Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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robinne
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weird

Pale a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:41

Alors qu'il va reprendre les rênes de la franchise Sans un bruit, Jeff Nichols[…]
Ah ouais ? :(
Je ne le voyais pas partir dans une « franchise » ; je suis un peu déçu.
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Pale
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robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:59
Pale a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:41

Alors qu'il va reprendre les rênes de la franchise Sans un bruit, Jeff Nichols[…]
Ah ouais ? :(
Je ne le voyais pas partir dans une « franchise » ; je suis un peu déçu.
On aurait pu dire la même chose de Irvin Kershner à l'époque de L'Empire contre-attaque :o :D

Et puis il s'agit surtout d'un spin-off, le réalisateur bénéficiera probablement d'une certaine liberté.
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robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:59
Je ne le voyais pas partir dans une « franchise » ; je suis un peu déçu.
A l'inverse je suis plutôt content quand on confie une franchise à un vrai metteur en scène plutôt qu'à un "yes men".
On s'est bien trop habitué à accepter ça.
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robinne
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weird

Pale a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:12
robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:59
Pale a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:41

Alors qu'il va reprendre les rênes de la franchise Sans un bruit, Jeff Nichols[…]
Ah ouais ? :(
Je ne le voyais pas partir dans une « franchise » ; je suis un peu déçu.
On aurait pu dire la même chose de Irvin Kershner à l'époque de L'Empire contre-attaque :o :D
Il avait fait quoi avant, tonton Irvin ?
Et puis il s'agit surtout d'un spin-off, le réalisateur bénéficiera probablement d'une certaine liberté.
Je pense effectivement qu’il sera libre, mais j’avoue être étonné. Mais bon, il faut bien manger :o
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robinne
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weird

Next a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:15
robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:59
Je ne le voyais pas partir dans une « franchise » ; je suis un peu déçu.
A l'inverse je suis plutôt content quand on confie une franchise à un vrai metteur en scène plutôt qu'à un "yes men".
On s'est bien trop habitué à accepter ça.
Ce n’est pas du gâchis de talent ? Quel « vrai metteur en scène » a marqué une franchise ? Mendes sur James Bond ?
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Pale
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robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:44
Next a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:15
robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:59
Je ne le voyais pas partir dans une « franchise » ; je suis un peu déçu.
A l'inverse je suis plutôt content quand on confie une franchise à un vrai metteur en scène plutôt qu'à un "yes men".
On s'est bien trop habitué à accepter ça.
Ce n’est pas du gâchis de talent ? Quel « vrai metteur en scène » a marqué une franchise ? Mendes sur James Bond ?
Après je trouve que l'environnement et la nature ont leur importance dans Sans un bruit ainsi que dans les films de Jeff Nichols.
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Pale
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robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:42
Il avait fait quoi avant, tonton Irvin ?
Rien de vraiment mémorable en vérité :D
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weird

Pale a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:59
robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:44
Next a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:15


A l'inverse je suis plutôt content quand on confie une franchise à un vrai metteur en scène plutôt qu'à un "yes men".
On s'est bien trop habitué à accepter ça.
Ce n’est pas du gâchis de talent ? Quel « vrai metteur en scène » a marqué une franchise ? Mendes sur James Bond ?
Après je trouve que l'environnement et la nature ont leur importance dans Sans un bruit ainsi que dans les films de Jeff Nichols.
T’inquiète, je lui laisse le bénéfice du doute ;)
Pale a écrit :
ven. 11 juin 2021 19:00
robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:42
Il avait fait quoi avant, tonton Irvin ?
Rien de vraiment mémorable en vérité :D
Qui se souviendra de Mud dans 40 ans ? :saint:
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robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 19:04
Qui se souviendra de Mud dans 40 ans ? :saint:
Déjà maintenant :D

Moi j'en ai un bon souvenir mais mon Nichols favori reste Loving.
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Vu :

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La dernière partie et quelques idées visuelles sauvent un peu les meubles mais pendant une grosse partie, c'est un véritable festival de scènes et d'acteurs moins crédibles les uns que les autres.
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Kit
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avec un peu de retard un bon 60ème anniversaire à Michael J. Fox
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60 ans déjà ! :o Beaucoup de mérite pour cet acteur qui se bat depuis 3 décennies contre la maladie :jap:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:44
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ven. 11 juin 2021 18:15
robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:59
Je ne le voyais pas partir dans une « franchise » ; je suis un peu déçu.
A l'inverse je suis plutôt content quand on confie une franchise à un vrai metteur en scène plutôt qu'à un "yes men".
On s'est bien trop habitué à accepter ça.
Ce n’est pas du gâchis de talent ? Quel « vrai metteur en scène » a marqué une franchise ? Mendes sur James Bond ?
Nolan, Burton, Raimi, Spielberg, Cameron... La liste est longue. :D

J'admire perso les metteurs en scène capables de composer sur différents genres et styles justement.

