Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Wickaël
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Pale a écrit :
lun. 8 avr. 2024 20:52
Ce genre d'explication rappelle l'époque des profils sur Allo :D
La meilleure époque :love2:
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Pale
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25 ans, je me souviens de la séance comme si c'était hier :hehe:
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 9 avr. 2024 08:13
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Il faudrait que les graphistes reprennent des cours de Photoshop :sweat:
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25 ans, je me souviens de la séance comme si c'était hier :hehe:
Punaise, 25 ans :sweat: :D
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ClintReborn
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Pale a écrit :
mar. 9 avr. 2024 08:13
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25 ans, je me souviens de la séance comme si c'était hier :hehe:
C'était hier ! :o :D Mais tu te souviens surement moins bien de ta séance du kid de Chaplin en 1921 ? :o :D :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Kit
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ClintReborn a écrit :
mar. 9 avr. 2024 11:30
Pale a écrit :
mar. 9 avr. 2024 08:13
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25 ans, je me souviens de la séance comme si c'était hier :hehe:
C'était hier ! :o :D Mais tu te souviens surement moins bien de ta séance du kid de Chaplin en 1921 ? :o :D :lol:
mais tu n'es pas encore momifié toi ? :D
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ClintReborn
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Kit a écrit :
mar. 9 avr. 2024 11:42
ClintReborn a écrit :
mar. 9 avr. 2024 11:30
Pale a écrit :
mar. 9 avr. 2024 08:13
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25 ans, je me souviens de la séance comme si c'était hier :hehe:
C'était hier ! :o :D Mais tu te souviens surement moins bien de ta séance du kid de Chaplin en 1921 ? :o :D :lol:
mais tu n'es pas encore momifié toi ? :D
Bah non j'ai vu la momie de 1932 j'ai gardé les bandelettes au placard :o :D :lol:

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit :
mar. 9 avr. 2024 11:30
C'était hier ! :o :D Mais tu te souviens surement moins bien de ta séance du kid de Chaplin en 1921 ? :o :D :lol:
J'avoue que je n'en ai plus beaucoup de souvenirs :D
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Cette bande-annonce m'a grave hypé :hot:
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Je me demande si ce sera mieux ou pire que l'original.
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Wickaël
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Pale a écrit :
mar. 9 avr. 2024 18:40


Cette bande-annonce m'a grave hypé :hot:
Pareil. J'adore les films avec des requins :D
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Pale
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Une bonne critique de Arcadian sur Collider (8/10) :

Pros

- Nicolas Cage gives a performance that is more understated at times, making the moment where he lets loose in the end all the more earned.
- The character relationships, while confined to only a couple of days, give the eventual chaos of the conclusion real stakes.
- The monsters are creepy both when we don't see them and when we get plenty of good looks at them.

Cons

- The film does hold back a little bit when it comes to gore.


https://collider.com/arcadian-review-nicolas-cage/
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Wickaël
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VOST


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Wickaël a écrit :
mer. 10 avr. 2024 07:59
VOST


VF
Good :D

J'adore :hot: :hot: :hot:
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Il y a tant de potentielles images de profil. Entre Maxine et Harley Quinn mon cœur balance :D
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Wickaël
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Même si l'intérêt d'une suite m'échappe encore tellement le premier se suffisait à lui-même, je dois reconnaître que j'ai quand même envie de voir cette sequel.

Je vais d'ailleurs probablement revoir le premier incessamment sous peu :D
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Wickaël
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Pale a écrit :
mer. 10 avr. 2024 08:38
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Il y a tant de potentielles images de profil. Entre Maxine et Harley Quinn mon cœur balance :D
J'aime beaucoup la première.
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Wickaël a écrit :
mer. 10 avr. 2024 08:47
J'aime beaucoup la première.
Idem ainsi que la dernière.
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Des affiches internationales de La Malédiction :

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Wickaël
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J'ai profité de ma journée d'hier pour (enfin) découvrir les parties 2 & 3 du Parrain.

La seconde est vraiment un chef d'œuvre où Pacino bouffe littéralement l'écran, et De Niro n'est pas en reste non plus dans le rôle du jeune Vito.

Pour la troisième, même si c'est celle que je préfère le moins ça reste quand même un beau morceau de cinéma. Je précise que j'ai vu la version 2020.

Mais mon préféré de la trilogie reste et restera le premier volet :love2:
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Miamsolo
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Pale a écrit :
lun. 8 avr. 2024 16:29
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On dirait un mash up Planète des Singes / Mad Max :D
+ de 4400 jours sur AlloCiné
*Mister gentil comme un coeur 2013*
*Mister gentil comme un coeur 2014*
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Miamsolo
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Pale a écrit :
mar. 9 avr. 2024 18:40


Cette bande-annonce m'a grave hypé :hot:
Héhéhé :ninja:
+ de 4400 jours sur AlloCiné
*Mister gentil comme un coeur 2013*
*Mister gentil comme un coeur 2014*
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Anya Taylor-Joy et Chris Hemsworth étaient au CinemaCon de Las Vegas pour la promotion de Furiosa :

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Miamsolo a écrit :
mer. 10 avr. 2024 16:28
Pale a écrit :
lun. 8 avr. 2024 16:29
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On dirait un mash up Planète des Singes / Mad Max :D
Pas faux :D
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Wickaël
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Bon bah du coup ce soir ce sera

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:D
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Voici beaucoup d'affiches :

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Kit
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sad

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son dernier rôle RIP Louis, en retirant son chapeau son personnage tire sa révérence
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Kit a écrit :
mer. 10 avr. 2024 19:56
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son dernier rôle RIP Louis, en retirant son chapeau son personnage tire sa révérence
En effet :(
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Vu :

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Je découvre seulement ce L'Exorciste 3. Je craignais un peu le pire au début mais au final c'est très bon. On est davantage dans le thriller surnaturel mais doté d'une ambiance horrifique qui fait parfois son effet. Certaines scènes sont assez terrifiantes et l'ambiance sonore/musicale est ouf. J'avais été impressionné par la prestation de Don Johnson il y a quelques jours dans L'Avocat du diable, ici c'est celle de Brad Dourif qui m'a pas mal impressionné dans le rôle bien évidemment d'un gros psychopathe.

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Pas grand chose à dire si ce n'est que c'est un bon petit classique de Disney :D
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La bande-annonce en VF est plus courte et différente. Bon ça a quand même l'air un peu pourri dans tous les cas :D
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Je ne suis pas un fan du film original mais cette version a l'air pire :D Ce qui provoque en partie le malaise dans la version originale, c'est le fait que les acteurs sont inconnus. Ici les acteurs semblent manquer de crédibilité et on va encore se taper un bon gros cabotinage de James McAvoy. Et Universal ne se prive plus de tout raconter dans leurs bandes-annonces.

À noter malgré tout que c'est par le réalisateur de Eden Lake.
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John Wick : une bande-annonce énervée pour Ballerina avec une Ana de Armas qui casse tout

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Ballerina, le spin-off de John Wick avec Ana de Armas et Keanu Reeves, a dévoilé sa première bande-annonce qui défonce tout.

