Dommage.
Et le film sur le couple parfait ? Il sort en salles ?
Par contre ils se sont pas foulés pour les voitures sur l'affiche
ctrl+c / ctrl+v Ils doivent avoir un contrat avec Tesla
Le Cercle des profileurs disparus
Aucune date pour l'instant par contre la durée de ce documentaire est de 4h06
Parfois ça ne fait pas de mal, surtout en période de fin d'année qui est une période parfois trop morose pour sortir (gris, froid, pluvieux).Dommage que ce soit Netflix... ce sera à la maison du coup.
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ClintReborn
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Même avec le trailer je trouve que l'acteur est pas du tout charismatique et le tout sent la guimauve à effets pour le remplissage
Moi qui espérait que Wonka serait un film dark sur les origines du personnage; je passe mon chemin pour éviter l'overdose de sucre... On est loin du style de Burton et de Depp Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Vu à Cannes et m'etonnerait que ça sorte en salle chez nous vu que ça dire plus de 4h
Eh bein que c'est mauvais ! Vu comment c'est écrit à la truelle, difficile de croire à cette soit-disante histoire vraie, sanctifiant un personnage avant tout focalisé sur la rescousse d'un enfant (le reste on s'en tamponne presque), dans une exfiltration au déroulé programmatique et emplie de clichés (on passera sur les caricatires de trafiquants colombiens).
Avec un sujet aussi sensible j'esperais quelque chose de réel, détaillant le fonctionnement de ce trafic, la manière qu'a eu Tim de trouver les ressources pour agir en indépendant, etc
Au final ce Sound of Freedom se révèle fumeux et empli de bondieuseries (jusque dans une BO élégiaque et doloriste), à l'image d'un Jim Caviezel impassible tentant de se déguiser pour ce qu'il n'est pas lors d'un hilarant passage où il arbore tongs et T-shirt "Playa".
Bref c'est bien mauvais, et je doute sincèrement que les faits relatés soient véridiques (Tim qui mange du burger avec un gosse émigré au calme et seuls juste apres la libération) bien que le trafic d'enfants soit réel et une des pires plaies qui existe.
Un film d'analphabète cinematographique de surcroit, incapable de comprendre la valeur des plans qu'il met en oeuvre
1.5/5
Dire que c'est un gros succes aux States, tout ça financé par les ultra cathos
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Vu en présence de Bayona : un super retour pour le cinéaste dans un métrage relatant le célèbre accident d'avion dans les Andes en 1972, et le calvaire de plus de 3 mois des quelques rescapés ayant survécu par anthropophagie.
Je pensais connaître cette histoire mais comme Bayona l'a précisé "vous ne savez pas".
Après un travail de documentation dingue (dont plus de 60h d'interviews), Le Cercle des Neiges passe très peu de temps sur la présentation des passagers. Quelques embrassades à l'aéroport, quelques minutes sur des membres-clés de l'équipe de rugby puis le calvaire commence, proposant 2h20 riche en tension et en émotion.
C'est simple, on a là un des meilleurs survivals récents, toujours centré sur l'humain, et nourri d'une mise en scène impressionnante.
Du crash d'avion en passant par l'usage de courte focale en intérieur (un des moments de bravoure est un passage de post-avalanche montrant les prisonniers sous la neige durant 4 jours) ou les immenses panoramas de cet enfer blanc, Bayona capte la détresse des intérieurs et la grandeur de l'extérieur, captant cette ahurissante histoire de survie par un prisme traitant la condition humaine.
Le cast est excellent (on a même un dosie uruguyéen d'Adam Driver
), c'est très bien écrit (les doutes et questionnements théologiques sur le recours au cannibalisme pour survivre), la BO de Michael Giacchino est d'excellente facture, et on ressort à la fois lessivé et admiratif.Peu à peu, le Cercle des Neiges dresse le portrait d'âmes en proie à la désolation (des dieaines de jours sans manger, et en proie à des températures arctiques), perdant la foi, avant de possiblement la retrouver.
Un sujet en or que Bayona traite avec brio, pour signer son meilleur film avec A Monster Calls.
