Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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robinne
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weird

Next a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 18:52
BOX OFFICE STORY a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 18:41
ClintReborn a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 18:02


:lol: Attention tu glisses rapidement dans la catégorie boomer
Je pense pas, je suis ultra fan de Anna Taylor Joy par exemple que je suis depuis Split et Peaky Blinders
Comme dit @Pale Zendaya a accompagné une partie de ses fans durant leur enfance via Disney Channel.
Puis leur adolescence et début d'âge adulte avec l'excellente série Euphoria. (c'est là que je l'ai connu même si mon adolescence était déjà lointaine)
Ca aide à forger un attachement disons.

Sans parler évidemment de son rôle dans le MCU aux côtés du super-héros le plus populaire de la culture Pop actuelle.
Découverte dans Dune :o :lol:
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robinne
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weird

Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:00
John Wick : une bande-annonce énervée pour Ballerina avec une Ana de Armas qui casse tout

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Ballerina, le spin-off de John Wick avec Ana de Armas et Keanu Reeves, a dévoilé sa première bande-annonce qui défonce tout.

Tandis que Warner Bros a dévoilé la bande-annonce de Mickey17 lors de sa conférence à la CinemaCon ainsi qu'un trailer de Trap, le film d'horreur de M. Night Shyamalan, d'autres grands studios ont continué sur la même lancée en proposant à leur tour leurs différentes bandes-annonces. Dans la nuit du 10 au 11 avril, c'était au tour de Lionsgate Films de présenter quelques images de leur prochain gros film de baston, Ballerina, le spin-off de John Wick avec Ana de Armas.

Alors qu'on avait appris que Ballerina n'était pas assez bon pour sortir comme prévu, il semblerait que le film a bien remonté la pente, sa bande-annonce ayant fait sensation lors de sa diffusion à la CinemaCon. On va donc bientôt retrouver l'univers John Wick au cinéma grâce à ce nouvel opus réalisé par Len Wiseman. Toutefois, la bande-annonce n'étant pas encore disponible publiquement, on va devoir se contenter des descriptions des journalistes présents à la conférence.

Selon Slashfilm et Screenrant (qui semblent d'ailleurs très enthousiastes), on retrouverait dans les premières images une Ana de Armas très tatouée, assise dans une pièce et regardant une ballerine tourner, avant d'aller s'entrainer à se battre et à tirer. L'hôtel Continental est également de retour dans toute sa splendeur, et on aurait droit, en vrac, à des fractures d'os, des lance-flammes et une poursuite en voiture dans la nuit où Ana de Armas se tient debout dans un camion blindé, tandis qu'un autre véhicule se rapproche.

Toujours selon Slashfilm, Ballerina se déroulera entre les évènements des troisième et quatrième films de la saga, et l'histoire sera assez similaire à celle du premier John Wick : en gros, on parle de vengeance. Informations supplémentaires, la bande-annonce nous laisserait entrevoir rapidement Norman Reedus, et pas mal de séquences de combat à l'épée selon DiscussingFilm. Pour terminer, le trailer se clôturerait sur la promesse du duo Keanu Reeves-Ana de Armas, et ça, c'est cool.

Avec ces nouvelles images et les avis des différents médias, on peut imaginer que Ballerina sera passionnant et jouissif à voir. On a à présent plus qu'une envie : pouvoir regarder cette bande-annonce, puis évidemment le film, dont la sortie est prévue chez nous pour le 4 juin 2025. Préparez-vous, ça va saigner.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... OJW0EP8_jR
Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:03
Mickey 17 : Robert Pattinson meurt encore et encore dans la bande-annonce du film de science-fiction

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Mickey 17, de l’oscarisé Bong Joon-ho avec Robert Pattinson, s’est dévoilé dans une bande-annonce hallucinante

Bong Joon-ho avait la lourde tâche de passer après un film, Parasite, qui l’avait récompensé de toutes les manières possibles. Apparemment, même cette barre n’est pas trop haute pour le Sud-Coréen. Le cinéaste s’est donc attaqué à l’adaptation de Mickey7, roman de science-fiction d’Edward Ashton qui raconte le parcours de l'employé "jetable" d’une expédition partie à la conquête d’une planète de glace : Nilfheim. Le film, très attendu à travers le monde, avait été repoussé à janvier 2025, mais on a enfin eu de ses nouvelles.

En ce moment se déroule la CinemaCon, et la Warner en profite pour envoyer l’artillerie lourde : après une bande-annonce haute en couleur pour Joker 2, mais aussi une pour le film d’horreur Trap de Shyamalan, c’est Mickey 17 qui s’est dévoilé un peu plus en images. Si celles-ci ne sont pas disponibles en ligne, les chanceux présents ont pu les découvrir. Pour l’instant, on va donc devoir se contenter des descriptions des journalistes sur place. Pour son troisième film américain après Snowpiercer et Okja, le metteur en scène nous présente un Pattison qui ne sait pas s’arrêter de mourir.

Un journaliste de DiscussingFilm rapporte que Bong Joon-ho décrit le film comme "l’histoire d’un homme simple qui va finir par sauver le monde". Robert Pattinson incarne cet homme ordinaire portant le nom de Mickey, qui signe pour devenir un consommable, un employé devant s’attendre à mourir en effectuant des tâches difficiles sur des planètes lointaines. À chaque mort, un nouveau clone est créé puis repart en mission. Tout se passe bien jusqu’à ce que deux clones soient créés en même temps, Mickey 17 et Mickey 18.

Bong Joon-oh justifie enfin la différence de titre entre le livre et le film, en expliquant qu’il tue tout simplement plus de fois Mickey dans son long-métrage que dans le roman. La bande-annonce explore le cycle de vie et de mort de Mickey, montrant les manières dont il trépasse. À un moment, il joue même sa vie sur une partie de chifoumi avec le personnage de Berto, campé par Steven Yeun. Selon ScreenRant, la bande-annonce devient de plus en plus trippante quand Mickey commence à voir différentes versions de lui-même. Une sorte de kaléidoscope d’identité et de clones se met alors en place.

La bande-annonce est narrée par Pattinson, et les différentes sources s’accordent pour dire que sa façon de parler est étrange. Au fur et à mesure, divers personnages secondaires sont introduits. Celui de Steven Yeun, donc, mais aussi celui de Mark Ruffalo, qui incarne une sorte de dictateur fou et qui est marié à une première dame aussi dérangée jouée par Toni Collette. Le personnage de Ruffalo est déterminé à se débarrasser des deux Mickey, car la politique interne exige que tous les clones en double soient éradiqués et que le contrat de la personne soit résilié (comprendre une mort définitive).

Autant dire qu’avec ce casting et des retours prometteurs, on a hâte de découvrir le nouveau trip de Bong Joon-ho. Son report au 29 janvier 2025 n’en devient que plus douloureux. Pour décrire le ressenti sur place, citons le journaliste de SlashFilm, qui après avoir vu la bande-annonce a écrit : "B**del, ça a l’air dingue. Les mots me manquent". Vivement janvier.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... g3Xvc6g6kQ
Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:05
Trap : la bande-annonce du film d'horreur de Shyamalan promet un énorme twist avec son serial killer

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La bande-annonce de Trap de M. Night Shyamalan promet un film d’horreur plein de tension et aux nombreux twists.

Warner a envoyé le paquet à la CinemaCon. Alors que le studio a dévoilé la bande-annonce haute en couleur de Joker : Folie à Deux, un de ses gros événements de 2024, il s'est empressé d'en montrer plus sur de nombreux projets. Parmi eux, on a eu des nouvelles du prochain M. Night Shyamalan, et le réalisateur, qui avait livré une bonne surprise avec Knock at the Cabin, pourrait bien continuer sur sa belle lancée.

Pour beaucoup, il y a le bon Shyamalan et le mauvais Shyamalan, et très honnêtement, il est souvent difficile de savoir quelle version du réalisateur sera aux commandes de son prochain film. Toutefois, les veinards présents à la CinemaCon ont eu la chance de découvrir les premières images de son nouveau film, Trap, mené par Josh Hartnett et il se pourrait bien qu'il fasse partie des grands crus du cinéaste. Si pour l’instant on va devoir se contenter des descriptions des journalistes sur place, une chose est sûre : la bande-annonce de Trap semble prometteuse. ATTENTION SPOILERS !

Pour l’instant, le seul pitch officiel du film disponible est celui-ci : "Un père et sa fille assistent à un concert pop, où ils réalisent qu’ils sont au centre d’un évènement sombre et sinistre". Selon ScreenRant et DiscussingFilm, qui ont pu observer cette bande-annonce, Josh Hartnett joue ce père qui emmène sa fille voir une chanteuse du nom de Lady Raven, au premier rang. Dans la bande-annonce, le personnage du père s’absente pour aller aux toilettes. En chemin, il remarque alors qu'énormément de policiers attendent à l’extérieur du stade où le concert a lieu.

Intrigué, il demande à un employé ce qu'il se passe et celui-ci lui dévoile la véritable raison de ce concert : un tueur surnommé "The Butcher" (Le Boucher en français), connu pour kidnapper et découper les fans venant à des concerts, serait présent dans la salle ce soir. Le concert serait un piège pour l’attraper et l’emmener devant la justice.

À partir de ce moment-là, le montage de la bande-annonce s’accélère, montrant des images de plus en plus horrifiques, dont une d'Hartnett regardant une vidéo de quelqu’un piégé dans un sous-sol sur son téléphone. La bande-annonce se finit alors sur un twist majeur, attention, spoilers : apparemment, Hartnett serait le tueur recherché. Le trailer termine en effet avec son personnage faisant un sourire sinistre à la caméra.

Selon Slashfilm, Shyamalan, présent sur place, aurait eu l’idée pour Trap en pensant à sa fille, Ishana. Celle-ci est réalisatrice et sortira bientôt son premier film Les Guetteurs, mais elle est également musicienne. Shyamalan en est alors venu à valoriser l’expérience immersive des concerts. En prenant ces deux aspects et en les additionnant, l’idée du film est née. Trap est prévu pour le 7 août 2024 au cinéma en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... nvMEN63R8o
Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:08
EL n'a pas trop aimé S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace (2 étoiles) :

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En 2021, S.O.S. Fantômes : l’Héritage faisait office de vrai S.O.S. Fantômes 3 en ramenant les héros des premiers films cultes aux côtés des nouveaux Ghosbusters. En 2024, S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace continue sur la lancée en tant que S.O.S. Fantômes 4. Retour à New York pour chasser du fantôme en famille, avec les nouveaux personnages (Paul Rudd, Carrie Coon, Mckenna Grace, Finn Wolfhard) et les anciens (Bill Murray, Dan Aykroyd, Ernie Hudson, Annie Potts). Et tant pis si on perd le peu de charme du précédent film pour foncer dans le mauvais blockbuster sans âme.

S.O.S. FANTAUMÔNE


La fin de S.O.S. Fantômes : l’Héritage était un avertissement. Après avoir lâché les fantômes dans les champs de l'Oklahoma le temps d'une parenthèse bucolique, tout le monde revenait à New York et la fameuse caserne des Ghosbusters. Fini de plaisanter et faire croire que la saga allait oser se réinventer ailleurs, avec de nouveaux personnages. S.O.S. Fantômes, c'est à New York, avec Bill Murray, Dan Aykroyd et Ernie Hudson. Et puisque Harold Ramis est mort en 2014, c'est aussi avec les descendants de son personnage Egon Spengler : sa fille Callie (Carrie Coon) et ses petits-enfants Phoebe (Mckenna Grace) et Trevor (Finn Wolfhard).

