Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Vu :

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Excellente série animée, c'est un peu le Arcane de cette année. Derrière cette histoire de vengeance se cache un univers très riche, c'est visuellement magnifique et très violent. Une saison 2 a été officialisée et j'ai très hâte.
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yhi
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NaughtyDog a écrit :
mer. 27 déc. 2023 19:03
ce retour de Michael Mann avec Ferrari :love2:
December 25 c'est aux US en salle ?
Il est pas encore sorti sur plateforme. Je dis ça parce que je ne le trouve pas en bonne qualité sur le net :D
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NaughtyDog
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yhi a écrit :
sam. 30 déc. 2023 10:17
NaughtyDog a écrit :
mer. 27 déc. 2023 19:03
ce retour de Michael Mann avec Ferrari :love2:
December 25 c'est aux US en salle ?
Il est pas encore sorti sur plateforme. Je dis ça parce que je ne le trouve pas en bonne qualité sur le net :D
Je l'ai vu en Suisse au cinéma :)
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Pale
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Je suis pourtant fan des années 80 mais c'est pas terrible. Je sauve certains gags mais c'est lourd la plupart du temps et les personnages sont horribles. La fin dégoulinante de mièvrerie achève le tout. Alors oui je sais que c'est l'esprit de Noël mais ça reste minable :D
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Miamsolo
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Pale a écrit :
sam. 30 déc. 2023 12:36
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Je suis pourtant fan des années 80 mais c'est pas terrible. Je sauve certains gags mais c'est lourd la plupart du temps et les personnages sont horribles. La fin dégoulinante de mièvrerie achève le tout. Alors oui je sais que c'est l'esprit de Noël mais ça reste minable :D
Les flics qui débarquent à la fin, ça m'a quand même bien fait marrer :D
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Pale
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Miamsolo a écrit :
dim. 31 déc. 2023 01:34
Les flics qui débarquent à la fin, ça m'a quand même bien fait marrer :D
Oui c'est pas mal ça :D

Vu :

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C'est pas parfait mais c'est très bien. Au niveau des défauts il y a les acteurs qui en font parfois des tonnes et il y a des scènes de relâchement à des endroits pas toujours appropriés. Concernant le spectacle et la terreur engendrée par les araignées ça remplit hautement son contrat, ça ne m'a clairement pas laissé indifférent (je suis arachnophobe compulsif) :D
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Pas la meilleure adaptation de Un chant de Noël (je pense que ma préférée reste Noël chez les Muppets) mais bon film malgré tout. C'est parfois trop hystérique, Bill Murray cabotine comme pas permis mais au-delà ça il y a un côté méta assez sympa et quelques beaux moments de grâce où l'émotion fonctionne.
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Bonne année mes loulous :love2:
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Mon classement définitif des films sortis en 2023 :

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1. Godzilla Minus One - Takashi Yamazaki

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2. Les Gardiens de la Galaxie Vol. 3 - James Gunn

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3. Nimona - Nick Bruno, Troy Quane

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4. Donjons et Dragons : L'Honneur des voleurs - Jonathan Goldstein, John Francis Daley

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5. Indiana Jones et le Cadran de la Destinée - James Mangold

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6. Peter Pan & Wendy - David Lowery

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7. Gran Turismo - Neill Blomkamp

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8. Bonne conduite - Jonathan Barré

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9. L'Astronaute - Nicolas Giraud

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10. UFO Sweden - Victor Danell

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11. Jung_E - Sang-Ho Yeon

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12. Nowhere - Albert Pintó

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13. Le Monde après nous - Sam Esmail

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14. Zillion - Robin Pront

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15. Babylon - Damien Chazelle

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16. Yannick - Quentin Dupieux

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17. Asteroid City - Wes Anderson

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18. The Fabelmans - Steven Spielberg

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19. Knock at the Cabin - M. Night Shyamalan

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20. 65 : La Terre d'avant - Scott Beck, Bryan Woods

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21. Rebel Moon - Partie 1 : Enfant du feu - Zack Snyder

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22. Aquaman et le Royaume perdu - James Wan

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23. Shazam! La Rage des Dieux - David F. Sandberg

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24. Spider-Man : Across the Spider-Verse - Joaquim Dos Santos, Kemp Powers, Justin Thompson

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25. Ninja Turtles: Teenage Years - Jeff Rowe, Kyler Spears

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26. Chicken Run : La menace nuggets - Sam Fell

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27. Wonka - Paul King

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28. Air - Ben Affleck

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29. Tetris - Jon S. Baird

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30. The Killer - David Fincher

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31. The Covenant - Guy Ritchie

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32. The Creator - Gareth Edwards

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33. Ghosted - Dexter Fletcher

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34. Agent Stone - Tom Harper

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35. Sentinelle - Hugo Benamozig, David Caviglioli

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36. Gangsters par alliance - Tyler Spindel

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37. The Son - Florian Zeller

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38. Traquée - Brian Duffield

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39. Evil Dead Rise - Lee Cronin

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40. Terrifier 2 - Damien Leone

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41. Mystère à Venise - Kenneth Branagh

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42. Equalizer 3 - Antoine Fuqua

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43. Reptile - Grant Singer

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44. The Pale Blue Eye - Scott Cooper

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45. Killers of the Flower Moon - Martin Scorsese

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46. Napoléon - Ridley Scott

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47. Misanthrope - Damián Szifron

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48. La Montagne - Thomas Salvador

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49. Visions - Yann Gozlan

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50. Coup de chance - Woody Allen


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51. Élémentaire - Peter Sohn
52. Migration - Benjamin Renner, Guylo Homsy
53. Vermines - Sébastien Vaniček
54. Le Règne animal - Thomas Cailley
55. La Petite Sirène - Rob Marshall
56. Une équipe de rêve - Taika Waititi
57. Creed III - Michael B. Jordan
58. Ant-Man et la Guêpe : Quantumania - Peyton Reed
59. Super Mario Bros. Le film - Aaron Horvath, Michael Jelenic
60. Astérix et Obélix : L'Empire du Milieu - Guillaume Canet
61. Bird Box Barcelona - David Pastor, Àlex Pastor
62. Hunger Games: la Ballade du serpent et de l'oiseau chanteur - Francis Lawrence
63. Thanksgiving : La semaine de l'horreur - Eli Roth
64. Scream VI - Matt Bettinelli-Olpin, Tyler Gillett
65. Five Nights at Freddy's - Emma Tammi
66. Totally Killer - Nahnatchka Khan
67. Murder Mystery 2 - Jeremy Garelick
68. Leo - Robert Marianetti, Robert Smigel, David Wachtenheim
69. Renfield - Chris McKay
70. John Wick : Chapitre 4 - Chad Stahelski
71. Fast & Furious X - Louis Leterrier
72. Blue Beetle - Angel Manuel Soto
73. Tyler Rake 2 - Sam Hargrave
74. Expendables 4 - Scott Waugh
75. Cash - Jérémie Rozan
76. The Flash - Andy Muschietti
77. Beau Is Afraid - Ari Aster
78. The Whale - Darren Aronofsky
79. Reality - Tina Satter
80. Fair Play - Chloe Domont
81. Oppenheimer - Christopher Nolan
82. Tár - Todd Field

