Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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ClintReborn
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Kahled a écrit :
sam. 4 sept. 2021 10:22

:lol: Bah faut dire qu’il n’est plus tout jeune papy Willis.

Certes mais bon Stalonne en comparaison a plus de ressources en étant plus vieux :lol: J'aimerai bien qu'il retrouve un nouveau souffle pour sa carrière il suffirait d'un rôle intéressant même a contre emploi dans de l’inattendu :roll:
Puis j'ai regardé sa page imdb :lol: Mouais c'est pas demain la veille :lol:

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Robert
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J'ai vu pas mal de trucs ces derniers jours. En vitesse :

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J'ai adoré. A l'instar de Another Earth du même réalisateur ou la série The OA, I Origins est un film à l'histoire stimulante et qui nous fait croire à l'incroyable. Le film tient en haleine du début à la fin et possède des scènes d'une beauté et d'une intensité folles.

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Un film qui commence comme une comédie dramatique et vire de plus en plus au drame morose. Le film parle des difficultés à s'intégrer dans la société en général. Patrick Dewaere est comme à son habitude exceptionnel, il peut être incroyablement drôle et quelques secondes plus tard donner des frissons quand il est à fleur de peau.

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Réalisé par Ted Kotcheff (le premier Rambo), Réveil dans la terreur est une plongée dans ce que la nature humaine peut renfermer de pire. Le tout dans le fin fond du désert australien. Le film remue clairement, j'avoue avoir été écœuré à plusieurs moments :o

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Plongée dans l'univers pop rock des années 70 à Londres. Le film parle de révolution musicale et sexuelle et même si les personnages sont fictifs, ça s'inspire de l'ascension de certaines stars de l'époque (David Bowie en tête) et l'influence qu'ils exercent. C'est mi-figue, mi-raisin me concernant, le film est un peu chiant par moments mais il possède également des envolées assez sublimes.

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Je suis pas certain de tout avoir pigé mais là aussi il s'agit d'un film qui remue bien. L'ambiance du film est parfois incroyable et m'a rappelé Audition de Takashi Miike, certaines scènes font vraiment leur effet. Après je trouve que ça faiblit un peu sur la fin et que la nébulosité de l'ensemble fait qu'on reste un peu sur sa faim.
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BOX OFFICE STORY
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Je n'ai pas eu la télé de 6 a 13 ans parce que je vivais chez ma mère et qu'elle était anti TV...Puis mes grands parents lui ont donné une télé..et lmes notes scolaires ont divisé par 2.....Un des premiers films que j'ai vu c'est F comme Fairbanks...Pour moi les acteurs français c'était Bourvil ou Fernandel... Là j'ai découvert Dewaere...un putain de choc...Un acteur MONUMENTAL boudé par les césars et par certains journalistes....
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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Sur Netflix :

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Benedetta sort seulement en Belgique donc peut-être que je me laisserais tenter si j'ai la motivation.
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BOX OFFICE STORY a écrit :
dim. 5 sept. 2021 17:28
Je n'ai pas eu la télé de 6 a 13 ans parce que je vivais chez ma mère et qu'elle était anti TV...Puis mes grands parents lui ont donné une télé..et lmes notes scolaires ont divisé par 2.....Un des premiers films que j'ai vu c'est F comme Fairbanks...Pour moi les acteurs français c'était Bourvil ou Fernandel... Là j'ai découvert Dewaere...un putain de choc...Un acteur MONUMENTAL boudé par les césars et par certains journalistes....
I agree, un des meilleurs acteurs français de tous les temps.
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Marvel : records battus pour Shang-Chi qui fait mieux que Black Widow au box-office

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Shang-Chi fait un très beau démarrage aux États-Unis, dépassant Black Widow et brisant la malédiction du Labor Day.

C'était probablement le long-métrage le "moins attendu" de la phase 4 du MCU, peut-être le plus mystérieux. Shang-Chi et la légende des Dix Anneaux a réalisé un très beau démarrage outre-Atlantique, démontrant une fois encore la force de frappe de la marque Marvel. Il déjoue les pronostics et fait près du double de ce qui était attendu. Il faut dire que le weekend de sortie était aussi particulièrement propice à un tel résultat. Mais alors où se situe le lancement de Shang-Chi en comparaison des derniers blockbusters ?

Avec un lancement avoisinant les 84 millions de dollars de recettes, le film de Destin Daniel Cretton s'octroie le luxe de faire un peu mieux que Black Widow, qui n'avait fait "que" 80 millions au début de l'été. À noter toutefois, qu'à la différence du film de Scarlett Johansson, Shang-Chi a fait l'objet d'une sortie exclusive en salles. Lors de son weekend de lancement, la Veuve noire avait également généré 60 millions de dollars sur la plateforme Disney+ ; Shang-Chi prouve ainsi que la sortie simultanée en ligne et en salles cause une réelle baisse de résultats pour les exploitants.

Après sa sortie, Black Widow s'est effondré au box-office américain (vraisemblablement à cause de sa sortie en ligne et de son piratage rapide), incitant Scarlett Johansson à porter plainte contre Disney. Un scénario qui ne devrait pas se reproduire pour Shang-Chi, d'abord parce qu'on imagine que l'intéressement de Simu Liu est moindre, mais aussi parce que le film a plus de chances de se maintenir dans les prochaines semaines.

