Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Kit
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robinne a écrit :
lun. 4 janv. 2021 18:22
Pale a écrit :
lun. 4 janv. 2021 16:07
robinne a écrit :
lun. 4 janv. 2021 15:55
Il a fait le film sous pseudo ? Car j’ai l’impression que sur Wikipedia, ils n’indiquent pas Lucas comme réal :sweat:
C'est le producteur :D
Tout s'essplique :o
Et Coppola n'était pas dans le coup aussi ? :lol:
personne ne lui avait dit que ça ne casserait pas 3 pattes à un canard ? :D (même si moi j'avais aimé)
Modifié en dernier par Kit le mar. 5 janv. 2021 03:15, modifié 1 fois.
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robinne
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weird

Pale a écrit :
sam. 2 janv. 2021 11:24
Mon prochain film de 2021, ce sera le week-end prochain sur Netflix :

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CinemaTeaser a fait un (ou des) article(s) sur ce film. Je n’ai pas lu en détail, car j’attends de voir le film :bounce:
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Pale
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J'ai commencé la série Cobra Kai, j'ai enchaîné les 4 premiers épisodes. Je suis loin d'être un fan de Karaté Kid mais j'avoue que pour l'instant je prends mon pied devant la série. Le début joue bien évidemment la carte de la nostalgie mais l'histoire et les personnages sont ancrés dans le monde actuel. On n'évite pas certains clichés, surtout en ce qui concerne les jeunes personnages mais voilà je trouve ça très jouissif pour le moment.
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Pale
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Kit a écrit :
lun. 4 janv. 2021 19:56
personne ne lui avait dit que ça ne casserait pas 3 pattes à un canard ? :D (même si moi j'avas aimé)
D'ailleurs les jeux de mots ne manquent pas dans ce film :D
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Wickaël
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Pale a écrit :
lun. 4 janv. 2021 20:01
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J'ai commencé la série Cobra Kai, j'ai enchaîné les 4 premiers épisodes. Je suis loin d'être un fan de Karaté Kid mais j'avoue que pour l'instant je prends mon pied devant la série. Le début joue bien évidemment la carte de la nostalgie mais l'histoire et les personnages sont ancrés dans le monde actuel. On n'évite pas certains clichés, surtout en ce qui concerne les jeunes personnages mais voilà je trouve ça très jouissif pour le moment.
J'avais envie de tenter la série mais je connais pas les films...
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Cocu
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Je viens de voir Le diable, tout le temps, j'ai beaucoup aimé :bounce:
Pouet
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Cocu a écrit :
lun. 4 janv. 2021 23:25
Je viens de voir Le diable, tout le temps, j'ai beaucoup aimé :bounce:
pourtant pas le genre qu'on Satan à aimer :D (quoique Ray Wise est génial dans la série Le Diable et moi, et Tom Ellis est pas mal dans la série Lucifer)
sinon ça peut être pratique de l'avoir sous la main
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:D
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Pale a écrit :
dim. 3 janv. 2021 16:49
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il me semble qu'on aperçoit Howard dans un Avengers mais je peux me tromper :??:
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Kit
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ben dis donc Next, ça n'a pas été un long fleuve tranquille les débuts du fofo :sweat:
http://forums.phpbb-fr.com/support-util ... 14122.html
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aujourd'hui 5 janvier bon anniversaire à
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Robert Duvall (act., M*A*S*H, THX 1138, Le Parrain, Apocalypse Now, Deep Impact, John Q., Open Range)
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Dany Saval (actrice, épouse de Michel Drucker)
André Ceccarelli (batteur jazz)
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Diane Keaton (actr., tril. Le Parrain, Annie Hall, Manhattan, Baby Boom, Le Père de la mariée)
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Ted Lange (act., La Croisière s'amuse)
Clancy Brown (act., Highlander)
Marilyn Manson (chant.)
Bradley Cooper (act.)

une pensée pour
Jean-Pierre Aumont (act.)
George Reeves (act., 1er Superman tv et cinéma)
Jane Wyman (actr., Le Secret magnifique, série Falcon Crest)
Jean-Claude Michel (act. vx fr. régulière de Sean Connery, Clint Eastwood et récurrente de Charlton Heston, Rock Hudson et Leslie Nielsen)
Umberto Eco (écriv., Le Nom de la rose)