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83. Ils ont cloné Tyrone - Juel Taylor
84. Hypnotic - Robert Rodriguez
85. Transformers: Rise of the Beasts - Steven Caple Jr.
86. Les Chevaliers du Zodiaque - Tomasz Baginski
87. Les Trois Mousquetaires : D'Artagnan - Martin Bourboulon
88. L'Étrangleur de Boston - Matt Ruskin
89. Infiesto - Patxi Amezcua
90. Marlowe - Neil Jordan
91. Empire of Light - Sam Mendes
92. Devotion - J.D. Dillard
93. Mayday - Jean-François Richet
94. Silent Night - John Woo
95. Sisu : de l'or et du sang - Jalmari Helander
96. Sound of Freedom - Alejandro Monteverde
97. AKA - Morgan S. Dalibert
98. Medellín - Franck Gastambide
99. Mission: Impossible – Dead Reckoning Partie 1 - Christopher McQuarrie
100. Operation Fortune: Ruse de guerre - Guy Ritchie
101. En eaux très troubles - Ben Wheatley
102. Crazy Bear - Elizabeth Banks
103. Champions - Bobby Farrelly
104. The Mother - Niki Caro
105. The Marvels - Nia DaCosta
106. DogMan - Luc Besson

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107. Simetierre : Aux origines du mal - Lindsey Beer
108. La Main - Danny Philippou, Michael Philippou
109. L'Exorciste : Dévotion - David Gordon Green
110. Le Croque-mitaine - Rob Savage
111. L'Exorciste du Vatican - Julius Avery
112. Le Dernier Voyage du Demeter - André Øvredal
113. Le Manoir hanté - Justin Simien
114. Big George Foreman - George Tillman Jr.
115. Project X-Traction - Scott Waugh
116. Le Challenge - Gene Stupnitsky
117. Jeanne du Barry - Maïwenn
118. Barbie - Greta Gerwig

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119. Chien de la casse - Jean-Baptiste Durand
120. On the Line - Romuald Boulanger
121. Luther : Soleil déchu - Jamie Payne
122. La Maison du mal - Samuel Bodin
123. The Lair - Neil Marshall
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Pale
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Mon top définitif des films vus en 2023 MAIS toutes années confondues :

Image (Coup de cœur absolu)

1. La Folle Journée de Ferris Bueller - John Hughes (1986)
2. Les Accusés - Jonathan Kaplan (1989)
3. Rose bonbon - Howard Deutch (1986)
4. La P'tite Arnaqueuse - John Hughes (1992)
5. La Petite Boutique des horreurs - Frank Oz (1987)
6. La Dernière Folie de Mel Brooks - Mel Brooks (1976)
7. Trois heures, l'heure du crime - Phil Joanou (1987)
8. Ça chauffe au lycée Ridgemont - Amy Heckerling (1982)
9. Les Sept Samouraïs - Akira Kurosawa (1955)
10. Les Enfants du paradis - Marcel Carné (1945)
11. Les Plus belles années de notre vie - William Wyler (1947)
12. Ordet - Carl Theodor Dreyer (1955)
13. Voyage à Tokyo - Yasujirô Ozu (1953)
14. Short Cuts - Robert Altman (1994)
15. Idiocracy - Mike Judge (2007)
16. Insomnies - Michael Walker (2001)
17. Obsession fatale - Jonathan Kaplan (1992)
18. La Petite Fille au bout du chemin - Nicolas Gessner (1977)
19. L'Origine du mal - Sébastien Marnier (2022)
20. Une séparation - Asghar Farhadi (2011)
21. Love Exposure - Sion Sono (2008)
22. Re-Animator - Stuart Gordon (1986)
23. Frankenstein Junior - Mel Brooks (1975)
24. Monty Python : Sacré Graal ! - Terry Jones, Terry Gilliam (1975)
25. Sacré Robin des Bois - Mel Brooks (1993)
26. Les Producteurs - Mel Brooks (1971)
27. Le Grand Frisson - Mel Brooks (1978)
28. Calendrier meurtrier - Pat O'Connor (1989)
29. Doc Hollywood - Michael Caton-Jones (1992)
30. Le Père de la mariée - Charles Shyer (1992)
31. Trois Amigos ! - John Landis (1987)
32. Un ticket pour deux - John Hughes (1988)
33. L'Oncle Buck - John Hughes (1989)
34. Drôles d'espions - John Landis (1986)
35. Full Contact - Sheldon Lettich (1990)
36. Only the Brave - Joseph Kosinski (2018)
37. Mesrine : L'Ennemi public n°1 - Jean-François Richet (2008)
38. Arnaques, crimes et botanique - Guy Ritchie (1998)
39. Mensonges et trahisons et plus si affinités... - Laurent Tirard (2004)
40. Case départ - Thomas Ngijol, Fabrice Eboué, Lionel Steketee (2011)

Image (D'excellent à très bien)