Déjà un incontournable du début de l'année 2024
8.5/10
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Je mets cela de coté même si j'attends plutôt un film de survie ou je connaitrais pas l'histoire de A à Z...NaughtyDog a écrit : ↑jeu. 26 oct. 2023 01:01
Vu en présence de Bayona : un super retour pour le cinéaste dans un métrage relatant le célèbre accident d'avion dans les Andes en 1972, et le calvaire de plus de 3 mois des quelques rescapés ayant survécu par anthropophagie.
Je pensais connaître cette histoire mais comme Bayona l'a précisé "vous ne savez pas".
Après un travail de documentation dingue (dont plus de 60h d'interviews), Le Cercle des Neiges passe très peu de temps sur la présentation des passagers. Quelques embrassades à l'aéroport, quelques minutes sur des membres-clés de l'équipe de rugby puis le calvaire commence, proposant 2h20 riche en tension et en émotion.
C'est simple, on a là un des meilleurs survivals récents, toujours centré sur l'humain, et nourri d'une mise en scène impressionnante.
Du crash d'avion en passant par l'usage de courte focale en intérieur (un des moments de bravoure est un passage de post-avalanche montrant les prisonniers sous la neige durant 4 jours) ou les immenses panoramas de cet enfer blanc, Bayona capte la détresse des intérieurs et la grandeur de l'extérieur, captant cette ahurissante histoire de survie par un prisme traitant la condition humaine.
Le cast est excellent (on a même un dosie uruguyéen d'Adam Driver
Peu à peu, le Cercle des Neiges dresse le portrait d'âmes en proie à la désolation (des dieaines de jours sans manger, et en proie à des températures arctiques), perdant la foi, avant de possiblement la retrouver.
Un sujet en or que Bayona traite avec brio, pour signer son meilleur film avec A Monster Calls.
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8.5/10
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Bayona a partagé ton canapé quand tu l'as regardé sur Netflix ?
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Incroyable mais vrai et le Daim pour moi (Yannick est pas mal du tout remarque)
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Trailer rythmé mais peu représentatif de l'ambiance lancinante du film
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Dinguerie ce trailer.NaughtyDog a écrit : ↑ven. 27 oct. 2023 16:19
Trailer rythmé mais peu représentatif de l'ambiance lancinante du film
Vermines : un teaser angoissant pour le film d'horreur français avec son invasion d'araignées
L'invasion du cinéma de genre dans nos cinémas français continue avec les araignées de Vermines et son teaser angoissant et cafardeux.
Ces temps-ci, le cinéma de genre français se porte bien. Après la relance du genre par Julia Ducournau (récompensée de la Palme d'or à Cannes pour Titane en 2021), les propositions de genre se multiplient dans l'Hexagone. D'ailleurs, on ne compte plus les métrages français qui osent désormais mêler les genres et s'aventurer sur un terrain inédit.
En 2023, les prototypes sont légions avec l'ambitieux Le Règne animal, le thriller anxiogène Vincent doit mourir ou le survival imparfait Acide. Et c'est justement dans ce terreau fertile que surgit la bande-annonce du premier film de Sébastien Vaniček. Et ça semble promettre un sacré cauchemar tant la mise en scène et les effets spéciaux semblent être à la hauteur de l'évènement jusqu'à même évoquer l'imaginaire de Tarantula, le classique de Jack Arnold de 1955.
Dans Vermines, les résidents d'un immeuble sont confrontés à l'apparition d'arachnides après que le jeune Kaleb (Théo Christine) a laissé échapper une araignée de son zoo de fortune. Sauf qu'elle se reproduit (très) rapidement et que l'espèce augmente sa taille en fonction de son environnement, se montrant de plus en plus agressive sur son territoire.
La force de Vermines, c'est d'avoir limité au maximum l'usage d'effets spéciaux numériques et d'avoir utilisé de vraies araignées sur le tournage. D'ailleurs, le réalisateur a fait ses armes de jeune caméraman en filmant des insectes avec des objectifs variés. Et cela se ressent clairement dans la bande-annonce, le film semblant jouer sur les échelles de plan avec une grande maîtrise. Cela semble être toute l'intention de Vermines, souhaitant composer avec le réel et faire surgir la peur par ce biais.