C'est le symptôme des legacyquels, ces suites dédiées à la nostalgie qui ressemblent plus à des histoires de royalties qu'à des histoires tout court (Jurassic World, Star Wars, Terminator, Scream, Halloween...). Après une introduction charmante, S.O.S. Fantômes : l’Héritage avait donc foncé tête baissée dans cette formule, ramenant le grand méchant Gozer du premier film, ainsi que tous les héros originaux – même Egon, présent en tant que fantôme. La dynastie Ghostbusters était là même derrière la caméra puisque le film était réalisé par Jason Reitman, fils d'Ivan Reitman, metteur en scène des deux premiers S.O.S. Fantômes.

Sans surprise, S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace continue sur cette lancée. Passé la "surprise" de leur retour "inattendu", les Ghostbusters d'hier font désormais partie du décor, quelque part entre les meubles d'époque et les figurants de luxe. La Spengler family s'est installée dans la caserne, et chasse des fantômes. Tout le monde doit affronter un gros fantôme, qui prend ici la forme d'un Mister Freeze croisé avec un méchant du DCEU. Et le résultat est certainement l'un des pires S.O.S. Fantômes, qui prouve que la saga n'a vraiment absolument plus rien à raconter.

"SA PLACE EST DANS UN MUSÉE !"

Que faire quand vous avez déjà quatre personnages principaux accompagnés par deux seconds couteaux (Podcast et Lucky, encore plus inutiles que dans S.O.S. Fantômes : l’Héritage), et que vous devez en plus donner l'illusion que les quatre Ghostbusters originaux servent à quelque chose ? Vous rajoutez de nouveaux personnages, histoire de vraiment empirer la situation de cet empire de glace. Et c'est encore mieux s'ils sont finalement les clés de l'intrigue. Comme ça, vous êtes à peu près sûr de ne pas avoir eu le temps de les caractériser, et que tout le monde s'en foutra (mention spéciale à Kumail Nanjiani, qui joue un clown héroïque encore plus insupportable que son clown super-héroïque des Éternels).

S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace réussit un bel exploit de type triple salto arrière avec sa gestion calamiteuse des personnages. La petite tendresse autour de la nouvelle génération du précédent film s'évapore dans cette suite bien grasse où tout le monde assume un rôle bien déterminé, et s'agite sans avoir le temps de respirer et exister. Mckenna Grace a l'honneur d'avoir quelques pages de dialogues, quand Dan Aykroyd et Ernie Hudson ont droit à plusieurs répliques qui permettent de vaguement évoquer le destin contrarié de ces anciens héros.

Tous les autres devront se contenter de trois miettes, avec au mieux des arcs réduits à peau de chagrin (le personnage de Finn Wolfhard veut conduire l'Ecto-1, il le fera au moment de générique de fin, et voilà), et au pire une présence qui ressemble à une faveur (pauvre Annie Potts).

Dans un monde où ces films sont de simples supports pour pérenniser les licences et remplir les poches de ceux qui possèdent les droits, les personnages ne sont plus que des accessoires, placés dans le décor au même titre qu'un logo ou un costume. Le retour inutile des bestioles CGI (Bouffe-tout et les mini Marshmallows) vaut autant que celui de Walter Peck, personnage du premier S.O.S. Fantômes devenu maire et qui reprend l'éternel rôle du monsieur-autorités s'opposant aux Ghostbusters.

S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace n'est plus un film, mais une attraction interactive, pensée comme une succession de saynètes-hommages. Un petit tour au grenier pour le Bouffe-tout, un passage par la chambre pour la parade des mini Marshmallows, un retour à la bibliothèque pour refaire la scène du premier film, le tout autour d'une intrigue qui tourne littéralement autour de la poubelle des Ghostbusters. On n'aurait pu rêver mieux comme image.

LA PEINE DES NEIGES

S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace a aussi eu la bonne idée de récupérer l'une des pires choses du S.O.S. Fantômes de 2016 : les tics de blockbusters et la débauche d'effets visuels. Avec un budget supérieur au précédent (100 millions, contre 75 pour L'héritage), la suite suit le cahier des charges : une plage avec une grande roue où des figurants hurlent en regardant l'horizon, des rues où des figurants lèvent les yeux vers le ciel en ayant très peur et des plans larges de New York congelée, tout ça autour de l'inévitable portail magique dans les nuages. On est à deux doigts du stock-shot à ce stade.

Mais le problème vient d'abord de ce fameux Frozen Empire. Grâce à son grand méchant CGI absolument inintéressant et digne d'Aquaman 2, cette apocalypse ressemble finalement plus à Geostorm qu'au Jour d'après. Le chaos commence véritablement dans les vingt dernières minutes, et la menace n'est jamais tangible malgré la montagne de CGI (tout le monde disparaît des rues et personne ne semble avoir été congelé à la fin). Quant à Garraka, sa puissance n'est tellement pas assumée entre la scène d'intro et le climax qu'il reste un vilain générique parmi 150 autres. Même le retour de Gozer dans S.O.S. Fantômes : l’Héritage semblait plus imaginatif que ce démon à deux balles.

Ce n'est pas la mise en scène de Gil Kenan qui sauvera quoi que ce soit puisque le réalisateur de Monster House (ou plutôt du remake de Poltergeist dans ce cas) fait pâle figure comparé à Jason Reitman – c'est dire la pauvreté puisque S.O.S. Fantômes : l’Héritage restait dans les clous, malgré quelques jolies idées visuelles.

Après une première course-poursuite relativement inventive pour ouvrir les festivités, S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace devient un interminable tunnel de scènes bavardes dans des décors inintéressants (la caserne, le labo, des appartements). Les quelques idées amusantes, comme le fantôme qui possède les objets, sont évacuées en cours de route, tout comme les pseudo twists réglés en quatrième vitesse. La menace est réglée en deux temps trois mouvements par des personnages aussi attachants que les Proton Packs, et tout rentre dans l'ordre pour laisser place au thème musical de Ray Parker, Jr et au logo culte. Tout est bien qui finit bien, mais le S.O.S. devient de plus en plus lourd de sens.

On reprend le pire et on recommence. Le peu de charme qu'il y avait dans S.O.S. Fantômes : l’Héritage s'est envolé dans S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace, qui troque la tendresse nostalgique pour le spectacle bas du front. Et interminable. Et absolument dispensable.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... kRqidIePoo
Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:11
EL a modérément apprécié La malédiction : l'origine (3 étoiles) :

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Ce 10 avril, une énième franchise est exhumée par un studio américain, en l'occurrence Phantom Four, la compagnie de David S. Goyer, avec la complicité de la Fox. Près de 20 ans après un remake qui avait plutôt bien marché, il ne manquait plus à La Malédiction de Richard Donner qu'un prequel. C'est chose faite grâce au sixième volet (oui !) de la saga, La malédiction : l'origine de Arkasha Stevenson, avec Nell Tiger Free. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il arrive à point nommé...

ATTENTION, SPOILERS !

THE SECOND OMEN


Il y a des coïncidences qui n'en sont pas vraiment. Le cas de La malédiction : l'origine pourrait bien rentrer dans les annales hollywoodiennes, qu'importe son succès au box-office ou auprès de la critique (par ailleurs déjà assuré). Le film raconte les mésaventures de Margaret Daino, une jeune novice venue à Rome des États-Unis afin d'intégrer une communauté de soeurs et prononcer ses voeux, inspirée par un prêtre mentor. Elle se lie d'amitié avec Luz, une autre aspirante religieuse plus décomplexée. Mais très vite, elle se demande si le couvent n'abrite pas de sombres rituels.

Le pitch semble déjà familier, mais chaque rebondissement, chaque personnage, chaque idée narrative vient renforcer cette impression : The First Omen (titre original, ironique) raconte quasi exactement la même chose qu'un autre film d'horreur sorti très récemment, au personnage secondaire près, à la nuance de scénario près. Inutile de le mentionner ici au risque de spoiler (même si quiconque connait un minimum l'actualité du genre saura de quoi il en retourne), mais la séance tourne à la partie de jeu des 7 différences, niveau de difficulté maximum. Du moins jusqu'à la fin, qui diverge, grosse licence oblige.

Une similarité qui pourrait paraître louche... d'autant que le fameux film concurrent a connu une longue gestation et quelques problèmes en cours de route. Toutefois, les choix narratifs opérés dans ce prequel découlent logiquement du premier volet et les ressorts les plus ressemblants renvoient soit à des codes classiques du cinéma d'horreur, soit carrément à des scènes précises de l'original. Dans l'autre sens, on aurait pu avoir de sérieux doutes. En l'état, ce double programme semble tout à fait accidentel. Quoique...

MON CORPS, MA CROIX

Cette histoire rappelle surtout à quel point le genre reflète son époque. Comme le souligne Vulture, et bien que le réalisateur de l'autre long-métrage ait indiqué sans trop se mouiller vouloir laisser son public s'emparer du sujet, difficile de ne pas faire un lien avec d'une part la résurgence de l'imagerie catholique dans le cinéma d'horreur, d'autre part la remise en question du droit à l'avortement dans le débat public américain. Remise en question qui a culminé le 24 juin 2022 – soit à peine plus d'un mois après l'annonce officielle de ce prequel et de sa réécriture imminente ! –, quand la Cour suprême des États-Unis a annulé le décret fédéral Roe vs Wade, garantissant ce droit.

D'ailleurs, les scénaristes Tim Smith, Arkasha Stevenson (la réalisatrice) et Keith Thomas (l'excellent The Vigil) assument bien plus la dimension politique de leur récit. En le situant au début des années 1970 à Rome, ils mettent en son coeur la vague violente de revendications sociales qui traversent l'Europe à cette époque et s'inscrivent dans les "années de plomb" italiennes.

La période, étonnamment bien reconstituée dans certains plans larges, est tout sauf un simple décor ou une nécessité chronologique (le premier volet date de 1976). L'intrigue décrit un monde tiraillé entre les perspectives radicales : d'un côté l'emprise de l'Église, une autorité plus politique que morale, de l'autre la violence un poil caricaturale qui embrase les rues. Notre héroïne innocente se retrouve ballottée entre les deux et voit se manifester ses "symptômes" les plus violents au moment où elles s'écrasent l'une sur l'autre. C'est l'élément qui débute la deuxième partie du film, relatant une émancipation presque impossible culminant dans un climax explicite.

Cet aspect autorise même quelques audaces pour le moins inattendues dans un film de studio de ce calibre, qui lui ont par ailleurs probablement valu son interdiction aux moins de 16 ans en France, comme une séquence d'accouchement dévoilant ce que le cinéma grand public rechigne à montrer habituellement, et plus encore... Quoi de plus logique au sein d'une saga clairement dérivée de L'Exorciste, lequel mettait justement les Américains face à leurs tabous médicaux et spirituels ?

LE NOMBRE DE LA BÊTE

La différence entre les deux films tient donc aux approches adoptées par leurs auteurs respectifs. Contrairement à son collègue et afin de mieux formuler ses thématiques sociales, Arkasha Stevenson préfère à la nunsploitation grand-guignolesque une esthétique plus classique, parfois aux limites du lovecraftien dans ses meilleurs moments. Voilà qui lui donne un cachet indéniable. Ne serait-ce qu'en termes de frousse, la cinéaste déploie une mise en scène assez élégante parsemée de bonnes idées... et bien entendu d'effets de manches contractuels.