Tandis que Warner Bros a dévoilé la bande-annonce de Mickey17 lors de sa conférence à la CinemaCon ainsi qu'un trailer de Trap, le film d'horreur de M. Night Shyamalan, d'autres grands studios ont continué sur la même lancée en proposant à leur tour leurs différentes bandes-annonces. Dans la nuit du 10 au 11 avril, c'était au tour de Lionsgate Films de présenter quelques images de leur prochain gros film de baston, Ballerina, le spin-off de John Wick avec Ana de Armas.

Alors qu'on avait appris que Ballerina n'était pas assez bon pour sortir comme prévu, il semblerait que le film a bien remonté la pente, sa bande-annonce ayant fait sensation lors de sa diffusion à la CinemaCon. On va donc bientôt retrouver l'univers John Wick au cinéma grâce à ce nouvel opus réalisé par Len Wiseman. Toutefois, la bande-annonce n'étant pas encore disponible publiquement, on va devoir se contenter des descriptions des journalistes présents à la conférence.

Selon Slashfilm et Screenrant (qui semblent d'ailleurs très enthousiastes), on retrouverait dans les premières images une Ana de Armas très tatouée, assise dans une pièce et regardant une ballerine tourner, avant d'aller s'entrainer à se battre et à tirer. L'hôtel Continental est également de retour dans toute sa splendeur, et on aurait droit, en vrac, à des fractures d'os, des lance-flammes et une poursuite en voiture dans la nuit où Ana de Armas se tient debout dans un camion blindé, tandis qu'un autre véhicule se rapproche.

Toujours selon Slashfilm, Ballerina se déroulera entre les évènements des troisième et quatrième films de la saga, et l'histoire sera assez similaire à celle du premier John Wick : en gros, on parle de vengeance. Informations supplémentaires, la bande-annonce nous laisserait entrevoir rapidement Norman Reedus, et pas mal de séquences de combat à l'épée selon DiscussingFilm. Pour terminer, le trailer se clôturerait sur la promesse du duo Keanu Reeves-Ana de Armas, et ça, c'est cool.

Avec ces nouvelles images et les avis des différents médias, on peut imaginer que Ballerina sera passionnant et jouissif à voir. On a à présent plus qu'une envie : pouvoir regarder cette bande-annonce, puis évidemment le film, dont la sortie est prévue chez nous pour le 4 juin 2025. Préparez-vous, ça va saigner.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... OJW0EP8_jR
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Mickey 17 : Robert Pattinson meurt encore et encore dans la bande-annonce du film de science-fiction

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Mickey 17, de l’oscarisé Bong Joon-ho avec Robert Pattinson, s’est dévoilé dans une bande-annonce hallucinante

Bong Joon-ho avait la lourde tâche de passer après un film, Parasite, qui l’avait récompensé de toutes les manières possibles. Apparemment, même cette barre n’est pas trop haute pour le Sud-Coréen. Le cinéaste s’est donc attaqué à l’adaptation de Mickey7, roman de science-fiction d’Edward Ashton qui raconte le parcours de l'employé "jetable" d’une expédition partie à la conquête d’une planète de glace : Nilfheim. Le film, très attendu à travers le monde, avait été repoussé à janvier 2025, mais on a enfin eu de ses nouvelles.

En ce moment se déroule la CinemaCon, et la Warner en profite pour envoyer l’artillerie lourde : après une bande-annonce haute en couleur pour Joker 2, mais aussi une pour le film d’horreur Trap de Shyamalan, c’est Mickey 17 qui s’est dévoilé un peu plus en images. Si celles-ci ne sont pas disponibles en ligne, les chanceux présents ont pu les découvrir. Pour l’instant, on va donc devoir se contenter des descriptions des journalistes sur place. Pour son troisième film américain après Snowpiercer et Okja, le metteur en scène nous présente un Pattison qui ne sait pas s’arrêter de mourir.

Un journaliste de DiscussingFilm rapporte que Bong Joon-ho décrit le film comme "l’histoire d’un homme simple qui va finir par sauver le monde". Robert Pattinson incarne cet homme ordinaire portant le nom de Mickey, qui signe pour devenir un consommable, un employé devant s’attendre à mourir en effectuant des tâches difficiles sur des planètes lointaines. À chaque mort, un nouveau clone est créé puis repart en mission. Tout se passe bien jusqu’à ce que deux clones soient créés en même temps, Mickey 17 et Mickey 18.

Bong Joon-oh justifie enfin la différence de titre entre le livre et le film, en expliquant qu’il tue tout simplement plus de fois Mickey dans son long-métrage que dans le roman. La bande-annonce explore le cycle de vie et de mort de Mickey, montrant les manières dont il trépasse. À un moment, il joue même sa vie sur une partie de chifoumi avec le personnage de Berto, campé par Steven Yeun. Selon ScreenRant, la bande-annonce devient de plus en plus trippante quand Mickey commence à voir différentes versions de lui-même. Une sorte de kaléidoscope d’identité et de clones se met alors en place.

La bande-annonce est narrée par Pattinson, et les différentes sources s’accordent pour dire que sa façon de parler est étrange. Au fur et à mesure, divers personnages secondaires sont introduits. Celui de Steven Yeun, donc, mais aussi celui de Mark Ruffalo, qui incarne une sorte de dictateur fou et qui est marié à une première dame aussi dérangée jouée par Toni Collette. Le personnage de Ruffalo est déterminé à se débarrasser des deux Mickey, car la politique interne exige que tous les clones en double soient éradiqués et que le contrat de la personne soit résilié (comprendre une mort définitive).

Autant dire qu’avec ce casting et des retours prometteurs, on a hâte de découvrir le nouveau trip de Bong Joon-ho. Son report au 29 janvier 2025 n’en devient que plus douloureux. Pour décrire le ressenti sur place, citons le journaliste de SlashFilm, qui après avoir vu la bande-annonce a écrit : "B**del, ça a l’air dingue. Les mots me manquent". Vivement janvier.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... g3Xvc6g6kQ
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Trap : la bande-annonce du film d'horreur de Shyamalan promet un énorme twist avec son serial killer

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La bande-annonce de Trap de M. Night Shyamalan promet un film d’horreur plein de tension et aux nombreux twists.

Warner a envoyé le paquet à la CinemaCon. Alors que le studio a dévoilé la bande-annonce haute en couleur de Joker : Folie à Deux, un de ses gros événements de 2024, il s'est empressé d'en montrer plus sur de nombreux projets. Parmi eux, on a eu des nouvelles du prochain M. Night Shyamalan, et le réalisateur, qui avait livré une bonne surprise avec Knock at the Cabin, pourrait bien continuer sur sa belle lancée.

Pour beaucoup, il y a le bon Shyamalan et le mauvais Shyamalan, et très honnêtement, il est souvent difficile de savoir quelle version du réalisateur sera aux commandes de son prochain film. Toutefois, les veinards présents à la CinemaCon ont eu la chance de découvrir les premières images de son nouveau film, Trap, mené par Josh Hartnett et il se pourrait bien qu'il fasse partie des grands crus du cinéaste. Si pour l’instant on va devoir se contenter des descriptions des journalistes sur place, une chose est sûre : la bande-annonce de Trap semble prometteuse. ATTENTION SPOILERS !

