Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Kit
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6 mai
une pensée pour
Max Ophüls 1902-1957 réal
Stewart Granger 1913-1993 act (Les Mines du roi Salomon, Scaramouche, Le Prisonnier de Zenda)
Orson Welles 1915-1985 act/réal
Achille Zavatta 1915-1993 clown
Jean-François Poron 1936-2020 act (Le Masque de fer)

bon anniversaire à
Christian Clavier 72 ans
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Anne Parillaud 64 ans actr (Nikita)
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George Clooney 63 ans
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Christa Theret 33 ans (LOL)
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une pensée pour les disparus un 6 mai
Marlene Dietrich 1901-1992
Vosg'patt de cœur
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sad

mince hier je souhaitais ici un bon anniversaire à Bernard Pivot et aujourd'hui j'annonce son décès
Vosg'patt de cœur
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Pale
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Premier visuel du nouveau Superman :

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ClintReborn
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Pale a écrit :
lun. 6 mai 2024 19:12
Premier visuel du nouveau Superman :

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J'ai de plus en plus l’impression de voir des images générées par I.A qu'on retouche un peu après :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Des nouvelles images de MaXXXine :

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robinne
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weird

Pale a écrit :
lun. 6 mai 2024 20:00
Des nouvelles images de MaXXXine :

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L’actrice de droite me dit quelque chose…

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C’est Kevin Bacon ? :??:
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robinne a écrit :
lun. 6 mai 2024 23:25
Pale a écrit :
lun. 6 mai 2024 20:00
Des nouvelles images de MaXXXine :

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L’actrice de droite me dit quelque chose…
C'est Elizabeth Debicki (Tenet, The Crown).
C’est Kevin Bacon ? :??:
Yes :jap:
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NaughtyDog
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ClintReborn
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NaughtyDog a écrit :
mar. 7 mai 2024 11:50
Chouette ils vont faire dans l’originalité et exploiter des parties non conventionnelles du roman filmé 58 fois :o :lol: Ah en fait non on met juste de nouveaux acteurs dans la routine faudrait pas que les spectateurs trouvent des différences et se perdent dans le récit... :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Furiosa : les premiers avis sur le préquel de Mad Max : Fury Foad sont tombés

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Les premiers avis pour Furiosa : Une saga Mad Max de George Miller, le prequel de Mad Max : Fury Road avec Anya Taylor-Joy et Chris Hemsworth, sont arrivés.

Depuis qu'on sait que Furiosa, le nouveau Mad Max, contiendra une scène complètement folle de 15 minutes, la hype est encore montée d'un cran pour le prochain opus de la saga post-apo. En effet, après le succès immense de Fury Road, on se demandait évidemment si son petit frère (ou plutôt sa petite soeur) parviendrait à faire aussi bien.

Et tandis que George Miller a déjà écrit un autre film Mad Max lié à Fury Road et avec Tom Hardy, les premiers avis de la presse américaine sur Furiosa ont justement envahi les réseaux sociaux. On va ainsi pouvoir en savoir un peu plus sur ce nouveau volet tant attendu avant sa première cannoise le 15 mai prochain. Revue de tweets.

"MESDAMES ET MESSIEURS : Furiosa façonne un mythe à son meilleur. L'entrée la plus tentaculaire de la saga Mad Max revient aux racines de la série : c'est une histoire de vengeance puissante, émouvante et réaliste au milieu d'un monde devenu sauvage. Aussi : des bombardiers sur planche à voile. Anya Taylor-Joy règne, Hemsworth tue !" Bill Bria - Slash Film

"J'EN SUIS TÉMOIN : Furiosa est un régal visuel et une merveille spectaculaire, une antithèse de Fury Road dans la mesure où quand il était clairsemé, il [Furiosa] est expressif et épique. Là où on trouvait autrefois un film presque muet, c'est désormais une immense toile de dystopie, de désespoir et de gloire qui s'offre à nous." David Crow - Den of Geek

"Ça m'apporte une grande joie d'annoncer que Furiosa est vraiment, *vraiment* putain de génial. Il fonctionne à un rythme extrêmement différent de celui de Fury Road (d'une manière qui, je suppose, frustrera certaines personnes), mais parvient également à rendre ce film encore plus riche tout en se forgeant sa propre légende dans le désert." David Ehrlich - IndieWire