Revers de la médaille : malgré un catalogue de seconds couteaux honorables (Ralph Ineson, Bill Nighy et même quelques minutes de Charles Dance) elle ne peut pas se réfugier derrière ses airs de série B bourrin et se retrouve forcée de traiter des enjeux absurdes avec le plus grand sérieux. Les scénaristes s'échinent à faire passer chaque évidence pour un twist révolutionnaire, d'autant plus téléphonés quand on a l'autre film en tête. Les effets secondaires d'un gros cahier des charges, imposant même un épilogue ridicule, histoire de caser l'obligatoire connexion avec le petit classique de Donner.

Pourtant, c'est bien cette filiation qui lui confère son plus gros atout et sa dissemblance la plus notable avec son concurrent : la présence de la créature. Entraperçue dans quelques visions de flippe, celle-ci a tout de l'antagoniste final. Mais en dépit de sa nature démoniaque, elle finira elle aussi asservie, puis victime de l'ordre religieux, bien plus cruel et monstrueux que les forces maléfiques qu'il prétend à la fois embrasser et combattre. Le mal à l'exercice ici n'est pas d'ordre surnaturel, mais bien la mainmise d'une caste au pouvoir, usant à sa guise du corps des femmes, tout au long de leur vie.

Plus soigné et plus malin que la moyenne des rejetons opportunistes de franchises, La Malédiction : l'origine risque pourtant d'être occulté par son prédécesseur officieux... ou par ce qui le lie à lui. Passé les frissons plus ou moins respectables, reste la certitude que le cinéma d'horreur américain, aussi cynique et imparfait soit-il, peut encore être virulent après tout.

La deuxième partie d'un diptyque involontaire fascinant, très imparfaite, mais parsemée de fulgurances inattendues pour une production du type.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... SjYTivZ-LW
Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:13
Mathieu Kassovitz va réaliser un film de guerre à Hollywood, quinze ans après le chaos de Babylon AD

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Plus de 15 ans après l'échec de Babylon A.D, Mathieu Kassovitz va retourner à Hollywood pour réaliser un gros film de guerre : The Big War.

Après la totale déconvenue de Babylon A.D, Mathieu Kassovitz était plus présent devant la caméra que derrière. À part pour L'Ordre et la Morale en 2011, le Français ne s'est plus vraiment essayé à la réalisation, se concentrant sur sa carrière de comédien notamment dans l'excellente série Le Bureau des légendes dont il était l'étendard.

C'est la raison pour laquelle on peut être légèrement surpris d'apprendre le retour du réalisateur de La Haine aux commandes d'un long-métrage. En effet, Mathieu Kassovitz a récemment annoncé qu'il allait revenir à la réalisation pour un nouveau projet : un film de guerre adapté d'une célèbre bande-dessinée.

C'est lors d'une interview avec Deadline que Mathieu Kassovitz a dévoilé ce nouveau projet, sur lequel il "travaille depuis 20 ans". Intitulé The Big War, ce long-métrage serait en fait un hybride live action/animation, qu'il a écrit avec la scénariste Caroline Thompson, connue pour L'Étrange Noël de Monsieur Jack, Les Noces funèbres et Edward aux mains d'argent. Voici ce qu'il en a dit :

"Il s'inspire du roman graphique français et culte La Bête Est Morte, écrit pendant la Seconde Guerre mondiale. Il réimagine cette guerre comme si elle était mise en scène avec des animaux. Les nazis sont des loups qui s'en prennent à la « vermine » – les lapins – qui représentent les victimes de la guerre. L'histoire se concentre sur deux lapins qui tentent de retrouver leur famille qui a été emmenée et, au cours de leur voyage, ils vivent des aventures et rencontrent d'autres lapins qui rejoignent leur cause."

Concernant la production, le Français a également donné quelques explications :

"Je tourne le film avec des lieux et des décors réels, puis les personnages animaux seront ajoutés. Je vais donc tourner un film qui sera livré aux animateurs [...]. Nous sommes maintenant en phase de conception, nous recherchons des financeurs et nous souhaitons démarrer la production d'ici la fin de l'année. Nous aurons un budget de l'ordre de 30 millions de dollars et nous sommes en discussion avec des acteurs américains et britanniques dont je ne peux pas encore révéler les noms."

Il s'agit donc d'un double retour pour le Français : un retour en tant que réalisateur, mais aussi un retour dans un projet en anglais, pour la première fois depuis Babylon A.D. Reste à voir ce que donnera ce film hybride et s'il parviendra à en faire un long-métrage qui comptera dans sa filmographie. Le film n'a évidemment aucune date de sortie pour le moment.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... dmYxRDyDq8
Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:15
Challengers : les premiers avis sur le film de tennis sexy avec Zendaya sont là

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Les premiers avis de la presse américaine viennent de tomber pour Challengers, la romance sexy avec Zendaya dans l'univers du tennis.

Après avoir vu Zendaya en Fremen avide de vengeance dans le désert de Dune 2, on la retrouve à présent dans un univers bien différent : le monde du sport à haut niveau, en l'occurrence celui du tennis. Toutefois, ce contexte sportif sert, a priori, avant tout de trame de fond pour un drame romantique où l'amour devient le véritable jeu. Challengers suit en effet le trio Tashi (Zendaya), Art (Mike Faist) et Patrick (Josh O'Connor) durant leur carrière sportive... mais aussi leur relation amoureuse et sexuelle avant un rebondissement qui va tout bouleverser.

Avec ce pitch intrigant, le nouveau film de Luca Guadagnino promet ainsi un triangle amoureux dans la droite lignée des réflexions au coeur de ses précédents films s'intéressant notamment au désir. Et alors que le film se fait attendre depuis un moment, les premiers avis sont enfin tombés. Revue de tweets.

"Challengers de Luca Guadagnino est chaud, épicé, séduisant, impitoyable, plein de drames délicieux et de séquences de tennis formidables. Josh O'Connor et surtout Mike Faist sont formidables, mais ils sont tous les deux au service de Zendaya qui est exceptionnelle. Il ne ressemble à aucun autre film sportif que j'ai vu, et c'est ce que j'ai le plus aimé. Je recommande évidemment !" Erik Davis - Fandango

"Challengers est une guerre psychosexuelle dans le monde du tennis. Luca Guadagnino livre une étude tendue, drôle, en sueur et féroce de ses trois personnages oscillants entre ambition et confort. Zendaya, Josh O'Connor et Mike Faist forment un trio meurtrier. La musique est extraordinaire." Brandon Lewis - Geek Vibes Nation

"Oh, Zendaya a fait son GRAND coup avec Challengers ! C'est ultra-rythmé, le scénario ne faiblit jamais et le jeu des acteurs est génial ! J'ai aussi aimé le fait que le film se concentre surtout sur les trois personnages principaux : le sien, celui de Josh O'Connor et celui de Mike Faist. De belles performances !" Morgan Murrell - Buzz Feed

"Challengers s'enflamme alors que Luca Guadagnino raconte une histoire sportive non linéaire, sexy et divertissante sur la façon dont le jeu se gagne sur et en dehors du court de tennis. Il s'effondre un peu à la toute fin, mais Zendaya, Josh O'Connor et Mike Faist maintiennent l'adrénaline et le cœur battant avec leurs interprétations magnétiques." Matt Neglia - Next Best Picture

"Challengers est superficiel et trop indulgent envers lui-même, mais il fait des choix audacieux et exige votre attention du début à la fin. Toutes les personnes impliquées sont attachées au mélodrame exagéré, ce qui crée une expérience visuelle particulièrement divertissante. Encore une victoire pour Luca Guadagnino." Joshua Ryan - Fandom Wire

"Les reprises de volées de Challengers transpercent un assortiment de désir, de compétition et de séduction. Le trio composé de Zendaya, Mike Faist et Josh O'Connor est tout simplement fascinant et implacable. Aidé par une photo époustouflante et une musique du duo Reznor-Ross qui vous laissera au paradis des synthés, Challengers pourrait bien l'un des meilleurs films de la carrière de Luca Guadagnino jusqu'à présent." David Gonzalez - Cinematic Reel

Les critiques semblent donc globalement très satisfaites de ce Challengers. Le film décrirait ainsi les relations électriques entre ses trois personnages principaux, apparemment parfaitement interprétés par Mike Faist, Josh O'Connor et surtout Zendaya, dont la performance a été saluée.

Challengers traiterait aussi excellemment bien sa représentation du tennis professionnel, qui devient plus qu'un simple contexte d'arrière-plan entourant le film, mais bien une partie de son propos et des thématiques qu'il aborde. De notre côté, nous pourrons nous faire notre avis sur le long-métrage dans peu de temps, puisqu'il sera disponible en France en salles le 24 avril 2024.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... mNHrLhvqu_
Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:17
Netflix a refusé le nouveau film de David Lynch mais le réalisateur ne baisse pas les bras

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David Lynch a tenté sa chance avec Netflix pour son nouveau film de créatures, mais la plateforme a refusé de le produire.

Netflix est capable de financer des projets incongrus, comme un film qui met Vincent Cassel contre Mister V ou dernièrement l'horrible remake de Le Salaire de la peur tout en promettant une certaine liberté artistique pour les auteurs, que ce soit Martin Scorsese avec The Irishman, Guillermo Del Toro avec son Pinocchio ou encore David Fincher avec son Mank. Pourtant, la plateforme au N rouge n'est pas prête à accepter toutes les requêtes des grands noms hollywoodiens.

David Lynch, le légendaire cinéaste, derrière des chefs-d’œuvre comme Blue Velvet, Mulholland Drive et Elephant Man n’a pas réalisé de films depuis presque 20 ans désormais. Il faut remonter jusqu’en 2006 pour trouver son dernier long-métrage, Inland Empire. Maintenant qu’il est âgé de 78 ans, il faut savourer chaque œuvre du réalisateur comme il se doit. Alors lorsqu’on apprend qu’un de ses projets de films, co-écrit avec Caroline Thompson (Edward aux mains d’argent, L’Étrange Noël de monsieur Jack) a été refusé par Netflix, on est forcément un peu énervé.

C’est dans les colonnes de Deadline que le cinéaste a expliqué que le géant du streaming avait refusé de financer son film Snootworld. Lynch a donc parlé plus longuement de son projet de film d’animation qui met en scène des petits êtres appelés les Snoots :

"Je ne sais pas quand j’ai commencé à penser à Snoots mais je faisais ces dessins de Snoots et puis une histoire a commencé à émerger […] Je me suis retrouvé avec Caroline et nous avons travaillé sur un scénario. Tout récemment, j’ai pensé que quelqu’un pourrait être intéressé par ce projet, alors je l’ai présenté à Netflix au cours des derniers mois, mais ils l’ont rejeté.

Snootworld est une histoire à l’ancienne alors que l’animation d’aujourd’hui est davantage portée sur les blagues superficielles. Les contes de fées à l’ancienne sont considérés comme dépassés, apparemment, les gens ne veulent pas les voir. Le monde est différent désormais et il est plus facile de dire non que de dire oui [en parlant du refus de Netflix]. [...] J’aime cette histoire. C’est quelque chose que les enfants et les adultes peuvent apprécier… Je n’ai jamais vraiment fait d’animation pure, mais avec les ordinateurs d’aujourd’hui, il est possible de faire des choses spectaculaires."