41. Glory - Edward Zwick (1990)
42. Vorace - Antonia Bird (1999)
43. Les Grands Espaces - William Wyler (1959)
44. La Route des Indes - David Lean (1985)
45. L'Intendant Sansho - Kenji Mizoguchi (1954)
46. The Master - Paul Thomas Anderson (2013)
47. Van Gogh - Maurice Pialat (1991)
48. L'Enfant du diable - Peter Medak (1980)
49. La Fièvre au corps - Lawrence Kasdan (1982)
50. Jeux d'adultes - Alan J. Pakula (1993)
51. Présumé Innocent - Alan J. Pakula (1990)
52. U.S. Marshals - Stuart Baird (1998)
53. Open Water : En eaux profondes - Chris Kentis (2004)
54. Demonlover - Olivier Assayas (2002)
55. Holy Motors - Leos Carax (2012)
56. The Outfit - Graham Moore (2022)
57. U-235 - Sven Huybrechts (2020)
58. Les Anges de Boston - Troy Duffy (2000)
59. Le Dernier Rempart - Kim Jee-Woon (2013)
60. Novembre - Cédric Jimenez (2022)
61. Jeanne Dielman, 23, Quai du Commerce, 1080 Bruxelles - Chantal Akerman (1976)
62. Smashed - James Ponsoldt (2013)
63. La Voix du pardon - Andrew Erwin, Jon Erwin (2019)
64. Tag - Jeff Tomsic (2018)
65. Mamma Mia! - Phyllida Lloyd (2008)
66. Seize bougies pour Sam - John Hughes (1984)
67. Le Père de la mariée 2 - Charles Shyer (1996)
68. Fantômes en fête - Richard Donner (1988)
69. Rire et châtiment - Isabelle Doval (2003)
70. L'amour, c'est mieux à deux - Dominique Farrugia, Arnaud Lemort (2010)
71. Antoinette dans les Cévennes - Caroline Vignal (2020)
72. Trick 'r Treat - Michael Dougherty (2009)
73. Le shérif est en prison - Mel Brooks (1974)
74. Faut s'faire la malle - Sidney Poitier (1981)
75. Transamerica Express - Arthur Hiller (1977)
76. Road House - Rowdy Herrington (1990)
77. Double impact - Sheldon Lettich (1991)
78. Double Zéro - Gérard Pirès (2004)
79. Divine mais dangereuse - Harald Zwart (2001)
80. Juwanna Mann - Jesse Vaughan (2002)
81. Karaté Kid - Harald Zwart (2010)

Image (De bien à moyen)

82. Harcelés - Neil LaBute (2008)
83. Fenêtre sur Pacifique - John Schlesinger (1991)
84. La Faille - Gregory Hoblit (2007)
85. La Défense Lincoln - Brad Furman (2011)
86. Défense d'atterrir - Jae-rim Han (2022)
87. Lolita malgré moi - Mark Waters (2005)
88. Twilight : Chapitre 4 - Révélation, 1ère partie - Bill Condon (2011)
89. Nos voisins, les hommes - Tim Johnson, Karey Kirkpatrick (2006)
90. White Water Summer - Jeff Bleckner (1987)
91. Bowfinger, roi d'Hollywood - Frank Oz (1999)
92. Alarme fatale - Gene Quintano (1993)
93. Tolérance Zéro - Kevin Bray (2004)
94. Braqueurs amateurs - Dean Parisot (2006)
95. Emily the Criminal - John Patton Ford (2022)
96. Les Joueurs - John Dahl (1999)
97. Rush Hour 2 - Brett Ratner (2001)
98. Premium Rush - David Koepp (2012)
99. Pottersville - Seth Henrikson (2017)
100. Forever Young - Steve Miner (1993)
101. Fellini Roma - Federico Fellini (1972)
102. Casanova - Federico Fellini (1977)
103. My Fair Lady - George Cukor (1964)
104. La Fièvre du samedi soir - John Badham (1978)
105. Série noire pour une nuit blanche - John Landis (1985)
106. Coups pour coups - Deran Sarafian (1991)
107. Vengeance aveugle - Phillip Noyce (1990)
108. Pas nous, pas nous - Arthur Hiller (1990)
109. Un vendredi dingue, dingue, dingue - Gary Nelson (1978)
110. Échange standard - David Dobkin (2011)
111. Le Nouveau - Edward Decter (2002)
112. Scary Movie 3 - David Zucker (2003)

Image (De très moyen à mauvais)

113. Le sapin a les boules - Jeremiah S. Chechik (1989)
114. Bloody Bird - Michele Soavi (1987)
115. Tombstone - George Pan Cosmatos (1994)
116. Double Jeu - Bruce Beresford (2000)
117. Cursus fatal - Dan Rosen (1998)
118. Ne dis rien - Christian Tafdrup (2022)
119. Pater - Alain Cavalier (2011)
120. Mauvais sang - Leos Carax (1986)
121. Nostalghia - Andreï Tarkovski (1985)

Image (Rien à sauver)

122. L'humanité - Bruno Dumont (1999)
123. Phenomena - Dario Argento (1985)
124. Pattaya - Franck Gastambide (2016)
125. Chaud devant ! - Andy Fickman (2020)
126. Ninja Kids - Jon Turteltaub (1993)
127. The Strangers - Bryan Bertino (2008)
128. Super Mario Bros. - Annabel Jankel, Rocky Morton (1993)
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Pale
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Mon top définitif des séries vues en 2023 MAIS toutes années confondues :

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1. One Piece - Saison 1
2. Blue Eye Samurai - Saison 1
3. P'tit Quinquin - Saison 1

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4. Inoubliable Ollie - Saison 1
5. Alice in Borderland - Saison 1
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Mes premières attentes ciné de 2024 :

Iris et les hommes
Priscilla
Night Swim
Le Cercle des neiges (Netflix)
The Beekeeper
Pauvres créatures
Argylle
La Zone d'intérêt
Daaaaaali !
Madame Web
L'Empire
Dune : Deuxième Partie
Spaceman (Netflix)
La Demoiselle et le dragon (Netflix)
Kung Fu Panda 4
S.O.S. Fantômes : La Menace de glace
Godzilla x Kong : Le Nouvel Empire
Rebel Moon : Partie 2 - L'Entailleuse (Netflix)
Civil War
The Fall Guy
Blue & Compagnie
La Planète des Singes : Le Nouveau Royaume
Furiosa
Bad Boys 4
Vice-Versa 2
Deadpool 3
Trap
Alien: Romulus
Kraven The Hunter
Beetlejuice 2
Joker: Folie à Deux
Smile 2
Wolfman
Gladiator 2
Le Comte de Monte-Cristo
The Lord Of The Rings: The War Of Rohirrim
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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En VOD :

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Une nouvelle année qui commence sur les chapeaux de roue :hot:
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Vu :

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Premier visionnage de l'année. Trahie est un autre bon thriller domestique issu du début des années 90. L'histoire est certes tirée par les cheveux mais le réalisateur parvient à créer une bonne ambiance et de beaux moments de tension. Je parie que c'est un film qui s'est à peine fait remarquer à sa sortie alors qu'à l'heure actuelle ça devient rare des thrillers de cette trempe.
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Miamsolo
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T'as bien enchainé niveau films en 2023 :D :hot: :hot: :hot: :hello:
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Miamsolo a écrit :
lun. 1 janv. 2024 19:46
T'as bien enchainé niveau films en 2023 :D :hot: :hot: :hot: :hello:
:hello:

C'est pas ma meilleure année mais il y a eu quelques voyages aussi :D
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Pale a écrit :
lun. 1 janv. 2024 21:04
Miamsolo a écrit :
lun. 1 janv. 2024 19:46
T'as bien enchainé niveau films en 2023 :D :hot: :hot: :hot: :hello:
:hello:

C'est pas ma meilleure année mais il y a eu quelques voyages aussi :D
Ca c'est le pied! :hot:
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Grand fan de Yorgos depuis son troublant Canine, le réal revient ni plus ni moins qu'avec son meilleur film. Poor Things ou le mélange détonnant de Browning, Marry Shelley et Murnau saupoudré du Voyage au bout de la nuit de Céline.