Pour l’instant, le seul pitch officiel du film disponible est celui-ci : "Un père et sa fille assistent à un concert pop, où ils réalisent qu’ils sont au centre d’un évènement sombre et sinistre". Selon ScreenRant et DiscussingFilm, qui ont pu observer cette bande-annonce, Josh Hartnett joue ce père qui emmène sa fille voir une chanteuse du nom de Lady Raven, au premier rang. Dans la bande-annonce, le personnage du père s’absente pour aller aux toilettes. En chemin, il remarque alors qu'énormément de policiers attendent à l’extérieur du stade où le concert a lieu.

Intrigué, il demande à un employé ce qu'il se passe et celui-ci lui dévoile la véritable raison de ce concert : un tueur surnommé "The Butcher" (Le Boucher en français), connu pour kidnapper et découper les fans venant à des concerts, serait présent dans la salle ce soir. Le concert serait un piège pour l’attraper et l’emmener devant la justice.

À partir de ce moment-là, le montage de la bande-annonce s’accélère, montrant des images de plus en plus horrifiques, dont une d'Hartnett regardant une vidéo de quelqu’un piégé dans un sous-sol sur son téléphone. La bande-annonce se finit alors sur un twist majeur, attention, spoilers : apparemment, Hartnett serait le tueur recherché. Le trailer termine en effet avec son personnage faisant un sourire sinistre à la caméra.

Selon Slashfilm, Shyamalan, présent sur place, aurait eu l’idée pour Trap en pensant à sa fille, Ishana. Celle-ci est réalisatrice et sortira bientôt son premier film Les Guetteurs, mais elle est également musicienne. Shyamalan en est alors venu à valoriser l’expérience immersive des concerts. En prenant ces deux aspects et en les additionnant, l’idée du film est née. Trap est prévu pour le 7 août 2024 au cinéma en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... nvMEN63R8o
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EL n'a pas trop aimé S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace (2 étoiles) :

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En 2021, S.O.S. Fantômes : l’Héritage faisait office de vrai S.O.S. Fantômes 3 en ramenant les héros des premiers films cultes aux côtés des nouveaux Ghosbusters. En 2024, S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace continue sur la lancée en tant que S.O.S. Fantômes 4. Retour à New York pour chasser du fantôme en famille, avec les nouveaux personnages (Paul Rudd, Carrie Coon, Mckenna Grace, Finn Wolfhard) et les anciens (Bill Murray, Dan Aykroyd, Ernie Hudson, Annie Potts). Et tant pis si on perd le peu de charme du précédent film pour foncer dans le mauvais blockbuster sans âme.

S.O.S. FANTAUMÔNE


La fin de S.O.S. Fantômes : l’Héritage était un avertissement. Après avoir lâché les fantômes dans les champs de l'Oklahoma le temps d'une parenthèse bucolique, tout le monde revenait à New York et la fameuse caserne des Ghosbusters. Fini de plaisanter et faire croire que la saga allait oser se réinventer ailleurs, avec de nouveaux personnages. S.O.S. Fantômes, c'est à New York, avec Bill Murray, Dan Aykroyd et Ernie Hudson. Et puisque Harold Ramis est mort en 2014, c'est aussi avec les descendants de son personnage Egon Spengler : sa fille Callie (Carrie Coon) et ses petits-enfants Phoebe (Mckenna Grace) et Trevor (Finn Wolfhard).

C'est le symptôme des legacyquels, ces suites dédiées à la nostalgie qui ressemblent plus à des histoires de royalties qu'à des histoires tout court (Jurassic World, Star Wars, Terminator, Scream, Halloween...). Après une introduction charmante, S.O.S. Fantômes : l’Héritage avait donc foncé tête baissée dans cette formule, ramenant le grand méchant Gozer du premier film, ainsi que tous les héros originaux – même Egon, présent en tant que fantôme. La dynastie Ghostbusters était là même derrière la caméra puisque le film était réalisé par Jason Reitman, fils d'Ivan Reitman, metteur en scène des deux premiers S.O.S. Fantômes.

Sans surprise, S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace continue sur cette lancée. Passé la "surprise" de leur retour "inattendu", les Ghostbusters d'hier font désormais partie du décor, quelque part entre les meubles d'époque et les figurants de luxe. La Spengler family s'est installée dans la caserne, et chasse des fantômes. Tout le monde doit affronter un gros fantôme, qui prend ici la forme d'un Mister Freeze croisé avec un méchant du DCEU. Et le résultat est certainement l'un des pires S.O.S. Fantômes, qui prouve que la saga n'a vraiment absolument plus rien à raconter.

"SA PLACE EST DANS UN MUSÉE !"

Que faire quand vous avez déjà quatre personnages principaux accompagnés par deux seconds couteaux (Podcast et Lucky, encore plus inutiles que dans S.O.S. Fantômes : l’Héritage), et que vous devez en plus donner l'illusion que les quatre Ghostbusters originaux servent à quelque chose ? Vous rajoutez de nouveaux personnages, histoire de vraiment empirer la situation de cet empire de glace. Et c'est encore mieux s'ils sont finalement les clés de l'intrigue. Comme ça, vous êtes à peu près sûr de ne pas avoir eu le temps de les caractériser, et que tout le monde s'en foutra (mention spéciale à Kumail Nanjiani, qui joue un clown héroïque encore plus insupportable que son clown super-héroïque des Éternels).

S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace réussit un bel exploit de type triple salto arrière avec sa gestion calamiteuse des personnages. La petite tendresse autour de la nouvelle génération du précédent film s'évapore dans cette suite bien grasse où tout le monde assume un rôle bien déterminé, et s'agite sans avoir le temps de respirer et exister. Mckenna Grace a l'honneur d'avoir quelques pages de dialogues, quand Dan Aykroyd et Ernie Hudson ont droit à plusieurs répliques qui permettent de vaguement évoquer le destin contrarié de ces anciens héros.

Tous les autres devront se contenter de trois miettes, avec au mieux des arcs réduits à peau de chagrin (le personnage de Finn Wolfhard veut conduire l'Ecto-1, il le fera au moment de générique de fin, et voilà), et au pire une présence qui ressemble à une faveur (pauvre Annie Potts).

Dans un monde où ces films sont de simples supports pour pérenniser les licences et remplir les poches de ceux qui possèdent les droits, les personnages ne sont plus que des accessoires, placés dans le décor au même titre qu'un logo ou un costume. Le retour inutile des bestioles CGI (Bouffe-tout et les mini Marshmallows) vaut autant que celui de Walter Peck, personnage du premier S.O.S. Fantômes devenu maire et qui reprend l'éternel rôle du monsieur-autorités s'opposant aux Ghostbusters.

S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace n'est plus un film, mais une attraction interactive, pensée comme une succession de saynètes-hommages. Un petit tour au grenier pour le Bouffe-tout, un passage par la chambre pour la parade des mini Marshmallows, un retour à la bibliothèque pour refaire la scène du premier film, le tout autour d'une intrigue qui tourne littéralement autour de la poubelle des Ghostbusters. On n'aurait pu rêver mieux comme image.