"Furiosa de George Miller représente le meilleur du cinéma d'action ! Une épopée féroce et au rythme implacable qui élargit l'histoire de Furiosa et du Wasteland tout en offrant les poursuites les plus folles, les personnages les plus grandiloquents et une cinématographie tout simplement époustouflante. Anya Taylor-Joy et Chris Hemsworth plongent également jusqu'au Wasteland et livrent tous deux des choses incroyables. Il y a une séquence en camion-citerne qui m'a époustouflé – un classique instantané. J'adore les longs-métrages Mad Max et j'ai adoré ce film." Erik Davis - Fandango

"Mon Dieu George Miller ! Furiosa vous engloutit. Parfois, il semble presque dépasser la toile du format IMAX tellement il est immense - et en même temps, il nous touche profondément et intimement. Faisant écho aux éléments cinématographiques des années 50 à 80, c'est une vision riche et intelligente dans laquelle le casting se révèle." Simon Thompson - Forbes

"Je voudrais et pourrais facilement regarder 15 heures d'Anya Taylor-Joy et d'Alyla Browne dans le rôle de Furiosa, mais une grande partie du film souffre d'un rythme incohérent en raison de l'histoire segmentée. Ça ne sera pas à la hauteur de la splendeur de Fury Road, mais ce n’était pas vraiment nécessaire non plus." Therese Lacson - Collider

"Furiosa n'est pas Fury Road, mais c'est normal. Il n'essaie pas de l'être. C'est un film d'une rare radicalité, couillu et oui, épique. J'ai déjà hâte de le revoir encore et encore pour mieux m'y plonger. Vive George Miller ! Pour les performances, Anya Taylor-Joy et Chris Hemsworth sont fantastiques. Tom Burke est impressionnant." Josh Horowitz - Happy Sad Confused

Dans l'ensemble, Furiosa serait donc un ajout parfait au reste de la mythologie Mad Max, d'autant plus qu'il serait très différent de Fury Road. Entre sa mise en scène, ses décors et la beauté de son esthétique, le film nous ramènera à nouveau dans ce désert brulant et hypnotique que l'on n’a pas envie de quitter. Les performances des acteurs, avec évidemment Anya Taylor-Joy et Chris Hemsworth en tête, sont saluées, tandis que l'intrigue de Furiosa nous entrainera a priori dans une cavalcade rythmée par des scènes époustouflantes.

Le film semble donc à la hauteur de la franchise, et a priori, George Miller prouve encore une fois qu'il n'a pas perdu la main (contrairement à Furiosa... lol) au fil des années. En France, nous pourrons retrouver Furiosa dans nos salles françaises à partir du 22 mai prochain. Préparez-vous, ça va chauffer.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... IbS-RTFpNd
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EL a modérément apprécié Blue & Compagnie (3 étoiles) :

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Après avoir versé dans l’horreur post-apocalyptique avec Sans un bruit et Sans un bruit 2, John Krasinski repasse derrière la caméra pour s’adonner au film pour enfant. Blue & Compagnie, au casting duquel on retrouve Ryan Reynolds, la jeune Cailey Fleming et les voix de Steve Carell et Phoebe Waller-Bridge, est une fable sur le réconfort que peuvent apporter les amis imaginaires tout au long d’une vie. Un bonbon sucré qui ne révolutionne rien, mais qui ne fait pas de mal non plus. Au contraire. Au cinéma dès ce 8 mai 2024.

IL ÉTAIT (ENCORE) UNE FOIS...


Développé par Krasinski et Reynolds, Blue & Compagnie n’a, sur le papier, rien d’original à proposer. Une adolescente doit faire face à la possibilité d’un deuil, et pour l’aider à surmonter cette épreuve, un monde magique peuplé d’amis imaginaires va s’ouvrir à elle... On connaît la chanson, et à aucun moment le film ne cherche à proposer une autre musique.

D’ailleurs, Blue & Compagnie se repose énormément sur les acquis de beaucoup d’œuvres qui ont déjà exploré l’univers de l’enfance avec succès : Emilie Jolie, Monstres & Compagnie (il est évident que le titre français de IF, titre anglais, cherche à jouer sur la comparaison), Vice Versa, Big Fish... Même le dragon qui pointe le bout de son nez le temps d’une seconde est un copié-collé de la dragonne de Shrek. La résidence dans laquelle vivent les amis imaginaires, elle, est une reproduction presque publicitaire des hôtels Disneyland.

Bref, plus que de citer des références, le nouveau Krasinski brasse dans tous les sens des imageries déjà (mieux) exploitées maintes fois. Par ailleurs, le classicisme (si ce n’est le traditionalisme) de fond et de forme du réalisateur, qui était déjà présent dans les Sans un Bruit, n’aide évidemment pas à sortir du cadre des clichés, et l’on pourrait se demander qui peut encore croire, aujourd’hui, à ce portrait vintage d'une adolescente parfaite sans un cheveu qui dépasse et de son papounet idéal qui parle comme une marraine la bonne fée.