Un vrai récit picaresque émancipatoire et féministe par le prisme d'une humanité dérangée, où sexe, argent et égo dominent une société magnifiquement représentée par une mise en scène inventive, tel un théâtre de l'absurde (l'utilisation du fish eye et des sublimes settings à matte paintings renforcent cela) où Emma Stone (monumentale) livre la performance de sa carrière (candide et drôle au début, avant d'offrir un personnage vraiment complet in fine) .
Le reste du cast est génial (Dafoe et Ruffalo en tête) tout comme la BO de Jerskin Fendrix, pour nouvelle petite pépite du grand Lanthimos

4.5/5
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Catwoman : de nouveaux détails sur le film abandonné de Tim Burton après Batman : Le Défi

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Après Batman, le défi, la Warner voulait un spin-off sur la Catwoman de Michelle Pfeiffer et Tim Burton avait une idée précise en tête.

En 2016, Batman était de retour sur grand écran dans Batman v Superman : L'Aube de la Justice de Zack Snyder, suite de Man of Steel et second film du DCEU. Le rôle iconique avait donc été confié à Ben Affleck, un choix qui avait fait débat à l'époque, mais peut-être pas autant que celui de faire de Robert Pattinson le nouveau Chevalier Noir dans The Batman (le meilleur film Batman depuis longtemps ?). Michael Keaton, Christian Bale... les interprètes du héros DC sont nombreux, et n'ont pas tous convaincu le public.

Mais s'il y a bien quelqu'un qui a mis tout le monde d'accord dans un film de l'univers Batman, c'est Michelle Pfeiffer en Catwoman. Avant Halle Berry, dans l'horrible Catwoman, Anne Hathaway (meilleure Catwoman après Michelle Pfeiffer ?) dans The Dark Knight Rises de Christopher Nolan et Zoë Kravitz dans le film de Matt Reeves, l'héroïne est donc apparue dans le culte Batman : Le Défi de Tim Burton, culte aussi pour l'interprétation de Michelle Pfeiffer. Après le succès de cette suite, la Warner était intéressée par un spin-off centré sur le personnage de Catwoman, qui n'a malheureusement jamais vu le jour.

Malgré le succès de Batman, le défi, beaucoup, dont les studios, ont trouvé le film de Burton bien trop sombre. La réalisation du troisième volet a donc été confiée à Joel Schumacher, mais Tim Burton est resté impliqué dans la production. L'idée du spin-off sur Catwoman est tombée à l'eau. Le média IndieWire a rapporté les détails sur ce projet avorté donné par le scénariste de Batman, le défi, Daniel Waters, lors d'une récente projection du film à Los Angeles. Il a révélé que sa vision et celle de Tim Burton étaient complètement opposées :

"Il voulait faire un film en noir et blanc à 18 millions de dollars, dans le style de La Féline [film de Jacques Tourneur de 1942], dans lequel Selina avait emménagé dans une petite ville. Moi, je voulais faire un film Batman, avec une métaphore à Batman. Je voulais donc la faire déménager dans un Gotham City emprunté à Los Angeles, dirigé par trois enflures de super-héros. C'était The Boys avant The Boys. Il a été épuisé rien qu'en lisant mon scénario."

Le réalisateur et le scénariste n'avaient donc pas du tout la même idée en tête. Burton y voyait un film à petit budget en noir et blanc tandis que Daniel Waters l'imaginait plutôt comme une suite de la même ampleur que Batman : Le défi. Deux ans après son deuxième film Batman, Burton a bien réalisé un film en noir et blanc à 18 millions de dollars, Ed Wood.

Le prochain film Batman à nous parvenir devrait être The Batman: Part II, de Matt Reeves et toujours avec Robert Pattinson, qui doit sortir le 1er octobre 2025 au cinéma.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... f0Gq5U1chQ
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Miamsolo
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Je balance mon petit bilan ciné 2023 ici :D :hot:

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EL a aimé Le Cercle des neiges (3,5 étoiles) :

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De L’Orphelinat à Quelques minutes après minuit, Juan Antonio Bayona s’est façonné une carrière des plus maîtrisées et passionnantes (oui, même sur Jurassic World 2...). Dans la lignée de The Impossible, Le Cercle des neiges réinvestit le drame inspiré par un fait réel, à savoir le crash d'un avion uruguayen dans la cordillère des Andes en 1972. Si l’événement a marqué son époque (notamment à cause du cannibalisme nécessaire à la survie des passagers), le cinéaste en tire une nouvelle fois un film à la mise en scène sensible et viscérale, disponible sur Netflix.

FÊTES DE BAYONA


Le Cercle des neiges déploie dès ses premières minutes un motif majeur : celui de la photographie. Si la prise de clichés rassemble les personnages sur un tarmac d’aéroport dans l’introduction, c’est pour immortaliser le calme avant la tempête à venir, et des vies qui ne seront plus jamais les mêmes. Mais Juan Antonio Bayona va plus loin, puisque d’autres photos seront prises et observées comme autant de preuves et de souvenirs de la société alternative qui va se créer dans la montagne.

En adaptant l’histoire vraie cauchemardesque de cette équipe de rugby coincée dans la cordillère des Andes après un crash d’avion, le réalisateur a conscience des fantasmes qui entourent ce fait divers hautement médiatisé. Par la sauvegarde de moments fugaces, par la préservation de l’évanescent, la notion de reconstitution s’impose comme interrogation centrale du long-métrage. Quelle doit être la limite dans la recréation d’un événement aussi traumatique ?

La grande intelligence de Bayona, c’est d’accepter la nature de son sujet : sur cette crête où les survivants ont été ostracisés pendant si longtemps, Le Cercle des neiges ne peut qu’embrasser la subjectivité de ses personnages et de leur témoignage. Tout comme la photographie, le cinéma de l’auteur capte les bribes d’un temps suspendu, où la voix des vivants s’exprime autant que celle des défunts (magnifique structure narrative dont on ne spoilera pas certaines surprises tétanisantes).