Et d'ailleurs j'espère que Chloé Zhao va réussir sur Eternals. Parce qu'au départ, c'est encore plus improbable que Jeff Nichols comme choix.
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robinne
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weird

Pale a écrit :
ven. 11 juin 2021 19:25
robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 19:04
Qui se souviendra de Mud dans 40 ans ? :saint:
Déjà maintenant :D
C pa fo :o
Moi j'en ai un bon souvenir mais mon Nichols favori reste Loving.
idem, très bon souvenir.
Je pense que mon favori est Take Shelter. Mais je n’en ai revu aucun, j’avoue.
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sam. 12 juin 2021 10:00
robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:44
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ven. 11 juin 2021 18:15


A l'inverse je suis plutôt content quand on confie une franchise à un vrai metteur en scène plutôt qu'à un "yes men".
On s'est bien trop habitué à accepter ça.
Ce n’est pas du gâchis de talent ? Quel « vrai metteur en scène » a marqué une franchise ? Mendes sur James Bond ?
Nolan, Burton, Raimi, Spielberg, Cameron... La liste est longue. :D
Effectivement pour Nolan : ce fut une « reprise » de franchise assez catégorique. Pour les autres : Je parlais de metteurs en scène qui n’avaient pas créé de franchise. Ou alors, je ne vois pas de quels films tu parles :??:
J'admire perso les metteurs en scène capables de composer sur différents genres et styles justement.

Et d'ailleurs j'espère que Chloé Zhao va réussir sur Eternals. Parce qu'au départ, c'est encore plus improbable que Jeff Nichols comme choix.
C pa fo bis
Je n’ai pas vu de film de Zhao encore, mais de prime abord, ça ne me semble pas être son univers.
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Wickaël
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Ce soir...

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:D
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:hello:

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The Pale Blue Eye : Harry Melling sera Edgar Allan Poe face à Christian Bale

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L'acteur de Harry Potter et Le Jeu de la Dame rejoint le projet qui tient tant à coeur à Scott Cooper (Crazy Heart, Hostiles).

D'après les informations du site américain Deadline, le réalisateur et acteur américain Scott Cooper s'apprête à réaliser son prochain film pour Netflix. Intitulé The Pale Blue Eye, il s'agit d'une adaptation du roman du même nom de l'écrivain Louis Bayard. Le rôle principal sera tenu par Harry Melling, plus connu pour son rôle de Dudley Dursley dans Harry Potter, qui a récemment joué dans plusieurs succès de la plateforme, tels que La Ballade de Buster Scruggs, Le Diable tout le temps et Le Jeu de la Dame. Il y jouera l'un des plus grands journalistes et écrivains du XIXème siècle, Edgar Allan Poe. Il fera équipe avec un détective, joué par Christian Bale, chargé de résoudre des meurtres ayant eu lieu à l'Académie militaire américaine de West Point, en 1830.

Ce projet, dans l'esprit de Cooper depuis plus de dix ans, marquera la troisième collaboration avec Bale, après les films Out of the Furnace et Hostiles. Bale en sera également le producteur, avec Cooper, ainsi que John Lesher et Tyler Thompson. Le studio de cinéma Cross Creek Pictures s'occupera du financement et de la production.

Courant 2021, on verra Harry Melling dans d'autres projets, comme The Tragedy of Macbeth de Joel Coen, dans lequel il jouera Malcolm, qui sera distribué en salles par A24 et sortira sur Apple TV ainsi que dans Please Baby Please d'Amanda Kramer, aux côtés d'Andrea Riseborough, Demi Moore et Karl Glusman.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... PI6t6hernw
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Wickaël
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Très bon film. Ambiance post-apocalyptique, bons acteurs, de la tension putain la scène d'intro je m'en suis toujours pas remis, j'étais persuadé qu'il arriverait à sauver son fils, et beaucoup d'émotions mine de rien le sacrifice du père :cry: , et puis le rythme était parfait, j'ai pas vu le temps passer et n'ai ressenti aucun ennui. Hâte de découvrir la suite !

8/10
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Vu au ciné en Belgique hier soir. Le film accuse quelques baisses de rythmes ici et là à cause d'une longueur un peu excessive mais j'ai adoré. Visuellement c'est sublime tandis que Emma Stone et Emma Thompson se livrent un duel absolument savoureux, les deux actrices sont exceptionnelles. Emma Thompson m'a beaucoup surpris. Tous les personnages qui gravitent autour de Cruella sont très bons aussi. Bref, ce fut un retour en salle (en Belgique) réussi.
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robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 18:44
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ven. 11 juin 2021 18:15
robinne a écrit :
ven. 11 juin 2021 17:59
Je ne le voyais pas partir dans une « franchise » ; je suis un peu déçu.
A l'inverse je suis plutôt content quand on confie une franchise à un vrai metteur en scène plutôt qu'à un "yes men".
On s'est bien trop habitué à accepter ça.
Ce n’est pas du gâchis de talent ? Quel « vrai metteur en scène » a marqué une franchise ? Mendes sur James Bond ?
Cuaron avec Harry Potter ?
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Vu la météo j'ai fait l'impasse sur le ciné au profit d'une magnifique randonnée. Mon programme ciné du week-end prochain :

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Sur Disney + :

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Eiffel : les coulisses infernales du scénario abandonné par Ridley Scott (et pas seulement)

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Eiffel sort enfin le 25 août prochain après un long parcours en coulisses pour le faire exister. La scénariste du film raconte l'envers du décor.

