Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale a écrit :
dim. 24 janv. 2021 20:10
Oui je me souviens parfaitement de mes 3 séances :D
Me souviens avoir été proche de l'endormissement dans la salle sur la dernière demi-heure du Retour du Roi. :saint:
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Pale
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Next a écrit :
dim. 24 janv. 2021 20:39
Me souviens avoir été proche de l'endormissement dans la salle sur la dernière demi-heure du Retour du Roi. :saint:
Je me souviens que certains avaient trouvé le temps long sur la fin :D

Sinon cette semaine je vais pouvoir alimenter mon top des films sortis en 2021 grâce à Netflix :D

Mon programme du week end prochain :

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Peut-être :

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Kit
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je trouve que Naomi Watts vieillit bien, elle est sereine sur l'affiche
tiens elle est Britannique, je la croyais Australienne
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robinne
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weird

bewyder a écrit :
sam. 23 janv. 2021 18:54
robinne a écrit :
sam. 23 janv. 2021 10:51
Je l’ajoute à ma liste pour le regarder dans ma salle de ciné perso, sans bruit de popcorn ou écran bleuté de téléphone :o
Tu choisis quelle place en général ? Tu varies un peu d'une séance à l'autre ? Est-ce que tu parles pendant ? Est-ce que tu mets les pieds sur le siège de devant ?
Soit à gauche, soit à droite, même si je préfère le milieu du rang, mais la place est souvent plus abîmée :o
Parler durant le film ? :grrr:
Je me mets au premier rang, comme ça je n'ai pas à mettre les pieds sur le siège de devant :o
Cocu a écrit :
ven. 22 janv. 2021 21:26
Le SDA sur grand écran 😍😍😍
Je l'avais vu dans un cinéma parisien qui a disparu : celui Place d'Italie. Une salle immense, pleine. C'était impressionnant :wut:
Pale a écrit :
dim. 24 janv. 2021 21:39
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Les Espagnols apprécient les vues aériennes :o
Ca m'a tout de suite fait penser à La Isla Minima :
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robinne
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weird

Kit a écrit :
lun. 25 janv. 2021 10:34
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je trouve que Naomi Watts vieillit bien, elle est sereine sur l'affiche
tiens elle est Britannique, je la croyais Australienne
Ah oui, tiens, je pensais comme toi :jap:
En 1982, la famille quitte le Royaume-Uni pour l'Australie, Naomi a alors 14 ans. Sa grand-mère maternelle étant australienne, l'obtention des documents nécessaires est facilitée et permet à Naomi et à sa famille d'acquérir la nationalité de leur pays d'accueil.

Myfanwy travaille ensuite en tant que décoratrice pour des publicités télévisées puis devient costumière pour le soap opera Return to Eden.

Sur sa nationalité, l'actrice explique :
« Je me considère britannique et j'ai de très bons souvenirs de la Grande-Bretagne. J'ai passé les 14 premières années de ma vie en Angleterre et au Pays de Galles et je ne voulais pas partir. Quand j'étais en Australie, je revenais souvent en Angleterre. » Mais elle a aussi exprimé son attachement à l'Australie : « Je suis très connectée à l'Australie, quand on me demande où se trouve ma maison, je réponds en Australie, où mes souvenirs sont les plus forts. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Naomi_Watts#Jeunesse
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Kit
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robinne a écrit :
lun. 25 janv. 2021 12:03
Kit a écrit :
lun. 25 janv. 2021 10:34
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je trouve que Naomi Watts vieillit bien, elle est sereine sur l'affiche
tiens elle est Britannique, je la croyais Australienne
Ah oui, tiens, je pensais comme toi :jap:
En 1982, la famille quitte le Royaume-Uni pour l'Australie, Naomi a alors 14 ans. Sa grand-mère maternelle étant australienne, l'obtention des documents nécessaires est facilitée et permet à Naomi et à sa famille d'acquérir la nationalité de leur pays d'accueil.

Myfanwy travaille ensuite en tant que décoratrice pour des publicités télévisées puis devient costumière pour le soap opera Return to Eden.

Sur sa nationalité, l'actrice explique :
« Je me considère britannique et j'ai de très bons souvenirs de la Grande-Bretagne. J'ai passé les 14 premières années de ma vie en Angleterre et au Pays de Galles et je ne voulais pas partir. Quand j'étais en Australie, je revenais souvent en Angleterre. » Mais elle a aussi exprimé son attachement à l'Australie : « Je suis très connectée à l'Australie, quand on me demande où se trouve ma maison, je réponds en Australie, où mes souvenirs sont les plus forts. »
https://fr.wikipedia.org/wiki/Naomi_Watts#Jeunesse
:jap: pour les éclaircissements :) :hello:
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ClintReborn
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Oui enfin c'est kif kif Angleterre Australie c'est le commonwealth et la même reine l'identité Britannique y est très Britannique alors la "nationalité" c'est surtout une question de distances :o :D Les véritables Australiens étant les aborigènes :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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ClintReborn
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:lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pale
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robinne a écrit :
lun. 25 janv. 2021 11:57
Soit à gauche, soit à droite, même si je préfère le milieu du rang, mais la place est souvent plus abîmée :o
Je me mets également aux extrémités, ça attire moins de monde et je préfère :D
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Sans un bruit 2 : le thriller avec Emily Blunt encore repoussé à cause de la pandémie

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Après les films de Sony, c'est au tour de la Paramount de se replier face à la pandémie et de décaler à nouveau le film Sans un bruit 2 avec Emily Blunt.

Après le carton du premier volet, la franchise Sans un bruit prépare déjà un troisième opus écrit et réalisé par Jeff Nichols (Shotgun Stories, Take Shelter, Midnight Special) dont le dernier long-métrage en tant que réalisateur, Loving, remonte à 2016. Mais avant de découvrir ce qui a toutes les chances d'être un spin-off, le public doit encore retrouver la famille Abbott dans Sans un bruit 2, qu'on devrait avoir vu depuis mars 2020 si la crise sanitaire mondiale n'avait pas flingué l'agenda mondial des sorties.

La suite du thriller horrifique a été un des premiers films à décaler sa sortie, passant ainsi de mars 2020 au 4 septembre 2020, puis au 21 avril 2021. Mais comme la propagation du virus est loin d'avoir été endiguée et que la fermeture des salles devrait durer encore quelques mois, Variety a rapporté que la Paramount avait une troisième fois retardé son thriller avec une nouvelle date calée au 17 septembre 2021 aux États-Unis et probablement une date avoisinante en France.

Ce report fait suite à ceux de Mourir peut attendre, et de plusieurs films de Sony, notamment Morbius, Uncharted (toujours aussi maudit), S.O.S. Fantômes : L'Héritage et Pierre Lapin 2 : Panique en ville. D'autres studios devraient également revoir leur calendrier, en particulier pour les films prévus à l'affiche au printemps prochain et au début de l’été (certains comme Black Widow ayant des "chances" de se retrouver directement en streaming sur Disney+).

Sans un bruit 2 est à nouveau réalisé par John Krasinski qui faisait également partie du casting principal dans le premier opus. Le casting sera une fois de plus composé d'Emily Blunt, Millicent Simmonds et Noah Jupe, ainsi que de deux nouvelles recrues, Cillian Murphy et Djimon Hounsou qui devraient aider la famille Abbott à survivre face aux créatures à l'ouïe extra-fine, dont l'origine devrait enfin être dévoilée.

