L'introduction met directement dans le bain, Statham est un braqueur et il est trahit par son équipe après un gros coup. Forcément il va vouloir sa vengeance. Statham est fidèle à lui même, il enchaine les répliques et les beignes avec le charisme et l'assurance qu'on lui connait. J'ai beaucoup aimé la relation qu'il noue avec Jennifer Lopez (incroyablement sexy) sans que ça vire au sentimentalisme. À la limite le film est un peu trop long mais c'est pas vraiment dérangeant. Le final est puissant et jouissif.
Un Statham movie n'est jamais un mauvais moment et celui-ci ne déroge pas à la règle L'introduction met directement dans le bain, Statham est un braqueur et il est trahit par son équipe après un gros coup. Forcément il va vouloir sa vengeance. Statham est fidèle à lui même, il enchaine les répliques et les beignes avec le charisme et l'assurance qu'on lui connait. J'ai beaucoup aimé la relation qu'il noue avec Jennifer Lopez (incroyablement sexy) sans que ça vire au sentimentalisme. À la limite le film est un peu trop long mais c'est pas vraiment dérangeant. Le final est puissant et jouissif.
Tu les découvrais ? Je surkiffe le premierClintReborn a écrit : ↑sam. 21 août 2021 10:38Vu il n'y a pas longtemps les deux gardiens de la galaxie qui sont excellents
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C'est vachement bien Bac Nord (c'est aussi le meilleur Jimenez avec La French)
Bon ça vaut ptet pas Les Misérables, mais on a un polar nerveux, qui te saisit par le col et qui n'est jamais meilleur qu'en tant que film de genre
Par contre ce qui "ternit" un peu le tableau c'est quand on te raccorde ça aux faits réels.
pour revenir sur le fait que Bac Nord est un film de droite : juste non en fait
certes c'est bcp plus manichéen qu'un Les Misérables par exemple (qui montrait que la situation était en fait un cercle vicieux), ça reste un parti pris qui fait sens en terme de pur film de genre (comme La Haine si on veut)
tout comme on ne peut nier les violences policières, on ne peut aussi nier la jungle que sont devenues certains quartiers chauds où la criminalité fait office de loi de la jungle
par contre là où Bac Nord est un peu "terni" et où on peut un minimum le critiquer, c'est justement dans son approche des faits réels s'étant déroulés en 2011
Certes le carton d'intro dit "oeuvre de fiction basée sur des faits réels" mais quand à la fin tu raccordes justement cela avec le JT de France 2, un discours de Valls ou le destin des 3 protagonistes, impossible de rester de marbre dans l'excuse du film de fiction.
Parce que bon pour quiconque se rappelle des faits, on parlait quand même de trafic de masse et de circuit parallèle, là où le film est pas du tout nuancé en te montrant "bah oui on a juste échangé des barrettes contre des infos c'est tout quoi".
En mode "oui on a juste vendu du shit contre des infos" (ce qui est vrai dans le film) alors qu'en réalité c'etait un gros réseau bien. Le film fait un peu patte blanche où "les flics sont sous pression donc voilou" (ce qui est vrai) mais sans aller plus loin.
Mais sinon ça montre bien qu'on a de vrais talents en France (Lellouche, Civil et Leklou sont tops d'ailleurs) et ça fait tres tres plaisir
Ça montre aussi qu'il ne faut jamais vivre à Marseille lol
à part ça foncez voir le film
entre Ladj Ly, Coralie Fargeat, Julia Ducournau ou bien Cédric Jimenez, on a des talents français qui savent réellement emballer de sacrés films bruts de décoffrage
4/5
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Oui du coup j'ai enchainé les deux en deux jours et j'attends le 3 pour 2023 Par contre j'ai eu du mal a reconnaitre Karen Gillan; cette transformationPale a écrit : ↑sam. 21 août 2021 12:50Tu les découvrais ? Je surkiffe le premierClintReborn a écrit : ↑sam. 21 août 2021 10:38Vu il n'y a pas longtemps les deux gardiens de la galaxie qui sont excellents
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Par rapport aux merdouilles qui circulent par grappes de 10 c'est correct. Et très beau casting. Ca se mate.Pale a écrit : ↑ven. 20 août 2021 23:03Vu :
A l'instar de Free Guy, Reminiscence est une grosse production originale (dans le sens où ce n'est issu d'aucune franchise) bénéficiant d'un concept directement accrocheur. Du moins au début car le film accuse de plusieurs baisses de rythme. Comme la bande-annonce le dévoilait, le film a des allures de film noir à l'ancienne à la différence que l'histoire se déroule dans un futur post-apocalyptique. Visuellement parlant c'est joli mais ça n'apporte strictement rien à l'intrigue d'autant plus que même si celle-ci se suit sans déplaisir, ça reste très léger quand même. C'est loin d'être une claque mais ça se mate, le casting est bon dans l'ensemble. Rebecca Ferguson est toujours aussi
J'vais essayer de mater le Matt Damon...