Le drame historique attendu de cet été est bien Eiffel, le nouveau film de Martin Bourboulon (Papa ou maman, Papa ou maman 2). L’histoire de la création du monument parisien aura le droit à un casting de choc composé de l’expérimenter Romain Duris et la comédienne talentueuse Emma Mackey (Maeve Wiley dans la série Sex Education)

À travers cette mise en contexte de la construction de l’édifice, Eiffel racontera également l’histoire d’amour entre Gustave Eiffel et son amour de jeunesse Adrienne Bourgès. Et bien que le projet soit enfin prévu dans les cinémas à partir du 25 août 2021, il a mis du temps à se mettre en place. Une histoire pleine de rebondissements que la scénariste du film, Caroline Bongrand, a dévoilé en grande partie dans son ouvrage Eiffel et moi.

Même si de nombreux longs-métrages depuis les débuts du cinéma ont eu des difficultés à se mettre en place, le cas du projet de Caroline Bongrand est symptomatique des montagnes russes dans le processus créatif d'un film. Dans plusieurs médias, Caroline Bongrand est revenue sur le parcours du projet en commençant par le point du départ du film entre 1997 et 1998. L’écrivaine et scénariste étudie à l’université de Californie du Sud et frappe à toutes les portes des producteurs, afin de pitcher certaines de ses histoires. La jeune étudiante se retrouve à bluffer chez l’un d’entre eux.

En effet, elle tente un coup de bluff monumental à un producteur américain en racontant que Gustave Eiffel a construit la tour Eiffel pour une femme qu’il aimait follement dont le prénom commençait par un A et que personne ne connait cette histoire. Le producteur tombe amoureux de ce récit et la production du film commence.

Même si l’histoire est fausse, Caroline Bongrand parvient à lancer son histoire, mais elle est stoppée rapidement à cause d’un conflit personnel entre son producteur et le réalisateur pressenti pour le faire. Malgré cette expérience quelque peu frustrante, Caroline Bongrand retourne à Paris et met par écrit son expérience hollywoodienne dans son ouvrage : Pitch.

Et alors qu’elle peut parfaitement croire qu’il est impossible de voir son film, un passage à la radio va relancer la machine. En effet, après l'émission, la scénariste reçoit l’appel de l’agent artistique d’Art Media Bertand de Labbey. Bongrand apprend que Gérard Depardieu veut interpréter le rôle principal et a pris l’initiative de demander à Isabelle Adjani d’incarner Adrienne Bourgès. Enfin, Luc Besson est touché par l’histoire et veut bien réaliser. Jusqu’ici tout va bien, mais Luc Besson veut signer le scénario de son nom, en écartant celui de Caroline Bongrand. Elle refuse et le film ne se fait donc pas.

Nouvelle déception et nouvelles péripéties puisqu’en 2013, une amie de Bongrand fait repartir le projet en le proposant au producteur Harvey Weinstein et ensuite à la femme de Ridley Scott : Giannina Facio. Si l’ancien patron de Miramax n'est pas plus tenté par l’histoire, Ridley Scott et sa femme sont partants. Sauf qu'en quelques minutes d'entretien, le projet est de nouveau en stand-by, Giannina Facio refusant de s'occuper d'un scénario ayant déjà eu un autre producteur.

Enfin, le miracle avec la rencontre de Vanessa van Zuylen. La productrice d’Un homme à la hauteur de Laurent Tirard est plus que motivée et assure à Bongrand que son film va être fait. Et c’est la bonne. En revanche, la réalisation de ce rêve, vingt-deux ans après les premières tentatives, a un prix. En effet, l’entente entre Caroline Bongrand et Martin Bourboulon n’est pas toujours au beau fixe.

Après plusieurs versions et corrections, le travail de Caroline Bongrand a été invisibilisé par le réalisateur et la production (Romain Duris ne semblait pas au courant que Caroline Bongrand était la scénariste du film lorsqu'il l'a rencontrée sur le tournage). Bien sûr, Bongrand n'a pas manqué d'exprimer sa joie de voir son rêve à l’écran, mais le traitement qu’elle a subi et que subit la majorité des scénaristes est extrêmement critiquable. En soi, elle ne sera ni la première, ni la dernière personne a essuyé les plâtres d'une industrie qui manque régulièrement de bienveillance à l'égard de ses collaborateurs.