Le monde de l’animation a effectivement beaucoup changé, les séries à l’humour adulte sont beaucoup plus fréquentes qu’auparavant, et c’est peut-être aussi à ça que David Lynch fait référence. Thompson, également interrogée par Deadline, en a ensuite dit plus sur l'histoire :

"Ça me coupe le souffle de voir à quel point l’histoire est loufoque. Les Snoots sont ces minuscules créatures qui subissent une transformation rituelle à l’âge de huit ans, moment où ils deviennent plus petits et sont envoyés au loin pendant un an pour être protégés. Le monde sombre dans le chaos lorsque le héros Snoot de l’histoire disparait dans un tapis. Sa famille ne le retrouve pas et lui, il rentre dans un monde fou et magnifique."

On espère que le réalisateur de Sailor et Lula trouvera un jour un financement pour son projet. Les Snoots ne devraient jamais rester dans sa tête à tout jamais (on veut les voir, au moins, pitié). Il faut aussi relever que, pour le moment, Lynch ne sait pas encore s’il désire réaliser ce Snootworld, il aimerait que Jennifer Lynch, sa fille, s'en occupe. Peut-être qu’un jour, Amazon Prime ou Apple TV+ sautera sur la proposition. On croise les doigts.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... YbyzGPagoQ
Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:42
Biopic de Michael Jackson : Le premier trailer, unique et émouvant, a fait sensation

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Le film d'Antoine Fuqua contiendra plus de 30 chansons.

La fin des biopics n’est pas pour tout de suite. Alors que celui sur Amy Winehouse, Back to Black sort le 24 avril prochain, et que celui sur Charles Aznavour avec Tahar Rahim est prévu pour la fin de l’année, 2025 aura également le droit à son lot de films musicaux. L’un d’entre eux, et pas des moindres, sera celui consacré à la vie et la carrière de Michael Jackson.

Attendu par tous, le film a dévoilé une première image en noir et blanc plus tôt dans l’année. Cette semaine, à l’occasion du CinemaCon à Las Vegas, le public a pu découvrir un trailer "unique et émouvant".

D’après les premiers retours des médias américains, Michael rentrerait dans l’intimité de la star interplanétaire – un homme timide qui a toujours eu du mal à conserver une part de vie privée et a laissé un héritage inimaginable.

Il couvrirait ses débuts avec ses frères dans les Jackson 5, ses succès solos, mais aussi ses controverses (on pense par exemple à cette histoire de blanchissement de peau et sa maladie) et ses accusations pour pédophilie en 1993 et 2003.

L’année dernière, le réalisateur, Antoine Fuqua (Training Day, Equalizer) avait déclaré à ce sujet : "C'était un grand artiste. Et il était humain. Donc on montrera le bon, le mauvais et le laid."

Avec "plus de trente chansons au programme", promet Variety, les spectateurs pourront revivre les performances les plus iconiques du Roi de la Pop : le premier "moonwalk" de l’histoire en 1983 lors de la cérémonie Motown 25 : Yesterday, Today, Forever, le pas de danse de Smooth Criminal où Michael se penche en avant à 90°C, le Superbowl de 1993, le duo avec Britney Spears sur The Way You Make Me Feel, etc.

La bande-annonce commence avec un concert. La foule est en délire alors que Michael Jackson chante Man In The Mirror et Thriller – ce qui nous laisse penser que nous sommes à l’époque de l’album Bad autour de 1987. Puis, c'est la rupture. On le voit la tête bandée dans une ambulance – évoquant l’accident sur la publicité Pepsi dans les années 80. Par la suite, quelques années plus tard, le chanteur, le teint pâle et affaibli, est entouré de gardes du corps. Pourchassé par la foule et les paparazzis, il se réfugie dans sa voiture. Des flashbacks montrent un Michael enfant et un discours de sa mère :

"Il y aura peut-être des gens qui penseront que tu es différent, et ça va te rendre la vie encore plus dure. Mais tu n’as jamais été comme les autres. Michael, tu possèdes une aura spéciale. Alors utilise-la pour qu’elle brille sur le monde."

S’il faut se contenter pour le moment d’une simple description, on peut se demander ce que nous réserve l’ensemble du biopic. Va-t-on voir le domaine privé de Michael Jackson, Neverland ? La bataille médiatique entre lui et Prince ? La genèse de certains chansons cultes comme Billie Jean, inspirée par les aventures amoureuses de ses grands frères vues avec ses yeux d’enfants à l’époque des Jackson 5 ? Ou bien encore son enfance difficile avec un père perfectionniste qui n’hésitait pas à le corriger physiquement ? Avec l’implication de la famille dans le projet, ce dernier point risque d’être éclipsé.

"Il y a des biopics – et il y a Michael Jackson", a déclaré le producteur Graham King. "Quand j’ai commencé, tout le monde me disait : ‘Tu ne trouveras jamais quelqu’un pour ce rôle’." Et pourtant, c’est le neveu même de Michael Jackson, Jafaar Jackson qui prend sa place. Les premiers plans du trailer montrent une performance de Jafaar bluffante, captant le charisme de son oncle.

Avec une signature reconnaissable : un gant unique blanc et pailleté, un fedora noir, des mocassins et une chemise légèrement ouverte, Michael Jackson est un artiste aux multiples talents et aux records. Il est l’artiste masculin ayant reçu le plus de Grammy Awards en une cérémonie et son album Thriller est toujours le plus vendu de tous les temps. Pour en savoir plus sur l’artiste disparu en 2009, les fans peuvent toujours se tourner vers son autobiographie Moonwalk.

Quant à Michael, aux côtés de Jafaar Jackson, on retrouve le nommé aux Oscars Colman Domingo dans le rôle du patriarche, Nia Long (Boyz in the Hood) pour jouer la mère de famille et Miles Teller (Whiplash, Top Gun : Maverick), Laura Harrier (Spiderman: Homecoming, Blackkklansman), Kat Graham (Vampire Diaries), Jessica Sula (Split) et Larenz Tate (Ray, Power).

La sortie est prévue aux États-Unis le 18 avril 2025. Aucune information n’a été donné pour la France.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... pKjOgGGXDT

Je sens venir d'ici un succès à la Bohemian Rhapsody.
Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 18:26
Nouvelles images de Beetlejuice 2 : "C’est démentiel !"

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Tim Burton, Michael Keaton, Catherine O’Hara, Willem Dafoe et Monica Bellucci ont teasé cette suite au CinemaCon de Las Vegas.

Le monstre tordu et délirant de Tim Burton a fait son apparition hier à Las Vegas, et les premiers retours sont très positifs. A l’occasion de la CinemaCon qui ce déroule en ce début de mois d'avril, la Warner Bros. avait organisé un énorme panel pour dévoiler des images inédites de leurs prochains blockbusters. La bande-annonce de Joker : Folie à deux a par exemple fait sensation.

Puis le réalisateur d'Edward aux mains d'argent, Ed Wood et Sleepy Hollow est monté sur scène, accompagné de Michael Keaton, Catherine O’Hara, Willem Dafoe et Monica Bellucci pour teaser Beetlejuice 2. Et selon l’acteur principal, "c’est démentiel !"

Cela faisait trente-six ans que Michael Keaton n’avait pas renfilé son costume rayé. Durant le panel, l’acteur a rappelé que si une suite a toujours été à l'étude, elle n’avait jamais eu l’occasion de se concrétisé. Il a ajouté s’être senti anxieux à l’idée de ne plus être à la hauteur : "J’étais très stressé à l’idée de savoir si je pouvais y arriver à nouveau."

Pourtant, sans l’ombre d’un doute, les nouvelles images exclusives diffusées à huis-clos, montrent un Michael Keaton toujours aussi dérangé. "Les Vivants. Les Morts. Peuvent-ils co-exister ?" Selon les médias américains présents sur place, on verrait sur les images Beetlejuice maltraitant un habitant du village – farceur comme toujours, et un plan du mort attendant près d’un téléphone rouge en disant à Lydia (Winona Ryder) : "Je vais te rendre si heureux."

Outre la performance de Keaton, les fans ont souligné le retour aux "pratical effects" - c’est-à-dire des effets spéciaux réalisés à l’aide de maquettes 3D, tournés en temps réel, et non avec des logiciels numériques. Dans le nouveau trailer, il y aurait de l’animation de pâte à modeler et de l’animation en volume – comme cela a très souvent été le cas dans les films de Tim Burton. Les choses ont été faites de la même manière qu’à l’époque.

Aussi, Beeltejuice, Beetlejuice ressemblerait donc à son original de 1988. De quoi ravir les fans nostalgiques qui depuis quelque temps ont reproché à Burton de trop se reposer sur la technologie. Ils ne sont d’ailleurs pas les seuls à s’en réjouir. Willem Dafoe a tenu à déclarer son admiration pour les effets faits main.

Pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’assister à la CinemaCon, il faut se contenter du trailer sorti il y a un mois. Un premier teaser qui conservait encore tous ses secrets. La famille Deetz est endeuillée. Mais qui est mort ? "Day O" est chantée par une chorale, Astrid (Jenna Ortega) monte au grenier et voit la maquette du village déjà visible dans le premier film. De manière intentionnelle, elle réveille le fantôme de Beetlejuice… La mère, Lydia (Winona) est effrayée. Avec le bio-exorciste dans les parages, le chaos règne.

Co-écrit par Alfred Gough et Miles Millar (Mercredi) à partir d'un script de Seth Graham Smith (Dark Shadows), le film sortira en France le 11 septembre 2024.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... vXrFWwXgon

Too long to read :o
^^


Mais merci pour les infos :jap: :)
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Kit
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Nosferatu : on a les détails de la bande-annonce du film de vampire du réalisateur de The Northman

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Nosferatu, le nouveau Robert Eggers avec Bill Skarsgård et Lily Rose Depp, s’est dévoilé dans une bande-annonce terrifiante.

Si Warner a envoyé le paquet à la CinemaCon, notamment en dévoilant une bande-annonce pour l’horrifique Trap de Shyamalan, et aussi un trailer pour Mickey 17 avec Robert Pattinson, les autres studios n’ont pas dit leur dernier mot dans cette conférence. Dans la nuit du 10 au 11 avril, c’est Universal qui a sorti l’artillerie lourde en dévoilant quelques images de son line-up.

Si le studio s’est fait plaisir en officialisant la date de sortie de Five Nights at Freddy’s 2 pour 2025 et a dévoilé des trailers plus conséquents de Wicked et Twisters, la sensation est venue de la bande-annonce de Nosferatu. En effet, le vampire va bien faire son retour au cinéma grâce à Robert Eggers, réalisateur de The Northman et The Lighthouse. Si elle n’est pas encore disponible sur Internet, les chanceux présents à la conférence ont pu découvrir des images du film et leurs descriptions promettent une petite terreur sanglante.

Selon DiscussingFilm, la bande-annonce s’ouvre avec Lily-Rose Depp, qui joue Anna Harding, disant : "Viens à moi, entends mon appel", juste avant qu’une main ne se tende pour l’attraper à la gorge. Elle poursuit en disant : "Le mal vient de l’au-delà". Elle s’adresse ensuite à Willem Dafoe, qui joue le Professeur Van Franz, grimé d’une grande barbe blanche, et lui tient ces mots '"Professeur, est-ce qu’il vient ?". Alors qu’il est allongé dans un lit d’hôpital en proie à une maladie, il lui répond : "Il arrive".