En attendant, notre critique de Sans un bruit est de ce côté. Pour retrouver les premiers avis sur Sans un bruit 2, c'est par ici et pour revoir la dernière bande-annonce, c'est par là.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... aNTxRVQ4T0
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EL a modérément apprécié Le Tigre blanc (3 étoiles) :

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Presque 7 ans après 99 Homes et 3 ans après sa version de Fahrenheit 451, Ramin Bahrani revient avec une coproduction indo-américaine plus indo qu'américaine, car elle adapte un best-seller local si célébré que son pendant cinématographique paraissait inévitable. Du pain béni pour Netflix, friand d'auteurs prestigieux et de fresques sociales. La plateforme a donc acquis les droits à l'internationale, facilitant l'accès à un film dont la distribution s'annonçait compliquée puisque son casting se compose notamment de Adarsh Gourav, Rajkummar Rao et de Priyanka Chopra, une des actrices les plus populaires d'Inde.

La malédiction de l’adaptation


Flashforward, freeze frame, voix off… Les premières minutes du Tigre blanc ne font pas dans la subtilité. C’est souvent le problème quand on adapte un roman à la notoriété toute fraîche, surtout un roman aux aspirations sociales aussi ambitieuses. Car l’intrigue du livre, et donc du film, s’articule autour de l’histoire d’un arriviste, qui franchit les nombreux plafonds de verre de la société indienne parfois en dépit de certaines règles morales.

Un récit très classique dans sa construction qui traite donc de deux facettes du pays, décrites par le personnage principal comme lumineuses ou sombres. Les adaptations de ce type d’essais ont souvent comme contrainte la représentation du chemin de pensée du protagoniste et la longue période de temps au cours de laquelle se déroule l’action, débordant logiquement du cadre d’un long-métrage.

Et Le Tigre blanc ne déroge pas à la règle, réglant ces quelques problèmes comme tant d’autres avant lui : avec une voix off omniprésente. Le prétexte ici est un mail, qui excéderait probablement la taille imposée par n’importe quel service de messagerie s’il devait être envoyé un jour. Inutile d’essayer de comprendre les contradictions qui motivent notre jeune antihéros : la narration orale le fera pour vous, exposant parfois grossièrement son parcours.

Il faut donc mettre ses envies de complexité au placard, d’autant que la grammaire visuelle générale de la chose, si elle jouit de décors soignés et d’une photographie très agréable (merci Paolo Carnera, ayant officié sur 17 épisodes de la série Gomorra), se contente également de timidement mettre en image le récit. Un récit donc raconté en temps réel, grâce à une piste sonore quasi permanente qui s’exprime sans détour, au point de se sentir obligée d’expliciter chaque action du personnage principal.

Encore une fois, le scénario écrit par Bahrani se voir forcé de compiler le propos du livre, donnant l’impression, dans la première heure, de réciter ses leçons avec maladresse. La pique incendiaire lancée à Slumdog Millionaire, le plus célèbre des films sociaux indo-américains, par la voix off, paraît donc bien présomptueuse.

On vit dans une société...

Heureusement, l’histoire imaginée par Aravind Adiga n’a pas été sélectionnée dans la liste des meilleurs romans indiens par The Independant pour rien. Vers la moitié du film, l’aventure sociale du jeune Balram prend une tournure bien plus sombre, qui rappelle furieusement Shaitan, satire évoquant la corruption également disponible sur la plateforme, le côté teen movie irritant en moins.

C’est à partir de là que l’intelligence de l'intrigue, et de sa structure prenant à revers le spectateur, commence à frapper. Loin des œuvres populaires qui s’attaquent au modèle social du pays sous l’angle bien connu de sa religion, sous-genre dont PK est l’exemple le plus connu, Le Tigre blanc préfère décrire une Inde beaucoup plus contemporaine, où les anciennes traditions s’accommodent à un mondialisme et à un capitalisme qui ne manquent pas de broyer les classes plus pauvres. D’où l’évocation perpétuelle du titre d’entrepreneur, symbole absolu des nouvelles luttes de classes économiques, s’intégrant finalement très bien au système de caste sans toutefois l’assumer.

Un paradoxe dont sont issus les deux meilleurs éléments du film, à savoir les personnages joués par Rajkummar Rao et Priyanka Chopra. Si Balram incarne finalement un arrivisme noir très attendu, ce couple à cheval entre l’Inde et les États-Unis, si tiraillé entre les cultures qu’il en devient complètement schizophrène, symbolise tout en justesse et en violence sourde ce quelque chose de pourri que Adiga et Bahrani veulent pointer du doigt. Des personnages secondaires qui sont en fait le sujet du long-métrage, bien que leur pertinence nécessite qu’on les observe d’un point de vue plus transversal.

Ces représentants d’un nouveau type de mépris intériorisé sont si importants qu’ils ont motivé la seule véritable idée cinématographie du film, à savoir leur casting. En effet, choisir de les faire incarner par des acteurs ultra-célèbres, et même connus aux États-Unis dans le cas de Chopra (qui a été Miss Monde 2000, plus symbolique tu meurs) permet non seulement d’accentuer l’ambiguïté de leur relation avec le jeune héros, mais aussi de les ancrer encore plus dans cette Inde riche et jeune, dont les accointances avec le mondialisme leur confèrent une dangerosité qu’ils ignorent eux-mêmes. Juste pour cette charge sociale inattendue, Le Tigre blanc vaut le coup d’œil, d’autant qu’il a donc l’avantage de renouveler notre conception des inégalités en Inde.

Le Tigre blanc n'est certainement pas une grande oeuvre de cinéma, mais il a le mérite de servilement mettre en image un récit dont les subtilités marqueront ceux qui n'ont pas lu le livre.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... xf5p5DWr30
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Pale
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Sunshine : et si c'était la meilleure BO du monde ?

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John Murphy + Underworld + Danny Boyle = grand moment de cinéma et de musique, avec Sunshine. Retour sur cette bande originale du feu de dieu.

Pas de grande surprise à voir Danny Boyle préparer une série sur les Sex Pistols, pour la chaîne FX. Le réalisateur de Petits meurtres entre amis, 28 jours plus tard et Slumdog Millionaire a toujours aimé la musique, et l'avait crié avec la BO culte de Trainspotting, à base de Lou Reed, New Order, Iggy Pop et compagnie. Il a même dédié un film entier à la musique avec Yesterday, l'histoire d'un monde sans les Beatles.

Pour les mélomanes, Sunshine est certainement un des meilleurs orgasmes offerts dans sa filmographie. Tristement boudé par le public à sa sortie (environ 32 millions de dollars au box-office, pour un budget officiel de 40), ce superbe film de science-fiction porté notamment par Cillian Murphy, Rose Byrne et Chris Evans, est illuminé par une musique originale de John Murphy et Underworld, le groupe d'electro britannique.

Pourquoi c'est la meilleure BO du monde, sans aucune exagération bien sûr.

S'IL FALLAIT EN GARDER UNE...

"Kaneda, what do you see ?". Quelques mots qui résonnent dans le film et sur la BO, puisque c'est le titre de la piste utilisée pour la mort sensationnelle du personnage incarné par Hiroyuki Sanada. C'est le premier grand sacrifice héroïque de l'aventure, et la musique vient naturellement en soutien pour marquer le coup. Piano et cordes s'emballent pour un crescendo étourdissant qui sature presque les tympans, tandis que des battements de cœur montent petit à petit. Les sens sont en éveil.