Néanmoins, ces derniers mois, plusieurs scénaristes ont fait un retour sur les mésaventures dans le milieu du cinéma sur le compte Twitter Paroles des scénaristes. En attendant que les choses puissent changer pour les déconsidérer du cinéma, Eiffel de Martin Bourboulon sortira le 25 août 2021, l’occasion pour le public de voir un biopic français ambitieux.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1623661042
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Ewan McGregor sur le tournage de la série Obi-Wan Kenobi :

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Faut espérer que cela ne soit pas foireux :o Mais je me demande pourquoi avoir valider cette romance dans la bande annonce ? C'est totalement inventer pour le scénario d'une manière assez classique finalement Eiffel était veuf faut donc lui inventer une romance pour justifier pleins de trucs comme si les évènements dépendaient forcément quelque part d'une femme :lol: D'autre part faut rappeler que Eiffel pour l'exposition de 1889 à déjà 57 ans ils l'ont rajeuni quelque peu pour qu'il paraisse moins vieux au coté de l'actrice. :roll: Bref il y a du brodage qui n'est pas justifier pour vendre l'histoire de mon point de vue :o

On construit une tour on n'est pas la pour conter fleurette ! :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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EL a aimé Un homme en colère (3,5 étoiles) :

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Le 16 juin 2021, les salles obscures accueilleront une bourrinerie plus singulière qu'il n'y paraît. Stathamerie parmi les contenus de la carrière du comédien, véritable exercice de sobriété de la part de son réalisateur, relecture plus ambitieuse qu'on ne l'aurait cru d'un excellent film français... et si Un homme en colère était le plus bel effort commun de Jason Statham et Guy Ritchie ?

ONE MORE TIME, WITH FEELING


La dernière collaboration entre Jason Statham et Guy Ritchie, intitulée Revolver, avait des airs de mauvaise gueule de bois. Hallucination arty ivre d’elle-même, dont la vanité n’avait d’égal que le naufrage capillaire enduré par son comédien, cette explosion en vol avait scellé symboliquement les aspirations et limites des deux hommes. Presque deux décennies plus tard, le premier est devenu l’une des stars d’action en vue, mais sans cesse menacée d’anachronisme, quand le second aura incarné jusqu’à l’auto-parodie une certaine veine expérimentale du blockbuster des années 2010.

Ce sont donc deux artistes simultanément essorés et reconnus, puissants et toujours à la limite de la sortie de route (ou du coup de boule, c’est selon) qui se retrouvent pour réimaginer Le Convoyeur de Nicolas Boukhrief. Il y a quelques mois, on avait retrouvé le cinéaste assagi, usé et content de l’être avec The Gentlemen, où la frénésie de ses débuts laissait place à un ton plus amer et roué. Une mue qui se poursuit avec Un Homme en colère, où Ritchie abandonne tout à fait la bienveillance goguenarde de ses débuts pour narrer un récit de vengeance éclatée.

Au premier abord, on ne saurait dire si sa caméra s’est éteinte ou assagie. Les trips kaléidoscopiques ont disparu, la colorimétrie s’est tempérée, aucun opérateur ne cherche à agresser les personnages à coups de steadycam, et jamais le montage ne s’oublie à des effets démonstratifs, creux ou gratuits. Les accélérés cocaïnés ainsi que les expérimentations photographiques “audacieuses” ne sont plus non plus de la partie. Et pourtant, dès son ouverture, et plus encore durant un premier tiers chevillé au corps de Jason Statham, le réalisateur se rappelle à nous de la meilleure des manières.

GARANTI SANG ADDITIF

Pas parce qu’il aurait cédé aux sirènes d’un cinéma d’action post-John Wick qui manque parfois de style, ou tenté de faire du pied à une vibration nostalgique en quête d’icônes sur-virilisées, mais bien parce que de nouveau, sa grammaire n’existe que pour prendre le pouls de ses personnages. En l’occurrence, celui de H, colosse taiseux et convoyeur de fonds débutant, mû par le désir d’en découdre avec quiconque s’approchera de son véhicule. Épousant la rage froide qu’il anime, Ritchie opte pour des plans plus longs, dont les rares coquetteries ne sont jamais distillées au hasard et signifient, annoncent ou accompagnent un décrochement.

Par conséquent, la fausse langueur qui s’installe se mue rapidement en une menace sourde, qui correspond parfaitement au jeu de son interprète principal, jamais meilleur que quand il peut retenir les chiens. Le résultat est instantanément immersif. Pas une séquence ne détonne au sein d’Un homme en colère, dont la résolution d’airain imprègne chaque photogramme. Programmatique, appliqué, précis comme un bon coup de boule, le film étonne pourtant quand il choisit de couper presque complètement les ponts avec son modèle.