L'idée est d’autant plus importante que ce contexte particulier évoque en creux la place particulière de la mort. Omniprésente et intraitable dans ce cocon inhospitalier, elle est aussi confrontée aux éléments, et plongée dans une sorte de stase. À cause du froid, les cadavres ne disparaissent jamais vraiment, si ce n’est au travers de leur ingestion par les autres.

Bien évidemment, le cannibalisme tant commenté de cette histoire devient le point sensible du film, attendu au tournant par le spectateur. Si Bayona ne l’esquive pas, il le traite avec la finesse nécessaire pour que sa dimension choc ne perde jamais de vue le dilemme moral. Il filme avec attention les débats et les logiques qui s’opposent autour de cette question, afin de mettre en perspective le paradoxe de cette solidarité ultime, de cette humanité rassemblée sous le prisme de la survie, alors qu’elle franchit une barrière a priori indéfendable.

SURVIVAL OF KINDNESS

Le Cercle des neiges pousse ainsi le spectateur à la même introspection, phase essentielle d’une immersion totale par la mise en scène. On comprend ce qui a attiré le cinéaste vers le sujet, et plus particulièrement vers le livre La sociedad de la nieve de Pablo Vierci, témoignage de 2009 qui a redéfini la perception de l’incident.

Par ses courtes focales qui accentuent le moindre détail, la moindre texture et le manque flagrant de ressources à disposition du groupe, chaque plan se raccroche à l’interaction des corps et à leur transformation dans ce désert glacial. Au fur et à mesure, on a l’impression de sentir le froid et les odeurs de cet espace mortifère, tandis que les rares signes de vie présents à l’écran semblent atteindre une forme de sublime poétique (la buée expulsée par la bouche des personnages).

Comme souvent avec Bayona, cette beauté s'exprime dans l’équilibre parfois précaire entre la dimension mélodramatique du récit (portée par la musique anxiogène et mélancolique de Michael Giacchino) et son souhait de coller au plus près à l’expérience éreintante des protagonistes. La prouesse du Cercle des neiges, c’est de parvenir à traiter de front la dureté de son sujet et ses questionnements moraux, sans sombrer dans une vulgarité sensationnaliste. Cependant, le film n’évite pas certains écueils, que ce soit sa durée quelque peu anesthésiante ou sa quête d’exhaustivité, forcément complexe dans un tel film de groupe.

Et si on peut reprocher à l’ensemble sa difficulté à caractériser certains personnages pourtant majeurs du récit, on lui pardonne presque au vu de la puissance de sa réalisation, dont le niveau de viscéralité dépasse celle, déjà impressionnante, de The Impossible. Juan Antonio Bayona tisse d’ailleurs une connexion fascinante entre les deux œuvres, et leurs histoires désespérées qui refusent de céder au nihilisme.

UN FILM SUBLIME (DANS TOUS LES SENS DU TERME)

Alors que les survivants cherchent un sens à la mort de leurs amis, une forme de spiritualité pointe le bout de son nez, malgré la nature de ce territoire qui semble avoir été abandonné par les hommes (les hélicoptères de secours ne peuvent pas les repérer) et par Dieu. Les élans éthérés de la photographie confirment la valeur symbolique du cinéma de Bayona : face à l’adversité, l’humain devient sa propre religion.

La croyance dans sa capacité de transcendance devient une nécessité, qui permet de supporter le pire et de réaliser l’impossible. Un peu comme dans Gravity, où Sandra Bullock retrouve goût à l’existence en se reconnectant à la condition physique de l’humanité dans un environnement hostile, Le Cercle des neiges part de l’intime pour s’étendre comme une toile de Caspar Friedrich.

Les personnages acceptent leur petitesse dans l'immensité terrifiante du monde, et s’accordent à sa beauté dans des plans larges somptueux (les plus ahurissants depuis ceux du Seigneur des anneaux ?). De quoi affirmer la cohérence des films de Juan Antonio Bayona. S’il étudie ici une “société de la neige” comme le présente le titre original, il creuse les systèmes qui naissent de nos instincts, de notre soif de survie et de notre peur de la mort, le tout avec une approche universelle aux allures quasi-mythologiques. C’est là que l’auteur bouleverse le plus.

Le Cercle des neiges est disponible sur Netflix depuis le 4 janvier 2024.

Un survival tendu et virtuose, mais surtout une oeuvre au sublime désarmant. Juan Antonio Bayona est définitivement un grand cinéaste.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... CxGGevb5sg
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EL n'a pas trop aimé Night Swim (2 étoiles) :

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Ça devait arriver : les deux pontes de l'horreur grand public américaine, Jason Blum et James Wan, ont fini par s'allier en fusionnant leurs compagnies respectives, Blumhouse et Atomic Monster. Une association de malfaiteurs qui avait déjà rapporté gros avec M3GAN et qui pourrait bien encore faire ses preuves au box-office avec Night Swim, une histoire de... piscine hantée qui fait plouf, où surnagent Wyatt Russell et Kerry Condon.

J'PEUX PAS, J'AI PISCINE


Pas étonnant que cette seconde collaboration entre les deux firmes sorte dans nos salles le jour même de l'annonce de leur fusion : Night Swim est un mélange flagrant de leurs marottes respectives, à savoir les familles américaines persécutées par une entité surnaturelle dans le cas de Atomic Monster, et le high concept dans le cas de Blumhouse. La famille, c'est celle de Wyatt Russell (actuellement à l'affiche de la série Monarch), ancienne star de base-ball en rémission, et Kerry Condon. Le high concept, c'est la piscine installée dans le jardin de leur nouvelle maison, ayant tendance à malmener quiconque y pique une tête.

Malheureusement, c'est surtout le pire des deux mondes. Comme les pires productions Wan, c'est une succession d'archétypes génériques, des motivations de "l'antagoniste" aqueux à ses techniques de prédation, en passant par les obligatoires phases de recherches internet et de dialogue avec le précédent habitant. Comme les pires productions Blumhouse, il s'agit d'un postulat de court-métrage étiré sur plus d'une heure et demie. Et d'ailleurs c'est le cas, puisque Bryce McGuire adapte ici son propre court, d'une durée de moins de 4 minutes générique compris et déjà franchement oubliable.