ainsi que pour les disparus un 5 janvier
Sylvie (actr., Le Petit Monde de don Camillo 1951)
Charles Mingus (jazz)
Arthur Kennedy (act.)
André Franquin (bd, Spirou, Gaston Lagaffe)
Pierre Boulez (mus.)
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Cocu
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Kit a écrit :
mar. 5 janv. 2021 03:28
Cocu a écrit :
lun. 4 janv. 2021 23:25
Je viens de voir Le diable, tout le temps, j'ai beaucoup aimé :bounce:
pourtant pas le genre qu'on Satan à aimer :D (quoique Ray Wise est génial dans la série Le Diable et moi, et Tom Ellis est pas mal dans la série Lucifer)
sinon ça peut être pratique de l'avoir sous la main
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:D
Joli!
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Wickaël a écrit :
lun. 4 janv. 2021 21:55
J'avais envie de tenter la série mais je connais pas les films...
C'est pas nécessaire de les connaitre, tu as un petit cours de rattrapage au début de la série :D
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Kit a écrit :
mar. 5 janv. 2021 03:37
il me semble qu'on aperçoit Howard dans un Avengers mais je peux me tromper :??:
Tu as tout à fait raison, dans la scène post-générique de Les Gardiens de la Galaxie.
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Après Edge of Tomorrow, Doug Liman va revenir avec un film de braquage en plein confinement

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Alors que Chaos Walking n'est pas encore sorti, Doug Liman, le réalisateur d'Edge of Tomorrow, a réalisé une comédie de braquage, sur fond de Covid-19.

L’année 2020 et la pandémie mondiale de Covid-19 semblent avoir été une vraie inspiration pour certains cinéastes, 2021 nous réservant déjà son lot de films inspirés du confinement. Entre Dany Boon et sa comédie Netflix sur le confinement, ou encore Michael Bay qui a produit récemment Songbird, un thriller pandémique qui nous a déjà montré les limites de son dispositif, la vague des films inspirés de cette période de pandémie ne fait que commencer.

Alors qu’il vient enfin d’en finir avec sa dystopie SF Chaos Walking, avec Tom Holland et Daisy Ridley, dont la première bande-annonce est plutôt rassurante, et qu’il est toujours attendu au tournant avec la suite d’Edge of Tomorrow, intitulée Live Die Repeat and Repeat, dont le scénario serait génial selon Emily Blunt (oui bon, on sait que c'est de la promo mais on veut y croire), le réalisateur Doug Liman revient déjà aux affaires, avec une comédie de braquage sur fond de Covid-19.

Écrit par Steven Knight, le scénariste de la série britannique Peaky Blinders, Locked Down a été tourné entre septembre et octobre 2020 au Royaume-Uni, avec des protocoles sanitaires très stricts, et pour toile de fond le confinement et la pandémie mondiale de Covid-19. Et cela s'annonce comme un mélange entre la comédie romantique et le film de braquage.

Digital Spy a par ailleurs dévoilé un premier aperçu, où l’on peut voir Anne Hathaway et Chiwetel Ejiofor, les deux têtes d’affiche de Locked Down. Initialement titré Lockdown, le film racontera l’histoire de Linda (Anne Hathaway) et Paxton (Chiwetel Ejiofor), un couple au bord de la rupture lorsqu’ils se retrouvent bloqués ensemble durant le confinement. Une rude épreuve pour le couple qui, après avoir bu une certaine quantité de vin, décide d’élaborer un plan pour braquer une bijouterie en plein confinement, ce qui pourrait au final les rapprocher.

Au casting, on retrouvera notamment Ben Stiller, Stephen Merchant, Lucy Boynton, Ben Kingsley, Mindy Kaling, ou encore Mark Gatiss. Locked Down devrait sortir dans les salles au Royaume-Uni, tandis qu’il sera distribué sur la plateforme HBO Max le 14 janvier 2021 aux États-Unis. Aucune date de sortie française n'a encore été annoncée, pour le moment. En attendant, vous pouvez découvrir ce que l'on pense de la première tentative, à savoir Songbird, avec notre critique disponible par ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 0nbjglFKSs
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Mourir peut attendre : Tanya Roberts, l'ex-James Bond Girl, n'est finalement pas morte

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Tanya Roberts, interprète de la James Bond girl dans Dangereusement vôtre n'est finalement pas morte.

Mise à jour : Alors que tous les médias relayaient l'information de la mort de Tanya Roberts, le site TMZ a annoncé que l'actrice était bel et bien vivante selon une information provenant de son centre médical. A l'origine, l'intox est partie d'une maladresse du compagnon de l'actrice qui, après une visite à l'hopital, était persuadé que c'en était fini. C'est à ce moment qu'il a transmis l'information au représentant de l'actrice, qui l'a partagée aux médias. Autrement dit, mourir peut attendre...

Tanya Roberts était connue pour ses nombreuses apparitions dans les séries Drôles de dames, dans les années 1980 et dans That 70's Show, entre 1998 et 2001. Mais son nom reste surtout associé à celui de la James Bond girl de Dangereusement Vôtre, aux côtés de Roger Moore en 1985. Roberts y campait le rôle de Stacey Sutton, une géologue américaine prise pour cible par le méchant Max Zorin, joué par le jeune Christopher Walken.