C'est une vague qui déferle sur tout le monde, littéralement (l'impact de la chaleur dévastatrice du soleil sur les panneaux de l'Icarus, et qui engloutit Kaneda) et émotionnellement (l'équipage ravagé par cette mort et cette erreur humaine). La musique prend donc la forme d'une vague, elle aussi, qui arrive à l'horizon, pour monter et tout emporter, en laissant derrière elle le silence.

Mais le morceau montre aussi l'autre facette du film et de la scène, et les vraies ténèbres dans la lumière qui finiront par tout détruire. Alors que toute l'équipe affronte l'horreur de voir leur collègue annihilé par le soleil, pour sauver le vaisseau, Kaneda et Searle (Cliff Curtis) sont reliés par leur fascination quasi religieuse pour l'étoile de la mort.

Car derrière la mort et le sacrifice très hollywoodien (une vie, pour sauver toutes les autres), il y a surtout la fascination morbide pour ce dieu stellaire nommé soleil. La scène se déroule entre ombre et lumière, et a justement deux visages. La mort de Kaneda est potentiellement une renaissance, une victoire, comme une ultime frontière où l'humain peut toucher du bout des doigts ce qui le dépasse. Et la musique embrasse cette dimension flamboyante, en donnant la sensation d'un instant glorieux. Le crescendo est un ascenseur vers la mort, mais pas que : il y a comme un accomplissement dans cette destruction.

PS : bien sûr que les morceaux Capa's Last Transmission Home, Repairs, et Mercury, sont excellents aussi. Et Peggy Sussed.

QUI A FAIT ÇA ?

Avant Sunshine, Danny Boyle était déjà le chaînon manquant entre Underworld et John Murphy. Le groupe d'électro était présent dans les BO de Trainspotting, Une vie moins ordinaire et La Plage, et le compositeur avait signé les musiques de 28 jours plus tard et Millions.

Comment en est-il arrivé à réunir les deux ? Le réalisateur expliquait à Digital Spy en 2007 : "J'écoute de la musique tout le temps, mais j'essaie de ne pas prendre de décision trop tôt. Il y a une énergie à prendre des décisions sur la musique pendant le montage, qui est très excitante, même si on a pu avoir d'autres idées en tête lors du tournage. (...) Ici, ça a été un peu différent. Underworld a proposé quelque chose d'expérimental sur l'intégralité du film. On ne l'avait pas entièrement terminé, mais je leur ai donné, et ils ont improvisé dessus. Ils ont envoyé ça au compositeur John Murphy et il a complété, donc c'est un hybride entre eux. (...) C'était un vrai risque. Ça aurait pu être désastreux."

Karl Hyde d'Underworld racontera à The Guardian avoir été très influencé par le morceau Lux Aeterna de Gyorgy Ligeto, notamment connu pour son utilisation dans 2001 : l'odyssée de l'espace.

À noter que la BO mettra un moment à sortir, à cause de problèmes entre le studio Fox Searchlight et le groupe Underworld. Le morceau To Heal (qui sert largement de base à Capa Meets the Sun) est d'ailleurs tiré de leur album Oblivion with Bells.

IL EN RESTE QUOI ?

Des morceaux ou reprises ont été réutilisés dans quantité de films depuis. Les notes de la BO de Sunshine ont pu être entendues dans un paquet de bandes-annonces, comme Ready Player One, X-Men : Days of Future Past, X-Men Origins : Wolverine, Star Trek Into Darkness, L'Agence, ou encore Blindness.

C'était parfois directement dans le film ou la série. En vrac : V Les Visiteurs, The Walking Dead, ou plus récemment dans une scène de Wonder Woman 1984. Sans compter un paquet de publicités. Et John Murphy lui-même a recyclé son travail pour la BO de Kick-Ass, en reprenant Adagio in D-minor.

Bref, la BO de Sunshine a marqué bien des esprits. Ce recyclage intempestif en est la preuve.


https://www.ecranlarge.com/films/dossie ... xf5p5DWr30
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Pale
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Comment Christopher Nolan a aidé Donnie Darko à sortir au cinéma

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Le film de Richard Kelly avec Jake Gyllenhaal a failli être proposé directement en DVD.

Cette semaine marque les 20 ans de la première projection de Donnie Darko au cinéma. C'était dans le cadre du festival de Sundance 2001, et il fut bien accueilli, le public sortant de la salle à la fois confus et admiratif après avoir découvert cette œuvre métaphysique. Si certains critiquaient la longueur du film, Richard Kelly tenait à sortir son film tel quel au cinéma, mais les distributeurs ne se bousculaient pas, rappelle The Ringer, qui consacre un long article à sa création. Jake Gyllenhaal n'était pas encore une star -il reconnaissait d'ailleurs cette semaine que c'est ce film qui a changé sa vie et sa carrière- et l'intrigue compliquée du film paraissait difficile à vendre au grand public. Si bien que les discussions avec les distributeurs se terminaient souvent par l'option ''direct-to-DVD''.

Début 2001, un autre réalisateur était en train de faire sensation à Hollywood avec son propre film au pitch alambiqué : Christopher Nolan avait été acclamé pour Memento au festival de Venise, et quand il l'a montré à Sundance, celui-ci a été acheté par Newmarker pour 4,5 millions de dollars. Une belle somme pour un film indépendant, et un pari réussi pour le distributeur, qui a gagné 25 millions de billets verts lorsqu'il est sorti aux Etats-Unis, en mars de la même année (dans le monde, il a fini par en rapporter 40).

Suite à ce succès, Nolan entretenait d'excellents rapports avec les dirigeants de la boîte, notamment Aaron Ryder, avec qui Emma Thomas, la productrice de Memento et future épouse de Chris Nolan, avait conclu le ''deal'' de distribution du film. Quand la réputation de Donnie Darko est arrivé à leurs oreilles, ils ont organisé une projection privée, dont le réalisateur garde un excellent souvenir : "Quand les lumières se sont rallumées, Chris et sa femme se sont retournés vers les boss de Newmarket, Chris Ball et Will Tyrer, et ils ont tous acquiescé. Ils ont dit : 'Les gars, vous devriez distribuer ça.'" Drew Barrymore, qui tient un second rôle dans le film et a participé à sa co-production, a elle aussi défendu Donnie Darko pour qu'il sorte au cinéma, et grâce à ces soutiens de poids, Newmarket a finalement accepté de le dater en octobre 2001, quelques jours avant Halloween, soit pile la période durant laquelle se déroule l'intrigue.

Cette fois-ci, cependant, le pari ne porta pas immédiatement ses fruits, car Donnie Darko fut un échec en salles : il a rapporté 6,9 millions de dollars dans le monde, dont seulement 1 au box-office américain. Sa date de sortie, quelques semaines après le 11 septembre, a sans doute joué, sa bande-annonce montrant des plans de la fameuse scène du crash d'un réacteur d'avion dans la maison du héros. Le film est cependant devenu culte par la suite, de nombreux spectateurs établissant des théories pour tenter de l'expliquer au fil des années. Une version longue est d'ailleurs sortie en 2019, Richard Kelly ayant ajouté des scènes qui donnaient davantage de détails sur le fonctionnement du voyage dans le temps et des prédictions de Frank, le lapin qui prédit le futur de Donnie.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -au-cinema
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Hier c'était l'anniversaire de la belle et talentueuse Carrie Coon (40 ans) :

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:love2:
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Sur le plateau des Goonies :

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@Pale
Oui Sunshine est un chef-d'oeuvre qui a bidé d'une manière injuste. Film énorme, casting énorme, BO énorme.
Un des mes 10 films préférés.
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
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BOX OFFICE STORY a écrit :
lun. 25 janv. 2021 18:19
@Pale
Oui Sunshine est un chef-d'oeuvre qui a bidé d'une manière injuste. Film énorme, casting énorme, BO énorme.
Un des mes 10 films préférés.
A sa sortie oui le succès n'a pas été au rendez-vous mais depuis le film a quand même un certain statut.