LA PEINE DES NEIGES

S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace a aussi eu la bonne idée de récupérer l'une des pires choses du S.O.S. Fantômes de 2016 : les tics de blockbusters et la débauche d'effets visuels. Avec un budget supérieur au précédent (100 millions, contre 75 pour L'héritage), la suite suit le cahier des charges : une plage avec une grande roue où des figurants hurlent en regardant l'horizon, des rues où des figurants lèvent les yeux vers le ciel en ayant très peur et des plans larges de New York congelée, tout ça autour de l'inévitable portail magique dans les nuages. On est à deux doigts du stock-shot à ce stade.

Mais le problème vient d'abord de ce fameux Frozen Empire. Grâce à son grand méchant CGI absolument inintéressant et digne d'Aquaman 2, cette apocalypse ressemble finalement plus à Geostorm qu'au Jour d'après. Le chaos commence véritablement dans les vingt dernières minutes, et la menace n'est jamais tangible malgré la montagne de CGI (tout le monde disparaît des rues et personne ne semble avoir été congelé à la fin). Quant à Garraka, sa puissance n'est tellement pas assumée entre la scène d'intro et le climax qu'il reste un vilain générique parmi 150 autres. Même le retour de Gozer dans S.O.S. Fantômes : l’Héritage semblait plus imaginatif que ce démon à deux balles.

Ce n'est pas la mise en scène de Gil Kenan qui sauvera quoi que ce soit puisque le réalisateur de Monster House (ou plutôt du remake de Poltergeist dans ce cas) fait pâle figure comparé à Jason Reitman – c'est dire la pauvreté puisque S.O.S. Fantômes : l’Héritage restait dans les clous, malgré quelques jolies idées visuelles.

Après une première course-poursuite relativement inventive pour ouvrir les festivités, S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace devient un interminable tunnel de scènes bavardes dans des décors inintéressants (la caserne, le labo, des appartements). Les quelques idées amusantes, comme le fantôme qui possède les objets, sont évacuées en cours de route, tout comme les pseudo twists réglés en quatrième vitesse. La menace est réglée en deux temps trois mouvements par des personnages aussi attachants que les Proton Packs, et tout rentre dans l'ordre pour laisser place au thème musical de Ray Parker, Jr et au logo culte. Tout est bien qui finit bien, mais le S.O.S. devient de plus en plus lourd de sens.

On reprend le pire et on recommence. Le peu de charme qu'il y avait dans S.O.S. Fantômes : l’Héritage s'est envolé dans S.O.S. Fantômes : La Menace de Glace, qui troque la tendresse nostalgique pour le spectacle bas du front. Et interminable. Et absolument dispensable.


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EL a modérément apprécié La malédiction : l'origine (3 étoiles) :

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Ce 10 avril, une énième franchise est exhumée par un studio américain, en l'occurrence Phantom Four, la compagnie de David S. Goyer, avec la complicité de la Fox. Près de 20 ans après un remake qui avait plutôt bien marché, il ne manquait plus à La Malédiction de Richard Donner qu'un prequel. C'est chose faite grâce au sixième volet (oui !) de la saga, La malédiction : l'origine de Arkasha Stevenson, avec Nell Tiger Free. Et le moins qu'on puisse dire, c'est qu'il arrive à point nommé...

ATTENTION, SPOILERS !

THE SECOND OMEN


Il y a des coïncidences qui n'en sont pas vraiment. Le cas de La malédiction : l'origine pourrait bien rentrer dans les annales hollywoodiennes, qu'importe son succès au box-office ou auprès de la critique (par ailleurs déjà assuré). Le film raconte les mésaventures de Margaret Daino, une jeune novice venue à Rome des États-Unis afin d'intégrer une communauté de soeurs et prononcer ses voeux, inspirée par un prêtre mentor. Elle se lie d'amitié avec Luz, une autre aspirante religieuse plus décomplexée. Mais très vite, elle se demande si le couvent n'abrite pas de sombres rituels.

Le pitch semble déjà familier, mais chaque rebondissement, chaque personnage, chaque idée narrative vient renforcer cette impression : The First Omen (titre original, ironique) raconte quasi exactement la même chose qu'un autre film d'horreur sorti très récemment, au personnage secondaire près, à la nuance de scénario près. Inutile de le mentionner ici au risque de spoiler (même si quiconque connait un minimum l'actualité du genre saura de quoi il en retourne), mais la séance tourne à la partie de jeu des 7 différences, niveau de difficulté maximum. Du moins jusqu'à la fin, qui diverge, grosse licence oblige.

Une similarité qui pourrait paraître louche... d'autant que le fameux film concurrent a connu une longue gestation et quelques problèmes en cours de route. Toutefois, les choix narratifs opérés dans ce prequel découlent logiquement du premier volet et les ressorts les plus ressemblants renvoient soit à des codes classiques du cinéma d'horreur, soit carrément à des scènes précises de l'original. Dans l'autre sens, on aurait pu avoir de sérieux doutes. En l'état, ce double programme semble tout à fait accidentel. Quoique...

MON CORPS, MA CROIX

Cette histoire rappelle surtout à quel point le genre reflète son époque. Comme le souligne Vulture, et bien que le réalisateur de l'autre long-métrage ait indiqué sans trop se mouiller vouloir laisser son public s'emparer du sujet, difficile de ne pas faire un lien avec d'une part la résurgence de l'imagerie catholique dans le cinéma d'horreur, d'autre part la remise en question du droit à l'avortement dans le débat public américain. Remise en question qui a culminé le 24 juin 2022 – soit à peine plus d'un mois après l'annonce officielle de ce prequel et de sa réécriture imminente ! –, quand la Cour suprême des États-Unis a annulé le décret fédéral Roe vs Wade, garantissant ce droit.

D'ailleurs, les scénaristes Tim Smith, Arkasha Stevenson (la réalisatrice) et Keith Thomas (l'excellent The Vigil) assument bien plus la dimension politique de leur récit. En le situant au début des années 1970 à Rome, ils mettent en son coeur la vague violente de revendications sociales qui traversent l'Europe à cette époque et s'inscrivent dans les "années de plomb" italiennes.

La période, étonnamment bien reconstituée dans certains plans larges, est tout sauf un simple décor ou une nécessité chronologique (le premier volet date de 1976). L'intrigue décrit un monde tiraillé entre les perspectives radicales : d'un côté l'emprise de l'Église, une autorité plus politique que morale, de l'autre la violence un poil caricaturale qui embrase les rues. Notre héroïne innocente se retrouve ballottée entre les deux et voit se manifester ses "symptômes" les plus violents au moment où elles s'écrasent l'une sur l'autre. C'est l'élément qui débute la deuxième partie du film, relatant une émancipation presque impossible culminant dans un climax explicite.

Cet aspect autorise même quelques audaces pour le moins inattendues dans un film de studio de ce calibre, qui lui ont par ailleurs probablement valu son interdiction aux moins de 16 ans en France, comme une séquence d'accouchement dévoilant ce que le cinéma grand public rechigne à montrer habituellement, et plus encore... Quoi de plus logique au sein d'une saga clairement dérivée de L'Exorciste, lequel mettait justement les Américains face à leurs tabous médicaux et spirituels ?