Tanya Roberts était à l'origine mannequin. Elle apparaissait dans des publicités à la télévision. En 1984, elle tenait le rôle-titre dans Sheena, reine de la jungle, une version féminine de Tarzan. À l'époque, le film avait reçu un accueil médiocre, mais son aspect très kitsch l'a rendu culte avec les années. C'est également ce film qui aura permis à Roberts d'être repérée pour le rôle de James Bond girl dans Dangereusement Vôtre.

Malgré sa présence dans la franchise iconique, la carrière de l'actrice n'aura jamais connu d'envol. Ces dernières années, elle évoquait régulièrement lors de ses entretiens la "malédiction" de jouer une James Bond girl. En 2015, elle confiait au Daily Mail : « J'avais l'impression que toutes les femmes ayant été une James Bond girl peinaient à tourner dans d'autres films, donc j'ai été prudente. » Malgré l'enthousiasme de ses agents, les craintes de l'actrice se sont confirmées. Après l'épisode Drôles de dames, et James Bond, elle n'a joué que dans peu de films, dont des comédies, des thrillers érotiques et autres séries B, parmi lesquelles Night eyes. Elle avait mis fin à sa carrière au cinéma en 2006.

Finalement, The Huffington Post a révélé que l'actrice s'était "effondrée" en pleine rue le 24 décembre dernier, alors qu'elle promenait ses chiens. Hospitalisée à Los Angeles, elle est décédée dimanche 3 janvier. Les causes de sa mort sont encore inconnues. Elle ne souffrait d'aucune maladie. Comme un hasard, elle s'est éteinte au début de l'année qui marquera le retour de James Bond au cinéma. En effet, on attend Mourir peut attendre pour le 31 mars 2021, en salles.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... d6TiTqcJNI
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Pale
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Netflix commande une suite pour son film C'est Nous les Héros

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Robert Rodriguez sera toujours à la réalisation.

Dans un tweet posté ce lundi, Netflix a confirmé que son film d'action familial C'est Nous les Héros (We Can Be Heroes), spin-off des aventures de Sharkboy et Lavagirl et de la franchise Spy Kids, aura droit à une suite. Elle est déjà en développement. Robert Rodriguez, qui a écrit, réalisé et produit le premier volet, sera de retour pour C'est Nous les Héros 2.

Il faut préciser que le long métrage sorti durant les fêtes a fait un très gros carton sur la plateforme. Netflix estime - d'après ses propres chiffres - que 44 millions de foyers dans le monde auront vu le film au cours de ses 4 premières semaines de mise en ligne. Toujours d'après le streamer, C'est Nous les Héros marquerait le plus gros visionnage de l'histoire de Netflix durant la semaine entre Noël et le Nouvel An.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -les-Heros
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NaughtyDog
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Un Joyeux Anniversaire au Maître Hayao Miyazaki !
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Kit
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^^

Pale a écrit :
mar. 5 janv. 2021 16:05
Kit a écrit :
mar. 5 janv. 2021 03:37
il me semble qu'on aperçoit Howard dans un Avengers mais je peux me tromper :??:
Tu as tout à fait raison, dans la scène post-générique de Les Gardiens de la Galaxie.
merci M'sieur :)
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Kit
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NaughtyDog a écrit :
mar. 5 janv. 2021 17:36
Un Joyeux Anniversaire au Maître Hayao Miyazaki !
ah désolé je l'ai zappé dans ma liste :jap:
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Pale
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Les épisodes 5 et 6 de Cobra Kai sont grandioses :love:
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robinne
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Pale a écrit :
mar. 5 janv. 2021 16:20
Mourir peut attendre : Tanya Roberts, l'ex-James Bond Girl, n'est finalement pas morte
Ils sont forts à la MGM :lol:
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robinne
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weird

NaughtyDog a écrit :
mar. 5 janv. 2021 17:36
Un Joyeux Anniversaire au Maître Hayao Miyazaki !
Ca lui fait quel âge ?
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robinne a écrit :
mar. 5 janv. 2021 21:01
Ils sont forts à la MGM :lol:
Les acteurs morts voire qui vieillissent ça n'existe plus de toute façon maintenant qu'on utilise le deepfake à tout va ! :o :D
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Pale
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robinne a écrit :
mar. 5 janv. 2021 21:03
Ca lui fait quel âge ?
80 :jap:
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Wickaël
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robinne a écrit :
mar. 5 janv. 2021 21:01
Pale a écrit :
mar. 5 janv. 2021 16:20
Mourir peut attendre : Tanya Roberts, l'ex-James Bond Girl, n'est finalement pas morte
Ils sont forts à la MGM :lol:
Bon en fait elle est vraiment morte maintenant. RIP
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weird