Là aussi je me souviens parfaitement de ma séance, le film m'avait emmené loin :love:
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Pale a écrit :
lun. 25 janv. 2021 15:46
robinne a écrit :
lun. 25 janv. 2021 11:57
Soit à gauche, soit à droite, même si je préfère le milieu du rang, mais la place est souvent plus abîmée :o
Je me mets également aux extrémités, ça attire moins de monde et je préfère :D
Ca depend, parfois y a des petits cons qui s'y mettent pour parler, c'est chiant..
Moi je suis + fond de salle, au milieu 😁
Pouet
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Kit
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je préfère le pain de mie :sweat:
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Kit a écrit :
lun. 25 janv. 2021 21:10
pandémie
je préfère le pain de mie :sweat:
:lol: Cela me fait penser à ce film :

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lls font ce jeu de mots :D
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robinne
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weird

ClintReborn a écrit :
lun. 25 janv. 2021 13:02
Oui enfin [Angleterre Australie] c'est kif kif
Heuuu, pas vraiment.
Regarde la météo :o
Les véritables Australiens étant les aborigènes :saint:
Même pas sûr : ils étaient sur l'île bien avant que le nom d'Australie n'arrive :p
Pale a écrit :
lun. 25 janv. 2021 15:46
robinne a écrit :
lun. 25 janv. 2021 11:57
Soit à gauche, soit à droite, même si je préfère le milieu du rang, mais la place est souvent plus abîmée :o
Je me mets également aux extrémités, ça attire moins de monde et je préfère :D
Je parlais de ma position dans mon ciné perso :D
Dans un cinéma public, je me mets généralement en plein milieu de la salle :lol:
Pale a écrit :
lun. 25 janv. 2021 16:04
Sunshine : et si c'était la meilleure BO du monde ?
C'est surtout un très bon film que peu de gens connaissent :sweat:
Le voir sur grand écran a été un mini-choc :jap:
Pale a écrit :
lun. 25 janv. 2021 16:22
Hier c'était l'anniversaire de la belle et talentueuse Carrie Coon (40 ans) :

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:love2:
:love: :love:
Je la pensais un peu plus âgée :o
BOX OFFICE STORY a écrit :
lun. 25 janv. 2021 18:19
@Pale
Oui Sunshine est un chef-d'oeuvre qui a bidé d'une manière injuste. Film énorme, casting énorme, BO énorme.
Un des mes 10 films préférés.
:jap: :bounce:
Pale a écrit :
lun. 25 janv. 2021 21:13
Kit a écrit :
lun. 25 janv. 2021 21:10
pandémie
je préfère le pain de mie :sweat:
:lol: Cela me fait penser à ce film :

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lls font ce jeu de mots :D
Je confirme :o
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NaughtyDog
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Trailer superbe de Raya !!



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Pale a écrit :
lun. 25 janv. 2021 21:13
Kit a écrit :
lun. 25 janv. 2021 21:10
pandémie
je préfère le pain de mie :sweat:
:lol: Cela me fait penser à ce film :

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lls font ce jeu de mots :D
mince ! j'espère qu'il n'ont pas déposé un copyright :sweat: :D , sinon :jap: pour l'info
Vosg'patt de cœur
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BOX OFFICE STORY
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NaughtyDog a écrit :
mar. 26 janv. 2021 15:08
Trailer superbe de Raya !!



Dommage qu'il sera piraté aussitôt, c'est du gâchis de salles
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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Après Star Wars, John Boyega passe sur Netflix avec Robert De Niro dans le film de braquage The Formula

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Maintenant que Finn a quitté la galaxie Star Wars, John Boyega va aller chez Netflix pour jouer les anciens pilotes de Formule 1 avec Robert De Niro dans The Formula.

Depuis The Irishman de Martin Scorsese, il n'est plus étonnant de voir Robert De Niro s'acoquiner avec le géant du streaming. D'après Deadline, l'acteur de légende va donc refaire un saut sur Netflix, mais pas aux côtés de Joe Pesci, Al Pacino ou Harvey Keitel. Il partagera l'affiche avec John Boyega, qui entame un nouveau chapitre de sa carrière maintenant que la saga Skywalker de Star Wars est terminée et que son nom est désormais bien identifié du public.

C'est probablement une des raisons qui a poussé le géant du streaming a signé deux films avec lui, le premier étant le thriller Rebel Ridge de Jeremy Saulnier, actuellement en pré-production. Le second sera donc The Formula du réalisateur Gerard McMurray à qui on doit American Nightmare 4 : Les origines et Burning Sands, un autre film Netflix.

McMurray sera également chargé de la production avec Jane Rosenthal, De Niro et Berry Welsh, ainsi que de l'écriture du scénario, qui tournera autour d'un jeune prodige de course automobile, qui est obligé d'abandonner la carrière qui lui était destinée dans la Formule 1 pour devenir chauffeur lors de braquages afin de sauver la seule famille qui lui reste. Une sorte de Drive mélangé à Baby Driver dans lequel on ne sait pas qui De Niro interprétera, s'il sera un entraîneur, un proche ou un des braqueurs que devra aider le personnage de John Boyega.

L'interprète de Finn sera quant à lui également au casting du Naked Singularity de Chase Palmer aux côtés d'Olivia Cooke et Bill Skarsgård, mais aussi dans They Cloned Tyrone de Juel Taylor avec Jamie Foxx et Teyonah Parris, ainsi que Borderlands de Charles et Thomas Guard avec Felicity Jones et Jodie Turner-Smith (récemment castée dans le prequel de The Witcher.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... a2LdEN9Xns
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Tomb Raider 2 : la suite a enfin trouvé une nouvelle réalisatrice et c'est une bonne surprise

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Personne n'attend vraiment la suite du Tomb Raider de 2018, mais la Lara Croft d'Alicia Vikander a bien prévu de revenir au cinéma avec une nouvelle réalisatrice.

Il faut dire que personne avant ça n'attendait de redémarrage pour la franchise Tomb Raider, tirée de saga vidéoludique du même nom, après les deux films portés par Angelina Jolie au début des années 2000. Mais le bon sens ou le bon goût n'ont jamais freiné l'industrie et c'est comme ça qu'en 2018, Lara Croft a pris les traits d'Alicia Vikander pour susciter une fois de plus des réactions très mitigées et enregistrer un box-office correct avec 274 millions dans le monde, dont 58 à domicile pour 94 millions de budget (hors frais marketing). Rien de très glorieux donc, mais rien de suffisamment catastrophique pour tuer une nouvelle saga dans l'oeuf.

Une suite au film de Roar Uthaug était donc officialisée en 2019, avec Amy Jump au scénario et Ben Wheatley (Kill List, High-Rise) à la réalisation, le tout pour une sortie en 2021... que la MGM a sans surprise repoussée en octobre dernier. Mais le deuxième volet semble enfin se mettre sur les rails et avoir profité de 2020 et de la paralysie générale pour faire deux-trois gros changements de pré-production.