Déjà présenté dans des festivals de genre aux États-Unis et ayant reçu de bonnes critiques à ce titre, Vermines est attendu le 27 décembre 2023 dans nos salles françaises. Il sera porté par Théo Christine (Suprêmes, BRI), Sofia Lesaffre (Deep Fear, Seuls) ou encore Finnegan Oldfield (Les Cowboys, Nocturama). Et il marquera le retour à une horreur viscérale dans le cinéma français en 2023. Et on a hâte d'en voir plus.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... tuIl-FGRRk
L'invasion du cinéma de genre dans nos cinémas français continue avec les araignées de Vermines et son teaser angoissant et cafardeux.
Ces temps-ci, le cinéma de genre français se porte bien. Après la relance du genre par Julia Ducournau (récompensée de la Palme d'or à Cannes pour Titane en 2021), les propositions de genre se multiplient dans l'Hexagone. D'ailleurs, on ne compte plus les métrages français qui osent désormais mêler les genres et s'aventurer sur un terrain inédit.
En 2023, les prototypes sont légions avec l'ambitieux Le Règne animal, le thriller anxiogène Vincent doit mourir ou le survival imparfait Acide. Et c'est justement dans ce terreau fertile que surgit la bande-annonce du premier film de Sébastien Vaniček. Et ça semble promettre un sacré cauchemar tant la mise en scène et les effets spéciaux semblent être à la hauteur de l'évènement jusqu'à même évoquer l'imaginaire de Tarantula, le classique de Jack Arnold de 1955.
Dans Vermines, les résidents d'un immeuble sont confrontés à l'apparition d'arachnides après que le jeune Kaleb (Théo Christine) a laissé échapper une araignée de son zoo de fortune. Sauf qu'elle se reproduit (très) rapidement et que l'espèce augmente sa taille en fonction de son environnement, se montrant de plus en plus agressive sur son territoire.
La force de Vermines, c'est d'avoir limité au maximum l'usage d'effets spéciaux numériques et d'avoir utilisé de vraies araignées sur le tournage. D'ailleurs, le réalisateur a fait ses armes de jeune caméraman en filmant des insectes avec des objectifs variés. Et cela se ressent clairement dans la bande-annonce, le film semblant jouer sur les échelles de plan avec une grande maîtrise. Cela semble être toute l'intention de Vermines, souhaitant composer avec le réel et faire surgir la peur par ce biais.
Déjà présenté dans des festivals de genre aux États-Unis et ayant reçu de bonnes critiques à ce titre, Vermines est attendu le 27 décembre 2023 dans nos salles françaises. Il sera porté par Théo Christine (Suprêmes, BRI), Sofia Lesaffre (Deep Fear, Seuls) ou encore Finnegan Oldfield (Les Cowboys, Nocturama). Et il marquera le retour à une horreur viscérale dans le cinéma français en 2023. Et on a hâte d'en voir plus.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... tuIl-FGRRk
Le Monde après nous : les premiers avis de la fin du monde Netflix sont là
Les premiers avis sur Le Monde après nous, le film Netflix du créateur de Mr. Robot Sam Esmail, sont tombés... et les retours sont (très) mitigés.
Dès son lancement en 2015, Mr. Robot a été un phénomène. Immédiatement appréciée du grand public, notamment grâce à la fin de la première saison, la série a rassemblé de nombreux sériephiles. Et lorsque la grandiose dernière saison de Mr. Robot est sortie, il était évident qu'elle s'installait confortablement parmi les meilleures séries des dernières années. Sam Esmail et Rami Malek nous ont livré une œuvre puissante et profonde, avec laquelle peu de séries peuvent rivaliser.
Forcément, quand une personne met au monde un programme aussi fort, on s'intéresse à ses projets, comme sa sympathique série Homecoming. Et voilà que Sam Esmail s'est lancé dans un long-métrage catastrophe adapté d'un livre, Le Monde après nous, qui sortira sur Netflix. On avait forcément hâte, mais les premiers avis risquent d'en refroidir certains. Revue de tweets.
