Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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robinne
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weird

Pale a écrit :
ven. 9 juil. 2021 15:52
robinne a écrit :
jeu. 8 juil. 2021 23:24
Mouais…
C’est tout ce que tu as trouvé pour me convaincre ? :D
Ana de Armas est également au casting :D
Ah ^^
Mon intérêt remonte un peu ^^
Mouais… bis
Pour moi Leigh Whannell et Phil Lord &Chris Miller sont un gage de qualité, quel que soit le sujet du film :p
Ok ^^
Je ne peux pas en dire autant, les connaissant très peu, voire pas du tout ^^
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robinne
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weird

Pale a écrit :
ven. 9 juil. 2021 16:11
Cannes 2021 : on a vu Onoda, le film fou entre Rambo et Terrence Malick

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Ca, ça me tente bien :bounce:
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ClintReborn
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robinne a écrit :
sam. 10 juil. 2021 18:59
Pale a écrit :
ven. 9 juil. 2021 16:11
Cannes 2021 : on a vu Onoda, le film fou entre Rambo et Terrence Malick

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Ca, ça me tente bien :bounce:
Une image qui me rappel bien un autre célèbre acteur Japonais Toshiro Mifune :o l’histoire vraie de Onoda est géniale en tout cas :jap:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Kit
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:hello:
11 juillet un joyeux 37ème anniversaire à la magnifique Rachael Taylor (Red Dog, séries Grey's Anatomy ,Charlie's Angels, Crisis, Marvel Jessica Jones, The Defenders)
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pour les autres annivs
https://fr.wikipedia.org/wiki/11_juillet
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BoBleMexicain
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d une façon ou d une autre je peux plus voir Matt Damon sans penser que un jour dans un excès de lucidité il a dit non a Cameron pour Avatar ainsi que les 10 pourcent qui allait avec :rofl: :rofl: :rofl: :rofl: :rofl:
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BoBleMexicain a écrit :
dim. 11 juil. 2021 07:20
d une façon ou d une autre je peux plus voir Matt Damon sans penser que un jour dans un excès de lucidité il a dit non a Cameron pour Avatar ainsi que les 10 pourcent qui allait avec :rofl: :rofl: :rofl: :rofl: :rofl:
Il ne devait pas croire au projet ou trop d'investissement pour lui. Bon après je pense qu'il n'est pas à plaindre :D
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En VF :

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Avatar : Matt Damon parle de l'erreur de sa vie, décliner le film de James Cameron

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L'acteur américain a refusé une offre très alléchante de la part de James Cameron, pour ne pas laisser l'équipe de Jason Bourne dans la panade.

À sa sortie en 2009, la fresque SF Avatar devient le deuxième film de James Cameron à s'installer confortablement sur la première marche du box-office mondial après Titanic. Si aujourd'hui, le film se tire la bourre avec Avengers : Endgame, le vaisseau-amiral du MCU, il n'en demeure pas moins une des productions les plus lucratives du cinéma. C'est d'ailleurs pour cette raison que quatre suites sont en préparation.

Le film met en scène Jake Sully, un marine paraplègique qui participe à un programme du gouvernement américain sur la planète Pandora. Le militaire est campé par l'acteur britannique Sam Worthington, relativement méconnu, qui était déjà apparu dans Terminator : Renaissance et Solitaire. Au départ pourtant, c'est une star d'un tout autre calibre qui avait été approchée pour le rôle titre : Matt Damon.

Dans le cadre d'une conférence organisée au festival de Cannes - l'acteur y présente son nouveau film, Stillwater, dans lequel il joue avec Camille Cottin - Matt Damon a parlé d'une des plus grosses erreurs de sa vie, à savoir préférer Jason Bourne à Jake Sully :

"On m'a proposé un petit film qui s'appelle Avatar. James Cameron m'avait proposé 10 % [des recettes]. Je pense que je suis entré dans l'Histoire : vous ne croiserez jamais un acteur qui s'est assis sur une somme pareille

10 % de 2,9 milliards de dollars, cela correspond effectivement à un joli pactole de 280 millions d'euros : une somme très coquette, même avec les standards d'Hollywood. Avec une telle bourse, il est sûrement possible de réaliser un joli blockbuster hollywoodien, voire plusieurs films indépendants pour revenir à Cannes tous les ans.