LE NOMBRE DE LA BÊTE

La différence entre les deux films tient donc aux approches adoptées par leurs auteurs respectifs. Contrairement à son collègue et afin de mieux formuler ses thématiques sociales, Arkasha Stevenson préfère à la nunsploitation grand-guignolesque une esthétique plus classique, parfois aux limites du lovecraftien dans ses meilleurs moments. Voilà qui lui donne un cachet indéniable. Ne serait-ce qu'en termes de frousse, la cinéaste déploie une mise en scène assez élégante parsemée de bonnes idées... et bien entendu d'effets de manches contractuels.

Revers de la médaille : malgré un catalogue de seconds couteaux honorables (Ralph Ineson, Bill Nighy et même quelques minutes de Charles Dance) elle ne peut pas se réfugier derrière ses airs de série B bourrin et se retrouve forcée de traiter des enjeux absurdes avec le plus grand sérieux. Les scénaristes s'échinent à faire passer chaque évidence pour un twist révolutionnaire, d'autant plus téléphonés quand on a l'autre film en tête. Les effets secondaires d'un gros cahier des charges, imposant même un épilogue ridicule, histoire de caser l'obligatoire connexion avec le petit classique de Donner.

Pourtant, c'est bien cette filiation qui lui confère son plus gros atout et sa dissemblance la plus notable avec son concurrent : la présence de la créature. Entraperçue dans quelques visions de flippe, celle-ci a tout de l'antagoniste final. Mais en dépit de sa nature démoniaque, elle finira elle aussi asservie, puis victime de l'ordre religieux, bien plus cruel et monstrueux que les forces maléfiques qu'il prétend à la fois embrasser et combattre. Le mal à l'exercice ici n'est pas d'ordre surnaturel, mais bien la mainmise d'une caste au pouvoir, usant à sa guise du corps des femmes, tout au long de leur vie.

Plus soigné et plus malin que la moyenne des rejetons opportunistes de franchises, La Malédiction : l'origine risque pourtant d'être occulté par son prédécesseur officieux... ou par ce qui le lie à lui. Passé les frissons plus ou moins respectables, reste la certitude que le cinéma d'horreur américain, aussi cynique et imparfait soit-il, peut encore être virulent après tout.

La deuxième partie d'un diptyque involontaire fascinant, très imparfaite, mais parsemée de fulgurances inattendues pour une production du type.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... SjYTivZ-LW
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Mathieu Kassovitz va réaliser un film de guerre à Hollywood, quinze ans après le chaos de Babylon AD

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Plus de 15 ans après l'échec de Babylon A.D, Mathieu Kassovitz va retourner à Hollywood pour réaliser un gros film de guerre : The Big War.

Après la totale déconvenue de Babylon A.D, Mathieu Kassovitz était plus présent devant la caméra que derrière. À part pour L'Ordre et la Morale en 2011, le Français ne s'est plus vraiment essayé à la réalisation, se concentrant sur sa carrière de comédien notamment dans l'excellente série Le Bureau des légendes dont il était l'étendard.

C'est la raison pour laquelle on peut être légèrement surpris d'apprendre le retour du réalisateur de La Haine aux commandes d'un long-métrage. En effet, Mathieu Kassovitz a récemment annoncé qu'il allait revenir à la réalisation pour un nouveau projet : un film de guerre adapté d'une célèbre bande-dessinée.

C'est lors d'une interview avec Deadline que Mathieu Kassovitz a dévoilé ce nouveau projet, sur lequel il "travaille depuis 20 ans". Intitulé The Big War, ce long-métrage serait en fait un hybride live action/animation, qu'il a écrit avec la scénariste Caroline Thompson, connue pour L'Étrange Noël de Monsieur Jack, Les Noces funèbres et Edward aux mains d'argent. Voici ce qu'il en a dit :

"Il s'inspire du roman graphique français et culte La Bête Est Morte, écrit pendant la Seconde Guerre mondiale. Il réimagine cette guerre comme si elle était mise en scène avec des animaux. Les nazis sont des loups qui s'en prennent à la « vermine » – les lapins – qui représentent les victimes de la guerre. L'histoire se concentre sur deux lapins qui tentent de retrouver leur famille qui a été emmenée et, au cours de leur voyage, ils vivent des aventures et rencontrent d'autres lapins qui rejoignent leur cause."

Concernant la production, le Français a également donné quelques explications :

"Je tourne le film avec des lieux et des décors réels, puis les personnages animaux seront ajoutés. Je vais donc tourner un film qui sera livré aux animateurs [...]. Nous sommes maintenant en phase de conception, nous recherchons des financeurs et nous souhaitons démarrer la production d'ici la fin de l'année. Nous aurons un budget de l'ordre de 30 millions de dollars et nous sommes en discussion avec des acteurs américains et britanniques dont je ne peux pas encore révéler les noms."

Il s'agit donc d'un double retour pour le Français : un retour en tant que réalisateur, mais aussi un retour dans un projet en anglais, pour la première fois depuis Babylon A.D. Reste à voir ce que donnera ce film hybride et s'il parviendra à en faire un long-métrage qui comptera dans sa filmographie. Le film n'a évidemment aucune date de sortie pour le moment.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... dmYxRDyDq8
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Challengers : les premiers avis sur le film de tennis sexy avec Zendaya sont là

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Les premiers avis de la presse américaine viennent de tomber pour Challengers, la romance sexy avec Zendaya dans l'univers du tennis.

Après avoir vu Zendaya en Fremen avide de vengeance dans le désert de Dune 2, on la retrouve à présent dans un univers bien différent : le monde du sport à haut niveau, en l'occurrence celui du tennis. Toutefois, ce contexte sportif sert, a priori, avant tout de trame de fond pour un drame romantique où l'amour devient le véritable jeu. Challengers suit en effet le trio Tashi (Zendaya), Art (Mike Faist) et Patrick (Josh O'Connor) durant leur carrière sportive... mais aussi leur relation amoureuse et sexuelle avant un rebondissement qui va tout bouleverser.

Avec ce pitch intrigant, le nouveau film de Luca Guadagnino promet ainsi un triangle amoureux dans la droite lignée des réflexions au coeur de ses précédents films s'intéressant notamment au désir. Et alors que le film se fait attendre depuis un moment, les premiers avis sont enfin tombés. Revue de tweets.