"Le Monde après nous utilise le genre du film catastrophe pour transmettre un message – qu'en temps de crise, nous pouvons perdre nos sentiments humains – mais il est si vague quant à la nature de désastre et les motivations de ses personnages qu'on termine le film plus confus qu'éclairés." Thomas O'Brien - GoldDerby
"Soyons tous honnêtes pour dire que Netflix a fait de mauvais films. Le Monde après nous de Sam Esmail n’en fait pas partie. J'ai adoré ce film et toutes les performances. C’est un thriller original qui nous accroche en permanence et qui possède un scénario intelligent qui a beaucoup à dire. J'aimerais que plus de gens puissent le voir dans une salle de cinéma. J’aime aussi le fait que l’on n’ait jamais l’impression que l’algorithme Netflix a eu une quelconque contribution dans ce film. Regardez-le." Steven Weintraub - Collider
"Le Monde après nous est un thriller inquiétant avec beaucoup de réalisation et de mauvaises orientations de la part de Sam Esmail. Le mystère se transforme en une révélation effrayante, pertinente et cinglante, qui arrive bien trop tard pour l'effet souhaité. C’est comme regarder un épisode allongé et frustrant de Black Mirror." Matt Neglia - Next Best Picture
"Le Monde après nous est un thriller captivant dans ses deux premiers tiers avant de s'égarer un peu. Ce sera un succès en streaming pour Netflix, mais putain, Universal l'aurait commercialisé à au moins 100 millions de dollars au niveau national." Gregory Ellwood -The Playlist
"Eh bien, je vais être obsédée par Le Monde après nous. (Ou je suppose que je le suis déjà ?) Quelle histoire de catastrophe/apocalyptique unique et savamment conçue et photographiée ! (Je dois absolument lire le livre maintenant.) Un mélange stellaire de sensations fortes, d'idées/scénarios profondément troublants et de rires parfaits qui en font un visionnage extrêmement captivant et divertissant, mais qui, sans aucun doute, pèsera lourdement sur mon esprit pendant un bon moment. Un film au casting parfait et qui ne saute pas un instant. Cela va tout casser quand il arrivera sur Netflix et j’ai hâte de faire partie des conversations qu’il va forcément créer." Perri Nemiroff - Collider
"Le Monde après nous fait passer Bird Box pour un film de génie. C'est horriblement mauvais, peut-être le pire film de l'année et une très mauvaise performance de Julia Roberts. Elle n'a eu aucune chance dans ce scénario surmené et écrasé. Absolument horrible du début à la fin." Erik Anderson - Awards Watch
Sur cette première salve d'avis, les avis sont donc très mitigées, au point de diviser jusqu'au deux extrêmités de la critique entre les très satisfaits du film et les ultra-mécontents. De quoi nous laisser avec une petite peur quant à la proposition du créateur de Mr. Robot, pour la plateforme au N rouge. Nous aurons notre réponse le 8 décembre 2023 sur Netflix.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 4ZC4ZM0b3E
Les premiers avis sur Le Monde après nous, le film Netflix du créateur de Mr. Robot Sam Esmail, sont tombés... et les retours sont (très) mitigés.
Dès son lancement en 2015, Mr. Robot a été un phénomène. Immédiatement appréciée du grand public, notamment grâce à la fin de la première saison, la série a rassemblé de nombreux sériephiles. Et lorsque la grandiose dernière saison de Mr. Robot est sortie, il était évident qu'elle s'installait confortablement parmi les meilleures séries des dernières années. Sam Esmail et Rami Malek nous ont livré une œuvre puissante et profonde, avec laquelle peu de séries peuvent rivaliser.
Forcément, quand une personne met au monde un programme aussi fort, on s'intéresse à ses projets, comme sa sympathique série Homecoming. Et voilà que Sam Esmail s'est lancé dans un long-métrage catastrophe adapté d'un livre, Le Monde après nous, qui sortira sur Netflix. On avait forcément hâte, mais les premiers avis risquent d'en refroidir certains. Revue de tweets.
