Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Wickaël a écrit :
mar. 29 nov. 2022 19:27
Et il y a 10 jours c'était le tien, happy Bday en retard :D
Merci :D :jap:

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Pas déçu par cette série. Pour commencer, Jena Ortega est exceptionnelle dans le rôle, elle m'a bluffé de bout en bout. Outre Mercredi, on découvre d'autres très bons personnages. J'ai adoré l'ambiance et l'intrigue, c'est également une série riche en humour et émotions. Je ne m'attendais pas à passé un aussi bon moment et je serai présent pour la saison 2.
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Pale
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Top des séries vues en 2022 :

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1. Stranger Things - Saison 4
2. Mercredi - Saison 1
3. Ozark - Saison 3
4. Ozark - Saison 4
5. Ozark - Saison 1
6. Ozark - Saison 2
7. House of the Dragon - Saison 1
8. Peaky Blinders - Saison 1
9. Cobra Kai - Saison 4

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10. The Watcher - Saison 1
11. Le Seigneur des Anneaux : Les Anneaux de Pouvoir - Saison 1
12. Cobra Kai - Saison 5
13. Better Call Saul - Saison 6
14. Dahmer : Monstre - L'Histoire de Jeffrey Dahmer - Saison 1
15. The Good Place - Saison 1
16. Living with Yourself - Saison 1
17. La Femme qui habitait en face de la fille à la fenêtre - Saison 1
18. Pam & Tommy - Saison 1

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19. Poupée russe - Saison 2
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Skipper Mike
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Pale a écrit :
dim. 27 nov. 2022 17:15
Mon programme ciné du mois de décembre :

Peut-être :

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Tu l'as mis dans "peut-être" mais je le conseille franchement : c'est un pastiche assumé de Tintin avec influence de La Mort aux trousses, assez différent de ce qu'on voit d'habitude dans le cinéma français. Et c'est d'autant plus surprenant de la part de Nicolas Pariser que, même si de mémoire il était plutôt sympa, Alice et le Maire ne brillait pas forcément par son originalité.
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Skipper Mike
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Pale a écrit :
mar. 29 nov. 2022 15:53
Au Festival de Cannes 2022, Quentin Dupieux (Réalité, Le Daim, Au poste !) recevait une impressionnante standing ovation lors de la séance de minuit de Fumer fait tousser, une parodie absurde de sentai avec notamment Gilles Lellouche et Anaïs Demoustier projetée alors même que son film précédent (Incroyable mais vrai) n’était pas encore sorti en salles. Comment le public cannois a-t-il été séduit par le réalisateur ultra-prolifique qui, à l’heure où on publie, a déjà commencé le tournage de son prochain film ? Quantité peut-elle rimer avec qualité pour Quentin Dupieux, ou sa recette est-elle vouée à tomber dans la facilité ?
J'y étais. Ce que l'article ne précise pas, c'est que cette fameuse standing ovation a eu lieu avant la projection. D'ailleurs Frémaux n'a pas manqué l'occasion d'ironiser : "c'est sans doute la première fois qu'un film reçoit une aussi longue standing ovation à Cannes avant qu'il ne soit présenté, donc j'espère qu'au moins vous l'aimerez !" Et effectivement les applaudissements étaient beaucoup moins nourris après la projection :D

Le film est quand même drôle cela dit, même si je pense que c'est le Dupieux le plus paresseux et que j'ai un peu peur pour la suite.
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Skipper Mike a écrit :
mar. 29 nov. 2022 23:24
Tu l'as mis dans "peut-être" mais je le conseille franchement : c'est un pastiche assumé de Tintin avec influence de La Mort aux trousses, assez différent de ce qu'on voit d'habitude dans le cinéma français. Et c'est d'autant plus surprenant de la part de Nicolas Pariser que, même si de mémoire il était plutôt sympa, Alice et le Maire ne brillait pas forcément par son originalité.
Je note :jap:
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EL n'a pas trop aimé Violent Night (2 étoiles) :

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À chaque Noël sa fournée de films qui capitalisent sur les guirlandes, les boules de neige et les chants traditionnels pour émouvoir les spectateurs. Et parmi ces films, il y a aussi ceux qui essayent (ou font semblant d’essayer) de secouer l’ambiance pour y retrouver un peu de fun. C’est la noble entreprise de Violent Night, nouveau film de Tommy Wirkola (à qui l’on doit déjà Hansel & Gretel : Witch Hunters et Seven Sisters) qui met en scène David Harbour dans le rôle d’un Père plus Fouettard que Noël.

PETIT PAPA NOËL...


Avec Santa & Cie sorti en 2017 et les deux volets des Chroniques de Noël sortis respectivement en 2018 et 2020, un genre bien précis commence à s’installer sur nos calendriers de fin d’année : celui du film familial dont le héros est un Saint-Nicolas dépoussiéré. Il était candide et capricieux dans le cas d’Alain Chabat, et rockeur et classieux dans celui de Kurt Russel. Cette année, c’est le charismatique David Harbour qui s’y colle, après avoir gagné un important capital sympathie auprès du grand public grâce à son rôle du shérif Jim Hopper dans Stranger Things.

