Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Box-office US : Shang-Chi reste en tête, Cry Macho de Clint Eastwood démarre mal

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Une semaine après Malignant, de James Wan, un nouveau film de la Warner Bros démarre en troisième position. (Source : Le Film Français)

Pour son troisième week-end d'exploitation, Shang-Chi et la légende des dix anneaux reste en tête du classement américain grâce à 21,7 millions de dollars supplémentaires, soit 176,9 millions récoltés dans un peu plus de 4000 cinémas. Encore 7 petits millions et le nouveau super-film de Marvel aura battu Black Widow. Il faut dire que contrairement à ce film en solo porté par Scarlett Johansson, ce blockbuster avec Simu Liu sort uniquement au cinéma, et non en parallèle sur Disney Plus, ce qui augmente potentiellement ses recettes et limite le piratage. En tout, Shang-Chi a atteint les 320 millions de dollars dans le monde, devenant le troisième plus gros succès de l'année derrière.

Free Guy, la comédie avec Ryan Reynolds, se maintient en deuxième position grâce à 5,2 millions de billets verts, ce qui pousse son cumul à 108 millions rien qu'aux Etats-Unis. Un autre joli succès pour la 20th Century Fox et Disney.

Comme la semaine dernière, une nouveauté de la Warner Bros débute en troisième position. Après Malignant, de James Wan, qui démarrait moins bien que prévu et est tombé à la cinquième place ce week-end, c'est Cry Macho, de Clint Eastwood, qui déçoit avec seulement 4,5 millions de dollars amassés dans 3967 salles. Le studio l'a sorti en parallèle sur grand écran et en streaming sur HBO Max, contrairement à Dune, qui sera proposé uniquement au cinéma à partir du 22 octobre, après être déjà sorti en Europe (où il marche très bien). Notez que le dernier film du cinéaste, Le Cas Richard Jewell, avait effectué un score similaire en décembre 2019, soit avant la pandémie de Covid-19 et la mise en place de la stratégie de sorties controversée du studio : il avait récolté 4,7 million de dollars lors de son premier week-end (face à Jumanji 2 et Frozen 2), puis 22 millions en tout.

En quatrième position, le film d'horreur Candyman gagne 3,5 millions de billets verts supplémentaires pour 2820 écrans, ce qui porte son total américain à 53,1 million.

Voici le box-office américain du week-end du 17 au 19 septembre 2021 :


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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... eBswyCkCQo
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Wickaël
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Pale a écrit :
lun. 20 sept. 2021 22:46
Ça devient sacrément répétitif quand même :D
Je veux juste une boucherie digne de ce nom :D
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Wickaël a écrit :
mar. 21 sept. 2021 06:56
Je veux juste une boucherie digne de ce nom :D
Je pense qu'on va être servi à ce niveau là :D
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Un peu en avance, mon programme ciné du mois d'octobre (selon l'agenda belge et français) :

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Peut-être :

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Sur Netflix :

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NaughtyDog
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the hype is real

un des 3 meilleurs acteurs actuels, une des 3 meilleures actrices actuelles
Bruno Delbonnel qui semble encore une fois livrer une photo quali (un Oscar please), c'est quasi aussi beau que la précédente adaptation par Kurosawa

Joel et Frances ont décrit cette relecture comme un thriller où le temps joue un rôle prépondérant (Macbeth et sa femme sont vieux, et c'est leur dernière chance d'avoir la couronne), ce qui se ressentira via l'OST de Carter Burwell (j'imagine un tempo de métronome !)

qualifier Macbeth de thriller me surprend pas, de plus les Coen ont toujours eu comme thème de prédilection la fuite et l'échappée d'individus de leur condition (que ce soit un mode de pensée ou une situation) donc hyper hâte de voir ça !
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
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NaughtyDog a écrit :
mar. 21 sept. 2021 15:26
Magnifique.
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Julie (en 12 chapitres) : une bande-annonce surprenante pour un triangle amoureux tortueux

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Joachim Trier revient avec la bande-annonce de sa prochaine comédie dramatique Julie (en 12 chapitres), qui affronte les affres d'un triangle amoureux.

Après un passage aux États-Unis avec Back Home et un film d'épouvante fantastique (Thelma), Joachim Trier revient à ses premières amours avec Julie (en 12 chapitres). Acclamée par la critique lors du Festival de Cannes 2021 et même lauréat du prix d'interprétation féminine, la comédie dramatique et romantique est, en effet, la conclusion de sa "trilogie d'Oslo", après Nouvelle donne et Oslo, 31 août.

Cette fois, l'histoire sera celle de Julie, une Norvégienne de 30 ans qui n'arrive pas à se fixer dans la vie. Alors qu’elle pense avoir trouvé une certaine stabilité auprès d’Aksel, 45 ans, auteur à succès, elle rencontre le jeune et séduisant Eivind. Une histoire de triangle amoureux mélodramatique, qui va inciter le protagoniste à des choix douloureux, qui mettront en perspective ses choix de vie, et dont la bande-annonce vient d'être publiée.



Un récit plutôt banal sur le papier (une femme qui ne se reconnaît plus dans son couple et va voir ailleurs), mais qui semble sublimé par une réalisation plutôt astucieuse, saupoudrée d'un brin de surréalisme bienvenu (une intrigante scène où le temps semble s'arrêter complètement dans un Oslo immobile).

Julie sera campée par Renate Reinsve ; son compagnon Aksel par Anders Danielsen Lie, et son nouvel amant par Herbert Nordrum. Un casting norvégien pour un réalisateur norvégien, dans une histoire qui se situe en Norvège : Joachim Trier est comme un poisson dans l'eau. Le film arrive en France le 13 octobre 2021.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1632239005
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Cinéma vs streaming : Disney rentre en guerre contre la chronologie des médias en France

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Disney se bat contre la chronologie des médias française et menacerait de ne plus sortir ses films sur le territoire si un accord n'est pas trouvé.