Symboliquement, c'est donc un très beau démarrage pour le dernier né du MCU, qui fait le meilleur weekend de lancement de 2021. Il a permis de ramasser 10 millions de plus pour son premier weekend que Fast & Furious 9, et presque le double de ce qu'avait fait Sans un bruit 2. Reste que ce weekend était un peu particulier aux États-Unis : il s'agissait du Labor Day, un des weekends les plus scrutés pour le box-office américain. Comme le lundi est férié, le lancement des films est comptabilisé sur quatre jours et non trois... De quoi assurer un beau démarrage ? Pas systématiquement. À la différence du Memorial Day en mai, le Labor Day est réputé pour être compliqué : le magazine Variety le décrit d'ailleurs comme "un weekend paresseux".

Là encore, Shang-Chi brise un nouveau record : il réalise le meilleur lancement pour un weekend de Labor Day. Pour être tout à fait franc, il explose même les compteurs. Le précédent record était détenu par Halloween, qui avait réalisé un démarrage à... 30 millions en 2007. Une sentence sans appel.

En France, le score de Shang-Chi est un peu plus décevant : avec 98 630 entrées le premier jour (pour une distribution dans 519 salles), il s'agit à peine du dixième meilleur lancement de l'année. Bien loin derrière les 470 millions de Fast & Furious ou des 425 millions de Kaamelott : Premier volet.

De même, si l'on souhaite pinailler et observer la stratégie marketing de Marvel, on pourrait également relativiser ce beau score. Black Panther avait permis de récolter 202 millions en trois jours, après avoir été vendu comme un film-étendard pour la communauté noire américaine. Shang-Chi, lui aussi, devait initialement servir d'hommage à la communauté sino-américaine et au kung-fu. Il restera probablement un des longs-métrages les plus discrets du MCU.

Le film a encore des chances de se maintenir au box-office américain et qui sait, peut-être détrônera-t-il Bac Nord en France. Rendez-vous jeudi pour le verdict. D'ici là, on vous invite à aller checker notre critique ou encore notre dossier sur ce héros mystérieux que personne n'attendait vraiment.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1630860073
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Little Children s'inscrit dans la même mouvance que des films comme American Beauty ou Les Noces rebelles (en moins violent quand même). Le film n'en atteint pas le niveau mais c'est un bon drame (bien qu'un peu long) doté d'un casting irréprochable.
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Pale a écrit :
lun. 6 sept. 2021 10:08
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Pardon :D

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pas mal :lol:

Last Night in Soho : on a vu le délire horrifique et fantastique de Edgar Wright

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Après un prestigieux festival de Cannes, Ecran Large s'est décidé à faire un tour sur le Lido de Venise pour la 78e édition de la Mostra. Si Dune y était le grand film attendu (et notre critique est déjà là), le reste de la sélection y est tout aussi dingue. Alors que le festival dévoile un peu plus ses films chaque jour, c'est l'heure pour nous de vous livrer notre avis à chaud sur Last Night in Soho, thriller horrifique et fantastique présenté en hors-compétition.

De quoi ça parle ? Eloise alias Ellie est une jeune femme passionnée de mode et de design, et lorsqu'elle reçoit une lettre lui annonçant qu'elle est acceptée dans une prestigieuse école londonienne, elle quitte sa campagne natale pour exaucer son rêve. Mais tout n'est pas rose sur place et pour mieux se réconforter, elle s'évade dans le Londres des années 60 qu'elle chérit tant pour ses musiques et son style. Mais s'aventurer trop longtemps pourrait avoir des répercussions sans précédents, et son fantasme devenir un pur cauchemar.

C’était comment ? C'est peu de dire qu'il était attendu ce nouveau film de Edgar Wright. Après avoir conclu sa trilogie Cornetto avec Le Dernier Pub avant la fin du monde, le cinéaste s'était plongé dans un jeu musical ultra-rythmé avec Baby Driver, plongeant le spectateur dans un récit mêlant comédie et action, romance et thriller. Des thématiques qu'il ne connaît que trop bien dont Edgar Wright semblait vouloir se détourner en s'immisçant dans le monde de l'horreur avec Last Night in Soho.

Découvrir le Britannique dans un nouveau registre était plus qu'intrigant et force est de constater que c'est une petite bénédiction. Last Night in Soho démarre comme un conte de fées avec cette lettre salvatrice qui va bousculer la vie de la jeune Ellie et la mener dans les rues londoniennes. Mais très vite, le conte de fées se transforme en désillusions pour Ellie lorsqu'elle comprend que la capitale britannique est un territoire hostile, sexiste, faux, oppressant et risqué.

D'une manière assez rapide (peut-être même trop) et assez nébuleuse, le personnage d'Ellie va alors se transporter dans les années 60, sa nostalgie de cette période lui faisant croire à un monde meilleur, celui qu'elle a toujours imaginé. Et c'est ici que Edgar Wright commence véritablement à impressionner. Sa mise en scène était jusqu'ici propre, même si un peu surdécoupée à quelques reprises (une discussion entre filles), elle devient un festival de virtuosité.

Avec une maestria dingue et une myriade de plans-séquences ingénieux, jouant avec les miroirs, les espaces, les portes, les ombres, les regards (cette danse à deux, mais trois visages)... le Britannique impressionne à chaque instant. Jamais il n'a été aussi habile avec une caméra, et indubitablement, tout est démultiplié lorsqu'il bascule complètement dans le fantastique et finalement le giallo.

Sans surprise, l'hommage aux oeuvres de Dario Argento (et d'autres) est évident (le film commence presque comme Suspiria d'une certaine manière). Le jeu de couleurs instauré dès le changement d'appartement par l'enseigne lumineuse d'un bar donne rapidement la note d'intention visuelle (la photo de Chung Chung-hoon est un délice pour les yeux), et la réflexion qui en découlera.