Loin du papy enchanté et enchanteur que vendent les illustrations de calendriers de l’avent, ce Santa-là a le Christmas blues, et avant sa tournée du 24, le voilà à se murger dans les bars pour oublier que la nouvelle génération d’une société consumériste croit davantage aux écrans de smartphones qu’à l’esprit de Noël. À quoi bon distribuer des cadeaux en descendant par des cheminées quand tout le monde a remplacé Saint-Nicolas par Jeff Bezos ?

À la fin d’une première séquence presque sympathique, on comprend vite que le film fonce tête baissée dans la facilité : le Père Noël vomit sur la tête des gens parce qu’il a trop bu, pisse sur les toits en plein vol et marche dans de la crotte de renne sans faire attention. La couleur est donnée : le fameux côté rock’n’roll du bonhomme vole moins haut que son traîneau. Et bien que le film s’apparente surtout à une comédie, il peine à récolter quelques sourires et soufflements de nez.

Pourtant, reconnaissons que David Harbour, qui semble s’éclater tellement son enthousiasme est communicatif, donne à certaines séquences un charme inattendu grâce à son interprétation toujours sincère et parfois touchante.

QUAND TU DESCENDRAS… TOUT LE MONDE

Habour s’en donne aussi à cœur joie dans les scènes de baston, et les premières s’avèrent aussi efficaces qu’amusantes, redoublant d’inventivité pour transformer n’importe quelle décoration de Noël en arme redoutable. Mais la formule lasse, les scènes s’allongent, et l’on décroche des crochets de Santa.

Le souci est que le film ne réussit pas sa transition de film de Noël un peu provoc à film d’action gore. L’horreur est amenée trop tardivement et trop timidement (malgré quelques bonnes tentatives vomitives) pour ne pas arriver comme un cheveu sur la soupe. Comment réconcilier les discours gnangnans directement adressés aux enfants autour de la magie de Noël, de l’esprit de famille, de l’importance d’être sage… avec les yeux crevés et les têtes qui explosent ? Soit les mœurs sont devenues beaucoup plus permissives sur ce qui peut être montré à des enfants, soit les adultes se sont mis à aimer les sermons dégoulinants qui leur recommandent d’être gentils comme des agneaux toute l’année. Dans les deux cas, la probabilité est faible.

Au bout de la douzième petite leçon de morale mignonne proférée par la gamine caricaturale que Santa protège, le film commence à sembler long. Très long. Plus ça va et plus ça brode de cliché en cliché, sans qu’on ne parvienne jamais à comprendre à quel public s’adresse le film, et sans que l'on comprenne non plus à quoi sert d’avoir passé autant de temps à présenter des personnages secondaires tous plus pénibles et insignifiants les uns que les autres. Une pensée, toutefois, pour le trop rare John Leguizamo qui parvient à livrer une performance honorable dans le rôle du méchant très méchant qui lui va comme une moufle.

AVEC TES GADGETS PAR MILLIERS

En parlant de s’attarder sur des personnages inutiles, on échoue aussi à comprendre pourquoi le film s’obstine à ébaucher une backstory sur la vie du Père Noël. Deux petits flashbacks isolés semblent évoquer un passé de guerrier vécu à une époque inconnue, élément qui ne resservira presque pas et qui ne sera jamais mis en lien avec son activité actuelle de distributeur de cadeaux.

Manque de moyens ? Montage charcuté ? Tant pis pour le public, qui a renoncé depuis longtemps à trouver une logique dans l’écriture des personnages et dans leurs motivations aussi fluctuantes qu’irrationnelles. En somme, la narration est à l’image d’un montage aux fraises qui abuse d’effets pour dynamiser les plans, mais qui en oublie totalement d’être rythmé ou élégant.

Perdu dans les références qu’il cite à l’écran, Violent Night préfère agiter devant le nez des spectateurs ce à quoi il voudrait ressembler plutôt que ce qu’il est vraiment. Non content de faire dire à la petite fille au début du film qu’elle a regardé Maman, j’ai raté l’avion, le film en propose toute une redite lors d’une séquence au cours de laquelle cette même petite fille tend des pièges à répétition pour neutraliser les méchants. Autre film de Noël à castagne, Die Hard écope aussi de sa dose de clins d’œil appuyés à travers ce Père Noël-John McClane qui se fait une mission d’éliminer en cachette et une à une les brutes qui ont pris le manoir en otage.

Le film s’empresse de citer ses modèles dans ses dialogues, comme pour contrecarrer d’avance les remarques qui souligneraient ses très fortes inspirations. Mais l’avouer n’empêche pas qu’au-delà du squelette de ses références, Violent Night n’a pas grand-chose à proposer par lui-même.

Pourtant un joli pari, le film ne parvient pas à se faire enfant comique de Bruce Willis ou à s’ériger en héritier noir de Macaulay Culkin, et reste malheureusement loin de la fraîcheur, de l’humour sale et de l’esprit feel-good espiègle auquel il prétend. Mention spéciale, tout de même, aux jolies lumières qui clignotent et aux remix nerveux de Jingle Bells et autres Deck the Halls. Mais c’est bien parce que c’est Noël.