Lorsque quelqu'un l'a interpellé en suite sur Avatar 2 et les autres suites prévues, Matt Damon a feint de ne pas savoir que des suites étaient en préparation. Une chose est sûre : Sam Worthington rempile, mais Matt Damon, lui, ne fera pas partie du projet. Stillwater sortira à l'automne en France - le 22 septembre 2021 pour être exact - soit un peu plus d'un an avant la suite d'Avatar annoncée pour décembre 2022.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1625915829
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EL a modérément apprécié Fast & Furious 9 (3 étoiles) :

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Que de chemin parcouru, de jantes voilées, de marcels déchirés et de métacarpes broyés depuis le remake inavoué de Point Break sorti en 2001 où Paul Walker et Vin Diesel se reniflaient le pot d’échappement en serrant les mâchoires. Vingt ans plus tard, Fast & Furious a transformé ses loubards en rois de la cambriole, puis en super-espions. Au risque d’assécher une franchise devenue un trip cartoonesque depuis belle lurette ? Réponse possible avec ce Fast & Furious 9.

CONDUITE ASSISTÉE


Après une première demi-heure hallucinée et pétaradante, le spectateur amoureux de la voix rocailleuse de Vin, ou des scénarios débilitants de la saga a un peu de mal à retrouver ses petits. Certes, la famille est toujours là et heureusement, Fast & Furious 9 ne rejoue pas la gravité d’opérette du précédent opus. Mais pour autant, la propension presque aérienne à filer vers le grand n’importe quoi qui fit la réussite des 5e, 6e et 7e volets semble bien loin, la faute à une écriture pachydermique.

Simili-Mission : Impossible ou James Bond contrefait, le scénario ne sait pas où donner de la tête et choisit de disperser sa glorieuse équipe à la faveur d’enjeux extrêmement flous, et presque jamais reliés aux personnages eux-mêmes. Exception faite de ce pauvre Dom, dont la paralysie faciale ne s’arrange pas, on saisit mal pourquoi tout ce beau monde se sent investi d’une mission de la plus haute importance. Le contraste est frappant quand surgissent les flashbacks, parfois maladroits, mais portés par Finn Cole et Vinnie Bennett, deux jeunes comédiens incandescents, qui réinjectent un peu d'intensité à cette cour des miracles en manque de carburant.

En résulte quarante interminables minutes d’errance dans des décors d’une pauvreté abyssale, sertis de dialogues qui feraient passer un menu de fast food pour une expérience calligraphique posthume de Guillaume Apollinaire. On n’a jamais aimé Fast & Furious pour ses pesanteurs, mais au contraire pour sa naïveté trépanée et son action tout droit sortie de l’imaginaire d’une classe de CP dégustant le LSD en intraveineuse.

PIERRE QUI ROULE

Il ne reste presque plus rien de ces formidables intentions ici. Et c’est peut-être du côté de Vin Diesel qu’il faut chercher le responsable. La star, perpétuellement en quête d’importance et façonnage d’une légende dont personne ne lui a dit qu’elle avait la même espérance de vie qu’un hérisson sur le tarmac d’un circuit de F1, semble devenue le premier frein à sa série furieuse.

On voit comme son ennemi et frangin, Jakob (John Cena), est écrit paradoxalement. Caractérisé comme un char d’assaut inébranlable, mais systématiquement corrigé par l’inoxydable Dom, le scénario l'empêche (l'interdit ?) de constituer une menace. Qu'il est loin le temps où Dwayne Johnson apprenait à Toretto comment digérer la salade de châtaigne aux gencives, dans les faubourgs de Rio.

Un net déficit d'engagement dans l'action physique n'est pas le seul problème inhérent à la figure de la star. On sent Diesel articuler son “intrigue”, pour arriver à un tournant en forme de faux sacrifice qui plombe inutilement le rythme de l’ensemble. Un mélange de mécanique désincarnée et de systématisme qui se ressent jusque dans la direction artistique et sa mise en scène, dont tout imaginaire semble avoir été arraché. Il faudra donc, plus d’une heure durant, alterner entre le gris du bitume, celui d’une base secrète pas si secrète, et les nuances de décors urbains qui ne tirent jamais parti des spécificités des lieux visités.

BIENVENUE DANS LA JUNGLE

Fast & Furious 9 est un chapitre obèse, trop lourd pour son propre bien, et jamais assez robuste pour digérer les nombreuses directions ou atermoiements dans lesquelles nous trimballent sa narration. Et c’est d’autant plus regrettable que le blockbuster est émaillé de bien des séquences jubilatoires, dans la droite lignée de ce qu’en attendent les fans.

À commencer par sa première séquence d’action, improbable course-poursuite dans la jungle, où gentils et méchants se castagnent à coups de missiles, d’hélicoptères et de majeurs tendus à l’héritage d’Isaac Newton.