Car en plongeant dans un rêve qui va se muer en cauchemar diabolique paranoïaque (voire schizophrénique) au fil des séquences, Last Night in Soho propose une vision fascinante des mondes/passés idéalisés et met un coup de poing en plein visage des chantres du "c'était mieux avant". La co-scénariste du film, Krysty Wilson-Cairns, avait expliqué que le long-métrage parlait in fine de l'exploitation des femmes dans différentes interviews et c'est en effet ce qui fait la force du film.

S'il convoque avec amour l'aura de cette époque reine et multiplie les références à son cinéma (du Répulsion de Roman Polanski à L'invasion des morts-vivants de John Gilling ou encore Ne vous retournez pas de Nicolas Roeg et Inferno de Argento, même s'ils sont plus récents), le long-métrage se pose comme une version moderne de ces délires fantastiques. Plus féministe et particulièrement en phase avec son temps, l'hommage à tout un pan du cinéma montre son vrai visage.

Alors évidemment, il y a des défauts dans cette aventure psychédélique. Ainsi, l'enquête qui naît des pérégrinations temporelles de Ellie (Thomasin McKenzie décidément une future grande) et de ses balades nocturnes avec Sandie (Anya Taylor-Joy capable de tout jouer) se révèle un peu téléphonée par moment. Pire, l'intrigue y est complètement surexpliquée dans le dernier tiers alors que le scénario aurait pu jouer une carte plus sensorielle et éviter les dialogues trop illustratifs. Par ailleurs, si la musique est souvent géniale (pas surprenant avec Wright), sa surabondance vient parfois gâcher quelques effets.

Toutefois, cela n'empêche pas de prendre son pied devant ce thriller psychologique au climax complètement déjanté, convoquant des images tout bonnement terrifiantes. Bref, un sacré voyage lyrique entre rêve et réalité, passé et présent, qui donne très envie de voir Edgar Wright poursuivre des expérimentations horrifiques.

Et ça sort quand ? Dès le 27 octobre dans les salles françaises, de quoi en faire un programme tout trouvé pour Halloween.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... gar-wright
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Jean Paul Belmondo est mort !
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Box-office US : Shang-Chi prend la tête devant Candyman

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Marvel explose les pronostics avec Shang-Chi, qui passe devant Candyman et ses abeilles.

Le pass sanitaire n’étant obligatoire que dans quatre états (La Californie, New York, Hawaï et La Louisiane), l’accès aux salles de cinéma est libre pour une très large majorité des Américains. Le box-office national en a profité puisque les spectateurs se sont déplacés dans les cinémas en ce week-end du 2 septembre, alors qu’il s'agissait de la Fête du Labor Day (fête du Travail américaine), souvent un creux de fréquentation.

Mais avec l’arrivée de Shang-Chi et la légende des Dix Anneaux, qui dépasserait très largement les prédictions, Disney aurait établi un nouveau record pour cette période traditionnellement peu rémunératrice. On peut alors se demander ce que cela aurait donné si Disney et Marvel avaient eu la possibilité de la jouer un peu plus stratégique en sortant le film réalisé par Destin Daniel Cretton lors d’une semaine à la fréquentation plus normale.

Ainsi, sans surprise désormais, Shang-Chi et la légende des Dix Anneaux (notre critique) se place en tête du classement. Avec une ouverture qui avoisinerait les 71,4 millions de dollars pour 4 300 copies, le nouveau-né de Marvel ne serait pas si loin de Black Widow et ses 80 millions récoltés lors de son premier week-end. Si l’héroïne reste devant, la sortie exclusive en salles de Shang-Chi pourrait offrir au personnage un succès sur la durée et le faire passer devant les petits 182 millions de Black Widow glanés sur le territoire national à cause de la diffusion simultanée sur Disney+.

Sur la seconde marche du podium, Candyman cumulerait pour sa deuxième semaine environ 10,5 millions de dollars pour 3 569 copies. Si le film réalisé par Nia DaCosta ne perd qu’une place au classement, il parait connaître une certaine chute de fréquentation puisque le week-end passé, il cumulait plus de 22 millions de recettes.

Mais cela reste prometteur, surtout qu’en cumulant déjà 39 millions, Candyman rentrerait dans ses frais (avec son budget de 25 millions) et passerait logiquement devant son illustre aïeul, Candyman de Bernard Rose, qui avait totalisé 25 millions de recette mondiale hors inflation (à cause de sa sortie limitée aux États-Unis, à la France et à l'Allemagne)

En troisième position, Free Guy (notre critique) tient la route avec, en ce week-end férié, une estimation de 8,7 millions de dollars de tickets vendus pour 3 885 copies, lors de sa quatrième semaine d’exploitation. Ce serait une petite chute par rapport aux 13 millions de la fin de semaine dernière, mais rien de dramatique pour Ryan Reynolds, puisque le film cumulerait 91,8 millions de dollars. Si le métrage de Shawn Levy n’est pas un raz-de-marée, il parvient tout de même à se maintenir à flot.

Au pied du podium, à la quatrième place, Jungle Cruise (notre critique) tient la barre et ne lâche rien pour sa sixième semaine, avec encore 3,9 millions qui viendraient s'ajouter à son escarcelle, selon les projections. Dwayne Johnson et Emily Blunt semblent continuer de faire recette en restant à la même position et en ne perdant que peu de spectateurs après les 5 millions du week-end passé. Pourtant, Mickey ne serait pas encore rentré dans ses frais et ses 200 millions de budget puisque l’aventure n’aurait alors pour le moment rapporté que 105,6 millions de dollars.