Au-delà d’une ou deux scènes de baston assez sympa et d’un David Harbour qui prend joyeusement son pied, Violent Night rate son mélange impossible entre niaiserie familiale et série B timidement gore.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... -5ibHdEhAA
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Mercredi : la série Netflix explose déjà les compteurs

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Netflix a réussi son pari de moderniser la famille Addams avec Mercredi qui pète les records d'audience de la plateforme.

Si adapter à nouveau les personnages créés par Charles Addams à la fin des années 1930 après les nombreuses séries et surtout les films de Barry Sonnenfeld sortis dans les années 1990 ressemblait à une mauvaise idée, Netflix semble avoir relever le défi. Créée par Alfred Gough et Miles Millar, la série centrée sur le personnage de Mercredi Addams (jouée par la fantastique Jenna Ortega) a été produite et en partie réalisée par nul autre que Tim Burton.

Mercredi ou le retour de Tim Burton, a plutôt emballé la presse, mais a surtout réussi à séduire le public. Sortie depuis maintenant une semaine, la série est déjà un petit phénomène. Si vous êtes familier des réseaux sociaux, vous avez surement dû voir passer la scène de la danse de Mercredi, qui a notamment envahi TikTok et qui semble avoir convaincu les plus réfractaires à y jeter un œil.

Comme on pouvait s'en douter, la série a fait exploser les compteurs de Netflix. Selon les chiffres partagés par la société, qui parle en heures de visionnage et pas en nombre de spectateurs, Mercredi a été regardée pendant plus de 341 millions d'heures lors de sa première semaine sur la plateforme et ça, dans le monde entier. Vous avez l'impression que Netflix annonce un nouveau record à chaque nouvelle série ? Ne vous inquiétez pas, nous aussi.

Le record du nombre d'heures visionnées en une semaine pour une série en langue anglaise était détenu par la saison 4 de Stranger Things avec 335 millions d'heures de visionnage. Mais le vrai record, séries en anglais et autres langues confondues, est toujours détenu par Squid Game et ses 571,8 millions d'heures de visionnage lors de sa première semaine sur la plateforme.

Il reste donc à voir si Mercredi continuera sur cette lancée et se retrouvera en haut de la liste des séries les plus regardées après un mois de diffusion. Comme pour le classement des meilleurs démarrages, Stranger Things saison 4 et Squid Game occupent aussi les meilleures places du classement des séries les plus regardées sur leur premier mois avec à leur compteur plus de 1 milliard d'heures de visionnage chacune (1,6 milliard pour Squid Game et 1,3 milliard pour Stranger Things). Mercredi est évidemment disponible sur Netflix et à en croire les rumeurs, la série pourrait être renouvelée pour une deuxième saison.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... xa_TL-RVJM
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Willow : les premiers avis sur la série Disney+ sont là

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Les premiers avis sont tombés pour Willow, la nouvelle série de fantasy de Disney+. Près de 35 ans après le film d’origine, la série fait elle aussi bien ?

Un peu à la manière de l’enchanteur Dark Crystal : le Temps de la résistance sur Netflix, Disney+ tente de ranimer un classique des années 80 sous un format série. On assiste cette fois au retour de Willow, film culte de Ron Howard, qui a fait découvrir l’acteur Warwick Davis dans son premier (et seul) rôle principal, en 1988. Une proposition qui pourrait très bien être une simple exploitation de la nostalgie des fans et une énième suite fade des années plus tard (comme la plateforme nous y habitue désormais avec entre autres des Hocus Pocus 2 ou Il était une fois 2).

Mais d’un autre côté, les quelques miracles, de-ci de-là – comme la série Dark Crystal justement – nous laisse tout de même un peu d’espoir. La fantasy est définitivement de retour ces derniers temps, avec les mastodontes télévisuels qu’étaient Les Anneaux de Pouvoir pour Amazon et House of the Dragon pour HBO. Reste désormais à voir ce que Disney+ se sent capable de nous offrir dans le genre, et avec quelles ambitions. 

Après bien des rôles secondaires attribués dans des productions comme Star Wars ou Harry Potter (en particulier le professeur Flitwick dans chacun des films), Warwick Davis revient ainsi en 2022 sur le devant de la scène. Il incarne à nouveau Willow Ufgood, le fameux Nelwyn magicien, accompagnant de nouveaux héros dans le royaume des fées. Alors, est-ce que ces nouvelles aventures sont elles à la hauteur, au moins, du film d’origine ? Les premiers avis sont déjà tombés. Revue de presse. 