De même, on apprécie soudain de voir les dialogues assumer pleinement l’absurdité des situations, alors que Dom contracte ses abdos enduits de rillettes, quand son frère lui explique que son unique motivation est de devenir plus fort que lui. Régulièrement, le film retrouve cette ligne claire, digne d’un Tintin sous créatine, qui nous ferait presque oublier combien ces héros s’agitent pour rien. C’est le cas de Han, dont le retour était attendu, mais trouve une justification indigne d’On a retrouvé la 7ème compagnie, sans que le charismatique acteur Sung Kang ait pour autant droit à quoi que ce soit de consistant ou ludique à interpréter.

Trop inégal pour totalement emporter le morceau, Fast & Furious 9 peut néanmoins se reposer sur son dernier acte, une scène d’action de près de trente minutes, pour gaver son spectateur comme une oie carnivore. Les cascades sont spectaculaires, précises, ahurissantes, dévastatrices, l’ambition sans limites et parfois presque surprenante. Comme lorsque Tyrese Gibson et Ludacris se retrouvent satellisés, et que le métrage opte pour un long plan presque Gondriesque, nous rappelant, tard mais à propos, que Fast & Furious a presque toujours été sauvé par son énergie enfantine.

Plombé par son esprit de sérieux, une écriture fainéante et une direction artistique trop souvent fade, Fast & Furious 9 ne peut que se raccrocher à quelques scènes d'action tonitruantes et des flashbacks étonnants pour ne pas noyer son moteur.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1625870604
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Une image de Free Guy :

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Vu :

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Préférence pour le premier épisode même si j'ai quand même apprécié cet épisode mais hormis l'époque, l'univers ne propose pas vraiment de nouveauté et dévoile ses limites. Il y a également des éléments qui sont tirés par les cheveux et un peu trop répétitifs. Cela dit, l'ambiance rétro est toujours aussi excellente et rappelle bien évidemment d'anciens films d'horreur. Sadie Sink que l'on a découvert dans Stranger Things délivre une très bonne performance.

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Difficile de ne pas voir dans Black Widow une métaphore de Hollywood et de l'affaire Weinstein et autres faits de ce genre. J'ai aimé ce Marvel. Pour moi il ne fait pas partie des meilleurs mais ni des pires non plus (même si il n'y en a pas de véritablement mauvais à part Thor : Le Monde des ténèbres). Disons qu'il se positionne dans le milieu de mon classement du MCU. La première partie n'est pas ouf mais ça s'améliore considérablement par la suite, notamment quand les personnages se retrouvent.

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Quel plaisir de retrouver la bande à Dominic Toretto :D J'ai kiffé cet épisode. Aussi incroyable que cela puisse paraître, cet épisode joue la carte de l'émotion lorsqu'il aborde le passé de Toretto. J'avoue avoir été surpris par certaines scènes qui font leur petit effet. Le film se montre extrêmement drôle aussi, notamment grâce à Roman Pierce qui balance des répliques relatives à la saga et le miracle qui entoure les personnages qui s'en sortent toujours indemnes. Et puis j'avoue qu'en ATMOS, les scènes d'action déboitent tout. C'était énorme :hot:
Modifié en dernier par Pale le dim. 11 juil. 2021 18:29, modifié 1 fois.
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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Sur Netflix :

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Les films qu'il me reste à découvrir sur Netflix :

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ClintReborn
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Je me rappel que pour le premier dans les années 90 il y avait un marketing de fou autour du film avec des produits dérivés un peu partout :roll: :lol: et même en pogs

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popcorns

Quand ton voisin de siège est Nicolas Cage 😆

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popcorns

Le saviez-vous : la jeune Ever Anderson qui incarne Natasha Romanoff enfant dans le film Black Widow, n'est autre que la fille de Milla Jovovich 👩‍👧

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Ça coule de source vu la ressemblance mais je l'ignorais :D
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BOX OFFICE STORY
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Elle a pas de bol elle a les mêmes yeux que sa mère
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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robinne
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weird

Pale a écrit :
dim. 11 juil. 2021 09:00
Avatar : Matt Damon parle de l'erreur de sa vie, décliner le film de James Cameron

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L'acteur américain a refusé une offre très alléchante de la part de James Cameron, pour ne pas laisser l'équipe de Jason Bourne dans la panade.

À sa sortie en 2009, la fresque SF Avatar devient le deuxième film de James Cameron à s'installer confortablement sur la première marche du box-office mondial après Titanic. Si aujourd'hui, le film se tire la bourre avec Avengers : Endgame, le vaisseau-amiral du MCU, il n'en demeure pas moins une des productions les plus lucratives du cinéma. C'est d'ailleurs pour cette raison que quatre suites sont en préparation.

Le film met en scène Jake Sully, un marine paraplègique qui participe à un programme du gouvernement américain sur la planète Pandora. Le militaire est campé par l'acteur britannique Sam Worthington, relativement méconnu, qui était déjà apparu dans Terminator : Renaissance et Solitaire. Au départ pourtant, c'est une star d'un tout autre calibre qui avait été approchée pour le rôle titre : Matt Damon.