"Le Monde après nous utilise le genre du film catastrophe pour transmettre un message – qu'en temps de crise, nous pouvons perdre nos sentiments humains – mais il est si vague quant à la nature de désastre et les motivations de ses personnages qu'on termine le film plus confus qu'éclairés." Thomas O'Brien - GoldDerby
"Soyons tous honnêtes pour dire que Netflix a fait de mauvais films. Le Monde après nous de Sam Esmail n’en fait pas partie. J'ai adoré ce film et toutes les performances. C’est un thriller original qui nous accroche en permanence et qui possède un scénario intelligent qui a beaucoup à dire. J'aimerais que plus de gens puissent le voir dans une salle de cinéma. J’aime aussi le fait que l’on n’ait jamais l’impression que l’algorithme Netflix a eu une quelconque contribution dans ce film. Regardez-le." Steven Weintraub - Collider
"Le Monde après nous est un thriller inquiétant avec beaucoup de réalisation et de mauvaises orientations de la part de Sam Esmail. Le mystère se transforme en une révélation effrayante, pertinente et cinglante, qui arrive bien trop tard pour l'effet souhaité. C’est comme regarder un épisode allongé et frustrant de Black Mirror." Matt Neglia - Next Best Picture
"Le Monde après nous est un thriller captivant dans ses deux premiers tiers avant de s'égarer un peu. Ce sera un succès en streaming pour Netflix, mais putain, Universal l'aurait commercialisé à au moins 100 millions de dollars au niveau national." Gregory Ellwood -The Playlist
"Eh bien, je vais être obsédée par Le Monde après nous. (Ou je suppose que je le suis déjà ?) Quelle histoire de catastrophe/apocalyptique unique et savamment conçue et photographiée ! (Je dois absolument lire le livre maintenant.) Un mélange stellaire de sensations fortes, d'idées/scénarios profondément troublants et de rires parfaits qui en font un visionnage extrêmement captivant et divertissant, mais qui, sans aucun doute, pèsera lourdement sur mon esprit pendant un bon moment. Un film au casting parfait et qui ne saute pas un instant. Cela va tout casser quand il arrivera sur Netflix et j’ai hâte de faire partie des conversations qu’il va forcément créer." Perri Nemiroff - Collider
"Le Monde après nous fait passer Bird Box pour un film de génie. C'est horriblement mauvais, peut-être le pire film de l'année et une très mauvaise performance de Julia Roberts. Elle n'a eu aucune chance dans ce scénario surmené et écrasé. Absolument horrible du début à la fin." Erik Anderson - Awards Watch
Sur cette première salve d'avis, les avis sont donc très mitigées, au point de diviser jusqu'au deux extrêmités de la critique entre les très satisfaits du film et les ultra-mécontents. De quoi nous laisser avec une petite peur quant à la proposition du créateur de Mr. Robot, pour la plateforme au N rouge. Nous aurons notre réponse le 8 décembre 2023 sur Netflix.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 4ZC4ZM0b3E
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ClintReborn
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La performance de Baer peut être intéressante sur certains extraits il y a quelque chose de réussi
Mais Dali a besoin de quelque chose de flamboyant qui mette en avant son œuvre plutôt que quelque chose de parodique sur son personnage Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pale a écrit : ↑ven. 27 oct. 2023 16:39Vermines : un teaser angoissant pour le film d'horreur français avec son invasion d'araignées
L'invasion du cinéma de genre dans nos cinémas français continue avec les araignées de Vermines et son teaser angoissant et cafardeux.
Ces temps-ci, le cinéma de genre français se porte bien. Après la relance du genre par Julia Ducournau (récompensée de la Palme d'or à Cannes pour Titane en 2021), les propositions de genre se multiplient dans l'Hexagone. D'ailleurs, on ne compte plus les métrages français qui osent désormais mêler les genres et s'aventurer sur un terrain inédit.
En 2023, les prototypes sont légions avec l'ambitieux Le Règne animal, le thriller anxiogène Vincent doit mourir ou le survival imparfait Acide. Et c'est justement dans ce terreau fertile que surgit la bande-annonce du premier film de Sébastien Vaniček. Et ça semble promettre un sacré cauchemar tant la mise en scène et les effets spéciaux semblent être à la hauteur de l'évènement jusqu'à même évoquer l'imaginaire de Tarantula, le classique de Jack Arnold de 1955.
Dans Vermines, les résidents d'un immeuble sont confrontés à l'apparition d'arachnides après que le jeune Kaleb (Théo Christine) a laissé échapper une araignée de son zoo de fortune. Sauf qu'elle se reproduit (très) rapidement et que l'espèce augmente sa taille en fonction de son environnement, se montrant de plus en plus agressive sur son territoire.
La force de Vermines, c'est d'avoir limité au maximum l'usage d'effets spéciaux numériques et d'avoir utilisé de vraies araignées sur le tournage. D'ailleurs, le réalisateur a fait ses armes de jeune caméraman en filmant des insectes avec des objectifs variés. Et cela se ressent clairement dans la bande-annonce, le film semblant jouer sur les échelles de plan avec une grande maîtrise. Cela semble être toute l'intention de Vermines, souhaitant composer avec le réel et faire surgir la peur par ce biais.