"Willow est un rare régal, la réponse de la fantasy à Top Gun : Maverick qui donne aux fans exactement tout ce qu’ils voulaient et même bien davantage." Collider

"On a finalement une suite à la saga Willow avec l’âme et le cœur que l’histoire mérite. La nouvelle série de Disney+ est une hilarante et absolument enchanteresse continuation du classique de Lucasfilm. Au lieu d’aller se perdre dans une nouvelle esthétique plus sombre et dans une intrigue à énigmes, Willow embrasse toute la candeur de son support original. Willow est un tour de force de fun, de fantasy et de frivolité." Decider

"La série est plus intéressante [que le film], avec de meilleures caractérisations de personnages, des intrigues moins prévisibles et des blagues plus percutantes. Le film était vaguement humoristique, mais la série s’installe légitimement comme une comédie entre les scènes de suspens et de violence. [...] Habituellement, les suites diminuent l’œuvre originale, mais ce retour de Willow est absolument gagnant." Los Angeles Times

"Nous avons ici une œuvre de fantasy traditionnelle extrêmement assumée, qui ne prétend jamais au style sinistre de Game of Thrones ou à la profondeur du Seigneur des Anneaux. Mais on y trouve aussi des personnages attachants, des scènes inquiétantes et des péripéties très divertissantes. Au final, la série se repose bien moins sur la nostalgie que sur l’envie d’étendre l’univers du film original afin de se pencher sur la complexité de celui-ci et de ses nouveaux personnages. Et c’est un régal." Empire

"Ce Willow est bien étrange. Une série qui n’arrive pas à décider ce qu’elle veut être ni à quelle audience elle veut s’adresser. Par bien des aspects, c’est divertissant, mais souvent très inégal." Rolling Stone

"[Willow] ne parvient à retrouver son éclat de vie que lorsque [Warwick] Davis joue les facétieux ou prend la tête de l’équipe, ce qui n’est pas assez fréquent. [...] En se basant sur cette nouvelle introduction, Willow ressemble de manière générale à une autre exploitation de franchise sans utilité." The Daily Beast

"Disney+ entre dans le grand bal des séries de fantasy de 2022 avec son Willow qui pourrait ressembler de loin à une version Disney Channel des Anneaux de Pouvoir et de House of the Dragon... Si toutefois vous parvenez à dépasser les premiers épisodes, vous serez justement récompensé. Les acteurs se calment et leurs caractères adolescents se développent dans de plus larges dimensions. L’action et la construction du monde s’améliorent de semaine en semaine ; et l’autodérision de l’œuvre est vraiment rafraîchissante en comparaison des productions super sérieuses de Prime Video et HBO." San Francisco Chronicle 

"La plupart des problèmes de la série sont dans le premier épisode et, après ça, Willow commence à montrer son potentiel. Les fans qui tiennent le film original en haute estime risquent d’être très agréablement surpris." Paste Magazine

Des retours somme toute assez positifs en enthousiastes bien qu’il soit utile de les prendre avec précaution. Beaucoup auront jugé la série sur un nombre limité d’épisodes (par exemple, à Écran Large nous avons reçu les sept premiers sur huit en tout, et on en parle très vite) et les avis semblent aussi différents en fonction du nombre d'épisodes visionnés par chaque rédaction. Si certains louent sa fantasy traditionnelle assumée et l’efficacité de son univers, d’autres sont un peu plus déçus par une œuvre qui semble aussi hybride que dispensable.

Néanmoins, plusieurs critiques suggèrent de s’accrocher sur les premiers épisodes pour que la série se révèle réellement. Par la force des choses, elle est aussi souvent comparée aux super productions d’Amazon Prime Video et HBO. Plus légère et moins grandiloquente, c’est surtout l’autodérision de Willow qui trancherait avec la concurrence et rendrait la série rafraîchissante, en face des Games of Thrones et Seigneur des Anneaux. 

Les deux premiers épisodes de Willow ont débarqué sur Disney+ ce 30 novembre. La plateforme proposera ensuite un nouvel épisode chaque mercredi jusqu’à la fin de cette première saison. 


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 4E4L78IkAA
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Pale a écrit :
mer. 30 nov. 2022 18:53
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Comment ça ils ont produit une seconde origin story ? :wut: mince va falloir que je me mettes à jour avec j'ai pas vu la première 1883 et en plus la nouvelle saison 5 de yellowstone est en cours de diffusion :lol: :cry:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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weird

Pale a écrit :
mer. 30 nov. 2022 15:43
Skipper Mike a écrit :
mar. 29 nov. 2022 23:24
Tu l'as mis dans "peut-être" mais je le conseille franchement : c'est un pastiche assumé de Tintin avec influence de La Mort aux trousses, assez différent de ce qu'on voit d'habitude dans le cinéma français. Et c'est d'autant plus surprenant de la part de Nicolas Pariser que, même si de mémoire il était plutôt sympa, Alice et le Maire ne brillait pas forcément par son originalité.
Je note :jap:
Je note aussi. Merci @Skipper Mike :jap:


@ClintReborn
T’étais où toi ?
Parti en vacances j’espère :sweat:
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robinne a écrit :
mer. 30 nov. 2022 21:19


@ClintReborn
T’étais où toi ?
Parti en vacances j’espère :sweat:
:??: :??: :??:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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weird