Loin de l’atmosphère poisseuse et surréaliste du film où officiait Albert Dupontel, il n’est pas ici question d’explorer les failles béantes d’un homme en quête de rédemption. Au contraire, H, ainsi qu’il se dévoile petit à petit, n’a rien d’une ablette désireuse de faire jeu égal avec les requins. Au fur et à mesure que la violence du film se fait plus sèche, amorale, et radicale, le protagoniste se révèle pour ce qu’il est : un super-prédateur, dont les motivations tendent à s’effacer derrière son désir primaire de répandre autour de lui un raz-de-marée de violence brute.

Plutôt que de jouer la pure adrénaline ou une forme d'euphorie dans la distribution de bourre-pifs, le métrage embrasse au contraire la gravité inhérente à Statham, sa dimension la plus intéressante, minérale. Ainsi, c'est bien notre empathie qui est en jeu. Comment la conserver à un être aussi monstrueux, déshumanisé que H ? Un type aussi manifestement supérieur au gibier qu'il traque ? Le film orchestre une fort belle réponse, qui nous amènera à questionner jusqu'au sens de son titre.

SUR LES ROTULES

Peut-être pour la première fois de sa carrière, Ritchie questionne ouvertement la question de la violence, mais aussi les conflits qui traversent ses personnages. Si la première demi-heure opère une très belle, progressive et inexorable montée en pression, la représentation de la brutalité évolue rapidement.

Après la première fusillade, une série de plans fixes, chirurgicaux, constate sans éclat les ravages cervicaux et autres mutilations balistiques, laissées par notre héros dans son sillage. La férocité occupe alors encore pleinement le cadre, tandis que cette irruption inattendue de mort plein cadre dénote après un jaillissement de plomb fondu franchement satisfaisant. Mais Un homme en colère n'entend pas seulement nous tartiner les rétines d'un divertissement paresseux qui draguerait mollement le nostalgique d'action burinée à la papa.

Quand le scénario opère un virage à 180°, pour éclairer ou dévoiler certains seconds couteaux qu’il gardait par-devers lui, Guy Ritchie déplace à la fois la colère et ses conséquences. Il ne sera finalement plus tant question de la quête d’un homme se rêvant sabre vengeur, mais bien de plusieurs, et de quelques rages s’entrechoquant.

Si Jason Statham, petit ours brun fraîchement diplômé de l’université d’équarrissage galloise, reprend in fine la main sur cette intrigue désespérée, le film prend le temps de faire exister une série d’ambitions ou de destins contrariés. Ils poussent inexorablement cette grosse pétoire filmique vers des rivages d’amertumes inattendus. Une orientation qui fait un temps passer la pilule d'un récit qui s'autorise parfois des coïncidences bien trop grosses pour son bon équilibre (à croire que le monde du braquage ultra-violent tient plus de la famille consanguine portée sur le vermouth que de la clandestinité criminelle).

Dès lors, on regrettera que l’épilogue ne tienne pas toutes ses promesses. Non seulement il ne tire jamais vraiment parti de l’atmosphère formidable distillée par le format 2.39 (le même que Ritchie utilisa pour narrer sa vision du mythe arthurien), mais il retombe sur des rails prévisibles, qui assèchent en partie le parcours émotionnel du spectateur comme du principal personnage. La faute à un antagoniste loin d’être en mesure de se frotter à une distribution accueillant les percutants Jeffrey Donovan, Holt McCallany, Josh Hartnett ou Andy Garcia.

Une conclusion en demi-teinte d'autant plus frustrante qu'elle vient une nouvelle fois confirmer que le cinéaste peut être son pire ennemi dès lors qu'il se regarde écrire ou s’abandonne complaisamment les rênes de sa narration.

Moins démonstratif qu'à l'accoutumée, Guy Ritchie se met totalement au service de son histoire et de son formidable interprète pour mettre en scène un récit à l'os, aride, tenu de bout en bout, en dépit de quelques trop grosses ficelles scénaristiques.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1623676594
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Sans un bruit 2 : le film d'horreur continue de faire grimper le box-office malgré la Covid

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Sans un bruit 2 de John Krasinski continue son bonhomme de chemin et caracole en tête du box-office sous Covid.

Le premier volet Sans un bruit avait fait sensation dans le monde de l’horreur. Grosse réussite pour son premier film en tant que réalisateur, John Krasinski récidive l’expérience avec Sans un bruit 2. Avec un énorme démarrage au box-office (compte tenu des circonstances pandémiques), la suite du film d’horreur quasiment silencieux lançait le retour du cinéma en salles.

Alors que le troisième film pourrait bien ne jamais avoir lieu à cause de la stratégie Paramount, le deuxième métrage continue de faire sauter le box-office malgré ces temps compliqués pour l’industrie. En effet, Sans un bruit 2 continue d’attirer les spectateurs et a fini par dépasser une étape symbolique au box-office américain.