Jouant sur des cordes un peu faciles pour faire tenir son histoire – papa à l’hôpital et personnel soignant étonnamment doux, contraintes de la vie réelle apparemment inexistantes (mais qui surveille cette gamine ?? Y’a pas école ?), grand et magnifique appartement dans un non moins grand et magnifique immeuble du centre de New-York – Blue & Compagnie est en réalité assez vieillot dans sa manière de concevoir un conte qui parle d’enfance : un type d’enfance qui est, pour le coup, franchement imaginaire.

LES BONS CONTES FONT LES BONS AMIS (IMAGINAIRES)

Toutefois, en dépit de ses aspects éculés et trop sages, le film parvient à surprendre agréablement pour plusieurs raisons. En premier lieu, il faut déjà souligner la réussite de l’un de ses éléments essentiels : les effets numériques. À une époque où les productions Marvel font étalage du pire de ce que peut produire le numérique au cinéma, à cause des conditions de travail invivables imposées aux équipes VFX, on en oublierait presque que les longs-métrages qui mêlent acteurs et personnages 3D sans se couvrir de ridicule existent encore.

À la manière des créatures qui peuplent les Pixar, les amis imaginaires de Blue & Compagnie sont joliment modélisés et animés (à défaut d’avoir des designs originaux), s’insérant parfaitement dans la splendide photographie de Janusz Kamiński, chef opérateur fétiche d’un certain Steven Spielberg, lui-même grand maître de la peinture des angoisses et des rêves de l’enfance. Ce sérieux de l’image – et d’ailleurs aussi de la musique, puisque la bande originale enchanteresse est composée par Michael Giacchino – traduit l’honnêteté d’une démarche qui, pour une fois, ne prend pas les enfants pour des imbéciles.

Au-delà de parler de la possibilité de perdre un (ou deux) parent(s), certes avec enrobage mais sans mensonges, Blue & Compagnie prend son jeune public au sérieux, en offrant un spectacle foisonnant et bien fait. Le minimum syndical, a fortiori quand on s’adresse à des enfants ? Pas toujours, malheureusement. Et si le film est tout à fait en mesure de toucher aussi les adultes (le message global étant d’ailleurs qu’il n’y a pas tellement de différence entre la sensibilité d’un môme et celle d’un daron), il ressemble avant tout à une envie pressante de Krasinski et Reynolds d’en mettre plein la vue à leurs gamins.

Certes, les personnages sont trop peu détaillés, les règles du monde imaginaire sont mal établies, le film manque de la mise en valeur d’un vrai fil rouge... mais il en résulte ce joyeux bazar coloré, finalement pas dérangeant, qui ressemble au spectacle que le couple de comédiens pourrait proposer aux malades d’un hôpital pour enfants. L’envie de distraire et d’émerveiller occupe chaque recoin de l’écran, et même si la mise en scène et la direction artistique ne transforment pas toujours l’essai, l’enthousiasme est communicatif. Même Ryan Reynolds, entièrement dédié aux clowneries qui feront rire les plus jeunes, oublie de se regarder le nombril et s’avère plus charmant qu’exaspérant (pour une fois).

TOUT EST BIEN QUI FINIT BIEN

En somme, le film de Krasinski fait vœu de s’inscrire dans la tradition spielbergo-pixarienne des fables pour petits et grands, qui changent l’histoire du soir en grand spectacle, avec séquence émotion et larmes à la clef si possible. Le scénario trahit d’ailleurs comme un palimpseste l’inspiration du modèle E.T., selon lequel un enfant se retrouve avec un parent en moins et arrive à surmonter une épreuve et à grandir par l’accompagnement d’une figure paternelle et non-humaine de substitution. Encore un modèle éculé, oui, mais encore une jolie manière de le raconter.

En définitive, si Blue & Compagnie souffre de (gros) défauts qui l’empêchent d’être une vraie perle, sa chaleur et son charme quelque peu désuet lui permettent malgré tout de mettre quelques étoiles dans les yeux et d’émouvoir avec tendresse. Et, finalement, c’est l’essentiel. À voir avec ou sans gamins : le bon moment est garanti, dès lors qu'on ne craint pas l'overdose de sucre.