ClintReborn a écrit :
mer. 30 nov. 2022 23:52
robinne a écrit :
mer. 30 nov. 2022 21:19


@ClintReborn
T’étais où toi ?
Parti en vacances j’espère :sweat:
:??: :??: :??:
Au temps pour moi :o
J’avais la sensation que tu n’avais pas laissé un message depuis un certain temps :o
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robinne a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 07:31
ClintReborn a écrit :
mer. 30 nov. 2022 23:52
robinne a écrit :
mer. 30 nov. 2022 21:19


@ClintReborn
T’étais où toi ?
Parti en vacances j’espère :sweat:
:??: :??: :??:
Au temps pour moi :o
J’avais la sensation que tu n’avais pas laissé un message depuis un certain temps :o
Il a ptet une nouvelle copine. :o
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Next a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 08:03
robinne a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 07:31
ClintReborn a écrit :
mer. 30 nov. 2022 23:52


:??: :??: :??:
Au temps pour moi :o
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robinne a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 07:31
ClintReborn a écrit :
mer. 30 nov. 2022 23:52
robinne a écrit :
mer. 30 nov. 2022 21:19


@ClintReborn
T’étais où toi ?
Parti en vacances j’espère :sweat:
:??: :??: :??:
Au temps pour moi :o
J’avais la sensation que tu n’avais pas laissé un message depuis un certain temps :o
Je suis un bot je suis programmé pour rester dans les parages :o :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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EL n'a pas aimé Troll (1 étoile) :

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Que se passe-t-il chez Netflix ? Non vraiment, on pose sérieusement la question. Car après Medieval (qui n'était toutefois pas une production Netflix), Troll de Roar Uthaug, réalisateur du reboot de Tomb Raider, est encore un film-algorithme sans la moindre particule de vie. Comme une nouvelle définition de la vallée de l'étrange appliquée aux films, voici la caricature de film Netflix dans toute sa splendeur. Troll ressemble à un film, a l'odeur d'un film, raconte une histoire comme un film, mais donne le sentiment glaçant d'être une simulation d'expérience émotionnelle appelée œuvre d'art, piloté par une intelligence artificielle.

TROLLER IN A TROLL LAND


Faire un film, c'est difficile. Tout le monde le suppose, mais tout le monde ne le perçoit pas complètement. Surtout, tout le monde ne se rend pas compte de la quantité de longs-métrages de tierce zone qui, faute de diffuseur ou d'écho suffisant, ne trouvent même pas le chemin des salles ni même des festivals. Et on ne parle pas de films d'auteurs inconnus, de pépites si obscures qu'elles ne voient jamais le jour, mais bien de machins informes, de simulacres d'œuvres d'arts ou même simplement de récits. 

Troll de Roar Uthaug est de ceux-là, un film qui rappelle immédiatement l'inconsistance de Medieval sorti également sur Netflix (même si pas produit par la plateforme). Soit une œuvre fondamentalement plate et vide, qui s'appuie désespérément sur une culture locale et des éléments de folklore pour cacher sa véritable nature de contenu pensé pour (par ?) un algorithme attrape-touriste. À ceci près que Troll n'a même pas la politesse d'avoir la violence exacerbée de Medieval, ni les armures, ni les châteaux. À la place : des militaires, une photographie terne comme Netflix sait si bien les faire, des effets spéciaux moches, qui rendent cette nouvelle montagne de néant imprenable.

TROLL METAL JACKET

Après la République Tchèque, la Norvège donc, mais autant dire qu'après l'ennui vient encore plus d'ennui dans cette espèce de crossover entre Godzilla, Benjamin Gates et Jurassic Park. Pour se donner un semblant de personnalité, Troll tente en effet un mélange improbable entre gros monstres méchants en apparence, mais gentil si on lui fait des papouilles derrière les oreilles et cryptocomplotisme christiano-monarchique ayant pour but d'écraser le folklore païen norvégien. Tout cela en compagnie d'une paléontologue comme personnage principal accompagné d'un vieux fou lancé dans un projet auquel personne ne croit pour nous pondre une bonne vieille fable sur l'écologie, la famille et les contes de fées.

Sauf que, de ces trois modèles, Troll n'a ni le sens de la terreur de Godzilla le destructeur, ni le ludisme aventurier de l'intrépide Benjamin Gates, ni la capacité d'émerveillement du bucolique Jurassic Park. Ou plutôt, Troll n'en reprend que la surface, singe tous leurs clichés sans même essayer de les servir avec une énergie renouvelée. On ne saurait réduire un film à quelques ingrédients magiques secoués vite fait bien fait dans un shaker. Or, tout ici n'est que formule, une gigantesque liste de course : structure narrative, retournements de situations, personnages (la scientifique badass mais tête brûlée, la figure paternelle qui meurt, l'intello maladroit rigolo qui bégaye...). Même les blagues sont sous vide.