Enfin, pour clôturer le top 5, La Pat' Patrouille, le Film. Les petits chiens de Paramount quittent le podium pour leur troisième semaine puisqu'ils rapporteraient 3,6 millions de dollars pour 3 004 copies après les 6,6 millions du précédent week-end. Il n’empêche qu’avec un total de 30 millions aux États-Unis (et 80 millions dans le monde), les chiots commencent à faire du bénéfice sur leur budget de 26 millions.

Plus bas, à la sixième place, Don't Breathe 2 (notre critique) continue son chemin avec 2,2 millions de dollars, selon les estimations, pour sa quatrième semaine. Ça fait un total de 27,9 millions. Mais cela reste loin des 89 millions du premier volet, Don't Breathe - La Maison des ténèbres. Encore plus bas, en huitième position, The Suicide Squad (notre critique) ferait toujours gris mise pour sa quatrième semaine en vendant 905 000 dollars de tickets pour un total de 54,4 millions de dollars. La version de David Ayer a le sourire moqueur avec ses 325 millions récoltés sur le sol national.

Pour la semaine prochaine, il reste à voir si Shang-Chi va tenir la cadence et s’il résistera à Malignant de James Wan. Affaire à suivre.


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Dune : les premiers avis de l'adaptation épique de Denis Villeneuve sont tombés

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Le film Dune fait son festival à Venise et les premiers avis sur l'adaptation de Denis Villeneuve sont largement positifs.

Très attendu par les fans, qui l’attendent aussi au tournant, Dune réalisé par Denis Villeneuve s’est dévoilé lors de la Mostra de Venise. Succédant à David Lynch pour l’adaptation de l’œuvre éponyme de Frank Herbert réputée inadaptable, le réalisateur québécois a une sacrée pression sur les épaules. D’autant que la suite de la saga qu’il est en train de concocter est liée au succès de ce premier film, même si à en croire Villeneuve, seul un box-office cataclysmique viendrait entraver ses plans.

Mais après des bandes-annonces épiques, Dune mettait clairement l’eau à la bouche et on n'a pas été déçu, comme on l'exprime dans notre critique. Si le réalisateur de Blade Runner 2049 incite fortement les spectateurs à aller voir le film en salles, il sortira simultanément sur HBO Max aux États-Unis le 22 octobre.

Mais si la sortie officielle en salles n’est pas encore pour tout de suite, Dune s’est déjà donné à voir pour quelques privilégiés. Et alors que les premiers avis pullulent dans les revues et autres journaux, s’il ne fallait retenir que l’essentiel, ce serait que le dernier long-métrage de Villeneuve est spectaculaire, bien que certains le trouvent presque trop académique. Petite revue de presse.

"Une adaptation captivante et impressionnante de la moitié du roman de Frank Herbert, qui épatera les amateurs de la première heure et rendra les nouveaux venus accros à ses visions pleines d'Épice. Si la deuxième partie n'a jamais lieu, ce sera une honte." -Empire

"Les spectateurs méritent de voir la conclusion d'un film d'action aussi bien conçu et aussi patiemment orchestré, qui cherche davantage à susciter un émerveillement révérencieux par la simplicité des structures narratives durables que par la complexité de la construction d'un univers cinématographique." -SlashFilm

"Avec Dune, Villeneuve a l'occasion de redresser les torts du raté de 1984 de David Lynch (un raté selon certains, du moins) et de faire véritablement honneur au texte d'Herbert. Mais Villeneuve ne peut s'empêcher de tout laquer, donnant quelque chose de trop lisse et dur au toucher." -Vanity Fair

"Ceux qui trouvent que Villeneuve est un personnage sérieux, sans humour et prétentieux ne changeront probablement pas d'avis de sitôt après Dune, mais c'est peut-être tant pis pour eux. Dans un tel climat de mauvais retours sur le box-office, il reste à voir si Warner acceptera de faire une suite. Mais ce n'est pas ce qui nous préoccupe pour l'instant ; Dune est indéniablement impressionnant, envoûtant et d'une immensité évocatrice, indépendamment du fait qu'il s'agisse d'un film à succès." -The Playlist

"La narration n'a pas la clarté qui lui permettrait d'être constamment stimulante. Paradoxalement, compte tenu de sa position élevée dans le canon de la science-fiction, une grande partie de la créativité du récit a également été diluée, rendue insipide par des décennies d'imitation." -The Hollywood Reporter

"Qualifier ce Dune d'œuvre remarquablement lucide, c'est l'encenser au prix d'une très légère condamnation. Peut-être par réticence à aliéner les novices du public, Villeneuve a aplani de nombreuses circonvolutions du roman, au bénéfice probable de la compréhension, mais au détriment de certains excès riches et imaginatifs." -Los Angeles Time

"Le génie de l'exécution de Villeneuve - il n'y aura peut-être pas d'autre film cette année, ou même jamais, qui transforme un personnage demandant un verre d'eau à un autre en une sorte de performance artistique psychédélique - fait souvent oublier que l'intrigue est surtout un prologue, une origin story tentaculaire sans début ni fin définis."- Entertainment Weekly

"Un film d'une telle ampleur et d'une telle richesse est une splendide réussite, mais il est plus facile de l'admirer que de l'aimer. Il y a bien un peu d'humanité là-dedans : au fond, c'est l'histoire d'un garçon qui devient plus dur et plus cynique sur le chemin qui le mène à devenir un leader. Mais qui s'intéressera à certains de ces personnages superficiels et sans relief ? Ils ont des noms exotiques et des costumes élaborés, mais aucun d'entre eux n'a beaucoup de chaleur ou de personnalité, contrairement à ceux d'un autre space opera que je ne mentionnerai pas."-BBC

Dune va faire son entrée dans les cinémas français le 15 septembre, presque un mois avant la sortie américaine afin d'éviter que le film ne se tire une balle dans le pied avec le piratage qui sera difficile à éviter une fois le film disponible sur HBO Max.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1630936975
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EL n'a pas trop aimé Cendrillon (2,5 étoiles) :

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Après avoir été victime de la crise sanitaire mondiale, Amazon Prime Video a joué les princes charmants en sauvant la nouvelle adaptation de Cendrillon produite par Sony Pictures, qui a probablement plus sa place sur une plateforme de streaming qu'en salles.