Sans un bruit 2 lance le record à battre pour ce nouveau monde sous le joug de la pandémie. Le film porté par Emily Blunt a dépassé les 100 millions de dollars au box-office américain, ceci ajouté aux 80 millions de dollars récoltés à l’international. Il a fallu à peine quinze jours au quatrième film de Krasinski pour passer la barre symbolique des 100 millions. Si cela n’a rien d’extraordinaire en temps normal, il faut se rappeler que nous ne vivons pas des jours normaux.

À titre de comparaison, l’énorme blockbuster Godzilla vs. Kong qui en est à sa onzième semaine sur le sol américain n’a pas encore dépassé la barre des 100 millions de dollars. Bien évidemment, le film est sorti en salles et sur HBO Max simultanément, ce qui a dû en décourager plus d’un à se rendre au cinéma. Et sans grande surprise, malgré l'attente folle autour du combat de monstres, c'est finalement le métrage d’horreur qui prend largement la tête.

Comment expliquer un tel succès pour Sans un bruit 2 ? Peut-être, car il est le seul et premier gros film depuis des mois à ne sortir qu'en salles. Et comme il terminera sur Paramount+ au bout de 45 jours d’exploitation, le temps presse pour les spectateurs qui souhaitent le visionner sur un grand écran. De fait, il est possible que cette stratégie d'une période d'exploitation fixe uniquement en salles (et non simultanée avec une plateforme) est favorisée l'attrait du public.

Reste qu'avec cette politique, il sera difficile de rattraper les 340 millions de dollars de bénéfices de premier volet. Un sérieux manque à gagner pour le couple Krasinski-Blunt surtout que le budget de ce second opus est trois fois plus conséquent que le premier, passant de 17 millions à 61 millions de dollars.

Malgré tout, c’est un score très impressionnant pour Sans un bruit 2. En attendant de savoir quel sera le score du film dans l’Hexagone, vous pouvez toujours retrouver notre critique de Conjuring : Sous l'emprise du Diable qui s'est offert aussi un démarrage très correct sur le sol américain.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1623680888
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robinne
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ClintReborn a écrit :
lun. 14 juin 2021 16:34
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Faut espérer que cela ne soit pas foireux :o Mais je me demande pourquoi avoir valider cette romance dans la bande annonce ? C'est totalement inventer pour le scénario d'une manière assez classique finalement Eiffel était veuf faut donc lui inventer une romance pour justifier pleins de trucs comme si les évènements dépendaient forcément quelque part d'une femme :lol: D'autre part faut rappeler que Eiffel pour l'exposition de 1889 à déjà 57 ans ils l'ont rajeuni quelque peu pour qu'il paraisse moins vieux au coté de l'actrice. :roll: Bref il y a du brodage qui n'est pas justifier pour vendre l'histoire de mon point de vue :o

On construit une tour on n'est pas la pour conter fleurette ! :o
On aurait pu dire la même chose pour Titanic : « on coule un paquebot on n’est pas la pour conter fleurette ! » :p
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robinne a écrit :
lun. 14 juin 2021 18:43
ClintReborn a écrit :
lun. 14 juin 2021 16:34
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Faut espérer que cela ne soit pas foireux :o Mais je me demande pourquoi avoir valider cette romance dans la bande annonce ? C'est totalement inventer pour le scénario d'une manière assez classique finalement Eiffel était veuf faut donc lui inventer une romance pour justifier pleins de trucs comme si les évènements dépendaient forcément quelque part d'une femme :lol: D'autre part faut rappeler que Eiffel pour l'exposition de 1889 à déjà 57 ans ils l'ont rajeuni quelque peu pour qu'il paraisse moins vieux au coté de l'actrice. :roll: Bref il y a du brodage qui n'est pas justifier pour vendre l'histoire de mon point de vue :o

On construit une tour on n'est pas la pour conter fleurette ! :o
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Non mais la romance dans Titanic ne contredisait par le point de vue historique. Ici, ça semble être le cas. : saint:
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ClintReborn a écrit :
lun. 14 juin 2021 16:34
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Faut espérer que cela ne soit pas foireux :o Mais je me demande pourquoi avoir valider cette romance dans la bande annonce ? C'est totalement inventer pour le scénario d'une manière assez classique finalement Eiffel était veuf faut donc lui inventer une romance pour justifier pleins de trucs comme si les évènements dépendaient forcément quelque part d'une femme :lol: D'autre part faut rappeler que Eiffel pour l'exposition de 1889 à déjà 57 ans ils l'ont rajeuni quelque peu pour qu'il paraisse moins vieux au coté de l'actrice. :roll: Bref il y a du brodage qui n'est pas justifier pour vendre l'histoire de mon point de vue :o

On construit une tour on n'est pas la pour conter fleurette ! :o
Le film a à priori vocation à s'inspirer de l'une des légendes ou fable voulant que la forme en A soit née de la présence d'Adrienne dans sa vie. Et pas vraiment à une autobiographie réaliste.