Ensuite, la bande-annonce passe à des plans atmosphériques de l’Allemagne du 19e siècle, on aperçoit un château gothique, un cimetière terrifiant, puis la ville locale et ses nombreux citoyens portant tous des cercueils. ScreenRant décrit les derniers instants du trailer comme une succession de personnes hurlant, avant un plan de Nosferatu, en cape noire, se tournant doucement. La bande-annonce se conclurait avec le personnage de Dafoe qui se retrouve face à cette créature, d’un ton effrayé, disant "Nosferatu".

Le retour d’Eggers à l'horreur après The Northman est grandement attendu par ses fans, et selon les différentes sources, le réalisateur ne semble pas s’être raté. Le Comte Orlok, autrement dit Nosferatu sera campé par Bill Skarsgård. Le cinéaste avait déjà collaboré avec son frère, Alexander Skarsgård pour The Northman.

Espérons que cette nouvelle association soit plus fructueuse que pour le film épique de vikings, qui n'avait malheureusement pas connu un franc succès malgré ses belles qualités. Au reste du casting, on retrouve Nicholas Hoult, Emma Corrin et Aaron Taylor-Johnson. Pour voir le terrifiant Nosferatu, il faudra attendre le 1er janvier 2025 en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... tXzBXiN0Ti
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Pale
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Edgar Wright va réaliser un remake de Running Man avec Glen Powell

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L'acteur de Top Gun : Maverick va prendre la place de Arnold Schwarzenegger, 40 ans plus tard.

C'est un film culte des années 1980 qui a marqué toute une génération. Running Man - oui, ce film de SF qui fait exploser des têtes de prisonniers tentant de s'enfuir - va avoir droit à son remake. Cela fait quelques années que l'idée circule à Hollywood et Paramount Pictures annonce aujourd'hui que le réalisateur anglais Edgar Wright s'occupera de cette nouvelle version, presque 40 ans après le long-métrage de Paul Michael Glaser (Starsky dans Starsky & Hutch), qui mettait Arnold Schwarzenegger en mode Hunger Games.

Et pour cause, l'histoire imaginée par Stephen King dans son roman de 1982 raconte une Amérique devenue État totalitaire, où le programme télévisé préféré des gens s'appelle The Running Man, un jeu dans lequel les prisonniers doivent courir vers la liberté pour éviter une mort brutale. Piégé et emprisonné par le gouvernement, le rebelle Ben Richards (Schwarzy) a l'opportunité de recouvrer la liberté en participant à l'émission meurtrière. Même si l'animateur tordu Damon Killian (Richard Dawson) n’a pas l’intention de le laisser y arriver...

À l'origine, l'histoire se déroule en 2019 et on imagine que le remake se passera plus tard. Michael Bacall écrit le scénario en ce moment. Surtout, c'est Glen Powell qui a été choisi pour reprendre le rôle culte. L'acteur qui monte à Hollywood s'est révélé dans Top Gun Maverick, puis dans la comédie romantique événement, Anyone but You.

Le remake de Running Man n'a pas encore de date de sortie.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... LrHrzQt_d1
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Les premières images de Gladiator 2 frappent fort au CinemaCon

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Dans l’arène, des requins, des singes mangeurs d’hommes, Paul Mescal et Pedro Pascal !

2024, l’année du requin ou du singe ? Choisissez votre camp selon ce qui vous excite (a bande-annonce de Sous la Seine, Godzilla X Kong, La Planète des singes : Le Nouveau Royaume…), mais dans tous les cas c’est l’année de Gladiator 2 et d’après ses premières images, il y a du requin ET du singe dedans.

Les journalistes présents au CinemaCon de Las Vegas, où les gros studios dévoilaient aux exploitants de salles américains des tonnes d’images des blockbusters les plus attendus de l’année, ont pu ainsi voir le premier trailer de la suite de Gladiator. Qui est "un putain de film de requin. Il y a des requins, des singes complètement fous, des rhinos assoiffés de sang dans l’arène cette fois… Je ne me fous pas de vous", tweete ainsi Jeff Bock du site d’analyse de box-office Exhibitor Relations devant l’extrait (non finalisé) présenté par Ridley Scott lui-même. "Vous devez voir ce trailer pour le croire", continue Jeff. "A un moment ils transforment l’arène en une espèce de SeaWorld avec des requins et des navires… et ils jettent des malheureux gars dans ces eaux infestées de requins. Miam. C’est merveilleux."

Ces images (présentées à l’hôtel-casino Caesars Palace, évidemment) montraient également le nouveau héros joué par Paul Mescal combattre dans l’arène Pedro Pascal, tandis que Denzel Washington complote dans l’ombre pour faire chuter Rome -l’Empire étant dirigé par non pas un mais DEUX empereurs, joués par Fred Hechiger (The White Lotus) et Joseph Quinn (Stranger Things)… Connie Nielsen et Derek Jacobi sont aussi de retour, XXIV ans après le triomphe public du premier Gladiator avec Russell Crowe (absent de la suite pour d'évidentes raisons scénaristiques), qui a remporté cinq Oscars. Il faut donc que le film soit un évènement -c'est déjà le cas, puisque The Hollywood Reporter avait signalé le mois dernier que le budget du film avait explosé, dépassant les 300 millions de dollars notamment à cause de la grève des acteurs de 2023.

Gladiator II (il semble que l’on doive l’écrire en chiffres romains) sortira le 20 novembre prochain en salles françaises.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... A9G_s7FYKy
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robinne a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 22:36
Too long to read :o
^^


Mais merci pour les infos :jap: :)
L'actu est plutôt généreuse en ce moment et si il y avait au moins une news susceptible de t'intéresser dans le lot, c'est déjà ça :D
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NaughtyDog
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Pale a écrit :
ven. 12 avr. 2024 16:11
Les premières images de Gladiator 2 frappent fort au CinemaCon

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Dans l’arène, des requins, des singes mangeurs d’hommes, Paul Mescal et Pedro Pascal !

2024, l’année du requin ou du singe ? Choisissez votre camp selon ce qui vous excite (a bande-annonce de Sous la Seine, Godzilla X Kong, La Planète des singes : Le Nouveau Royaume…), mais dans tous les cas c’est l’année de Gladiator 2 et d’après ses premières images, il y a du requin ET du singe dedans.

Les journalistes présents au CinemaCon de Las Vegas, où les gros studios dévoilaient aux exploitants de salles américains des tonnes d’images des blockbusters les plus attendus de l’année, ont pu ainsi voir le premier trailer de la suite de Gladiator. Qui est "un putain de film de requin. Il y a des requins, des singes complètement fous, des rhinos assoiffés de sang dans l’arène cette fois… Je ne me fous pas de vous", tweete ainsi Jeff Bock du site d’analyse de box-office Exhibitor Relations devant l’extrait (non finalisé) présenté par Ridley Scott lui-même. "Vous devez voir ce trailer pour le croire", continue Jeff. "A un moment ils transforment l’arène en une espèce de SeaWorld avec des requins et des navires… et ils jettent des malheureux gars dans ces eaux infestées de requins. Miam. C’est merveilleux."

Ces images (présentées à l’hôtel-casino Caesars Palace, évidemment) montraient également le nouveau héros joué par Paul Mescal combattre dans l’arène Pedro Pascal, tandis que Denzel Washington complote dans l’ombre pour faire chuter Rome -l’Empire étant dirigé par non pas un mais DEUX empereurs, joués par Fred Hechiger (The White Lotus) et Joseph Quinn (Stranger Things)… Connie Nielsen et Derek Jacobi sont aussi de retour, XXIV ans après le triomphe public du premier Gladiator avec Russell Crowe (absent de la suite pour d'évidentes raisons scénaristiques), qui a remporté cinq Oscars. Il faut donc que le film soit un évènement -c'est déjà le cas, puisque The Hollywood Reporter avait signalé le mois dernier que le budget du film avait explosé, dépassant les 300 millions de dollars notamment à cause de la grève des acteurs de 2023.

Gladiator II (il semble que l’on doive l’écrire en chiffres romains) sortira le 20 novembre prochain en salles françaises.


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Hate de voir le trailer ^^
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ClintReborn
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NaughtyDog a écrit :
ven. 12 avr. 2024 17:06
Pale a écrit :
ven. 12 avr. 2024 16:11
Les premières images de Gladiator 2 frappent fort au CinemaCon

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Dans l’arène, des requins, des singes mangeurs d’hommes, Paul Mescal et Pedro Pascal !

2024, l’année du requin ou du singe ? Choisissez votre camp selon ce qui vous excite (a bande-annonce de Sous la Seine, Godzilla X Kong, La Planète des singes : Le Nouveau Royaume…), mais dans tous les cas c’est l’année de Gladiator 2 et d’après ses premières images, il y a du requin ET du singe dedans.

Les journalistes présents au CinemaCon de Las Vegas, où les gros studios dévoilaient aux exploitants de salles américains des tonnes d’images des blockbusters les plus attendus de l’année, ont pu ainsi voir le premier trailer de la suite de Gladiator. Qui est "un putain de film de requin. Il y a des requins, des singes complètement fous, des rhinos assoiffés de sang dans l’arène cette fois… Je ne me fous pas de vous", tweete ainsi Jeff Bock du site d’analyse de box-office Exhibitor Relations devant l’extrait (non finalisé) présenté par Ridley Scott lui-même. "Vous devez voir ce trailer pour le croire", continue Jeff. "A un moment ils transforment l’arène en une espèce de SeaWorld avec des requins et des navires… et ils jettent des malheureux gars dans ces eaux infestées de requins. Miam. C’est merveilleux."

Ces images (présentées à l’hôtel-casino Caesars Palace, évidemment) montraient également le nouveau héros joué par Paul Mescal combattre dans l’arène Pedro Pascal, tandis que Denzel Washington complote dans l’ombre pour faire chuter Rome -l’Empire étant dirigé par non pas un mais DEUX empereurs, joués par Fred Hechiger (The White Lotus) et Joseph Quinn (Stranger Things)… Connie Nielsen et Derek Jacobi sont aussi de retour, XXIV ans après le triomphe public du premier Gladiator avec Russell Crowe (absent de la suite pour d'évidentes raisons scénaristiques), qui a remporté cinq Oscars. Il faut donc que le film soit un évènement -c'est déjà le cas, puisque The Hollywood Reporter avait signalé le mois dernier que le budget du film avait explosé, dépassant les 300 millions de dollars notamment à cause de la grève des acteurs de 2023.

Gladiator II (il semble que l’on doive l’écrire en chiffres romains) sortira le 20 novembre prochain en salles françaises.