FOR WHOM THE BELL TROLLS

Quelque part, Troll nous en dit plus sur Tomb Raider que sur Troll lui-même, qui n'est rien d'autre qu'un film raté et ennuyeux de plus, un nouveau renfort de combustible pour nourrir le réacteur Netflix et qui finira par agrandir sa montagne de déchets nucléaires. On aurait vite fait de se dire que Tomb Raider est une commande de studio et que par conséquent, sa mauvaise qualité et son absence complète de personnalité sont dues à la cupidité de quelques cols blancs ne comprenant que la novlangue managériale. Mais, un peu comme pour Colin Trevorrow, il n'y avait de toute façon rien à espérer de Roar Uthaug, même en tant que yes-man émulateur de Steven Spielberg, et Troll en fait la démonstration.

Même investi dans un projet plus personnel dont il est l'auteur, le cinéaste se montre incapable d'accomplir sa tâche la plus élémentaire de metteur en scène, à savoir, donner de la puissance dramatique aux images qui défilent devant nos yeux apathiques. Une certaine expérience de la mort cérébrale, à quelques exceptions involontairement hilarantes d'un scénario invraisemblable où l'on combat un géant de 15 mètres grâce à un convoi de cloches bénies transportées par hélicoptères, et où un état-major militaire a besoin d'une paléontologue ratée pour confirmer qu'une trace de pied est bien une trace de pied.

Ne jetons pas la pierre : on n'est pas encore certain que ce film généré aléatoirement par ordinateur est bien un film. La suite annoncée par la scène post-générique (soupirs) nous le confirmera peut-être.

Troll est disponible depuis le 1er décembre 2022 sur Netflix

Après le nanar, après le navet, Netflix est à deux doigts de créer une nouvelle catégorie de mauvais cinéma : le navrant, dont la caractéristique n'est pas de mal raconter ou de raconter n'importe quoi, mais de ne pas vouloir raconter. Des films sans but, qui n'existent ni par envie ni par nécessité artistique ou ludique, mais par pur besoin de capter l'attention, d'être là. À moins de faire du Heidegger, des films qui trollent en somme.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 05cwiJg8Go

Ça ne m'empêchera pas de la mater ce week-end :D
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Pale
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Ang Lee va réaliser le biopic de Bruce Lee, avec son fils dans le rôle principal

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Mason Lee jouera Bruce Lee pour Ang Lee dans un film sur la vie de Bruce Lee.

Est-ce la vision de Bruce Lee dans Once upon a Time in Hollywood qui a entraîné l'envie de faire un vraie biopic consacré à la légende des arts martiaux ? En tout cas, Sony prépare un film consacré à l'histoire de Bruce Lee, qui sera dirigé par Ang Lee.

Le réalisateur oscarisé de L'Odyssée de Pi et Brokeback Mountain mettra en scène son propre fils, Mason Lee, qui jouera le rôle de Bruce Lee.

Dan Futterman (qui avait écrit le biopic sur Truman Capote) signera le scénario.

Bruce Lee est décédé en 1973 à l'âge de 32 ans. Il a connu un bref passage à Hollywood, mais qui a marqué toute une époque avec des films comme La Fureur de vaincre (1972) ou la série télévisée The Green Hornet, qui ont largement contribué à populariser les arts martiaux à travers le monde à la fin des années 1960 et au début des années 1970.

"Accepté comme ni entièrement américain ni entièrement chinois, Bruce Lee était un pont entre l'Est et l'Ouest qui a présenté le Kung Fu chinois au monde. Il était un scientifique du combat et un artiste emblématique qui a révolutionné à la fois les arts martiaux et le cinéma d'action. Je me sens obligé de raconter l'histoire de cet être humain brillant et unique qui aspirait à l'appartenance, possédait un pouvoir énorme dans 60 kilos et qui, grâce à un travail acharné et inlassable, a transformé des rêves impossibles en réalité" commente Ang Lee dans un communiqué. 

Aucune date pour le moment.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -GHO8fD3lc
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 0kRI-PDX4E
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Wickaël
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Pale a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 15:41
Ça ne m'empêchera pas de la mater ce week-end :D
Pareil :D

Un film qui a l'air surprenant c'est Cocaine Bear :lol:
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Pale a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 18:54
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:hello: je ne vois pas Dylan O'Brien
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Wickaël a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 18:40
Pale a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 15:41
Ça ne m'empêchera pas de la mater ce week-end :D
Pareil :D

Un film qui a l'air surprenant c'est Cocaine Bear :lol:
J'ai entraperçu vite fait la bande-annonce :D

Ce soir je vais voir Violent Night, j'espère voir un truc bien jouissif :D
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Kit a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 19:07
Pale a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 18:54
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:hello: je ne vois pas Dylan O'Brien
:hello: J'avais lu il y a longtemps qu'il ne sera pas dans le film.

Bon perso j'ai même pas vu la série :D

Moi j'ai juste vu ceci :

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Bon j'avoue, ça a l'air assez hilarant :D
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J'envisage, dans un futur proche, de me lancer dans Twin Peaks (enfin). J'aimerais savoir s'il faut commencer par la série ou le film ?
Kahled
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Wickaël a écrit :
ven. 2 déc. 2022 09:17
:hello:

J'envisage, dans un futur proche, de me lancer dans Twin Peaks (enfin). J'aimerais savoir s'il faut commencer par la série ou le film ?
La série d’abord (impérativement). Le film après (celui-ci s’adresse aux initiés de la série et sur le plan pratique, si tu le vois avant, ça va te spoiler la première moitié de la série).