Après le post-apo horrifique des Sans un Bruit, John Krasinski fait un virage à 180° vers le conte pour enfants. Empesé du traditionalisme nostalgique qui caractérise son réalisateur, Blue & Compagnie reste un bel hommage à ses références et, surtout, un moment de douceur et d'émotion qu'on aurait tort de refuser (même à l'âge adulte).


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... y6i5jw-SFL
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bon 70ème anniversaire à
Philippe Geluck
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Vu :

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L'histoire dont le film s'inspire est forte mais ça n'en fait pas un bon film pour autant. La mise en scène est digne d'un téléfilm, c'est dénué de subtilité et hormis Jean-Paul Rouve , les acteurs ne sont pas terribles ou du moins la réalisatrice ne leur rend probablement pas justice.

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Je le sentais bien mais au final j'ai trouvé ça pas terrible. En général j'ai rien contre Brett Ratner mais probablement que le thriller psychologique n'est pas vraiment sa tasse de thé car tout est d'une extrême lourdeur. La finesse et la sobriété sont clairement aux abonnés absents. Certaines facilités scénaristiques prêtent également plus à rire qu'autre chose (Hannibal qui réussit à passer un coup de fil tranquille dans sa cellule :lol: ).

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Alors là grosse claque, je pensais que ça allait être un peu ronflant et ennuyeux mais c'est tout l'inverse. Il s'agit très certainement de mon James Gray préféré. La mise en scène et l'ambiance sont remarquables, il s'agit d'un engrenage infernal dans lequel bascule le personnage principal et le réalisateur y déploie tout son talent d'orfèvre.
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NaughtyDog
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Un bon opus pour la franchise que ce Nouveau Royaume, affirmant encore une fois que le mal-aimé The Postman de Kevin Costner infuse depuis 20 ans tout un pan du post-apo (de Horizon à War for the Planet of the Apes) où l'humanité cherche à se reconstruire, et où une Terre désolée devient un Far West d'anticipation.

Bâtissant avec efficacité sur l'héritage de César, le film bénéficie d'un impeccable world-building dans sa première partie, prenant son temps pour faire exister le personnage de Noa et ce nouvel univers qui a aussi ses singularités par rapport aux 9 films précédents.

Techniquement parlant on est dans le blockbuster le plus impressionnant depuis Avatar 2 (et j'y peux rien, moi ça m'émeut quand on sait utiliser des nouvelles technologies au service de son histoire ou de personnages improbables mais finalement vecteurs d'émotion).
Wes Ball propose même de beaux instants de suspension où les pensées de ses protagonistes gouvernent une séquence.
Bref ça prend son temps, avant que le métrage ne bifurque vers des sentiers déjà battus (jusque dans la dimension socio-politique inhérente à la saga).
Un peu plus dommage : certains persos comme Mae ou Cesar Proximus se révèlent sous-exploités sur certains abords, et on peut noter 1 ou 2 ptites invraisemblances au niveau de l'impressionnant climax.

Néanmoins une belle aventure à la fabrication exemplaire, à l'univers incarné, et qui tease une trajectoire intéressante pour la suite !

3.5/5

PS : quelques sonorités de Goldsmith et Giacchino, mais la BO certes efficace reste un poil anonyme
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Un peu le même problème que la première bande-annonce, il n'y a rien qui impressionne véritablement quand on compare avec le premier film. À la limite la scène finale du trailer a l'air plutôt bien fichue.
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Une bande-annonce différente en VOST/VF et en fait ça donne plus envie que la version américaine :D
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Le casting de la seconde saison de Mercredi dont le tournage a commencé :

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EL a aimé La Planète des singes : Le Nouveau Royaume (3,5 étoiles) :

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On l’a souvent répété dans nos colonnes : dans le domaine des blockbusters franchisés, peu de sagas ont su se démarquer comme le reboot de La Planète des singes, surtout avec La Planète des singes : L'affrontement et La Planète des singes : Suprématie. Au-delà de sa maîtrise technique, qui a contribué avec Avatar à valoriser les possibilités de la performance capture, sa nature de prequel lui a fait assumer une noirceur narrative salvatrice. Après Matt Reeves, c’est au tour de Wes Ball (Le Labyrinthe) de réaliser ce quatrième opus, La Planète des singes : Le Nouveau Royaume. Et cette fois, c'est chez Disney. En salles le 8 mai.

CHAMPIONZÉ


Pour tous ceux qui ont aimé les aventures de César, la suite de La Planète des singes : Suprématie marque son héritage par un prologue émouvant, qui donne encore plus d’impact à l'indication temporelle qui s’ensuit. Nous voilà “plusieurs générations plus tard”, à observer l’évolution des primates en multiples clans, tandis que les humains n’ont cessé de régresser intellectuellement.