Dans le cadre d'une conférence organisée au festival de Cannes - l'acteur y présente son nouveau film, Stillwater, dans lequel il joue avec Camille Cottin - Matt Damon a parlé d'une des plus grosses erreurs de sa vie, à savoir préférer Jason Bourne à Jake Sully :

"On m'a proposé un petit film qui s'appelle Avatar. James Cameron m'avait proposé 10 % [des recettes]. Je pense que je suis entré dans l'Histoire : vous ne croiserez jamais un acteur qui s'est assis sur une somme pareille

10 % de 2,9 milliards de dollars, cela correspond effectivement à un joli pactole de 280 millions d'euros : une somme très coquette, même avec les standards d'Hollywood. Avec une telle bourse, il est sûrement possible de réaliser un joli blockbuster hollywoodien, voire plusieurs films indépendants pour revenir à Cannes tous les ans.

Lorsque quelqu'un l'a interpellé en suite sur Avatar 2 et les autres suites prévues, Matt Damon a feint de ne pas savoir que des suites étaient en préparation. Une chose est sûre : Sam Worthington rempile, mais Matt Damon, lui, ne fera pas partie du projet. Stillwater sortira à l'automne en France - le 22 septembre 2021 pour être exact - soit un peu plus d'un an avant la suite d'Avatar annoncée pour décembre 2022.


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C'était certes une erreur financière, mais pas une erreur artistique :saint:
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weird

BOX OFFICE STORY a écrit :
dim. 11 juil. 2021 20:38
Elle a pas de bol elle a les mêmes yeux que sa mère
C'est ironique ? :??:
Elles ont de beaux yeux, non ?
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Après The Haunting of Bly Manor, Mike Flanagan va manger des enfants sur Netflix avec sa nouvelle série horrifique

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Mike Flanagan continue de surcharger son emploi du temps avec Something is Killing the Children, une nouvelle série d'épouvante à destination de Netflix.

Même si Mike Flanagan a été forcé d'abandonner son adaptation du roman Revival de Stephen King pour la Warner, l'agenda du nouveau maître de l'horreur ne désemplit pas. Après le film Jessie (également tiré des écrits de King) et les séries The Haunting of Hill House et The Haunting of Bly Manor, Netflix va une fois de plus se payer les services du réalisateur de Doctor Sleep, Ouija 2 : Les Origines, Before I Wake, Oculus ou encore Pas un bruit.

En parallèle des séries Midnight Mass et The Midnight Club (elles aussi pour le géant du streaming), Flanagan et son partenaire de production Trevor Macy vont, d'après The Hollywood Reporter, co-écrire et produire une série adaptée de la bande-dessinée à succès de Boom ! Studios, Something is Killing the Children écrite par James Tynion IV, dessinée par Werther Dell'Edera et sortie en septembre 2019, avant d'être nommée pour le prix Eisner de la meilleure nouvelle série en 2020.

L'histoire sur papier raconte comment une ville au coeur des États-Unis devient le théâtre de meurtres sanglants visant les enfants. La police locale cherche désespéremment à attraper le tueur, très perplexe face aux rapports révélant l'existence de créatures qui se tapissent dans l'obscurité pour enlever et dévorer les enfants.

C'est dans cette atmosphère méfiante et terrorisée qu'arrive Erica Slaughter, une mystérieuse inconnue qui prétend pouvoir débarrasser la ville de ces monstres. Le pilote reste encore à être valider pour qu'une saison entière soit commandée, mais au vu des précédents succès de Flanagan, la série devrait bien arriver sur Netflix, qui prépare d'ailleurs une autre adaptation d'un titre de Boom ! Studios, BRZRKR, pour laquelle le service s'associera à Keanu Reeves.

Mike Flanagan devrait également s’occuper de l’adaptation du roman The Season of Passage de l’écrivain Christopher Pike, qui se déroulera sur Mars, à mi-chemin entre science-fiction et horreur. En attendant d'avoir des nouvelles de Something is Killing the Children, notre critique de The Haunting of Bly Manor est toujours là.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1626078678
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Black Widow plus fort que Fast 9 : le film Marvel bat des records au Box Office US

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Le plus gros score depuis fin 2019 et le début de la pandémie.

Il faut croire que le MCU manquait désespérément aux fans. Presque deux ans après la sortie du dernier Marvel au cinéma, Black Widow a réussi un énorme carton, ce week-end, pour sa sortie en salle.