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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Et bah tres bien The Green Knight
Alors je reproche quand meme un gros coup de mou en plein milieu
Mais in fine Lowery emballe à merveille la legende de Sire Gauvain et du Chevalier Vert - vient une dimension fantaisiste et intimiste pas piquée des ânetons), en modifiant la fin pour y donner une lecture existentielle qui m'a pas mal fait penser au conte de Beowulf
C'est un film tres lent et contemplatif (un tantinet cérébral aussi), pour illustrer le voyage d'un homme imparfait cherchant a tout prix l'honneur et la bravoure, dans un périple où il est testé et doit repousser chaque tentation pour prouver sa valeur
Et c'est cet aspect de long voyage mis en opposition.avec la sempiternelle morale du "ce qu'on cherche est souvent derriere nous", "on ne triche pas avec la mort" (vert=la mort t'as capté) que le film est réussi
Il y a bcp de symbolique donc si on est pas familier du conte de base ou du folklore ecossais y a des trucs qui peuvent passer a la trappe (genre Winifred, le pentacle de l'invulnérabilité) mais sinon rien de compliqué
Le film fait aussi un peu penser a La Derniere Tentation du Christ (dans son dernier segment, sans vouloir spoiler)
Sinon en terme de direction, de photographie c'est évidemment très beau
Tout le cast (Patel, Vikander etc) est good
pour un "petit budget" Lowery arrive à magnifier chaque panorama et décor
Et la BO celtique de Hart est la cerise sur le gâteau
Une très belle proposition de cinoche,qui fera pas l'unanimité, mais qui ressemble à rien d'autre
4/5
PS : A Ghost Story reste le meilleur Lowery (+d'émotion, + surprenant)
Alors je reproche quand meme un gros coup de mou en plein milieu
Mais in fine Lowery emballe à merveille la legende de Sire Gauvain et du Chevalier Vert - vient une dimension fantaisiste et intimiste pas piquée des ânetons), en modifiant la fin pour y donner une lecture existentielle qui m'a pas mal fait penser au conte de Beowulf
C'est un film tres lent et contemplatif (un tantinet cérébral aussi), pour illustrer le voyage d'un homme imparfait cherchant a tout prix l'honneur et la bravoure, dans un périple où il est testé et doit repousser chaque tentation pour prouver sa valeur
Et c'est cet aspect de long voyage mis en opposition.avec la sempiternelle morale du "ce qu'on cherche est souvent derriere nous", "on ne triche pas avec la mort" (vert=la mort t'as capté) que le film est réussi
Il y a bcp de symbolique donc si on est pas familier du conte de base ou du folklore ecossais y a des trucs qui peuvent passer a la trappe (genre Winifred, le pentacle de l'invulnérabilité) mais sinon rien de compliqué
Le film fait aussi un peu penser a La Derniere Tentation du Christ (dans son dernier segment, sans vouloir spoiler)
Sinon en terme de direction, de photographie c'est évidemment très beau
Tout le cast (Patel, Vikander etc) est good
pour un "petit budget" Lowery arrive à magnifier chaque panorama et décor
Et la BO celtique de Hart est la cerise sur le gâteau
Une très belle proposition de cinoche,qui fera pas l'unanimité, mais qui ressemble à rien d'autre
4/5
PS : A Ghost Story reste le meilleur Lowery (+d'émotion, + surprenant)
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Si tu ne les as pas vu, je te conseille les autres films de James Gunn : Horribilis, Super et The Suicide Squad.ClintReborn a écrit : ↑sam. 21 août 2021 17:18Oui du coup j'ai enchainé les deux en deux jours et j'attends le 3 pour 2023 Par contre j'ai eu du mal a reconnaitre Karen Gillan; cette transformation
Et si tu as aimé Les Gardiens, je te conseille fortement Thor : Ragnarok de Taika Waititi.
NaughtyDog a écrit : ↑sam. 21 août 2021 19:32Alors je reproche quand meme un gros coup de mou en plein milieu
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cela aurait en effet pu être raccourci (clairement le film pouvait faire 1h40)Pale a écrit : ↑sam. 21 août 2021 22:23NaughtyDog a écrit : ↑sam. 21 août 2021 19:32Alors je reproche quand meme un gros coup de mou en plein milieu
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J'ai moyennement apprécié. Le début est accrocheur, c'est mystérieux et flippant à souhait. Mais lorsque les choses commencent à s'éclaircir, ça peine à véritablement convaincre tant ça sent le déjà vu en mieux. Reste quand même une ambiance parfois angoissante qui réussit à rendre palpable l'indicible. Ça fait toujours plaisir également de retrouver la charmante Rebecca Hall.