Comme l’affirme l’une de ses séquences majeures (la traque d’un troupeau d’hommes et de femmes chassés comme du bétail), Le Nouveau royaume cherche une filiation esthétique de plus en plus affirmée avec le film matriciel de 1968. La photographie de Gyula Pados (les deux suites du Labyrinthe) se veut plus lumineuse et solaire, moins contrastée que chez Matt Reeves, et par extension moins riche. Cette légère déception est néanmoins compensée par sa raison d’être : flouter les marqueurs temporels de la saga, autant dans son récit que dans sa fabrication.

Voir ce Planète des singes 4 consiste à rassembler toutes les époques, comme si la première adaptation de Pierre Boulle était soudainement upgradée par des effets visuels photoréalistes. Pourtant, lors d’une première partie à la fois pédagogue et incarnée, on saisit bien que les sociétés simiesques sont encore loin d’être aussi avancées qu'au moment de leur rencontre avec Charlton Heston. Au contact de notre héros du jour, le touchant Noa (Owen Teague), il est question de lois et de rites de passage qui se sont organiquement créés au fil des ans.

Certes, le résultat final n’atteint pas toujours l’élégance poétique de Matt Reeves, mais il convient de ne pas sous-estimer le choix de Wes Ball à la réalisation. Déjà au travers de son célèbre court-métrage post-apo (le génial Ruin), le cinéaste donnait à ressentir un monde après nous avoir plongés in medias res dans l’action. C’était également la grande qualité du Labyrinthe (surtout dans la gestion du mystère du premier volet), et Le Nouveau Royaume confirme ce talent.

I’M HAVING A (WES) BALL

Tout comme ses prédécesseurs, ce nouveau Planète des singes ne cède pas aux sirènes de l’action et du grand spectacle régulier pour réveiller un public supposément impatient. Au contraire, il lui fait confiance en mettant en valeur la beauté mélancolique de son monde dévasté, et la prouesse technologique de notre attachement à des personnages non-humains.

Wes Ball prend son temps, et se veut contemplatif à certains moments-clés (merveilleuse séquence où Noa ne peut que pleurer la perte de son village). Un choix fondamental, puisque le film est rempli de protagonistes démiurges et pressés, qui refusent l’évolution lente et logique du monde. Après tout, Le Nouveau royaume admet que tout finit par s’oublier, à commencer par le passé dominant des humains sur la Terre. Il est juste dommage que le long-métrage mette un certain temps à développer sa seconde partie, où Noa se retrouve sous la coupe d’un roi tyrannique, Proximus (Kevin Durand), prophète qui s’est réapproprié le nom de César pour mieux distordre sa philosophie.

En transformant cet héritage idéologique en outil de fanatisme religieux, le scénario signé Josh Friedman (La Guerre des mondes, Avatar 4) impose sa meilleure nouveauté, bien qu’on l’aurait souhaitée un peu plus palpable et approfondie avant l’arrivée du troisième acte. Cela dit, avec ce saut dans la chronologie de la saga, on aurait pu craindre un moyen de rebooter ses problématiques, et sans doute de réduire la voilure sur son nihilisme désespéré, inhérent à sa nature de prequel. Il n’en est rien.

Derrière les métaphores les plus évidentes portées par La Planète des singes (le racisme, la maltraitance animale, l’escalade militaire…), il y a surtout une observation d’une perversion. Une perversion immuable des êtres, des sociétés et de leur politique. L’exigence technique de la saga est justement corrélée à ce rapport à l’entropie. Alors qu’il est possible de créer des singes parfaits en CGI, leur photoréalisme passe par la dégradation du corps et les marques du temps qui passe (cicatrices, poils manquants ou blanchis, etc).

On pourrait d’ailleurs reprocher à Wes Ball de ne pas repousser les limites du possible autant que Matt Reeves. Certes, le film nous rappelle qu’un blockbuster devrait avoir au minimum ce niveau de finition assez exemplaire, mais Le Nouveau royaume parvient trop rarement à décrocher la mâchoire comme L’Affrontement et Suprématie, qui donnaient l’impression à chaque fois d’imposer de nouveaux standards, que ce soit dans les interactions directes des acteurs avec les singes numériques, ou dans le rendu de certains effets (la neige sur les pelages).

WHO LET THE APES OUT ?