LOVE SAVED THE DAY, BUT


Que ce soit avec Comme Cendrillon, Les 12 coups de Minuit ou même le film d'animation Cendrillon au Far West, on compte déjà pas mal de relectures modernes et d'adaptations libres du célèbre conte de Charles Perrault (et plusieurs dont on se serait bien passé).

En plus de susciter quelques appréhensions, l'idée de Sony de dépoussiérer l'histoire de la future princesse en haillons n'a donc rien de bien original, de même que sa réinterprétation plus progressiste, La légende de Cendrillon, Ella au pays enchanté ou À tout jamais, une histoire de Cendrillon ayant déjà tâté le terrain. Le film réalisé par Kay Cannon (Contrôle parental) trouve pourtant une certaine singularité qui lui permet de ne pas totalement disparaître dans la masse d'adaptations.

Pour réactualiser le conte, Cendrillon plonge ainsi son héroïne Ella (Camila Cabello) dans un royaume moyenâgeux imaginaire, multiculturel et anachronique, qui verse cependant plus dans le burlesque que la parodie. Le film reprend les étapes obligatoires du récit d'origine, ponce les tropes du conte de fées et recycle les mêmes personnages archétypaux (piochant du côté de La Belle et la Bête ou d'Aladdin), mais avec un esprit méta et humoristique où tout le monde a plus ou moins conscience d'être au service d'une comédie musicale. Malheureusement, le tempo comique a parfois du mal à tomber juste, plongeant plus souvent dans l'absurde que le ton décalé recherché.

Là où le film est plus intéressant, c'est pour son positivisme féministe assumé. Pour l'intrépide Ella, le rêve d'une vie n'est pas l'amour comme le chantait la Cendrillon de Disney en 1950, mais plutôt d'aller au bout de ses ambitions, sans que celles-ci dépendent forcément d'un homme. Plutôt que de trouver un bon parti pour se sortir de sa condition, elle souhaite s'émanciper par ses propres moyens en devenant styliste et en ouvrant sa boutique de robes, ce que les femmes ne sont pas autorisées à faire, jusqu'à ce qu'elle renverse le système patriarcal et redore la moralité datée du conte.

C'est dans cette même démarche que le film réhabilite la belle-mère dont le premier mari a broyé son désir de devenir pianiste, mais aussi les belles-soeurs plus bêtes que méchantes, et donne au prince Robert (Nicholas Galitzine) une mère et une soeur cadette, qui est plus apte à régner que son frère ou son père. Afin de ne pas renoncer à sa vocation, Ella nage un peu plus à contre-courant en refusant carrément le statut de princesse que lui propose son beau prétendant, qui finira quant à lui par accepter leur union libre pour la soutenir dans son projet d'entrepreneuriat.

Une façon de préserver le romantisme de l'oeuvre, tout en requalifiant Cendrillon en carriériste épanouie aussi bien sur le plan sentimental que professionnel, mais aussi de mettre en parallèle les aspirations des personnages féminins et leur place de second plan dans la société. C'est peut-être du girl power un peu niais et amené dans de gros sabots en bois, plutôt que d'élégants escarpins en verre, mais le message reste rafraîchissant.

DÉSENCHANTÉE

Malheureusement, les bonnes idées ne font pas obligatoirement de bons films et Cendrillon souffre de plusieurs défauts majeurs, à commencer par l'aspect cinématographique très faible au niveau de la mise en scène et de l'environnement trop artificiel dans lequel évoluent les personnages.

L'histoire, aussi énergique soit-elle, défile à mille à l'heure et toutes les situations problématiques se dénouent en l'espace de 30 minutes, générique compris, donnant l'impression que le film a entamé un sprint final après avoir chanté pendant une heure. Et même si le film tente d'installer une complicité et une bienveillance entre le prince et Ella, leur romance est elle aussi trop précipitée pour ne pas sonner faux, alors même que le film a été vendu comme une comédie musicale romantique.

En ce qui concerne les musiques, le répertoire manque de chansons originales et repose paresseusement sur de nombreuses reprises contemporaines pour varier les genres et tempos (Rhythm Nation, Somebody to Love, Perfect ou encore Seven nation armies), même si le film peut compter sur les voix puissantes de Camila Cabello, Billy Porter ou Idina Menzel pour donner du souffle à l'ensemble. Malgré les costumes travaillés d'Ellen Mirojnick et les maquillages et coiffures aux airs baroques de Sharon Martin, les séquences musicales sont quant à elles filmées comme des clips musicaux génériques.

De même, la plupart des acteurs secondaires n'ont pas l'air plus impliqués que ça, notamment Pierce Brosnan qui n'a pas poussé la chansonnette (du moins pas sérieusement), ce qui n'est peut-être pas si mal après ses vocalises bruyantes dans Mamma Mia !. Enfin, les strass, paillettes et autres couleurs criardes ont du mal à combler le manque de féerie de ce conte modernisé, mais trop désenchanté.

