Mon dieu que j'aime ce petit bout du monde, que le soleil inonde de ses reflets dorés (Dalida / "Les enfants du Pirée").Qu'est-ce que c'est joli la Grèce quand même. Ce soleil, cette eau, cette végétation offrent un dépaysement total aux téléspectateurs. C'est presque une ambiance de vacances (très appréciable quand il fait si froid dans nos contrées)...du coup, c'est surprenant que je n'ai pas accroché à la série britannique malgré ça
Car oui, The Durrells est l'un de mes regrets sériels et une déception (légitime) alors pourtant que j'avais des choses vraiment positives à en dire. En effet, j'ai aimé les décors hellènes donc, le pitch, la reconstitution historique (comme toujours avec les anglais), le générique (très chouette), la fraicheur des personnages (hauts en couleurs pour la plupart) et la légèreté globale de la série. Sans être subjugué, je trouvais ça au départ sympathique, et tous les points positifs m'ont logiquement donné envie d'en découvrir un peu plus.
Mais voilà, la pièce est retombée du mauvais côté. La curiosité des débuts a petit à petit fait place à l'ennui. J'imagine que les scénaristes n'ont pas réussi à muscler leurs intrigues comme je l'avais espéré (parce que des longueurs existaient déjà ici et là), à moins que ce soit les personnages qui m'aient agacé toujours plus à chaque épisode (ou les deux)
Bref, j'aurai voulu l'aimer mais malheureusement, le charme s'est rapidement rompu me concernant. Je m'arrête donc après cette première saison mais je vous encourage tout de même à vous faire votre propre opinion. Après tout, The Durrells a des atouts à faire valoir (ses 4 saisons sur ITV en attestent).
Synopsis : Louisa Durrell, dont le mari est mort il y a quelques années déjà, est bientôt sans le sou. Mère de 4 enfants qui lui compliquent bien l’existence, elle décide de quitter la Grande-Bretagne et emmène sa famille à Corfou, en Grèce.