"Challengers de Luca Guadagnino est chaud, épicé, séduisant, impitoyable, plein de drames délicieux et de séquences de tennis formidables. Josh O'Connor et surtout Mike Faist sont formidables, mais ils sont tous les deux au service de Zendaya qui est exceptionnelle. Il ne ressemble à aucun autre film sportif que j'ai vu, et c'est ce que j'ai le plus aimé. Je recommande évidemment !" Erik Davis - Fandango

"Challengers est une guerre psychosexuelle dans le monde du tennis. Luca Guadagnino livre une étude tendue, drôle, en sueur et féroce de ses trois personnages oscillants entre ambition et confort. Zendaya, Josh O'Connor et Mike Faist forment un trio meurtrier. La musique est extraordinaire." Brandon Lewis - Geek Vibes Nation

"Oh, Zendaya a fait son GRAND coup avec Challengers ! C'est ultra-rythmé, le scénario ne faiblit jamais et le jeu des acteurs est génial ! J'ai aussi aimé le fait que le film se concentre surtout sur les trois personnages principaux : le sien, celui de Josh O'Connor et celui de Mike Faist. De belles performances !" Morgan Murrell - Buzz Feed

"Challengers s'enflamme alors que Luca Guadagnino raconte une histoire sportive non linéaire, sexy et divertissante sur la façon dont le jeu se gagne sur et en dehors du court de tennis. Il s'effondre un peu à la toute fin, mais Zendaya, Josh O'Connor et Mike Faist maintiennent l'adrénaline et le cœur battant avec leurs interprétations magnétiques." Matt Neglia - Next Best Picture

"Challengers est superficiel et trop indulgent envers lui-même, mais il fait des choix audacieux et exige votre attention du début à la fin. Toutes les personnes impliquées sont attachées au mélodrame exagéré, ce qui crée une expérience visuelle particulièrement divertissante. Encore une victoire pour Luca Guadagnino." Joshua Ryan - Fandom Wire

"Les reprises de volées de Challengers transpercent un assortiment de désir, de compétition et de séduction. Le trio composé de Zendaya, Mike Faist et Josh O'Connor est tout simplement fascinant et implacable. Aidé par une photo époustouflante et une musique du duo Reznor-Ross qui vous laissera au paradis des synthés, Challengers pourrait bien l'un des meilleurs films de la carrière de Luca Guadagnino jusqu'à présent." David Gonzalez - Cinematic Reel

Les critiques semblent donc globalement très satisfaites de ce Challengers. Le film décrirait ainsi les relations électriques entre ses trois personnages principaux, apparemment parfaitement interprétés par Mike Faist, Josh O'Connor et surtout Zendaya, dont la performance a été saluée.

Challengers traiterait aussi excellemment bien sa représentation du tennis professionnel, qui devient plus qu'un simple contexte d'arrière-plan entourant le film, mais bien une partie de son propos et des thématiques qu'il aborde. De notre côté, nous pourrons nous faire notre avis sur le long-métrage dans peu de temps, puisqu'il sera disponible en France en salles le 24 avril 2024.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... mNHrLhvqu_
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Netflix a refusé le nouveau film de David Lynch mais le réalisateur ne baisse pas les bras

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David Lynch a tenté sa chance avec Netflix pour son nouveau film de créatures, mais la plateforme a refusé de le produire.

Netflix est capable de financer des projets incongrus, comme un film qui met Vincent Cassel contre Mister V ou dernièrement l'horrible remake de Le Salaire de la peur tout en promettant une certaine liberté artistique pour les auteurs, que ce soit Martin Scorsese avec The Irishman, Guillermo Del Toro avec son Pinocchio ou encore David Fincher avec son Mank. Pourtant, la plateforme au N rouge n'est pas prête à accepter toutes les requêtes des grands noms hollywoodiens.

David Lynch, le légendaire cinéaste, derrière des chefs-d’œuvre comme Blue Velvet, Mulholland Drive et Elephant Man n’a pas réalisé de films depuis presque 20 ans désormais. Il faut remonter jusqu’en 2006 pour trouver son dernier long-métrage, Inland Empire. Maintenant qu’il est âgé de 78 ans, il faut savourer chaque œuvre du réalisateur comme il se doit. Alors lorsqu’on apprend qu’un de ses projets de films, co-écrit avec Caroline Thompson (Edward aux mains d’argent, L’Étrange Noël de monsieur Jack) a été refusé par Netflix, on est forcément un peu énervé.

C’est dans les colonnes de Deadline que le cinéaste a expliqué que le géant du streaming avait refusé de financer son film Snootworld. Lynch a donc parlé plus longuement de son projet de film d’animation qui met en scène des petits êtres appelés les Snoots :

"Je ne sais pas quand j’ai commencé à penser à Snoots mais je faisais ces dessins de Snoots et puis une histoire a commencé à émerger […] Je me suis retrouvé avec Caroline et nous avons travaillé sur un scénario. Tout récemment, j’ai pensé que quelqu’un pourrait être intéressé par ce projet, alors je l’ai présenté à Netflix au cours des derniers mois, mais ils l’ont rejeté.

Snootworld est une histoire à l’ancienne alors que l’animation d’aujourd’hui est davantage portée sur les blagues superficielles. Les contes de fées à l’ancienne sont considérés comme dépassés, apparemment, les gens ne veulent pas les voir. Le monde est différent désormais et il est plus facile de dire non que de dire oui [en parlant du refus de Netflix]. [...] J’aime cette histoire. C’est quelque chose que les enfants et les adultes peuvent apprécier… Je n’ai jamais vraiment fait d’animation pure, mais avec les ordinateurs d’aujourd’hui, il est possible de faire des choses spectaculaires."


Le monde de l’animation a effectivement beaucoup changé, les séries à l’humour adulte sont beaucoup plus fréquentes qu’auparavant, et c’est peut-être aussi à ça que David Lynch fait référence. Thompson, également interrogée par Deadline, en a ensuite dit plus sur l'histoire :

"Ça me coupe le souffle de voir à quel point l’histoire est loufoque. Les Snoots sont ces minuscules créatures qui subissent une transformation rituelle à l’âge de huit ans, moment où ils deviennent plus petits et sont envoyés au loin pendant un an pour être protégés. Le monde sombre dans le chaos lorsque le héros Snoot de l’histoire disparait dans un tapis. Sa famille ne le retrouve pas et lui, il rentre dans un monde fou et magnifique."

On espère que le réalisateur de Sailor et Lula trouvera un jour un financement pour son projet. Les Snoots ne devraient jamais rester dans sa tête à tout jamais (on veut les voir, au moins, pitié). Il faut aussi relever que, pour le moment, Lynch ne sait pas encore s’il désire réaliser ce Snootworld, il aimerait que Jennifer Lynch, sa fille, s'en occupe. Peut-être qu’un jour, Amazon Prime ou Apple TV+ sautera sur la proposition. On croise les doigts.


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Biopic de Michael Jackson : Le premier trailer, unique et émouvant, a fait sensation

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Le film d'Antoine Fuqua contiendra plus de 30 chansons.

La fin des biopics n’est pas pour tout de suite. Alors que celui sur Amy Winehouse, Back to Black sort le 24 avril prochain, et que celui sur Charles Aznavour avec Tahar Rahim est prévu pour la fin de l’année, 2025 aura également le droit à son lot de films musicaux. L’un d’entre eux, et pas des moindres, sera celui consacré à la vie et la carrière de Michael Jackson.

Attendu par tous, le film a dévoilé une première image en noir et blanc plus tôt dans l’année. Cette semaine, à l’occasion du CinemaCon à Las Vegas, le public a pu découvrir un trailer "unique et émouvant".