Cendrillon est disponible sur Amazon Prime Video depuis le 3 septembre 2021 en France

De bonnes idées et des partis pris intéressants par rapport au conte original, mais une exécution beaucoup trop laborieuse pour que la nouvelle adaptation de Cendrillon soit une réussite.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1630930168
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Vu à la premiere (avec Chalamet, Zendaya, Ferguson et un Villeneuve tout excité qui disait que c'est la 1e fois que le film est montré à un grand public et il a participé lui-même aux réglages pour une qualité de visionnage optimal)

Je vais avant tout parler en tant que connaisseur de l'oeuvre : avec cette nouvelle adaptation de Dune (du moins la 1e moitié), Villeneuve livre non seulement son meilleur film, mais également le blockbuster de SF le plus impressionnant depuis Avatar. Voilà qui est posé.

Maintenant je ne vais pas revenir en détail sur ce qu'offre le scénar, mais en terme de tonalité, le réal a parfaitement compris les diverses composantes de l'oeuvre (monomythe, guerre de clans, la relation parent-enfant, l'influence de la religion, la dimension écologique...), le tout avec un respect et un aspect des plus solennels absolument admirables.

C'est simple, malgré son côté "Star Wars rencontre Game of Thrones et Avatar", le visionnage de Dune est comme nul autre, et ce dès sa formidable introduction (le reveal du titre fait presque penser à 2001), où la beauté des images (Greig Fraser livre son meilleur taff), l'acuité de la mise en scène, la perfection du montage de Joe Walker (habitué de Steve McQueen) et la merveilleuse BO de Hans Zimmer (le bougre s'est dépassé pour nous livrer un sacré morceau pour les esgourdes) arrivent immédiatement à nous transporter dans le monde imaginé par Herbert.

Le gigantisme des décors (excellente production design de Patrice Vermette, à qui on doit les vaisseaux d'Arrival) pour créer un film-univers ne supplante jamais l'attention accordé aux personnages. Tout le monde est parfait : Timothée Chalamet en futur élu appelé par un destin qui le dépasse, Rebecca Ferguson en figure maternelle tiraillée entre sa famille et son devoir religieux, Oscar Isaac qui incarne l'autorité tranquille, Jason Momoa et son flegme animal, Josh Brolin en général taciturne, Charlotte Rampling en révérante impassible (elle te vole la vedette en 1 seule séquence)...

Partie 1 oblige, certains sont plus en retrait, non sans donner l'impression d'être parfaitement à leur place (Zendaya,Javier Bardem...) mais c'est plus dommageable pour les Harkonnen, finalement très peu mis en avant.
Là où c'était une belle occasion de développer les antagonistes en filigrane, il faudra attendre la partie 2 pour un biscuit plus conséquent.
Qu'à cela ne tienne, là est LE petit grief que l'on pourra trouver à Dune Part One : en 2h35 (rythmée à la perfection), le film arrive à vraiment introduire et développer son univers, ses personnages principaux, amener du retournement de situations et des péripéties avant la seconde moitié de l'aventure.
Il est juste dommage de ne pas avoir disons 20 minutes de plus pour mettre en avant certains personnages secondaires qui sont des pivots de la partie 1, en particulier le Dr Yueh (et Duncan Idaho/Momoa dans une moindre mesure)

David Dastmalachian en Peter de Vries est relégué au 3e plan, tandis que Glossu Rabban attend sagement le 2nd film.
Heureusement, Stellan Skarsgard est parfait en Baron Vladimir (un travail prosthétique impressionnant), inspirant à la fois la peur et le dégout, et ce en une poignée de séquences.
Autre point notable : le Dr Liet Kynes se voit certes changé de sexe, mais est plus développé !

Passé ce léger point, on se dit que la Partie 2 gommera ses menus défauts (ou non si l'aventure s'arrête là), dans un film où l'attention au détail est présente à chaque plan.

Cela se traduit évidemment par la direction artistique comme précédemment dit (de Caladan à Arrakeen, même si 2-3 couloirs vides), mais aussi par le score de Hans Zimmer. Le bougre a bien bossé, proposant des sonorités futuristico-tribales et orientales du plus bel effet. Sons gutturaux semblant venir d'un autre monde, percussions tonitruantes ou basses atmosphériques, il s'agit de son meilleur travail depuis 2014, convoquant Interstellar, The Dark Knight, Gladiator et Lawrence d'Arabie (rien que ça) !

Bref, un film dense, qui m'aura également surpris dans sa narration et l'utilisation des visions ésotériques de Paul...

Difficile de ne pas y voir un pari largement réussi, qui sera à remettre en perspective avec la Partie 2 (se devant donc d'aller plus loin dans le développement des Harkonnen et des Fremen, tout en introduisant Feyd, l'Empereur et la suite du parcours de Paul)

Autrement, on tient là un grand moment de cinéma, et n'ayons pas peur des mots, une pierre blanche majeure dans le paysage cinématographique du blockbuster et du cinéma de SF.
4.5 ou 5/5 (grosso merdo jsuis sur du 9 ou 9.5/10)

PS : ptit regret, Villeneuve n'a pas inclus les navigateur
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@NaughtyDog jolie critique, ça donne envie :jap:
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En hommage mon top Belmondo : Et c'est quand la liste s'allonge et qu'on a l'embarras du choix qu'on mesure la perte :sweat:

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La superbe version restaurée du voleur est passée sur arte hier soir
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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J'ai jamais vu Itinéraire d'un enfant gâté :saint:
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Pale a écrit :
mar. 7 sept. 2021 10:44
J'ai jamais vu Itinéraire d'un enfant gâté :saint:
C’était l occase hier soir sur TF1
je me suis souvent demandé pourquoi c était un de mes films préféré de Bebel
et je crois que j ai trouvé hier soir , Lelouch ne rate aucune occasion de faire un gros plan sur lui , surement le film ou il y en a le plus de lui
et comme il repasse sa vie en flash pendant presque tout le film , c'est très émouvant
hier soir encore plus bien sur

et puis
entre autre
il y a ça :love: :love:

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Last Night in Soho : les premières critiques captivées par le film d'Edgar Wright

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Présenté à Venise hors compétition, le film Last Night in Soho réalisé par Edgar Wright prend aux tripes de ses premiers spectateurs d'après les premières critiques.