Wickaël a écrit :
mer. 6 janv. 2021 07:29
robinne a écrit :
mar. 5 janv. 2021 21:01
Pale a écrit :
mar. 5 janv. 2021 16:20
Mourir peut attendre : Tanya Roberts, l'ex-James Bond Girl, n'est finalement pas morte
Ils sont forts à la MGM :lol:
Bon en fait elle est vraiment morte maintenant. RIP
Tu m’en vois désolé :(
La période n’a pas dû être facile pour elle et sa famille :sweat:
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Miamsolo
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Kit a écrit :
mar. 5 janv. 2021 18:36
Pale a écrit :
mar. 5 janv. 2021 16:05
Kit a écrit :
mar. 5 janv. 2021 03:37
il me semble qu'on aperçoit Howard dans un Avengers mais je peux me tromper :??:
Tu as tout à fait raison, dans la scène post-générique de Les Gardiens de la Galaxie.
merci M'sieur :)
Il apparait également dans Les Gardiens de la Galaxie 2 ainsi que dans le combat final du dernier Avengers (mais faut pas cligner des yeux ^^ )

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Wickaël a écrit :
mer. 6 janv. 2021 07:29
Bon en fait elle est vraiment morte maintenant. RIP
Que de rebondissements :D

Ça me fait penser à une réplique de Les trois frères : "Putain, on a tué le mort !" :D
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Dexter saison 9 : la prochaine saison a trouvé son nouveau grand méchant

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Après une fin qui a laissé un goût amer dans la bouche des fans, la série Dexter s'apprête à rectifier le tir avec une neuvième saison qui a casté son grand méchant.

Bien avant la fin globalement décevante de Game of Thrones qui a déjà fait couler trop d'encre, plusieurs autres séries ou saga à succès ont ulcéré les fans avec leur conclusion foirée (on en parle juste ici d'ailleurs). Parmi ses oeuvres, Dexter est fréquemment mentionné étant donné que, comme beaucoup, la série n'a pas su s'arrêter au bon moment. Après quatre saisons, le départ du showrunner Clyde Phillips a marqué le début du déclin, jusqu'à la saison 8 et son épisode final qui n'a pas osé provoquer la chute et le désaveu du serial killer incarné par Michael C. Hall qu'on attendait.

Phillips va cependant remettre les pieds dans le plat pour offrir un final qu'on espère cette fois digne des premières saisons de haute volée. La chaîne Showtime a annoncé en octobre dernier que la série culte connaîtrait un revival prenant la forme d'une neuvième et ultime saison de dix épisodes, dont six seront réalisés par Marcos Siega, qui avait déjà travaillé sur quelques épisodes.

L'interprète de Dexter sera évidemment de retour et les événements se dérouleront 10 ans après la conclusion qui nous apprenait que le tueur n'était en fait pas mort et vivait désormais sous un faux nom en Oregon en tant que modeste bûcheron. Mais sa vie paisible devrait prendre une tournure plus agitée, puisqu'il croisera le chemin de Kurt Caldwell, le prochain antagoniste de la série.

Comme l'a confirmé Deadline, Clancy Brown a été choisi pour lui prêter son visage. L'acteur est connu pour doubler en anglais le personnage de M. Krabs dans la franchise Bob l'éponge, mais aussi souvent le méchant Lex Luthor dans les séries animées de DC, en plus de ses rôles dans Les Évadés, Starship Troopers ou Urgences.

D'après la description officielle, Caldwell est né et a grandi dans la ville d'Iron Lake où certains le considèrent comme le maire officieux. Il a réalisé le rêve américain en passant de la conduite de gros engins de forage, comme son père, à la possession de plusieurs camions et du relais routier local. C'est un homme puissant, généreux et aimé de tous, qui passe pour un véritable homme du peuple. Mais aussi le genre de personne qu'il vaut mieux avoir comme ami, car "si vous énervez Kurt ou si vous blessez quelqu'un qu'il aime, alors que Dieu vous vienne en aide". Alors est-ce que Dexter aurait eu la mauvaise idée de liquider un de ses proches ?