Il y décline son idée originale dans une demi-dizaine de scènes et tartine le reste de clichés éculés (le destin du personnage de Wyatt, sorti du pire des sous-Conjuring) histoire de remplir les trous, tant et si bien qu'on passe la majeure partie du film à prier que la jolie petite famille gentiment dysfonctionnelle retourne barboter avec les fantômes numériques.

POOL PARTIE

En d'autres termes, Night Swim est un film de maison hantée des plus anonymes avec une piscine à la place de la maison. Et ce n'est pas un twist new-age similaire à quasi tout ce qui se fait dans le genre depuis 10 ans (le catho-porn en moins), grillé dès le premier acte, qui va entretenir l'illusion.

Ainsi, le long-métrage parviendrait même presque à être plus mécanique que ses nombreux modèles, restreignant la plupart du temps ses scènes d'angoisse aux plongées dans la fameuse piscine. Quitte à subir les atermoiements du patriarche insupportable campé par Russell, et puisqu'il s'agit de la seule touche de singularité de la chose, autant s'y raccrocher. Certes, McGuire a bien quelques idées lorsqu'il s'agit d'exploiter son bassin, telle la réflexion des fantômes sous l'eau, les plans panoramiques au ras de la surface ou la disparition du fond inspirée par la géniale séquence des Griffes de la Nuit. Mais jamais elles ne dépassent le stade du gimmick, quand elles ne sont pas carrément contredites plus tard dans le scénario.

La promesse d'un gros shoot de trouille sous-marin est diluée dans un cahier des charges qui aurait vraiment besoin d'une réécriture. Bien qu'ils joignent leurs forces et leurs catalogues, Atomic Monster et Blumhouse persistent dans la production originale plutôt que de se cantonner à la surexploitation de franchise. L'intention est louable, mais ce Night Swim paresseux et surtout pas du tout inspiré donne déjà envie de chlore le dossier.

Ce n'est pas en remplaçant les maisons et les portes qui claquent par des piscines ou des tondeuses à gazon maudites que Blumhouse et Atomic Monsters se débarrasseront des poncifs qu'ils ont eux-mêmes fini par systématiser.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 6mHQz9bqPc
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EL n'a pas trop aimé Priscilla (2 étoiles) :

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Après le Elvis de Baz Luhrmann sorti en 2022, c'est au tour de Sofia Coppola, réalisatrice de Lost in Translation et Virgin suicides, de s'emparer du mythe Presley à travers son nouveau film : Priscilla. Exit Austin Butler et Olivia DeJonge dans le rôle du célèbre couple, place à Jacob Elordi dans la peau du rockeur, et surtout à Cailee Spaeny dans celle de son épouse. Un point de vue nouveau sur la légende Elvis, celui de cette adolescente inconnue dénichée lors du service militaire de la star, qu’il choisit pour en faire sa potiche attitrée et l’enfermer dans sa prison dorée de Graceland à Memphis. Une triste histoire d’abus dissimulée sous les paillettes qui aurait pu être passionnante si elle n’était pas racontée de manière aussi fade.

SOIS BELLE ET TAIS-TOI


Avec Marie-Antoinette, Somewhere, Les Proies et d’autres, Sofia Coppola s’est fait connaître comme la cinéaste de l’errance pastel et du désœuvrement joliment malsain. Dans des atmosphères poudrées et cotonneuses, ses héroïnes trompent leur morosité en se laissant aller à la mélancolie romantique ou à la perversité.

Que l’on adhère ou pas à ces portraits de l’ennui (parfois trop communicatif), il faut dire que l’esthétique de la réalisatrice semblait totalement adéquate pour raconter la vie de cette très jeune fille pleine de rêves condamnée à se languir dans une maison trop grande et trop vide, nimbée d’un kitsch à la rencontre des années 50 et 60.

En effet, dès les premières séquences, c’est l’évidence : le style tout en retenue et en lumière éthérée de la metteuse en scène semble parfaitement rendre l’écrin faussement parfait dans lequel la douce adolescente se laisse attirer. L’ensemble est visuellement très joli, très appliqué, superbement éclairé par Philippe Le Sourd, déjà directeur de la photographie sur Les Proies (et accessoirement chez Wong Kar-wai pour The Grandmaster).

Cherchant la reproduction parfaite de Graceland ainsi que du look de Priscilla et de son mari, les décors, les costumes et les maquillages sont évidemment impressionnants, laissant deviner un travail de recherche méticuleux. En somme, et ce n’est pas une surprise, Priscilla est une réussite visuelle, qui montre encore que la réalisatrice sait s’entourer et jouer avec une esthétique désormais devenue signature de ses histoires d’oisiveté polie qui dissimule une douleur.

ENCÉPHALOGRAMME PLAT

Le problème, c’est qu’au-delà de la délicatesse de l’image, le film oublie très vite d’utiliser le reste de ses outils. À commencer par le rythme. Épouser le point de vue d’un personnage qui s’ennuie et communiquer cet ennui au spectateur, c’est une chose. Mais s’enfermer dans un rythme inexistant en est une autre. Filmant les moments de passion ou de violence avec le même manque d’emphase que les moments de plate solitude, Sofia Coppola ne hausse jamais le ton, ne dit jamais un mot plus haut que l’autre avec sa caméra, même lorsque son personnage est saisi d’angoisse.

Dès lors, la narration du film (terriblement classique) navigue sur une mer d’huile, laissant d’ailleurs la fin arriver par surprise, tant aucune sensation de climax ou même de progression ne vient scander le visionnage. Les séquences n’en finissent plus de se répéter sans que le personnage principal évolue réellement entre elles (on pense notamment aux moult plans sur Priscilla laissée seule sur le parking alors qu’Elvis part en voiture ou en bus), et la pudeur de la mise en scène finit en fait par devenir un refus de traiter le sujet.

Le film vend ce fameux point de vue de Priscilla, mais laisse finalement si peu d’espace à son personnage pour exister autrement que comme cet objet écrasé par un décor, que tout réel point de vue semble absent. Des plans serrés sur la moue boudeuse ou impassible de Cailee Spaeny, il y en a un paquet, mais offrent-ils réellement l’incarnation d’une personne à part entière, dans l’ombre du rockeur ? Pas vraiment, et c'est décevant. S’il est louable de montrer une (petite) part sombre d’Elvis en mari manipulateur et violent avec sa femme beaucoup trop jeune, Sofia Coppola en fait finalement bien peu de choses dans cet océan de jolies images aussi figées et sages que Priscilla.