Voici même l’ordre exact :

Saison 1
Saison 2
Le film
Saison 3

:D
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Kahled a écrit :
ven. 2 déc. 2022 09:24
Wickaël a écrit :
ven. 2 déc. 2022 09:17
:hello:

J'envisage, dans un futur proche, de me lancer dans Twin Peaks (enfin). J'aimerais savoir s'il faut commencer par la série ou le film ?
La série d’abord (impérativement). Le film après (celui-ci s’adresse aux initiés de la série et sur le plan pratique, si tu le vois avant, ça va te spoiler la première moitié de la série).

Voici même l’ordre exact :

Saison 1
Saison 2
Le film
Saison 3

:D
Officieusement, le film est un prequel. Mais c'est un prequel qui te pourrit la série car tout est éventé :lol:
En fait le film, chef d'oeuvre après la saison 2, doigt d'honneur avant la série :lol:

Donc officiellement c'est:

Fire walk with me
Saison 1 2 et 3

Mais choisir la chronologie de Khaled, c'est le mieux.

Perso je rajouterais cependant que faire la saison un jusqu'à l'épisode 7 de la saison c'est top. Et j'ai presque envie de faire l'impasse jusqu'à l'épisode 14 ou 15 tant ceci sont chiants a mourir et ne font rien, je trouve, avancer. La série reprend son souffle avec le joueur d'échec.
Tout cela a cause du diffuseur d'époque qui a pressé Lynch a révélé le tueur de Laura. Celui ci a lâché la bombe au premier tiers de la saison 2 et a ramer pour le deuxième tiers avant de repartir sur de bon rail sur le dernier tiers
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Wickaël
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Kahled a écrit :
ven. 2 déc. 2022 09:24
Wickaël a écrit :
ven. 2 déc. 2022 09:17
:hello:

J'envisage, dans un futur proche, de me lancer dans Twin Peaks (enfin). J'aimerais savoir s'il faut commencer par la série ou le film ?
La série d’abord (impérativement). Le film après (celui-ci s’adresse aux initiés de la série et sur le plan pratique, si tu le vois avant, ça va te spoiler la première moitié de la série).

Voici même l’ordre exact :

Saison 1
Saison 2
Le film
Saison 3

:D
Merci
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Pale
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NaughtyDog a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 22:19
Le film s'intitule donc Indiana Jones et le Cadran de la Destinée chez nous.

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Pale
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Wickaël a écrit :
ven. 2 déc. 2022 10:01
Merci
Tout a été dit. Peut-être que les deux premières saisons te paraitront un peu désuètes mais la troisième est exceptionnelle. Le film l'est aussi.
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Pale a écrit :
ven. 2 déc. 2022 10:59
NaughtyDog a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 22:19
Le film s'intitule donc Indiana Jones et le Cadran de la Destinée chez nous.

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C'est un peu ce que je craignais avec cette B.A on fait beaucoup de camouflage et flashback pour redonner vie à Indiana Jones jeune :saint: Reste à savoir ce que cela donnera au final :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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robinne
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weird

ClintReborn a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 12:46

Je suis un bot je suis programmé pour rester dans les parages :o :lol:
Un bot n’utilise pas le mot « parages » :p
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ClintReborn
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robinne a écrit :
ven. 2 déc. 2022 19:21
ClintReborn a écrit :
jeu. 1 déc. 2022 12:46

Je suis un bot je suis programmé pour rester dans les parages :o :lol:
Un bot n’utilise pas le mot « parages » :p
Faux il utilise aussi le mot fardeau :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Kit
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Pale a écrit :
mar. 29 nov. 2022 20:36
Wickaël a écrit :
mar. 29 nov. 2022 19:27
Et il y a 10 jours c'était le tien, happy Bday en retard :D
Merci :D :jap:

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Pas déçu par cette série. Pour commencer, Jena Ortega est exceptionnelle dans le rôle, elle m'a bluffé de bout en bout. Outre Mercredi, on découvre d'autres très bons personnages. J'ai adoré l'ambiance et l'intrigue, c'est également une série riche en humour et émotions. Je ne m'attendais pas à passé un aussi bon moment et je serai présent pour la saison 2.
je découvre aussi cette série, vu pour l'instant le 1er épisode, j'aime bien. surpris que l'actrice ait 20 ans, je peux me permettre donc de la trouver très jolie.

quelques anniversaires
Diane Kurys 74 ans réal/actr (Diabolo menthe)
Daryl Hannah 62 ans actr (Blade Runner, Splash, L'Affaire Chelsea Deardon, Roxanne, Wall street, Kill Bill)
Julianne Moore 62 ans actr (Le Monde perdu : Jurassic Park, The Big Lebowski, Hannibal)
Brendan Fraser 54 ans act (George de la jungle, saga La Momie)
Holly Marie Combs 49 ans actr (Un Drôle de shérif, Charmed)
Amanda Seyfried 37 ans actr
Jake T. Austin 28 ans act (Les Sorciers de Waverly Place)
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Nouvelle image de Evil Dead Rise :

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Emancipation : les premiers avis sur le film d'esclavage avec Will Smith sont tombés

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Les premières critiques sur Emancipation, le film sur l'esclavage d'Antoine Fuqua avec Will Smith, sont arrivées.