En attendant d'avoir plus de détails, notamment sur l'intrigue, le reste du casting et la date de sortie, l'actrice Yvonne Strahovski est revenue sur le final décevant de la série juste ici.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... sd2QKwahb0

Clancy Brown est un acteur que j'ai toujours kiffé.
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EL a aimé L'homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot (3,5 étoiles) :

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Précédé d'une réputation solide construite sur plusieurs mois, voire plusieurs années de diffusions en festival, produit à la fois par des figures adorées du cinéma indépendant américain (Lucky McKee) et une partie du panthéon du divertissement hollywoodien (John Sayles, Douglas Trumbull), L'homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot arrive enfin en France en catimini, directement en VOD. Un destin hexagonal quasi-scandaleux, car cette série B atypique est bien plus surprenante que son titre à rallonge ne le laisse présager.

the man who killed The book and the cover


L’habit ne fait pas le moine, et la promo ne fait définitivement pas le film. Avec son affiche rétro et son titre crâneur, L'homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot ressemble de loin à une de ces bisseries modernes contrebalançant un très maigre budget par un postulat de départ repoussant les frontières de l’absurde.

Et si la publicité est tout sauf mensongère, et qu’on devine des moyens microscopiques, le premier long-métrage de Robert D. Krzykowski (après un court-métrage remarqué et la co-production de l’excellent The Woman) prend un malin plaisir à emprunter une tout autre voie, grâce à une singularité tonale qui prend de court quiconque s’attendait à une série B taillée pour les fins de semaine difficiles.

Un pied de nez qu’on devine volontaire, tant le titre gâche le scénario en substance tout en passant sous silence les vrais intérêts du film. L'homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot raconte donc bien ces deux évènements, sans pour autant en faire le vrai cœur d’un récit qu’on pourrait finalement bien plus qualifier de drame que d’épopée d’aventure. Le geste en lui-même, au-delà de ce qu’il implique, force le respect. Loin de se contenter d’appliquer un programme, le cinéaste a pris le risque de tordre un peu la direction de son essai au risque de décevoir l’amateur du genre, très présent dans les festivals où le film a façonné sa renommée et forcé de perpétuellement adapter ses attentes.

Atypique, le résultat ne renie pourtant pas ses influences et son statut de divertissement. Il se permet juste de contourner le cahier des charges. Les tics stylistiques, tels les zooms rapides sur les visages, sont rares et utilisés à contre-emploi. Aux scènes de baston se substituent des scènes de suspense ou même des dialogues très malins (la scène du rasage), quand leur importance ne passe pas carrément au second plan, grâce à un montage parallèle paraissant inutile dans la première partie avant de faire sens dans la seconde.

Grâce à ce procédé, particulièrement bien exécuté (on passe parfois d’une époque à une autre d’un simple raccord regard), Krzykowski opère le véritable tour de passe-passe de son œuvre : s’attarder bien plus sur les causes et les conséquences des évènements que sur les évènements eux-mêmes. Privilégier l’introspection à l’action.

Dans la légende

Il se dégage donc de l’ensemble un parfum de mélancolie de plus en plus prégnant, tandis qu’on se rend compte, ébahis, que le sujet est plutôt le vieux papy nostalgique que le jeune homme à la vie bien remplie qu’il a été. Une idée très belle, qui trouve son point culminant dans la toute dernière séquence, révélant le véritable état d’esprit du protagoniste, pour qui ces péripéties ne sont qu’un bâton dans les roues de son accomplissement personnel, voire de sa propre humanité. Une remise en question à contre-courant des standards narratifs et merveilleusement bien jouée par un Sam Elliott extrêmement touchant.

Un point de vue qui aime prendre à rebours les intentions qu’on lui prêtait avant le visionnage, mais qui amène surtout une réflexion plus subtile encore sur le poids des mythes, véritable fil rouge de l’intrigue, longuement évoqué dans des dialogues savoureux. Qu’il s’agisse des croyances d’une mère russe, de la puissance écrasante et déprimante de l’idéologie fasciste, des théories du complot, des jeux à gratter ou d’un amour purement cinématographique, toutes les légendes ont droit à leur moment de gloire.

Le pauvre Calvin Barr en a donc sa claque de ces grandes mythologies auxquelles il est perpétuellement confronté, et auxquelles la musique de Joe Kraemer et la photographie - transcendant avec un certain génie les limites du budget - d'Alex Vendler renvoient en permanence. La mise en scène se perd régulièrement dans de grands instants mystiques, renvoyant même parfois à la fameuse patine d’Apocalypse Now. Notre héros, perdu dans ces missions ambitieuses, ressemble à une sorte d’Indiana Jones fatigué de l’aventure. Sa seule quête, et celle qui motive finalement les 1h30 de métrage, est un retour à la simplicité de la vie, symbolisée par le personnage de son frère et par plein de petits détails.

Alors forcément, il faut transformer son regard, accepter quelques concessions et surtout un rythme par définition déceptif. Mais une fois qu’on s’enivre de l’impression de fatigue qui émane du film, on peut largement profiter de sa singularité.