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Hate de voir le trailer ^^
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Cocu
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Kit a écrit :
ven. 12 avr. 2024 06:40
:hello:

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Oh merci Kit :love2: je n'avais pas vu!
Pouet
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2001 L'Odyssée de Cocu
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Next a écrit :
ven. 12 avr. 2024 19:13
2001 L'Odyssée de Cocu
Et quelle odyssée :rofl:
Pouet
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Kit
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:hello:
un entretien avec le réalisateur américain Andrew Davis
https://www.lepoint.fr/pop-culture/andr ... 5_2920.php
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13 avril
une pensée pour
Howard Keel 1919-2004 (act/chant, Show Boat, Rose-Marie, série Dallas)
Jean Topart 1922-2012 (act,)
Stanley Donen 1924-2019 (réal., Chantons sous la pluie)
Maurice Ronet 1927-1983 (act., Ascenseur pour l'échafaud, Plein Soleil, La Piscine, Raphaël ou le Débauché)
Michel Deville 1931-2023 (réal., Benjamin ou les Mémoires d'un puceau, Raphaël ou le Débauché)
Robert Enrico 1931-2001 (réal., Les Grandes Gueules, Les Aventuriers, Le Vieux Fusil)
Lyle Waggoner 1935-2020 (act., série Wonder Woman)
Paul Sorvino 1939-2022 (act., Les Affranchis, série New York, police judiciaire)
Jonathan Brandis 1976-2003 (act., L'Histoire sans fin 2 : Un nouveau chapitre, série SeaQuest, police des mers)

bon anniversaire à
Edward Fox 87 ans (act., La Bataille d'Angleterre, Chacal, Un pont trop loin, L'Ouragan vient de Navarone)
Vladimir Cosma 84 ans (compos. mus. films)
Charles Burnett 80 ans (réal., Devil's Fire)
Agostina Belli 77 ans (actr., Parfum de femme, Le Grand Escogriffe, Un taxi mauve)
Ron Perlman 74 ans (act., La Guerre du feu, Le nom de la rose, Hellboy, séries La Belle et la Bête, Sons of Anarchy)
Peter Davison 73 ans (act., Doctor Who le 5ème docteur)
Saundra Santiago 67 ans (actr., série Deux flics à Miami)
Nick Gomez 61 ans (réal. séries)
Jeanne Balibar 56 ans (actr., César meilleure actr. pour Barbara)
Rick Schroder 54 ans (act., Le Petit Lord Fauntleroy, USS Alabama, séries Ricky ou la Belle Vie, New York Police Blues, Scrubs)

une pensée pour les disparus un 13 avril
Nicole Berger en 1967 (1934 ou 35) actr.
Miloš Forman, en 2018 (1932) réal. (Vol au-dessus d'un nid de coucou, Hair, Amadeus)
Michel Bouquet en 2022 (1925) act.
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J'ai commencé la série Fallout sur Prime Video, j'en attendais pas grand chose et étant fan de l'univers du JV j'étais réticent. Eh bien au bout de 4 épisodes je suis plutôt conquis, ça brasse plusieurs genres et respecte assez bien le matériau de base. Mention spéciale à l'actrice principale Elle Purnell qui se révèle être une très bonne protagoniste.

Je terminerai la première saison probablement demain, hâte.

Et je rejouerai bientôt au jeu vidéo Fallout 4, la série m'a vraiment donné envie de replonger dans cet univers :love2:
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Pale
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:hello:

Vu :

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Un drame conjugal assez puissant servi par une Virginie Efira et un Melvil Poupaud qui confèrent beaucoup d'intensité à l'ensemble.

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Pour commencer, quand j'étais gamin je collectionnais les jaquettes et je me souviens que je kiffais celle de ce film. Bref, j'ai découvert le premier il y a peu et je l'avais beaucoup apprécié, cette suite est beaucoup moins bien. Pourtant ça commence très bien et on a également le droit à une scène d'action très créative et réjouissante durant la première partie. Mais petit à petit on se tape une intrigue de plus en plus farfelue et ensuite ça devient une redite du premier en beaucoup moins bien.

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Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années :D
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Pale
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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En VOD :

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Normalement ce mardi je vais voir La Malédiction : l'origine.
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Miamsolo
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Pale a écrit :
dim. 14 avr. 2024 21:40

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Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années :D
Eh ben figure-toi que cette suite est sortie au cinéma :D C'est même la toute première suite d'un film d'animation Disney! Et au final, peu de suites auront eu la chance de sortir sur grand écran (Peter Pan 2, Bambi 2, Le Livre de la Jungle 2, Fantasia 2000) :bounce:
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robinne
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weird

Miamsolo a écrit :
lun. 15 avr. 2024 15:54
Pale a écrit :
dim. 14 avr. 2024 21:40

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Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années :D
Eh ben figure-toi que cette suite est sortie au cinéma :D C'est même la toute première suite d'un film d'animation Disney! Et au final, peu de suites auront eu la chance de sortir sur grand écran (Peter Pan 2, Bambi 2, Le Livre de la Jungle 2, Fantasia 2000) :bounce:
La reine des neiges 2 ? :??:
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Pale
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Miamsolo a écrit :
lun. 15 avr. 2024 15:54
Pale a écrit :
dim. 14 avr. 2024 21:40

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Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années :D
Eh ben figure-toi que cette suite est sortie au cinéma :D C'est même la toute première suite d'un film d'animation Disney! Et au final, peu de suites auront eu la chance de sortir sur grand écran (Peter Pan 2, Bambi 2, Le Livre de la Jungle 2, Fantasia 2000) :bounce:
Merci pour l'info :D
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ClintReborn
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Pale a écrit :
dim. 14 avr. 2024 21:40
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Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années :D
A l'époque la promotion du disney sur TF1 était massive ce clip passait tous les jours :lol: Attention nostalgie le film est sorti en salle fin 91 en France
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Miamsolo
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robinne a écrit :
lun. 15 avr. 2024 16:11
Miamsolo a écrit :
lun. 15 avr. 2024 15:54
Pale a écrit :
dim. 14 avr. 2024 21:40

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Même si j'ai une préférence pour le premier, cette suite est vraiment très bonne. En 1h17 chrono, Disney nous offre une aventure riche en péripéties. Même si cette suite est sortie directement en vidéo, c'est infiniment mieux que toutes les merdes idéologiques que nous sort la firme aux grandes oreilles depuis quelques années :D
Eh ben figure-toi que cette suite est sortie au cinéma :D C'est même la toute première suite d'un film d'animation Disney! Et au final, peu de suites auront eu la chance de sortir sur grand écran (Peter Pan 2, Bambi 2, Le Livre de la Jungle 2, Fantasia 2000) :bounce:
La reine des neiges 2 ? :??:
Oui aussi :D
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Wickaël
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EL a beaucoup aimé Civil War (4 étoiles) :

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Il a marqué les esprits avec son thriller sur l'intelligence artificielle Ex Machina, son film de science-fiction psychologique Annihilation et son délire horrifique sur la toxicité masculine Men, Alex Garland devrait encore frapper un grand coup dans l'esprit des spectateurs avec Civil War. Porté par Kirsten Dunst, Cailee Spaeny (Priscilla), Wagner Moura et Stephen McKinley Henderson, ce road trip dans une Amérique à feu et à sang mêle le grand spectacle explosif, la terreur autoritaire et une réflexion passionnante sur l'éthique de nos images. Un grand cru.

VOYAGE AU BOUT DE LA GUERRE


Observer rétrospectivement comment un film a été promu avant sa sortie en salles est souvent passionnant et c'est le cas de Civil War. Dès sa première affiche avec ses snipers dissimulés sous la flamme de la statue de la Liberté new-yorkaise, le film d'Alex Garland se présentait en pur film de guerre au pays de l'Oncle Sam, faisant resurgir les lointains souvenirs de la guerre de Sécession. Les bandes-annonces suivantes se sont, elles, justement appuyées sur le conflit armé entre le gouvernement et l'alliance inattendue Californie-Texas pour teaser une Amérique profondément divisée, a priori au coeur du récit.

Enfin, ce sont les grosses scènes de batailles dans les rues de Washington DC concluant les différents trailers qui ont promis un spectacle pyrotechnique impressionnant. Et c'est sans parler de l'affiche finale à la Apocalypse Now où New York est cerné par des hélicoptères et autres porte-avions, entérinant la guerre civile brutale qui devrait se jouer sous les yeux des spectateurs. Ce film de guerre, il est bel et bien dans Civil War, on ne peut pas le nier.

Durant 1h49, le quatrième film d'Alex Garland propose une ribambelle de scènes d'action et tension à la fois anxiogènes et volcaniques. Qu'il s'agisse d'un attentat dans les rues new-yorkaises, d'une pause torturée à une station essence de fortune, d'un violent affrontement au coeur d'un bâtiment en ruine ou d'une embuscade au milieu de nulle part, Civil War offre un spectacle explosif. Avec une mise en scène viscérale, le Britannique nous plonge même au coeur d'une bataille complètement folle à Washington DC, où les rues sont envahies de blindés et la Maison-Blanche prise d'assaut.

Malgré un budget aussi restreint (50 millions de dollars), rarement aura-t-on vu une scène de guerre aussi réaliste et immersive dans les rues de la capitale américaine mêlant avancée au sol et vue aérienne avec une fluidité déconcertante. Il faut dire qu'encore une fois, Alex Garland est bien aidé par le découpage savant de Jake Roberts (fidèle monteur déjà derrière Men et la série Devs). Autant dire que les spectateurs venus découvrir une Amérique à feu et à sang en auront pour leur argent rien qu'avec ce climax.

LE CHOC D'UNE NATION

Toutefois, ce thriller d'action tant vendu par la promotion n'est pas vraiment ce qui intéresse Alex Garland avec Civil War, pas plus que les raisons de la guerre en cours. Pourquoi l'Amérique a implosé ? Comment la Californie progressiste et le Texas conservateur ont pu s'allier malgré leur division politique ? On n'en saura jamais vraiment plus. Le film nous apprendra juste discrètement que le président a démantelé le FBI, bombardé des civils et est en poste pour un 3e mandat anti-constitutionnel, ce qui semble trois des nombreuses raisons ayant conduit le pays à s'enflammer.

Alex Garland aurait pu établir une guerre entre "gentils" et "méchants", progressistes et conservateurs, démocrates et républicains, protectionnistes et libéraux... mais il décide de faire de cette lutte armée une toile de fond plus abstraite. Ainsi, plus le film avance, plus il est difficile d'identifier ou matérialiser les différents camps et d'entendre les tenants et aboutissants du conflit. Bien sûr, en restant assez flou, le film divisera vu les profondes divergences de l'Amérique contemporaine et tant il semble (parfois) nécessaire de rappeler frontalement les dérives tragiques de la récente administration Trump. Pourtant, ce choix scénaristique (et politique en soi) est extrêmement pertinent.

Avec ce brouillard délibéré, Civil War déstabilise en permanence les spectateurs, les oblige à se questionner sur leur boussole morale et à voir plus loin que leurs préjugés. Il rend ainsi plus tangibles les réflexions du groupe de reporters au coeur du récit et en route pour Washington DC afin d'interviewer le président. Alors que leur road trip de New York jusqu'à la Maison-Blanche est semé d'embûches dans un paysage post-apocalyptique plus vrai que nature (la direction artistique est phénoménale), les situations auxquelles ils sont confrontés sont plus angoissantes et il est impossible de se rassurer sur leurs possibles sorts.

C'est toute la force de la terrible séquence où les journalistes rencontrent le personnage de Jesse Plemons leur demandant : "Quel genre d'Américains êtes-vous ?". Alex Garland joue habilement avec l'identité de ce soldat et reste mystérieux sur le clan qu'il soutient. La parano envahit l'écran, les reporters ne savent plus à qui ils ont affaire et les spectateurs suivent abasourdi, impuissant, cette altercation. La simple question suffit à déceler l'acuité de Civil War, pointant du doigt l'horreur de la guerre où quiconque peut devenir un ennemi, même par erreur, et nous plongeant dans un monde terrifiant, car dépourvu de repère.

PROFESSION : REPORTER

C'est avant tout ce sujet qui semble motiver Alex Garland : la quête de sens dans un monde qui n'en a plus (ou de moins en moins). Ce n'est pas anodin si Civil War est surtout un road movie sur des journalistes tentant de capturer au mieux la réalité qui les entoure, de relater ce qui les entoure, qui, quoi, comment et pourquoi. Avec son quatrième film, Alex Garland s'intéresse aux rôles des médias, à leur intégrité, à leur pouvoir, à l'importance de l'information et de la recherche de la vérité.