Alors que la société américaine est entrée dans une ère marquée plus que jamais par les divisions, symbolisée par la fracture politique béante entre partisans démocrates et républicains, le cinéma doit relever son rôle pédagogique et assumer le devoir de mémoire que certains préfèrent ignorer désormais. Un rôle que certains metteurs en scène ont endossé avec succès ces dernières années – Spike Lee avec BlacKkKlansman, Kathryn Bigelow avec Detroit ou Jeff Nichols avec Loving – pour évoquer brillamment l’héritage raciste d’une nation.

C’est pourquoi le long-métrage Emancipation d’Antoine Fuqua avec Will Smith était censé arriver au bon moment, tant, a priori, les premières images laissaient entrevoir un traitement sans concession des affres de l’esclavage, à l’instar du Mandingo de Richard Fleischer. Malheureusement, Emancipation est largement pénalisé depuis la gifle de Will Smith aux Oscars. Et Antoine Fuqua a beau défendre son film sur l’esclavage ainsi que Will Smith, le film risque de faire un sacré bad buzz malgré son sujet. En attendant d'en être sûr, les premières critiques ont rendu leur verdict sur Emancipation. Revue de presse.

« Emancipation est finement construit autour d’une course-poursuite implacable et haletante, menée contre un esclave essayant d’obtenir sa liberté dans La Louisiane des années 1860. Et point le plus notable, Will Smith est terrifiant dans cette histoire. » The Telegraph

« Porté par un Will Smith ultra-concentré et inhabituellement discret dans le rôle de Peter, Emancipation est un film intense et parfois insoutenable, avec ses cadres minutieusement composés, presque en noir et blanc, désaturés au point de ressembler aux sinistres tableaux de champs de bataille du photographe de la guerre de Sécession Matthew Brady. » Variety

« Emancipation, drame d’époque bien rodé et axé sur les horreurs de l’esclavage, dévoile davantage la palette émotionnelle de Smith ainsi que l’intensité dramatique dont il peut faire preuve. Qualité qu’il affiche à la fin de sa carrière et qui lui avait valu l’Oscar pour La Méthode Williams l’année dernière. » New York Post 

« Malgré l’importance indéniable de cette histoire et la passion évidente de ceux qui l’ont racontée, Emancipation est avant tout un film d’action d’époque relativement standard – et c’est dommage, car nous avons quelques aperçus de ce qu’il aurait pu être et c’est dommage. » Chicago Sun Times

« Emancipation ne s’affranchit pas des procédés usuels des histoires d’esclavage et n’offre pas une perspective particulièrement nouvelle sur celles-ci. Il est meilleur lorsqu’il s’appuie sur d’autres aspects et lorsqu’il s’attarde sur la performance remarquable et discrète de Will Smith. » Empire 

«Parce qu’il confirme brutalement que ce pays a été construit sur la haine et sur la mort, Emancipation parvient à vous ébranler même s’il ne révèle rien de nouveau. Pourtant, certains pourraient avancer aujourd’hui qu’un violent rappel est nécessaire à l’heure où une partie de la société souhaite délibérément ignorer le passé et empêcher les nouvelles générations de le connaître. Pour les spectateurs qui seraient motivés pour voir le film sur Apple TV+, arriver à le supporter pourrait s’avérer très difficile. » The Wrap

«Certes, les cinéphiles américains ont l’habitude de suivre des leçons d’histoire avec une bonne dose d’édulcorant, mais le scénario de William N. Collage dénature la saga de Gordon avec tant de tropes hollywoodiens agaçants que les trucs de genre surchargés paraissent presque plus honnêtes en comparaison. » IndieWire

«Le drame s’effiloche lorsqu’il s’éloigne des marécages, rendant la situation politique de l’époque presque secondaire face au spectacle visuel d’une fuite éprouvante. » The Hollywood Reporter

«Emancipation ne donne jamais l’impression de raconter la véritable histoire derrière la photo. Ou comment la douleur d’un homme est devenue l’emblème des maux d’une nation entière. » The Independent

Ces premiers retours mitigés soulignent principalement la mise en scène fort académique d’Antoine Fuqua et son incapacité à apporter un regard neuf sur le sujet. Beaucoup dénotent aussi le caractère insoutenable du long-métrage. En revanche, tous saluent l’énorme performance de Will Smith, dans la lignée de son interprétation de Richard Williams. En France, pour se faire son opinion, Emancipation sortira ce 9 décembre 2022 uniquement sur Apple TV+.


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