L'homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot est disponible en VOD depuis le 4 janvier 2021

À force de transgresser son postulat de film d'aventure pour mieux se consacrer à l'introspection de son personnage, L'homme qui a tué Hitler et puis le Bigfoot propose une analyse tout en finesse des mythes qui nous entourent, et de leur charge psychologique et émotionnelle.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... _iGF78LRhY
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Hollywood : l'année 2020 a signé un record au box-office pour les réalisatrices

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En 2020, les réalisatrices ont occupé une place plus importante parmi les grosses productions hollywoodiennes.

De l'unique Palme d'Or au seul Oscar de la meilleure réalisation jamais obtenu par des femmes (respectivement Jane Campion pour La Leçon de piano et Kathryn Bigelow pour Démineurs) en passant par la moindre enquête et recherche universitaire, la conclusion est sans appel : les lieux de pouvoir du cinéma (et donc Hollywood) sont soigneusement monopolisés par les hommes.

Toutefois, il est permis d'espérer qu'il n'est jamais trop tard pour que de nouveaux récits et de nouveaux regards puissent éclore à l'écran. C'est ce qu'a affirmé une vaste étude de l'Université d'État de San Diego, selon laquelle le nombre de réalisatrices, cinéastes et techniciennes a légèrement augmenté en 2020 par rapport aux années précédentes.

L'étude a indiqué que sur les 100 les plus gros succès au box-office aux États-Unis en 2020, les réalisatrices, directrices de la photographie, scénaristes, monteuses, et enfin productrices représentaient 21 % des équipes, soit 1% de plus qu'en 2019. Et en agrandissant l'échelle aux 250 films ayant eu les meilleurs box-offices, cette croissance a atteint les 23 %.

Du point de vue du seul poste de réalisatrice, les résultats se sont montrés encourageants, quoiqu'encore désespérément faibles. L'augmentation était un peu plus conséquente. En 2020, 16% des 100 plus grands succès étaient réalisés par une femme, contre à peine 12% en 2019, et... 4% en 2018. Sur 250 longs métrages, ce nombre s'est élevé à 18 %, contre 13 % en 2019. Le travail des militantes aura donc bel et bien porté ses fruits, mais la route promet d'être encore très longue pour que le cinéma cesse de nier le fait que l'être humain n'est pas masculin par définition.

En conclusion, 2020 a été marquée par des projets massifs réalisés par des femmes, parmi lesquels Wonder Woman 1984 de Jenkins, mais également Birds of Prey de Cathy Yan ou encore Kajillionaire de Miranda July. Toutefois, ces données ont été réduites par la pandémie, car 2020 aurait dû voir émerger d'autres colosses réalisés par des femmes, à commencer par Black Widow et Eternals, dont la sortie a finalement été repoussée à 2021. De quoi biaiser légèrement les résultats de l'étude qui se révèle, malgré ses chiffres encourageants, moins pertinente que les années précédentes avec le contexte particulier de l'année cinéma.

Cependant, il s'agit peut-être d'un signe annonçant que 2021 fera encore croître l'importance et le nombre de femmes réalisatrices (mais pas que) dans l'industrie. Outre les mastodontes Black Widow, prévu en salles pour le 5 mai 2021, et Eternals pour le 3 novembre 2021, bien d'autres films réalisés par des femmes pourraient créer l'événement : Don't Worry, Darling d'Olivia Wilde, Candyman de Nia DaCosta, Land de Robin Wright ou The Matrix 4 des soeurs Wachowski.

Enfin, puisque femme ne rime malheureusement pas avec féministe, on s'est demandé en vidéo si Wonder Woman était une arnaque féministe, ou une révolution hollywoodienne.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... ujD4Ige7ts
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BOX OFFICE STORY
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Sur Netflix le 5 février Space sweepers film coréen qui devait sortir au cinéma en 2020 à la base

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Le film de braquage de Doug Liman :

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Voici une nouvelle magnifique image de Last Night in Soho :

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Par contre je ne sais pas si c'est une affiche officielle.
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Top des séries vues en 2021 :

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1. Cobra Kai - Saison 1
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Trailer du nouveau Neil Marshall :

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Première image du nouveau Zack Snyder :

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Une image de Halloween Kills (qui pourrait être en fait l'image de n'importe que Halloween) :

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BOX OFFICE STORY a écrit :
mer. 6 janv. 2021 16:10
Sur Netflix le 5 février Space sweepers film coréen qui devait sortir au cinéma en 2020 à la base
Ça a l'air plutôt cool :hot:
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mer. 6 janv. 2021 21:04
Première image du nouveau Zack Snyder :

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Ca va bastonner sévère :o
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NaughtyDog
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Shadow in the Cloud démarre bien, et est intéressant dans ses 20premières minutes

Sur un scénario de Max Landis (Chronicle, Bright), on est évidemment dans un mélange des genres qui fait très plaisir : en pleine WW2, une femme est à bord d'un avion entièrement constitué d'hommes. Bientôt une attaque aérienne japonaise viendra mettre le dawa, en plus d'une entité maléfique surnaturelle.