Disney annonce que Black Widow a enregistré plus 80 millions de dollars de recettes pour son premier week-end d'exploitation au Box Office US. Le film d'action fait plus fort que Fast and Furious 9 il y a deux semaines, établissant au passage le record depuis le début de la pandémie et le meilleur week-end d'ouverture depuis Star Wars IX en décembre 2019.

Une belle performance, à laquelle il faut ajouter une autre enveloppe bien garinie : 60 millions de dollars de recettes supplémentaires en provenance de la plateforme Disney +, via laquelle le film était également disponible en premium (moyennant 30$ en plus de l'abonnement).

Au total, Black Widow a d'ores et déjà engrangé 215 millions de dollars à l'international. A titre de comparaison, le film sur les origines de Natasha Romanov se classe en troisième position des "Origin Story" du MCU, derrière Black Panther et Captain Marvel.

Forcément, chez Disney, on jubile : "Encore une fois, Marvel a livré un film exceptionnel pour les fans du monde entier. L'énorme performance de Black Widow ce week-end valide notre stratégie de distribution flexible avec une véritable expérience cinématographique et, comme les préoccupations liées Covid demeurent, en offrant aussi le choix aux consommateurs de rester regarder le film à la maison sur Disney +", commente Kareem Daniel, président, Disney Media et Divertissement.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 9uzMRld3Sc
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Dwayne Johnson sur le tournage de Black Adam :

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Le tournage du nouveau Transformers a commencé :

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Joyeux anniversaire à Michelle Rodriguez (43 ans) :

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FF9 les meilleures scènes c'est les flash-backs, la scène d'action dans la jungle et voilà

tout le reste c'est en-dessous de tout ce qui a été fait dans les épisodes post-Fast Five pour moi


Sinon mercredi je vois Titane (assez hâte bien que je porte pas Grave aux nues)

et samedi jme fais le nouveau Joachim Trier, Jacques Audiard et Arnaud Despleschin :D
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C'est juste moyen même si le cadre historique est assez intéressant. Visuellement et techniquement parlant c'est pas top et la première partie est vraiment pipi caca au possible. La fin se montre un peu plus trépidante.
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13 juillet bon anniversaire à
Hubert Reeves 89 ans (astrophysicien)
Patrick Stewart 81 ans

joyeux 80ème anniversaire à Jacques Perrin
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une pensée pour Robert Forster (act.) qui aurait eu 80 ans aujourd'hui

Harrison Ford 79 ans

happy 75th birthday Cheech Marin (act.)
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Catherine Breillat 73 ans (réal.)
Thierry Boutsen 64 ans (F1 les voitures pas les hôtels :D )
Cameron Crowe 64 ans (réal.)
Christine Kelly 52 ans (journ. télé)
Ken Jeong 52 ans (act.)
Sylvain Mirouf 51 ans (illusionniste)
Bruno Salomone 51 ans (humor., act.)
Pio Marmaï 37 ans (act., Santa et Cie, Comment je suis devenu super-héros)

une pensée pour ces disparus un 13 juillet
Jean Parédès (act.)
Red Buttons (act.)
Sage Stallone (act., fils de Sylvester)
Cory Monteith (act., série Glee)
Lorin Maazel (chef d'orch.)
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Incroyable teaser :lol: :lol: :lol: :lol: :lol: :love: :love: :love: :love: :love:
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NaughtyDog a écrit :
lun. 12 juil. 2021 21:12
FF9 les meilleures scènes c'est les flash-backs, la scène d'action dans la jungle et voilà

tout le reste c'est en-dessous de tout ce qui a été fait dans les épisodes post-Fast Five pour moi
Perso je le préfère aux 6 et 8 :D
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Les Olympiades : une bande-annonce sensuelle pour le retour cannois d'Audiard

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Avant de passer à la moulinette de Cannes, Les Olympiades, le nouveau film de Jacques Audiard, dévoile une bande-annonce élégante et d'une grande sensualité.

Jacques Audiard fait partie des auteurs français les plus suivis, que ce soit dans l’hexagone ou à l’international. Découvert avec Un héros très discret, le réalisateur s'est imposé progressivement au sein du paysage international avec deux coups de maîtres : De battre mon cœur s'est arrêté et de Un prophète, duo de thrillers où la violence côtoie une spiritualité émouvante. Un style et un art consommé de la narration qui l'ont rapproché d'un certain cinéma classique américain, en atteste son dernier film en date : Les Frères Sisters, dans lequel le réalisateur reprend à son compte les codes du western américain.