D’après les premiers retours des médias américains, Michael rentrerait dans l’intimité de la star interplanétaire – un homme timide qui a toujours eu du mal à conserver une part de vie privée et a laissé un héritage inimaginable.

Il couvrirait ses débuts avec ses frères dans les Jackson 5, ses succès solos, mais aussi ses controverses (on pense par exemple à cette histoire de blanchissement de peau et sa maladie) et ses accusations pour pédophilie en 1993 et 2003.

L’année dernière, le réalisateur, Antoine Fuqua (Training Day, Equalizer) avait déclaré à ce sujet : "C'était un grand artiste. Et il était humain. Donc on montrera le bon, le mauvais et le laid."

Avec "plus de trente chansons au programme", promet Variety, les spectateurs pourront revivre les performances les plus iconiques du Roi de la Pop : le premier "moonwalk" de l’histoire en 1983 lors de la cérémonie Motown 25 : Yesterday, Today, Forever, le pas de danse de Smooth Criminal où Michael se penche en avant à 90°C, le Superbowl de 1993, le duo avec Britney Spears sur The Way You Make Me Feel, etc.

La bande-annonce commence avec un concert. La foule est en délire alors que Michael Jackson chante Man In The Mirror et Thriller – ce qui nous laisse penser que nous sommes à l’époque de l’album Bad autour de 1987. Puis, c'est la rupture. On le voit la tête bandée dans une ambulance – évoquant l’accident sur la publicité Pepsi dans les années 80. Par la suite, quelques années plus tard, le chanteur, le teint pâle et affaibli, est entouré de gardes du corps. Pourchassé par la foule et les paparazzis, il se réfugie dans sa voiture. Des flashbacks montrent un Michael enfant et un discours de sa mère :

"Il y aura peut-être des gens qui penseront que tu es différent, et ça va te rendre la vie encore plus dure. Mais tu n’as jamais été comme les autres. Michael, tu possèdes une aura spéciale. Alors utilise-la pour qu’elle brille sur le monde."

S’il faut se contenter pour le moment d’une simple description, on peut se demander ce que nous réserve l’ensemble du biopic. Va-t-on voir le domaine privé de Michael Jackson, Neverland ? La bataille médiatique entre lui et Prince ? La genèse de certains chansons cultes comme Billie Jean, inspirée par les aventures amoureuses de ses grands frères vues avec ses yeux d’enfants à l’époque des Jackson 5 ? Ou bien encore son enfance difficile avec un père perfectionniste qui n’hésitait pas à le corriger physiquement ? Avec l’implication de la famille dans le projet, ce dernier point risque d’être éclipsé.

"Il y a des biopics – et il y a Michael Jackson", a déclaré le producteur Graham King. "Quand j’ai commencé, tout le monde me disait : ‘Tu ne trouveras jamais quelqu’un pour ce rôle’." Et pourtant, c’est le neveu même de Michael Jackson, Jafaar Jackson qui prend sa place. Les premiers plans du trailer montrent une performance de Jafaar bluffante, captant le charisme de son oncle.

Avec une signature reconnaissable : un gant unique blanc et pailleté, un fedora noir, des mocassins et une chemise légèrement ouverte, Michael Jackson est un artiste aux multiples talents et aux records. Il est l’artiste masculin ayant reçu le plus de Grammy Awards en une cérémonie et son album Thriller est toujours le plus vendu de tous les temps. Pour en savoir plus sur l’artiste disparu en 2009, les fans peuvent toujours se tourner vers son autobiographie Moonwalk.

Quant à Michael, aux côtés de Jafaar Jackson, on retrouve le nommé aux Oscars Colman Domingo dans le rôle du patriarche, Nia Long (Boyz in the Hood) pour jouer la mère de famille et Miles Teller (Whiplash, Top Gun : Maverick), Laura Harrier (Spiderman: Homecoming, Blackkklansman), Kat Graham (Vampire Diaries), Jessica Sula (Split) et Larenz Tate (Ray, Power).

La sortie est prévue aux États-Unis le 18 avril 2025. Aucune information n’a été donné pour la France.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... pKjOgGGXDT

Je sens venir d'ici un succès à la Bohemian Rhapsody.
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jeu. 11 avr. 2024 17:30
Faudra juste un jour qu'on m'explique le succès de Zendaya
C'est probablement dû au fait qu'elle s'est fait connaître jeune par un public tout aussi jeune qui a continué à la suivre. Perso j'ai appris son existence dans Spider-Man: Homecoming :D
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... lYRTZeEC8o
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jeu. 11 avr. 2024 17:30
Faudra juste un jour qu'on m'explique le succès de Zendaya
:lol: Attention tu glisses rapidement dans la catégorie boomer
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Nouvelles images de Beetlejuice 2 : "C’est démentiel !"

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Tim Burton, Michael Keaton, Catherine O’Hara, Willem Dafoe et Monica Bellucci ont teasé cette suite au CinemaCon de Las Vegas.

Le monstre tordu et délirant de Tim Burton a fait son apparition hier à Las Vegas, et les premiers retours sont très positifs. A l’occasion de la CinemaCon qui ce déroule en ce début de mois d'avril, la Warner Bros. avait organisé un énorme panel pour dévoiler des images inédites de leurs prochains blockbusters. La bande-annonce de Joker : Folie à deux a par exemple fait sensation.

Puis le réalisateur d'Edward aux mains d'argent, Ed Wood et Sleepy Hollow est monté sur scène, accompagné de Michael Keaton, Catherine O’Hara, Willem Dafoe et Monica Bellucci pour teaser Beetlejuice 2. Et selon l’acteur principal, "c’est démentiel !"

Cela faisait trente-six ans que Michael Keaton n’avait pas renfilé son costume rayé. Durant le panel, l’acteur a rappelé que si une suite a toujours été à l'étude, elle n’avait jamais eu l’occasion de se concrétisé. Il a ajouté s’être senti anxieux à l’idée de ne plus être à la hauteur : "J’étais très stressé à l’idée de savoir si je pouvais y arriver à nouveau."

Pourtant, sans l’ombre d’un doute, les nouvelles images exclusives diffusées à huis-clos, montrent un Michael Keaton toujours aussi dérangé. "Les Vivants. Les Morts. Peuvent-ils co-exister ?" Selon les médias américains présents sur place, on verrait sur les images Beetlejuice maltraitant un habitant du village – farceur comme toujours, et un plan du mort attendant près d’un téléphone rouge en disant à Lydia (Winona Ryder) : "Je vais te rendre si heureux."

Outre la performance de Keaton, les fans ont souligné le retour aux "pratical effects" - c’est-à-dire des effets spéciaux réalisés à l’aide de maquettes 3D, tournés en temps réel, et non avec des logiciels numériques. Dans le nouveau trailer, il y aurait de l’animation de pâte à modeler et de l’animation en volume – comme cela a très souvent été le cas dans les films de Tim Burton. Les choses ont été faites de la même manière qu’à l’époque.

Aussi, Beeltejuice, Beetlejuice ressemblerait donc à son original de 1988. De quoi ravir les fans nostalgiques qui depuis quelque temps ont reproché à Burton de trop se reposer sur la technologie. Ils ne sont d’ailleurs pas les seuls à s’en réjouir. Willem Dafoe a tenu à déclarer son admiration pour les effets faits main.