Deadline a récemment annoncé que ce sera donc finalement Misha Green qui s'occupera du scénario et de la réalisation, faisant ainsi ses débuts en tant que réalisatrice de longs-métrages après qu'elle soit passée derrière la caméra pour l'épisode 8 de la première saison de sa série Lovecraft Country (dont elle est showrunneuse). Misha Green a également créé la série Underground et travaillé sur le scénario de plusieurs épisodes de Sons of Anarchy, Heroes et Helix.

La scénariste a d'ailleurs partagé la nouvelle à demi-mots sur Twitter.

"Mon préféré de l'époque classique est Legend et c'est à égalité avec Rise et Shadow pour la partie survival. Donc je pense à quelque chose comme : [ndlr : suite d'emojis dont un dinosaure) Qui est aussi enthousiaste que moi pour le film Tomb Raider ?"

Aucune date de sortie n'a encore été dévoilée, pas même une date de début de tournage, le studio préférant sûrement laisser le scénario avancer. On devrait donc avoir plus de nouvelles du prochain Tomb Raider 2 d'ici quelques mois. En attendant, notre critique du film de 2018 est juste ici et celle de la première saison de Lovecraft Country juste là. On a également classé toute la saga de jeux vidéo de ce côté.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... qZFcfP2MfE
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Harry Potter : Warner est bien en train de préparer une série pour HBO Max

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Après avoir mis un nouveau responsable à la tête de la franchise, Harry Potter devrait bien être de retour, afin de supporter HBO Max.

Avec la nouvelle hégémonie du streaming, la rédaction d’Ecran Large a fini par anticiper les décisions des studios, voire en être blasée. Le 21 janvier 2021, Warner Bros. a annoncé fièrement avoir promu l’un de ses exécutifs, Tom Ascheim, afin qu’il gère personnellement la franchise Harry Potter, et ses potentielles itérations sur de nouveaux supports. Dans notre article, on se doutait un peu que cette décision avait été prise afin de favoriser la mise en chantier de séries ou de films autour de l‘univers du sorcier, sans doute à destination de la plateforme de streaming HBO Max.

En tout cas, il n’a pas fallu longtemps au Hollywood Reporter pour affirmer (selon ses sources) que la major est effectivement en train de développer une série en prise de vues réelles à partir de la franchise phare développée par J.K. Rowling. Plusieurs producteurs exécutifs auraient eu des conversations avec des scénaristes pour explorer diverses idées.

Pour autant, tout cela est pour le moment à un état très préliminaire, puisque Warner serait à la recherche de pitchs sur lesquels travailler. Aucun contrat n’a pour le moment été signé. Warner et HBO Max ont d’ailleurs déclaré à THR qu’il “n’y avait aucune série Harry Potter en développement avec le studio ou sur la plateforme de streaming”, afin d’étouffer les rumeurs autour de ces discussions encore très peu avancées.

Néanmoins, on comprend bien que Warner a décidé de reprendre possession de sa poule aux œufs d’or, surtout au vu des divers scandales qui lui ont fait du tort ces dernières années. Si HBO Max a manqué depuis son lancement de créations originales porteuses, nul doute qu’une série Harry Potter pourrait propulser le service de SVoD de la même manière que Disney+ avec The Mandalorian. Ce projet n’est d’ailleurs pas très surprenant lorsqu’on sait que Warner a prévu de capitaliser sur certaines de ses propriétés intellectuelles les plus populaires, notamment au travers du revival de Friends ou encore de Sex and the City.

En attendant d’en savoir plus, Warner a lancé la production du troisième opus des Animaux fantastiques, prévu pour sortir dans les salles le 13 juillet 2022 en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1611595429
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The King's Man, Nightmare Alley... la Fox bouleverse son calendrier et ça sent mauvais pour les salles

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Après la MGM avec Mourir peut attendre et Sony, c'est au tour de Disney et de la Fox de bouleverser son line-up, et ça sent mauvais pour les salles.

C’est définitif, 2021 ne démarre clairement pas sous les meilleurs auspices pour le cinéma. On a espéré pendant un moment que cette nouvelle année soit meilleure que 2020, et qu’on allait pouvoir enfin voir les blockbusters repoussés en masse par les majors hollywoodiennes. Mais malheureusement, la Covid-19 commence déjà à nous donner tort dès le mois de janvier.

En effet, Sony a bouleversé son planning de 2021, et Universal n'a pas tardé à suivre le pas en décalant Mourir peut attendre, le dernier James Bond avec Daniel Craig dans le rôle-titre, au 8 octobre 2021, pour le moment. Sauf que du coup, Sony a redécalé son Morbius à 2022, pour éviter une confrontation avec l'agent 007 dans les salles.

Et après Sony, c’est au tour de Disney de faire du ménage dans son calendrier, à commencer par le line-up des films estampillés 20th Century Studios et Searchlight Pictures, avec en première ligne The King’s Man : Première Mission, troisième opus de la franchise de Matthew Vaughn dont la sortie ne cesse d’être repoussée.

En effet, sans grande surprise, The King’s Man a donc été décalée du 12 mars au 20 août 2021 aux États-Unis. À la suite, on retrouve également les films d’animation Bob's Burgers : Le Film, initialement prévu pour le 9 avril aux États-Unis qui perd tout simplement sa date de sortie, ainsi que Ron's Gone Wrong, qui passe du 23 avril au 22 octobre 2021.

Chez Searchlight, dans le registre de l’horreur, The Night House, présenté à Sundance en 2020, est désormais prévu pour une sortie le 16 juillet 2021, tandis que The Eyes of Tammy Faye, avec Jessica Chastain et Andrew Garfield, est fixé pour le 24 septembre 2021. Pour rester dans l’horreur, Affamés, le nouveau film de Scott Cooper (Hostiles) est enfin daté pour le 29 octobre 2021. Et enfin, pour terminer, le très attendu Nightmare Alley du mexicain Guillermo del Toro, produit par Searchlight mais qui devrait être distribué par 20th Century Studios, qui vient de terminer son tournage récemment, est attendu pour le 3 décembre 2021.

Vous l’aurez compris, les studios et leurs films respectifs commencent à déserter en masse la première partie de l’année 2021 puisqu'aucun film n'est fixé avant juillet dans le calendrier Fox. Un bouleversement des dates de sorties qui sent très mauvais pour les salles de cinéma et leurs réouvertures, mais aussi pour les embouteillages à venir à l’automne prochain. Concernant les gros blockbusters, il reste encore Black Widow chez Marvel et Fast & Furious 9 chez Universal, toujours prévus respectivement pour le 5 et le 26 mai 2021. Mais entre nous, on n’y croit pas trop…

En attendant, du côté de chez Warner Bros. et HBO Max aux États-Unis, Godzilla vs. Kong d'Adam Wingard est toujours prévu pour une sortie le 17 mars 2021 en France, avant qu'il soit sans doute reporté très vite. Heureusement pour patienter, il y a enfin une bande-annonce énervée.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1611586807
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The Underground Railroad : la série de Barry Jenkins se la joue Tenet dans une sublime bande-annonce

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Après Moonlight, Barry Jenkins s’est tourné vers Amazon Prime Video pour une série sur l’esclavage. La nouvelle bande-annonce laisse augurer le meilleur.

Avec le succès de Moonlight, le réalisateur Barry Jenkins s’est imposé comme une nouvelle figure importante du cinéma indépendant américain. Avant de passer par la case blockbuster avec le prequel du Roi Lion, le cinéaste de Si Beale Street pouvait parler est allé du côté d’Amazon Prime Video pour une mini-série extrêmement attendue, intitulée The Underground Railroad.