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franchement va voir Bac Nord mec, c'est clairement un truc à pas louper pour moi
avoir un polar hexagonal aussi bon c'est pas légion
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Vu hier soir
Y'a du bon comme du moins bon. Après j'ai beaucoup de sympathie pour Mr Momoa donc le voir distribuer des tatanes à tout va m'a plu. L'histoire est sympa à suivre, malgré quelques incohérences ici et là. Par contre le twist je l'avais pas vu venir.
6/10
Ce soir Scream Girl, un film de 2015 avec Taissa Farmiga, qui vient de débarquer sur Netflix et dont le speech m'a intrigué et amusé, et puis ça a l'air sans prise de tête
Y'a du bon comme du moins bon. Après j'ai beaucoup de sympathie pour Mr Momoa donc le voir distribuer des tatanes à tout va m'a plu. L'histoire est sympa à suivre, malgré quelques incohérences ici et là. Par contre le twist je l'avais pas vu venir.
6/10
Ce soir Scream Girl, un film de 2015 avec Taissa Farmiga, qui vient de débarquer sur Netflix et dont le speech m'a intrigué et amusé, et puis ça a l'air sans prise de tête
Il y a quelques années je m'étais pris une claque absolue devant Les Risques du Métier de André Cayatte. Je me reprends une claque absolue mais genre multipliée par 10. C'est vraiment du cinéma qui me parle et me touche au plus haut point. Le Miroir a deux faces est un chef d’œuvre d'une modernité inouïe et d'une profondeur incommensurable servi par un duo d'acteurs exceptionnel et bouleversant, Bourvil m'a sidéré. Une oeuvre qui rejoint aisément le panthéon de mes films préférés.
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Oui "le miroir a deux faces" est un classique des années 50. J'ai vu des kilos de films français pour faire mon blog et il est clairement au dessus de la moyenne. Pour ceux qui voudraient le voir il faut préciser que c'est un drame où Bourvil n'est pas super drôle. Bourvil est un mari exclusif qui a épousé une femme très sympa mais laide ce qui lui permet de l'écraser de son joug et de sa radinerie. Une opération de chirurgie esthétique la transforme en femme (très) désirable qui attire le regard des hommes. Si elle ne change pas, Bourvil va devenir totalement jaloux.... Bref une compo remarquable de Bourvil; Le film a très bien marché et on peut retrouver les deux acteurs dans Fortunat en 1960 un autre très bon film. Pour moi le duo Bourvil /Morgan est un des plus grands duos d'acteurs du cinéma français. Michèle Morgan était aussi extraordinaire (et d'une beauté folle) dans "Les orgueilleux" avec l'épatant Gérard Philippe. Il y a beaucoup de "rossignols" (des merdes quoi) dans le cinéma français des années 50 mais il y a quelques belles perles...Ce film en est une clairement.
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BOX OFFICE STORY a écrit : ↑dim. 22 août 2021 11:28Oui "le miroir a deux faces" est un classique des années 50. J'ai vu des kilos de films français pour faire mon blog et il est clairement au dessus de la moyenne. Pour ceux qui voudraient le voir il faut préciser que c'est un drame où Bourvil n'est pas super drôle. Bourvil est un mari exclusif qui a épousé une femme très sympa mais laide ce qui lui permet de l'écraser de son joug et de sa radinerie. Une opération de chirurgie esthétique la transforme en femme (très) désirable qui attire le regard des hommes. Si elle ne change pas, Bourvil va devenir totalement jaloux.... Bref une compo remarquable de Bourvil; Le film a très bien marché et on peut retrouver les deux acteurs dans Fortunat en 1960 un autre très bon film. Pour moi le duo Bourvil /Morgan est un des plus grands duos d'acteurs du cinéma français. Michèle Morgan était aussi extraordinaire (et d'une beauté folle) dans "Les orgueilleux" avec l'épatant Gérard Philippe. Il y a beaucoup de "rossignols" (des merdes quoi) dans le cinéma français des années 50 mais il y a quelques belles perles...Ce film en est une clairement.
BOX OFFICE STORY a écrit : ↑dim. 22 août 2021 11:28Pour ceux qui voudraient le voir il faut préciser que c'est un drame où Bourvil n'est pas super drôle.