Si l’heure n’est plus vraiment au bouleversement technologique, en accord avec le bouleversement hiérarchique du monde présenté par les films, c’est peut-être au fond que La Planète des singes a elle aussi muté. Dans la continuité du premier Avatar, Les Origines marquait une scission claire entre humains et singes, et nous mettait dans la position inconfortable du camp adverse au nôtre, alors oppressé et rebelle. L’Homme était l’antagoniste, et son impossible rédemption obligeait, en creux, à s’adapter à la nouvelle espèce "supérieure".

Désormais, Le Nouveau royaume s’accorde à Avatar 2, où les méchants deviennent à leur tour des Na’vi pour mieux s’infiltrer dans un système qui interroge son idéologie pacifiste. Les délimitations sont plus floues, et ne peuvent éviter des subdivisions. C’est là que La Planète des singes sort sa carte maîtresse : Mae (Freya Allan), humaine qui offre à Noa une forme d’ancrage moral, avant de donner au long-métrage toute sa complexité thématique.

Au même titre que Proximus (dont elle est le miroir inattendu, mais bienvenu), elle agit avant tout par défiance de la mort, et par un refus de l’extinction qui reflète à merveille le déni de notre auto-destruction (militaire comme écologique).

Plutôt que d’accepter le cours de l’évolution de cette nouvelle nature, l’humain est toujours en quête de la médaille d’or, malgré une défaite de longue durée. Encore une fois, on pense à James Cameron et à la résolution de ses Na’vi : et si la guerre et l’anéantissement de l’humanité étaient la seule solution pour permettre un monde meilleur ? Peut-être, mais la tragédie, c’est de voir les singes, tout comme les aliens bleus, subir la dégradation de leur utopie à force de s’inspirer de leur pire ennemi : nous.

Malgré son jeune héros encore innocent, La Planète des singes : Le Nouveau royaume convoque une science-fiction post-apocalyptique toujours aussi désenchantée. Un blockbuster élégant sur l’entropie inévitable de nos sociétés et de leurs idéologies.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... ulWDTAEGzY
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Vin Diesel va enfin refaire un bon film : Riddick 4 est officiellement lancé, alléluia

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C'est ENFIN confirmé : Riddick 4 : Furya arrive. Après des années d'attente et d'annonces, le film avec Vin Diesel est officiellement sur les rails.

Quand il a été annoncé que la sortie de Fast and Furious 11 était (encore) repoussée, on pouvait se dire que Vin Diesel ne reviendrait peut-être pas tout de suite au cinéma. Heureusement ou malheureusement, le bougre est coriace, et il ne nous fera apparemment pas le plaisir de s'éclipser (vous l'avez ?) de si tôt.

Après avoir annoncé qu'une suite à l'un de ses pires films (Le Dernier Chasseur de sorcières) allait bel et bien arriver, l'acteur et producteur va enfin refaire un bon film, grâce à la vraie saga importante de sa carrière. Annoncé, teasé, développé et attendu depuis une dizaine d'années, Riddick 4 se concrétise. Enfin.

Bien meilleure que Fast & Furious, avec des films comptant parmi les plus marquants de la carrière de l'acteur, la saga Riddick est donc bien destinée à revenir, comme annoncé par Variety. La production du quatrième opus intitulé Riddick : Furya devrait ainsi démarrer en août 2024, avec notamment des tournages en Allemagne, en Espagne et au Royaume-Uni.

Comme pour les autres épisodes de la saga, Riddick 4 sera écrit et réalisé par David Twohy, et produit par Vin Diesel via sa société One Race Films, aux côtés de Samantha Vincent, Joe Nerauter, Thorsten Schumacher et Lars Sylvest.

Concernant l'intrigue, on devrait assister au retour de Riddick sur Furya, son monde natal, et sa rencontre avec ses congénères furyens. C'est en tout cas le projet depuis que ce quatrième film a été annoncé en 2014. Aucune nouvelle néanmoins de la série Merc City, qui avait été annoncée en 2016.

Riddick, c'est une saga qui a commencé en 2000 avec Pitch Black, réalisé par David Twohy. Succès modeste à sa sortie (environ 53 millions au box-office, pour un budget de 23 millions), le petit film est devenu culte grâce au marché vidéo. Avec la sortie du premier Fast & Furious l'année suivante, la carrière de Vin Diesel était lancée.

Fort de cette popularité, il a pu voir grand avec le réalisateur et scénariste David Twohy. En 2004, il y a donc eu Les Chroniques de Riddick, une suite sous forme de space opera au budget de 100 millions au moins, qui devait ouvrir les portes d'une saga à la Star Wars. Le public n'a pas suivi : avec seulement 115 millions au box-office mondial, l'échec commercial a tout stoppé.