Adaptée du roman éponyme de Colson Whitehead (récompensé d’un prix Pullitzer), la série devrait permettre à son créateur, concerné par la représentation des Afro-Américains à l’écran, de s’attarder sur la dure question de l’esclavage. Le chemin de fer du titre désigne un réseau de routes clandestines, utilisé par les esclaves du Sud pour rejoindre le nord de l’Amérique avec l’aide des abolitionnistes. Barry Jenkins va ainsi s’attarder sur le périple de Cora (Thuso Mbedu), une jeune femme en quête de liberté.

En tout cas, le cinéaste a bien décidé de nous renvoyer à l’horreur du XIXe siècle avec un nouveau teaser. Titré In Aeternum (“pour toujours” en latin), ce dernier prend le parti-pris de se dérouler intégralement à l’envers, jouant ainsi du mystère de scènes dont on semble découvrir les conséquences avant les causes. Avec cette bande-annonce, The Underground Railroad a visiblement donné de nombreuses clés pour aborder les pivots de son récit, ou du moins les éléments déclencheurs qui vont pousser l’héroïne à fuir.

Mais plus que tout, ce teaser dans les pas de l'ouverture grandiose de L'étrange histoire de Benjamin Button et des effets de style de Tenet, a surtout une tout autre intention, beaucoup plus significative de ce que l'on pourra attendre de la série. En effet, dans le tweet révélant le teaser, Barry Jenkins a légendé la vidéo ainsi : "On dit que l'histoire est écrite par les vainqueurs alors... revenons en arrière." Car oui, si le roman se base sur une histoire vraie, l'histoire qui y est contée est surtout fictionnelle, voire uchronique.



Il n'en reste pas moins que ce retour en arrière littéral a également l'ambition de mettre en avant le talent de Barry Jenkins et de ses plus fidèles collaborateurs. La sublime photographie de James Laxton (qui a déjà travaillé sur Moonlight et Si Beale Street pouvait parler) déploie des clairs-obscurs dignes de toiles de maître. Cette dimension picturale est pourtant loin de déréaliser cette fiction, portée par un jeu de textures aussi sec que fascinant.

Par ailleurs, toute cette ambiance malaisante est magnifiée par les nappes musicales enveloppantes de Nicholas Britell, déjà à l’œuvre sur les autres films de Jenkins. À vrai dire, ce teaser pourrait bien avoir été créé pour la seule gloire de sa bande-originale, et pour souligner le prestige du nouveau poids lourd de Prime Video. Aucune date de sortie n’a pour le moment été communiquée, mais en attendant, on vous renvoie à nos critiques de Moonlight et de Si Beale Street pouvait parler.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1611668531

Sublime en effet !
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 26 janv. 2021 16:57
The Underground Railroad : la série de Barry Jenkins se la joue Tenet dans une sublime bande-annonce

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Après Moonlight, Barry Jenkins s’est tourné vers Amazon Prime Video pour une série sur l’esclavage. La nouvelle bande-annonce laisse augurer le meilleur.

Avec le succès de Moonlight, le réalisateur Barry Jenkins s’est imposé comme une nouvelle figure importante du cinéma indépendant américain. Avant de passer par la case blockbuster avec le prequel du Roi Lion, le cinéaste de Si Beale Street pouvait parler est allé du côté d’Amazon Prime Video pour une mini-série extrêmement attendue, intitulée The Underground Railroad.

Adaptée du roman éponyme de Colson Whitehead (récompensé d’un prix Pullitzer), la série devrait permettre à son créateur, concerné par la représentation des Afro-Américains à l’écran, de s’attarder sur la dure question de l’esclavage. Le chemin de fer du titre désigne un réseau de routes clandestines, utilisé par les esclaves du Sud pour rejoindre le nord de l’Amérique avec l’aide des abolitionnistes. Barry Jenkins va ainsi s’attarder sur le périple de Cora (Thuso Mbedu), une jeune femme en quête de liberté.

En tout cas, le cinéaste a bien décidé de nous renvoyer à l’horreur du XIXe siècle avec un nouveau teaser. Titré In Aeternum (“pour toujours” en latin), ce dernier prend le parti-pris de se dérouler intégralement à l’envers, jouant ainsi du mystère de scènes dont on semble découvrir les conséquences avant les causes. Avec cette bande-annonce, The Underground Railroad a visiblement donné de nombreuses clés pour aborder les pivots de son récit, ou du moins les éléments déclencheurs qui vont pousser l’héroïne à fuir.

Mais plus que tout, ce teaser dans les pas de l'ouverture grandiose de L'étrange histoire de Benjamin Button et des effets de style de Tenet, a surtout une tout autre intention, beaucoup plus significative de ce que l'on pourra attendre de la série. En effet, dans le tweet révélant le teaser, Barry Jenkins a légendé la vidéo ainsi : "On dit que l'histoire est écrite par les vainqueurs alors... revenons en arrière." Car oui, si le roman se base sur une histoire vraie, l'histoire qui y est contée est surtout fictionnelle, voire uchronique.



Il n'en reste pas moins que ce retour en arrière littéral a également l'ambition de mettre en avant le talent de Barry Jenkins et de ses plus fidèles collaborateurs. La sublime photographie de James Laxton (qui a déjà travaillé sur Moonlight et Si Beale Street pouvait parler) déploie des clairs-obscurs dignes de toiles de maître. Cette dimension picturale est pourtant loin de déréaliser cette fiction, portée par un jeu de textures aussi sec que fascinant.

Par ailleurs, toute cette ambiance malaisante est magnifiée par les nappes musicales enveloppantes de Nicholas Britell, déjà à l’œuvre sur les autres films de Jenkins. À vrai dire, ce teaser pourrait bien avoir été créé pour la seule gloire de sa bande-originale, et pour souligner le prestige du nouveau poids lourd de Prime Video. Aucune date de sortie n’a pour le moment été communiquée, mais en attendant, on vous renvoie à nos critiques de Moonlight et de Si Beale Street pouvait parler.


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Sublime en effet !
Je n’ai pas regardé la vidéo, mais la description qui en est faite fait envie :)
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robinne a écrit :
mar. 26 janv. 2021 17:05
Je n’ai pas regardé la vidéo, mais la description qui en est faite fait envie :)
Tu devrais, d'autant plus que tu n'auras pas ce genre d'effet dans la série. Esthétiquement cette bande-annonce est assez incroyable.
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Pale a écrit :
mar. 26 janv. 2021 17:21
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Je préfère l’affiche précédente, celle qui est probablement prévue pour l’international anglophone.
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 26 janv. 2021 17:17
robinne a écrit :
mar. 26 janv. 2021 17:05
Je n’ai pas regardé la vidéo, mais la description qui en est faite fait envie :)
Tu devrais, d'autant plus que tu n'auras pas ce genre d'effet dans la série. Esthétiquement cette bande-annonce est assez incroyable.
ok, je ferai ça ce soir ;)
Avec un bon écran et un bon son :D
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Wickaël
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On est en train de se refaire les Toy Story en ce moment, ce soir c'est le 3 :love2:
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Pale a écrit :
mar. 26 janv. 2021 16:57
The Underground Railroad : la série de Barry Jenkins se la joue Tenet dans une sublime bande-annonce

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Après Moonlight, Barry Jenkins s’est tourné vers Amazon Prime Video pour une série sur l’esclavage. La nouvelle bande-annonce laisse augurer le meilleur.