Et alors que l’on pouvait attendre de son prochain film, un nouveau choc où s'exprime la frénésie et l'agressivité, Jacques Audiard a décidé de se tourner vers l’intime et la difficulté d’appréhender les sentiments au cœur du 13e arrondissement de Paris dans Les Olympiades. Voici sa première bande-annonce



Présent en sélection officielle au Festival de Cannes 2021, Les Olympiades reprend quelque peu les codes du drame amoureux dans un Paris contemporain filmé en noir et blanc, dans lequel quatre personnages vont se rencontrer, devenir amis et amants. Et les premières images détonnent avec le style âpre qu’on a l’habitude de voir chez Audiard.

Dans un cadre plus intime, Jacques Audiard semble même se détacher de son affection pour les personnages masculins en tension avec leur virilité pour se concentrer sur un casting diversifié et plus féminin que d’habitude. En effet, on retrouve trois personnages féminins forts interprétés par Noémie Merlant (Portrait de la jeune fille en feu), Jehnny Beth (Haut les filles, Kaamelott - Premier Volet) et Lucie Zhang, dont c’est la première apparition à l’écran.

Plongés dans une photographie léchée, ces personnages féminins accompagnés de Camille (Makita Samba) vont semble-t-il explorer leur sexualité. Ces thématiques nouvelles chez le réalisateur sont peut-être à mettre au crédit de Céline Sciamma (Bande de filles, Portrait de la jeune fille en feu) et de Léa Mysius (Ava), qui ont co-écrit le film. Deux scénaristes et réalisatrices prêtes à renouveler les codes de représentation avec talent.

Enfin, le long-métrage de Jacques Audiard sortira le 3 novembre 2021. D’ici là, vous pouvez retrouver notre critique de Annette réalisé par Leos Carax, mais aussi celle sur le drame érotique de Paul Verhoeven, Benedetta, tous deux en compétition pour la Palme d'or cette année.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626176332
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Cannes 2021 : on a vu The French Dispatch, le nouveau délire de Wes Anderson

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Comme (presque) chaque année, Cannes bat son plein, et fait déferler sur la Croisette des centaines de films plus ou moins attendus. Après une ouverture sensationnelle avec Annette, le festival dévoile un peu plus ses films chaque jour. L'heure pour nous de vous livrer notre avis à chaud sur The French Dispatch, déjà présent dans le Label Cannes 2020 mais sélectionné de nouveau en compétition pour la Palme d'or pour l'édition 2021.

De quoi ça parle ? L'histoire du magazine The French Dispatch à travers les reportages de son ultime numéro, suite au décès de son fondateur et directeur de publication.

C’était comment ? C'est peu de dire qu'il était attendu ce nouveau métrage de Wes Anderson. Le cinéaste signe ici son retour au cinéma en live-action, alors que sept ans se sont écoulés depuis The Grand Budapest Hotel (et déjà quatre ans depuis le magnifique animé L'île aux chiens). Après de multiples reports pour cause Covid, mais aussi du rachat de la Fox par Disney, The French Dispatch s'est donc dévoilé... et force est de constater que la déception est grande.

Non pas que le dixième film de Wes Anderson soit un gros raté, au contraire, il jouit de qualités hors-normes. D'abord, au niveau de sa direction artistique, toujours aussi dingue. En construisant son récit sur les reportages du dernier numéro du magazine The French Dispatch, l'Américain dispose d'un univers foisonnant à sa disposition entre les entrailles d'une prison, les rues bondées par les manifestations étudiantes, les couloirs d'une rédaction ou tout simplement la ville imaginaire où se déroule l'histoire ; et visuellement, Anderson en tire le meilleur.

Foisonnant de détails, parfois très imaginatif (ce sublime passage animé qui rappelle les grandes heures des Aventures de Tintin)... le long-métrage repose en plus sur une mise en scène d'une précision affolante. Et pourtant, quelque chose cloche.

Certes, le film est dense, riche visuellement et avance à mille à l'heure, mais il tombe rapidement dans l'exercice de style un peu vain malgré ses quelques fulgurances (le segment avec Benicio Del Toro est probablement le meilleur et c'est le premier). Un trop-plein visuel et une densité narrative qui tentent finalement de dissimuler l'absence de propos.

S'il est un hommage évident au journalisme (notamment le New Yorker), à l'art (notamment la BD) et à la France (et toutes ses particularités, dont son pastiche de 68), impossible de ne pas ressentir un sentiment de vide, de vacuité, devant The French Dispatch. Comme un symbole, le récit se déroule à Ennui-sur-Blasé et il y a quelque chose de prémonitoire là-dedans. Car finalement, le long-métrage manque d'une proposition thématique forte et surfe surtout sur son délire narratif pour enchaîner les saynètes avec plus ou moins de réussite (surtout moins).