Dans cette droite lignée, le film est assez limpide avec l'évolution de Lee (Kirsten Dunst), clin d'oeil évident à la célèbre photographe de guerre Lee Miller (jusqu'au prénom). Au début du film, Lee photographie le président sur sa télévision, mais son objectif sera bel et bien de traverser l'écran, de devenir une protagoniste de l'histoire et de photographier en chair et en os ledit président pour immortaliser la réalité (et non celle qu'une propagande veut vendre aux spectateurs-électeurs-citoyens). Cette ambition demande toutefois du courage et que se passerait-il si plus personne n'avait envie de défier les balles, les explosions avec pour seule arme son appareil photo ou son crayon ?

En posant un regard aussi solide sur l'effondrement à la fois politique, philosophique et éthique de l'Amérique (et de la société occidentale in fine), Civil War rend évidemment hommage à tous les reporters de guerre qui ont risqué, risquent et risqueront leur vie pour raconter l'Histoire. Ce n'est pas franchement subtil ni même très original, mais il en ressort un besoin urgent de transmettre ce savoir-faire, cette volonté d'informer, cette soif de vérité. La passation progressive entre Lee et Jessie, l'aspirante photographe incarnée par l'excellente Cailee Spaeny, est d'ailleurs particulièrement touchante malgré une énorme bévue scénaristique en toute fin de métrage.

Cela dit, Garland questionne aussi ce travail de reporter et notamment cette difficulté à capter les événements sans les transformer, les saisir sans les biaiser, afin de ne pas contaminer une information dans un sens ou dans l'autre. D'où toute l'ambiguïté se jouant devant nos yeux et l'horreur psychologique torturant les esprits des journalistes : ils observent, retranscrivent, photographient, racontent... pour nous interpeller ("We record so other people ask") et espérer qu'on réagisse, mais ils n'interviennent jamais. Ils subissent ce qu'ils expérimentent, mais vivent aussi de cette adrénaline, exulte presque d'être aux premières loges de la déliquescence d'une nation (ce sourire de Jessie en plein assaut).

D'une certaine manière, l'information est une forme d'art où l'artiste ne doit jamais se mettre plus en valeur que sa peinture et où sa peinture ne doit jamais surpasser le message qu'elle veut diffuser. C'est là qu'Alex Garland frappe d'autant plus fort saisissant parfaitement le pouvoir de l'image en jouant lui-même de ce paradoxe. Son Civil War repose sur un grand spectacle flamboyant, une photographie léchée, un sound-design envoûtant, une bande-originale fascinante... ce qui pourrait sembler inapproprié – ou opportuniste – vu le sujet Sauf qu'il n'en oublie jamais de donner une vraie valeur à ses images pour proposer un point de vue plus nuancé, une perspective plus sagace car affranchie d'un partisianisme devenu tristement contre-productif au fil du temps.

C'est ce qui donne à Civil War sa pertinence politique, sociale et existentielle. Une denrée précieuse, voire rarissime, à cette échelle hollywoodienne actuellement et dont le cinéaste semble bien avoir conscience. Alors qu'il a révélé que Civil War serait probablement son dernier film en tant que réalisateur (en partie par fatigue du système), on peut presque supposer qu'Alex Garland souhaite incarner à son tour un messager ici. Un lanceur d'alerte craignant que cette forme de cinéma disparaisse, ce qui n'annoncerait rien de bon pour l'avenir du 7e art. Espérons qu'il soit entendu.

Sur fond de thriller d'action explosif, Civil War s'interroge avant tout sur le sens de l'information, le pouvoir de l'image et l'absolue nécessité de préserver un journalisme de terrain tentant de capturer le réel, exposer la vérité. Passionnant de bout en bout.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... d8RtYBi2SY
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Wickaël a écrit :
mar. 16 avr. 2024 12:25
J'ai débuté hier une série pas trop connue, ça s'appelle Twin Peaks. Bon je n'ai regardé que le pilote mais je suis très pressé de découvrir la suite. Le personnage de l'agent Dale Cooper est déjà mon préféré :D
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Miamsolo a écrit :
mar. 16 avr. 2024 17:53
Ma série préférée!
J'avais déjà commencé la série il fut un temps sur Netflix mais ils l'ont viré du catalogue au moment où j'avais commencé. Là je compte bien mater les 3 saisons et peut-être le film.
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J'ai commencé cette mini-série sur Netflix :

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"Inspirée du one man show de Richard Gadd, crée à Edinburgh Fringe 2019, qui suit sa relation tordue avec une harceleuse et l'impact qu'elle a sur lui alors qu'il est finalement obligé de faire face à un traumatisme profond et sombre enfoui…"

J'ai vu les trois premiers épisodes et je dois dire que c'est assez intense :roll:
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Wickaël a écrit :
mar. 16 avr. 2024 12:25
J'ai débuté hier une série pas trop connue, ça s'appelle Twin Peaks. Bon je n'ai regardé que le pilote mais je suis très pressé de découvrir la suite. Le personnage de l'agent Dale Cooper est déjà mon préféré :D
Enjoy :bounce: :jap:
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Pale a écrit :
mar. 16 avr. 2024 20:30
J'ai commencé cette mini-série sur Netflix :

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"Inspirée du one man show de Richard Gadd, crée à Edinburgh Fringe 2019, qui suit sa relation tordue avec une harceleuse et l'impact qu'elle a sur lui alors qu'il est finalement obligé de faire face à un traumatisme profond et sombre enfoui…"

J'ai vu les trois premiers épisodes et je dois dire que c'est assez intense :roll:
Je ne connaissais pas! T'as finis la 1è saison de From?
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The Ministry of Ungentlemanly Warfare : les premiers avis pour le nouveau Guy Ritchie sont là

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Les premiers avis viennent de tomber pour The Ministry of Ungentlemanly Warfare, le nouveau film réalisé par Guy Ritchie avec Henry Cavill.

Après le sympathique The Gentlemen en 2020 et la série Netflix The Gentlemen de 2024 un peu plus en demi-teinte, Guy Ritchie a décidé de changer la formule pour son prochain film et d'aller à l'opposé de ses gansters distingués, du moins si on en croit le titre : The Ministry of Ungentlemanly Warfare

Après cinq films et une série en cinq ans, le réalisateur surproductif (qui a encore un autre projet prévu pour 2025), nous plongera au milieu de la Seconde Guerre mondiale, pour suivre une escouade crée par Churchill et Ian Fleming eux-mêmes. Inspiré d’une histoire vraie, le film devrait raconter les opérations de sabotage contre les nazis de cette escouade sans règles ni distinction, façon Inglourious Basterds à la britannique. Cette comédie d’action portée par Henry Cavill, Alan Ritchson et Eiza González promet ainsi un cocktail détonnant, et comme l’embargo vient de sauter aux États-Unis, c'est le moment de prendre la température. Revue de presse.

"Il y a tout ce qu’il vous faut dans The Ministry of Ungentlemanly Warfare : des scènes de combats sanglantes et dynamiques, des dialogues impertinents, des blagues qui fonctionnent, et pas un acteur qui n’est pas à sa place." - Arizona Republic

"Une fois que la fumée de son final explosif se dissipe, on se rend compte que The Ministry of Ungentlemanly Warfare est étrangement aseptisé, édulcoré, et même un peu raté." - Slashfilm

"Si vous êtes soucieux d’Histoire, les lacunes en logique, le matériel anachronique et les pistolets qui ne ratent jamais leur cible pourraient vous faire grimacer. Mais si vous aimez les raids de commando sanglants et (parfois) amusants, The Ministry of Ungentlemanly Warfare répondra plus ou moins à vos attentes." - Movie Nation

"Ces gars sont si bons dans ce qu’ils font que Ritchie a du mal à maintenir la tension attendue. Au lieu de ressentir le suspense, le public se réjouit de les voir réussir, quels que soient les obstacles." - Variety

"C’est un thriller flamboyant sur la Seconde Guerre mondiale, dans le style de Guy Ritchie. Ce dernier trouve un équilibre fin et amusant entre la menace que représentent les nazis et le plaisir de voir des héros virils les massacrer minutieusement, avant de glousser, de fumer des cigarettes et de s’appeler les uns les autres "vieux père" environ 50 millions de fois." - TheWrap

"Autant, j’adorerais voir ces personnages dans un autre film, autant j’aurais aussi aimé les voir davantage dans celui-là. Oh, et une petite remarque pour tous les réalisateurs de films d’action : les silencieux, c’est top pour les séquences d’infiltrations, mais ça enlève le fun d’une séquence de siège." - IndieWire

"The Ministry of Ungentlemanly Warfare est une comédie d’action désinvolte et superficielle - un échec total de sa mission." - Screen Daily

"Chronique d’une mission secrète de la Seconde Guerre mondiale menée par une bande de renégats, le film est divertissant, mais reste maladroitement coincé entre une joyeuse cabriole et un thriller d’action plus captivant." - The Hollywood Reporter

"Même si ce n’est pas le meilleur film de Guy Ritchie, The Ministry of Ungentlemanly Warfare a assez de style et de tension haletante pour être une aventure incroyablement amusante." - ScreenRant

La presse américaine note une chose peu étonnante pour un film de Guy Ritchie : si le film est bancal, on passe tout de même un bon moment devant. Le savoir-faire du réalisateur en termes d’action explosive et de dialogues sans filtre ne semble pas trop manquer à l’appel ici. Cependant, plusieurs journalistes remarquent que le film ne sait pas totalement sur quel pied danser, et que, par conséquent, la tension recherchée dans certaines scènes en pâtirait.

Pour vous faire votre propre avis sur The Ministry of Ungentlemanly Warfare, il faudra patienter, et peut-être un bout de temps. En effet, s'il doit sortir le 19 avril aux États-Unis, le film n’a toujours pas de date annoncée en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... S_W2oyW_7D
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Cocu a écrit :
mar. 16 avr. 2024 22:03
Pale a écrit :
mar. 16 avr. 2024 20:30
J'ai commencé cette mini-série sur Netflix :

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"Inspirée du one man show de Richard Gadd, crée à Edinburgh Fringe 2019, qui suit sa relation tordue avec une harceleuse et l'impact qu'elle a sur lui alors qu'il est finalement obligé de faire face à un traumatisme profond et sombre enfoui…"

J'ai vu les trois premiers épisodes et je dois dire que c'est assez intense :roll:
Je ne connaissais pas! T'as finis la 1è saison de From?
Yes :

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Fin de la première saison. J'ai été extrêmement emballé par une grosse partie de cette première saison, c'est mystérieux et intrigant à souhait, du moins pendant les deux tiers. J'avoue que mon enthousiasme/intérêt ont un peu décliné durant les 2-3 derniers épisodes où par moments j'ai l'impression que la série montre un peu ses limites. Il y a des facilités scénaristiques mais c'est surtout les personnages qui ont commencé un peu à m'énerver vers la fin. Il y a parfois un tel manque de substance dans leur background (à ce niveau on est à des années-lumière de Lost) que ça rend parfois leurs réactions/comportements irritables et la série cherche à créer des petits conflits entre certains personnages mais là aussi ça repose parfois tellement sur rien que c'est un poil énervant. Bon ça ne m'a pas coupé l'envie de découvrir la suite pour autant.
Modifié en dernier par Pale le mer. 17 avr. 2024 18:51, modifié 1 fois.
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Petite déception que ce Abigail de la team Radio Silence (Ready Or Not, Scream 5 et 6).
La faute à un concept parfois tenu, mais ensuite régulièrement mis de côté au profit de retournements de situation plus ou moins gratuits.