C'est le lot d'Edgar Wright, pour le meilleur comme pour le pire (même si c'est souvent pour le meilleur). Après un Baby Driver apprécié par notre rédaction, efficace mais finalement très académique dans sa structure scénaristique, Wright revient pour une nouvelle fiction qui s'annonçait angoissante et psychédélique depuis ses bandes-annonces. De quoi compenser les lacunes de Baby Driver, et offrir une proposition plus originale encore.

Mais originalité n'étant pas forcément un synonyme de qualité, il faudra bien plus que quelques promesses montées sur deux minutes de vidéo pour convaincre son public. Ainsi, à l'occasion du festival de Venise, le metteur en scène a pu présenter son film et révéler encore un peu plus le talent d'Anya Taylor-Joy, dont la renommée n'a de cesse de monter de rôle en rôle (mise à part pour Les Nouveaux Mutants, petit ange oublié trop tôt).

Alors que le film n'est pas prévu dans les salles françaises avant un bon moment, quelques rares chanceux (dont nous faisons partie) ont pu voir le film en avant-première, au festival. L'émotion était là, et ce n'est pas peu dire. Le film a su fédérer une grande partie de ses spectateurs à l'idée qu'il est stimulant, psychédélique et sensoriel, même si certains lui trouvent des maladresses d'écriture. Un voyage qui vaut au moins le détour. Revue de presse.

"Derrière l'habituel montage effréné et le post-modernisme insistant d'Edgar Wright, un mouvement fluide et une émotion intense se tapissent dans ce film. Last Night in Soho n'est pas juste différent des précédents films du réalisateur : il est différent de n'importe quel film qui l'a précédé." -IndieWire

"Last Night in Soho est un film immensément agréable qui sait jouer avec les genres, passant d'un voyage dans le temps fantastique à un conte de fées sombre et du mystère à un climax horrifique, qui emprunte aux fictions des années 1960 jusqu'aux plus contemporaines." -The Hollywood Reporter

"C'est un immense succès. Last Night in Soho est ce genre de bon moment qui ne prend fin que lorsque quelqu'un pleure ou saigne. Et bon sang, qu'est-ce que ces nuits ont pu nous manquer !" -ScreenDaily

"Edgar Wright prend un sac d'ingrédients des années 1960, les peint et les fait danser à son rythme. Son film est complètement idiot et stupidement agréable." -The Guardian

"Last Night in Soho, avec toutes ses lacunes et ses merveilles, vous montre qu'un vieux chien peut apprendre de nouveaux tours. Wright montre qu'il n'a toujours pas atteint le plafond de sa carrière de cinéaste, mais il est réconfortant de le voir décoller de la sorte plutôt que de le voir marcher sur ses plates-bandes." -SlashFilm

"Mélangeant glorieux pastiche et histoires de fantômes sanglants, Last Night in Soho sera un des meilleurs films londoniens de la décennie."-TheWrap

"L'affection particulière de Wright pour les films de série B, la pop britannique et une poche urbaine de Londres en voie d'extinction est présente dans le film, mais jamais écrite de manière convaincante, noyant finalement la petite enquête surnaturelle qui reste." -Variety

"Last Night in Soho monte au début pour s'écraser à la fin. C'est une promesse non tenue." -Time

Des critiques largement positives, rarement teintées de déception. Le potentiel de l'œuvre est toujours admis, surtout pour son concept coloré, fantastique et sombre. Encore une fois, Edgar Wright devrait intéresser les foules et trouvera sûrement son public via ce nouveau chapitre de sa carrière. Cependant, il faudra s'armer d'un peu de patience : le film n'arrivera que le 27 octobre dans les salles françaises.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 668_0_0_31
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weird

Wickaël a écrit :
dim. 29 août 2021 19:33
Et demain j'attaque Mr Robot, qui, apparemment, est une excellente série :hot:
Impressionnant Rami Malek :bounce:
Je suis impatient de le voir dans le prochain Bond :)
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weird