Plus formaliste qu'autre chose et baignant même dans l'auto-caricature esthétique, The French Dispatch ne parvient jamais à créer d'émotions (l'ensemble étant trop factuel, comme beaucoup de journaux) et c'est ce qui lui manque le plus. Trop bavard pour son propre bien, le long-métrage en oublie d'émouvoir ou de faire rire et ce, malgré un casting totalement hallucinant où la jeunesse de Timothée Chalamet et Lyna Khoudri côtoie aussi bien les pontes de l'industrie hollywoodienne Frances McDormand, Tilda Swinton, Bill Murray et Adrien Brody que la relève du cinéma français Damien Bonnard, Benjamin Lavernhe et Félix Moati.

Ces trois derniers cités n'ont d'ailleurs le droit qu'à un seul plan et une ligne de dialogue (voire pas) et sont loin d'être des cas isolés (Elisabeth Moss sérieux). Un choix qui illustre la crainte qui accompagnait The French Dispatch : la promesse de paillettes et d'éclats a fini en poudre aux yeux.

Et ça sort quand ? Le film sortira sur les écrans français dès le 27 octobre 2021.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626172035
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Pale
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Cannes 2021 : on a vu Stillwater, le (presque) Taken avec Matt Damon et Camille Cottin

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Comme (presque) chaque année, Cannes bat son plein, et fait déferler sur la Croisette des centaines de films plus ou moins attendus. Après des Suprêmes de rappeurs et le Flag Day de Sean Penn, on revient sur une des plus grosses affiches de la sélection officielle : Stillwater, avec Matt Damon et Camille Cottin.

De quoi ça parle ? Du chemin de croix d’un père de famille originaire de l’Oklahoma, débarqué à Marseille pour retrouver sa fille, incarcérée et accusée d’un meurtre qu’elle prétend ne pas avoir commis. Alors qu'il se heurte à un mur institutionnel, il fait la rencontre d'une femme anglophone, désireuse de l'aider et dont la proximité va le bouleverser.

C’était comment ? Les interrogations quant à la nature de Stillwater étaient nombreuses. Le réalisateur oscarisé de Spotlight était évidemment attendu au tournant, d’autant plus que son film paraissait, via sa bande-annonce, pouvoir s’inscrire dans un certain cinéma de genre. En effet, avec son père en quête de justice, sa France décrite comme un terrain hostile et son héros pas beaucoup plus fin que du gros sel, le récit sentait un peu le Taken de derrière les fagots.

Sauf qu’il n’en est rien. Peut-être grâce à la participation des excellents scénaristes Thomas Bidegain et Noé Debre (qui ont tous deux œuvré sur des métrages traitant de l’isolement et de la recherche d’êtres chers), le film dresse un portrait passionnant d’étranger déstabilisé et une description saisissante de la cité Phocéenne. Loin des stéréotypes liés à la représentation de la ville ou la perception américaine de l’Europe et de la France en particulier, Stillwater préfère prendre le pouls de son héros et du décor qu’il traverse.

Un choix bienvenu, qui permet au récit de ne jamais se caricaturer et de toujours privilégier la piste d’un drame humain intense et éprouvant. Dignes et incandescents, Matt Damon et Camille Cottin forment un duo inattendu mais magnétique, aux rapports plus complexes qu’il n’y paraît. Leur dynamique est pour beaucoup dans la réussite du film.

Malgré quelques séquences à la tension formidable, à l’image d’une traque au cœur du stade Vélodrome au milieu d’un match disputé, Todd McCarthy prolonge les limites qui étaient les siennes sur son précédent film. Toujours soucieux de bien faire, il compose un film qui ne commet pour ainsi dire jamais de faux pas, témoigne d’une certaine orfèvrerie, mais qui peine à se trouver une tonalité singulière.

Rien qui interdise de s’investir dans cette (en)quête existentielle, ou d’apprécier les parcours heurtés de ses héros, mais des gares-fous évidents à la force de cette chronique embuée de larmes.

Et ça sort quand ? Juste à temps pour nous filer une petite gifle qui accompagnera la langueur de l’automne, c’est à dire le 22 septembre 2021.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626093145
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L'équipe de The French Dispatch à Cannes :

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Thor 4 sera "le film le plus dingue" de Taika Waititi

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"C'est presque comme si ce film n'aurait jamais dû être fait", assure le réalisateur.

Thor 4, c'est dans la boîte, et le film sera visiblement bien allumé ! Depuis quelques semaines, l'équipe du blockbuster Marvel se répand dans les médias pour faire savoir que le ton de Love and Thunder sera résolument fou.

Dernier en date à prendre la parole, le réalisateur néo-zélandais Taika Waititi - dans Empire - assure avec humour que Thor : Love and Thunder est tellement dingue "qu'il n'aurait jamais dû être fait" !