Bref,l'ambiance se pose,on est sur du mini-budget mais la réalisation se veut carrée, mettant en scène la trop rare Chloe Moretz (depuis Kick-Ass et Hugo) en femme badass et déterminée (mais aussi faillible). En plus, d'entrée de jeu le mystère infuse via cette boîte qu'elle transporte, sa mission inconnue du spectateur et des autres membres de l'avion (quiilfaut le dire, sont tous des gros beaufs à peu de choses près).


Bref un canevas qui sent bon l'exploitation 80's, surtout que la toute première partie en huis-clos renvoie au superbe Cauchemar à 20 000 pieds de Twilight Zone, avec cette forme simiesque dont la silhouette menaçante se détache à l'extérieur de la carlingue.


Puis patatra


on verse vers le Z fauché, aux situations et réactions des persos toutes plus improbables les unes que les autres. Passée le teasing de la créature, on se retrouve face à un babouin Cloverfieldesque aux CGI douteux et au design ultra lambda. Le film n'arrive pas vraiment à maitriser ses variations de ton, la réalisation se veut moins maitrisée quand on veut aller vers le spectaculaire, et in fine les 2 versants du film (réalistico-fantastique) s'avèrent déceptifs.


Heureusement le film est rythmé tout au long de ses 1h20, Chloe Moretz est bien dans son rôle, et quelques ptites idées nous réveille.


Pas de quoi sauter au plafond, et je conseille largement le film Overlord sorti en 2018 qui lui assurait bien dans le même genre !


bref, c'est pô terrible terrible tout ça


2/5
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Kit
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Après Ex Machina et Annihilation, Alex Garland planche sur un nouveau film de science-fiction

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Après Ex Machina et Annihilation, le cinéaste Alex Garland va revenir avec un nouveau film de science-fiction.

Avec ses deux premiers excellents films que sont Ex Machina et Annihilation, Alex Garland s’est imposé comme l’un des cinéastes les plus prometteurs dans le cinéma de science-fiction contemporain, après avoir officié en tant que scénariste sur des films de Danny Boyle, tels que 28 jours plus tard et Sunshine.

Plus récemment, le cinéaste a fait de nouveau forte impression dans la SF du petit écran, avec sa série Devs, très appréciée au sein de notre rédaction, qui a de nouveau confirmé qu’Alex Garland était une valeur montante dans le genre. Peu de temps après la diffusion de la série, ce dernier a affirmé déjà plancher sur un nouveau long-métrage, revendiqué comme un film d’horreur à petit budget, se déroulant au Royaume-Uni.

Et ce nouveau projet revient donner des nouvelles, avec cette fois-ci un titre ainsi qu’un casting. En effet, selon Deadline, ce nouveau projet s’intitulera sobrement Men, et racontera l’histoire d’une jeune femme qui part seule en vacances dans la campagne anglaise, peu de temps après la mort de son ex-mari. On ne sait pas grand-chose de plus pour le moment, si ce n’est ce point de départ, qui semble convoquer de nouveau la figure du deuil, déjà présente dans Annihilation.

Ce nouveau film sera produit et distribué par la boîte de production indépendante A24, déjà derrière Ex Machina. Au casting, toujours selon Deadline, on devrait retrouver l’actrice Jessie Buckley, vue récemment dans Je veux juste en finir, le trip existentiel de Charlie Kaufman sorti sur la plateforme au N rouge, mais aussi l’acteur Rory Kinnear, vu récemment dans la série Penny Dreadful : City of Angels. Il sera d'ailleurs à l’affiche du prochain James Bond, le très attendu Mourir peut attendre, désormais prévu pour une sortie le 31 mars 2021 en France.

Aux dernières nouvelles, la présence de Jessie Buckley au casting serait encore en cours de négociation, mais en bonne voie pour aboutir. Alex Garland sera évidemment à la réalisation et à l’écriture, tandis que son producteur sur ses précédents films, Scott Rudin, sera de nouveau de la partie. La société A24 n’a pas commenté pour le moment l’annonce de ce nouveau film et de son casting, qui n’a évidemment pas encore de date de sortie annoncée, mais qui devrait rentrer en tournage courant 2021.

On a en tout cas très hâte d’entendre parler plus en détail de ce nouveau film, tout aussi excitant que les précédents projets du cinéaste. En attendant, vous pouvez découvrir notre dossier passionné consacré à Alex Garland, mais aussi ce que l’on pense de la série Devs, avec notre critique disponible par ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1610027444
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EL a beaucoup aimé Pieces of a Woman (4 étoiles) :

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Produit par Martin Scorsese, réalisé par Kornél Mundruczó, interprété par Vanessa Kirby et Shia LaBeouf, Pieces of a Woman est une des plus belles prises de Netflix, qui compte manifestement en faire un de ses vaisseaux amiraux en direction des Oscars. À raison.