Pour ceux qui n’ont pas eu la chance d’assister à la CinemaCon, il faut se contenter du trailer sorti il y a un mois. Un premier teaser qui conservait encore tous ses secrets. La famille Deetz est endeuillée. Mais qui est mort ? "Day O" est chantée par une chorale, Astrid (Jenna Ortega) monte au grenier et voit la maquette du village déjà visible dans le premier film. De manière intentionnelle, elle réveille le fantôme de Beetlejuice… La mère, Lydia (Winona) est effrayée. Avec le bio-exorciste dans les parages, le chaos règne.

Co-écrit par Alfred Gough et Miles Millar (Mercredi) à partir d'un script de Seth Graham Smith (Dark Shadows), le film sortira en France le 11 septembre 2024.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... vXrFWwXgon
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ClintReborn a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 18:02
BOX OFFICE STORY a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:30
Faudra juste un jour qu'on m'explique le succès de Zendaya
:lol: Attention tu glisses rapidement dans la catégorie boomer
Je pense pas, je suis ultra fan de Anna Taylor Joy par exemple que je suis depuis Split et Peaky Blinders
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jeu. 11 avr. 2024 18:41
ClintReborn a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 18:02
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jeu. 11 avr. 2024 17:30
Faudra juste un jour qu'on m'explique le succès de Zendaya
:lol: Attention tu glisses rapidement dans la catégorie boomer
Je pense pas, je suis ultra fan de Anna Taylor Joy par exemple que je suis depuis Split et Peaky Blinders
Comme dit @Pale Zendaya a accompagné une partie de ses fans durant leur enfance via Disney Channel.
Puis leur adolescence et début d'âge adulte avec l'excellente série Euphoria. (c'est là que je l'ai connu même si mon adolescence était déjà lointaine)
Ca aide à forger un attachement disons.

Sans parler évidemment de son rôle dans le MCU aux côtés du super-héros le plus populaire de la culture Pop actuelle.
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Pale a écrit :
jeu. 11 avr. 2024 17:42
Biopic de Michael Jackson : Le premier trailer, unique et émouvant, a fait sensation

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Le film d'Antoine Fuqua contiendra plus de 30 chansons.

La fin des biopics n’est pas pour tout de suite. Alors que celui sur Amy Winehouse, Back to Black sort le 24 avril prochain, et que celui sur Charles Aznavour avec Tahar Rahim est prévu pour la fin de l’année, 2025 aura également le droit à son lot de films musicaux. L’un d’entre eux, et pas des moindres, sera celui consacré à la vie et la carrière de Michael Jackson.

Attendu par tous, le film a dévoilé une première image en noir et blanc plus tôt dans l’année. Cette semaine, à l’occasion du CinemaCon à Las Vegas, le public a pu découvrir un trailer "unique et émouvant".

D’après les premiers retours des médias américains, Michael rentrerait dans l’intimité de la star interplanétaire – un homme timide qui a toujours eu du mal à conserver une part de vie privée et a laissé un héritage inimaginable.

Il couvrirait ses débuts avec ses frères dans les Jackson 5, ses succès solos, mais aussi ses controverses (on pense par exemple à cette histoire de blanchissement de peau et sa maladie) et ses accusations pour pédophilie en 1993 et 2003.

L’année dernière, le réalisateur, Antoine Fuqua (Training Day, Equalizer) avait déclaré à ce sujet : "C'était un grand artiste. Et il était humain. Donc on montrera le bon, le mauvais et le laid."

Avec "plus de trente chansons au programme", promet Variety, les spectateurs pourront revivre les performances les plus iconiques du Roi de la Pop : le premier "moonwalk" de l’histoire en 1983 lors de la cérémonie Motown 25 : Yesterday, Today, Forever, le pas de danse de Smooth Criminal où Michael se penche en avant à 90°C, le Superbowl de 1993, le duo avec Britney Spears sur The Way You Make Me Feel, etc.

La bande-annonce commence avec un concert. La foule est en délire alors que Michael Jackson chante Man In The Mirror et Thriller – ce qui nous laisse penser que nous sommes à l’époque de l’album Bad autour de 1987. Puis, c'est la rupture. On le voit la tête bandée dans une ambulance – évoquant l’accident sur la publicité Pepsi dans les années 80. Par la suite, quelques années plus tard, le chanteur, le teint pâle et affaibli, est entouré de gardes du corps. Pourchassé par la foule et les paparazzis, il se réfugie dans sa voiture. Des flashbacks montrent un Michael enfant et un discours de sa mère :

"Il y aura peut-être des gens qui penseront que tu es différent, et ça va te rendre la vie encore plus dure. Mais tu n’as jamais été comme les autres. Michael, tu possèdes une aura spéciale. Alors utilise-la pour qu’elle brille sur le monde."

S’il faut se contenter pour le moment d’une simple description, on peut se demander ce que nous réserve l’ensemble du biopic. Va-t-on voir le domaine privé de Michael Jackson, Neverland ? La bataille médiatique entre lui et Prince ? La genèse de certains chansons cultes comme Billie Jean, inspirée par les aventures amoureuses de ses grands frères vues avec ses yeux d’enfants à l’époque des Jackson 5 ? Ou bien encore son enfance difficile avec un père perfectionniste qui n’hésitait pas à le corriger physiquement ? Avec l’implication de la famille dans le projet, ce dernier point risque d’être éclipsé.

"Il y a des biopics – et il y a Michael Jackson", a déclaré le producteur Graham King. "Quand j’ai commencé, tout le monde me disait : ‘Tu ne trouveras jamais quelqu’un pour ce rôle’." Et pourtant, c’est le neveu même de Michael Jackson, Jafaar Jackson qui prend sa place. Les premiers plans du trailer montrent une performance de Jafaar bluffante, captant le charisme de son oncle.

Avec une signature reconnaissable : un gant unique blanc et pailleté, un fedora noir, des mocassins et une chemise légèrement ouverte, Michael Jackson est un artiste aux multiples talents et aux records. Il est l’artiste masculin ayant reçu le plus de Grammy Awards en une cérémonie et son album Thriller est toujours le plus vendu de tous les temps. Pour en savoir plus sur l’artiste disparu en 2009, les fans peuvent toujours se tourner vers son autobiographie Moonwalk.

Quant à Michael, aux côtés de Jafaar Jackson, on retrouve le nommé aux Oscars Colman Domingo dans le rôle du patriarche, Nia Long (Boyz in the Hood) pour jouer la mère de famille et Miles Teller (Whiplash, Top Gun : Maverick), Laura Harrier (Spiderman: Homecoming, Blackkklansman), Kat Graham (Vampire Diaries), Jessica Sula (Split) et Larenz Tate (Ray, Power).

La sortie est prévue aux États-Unis le 18 avril 2025. Aucune information n’a été donné pour la France.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... pKjOgGGXDT

Je sens venir d'ici un succès à la Bohemian Rhapsody.
Y a même moyen de faire + ^^
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
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