Avec le succès de Moonlight, le réalisateur Barry Jenkins s’est imposé comme une nouvelle figure importante du cinéma indépendant américain. Avant de passer par la case blockbuster avec le prequel du Roi Lion, le cinéaste de Si Beale Street pouvait parler est allé du côté d’Amazon Prime Video pour une mini-série extrêmement attendue, intitulée The Underground Railroad.

Adaptée du roman éponyme de Colson Whitehead (récompensé d’un prix Pullitzer), la série devrait permettre à son créateur, concerné par la représentation des Afro-Américains à l’écran, de s’attarder sur la dure question de l’esclavage. Le chemin de fer du titre désigne un réseau de routes clandestines, utilisé par les esclaves du Sud pour rejoindre le nord de l’Amérique avec l’aide des abolitionnistes. Barry Jenkins va ainsi s’attarder sur le périple de Cora (Thuso Mbedu), une jeune femme en quête de liberté.

En tout cas, le cinéaste a bien décidé de nous renvoyer à l’horreur du XIXe siècle avec un nouveau teaser. Titré In Aeternum (“pour toujours” en latin), ce dernier prend le parti-pris de se dérouler intégralement à l’envers, jouant ainsi du mystère de scènes dont on semble découvrir les conséquences avant les causes. Avec cette bande-annonce, The Underground Railroad a visiblement donné de nombreuses clés pour aborder les pivots de son récit, ou du moins les éléments déclencheurs qui vont pousser l’héroïne à fuir.

Mais plus que tout, ce teaser dans les pas de l'ouverture grandiose de L'étrange histoire de Benjamin Button et des effets de style de Tenet, a surtout une tout autre intention, beaucoup plus significative de ce que l'on pourra attendre de la série. En effet, dans le tweet révélant le teaser, Barry Jenkins a légendé la vidéo ainsi : "On dit que l'histoire est écrite par les vainqueurs alors... revenons en arrière." Car oui, si le roman se base sur une histoire vraie, l'histoire qui y est contée est surtout fictionnelle, voire uchronique.



Il n'en reste pas moins que ce retour en arrière littéral a également l'ambition de mettre en avant le talent de Barry Jenkins et de ses plus fidèles collaborateurs. La sublime photographie de James Laxton (qui a déjà travaillé sur Moonlight et Si Beale Street pouvait parler) déploie des clairs-obscurs dignes de toiles de maître. Cette dimension picturale est pourtant loin de déréaliser cette fiction, portée par un jeu de textures aussi sec que fascinant.

Par ailleurs, toute cette ambiance malaisante est magnifiée par les nappes musicales enveloppantes de Nicholas Britell, déjà à l’œuvre sur les autres films de Jenkins. À vrai dire, ce teaser pourrait bien avoir été créé pour la seule gloire de sa bande-originale, et pour souligner le prestige du nouveau poids lourd de Prime Video. Aucune date de sortie n’a pour le moment été communiquée, mais en attendant, on vous renvoie à nos critiques de Moonlight et de Si Beale Street pouvait parler.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1611668531

Sublime en effet !
le combo Jenkins-Laxton-Britell va encore faire des merveilles


les 2 précédents teaser sont également sublimes :



http://vimeo.com/481277944
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Pale
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Top des séries vues en 2021 :

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1. Cobra Kai - Saison 3
2. Cobra Kai - Saison 2
3. Cobra Kai - Saison 1

J'ai été moyennement convaincu par les premiers épisodes de cette saison 3. Les choses commencent véritablement à s'améliorer à partir de l'épisode 5 et ensuite ça redevient le Cobra Kai que j'adore tant et qui fait vibrer. De plus, cette troisième saison offre un véritable final en apothéose.
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Cocu
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Wickaël a écrit :
mar. 26 janv. 2021 17:58
On est en train de se refaire les Toy Story en ce moment, ce soir c'est le 3 :love2:
:love2:
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Wickaël
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Cocu a écrit :
mar. 26 janv. 2021 20:50
Wickaël a écrit :
mar. 26 janv. 2021 17:58
On est en train de se refaire les Toy Story en ce moment, ce soir c'est le 3 :love2:
:love2:
Toujours aussi puissant :cry:

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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 26 janv. 2021 16:57
The Underground Railroad : la série de Barry Jenkins se la joue Tenet dans une sublime bande-annonce


Sublime en effet !
Je plussoie :)
Pour moi, il s'agit tout de même d'images qui serviront à la série. Certes, elles sont à l'envers ; mais ça divulgâche un peu :(
J'écoute justement la BO de Tenet sur France Musique BO : https://www.francemusique.fr/radios-the ... s-de-films
Wickaël a écrit :
mer. 27 janv. 2021 06:51
Cocu a écrit :
mar. 26 janv. 2021 20:50
Wickaël a écrit :
mar. 26 janv. 2021 17:58
On est en train de se refaire les Toy Story en ce moment, ce soir c'est le 3 :love2:
:love2:
Toujours aussi puissant :cry:

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Tu me donnes envie de les revoir :bounce:
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robinne
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robinne a écrit :
mer. 27 janv. 2021 09:13
J'écoute justement la BO de Tenet sur France Musique BO : https://www.francemusique.fr/radios-the ... s-de-films
Et là, c'est un extrait de la BO de Sicario :love2: :love:
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@Wickaël je pleure toujours à la fin 😢❤️
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Cocu a écrit :
mer. 27 janv. 2021 10:32
@Wickaël je pleure toujours à la fin 😢❤️
Je pleure pas mais j'ai pas mal de frissons de la scène de la décharge jusqu'au générique de fin.
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:hello:

Marvel : Black Widow sera bien moins long qu'Endgame (et heureusement)

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Alors que la Covid ne cesse de repousser sa sortie et que Disney+ n'est jamais très loin, Black Widow donne enfin des nouvelles, en révélant sa durée.

Alors que la Phase 4 du MCU vient de s’ouvrir sur Disney+, avec le lancement de la série WandaVision sur la plateforme, Black Widow continue de faire signe de loin, après les multiples reports de sa sortie en salles, depuis que le calendrier de cette nouvelle Phase a été complètement chamboulé par la pandémie mondiale de Covid-19.

Le film de Cate Shortland devait initialement ouvrir la Phase 4 au cinéma en avril 2020. Depuis, il n'a cessé d'être repoussé et ne semble plus intéresser grand monde. Attendu pour le 5 mai 2021 désormais, il est plus que probable que le film soit encore décalé (vu les reports des autres studios), voire qu'il termine sa course sur Disney+. En tout cas, c'est ce qui serait envisagé en coulisses selon certaines sources.

Ça commence donc à sentir un peu mauvais pour Black Widow, dont Marvel semble ne plus vraiment savoir quoi faire. Et au milieu de ces mauvais signes, le film de Cate Shortland donne un peu de nouvelles, à travers la mise à jour de sa fiche d’informations sur le site de Disney. Car oui, désormais, Black Widow a enfin une durée, et bonne nouvelle, c’est beaucoup moins long qu’Avengers : Endgame.

En effet, alors qu'Endgame dépassait les trois heures, dont deux bonnes heures de "je tourne en rond", on pouvait espérer que l’ouverture de la Phase 4 au cinéma soit un peu plus concise, surtout pour le peu que semble avoir à raconter le film solo sur Black Widow. Au final, le film affiche 2h13 au compteur, ce qui est dans la moyenne habituelle des films du MCU, ni plus ni moins.