Pale a écrit :
lun. 6 sept. 2021 23:43
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Où est Naughty ? :D
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Je m'interroge sur un truc en ce moment :o Sur l'ancien forum allociné il me semble qu'il y avait bien une membre régulière qui s'appelait ZulZorander..Est ce que c'est la même personne qui est Streameuse aujourd’hui ? Ou pas du tout :lol: https://www.twitch.tv/zulzorander
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Non c'était Zoolander du nom du film avec Ben Stiller
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
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BOX OFFICE STORY a écrit :
mar. 7 sept. 2021 18:14
Non c'était Zoolander du nom du film avec Ben Stiller
Oui il y avait aussi un zoolander mais c'était une autre personne :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ma memoire de poisson rouge vous aidera pas a trancher sur le sujet
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ClintReborn a écrit :
mar. 7 sept. 2021 18:16
BOX OFFICE STORY a écrit :
mar. 7 sept. 2021 18:14
Non c'était Zoolander du nom du film avec Ben Stiller
Oui il y avait aussi un zoolander mais c'était une autre personne :saint:
ah, au temps pour moi
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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ClintReborn a écrit :
mar. 7 sept. 2021 18:02
Je m'interroge sur un truc en ce moment :o Sur l'ancien forum allociné il me semble qu'il y avait bien une membre régulière qui s'appelait ZulZorander..Est ce que c'est la même personne qui est Streameuse aujourd’hui ? Ou pas du tout :lol: https://www.twitch.tv/zulzorander
Ca me dit rien désolée!
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robinne a écrit :
mar. 7 sept. 2021 12:43
Pale a écrit :
lun. 6 sept. 2021 23:43
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Où est Naughty ? :D
Je dirais quelque part sur le premier balcon :D
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ClintReborn a écrit :
mar. 7 sept. 2021 18:02
Je m'interroge sur un truc en ce moment :o Sur l'ancien forum allociné il me semble qu'il y avait bien une membre régulière qui s'appelait ZulZorander..Est ce que c'est la même personne qui est Streameuse aujourd’hui ? Ou pas du tout :lol: https://www.twitch.tv/zulzorander
Ça me dit quelque chose mais je ne sais pas si c'est le pseudo exact :D
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Pale a écrit :
mar. 7 sept. 2021 22:40
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Matrix suite?? (La fille qui débarque)
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Cocu a écrit :
mar. 7 sept. 2021 22:45
Matrix suite?? (La fille qui débarque)
Oui, c'était même censé sortir plus tôt mais avec le Covid ça a été retardé. Ça sort en décembre.

Quelques images avant le trailer ce jeudi :



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Kristen Stewart aux Oscars : l'évidence après l'unanimité de Spencer à Venise ?

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Saluée par les critiques pour sa performance dans le biopic Spencer, Kristen Stewart devrait être dans la course aux Oscars selon le directeur du Festival de Venise.

Enfant star révélée grâce à Panic Room de David Fincher alors qu’elle était âgée de 12 ans, Kristen Stewart est restée depuis sous l'oeil de la caméra au travers de films comme Zathura, une aventure spatiale ou Speak. Sa popularité va commencer à monter en flèche avec Into The Wild de Sean Penn, mais c’est bien son rôle de Bella Swann dans la saga Twilight qui la fera exploser sur la scène internationale.

Souvent moquée, parodiée et dénigrée pour son rôle d’ingénue amoureuse d’un vampire scintillant, Kristen Stewart a depuis su montrer au public l’étendue de son talent qui dépasse les frontières de la comédie romantique fantastique pour ados. Actuellement, des années plus tard, alors qu’elle présente au Festival de Venise Spencer réalisé par Pablo Larraín, l’actrice paraît lancée sur l’autoroute des Oscars.

D’idole des jeunes à star montante du cinéma indépendant, Kristen Stewart a œuvré pour la caméra de Woody Allen, Olivier Assayas, Ang Lee et sera à l’affiche de Crimes of the Future, réalisé par David Cronenberg. Et après avoir obtenu le César de la Meilleure actrice pour Sils Maria, Stewart serait bien partie pour les Oscars avec Spencer, à en croire le directeur du Festival de Venise, Alberto Barbera. Ce dernier a été questionné par Deadline sur la possibilité que l'actrice soit nommée pour le prestigieux prix, ce à quoi il a répondu de manière net et précise : “Bien sûr, évidemment...”

Il faut dire que les critiques autour du biopic sur la Princesse de Galles sont pour la plupart excellentes et mettent l’accent sur la prestation folle de l’actrice qui paraît taillée pour une ribambelle de prix. Pour reprendre les mots de The Telegraph :

“Kristen Stewart, âgée de 31 ans, qui sera immanquablement et à juste titre récompensée par des prix pour ce rôle, navigue sur ce terrain périlleux avec une maîtrise totale. Sa voix et ses mimiques sont justes, mais elle monte le tout d'un cran afin de mieux s'appuyer sur les embardées mélodramatiques, paranoïaques et absurdes du film.”

Même The Guardian salut la performance de Kristen Stewart qu’il qualifie "d’envoûtante". Alors, si les journaux britanniques adoubent cette interprétation de Lady Di, l’actrice de Blanche-Neige et le Chasseur est à l’évidence sur le bon chemin. Les critiques insistent sur le maniérisme de l’actrice césarisée en le décrivant comme proche de la façon d’être de la défunte princesse. Une petite vengeance peut-être pour Kristen Stewart, qui a souvent été moquée pour son jeu parfois parasité de tics.

Après avoir remporté des dizaines de récompenses venant des MTV Movie Awards, des Kid’s Choice Awards ou encore Teen Choice Awards (dans lesquelles on retrouve des catégories comme Meilleur Baiser ou Meilleure actrice botteuse de fesses), il se pourrait que Stewart fasse une entrée fracassante aux Oscars et ainsi dans la cour des très grands.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1631024746
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Patrick Wilson au côté de James Wan sur le tournage de Aquaman 2 :

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:lol:

On apprend suite à cela que Simu Liu (le héros de Shang-Chi) a été modèle pour des banques d'images en ligne il y a quelques années :

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:D
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Pale a écrit :
mar. 7 sept. 2021 22:48
Cocu a écrit :
mar. 7 sept. 2021 22:45
Matrix suite?? (La fille qui débarque)
Oui, c'était même censé sortir plus tôt mais avec le Covid ça a été retardé. Ça sort en décembre.

Quelques images avant le trailer ce jeudi :



Merci :jap:
Pouet
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Cocu a écrit :
mar. 7 sept. 2021 22:45
Pale a écrit :
mar. 7 sept. 2021 22:40
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Matrix suite?? (La fille qui débarque)
Tu vis dans quelle matrice pour ne pas savoir ça ? :lol:
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