Mais Vin Diesel n'a pas abandonné. En échange de son caméo dans Fast & Furious : Tokyo Drift, il a demandé à récupérer les droits du personnage pour sa boîte de production One Race. C'est comme ça que Riddick a pu voir le jour en 2013, avec un budget plus modeste (38 millions), et un succès à peu près satisfaisant (98 millions au box-office).

Sachant qu'il y a aussi eu le film d'animation Les Chroniques de Riddick : Dark Fury (2004), et les jeux vidéo The Chronicles of Riddick : Escape from Butcher Bay (2004) et The Chronicles of Riddick : Assault on Dark Athena (2009), ce personnage est devenu central dans la carrière de Vin Diesel.

Richard B. Riddick, l'anti-héros furyen doté d'yeux qui lui permettent de voir clairement dans l'obscurité, va donc revenir alors même que Vin Diesel s'apprête à faire ses adieux à Fast & Furious. Pour rappel, le onzième épisode de la saga des bolides (prévu pour l'été 2026) est censé être le dernier.

Si ça peut permettre à l'acteur de retrouver un peu du talent vu dans Jugez-moi coupable, Il faut sauver le soldat Ryan ou Un jour dans la vie de Billy Lynn, on dit oui.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... HI30Rv6Qd1
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robinne
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Pale a écrit :
jeu. 9 mai 2024 16:52
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Ca a un lien avec les films Sans bruit avec Emily Blunt ?
Ca raconte l'arrivée des aliens ?
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robinne a écrit :
jeu. 9 mai 2024 18:25
Pale a écrit :
jeu. 9 mai 2024 16:52
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Ca a un lien avec les films Sans bruit avec Emily Blunt ?
Ca raconte l'arrivée des aliens ?
Oui c'est un spin-off qui relate l'arrivée des créatures mais à grande échelle (et j'avoue que c'est une idée que je fantasmais à l'époque du premier film :D).

Dans Sans un bruit 2 la scène d'intro relate l'arrivée des monstres mais dans le patelin des personnages principaux.
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robinne
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weird

Pale a écrit :
jeu. 9 mai 2024 16:55
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C'est quoi ce film ? :??:
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robinne a écrit :
jeu. 9 mai 2024 19:44
Pale a écrit :
jeu. 9 mai 2024 16:55
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C'est quoi ce film ? :??:
Voici le synopsis :

Chargée de redorer l'image de la NASA auprès du public, l'étincelante Kelly Jones, experte en marketing, va perturber la tâche déjà complexe du directeur de la mission, Cole Davis. Lorsque la Maison-Blanche estime que le projet est trop important pour échouer, Kelly Jones se voit confier la réalisation d'un faux alunissage, en guise de plan B et le compte à rebours est alors vraiment lancé...

Comédie romantique avec en toile de fond la conquête de la lune.
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Vu :

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Lucky Star ou L'Isolé en version française est un film qui a presque 100 ans au compteur et malgré l'âge, c'est un œuvre bouleversante et belle à pleurer.

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Ce qui ressort en premier lieu c'est l'aspect visuel qui est stupéfiant. Le film démarre sur les chapeaux de roue et la première partie est probablement la plus impressionnante et trépidante (le point de départ m'a rappelé le film Apocalypto). On n'échappe pas ensuite à un ventre mou et la dernière partie est un peu une redite de ce qu'on connait déjà. Bref le film n'est pas mieux que ceux de la trilogie mais ça reste un divertissement de haute volée malgré tout et j'insiste encore une fois sur la facture visuelle qui est époustouflante. Ce serait tellement bien que le projet Mouse Guard soit réactivé mais à mon avis Wes Ball doit être très occupé avec sa future adaptation de Zelda mais nul doute qu'il s'agira également d'une grande expérience visuelle.
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Kit
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Channing Tatum c'est un acteur dont le nom ne m'est pas inconnu mais sur lequel je n'aurais pu mettre un visage pour la bonne raison que je n'ai rien vu avec lui.
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je connais bien le visage de Chris Pine mais là j'avoue que j'ai du mal à le reconnaître, d'ailleurs je n'y arrive pas
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Kit a écrit :
jeu. 9 mai 2024 22:59
Channing Tatum c'est un acteur dont le nom ne m'est pas inconnu mais sur lequel je n'aurais pu mettre un visage pour la bonne raison que je n'ai rien vu avec lui.
Si je devais te conseiller un film ou même deux avec lui ce serait 21 Jump Street et 22 Jump Street :D
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ClintReborn
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Kit a écrit :
jeu. 9 mai 2024 22:59
Channing Tatum c'est un acteur dont le nom ne m'est pas inconnu mais sur lequel je n'aurais pu mettre un visage pour la bonne raison que je n'ai rien vu avec lui.
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je connais bien le visage de Chris Pine mais là j'avoue que j'ai du mal à le reconnaître, d'ailleurs je n'y arrive pas
Je t'assure tout le monde l'a vu quelque part et oublier aussitôt :o :lol: C'est le genre d'acteur qui a été surexploité partout et marquant nul part :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Kit
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Pale a écrit :
ven. 10 mai 2024 17:39
Kit a écrit :
jeu. 9 mai 2024 22:59
Channing Tatum c'est un acteur dont le nom ne m'est pas inconnu mais sur lequel je n'aurais pu mettre un visage pour la bonne raison que je n'ai rien vu avec lui.
Si je devais te conseiller un film ou même deux avec lui ce serait 21 Jump Street et 22 Jump Street :D
:jap: mais je vais passer mon tour, je reste avec la série avec pas lui :D
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Vu :