Négatif parfait de l'Elvis de Baz Luhrmann, avec ce seul prénom pour titre, le calme plat qui remplace la frénésie et le portrait beaucoup plus négatif du chanteur (là où le film de Luhrmann fait volontiers l'impasse sur ses pires travers), Priscilla en est parfaitement complémentaire. Mais c'est peu, comme argument, pour en faire un bon film.

LES QUESTIONS SANS RÉPONSES

Est-ce parce que la véritable Priscilla Presley est productrice déléguée du film que celui-ci ne s’autorise aucun réel parti pris ? En effet, toutes les questions qui peuvent venir au sujet de cette icône somme toute assez vide sont parfois évoquées mais jamais traitées. Pourquoi Elvis a-t-il courtisé autant d’années cette jeune inconnue, alors même que ses parents s’opposaient à leur relation (Priscilla n’avait que 14 ans, et Elvis 24), et qu’elle vivait en Allemagne ? Elvis aimait-il réellement la jeune fille, malgré les nombreuses aventures qui accaparaient toute sa vie sexuelle ? Leur mariage a-t-il été la douloureuse issue d’un chantage mené par les parents de Priscilla, ou les amants étaient-ils heureux de s’épouser ?

Sofia Coppola ne formule jamais d’hypothèse sur aucun de ces sujets, filmant son histoire avec le détachement et la distance qui permettent de suggérer une chose et son contraire, selon ce que le spectateur veut comprendre. Trop facile et trop insignifiant. La même nonchalance se ressent malheureusement dans l’utilisation que la réalisatrice fait de son casting : là où Cailee Spaeny est cantonnée aux regards dans le vide et aux soupirs timides, c’est encore l’utilisation de Jacob Elordi qui déçoit le plus dans le rôle d’Elvis.

Non pas que l’acteur joue mal son rôle, au contraire. Mais Sofia Coppola ne le met jamais réellement en scène : la très grande taille de l’acteur aurait pu servir à symboliser cette emprise du chanteur sur sa femme, mais cette différence de hauteur n’est jamais sublimée à l’image. Si le décor se prête souvent à faire apparaître Elvis comme un vampire tapi dans l’ombre de sa chambre sombre au décor baroque, là encore, la caméra se refuse à jouer cette corde. Et pourquoi pas ! Cette critique n'est pas là pour donner des leçons. Mais jouer une corde tout court, ç'aurait quand même été pas mal.

De même, la réalisatrice choisit de ne pas faire vieillir son acteur au fil du temps qui passe, et manque l’occasion de représenter un Elvis plus ridicule et démythifié au regard de sa femme sur la fin de leur relation. A-t-elle voulu conserver la beauté de son acteur pour signifier que Priscilla le voyait toujours avec ses yeux de jeune fille ? Peut-être, mais là encore, aucune mise en scène ne fait l’effort de le raconter.

Bref, Sofia Coppola énumère ses sujets sans s’en emparer, et se contente de faire de jolies images sur l’idée de ce que son film aurait pu être.

Si Sofia Coppola trouve en l'histoire de Priscilla Presley le sujet parfait pour épouser son style poudré et éthéré, la réalisatrice se refuse à donner la moindre consistance à son récit et à ses personnages. À force de vouloir représenter la prison dorée d'une jeune femme, Sofia Coppola en a un peu trop bien restitué l'impression de coquille vide.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 3yoyJZvm5E
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... hDLU1IyPX4
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NaughtyDog
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Le 1er film raté de Garth Davis, malgré son concept (étrangement similaire à celui de Black Mirror l'an dernier mais quine l'exploite jamais contrairement à la série), proposant in fine un mélodrame aussi poussif que raté dans son exécution (le twist vendu dès le début) malgré son très bon trio d'acteurs et une photographie léchée.

2.5/10
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Vu :

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Iris et les hommes aborde des thèmes tels que l'incommunication au sein du couple, l'adultère, les applications de rencontre... En résulte une comédie aussi pourrie que tous ces thèmes. Je ne sauve pas grand chose à part quelques moments un peu marrants durant sa première partie mais dans l'ensemble c'est aussi lourd et chiant que le son du vibreur d'un téléphone (chose que l'on entend au moins 100 fois dans le film). Iris et les hommes nous gratifie également d'une scène musicale qui figurera parmi les scènes les plus gênantes de l'année.

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C'est le jour et la nuit entre les deux films tant je me suis pris une immense claque devant Le Cercle des neiges. Odyssée aussi époustouflante que bouleversante et servi par une mise en scène remarquable de Bayona qui commence véritablement à faire partie de mes réalisateurs préférés. La musique de Michael Giacchino est également sublime et m'a procuré de gros frissons.

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Retour en force de Sofia Coppola avec Priscilla dans lequel on retrouve sa patte. Une sorte de Marie-Antoinette version Graceland. J'ai beaucoup apprécié la reconstitution et l'ambiance d'époque. J'ai éventuellement une réserve concernant le dernier acte où les événements ont tendance à s'enchaîner un peu trop rapidement.

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Drôle d'embrouille est un pastiche absolument savoureux et remarquable du cinéma de Hitchcock, c'est un peu la rencontre entre La Mort aux trousses et L'Homme qui en savait trop et le tout à San Francisco que le réalisateur avait sublimé dans Sueurs Froides. Bref j'ai pris un véritable pied devant ce festival de scènes plus folles les unes que les autres et qui m'ont provoqué quelques immenses fous rires.

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Un film qui peut paraître désuet au vu de notre époque actuelle mais il s'agit malgré tout d'un très beau conte de Noël qui veut nous faire croire à l'incroyable. Certaines scènes émotionnelles fonctionnent toujours très bien.
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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En VOD :

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C'est pas deux films que j'attends de ouf donc on verra si je me tiens à ce programme.

J'étais censé voir Night Swim ce week-end mais les critiques m'en ont un peu dissuadé. Il sort fin février en Belgique donc on verra si je suis plus enclin à ce moment là :D
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Après le carton Yannick : Léa Seydoux sera dans le prochain Quentin Dupieux

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Léa Seydoux sera à l'affiche d'un prochain film du décidément très productif Quentin Dupieux, intitulé À notre beau métier !.

Depuis Au poste ! en 2018, Quentin Dupieux a déjà réalisé sept films en six ans (en comptant Daaaaaali! qui arrive très bientôt). S'il a su faire son trou sur la scène française grâce à Mandibules (235 000 entrées), Incroyable mais vrai (315 000 entrées) et Fumer fait tousser (178 000 entrées), le réalisateur a connu un vrai carton en 2023 avec la surprise Yannick, portée par un Raphaël Quenard éblouissant. Avec ses 445 000 entrées, le dernier film de Dupieux a touché le grand public.