Cela commence efficacement (concept à la Don't Breathe, où une bande de malfrats se retrouve finalement pourchassée et piégée par leur cible en apparence inoffensive) en présentant proprement son trombinoscope de personnages, son setting unique puis son high-concept vampirique.
La mise en place délaye quand même un tantinet, avant de bazarder quelques personnages, mais rapidement le fun et le gore arrivent, boostés par le caractère jouissivement juvénile (en apparence) de la menace.

Malheureusement, comme peu enclin d'aller vers une approche jusqu'au-bputiste, les réals vont peu à peu faire un pas de côté niveau antagonisme, quitte à amener des incogérences ou facilités assez grossières. Le tout jusqu'à une résolution ultra fastoche (avec sans doute volonté de faire une suite).

Le cast est bien, notamment Barrera (comme d'hab c'est elle qui a le perso le plus incarné) ou bien Dan Stevens (comme d'hab c'est lui le plus charismatique), mais au final ce Abigail demeure un résultat pas nécessairement déplaisant, bien que mitigé vu le concept.

2.5/5
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Wickaël a écrit :
mar. 16 avr. 2024 18:38
Miamsolo a écrit :
mar. 16 avr. 2024 17:53
Ma série préférée!
J'avais déjà commencé la série il fut un temps sur Netflix mais ils l'ont viré du catalogue au moment où j'avais commencé. Là je compte bien mater les 3 saisons et peut-être le film.
Pour l'ordre, je te conseille de regarder d'abord les 2 premières saisons, puis le film, et enfin la saison 3. (Et si jamais t'es vraiment à fond dedans, je te conseille de voir "Twin Peaks - The Missing Pieces" entre le film et la saison 3. En gros, ce sont toutes les scènes coupées / alternatives du film mises bout à bout, et ça donne pas mal de pistes pour la saison 3). :hot:
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Surprise : Tarantino abandonne son film avec Brad Pitt, The Movie Critic (sauf si...?)

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The Movie Critic, qui devait être le dixième et dernier film de Quentin Tarantino, n'est plus.

Quentin Tarantino le dit depuis longtemps : il terminera sa carrière après avoir fait dix films, et ce dixième film devait être l'alléchant The Movie Critic. En quelques mois, plusieurs informations sont tombées concernant l’ultime projet du cinéaste derrière Django Unchained et Once Upon a Time... in Hollywood, qui devait commencer son tournage cette année.

On a notamment appris que Brad Pitt était au casting et que Tom Cruise pourrait jouer pour la première fois dans un Tarantino. Et bien tout ça est désormais de l’histoire ancienne. En effet, selon différentes sources Quentin Tarantino aurait complètement changé ses plans.

La nouvelle a été relayée en premier par Deadline : The Movie Critic n’est plus, et la raison est si simple qu’elle peut paraitre folle, puisque le metteur en scène aurait tout simplement changé d’avis. Le réalisateur repart donc de zéro, alors que le projet était bien avancé et que Sony, qui avait produit Once Upon a Time... in Hollywood, était en bonne position pour être derrière The Movie Critic.

Alors qu'il avait réécrit son scénario et retardé le démarrage de la production par la même occasion, la rumeur voudrait qu'il ait décidé que The Movie Critic ne sera finalement pas dernier film. Désormais, le cinéaste cherche un autre projet pour conclure son impressionnante filmographie.

Pour rappel, le film devait s’axer autour d’un critique cinématographique nommé Jim Sheldon, officiant pour un magazine pornographique à la fin des années 70. L’inspiration pour l’histoire remonte à un boulot que Tarantino a fait quand il était adolescent. Il était chargé de remplir un distributeur de magazine pornographique et de vider les pièces de celui-ci.

Cependant, dans ces revues "trop vulgaires pour être lues", l’une d’elles contenait une page dédiée au cinéma avec un critique qu’appréciait le cinéaste. De plus, Brad Pitt devait reprendre, selon The Hollywood Reporter son rôle de Cliff Booth, particulièrement aimé des fans dans Once Upon a Time.

Ce n’est pas la première fois que le réalisateur modifie ses plans pour un de ses films. À l’origine, Les 8 Salopards a été annulé suite à une fuite du scénario en ligne, avant que le cinéaste ne change de nouveau d’avis. Reste à savoir s'il rechangera aussi d'avis pour son Star Trek, qui a longtemps été dans les tuyaux, mais qu'il a fini par lâcher en 2023.

L’espoir n’est donc pas entièrement mort pour The Movie Critic. Dans tous les cas, on a hâte de voir ce que nous réserve Tarantino pour son grand final.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rRjcnM85k_
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Mercredi saison 2 : un super acteur rejoint le casting de la série Netflix

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Mercredi aurait intégré un nouvel acteur à son casting, et ce serait une super nouvelle pour la saison 2 de la série phénomène de Netflix.

Mercredi a été une énorme réussite pour Netflix, au point de même battre plusieurs records sur la plateforme. Le N rouge ne s'est donc pas fait prier pour annoncer une saison 2, tandis qu'une autre série sur un personnage iconique de la Famille Addams serait également en préparation.

Et alors que Jenna Ortega a promis de l'action et de l'horreur pour la saison 2 de Mercredi, on attend évidemment avec impatience de savoir ce que la série de Netflix va nous réserver pour la suite. Et justement, un nouvel acteur aurait rejoint le casting, et il pourrait parfaitement coller au style et à l'esthétique de Mercredi.

Cet acteur, ce serait Steve Buscemi. Selon Variety, il aurait intégré le casting de Mercredi pour interpréter un personnage encore inconnu, bien que certaines sources affirment qu'il pourrait s'agir du nouveau directeur de Nevermore Academy. Ces informations sont toutefois à prendre avec des pincettes, puisque les représentants respectifs de Netflix et Buscemi ont pour le moment refusé de commenter cette annonce.

Steve Buscemi est principalement connu pour avoir joué dans des films comme Reservoir Dogs, Fargo, La mort de Staline et de nombreuses productions d'Adam Sandler. Il s'est aussi illustré dans le doublage, notamment avec Monstres & Cie, Hôtel Transylvanie ou encore Baby Boss. C'est donc un acteur capable d'assumer des rôles plus dramatiques, mais également d'exceller dans le comique.

En plus de ses qualités d'acteur, on pourrait également dire que le physique de Buscemi, avec son visage et ses traits fins, irait extrêmement bien avec le style gothique de la série. Attendons néanmoins que Netflix ou l'acteur confirme ses rumeurs avant de trop nous enthousiasmer. Concernant le reste du casting, Jenna Ortega reprendra évidemment son rôle, tout comme Catherine Zeta-Jones (Morticia), Luis Guzmán (Gomez), Fred Armisen (Oncle Fétide) et Isaac Ordonez (Pugsley).

Quoi qu'il en soit, il nous reste encore un peu d'attente avant de pouvoir retrouver Mercredi, le tournage de la saison 2 ayant été retardé en raison des grèves des scénaristes et des acteurs à Hollywood en 2023. La suite de la série devrait donc arriver courant 2025.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... wck5kpjclZ
Modifié en dernier par Pale le ven. 19 avr. 2024 18:41, modifié 1 fois.
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Pale
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Steven Spielberg prépare un nouveau film sur les Ovnis

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Un long métrage qui sera écrit par David Koepp, scénariste de Jurassic Park.

Deux ans après son quasi autobiopic, The Fabelmans, Steven Spielberg travaillerait sur un nouveau long métrage. Et visiblement, il reviendrait à ses premières amours, à savoir les extraterrestres...

Selon Variety, le réalisateur de E.T. et Rencontres du troisième type serait sur le point de diriger un film sur les Ovnis basé sur une idée originale à lui. Steven Spielberg s'associerait avec son scénariste de Jurassic Park, David Koepp, qui aurait en charge le scénario de ce film Ovni encore sans titre.

Pour l’instant, on ne sait rien d’autre sur ce projet mystère.

Steven Spielberg a récemment plutôt tourné son regard vers la télévision, produisant Masters of the Air pour Apple. Il travaille actuellement sur une série adaptée des films Cape Fear alias Les Nerfs à vifs (le remake de 1991 de Scorsese et l'original de 1962).


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -les-Ovnis
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Pale
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... Fu-Panda-4
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robinne
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weird

Pale a écrit :
jeu. 18 avr. 2024 16:25
Steven Spielberg prépare un nouveau film sur les Ovnis

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Un long métrage qui sera écrit par David Koepp, scénariste de Jurassic Park.

Deux ans après son quasi autobiopic, The Fabelmans, Steven Spielberg travaillerait sur un nouveau long métrage. Et visiblement, il reviendrait à ses premières amours, à savoir les extraterrestres...

Selon Variety, le réalisateur de E.T. et Rencontres du troisième type serait sur le point de diriger un film sur les Ovnis basé sur une idée originale à lui. Steven Spielberg s'associerait avec son scénariste de Jurassic Park, David Koepp, qui aurait en charge le scénario de ce film Ovni encore sans titre.

Pour l’instant, on ne sait rien d’autre sur ce projet mystère.

Steven Spielberg a récemment plutôt tourné son regard vers la télévision, produisant Masters of the Air pour Apple. Il travaille actuellement sur une série adaptée des films Cape Fear alias Les Nerfs à vifs (le remake de 1991 de Scorsese et l'original de 1962).


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -les-Ovnis
:bounce:
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weird

Pale a écrit :
jeu. 18 avr. 2024 16:30
Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... Fu-Panda-4
Ai vu 2 films.
Ca progresse :D
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Pale
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Nouveau teaser :

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Premier trailer du nouveau Shyamalan :

Modifié en dernier par Pale le jeu. 18 avr. 2024 18:26, modifié 2 fois.
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Wickaël
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Miamsolo a écrit :
jeu. 18 avr. 2024 10:21
Pour l'ordre, je te conseille de regarder d'abord les 2 premières saisons, puis le film, et enfin la saison 3. (Et si jamais t'es vraiment à fond dedans, je te conseille de voir "Twin Peaks - The Missing Pieces" entre le film et la saison 3. En gros, ce sont toutes les scènes coupées / alternatives du film mises bout à bout, et ça donne pas mal de pistes pour la saison 3). :hot:
Le hic c'est que le film n'est dispo qu'en VOD donc ça m'ennuie de devoir le louer.
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Pale
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Wickaël a écrit :
jeu. 18 avr. 2024 19:21
Miamsolo a écrit :
jeu. 18 avr. 2024 10:21
Pour l'ordre, je te conseille de regarder d'abord les 2 premières saisons, puis le film, et enfin la saison 3. (Et si jamais t'es vraiment à fond dedans, je te conseille de voir "Twin Peaks - The Missing Pieces" entre le film et la saison 3. En gros, ce sont toutes les scènes coupées / alternatives du film mises bout à bout, et ça donne pas mal de pistes pour la saison 3). :hot:
Le hic c'est que le film n'est dispo qu'en VOD donc ça m'ennuie de devoir le louer.
Oui mais tu feras bien une exception :D

Au pire tu commandes le DVD ou BR ou alors tu peux avoir recours à une autre méthode :o
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Kit
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vais-je être le seul à n'avoir vu ni un épisode ni le film ?
Vosg'patt de cœur
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