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Je craignais un peu le pire au début mais finalement j'ai beaucoup aimé ce film de Noël dont le fond rappelle énormément Hook. A l'instar de ce dernier, la magie fonctionne ou du moins elle a fonctionné sur moi. C'est un film de Noël aussi drôle que émouvant.
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Kit
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weird

Pale a écrit :
dim. 12 mai 2024 18:34
Vu :

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Je craignais un peu le pire au début mais finalement j'ai beaucoup aimé ce film de Noël dont le fond rappelle énormément Hook. A l'instar de ce dernier, la magie fonctionne ou du moins elle a fonctionné sur moi. C'est un film de Noël aussi drôle que émouvant. un peu hors sa
:D un peu hors saison ? bah Gulli continue à proposer des téléfilm de Noël chaque semaine :sarcastic:
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Mon programme ciné du week-end prochain :

Peut-être :

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J'avoue que même si j'adore Dupieux et que je ne loupe pas ses films au ciné, son dernier m'inspire que très moyennement pour le moment.
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Kit a écrit :
dim. 12 mai 2024 20:19
:D un peu hors saison ?
:lol: Totalement mais hier soir j'avais la flemme de voir un truc long et il était sur ma liste :D
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ClintReborn
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Certaines personnes ne reculent devant rien depuis quelques mois un faux compte "Clint Eastwood official" sème le désordre sur twitter en publiant de fausses photos fausses vidéos, faux projets de biopic etc...
https://twitter.com/RealTheClint?ref_sr ... r%5Eauthor

:sarcastic:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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NaughtyDog
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Boom enfin débarqué (mais en incognito dur Netflix)
Ce Adagio est une nouvelle réussite de Sollima, concluant ainsi sa trilo Romaine criminelle orchestrée avec ACAB et Suburra.
Et si ce 3e film n'a peut-être pas les sommets du précédent, il faut quand même saluer le regard que porte le cinéaste sur sa ville baignée d'une aura antique (cerclée par les flammes, parcourue de ruelles sombres où le crime fait loi), tandis que l'intrigue se fait un malin plaisir à contourner les tropes du genre.

Au centre, un jeune homme en cavale poursuivi par des flics ripoux, trouvant refuge auprès d'un ex-taulard en phase terminale de cancer et ex-associé du parrain de la Magliana (ce dernier étant le père du fameux fugitif).
Une dimension mythologique donc qui servira un jeu de piste proposant certes des moments de tension, mais à la rythmique beaucoup plus posée que prévue. Une manière d'épouser le caractère fatigué de Pierfrancesco Favino (à contre-emploi total avec son look de cancéreux mais vrai protagoniste d'Adagio), et d'offrir un arc de rédemption à ceux qui constituaient d'habitude les véritables pourris du cinéma de Sollima (là où les policiers comettent les vraies atrocités du métrage).

Un caractère que certains pourraient qualifier de binaire, mais qui à l'aune de la filmographie de son auteur propose une vision trouble sur les codes moraux contemporains (le policier impeccablement campé par Adriano Gannini ne fait que s'en prendre à des malfrats pour le bien de sa famille après tout). Regard délicieusement supporté par ces visions crépusculaires d'incendies menaçant Rome.

Et niveau mise en scène c'est toujours d'une sophistication à toute épreuve

7/10
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
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