Déjà présenté dans des festivals de genre aux États-Unis et ayant reçu de bonnes critiques à ce titre, Vermines est attendu le 27 décembre 2023 dans nos salles françaises. Il sera porté par Théo Christine (Suprêmes, BRI), Sofia Lesaffre (Deep Fear, Seuls) ou encore Finnegan Oldfield (Les Cowboys, Nocturama). Et il marquera le retour à une horreur viscérale dans le cinéma français en 2023. Et on a hâte d'en voir plus.
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Oh my Gooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooooodddd
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Dali n'a besoin de rien : il est mortClintReborn a écrit : ↑ven. 27 oct. 2023 17:09La performance de Baer peut être intéressante sur certains extraits il y a quelque chose de réussi
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robinne a écrit : ↑sam. 28 oct. 2023 09:54Dali n'a besoin de rien : il est mortClintReborn a écrit : ↑ven. 27 oct. 2023 17:09La performance de Baer peut être intéressante sur certains extraits il y a quelque chose de réussi
Non Dali n'est pas mortAh ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Bah si.ClintReborn a écrit : ↑sam. 28 oct. 2023 12:35robinne a écrit : ↑sam. 28 oct. 2023 09:54Dali n'a besoin de rien : il est mortClintReborn a écrit : ↑ven. 27 oct. 2023 17:09
La performance de Baer peut être intéressante sur certains extraits il y a quelque chose de réussi
Renseigne-toi.
Et Pablo Picasso aussi.
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Un artiste ne meurt pas voyons Faut pas s'arrêter a un concept biologique surtout avec Dali Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Vu ce week-end :
The Killer est sorti au ciné en Belgique et c'est une chance inestimable de pouvoir le découvrir en salle, rien que pour l'ambiance sonore. Même si il ne s'agit pas de mon Fincher préféré et qu'il ne m'a pas transcendé comme certaines de ses œuvres, ça reste un thriller rondement mené et redoutablement efficace avec un immense Michael Fassbender et une musique toujours aussi énorme de Trent Reznor et Atticus Ross.
Bon thriller policier à l'intrigue tortueuse à souhait même si certaines longueurs sont à déplorer mais ça reste assez captivant à suivre.
Beaucoup aimé ce film. Durant la première partie on est dans la petite comédie sympa mais j'avoue avoir trouvé la seconde partie vraiment touchante, cette seconde partie relève considérablement le niveau de l'ensemble et puis ça fait toujours plaisir de découvrir un film avec Michael J.Fox qui est excellent comme à son habitude.
The Killer est sorti au ciné en Belgique et c'est une chance inestimable de pouvoir le découvrir en salle, rien que pour l'ambiance sonore. Même si il ne s'agit pas de mon Fincher préféré et qu'il ne m'a pas transcendé comme certaines de ses œuvres, ça reste un thriller rondement mené et redoutablement efficace avec un immense Michael Fassbender et une musique toujours aussi énorme de Trent Reznor et Atticus Ross.
Bon thriller policier à l'intrigue tortueuse à souhait même si certaines longueurs sont à déplorer mais ça reste assez captivant à suivre.
Beaucoup aimé ce film. Durant la première partie on est dans la petite comédie sympa mais j'avoue avoir trouvé la seconde partie vraiment touchante, cette seconde partie relève considérablement le niveau de l'ensemble et puis ça fait toujours plaisir de découvrir un film avec Michael J.Fox qui est excellent comme à son habitude.
Jason Statham, Sylvester Stallone et David Ayer réunis pour le thriller d'action Levon's Trade
Alors qu'un projet réunissant David Ayer et Jason Statham a déjà été annoncé quelques semaines plus tôt, un nouveau film, Levon's Trade, vient d'être mis en route.
Il y a quelques semaines seulement, il avait été annoncé qu'un projet aussi bourrin que décérébré, The Beekeeper, avait été impulsé par David Ayer (oui, celui de Suicide Squad) aux côtés de Jason Statham. Certes, le synopsis ne faisait pas particulièrement rêver, mais comme toute production manifestement réalisée sous crack, une première bande-annonce si loufoque qu'elle en devenait presque intrigante avait su piquer notre curiosité.