J'avais écouté ça récemment :
https://www.francebleu.fr/infos/insolit ... 1618927187
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J'avais trouvé la saison 2 un peu en deçà de la première et un peu plus inégale mais cette troisième saison est clairement ma préférée. Cette dernière saison est un chef d’œuvre d'humour et d'inventivité et j'espère grandement qu'une saison 4 verra le jour même si la boucle est magnifiquement bouclée avec cette troisième saison.
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Top des séries vues en 2021 :

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1. Norsemen - Saison 3
2. Norsemen - Saison 1
3. Norsemen - Saison 2
4. Cobra Kai - Saison 2
5. Cobra Kai - Saison 1

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6. Cobra Kai - Saison 3
7. Invincible - Saison 1

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8. WandaVision - Saison 1

Petite descente de Invincible, je m'étais emballé suite aux 2 derniers épisodes qui sont dantesques mais qui ce qui précède est loin d'être aussi grandiose.
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Kahled a écrit :
lun. 14 juin 2021 19:08
robinne a écrit :
lun. 14 juin 2021 18:43
ClintReborn a écrit :
lun. 14 juin 2021 16:34


Faut espérer que cela ne soit pas foireux :o Mais je me demande pourquoi avoir valider cette romance dans la bande annonce ? C'est totalement inventer pour le scénario d'une manière assez classique finalement Eiffel était veuf faut donc lui inventer une romance pour justifier pleins de trucs comme si les évènements dépendaient forcément quelque part d'une femme :lol: D'autre part faut rappeler que Eiffel pour l'exposition de 1889 à déjà 57 ans ils l'ont rajeuni quelque peu pour qu'il paraisse moins vieux au coté de l'actrice. :roll: Bref il y a du brodage qui n'est pas justifier pour vendre l'histoire de mon point de vue :o

On construit une tour on n'est pas la pour conter fleurette ! :o
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Non mais la romance dans Titanic ne contredisait par le point de vue historique. Ici, ça semble être le cas. :saint:
Ok. C’était p’têt pas le bon exemple :saint:
Mais bon, c’est une fiction, pas un documentaire :p
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Next a écrit :
lun. 14 juin 2021 19:16

Le film a à priori vocation à s'inspirer de l'une des légendes ou fable voulant que la forme en A soit née de la présence d'Adrienne dans sa vie. Et pas vraiment à une autobiographie réaliste.

Il parait qu'eiffel était même boxeur ! :D
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit :
lun. 14 juin 2021 20:24
Next a écrit :
lun. 14 juin 2021 19:16

Le film a à priori vocation à s'inspirer de l'une des légendes ou fable voulant que la forme en A soit née de la présence d'Adrienne dans sa vie. Et pas vraiment à une autobiographie réaliste.

Il parait qu'eiffel était même boxeur ! :D
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On en apprend tous les jours avec le cinéma :bounce:
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robinne a écrit :
lun. 14 juin 2021 20:02
Non mais la romance dans Titanic ne contredisait par le point de vue historique. Ici, ça semble être le cas.
Il y a aussi des erreurs historiques dans Titanic :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Bullet Train : une date de sortie pour le film d'action du réalisateur de Deadpool 2 avec Brad Pitt

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Après Deadpool 2 et Fast & Furious : Hobbs & Shaw, David Leitch va réaliser un autre film d'action, Bullet Train, avec Brad Pitt et plein de gros noms au casting.

Après les sorties de Once Upon a Time... in Hollywood et Ad Astra en 2019, Brad Pitt a annoncé qu'il fréquenterait de moins en moins les plateaux de tournage, pour se consacrer davantage à sa carrière de producteur et s'octroyer du temps pour ses autres passions, notamment la sculpture et l'aménagement paysager (parce que même ses hobbies sont stylés). Une mise en retrait qu'on pouvait déjà soupçonner avec un précédent film en 2017, War Machine de David Michôd, et avant ça Alliés de Robert Zemeckis en 2016.

Pour valider son statut de pire année de l'Histoire de l'industrie, Brad Pitt n'est donc apparu dans aucun film en 2020 et n'apparaîtra pas une seule fois à l'affiche en 2021. Il faudra donc attendre 2022 pour retrouver l'icône hollywoodienne sur grand écran avec Bullet Train, le prochain film d'action de Sony et David Leitch, responsable de Deadpool 2, Fast & Furious : Hobbs & Shaw et Atomic Blonde.