LA MORT, SA VIE, SON OEUVRE


De nombreux cinéphiles ont découvert le travail de Kornél Mundruczó à l’occasion de White God puis La Lune de Jupiter, deux de ses films les plus acclamés sur la Croisette, mais aussi les plus aimables, voire épiques, dans leur désir de renouveler certains codes fictionnels traditionnellement usités (voire usiné) par le cinéma anglo-saxon. Avec Pieces of Woman, acquis par Netflix après la présentation du film à Venise en septembre 2020, le réalisateur renoue – en apparence - avec une veine beaucoup plus intimiste, celle de Johanna et d'Un garçon fragile - Le projet Frankenstein.

Depuis ses premiers longs-métrages, et jusqu’aux surnaturelles scènes de vol de son précédent effort, le cinéma de Mundruczó est une affaire de dynamique des fluides, du comportement d’un vecteur, sur lequel son environnement exerce une pression intolérable, et de la réponse qui en jaillit pour le recomposer. C’est précisément ce dont il est question ici, alors que nous suivons Martha (Vanessa Kirby), dont l’enfant est mort-né à l’issue d’un accouchement à domicile qui tourne au cauchemar.

Alors qu’elle tente de faire son deuil, il lui faut encore supporter la pression d’une mère dominatrice qui entend lui dicter la marche à suivre, notamment sur le plan judiciaire. De l'autre, son époux, prisonnier de sa propre médiocrité et terrifié à l’idée de tourner la page, voudrait lui interdire d’avancer, quitte à systématiquement détruire ce qu'ils ont bâti. C’est pourtant précisément ce que fait Martha, l’unique geste qu’elle est encore capable d’accomplir. Se mouvoir. Ne pas s’arrêter.

KIRBY’S ADVENTURE

Et c’est justement ce que capte, souvent avec une acuité stupéfiante, la caméra de Mundruczó : des personnages en mouvement, dont les élans, pour inconscients qu’ils soient parfois, sont autant d’appels à l’aide ou de déclarations d’indépendance. Simultanément libre et enchâssée aux protagonistes, elle surprend par l’aisance avec laquelle elle laisse l’action se décadrer, pour soudain retrouver un sens de l’harmonie évident, articuler les différents plans de l’image pour mieux rendre compte du chaos qui s’abat sur Martha et les siens.

Particulièrement à l’aise avec le dispositif viscéral déployé par le cinéaste, Vanessa Kirby habite le film avec une grâce rude, une énergie vitale tantôt mal-aimable puis inextinguible, qui permet à Pieces of Woman de déployer un discours sensible et plus politique qu’il n’y paraît. Plus que la bouleversante chronique d’un deuil, c’est un récit d’émancipation qui se dessine, celui d’une femme dont la pulsion de (sur)vie nécessite qu’elle s’affranchisse d’une norme bourgeoise, sociale, morale, judiciaire, pour pouvoir exister.

Le métrage capture ce mouvement avec toute la puissance, iconographique, charnelle qu’on connaît aux travaux de Mundruczó. On pourra regretter que dans le premier tiers du récit, le plus physiquement éprouvant et le plus démonstratif, l’artiste paraisse presque en concurrence avec son sujet.

À la faveur d’un plan-séquence virtuose et de quelques effets faciles, il prend le risque d’écraser son propre discours, son héroïne. Une brutalité qui menace un temps, jusqu’à ce qu’il confie, ainsi que le fait Martha, l’intrigue à une énergie plus éclatante et vitale. Jusqu’à nous laisser, à la faveur d’un plan final qui renoue avec la poésie élégiaque de Delta, les yeux grands ouverts et le cœur palpitant.

Pieces of a Woman est disponible sur Netflix depuis le 7 janvier en France

Mundruczó revient au cinéma organique, charnel et brutal de ses débuts, rehaussé par la maestria technique acquise sur ses deux derniers films, pour chroniquer un deuil et son dépassement. Le résultat, abrasif, malmène le spectateur jusqu'à trouver un état de grâce impressionnant.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1610016085

Une autre critique positive :

"Leçon absolue de mise en scène, Pieces of a Woman n'en oublie pas pour autant son récit bouleversant. Il en naîtra, après un déchirement asphyxiant et une rudesse accablante, une poésie voire une grâce salvatrice à travers son héroïne déboussolée, sublimement incarnée par Vanessa Kirby."
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Hâte de le mater Pieces of a Woman !
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Une autre image de Army of the Dead :

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