Il ne reste plus qu’à espérer que Black Widow saura combler sa durée, que ce soit avec son mystérieux méchant Taskmaster, ou avec sa réponse à un mystère (oublié) du premier Avengers, que tous les fans attendent, apparemment.

Pour rappel, Black Widow de Cate Shortland, avec le retour de Scarlett Johansson, mais aussi Florence Pugh, David Harbour et Rachel Weisz, est toujours attendu pour le 5 mai 2021 dans nos salles pour le moment. En attendant, la série WandaVision avance et vous pouvez retrouver notre critique de l'épisode 3.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1611740932
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Le créateur de Vikings va adapter Gatsby le magnifique en série après le film avec Leonardo DiCaprio

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Le roman de F. Scott Fitzgerald, Gatsby le magnifique, va une nouvelle fois être portée à l'écran, cette fois par le réalisateur de la série Vikings.

La série Vikings s'est récemment conclue au terme d'une sixième saison à bout de souffle, mais son créateur Michael Hirst, à qui on doit également Les Tudors, Camelot et Elizabeth : l'âge d'or, ne va pas s'éloigner du petit écran pour autant. Comme on l'apprenait en décembre dernier, le scénariste va donc rapidement se remettre en selle, et toujours en compagnie de la chaîne History, avec The Plague Year, une mini-série dramatique qui se déroulera dans le Londres de 1665, lorsque la capitale britannique se retrouve foudroyée par une épidémie dévastatrice de peste bubonique.

Pour cette série, il prêtera ses talents au studio A+E qu'il retrouvera également (en plus de ITV Studios America) à l'occasion d'un autre projet, celui d'adapter le roman Gatsby le magnifique de Fitzgerald en série télévisée.

L'information a d'abord été rapportée par The Hollywood Reporter, et comme pour The Plague Year, il devrait s'agir d'une autre mini-série dramatique, dont Hirst écrira le scénario du pilote en plus d'assurer la production exécutive. Cette nouvelle adaptation, qui fera notamment suite aux films de Jack Clayton avec Robert Redford et Baz Luhrmann avec Leonardo DiCaprio, a été décrite comme une ré-imagination du roman culte de 1925 qui se penchera sur la communauté afro-américaine de New York de l'époque et sur la vibrante sous-culture musicale qui s'est développée dans les années 1920.

Cette série explorera ainsi la vie cachée et intime de ses personnages à travers le regard moderne d'un rêve américain désillusionné, tout en capturant la majestuosité et la vision intemporelle de l'écrivain américain. En attendant d'avoir les premiers noms du casting, et de savoir si Gatsby aura bientôt un nouveau visage, notre critique de la dernière saison de Vikings est juste ici et notre liste des 5 meilleurs moments de la série est juste là.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... QdzL8sfVAI
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Spy Kids : Robert Rodriguez relance sa franchise super-espionne avec un nouveau reboot

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Robert Rodriguez n'est visiblement pas prêt de lâcher la franchise Spy Kids qu'il va tenter de réanimer avec un prochain reboot.

À défaut de réaliser la suite d'Alita : Battle Angel, même si rien n'est jamais vraiment perdu avec Disney, le réalisateur Robert Rodriguez s'accroche presque désespérément à ces précédents succès et plus particulièrement la saga Spy Kids, que le quatrième volet de 2011 semblait pourtant avoir enterré pour de bon. Après le très bariolé et irritant C'est nous les héros de Netflix en décembre dernier, où la suite des aventures de Shark Boy et Lava Girl repompait sans gêne tout le scénario des Spy Kids, le réalisateur va cette fois remettre plus franchement les pieds dans le plat.

D'après Deadline, le cinéaste reprendra donc l'univers qu'il a créé en main en réalisant et écrivant un nouveau film pour Skydance Media, qui a passé un accord avec Spyglass Media Group pour récupérer les droits de la licence et relancer la franchise (le précédent soft-reboot, Spy kids 4 : All the Time in the World, ayant majoritairement reçu des critiques négatives).

On peut donc imaginer sans trop de difficulté qu'à moins d'un énorme crash au box-office, ce premier reboot ne sera probablement pas le dernier. Le studio semble ainsi vouloir ouvrir la voie à toute une nouvelle série de films destinée à une nouvelle génération de spectateurs après ceux des années 2000. On ne sait évidemment pas de quoi parlera l'intrigue, s'il s'agira d'une nouvelle famille d'agents super-secrets avec des caméos d'Antonio Banderas et Carla Gugino ou d'un tout nouvel univers qui ne prendra pas en compte les précédents films. Deadline a cependant rapporté que le film s'intéressera aux activités d'une famille multiculturelle.

Après Machete (le personnage de Danny Trejo né dans Spy Kids) et Machete Kills, Robert Rodriguez repassera également derrière la caméra pour Machete Kills Again... in Space qui s'annonce d'emblée comme un autre bon gros délire bien fendard. En attendant d'avoir de premiers indices sur l'intrigue et les premiers noms du casting, notre critique de C'est nous les héros est juste ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... BR0CG98geM
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Malignant : le film d'horreur de James Wan dévoile enfin sa date de sortie (et une nouvelle image)

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Après Aquaman et avant Aquaman 2, James Wan va refaire un tour du côté du cinéma d'horreur avec son film Malignant qui a enfin dévoilé une date de sortie.

On a beau en savoir très peu pour l'instant, le prochain Malignant a de quoi piquer notre curiosité puisqu'il détournera momentanément James Wan du DCEU et du Conjuringverse tout en promettant d'être le plus film d'horreur le plus sanglant et violent du réalisateur de Saw. En janvier dernier, on apprenait ainsi que la Motion Picture Association of America avait attribué une classification R au long-métrage, un registre dans lequel il n'avait pas versé depuis Conjuring 2 : Le cas Enfield en 2016.

L'intrigue n'a toujours pas été dévoilée, mais l'univers commence petit à petit à se dessiner, d'abord avec le personnage d'Annabelle Wallis (Annabelle, La Momie, Peaky Blinders) apparu brièvement dans le trailer des sorties 2021 de HBO Max, puis la nouvelle image dévoilée par le cinéaste sur Instagram. Mais cette mystérieuse main gantée qui empoigne ce qui ressemble à un couteau doré et ailé ne va pas tellement nous en dire plus sur ce qui nous attend, contrairement au reste du post qui, en plus d'annoncer la date de sortie du film, donne quelques précisions sur l'approche de Wan.

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"Malignant sort le 10 septembre. Je l'ai finalement terminé la semaine dernière. C'était censé être mon "petit thriller d'horreur" à faire entre les gros projets, mais la pandémie l'a repoussé aussi loin qu'eux. Je suis super excité pour ce film. Je ne sais même pas comment le décrire. Je voulais faire quelque chose d'original et de différent de mes autres travaux, mais toujours dans l'esprit des films d'horreur avec lesquels j'ai grandi. Plus à venir."

Le film devait au départ arriver le 14 août dernier au cinéma avant que la pandémie de Covid-19 le raye définitivement de l'affiche de 2021. Comme pour Ça en 2017 ou La Nonne en 2018, la Warner choisit ainsi une date proche du Labor Day pour son lancement en salles et en streaming sur HBO Max, le film faisant partie de la longue liste des sorties hybrides du studio. Après ça, pour retrouver James Wan derrière la caméra, il faudra attendre le 16 décembre 2022 et la sortie d'Aquaman 2, qui devrait d'ailleurs avoir quelques accents horrifiques.


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