Le cinéaste devrait donc continuer son ascension fulgurante dans le cœur des Français, et le casting de Daaaaaali! devrait l'y aider. Son premier film de 2024 rassemble Edouard Baer, Jonathan Cohen, Pierre Niney, Pio Marmaï, Gilles Lellouche et Anaïs Dumoustier, et pourrait bien de nouveau attirer le public dans les salles obscures. Mais Dupieux a déjà un autre film en tête : À notre beau métier ! , tourné "en cachette" en fin d'année, et qui rassemblera lui aussi de grands noms du cinéma français, Léa Seydoux en tête.

Louis Garrel et Raphaël Quenard (pièce maitresse du succès de Yannick) seront également à l'affiche de ce film tourné en deux semaines en décembre dernier. Dans une interview accordée à Télérama, la comédienne a donné un aperçu du long-métrage :

"[C'est] une mise en abyme autour d’acteurs qui jouent dans un film nul. Des acteurs face à leur personnage et leurs répliques. Chaque rôle est double [...] Le film est délirant. Très, très drôle. Ça "chie" du verbe, si vous voulez bien me pardonner l’expression ! [...] J’ai lu son scénario d’une traite, ça ne m’arrive presque jamais. Il écrit comme il respire. Tout se fait vite, c’est hallucinant : Quentin m'a proposé le film il y a deux mois, le tournage s'est fait dans la foulée, et on ne tourne que deux semaines ! Quentin a une forme de vitalité et un sens de l’absurde qui me plaisent beaucoup."

Mais avant de découvrir ce film apparemment hilarant, il faudra patienter. À notre beau métier ! n'a pas encore de date de sortie officielle en France. Mais si vous voulez en avoir un étrange aperçu, gardez votre 7 février de libre : Léa Seydoux sera à l'affiche de La Bête de Bertrand Bonnello, et c'est également la date de sortie de Daaaaaali!, le prochain film de Quentin Dupieux.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... hchVjXAnzU
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28 jours plus tard : le troisième film de zombie est enfin en route avec le duo rêvé (et plus encore)

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Après 28 jours plus tard et 28 semaines plus tard, l'univers de zombie va enfin avoir droit à un troisième film grâce au duo de rêve.

Depuis que 28 jours plus tard, réalisé par Danny Boyle, est sorti en 2002, les fans attendent absolument une suite. Le second volet, 28 semaines plus tard n'a pas suffi à contenter tout le monde, puisqu'il a été mis en scène par un autre réalisateur et suivait un tout autre personnage. Le projet 28 mois plus tard a été longuement attendu, sans jamais aboutir. Mais ces dernières années, les zombies donnent lieu à plusieurs énormes franchises.

La série The Walking Dead revient encore avec son spin-off The Ones Who Live, la série The Last of Us vient de trouver son Abby pour sa saison 2 et même Will Smith a confirmé la suite de Je suis une légende. Il était donc tout-à-fait logique qu'une suite de la saga lancée par Danny Boyle soit enfin mise sur pieds. Et en effet, Danny Boyle et le scénariste Alex Garland, ont confirmé travailler sur 28 Years Later, une suite qui pourrait carrément lancer une nouvelle trilogie.

En effet, d'après des sources de The Hollywood Reporter, les deux cinéastes ne voudraient pas se contenter d'un seul opus, puisqu'ils souhaiteraient créer une trilogie. Boyle serait pressenti pour réaliser le premier volet, tandis que Garland devrait scénariser les trois films. Les deux hommes devraient également officier en tant que producteurs, aux côtés d'Andrew McDonald et Peter Rice. Le budget requis pour chaque épisode serait de 75 millions de dollars.

Le projet de film devrait être présenté aux studios, diffuseurs et autres acheteurs potentiels dans le courant de la semaine. L'entreprise WME, qui représente Danny Boyle et Alex Garland, se chargera de la vente.

Aucune autre information n'a été partagée et on ne sait évidemment rien du scénario de cette suite. Est-ce que Cillian Murphy rejoindra le casting pour réincarner le personnage de Jim, protagoniste de 28 jours plus tard ? Rien n'est encore sûr, mais quoi qu'il en soit, l'annonce de cette suite constitue déjà une première victoire. Découvrir ce que l'humanité est devenue après 28 ans d'infection zombie est très alléchant et avec l'annonce d'une potentielle trilogie, on dirait presque que les festivités de Noël continuent en ce mois de janvier.

Évidemment, le projet étant encore en stade de développement, aucune sortie n'est connue. Il ne reste plus qu'à patienter, en espérant ne pas avoir à attendre 28 ans.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... oa2ZuQeS98
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Pale
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... AWJCmylpkU
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Kit
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:hello: bonne et heureuse année
Pale a écrit :
mar. 9 janv. 2024 15:52
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je ne l'avais pas reconnu avant de voir son nom avec cette couleur
Vosg'patt de cœur
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Pale
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Kit a écrit :
jeu. 11 janv. 2024 16:37
:hello: bonne et heureuse année
Bonne année Kit :jap:

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Le trailer de Abigail est très sympa :

Kahled
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Salut Pale. Déjà bonne année et meilleures vœux ! :cool:

Et ensuite… T’as loupé le Miyazaki en 2023 ? :o
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Kahled a écrit :
jeu. 11 janv. 2024 20:19
Salut Pale. Déjà bonne année et meilleures vœux ! :cool:

Et ensuite… T’as loupé le Miyazaki en 2023 ? :o
:hello: J'avoue j'étais réticent malgré les bons avis mais j'envisage de le mater quand même plus tard :saint: :D
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 9 janv. 2024 18:02
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1er film de Benoît Delhomme (directeur de la photographie français "reconnu"). Sacrée affiche :jap:
Je pense qu'il saura mettre ses 2 actrices principales* en lumière :saint:

* qui sont aussi co-productrices d'ailleurs :ouch:


Pale a écrit :
jeu. 11 janv. 2024 16:27
Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... AWJCmylpkU
J'ai vu 3 films là-dedans le 4, le 5 et le 9 :lol: :lol:
Modifié en dernier par robinne le ven. 12 janv. 2024 18:58, modifié 1 fois.
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Kit
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Localisation : où est né William Wyler

^^

@Pale
:jap: pour tes vœux
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Pale
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robinne a écrit :
ven. 12 janv. 2024 18:51
J'ai vu 3 films là-dedans le 4, le 5 et le 9 :lol: :lol:
Quel plaisantin... enfin j'espère :D
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