"Entre nous, j'ai fait des trucs fous dans ma vie. J'ai vécu, genre, 10 vies. Mais c'est le film le plus fou que j'aie jamais fait" , lance celui qui a quand même déjà à son actif la comédie déjantée Vampires en toute intimité.

"Si vous posez sur la table tous les éléments de ce film, cela n'a aucun sens. C'est presque comme si ce film n'aurait jamais dû être fait. Si vous débarquez en disant que vous voulez faire ça et ça, avec ces gens dedans, et en disant que vous voulez appeler le film Amour et tonnerre... Franchement, il y a des chances que vous ne tourniez plus jamais ! Ce sera peut-être le cas d'ailleurs..." rigole Taika Waititi.

Lui qui avait déjà signé le 3e opus, Thor : Ragnarok, révèle aussi que ce 4e volet sera "très différent". Il détaille : "C'est plus fou. Il y aura beaucoup plus d'émotion. Et beaucoup plus d'amour. Et beaucoup plus de tonnerre. Et beaucoup plus de Thor, si vous avez vu les photos..."

Thor : Love and Thunder sortira le 4 mai 2022 au cinéma.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... WkQi6AOMZQ
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 13 juil. 2021 16:56
Cannes 2021 : on a vu Stillwater, le (presque) Taken avec Matt Damon et Camille Cottin
Aïe :sweat:
Ouf :D
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robinne a écrit :
mar. 13 juil. 2021 17:16
Pale a écrit :
mar. 13 juil. 2021 16:56
Cannes 2021 : on a vu Stillwater, le (presque) Taken avec Matt Damon et Camille Cottin
Aïe :sweat:
Ouf :D
Non mais ils disent que ça s'en éloigne fortement :D
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Zendaya à la première mondiale de Space Jam : Nouvelle ère :

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Pale
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popcorns

Un premier aperçu officiel de Halle Bailey en Ariel dans le remake live de La Petite Sirène dont le tournage vient de se terminer.

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BOX OFFICE STORY
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Elle est pas un peu vielle Halle Berry pour jouer la petite sirène ?
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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NaughtyDog
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Après son premier film Grave (qui ne réinventait rien et restait plus sage que ses influences, mais se révélait carré), Ducournau revient avec Titane


Un ptit coup de boule viscéral où se cotoie l'huile de moteur, le sang et toute sorte de fluide

Ce qui marque d'entrée de jeu c'est que la réalisatrice est en totale possession de ses moyens, et livre un drame humain plongeant là encore une fois vers le cinéma de genre (Crash de Cronenberg et Christine de Carpenter en sont les 2 plus grosses influences, on retrouve même une séquence du 1er impliquant une voiture).


D'entrée de jeu le spectateur est présenté à la protagoniste Alexia (Agathe Rousselle qui fait office de vraie révélation), danseuse pour des salons de tuning, et arborant une plaque de métal en titane dans le crâne suite à un accident dans son enfance. Très vite, le métrage va rentrer dans le lard (après une superbe séquence en plan-séquence) à base de meurtres graphiques.

Là où la première partie (quasi parfaite) enchaine les moments de malaise et bruts de décoffrage (le travail sur le son est tout à fait admirable), Titane se mue ensuite en un autre film. Moins percutant malheureusement, mais plus sensible et touchant au moment où Vincent Lindon débarque (dont la carrure impressionnante laisse in fine transparaitre la sensibilité à fleur de peau du perso).


S'ensuit donc un drame à la trame et aux enjeux un peu plus balisés, là où la 1e partie se voulait surprenante, violente et insaisissable. Un constat qui ne pèse pas bien lourd heureusement vu les irruptions du body horror et le travail sur les chairs de la réalisatrice.


Car en fin de compte l'exploit de Titane n'est pas tant dans sa finalité scénaristique, mais sur la propension de Ducournau à emballer des morceaux filmiques qui nous parlent avant tout aux tripes (et ce jusqu'à un final àla portée fantastique purement Cronenbergienne).


Autre point notable : Titane renverse et bouscule les codes de représentation et de sexe. Sans trop en dire, la métamorphose doit encore une fois à Agathe Rousselle, convoquant à la fois ce qu'il y a de féminin et de purement masculin dans son personnage.


Enfin, il faut saluer la photographie de Rubens Impens et l'excellente BO de Rone, proposant au total une symbiose parfaite avec le rendu organique de la mise en scène de Ducournau.


En bref, Titane est un tremplin pour sa réalisatrice,qui certes ne s'affranchit pas encore totalement de ses influences, mais compte désormais comme une des cinéastes de genre les plus intéressantes et frontales qui soient actuellement !


7.5/10 donc 4/5
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Vu les retours, je me fais Titane ce week-end :hot:
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