Pour son retour en force, Brad Pitt prendra la tête d'un groupe d'assassins à bord d'un train à Tokyo, pour une histoire basée sur le roman japonais Maria Beetle de Kotaro Isaka, dans la veine de Speed et Non-Stop. Sony a donc récemment annoncé que Bullet Train entrera en gare le 8 avril 2022 aux États-Unis, c'est-à-dire le même jour que Sonic, le film 2 et The Northman de Robert Eggers, deux propositions très différentes qui ne ciblent pas le même public et devraient ainsi exister indépendamment des autres.

Pour l'occasion, Brad Pitt sera accompagné d'une distribution de malade : Zazie Beetz, Aaron Taylor-Johnson (aussi casté pour jouer Kraven dans le Spider-Verse de Sony), Sandra Bullock (qui est déjà passé par Speed), Hiroyuki Sanada (qu'on espère mieux exploité que dans Mortal Kombat et Army of the Dead), Michael Shannon, Logan Lerman, Brian Tyree Henry (prochainement dans Les Éternels), Joey King ou encore Masi Oka, qui peut espérer remonter la pente après ses rôles dans les films En eaux troubles et Death Note. On pourra également retrouver Brad Pitt et Sandra Bullock dans The Lost City of D de en 2022.

En attendant d'avoir de premiers aperçus du film et de son casting 4 étoiles, notre critique d'Ad Astra est toujours là.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1623745469
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Greenland 2 : Gerard Butler de retour dans une suite post-apocalyptique du film catastrophe

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Le film catastrophe Greenland, le Dernier Refuge va avoir droit à une suite en mode post-apocalypse, avec le retour de Gerard Butler et Morena Baccarin en tête d'affiche.

Après La Chute du Président, Gerard Butler se prépare à ramasser une autre gamelle avec Night Has Fallen, une nouvelle suite de la franchise entrée en développement l'année dernière (qui s'appellera donc La Chute de [quelque chose, peut-être du monde], en français). Si le film a encore une chance d'être abandonné en cours de route, le réalisateur Ric Roman Waugh est cependant assuré de retrouver l'acteur qui a fait son trou du côté des séries B d'action décérébrées dans Kandahar, dans lequel Butler incarnera sans surprise un agent de la CIA qui veut sauver ses fesses et canarder du méchant.

Mais en plus des films de gros bras et gros calibres, Butler est en train de creuser un autre filon, celui des films catastrophes, même si le nanardesque et très coûteux Geostorm n'a pas été un essai très convainquant (on revient sur l'étendue des dégâts). Malgré sa formule convenue, une exploitation en salles fauchée par la pandémie et un repli forcé sur HBO Max, Greenland, le Dernier Refuge a au contraire été une petite surprise pour sa démonstration presque anti-spectaculaire de la fin du monde, avec une échelle réduite à taille humaine et un Gerard Butler sur la réserve, qui joue un gars lambda voulant "simplement" sauver sa famille, sans essayer de décalquer le démesuré 2012 de Roland Emmerich.

Malgré ses recettes décevantes, la famille Garrity a pourtant prévu de refaire un saut sur le grand (ou le petit) écran avec une suite intitulée Greenland: Migration, toujours réalisée par Ric Roman Waugh et écrite par Chris Sparling. Le film reprendra après la quasi extinction de l'Humanité, au moment où les personnages vont devoir quitter leur bunker pour se lancer dans un long voyage à travers une Europe dévastée et recouverte de glace afin de trouver un nouveau foyer. En plus de Gerard Butler, le public pourra également retrouver Morena Baccarin et Roger Dale Floyd qui incarne leur fils.

Après le film catastrophe, l'acteur va donc expérimenter à nouveau le genre post-apocalyptique, dans un registre très différent du Règne du feu, et probablement le survival, là aussi d'une autre façon que dans le film Prisonniers du temps. Si le budget du premier film était dans l'ordre des 35 millions de dollars, il se pourrait que le second volet demande de mettre un peu plus d'argent sur la table, ne serait-ce que pour les décors qui vont nécessiter un ravalement de façade façon Le Jour d'après. On peut également se demander si cette suite est destinée à sortir au cinéma ou directement en streaming.

Le film n'a pas encore de date, mais le tournage devrait commencer en 2022, pour une sortie à compter de 2023. Avant ça, l'acteur retrouvera son gilet pare-balles dans Cop Shop réalisé par Joe Carnahan, aux côtés de Frank Grillo. En attendant, notre critique du premier Greenland est toujours ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1623738310
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robinne
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Pale a écrit :
mar. 15 juin 2021 17:53
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Giamatti est dans le sac, en petits morceaux ? :saint: :lol:
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robinne a écrit :
mar. 15 juin 2021 18:01
Giamatti est dans le sac, en petits morceaux ? :saint: :lol:
Possible :D
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robinne a écrit :
mar. 15 juin 2021 18:01
Pale a écrit :
mar. 15 juin 2021 17:53
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Giamatti est dans le sac, en petits morceaux ? :saint: :lol:
Tu le reconnais pas avec sa perruque ? :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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