Difficile néanmoins de digérer proprement l'information, puisque le cinéaste et l'acteur phare des intrigues boum-boum-bang-bang sont déjà tous deux attachés à un nouveau projet, dont le scénario serait cette fois-ci signé par nul autre que Sylvester Stallone. Kamoulox ? Non, juste Levon's Trade.
Le projet adapté de la saga littéraire Levon Cade (soit, une oeuvre comprenant quelque onze volumes par Chuck Dixon, lequel à principalement officié pour Marvel et DC Comics en développant les personnages du Punisher, Batman, Nightwing et Robin dans les années 90) fera donc le récit de son protagoniste éponyme après que celui-ci ait décidé d'être un bon papa-poule bien réglo comme il faut. Il délaisse ainsi le monde de l'anti-terrorisme (version moins officielle que les programmes dirigés par la CIA et consorts) pour mieux entamer une carrière dans le bâtiment – histoire de ne pas laisser ses gros muscles dépérir.
Puisque les fameuses retraites anticipées sont toujours de bons prétextes à ce que quelque chose tourne mal, voilà que la fille de son patron disparaît brusquement. Contraint de reprendre du service, le bougre se retrouve peu à peu en proie aux affres d'une conspiration criminelle bien plus que vaste qu'il ne l'imaginait initialement . Mais qui diable aurait pu le voir venir ?
Levon's Trade marque donc le retour à l'écriture du Sly, qui signe là son tout premier scénario depuis le dernier Rambo, sous-titré Last Blood en 2019. À noter par ailleurs que sa société de production, Balboa Productions, a déjà envisagé de développer une série dérivée de cette même saga littéraire en 2018. Pour ce qui est du tournage, celui-ci est pour le moment fixé à Londres en mars 2024. Il ne reste plus qu'à voir.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... PT825Cbsno
Alors qu'un projet réunissant David Ayer et Jason Statham a déjà été annoncé quelques semaines plus tôt, un nouveau film, Levon's Trade, vient d'être mis en route.
Il y a quelques semaines seulement, il avait été annoncé qu'un projet aussi bourrin que décérébré, The Beekeeper, avait été impulsé par David Ayer (oui, celui de Suicide Squad) aux côtés de Jason Statham. Certes, le synopsis ne faisait pas particulièrement rêver, mais comme toute production manifestement réalisée sous crack, une première bande-annonce si loufoque qu'elle en devenait presque intrigante avait su piquer notre curiosité.
Difficile néanmoins de digérer proprement l'information, puisque le cinéaste et l'acteur phare des intrigues boum-boum-bang-bang sont déjà tous deux attachés à un nouveau projet, dont le scénario serait cette fois-ci signé par nul autre que Sylvester Stallone. Kamoulox ? Non, juste Levon's Trade.
Le projet adapté de la saga littéraire Levon Cade (soit, une oeuvre comprenant quelque onze volumes par Chuck Dixon, lequel à principalement officié pour Marvel et DC Comics en développant les personnages du Punisher, Batman, Nightwing et Robin dans les années 90) fera donc le récit de son protagoniste éponyme après que celui-ci ait décidé d'être un bon papa-poule bien réglo comme il faut. Il délaisse ainsi le monde de l'anti-terrorisme (version moins officielle que les programmes dirigés par la CIA et consorts) pour mieux entamer une carrière dans le bâtiment – histoire de ne pas laisser ses gros muscles dépérir.
Puisque les fameuses retraites anticipées sont toujours de bons prétextes à ce que quelque chose tourne mal, voilà que la fille de son patron disparaît brusquement. Contraint de reprendre du service, le bougre se retrouve peu à peu en proie aux affres d'une conspiration criminelle bien plus que vaste qu'il ne l'imaginait initialement . Mais qui diable aurait pu le voir venir ?
Levon's Trade marque donc le retour à l'écriture du Sly, qui signe là son tout premier scénario depuis le dernier Rambo, sous-titré Last Blood en 2019. À noter par ailleurs que sa société de production, Balboa Productions, a déjà envisagé de développer une série dérivée de cette même saga littéraire en 2018. Pour ce qui est du tournage, celui-ci est pour le moment fixé à Londres en mars 2024. Il ne reste plus qu'à voir.
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