Les géants du streaming sont devenus les nouveaux nababs du cinéma international. Même Hollywood se met au pas désormais face à Disney+ ou encore HBO Max pour Warner Bros.. La double casquette de studio et service de SVoD font d’eux les caïds de la cour de récréation. Et ce, d’autant plus depuis la pandémie qui a instauré de nouvelles règles de diffusion pour les films. Alors que les cinémas étaient fermés au travers du globe, les studios ont trouvé la parade en sortant leurs films directement en ligne (parfois moyennant un surcoût en plus de l’abonnement).

Une facilité que les studios n’ont pas envie de perdre en continuant la sortie hybride de leurs films malgré la reprise de l’activité en salles. Sauf que dans cette conquête généralisée du cinéma, les services de streaming trouvent un rebelle dans le système français. La chronologie des médias de l'Hexagone brise les plans des géants de la SVoD et Disney serait tout à fait prêt à employer les gros moyens pour tout chambouler.

Partout ailleurs, quand Disney décide de sortir le Marvel Black Widow le même jour en salles et en streaming, tout le monde suit, malgré le piratage que cela engendre. Pour ce qui est des fenêtres d’exclusivités en salles d’un maximum de 45 jours avant un rapatriement en SVoD (comme pour Shang-Chi, toujours chez Disney), personne n’y trouve rien à redire. Personne, sauf l’irréductible Gaulois qui met des bâtons dans les roues des studios (américains ou non) avec sa chronologie des médias, seul pays au monde à posséder un système aussi strict.

Dans l’Hexagone, depuis la fin des années 80, la chronologie des médias cherche à garantir l’exploitation des films en salles. Elle régit le délai entre la sortie du film en salles et sa diffusion sur d’autres supports. Aujourd'hui, c’est trois ou quatre mois après la sortie pour la vente de DVD, Blu-ray et la location. C’est huit mois et plus dans la majorité des cas pour la diffusion sur les chaînes payantes participant au financement du cinéma français (comme Canal+).

Il faut attendre entre 15 et 17 mois pour les autres chaînes payantes. Pour la télévision publique, le temps d’attente est, en général, de 22 mois. Et enfin bon dernier, les services de streaming par abonnement (SVoD) doivent patienter 36 mois avant de récupérer un film. Et c’est principalement cette attente de 36 mois qui ne ravit guère Disney (surtout Disney, puisque la plateforme HBO Max de Warner n’est pas disponible en France) ou Netflix. Car avec ce système complexe de file d’attente, Disney ne peut ni sortir les films en simultané ni les balancer sur Disney+ 45 jours après la sortie.

Et apparemment, selon les informations de Variety, Mickey ne semble plus vouloir s’embêter avec cette exception française : si la France ne joue pas le jeu, les films estampillés Disney pourraient ne plus avoir de sorties en salles et finir directement sur Disney+. Un raccourci qui serait terrible pour l’exploitation française quand on voit le nombre de films qui sont sous le joug de Disney et le nombre d'entrées que le studio apporte aux exploitants de cinéma.

Pour se rendre compte du poids de Mickey en France, en 2019 (année où tout allait encore bien), 746 films sont sortis dans l'Hexagone. Parmi eux, seulement onze films Disney. Onze métrages qui offraient 45 millions sur le total de 198 millions de 2019, soit environ 25% du box-office annuel français.

Un manque à gagner qui serait considérable pour les exploitants de salles - d'autant plus que Disney détient également les marques Fox depuis son rachat au printemps 2019 -, mais également un gigantesque frein à la production. Effectivement, le cinéma français, les films indépendants, reçoivent des financements du CNC tirés des revenus en salles notamment. Ainsi, les blockbusters américains sont indirectement un soutien aux plus petits films français. La France se la joue David contre Goliath car contrairement aux autres pays du monde, les films américains représentent moins de 50% des sorties (contre 70 à 80% ailleurs), selon Variety.

Toutefois, il sera primordial, si la menace de Disney est bien réelle, pour les professionnels du milieu de trouver un accord qui arrivera à plus ou moins satisfaire tout le monde. Car dans la bataille, il n’y a pas que les géants américains qui ont des exigences.

Si les chaînes publiques luttent pour conserver leurs avantages, Canal+ a également tapé du poing sur la table devant la menace d'une modification profonde de la chronologie des médias, demandant de réduire le délai de diffusion des films sortis en salles sur les chaînes payantes à 4 mois au lieu de 8. Un sacré casse-tête qui risque de se terminer avec le gouvernement qui tranche si un accord n’est pas trouvé avant la fin de l’année, selon Manuel Alduy, le directeur du cinéma et du développement international pour France Télévision.

Certains, comme Jocelyn Bouyssy (directrice des cinémas CGR) espère que Disney changera de stratégie après avoir déjà reculé sur la sortie hybride après le succès de Shang-Chi et la débâcle Black Widow. Mais vu le succès important de son dernier Marvel en date avec son exclusivité salles de 45 jours aux États-Unis avant une arrivée sur Disney+, rien n'est moins sûr et ce système pourrait bien être répété à l'avenir par le studio. Et comme ce n'est pas possible en France, sera-ce alors la fin des films Disney au cinéma par chez nous ? Mystère pour le moment, mais l'affaire est à suivre de très près...


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1632230426
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EL a modérément apprécié Stillwater (3 étoiles) :

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Un Américain est à Marseille pour sauver sa fille, aidé d'une autochtone. Mais attention, ce bon Matt Damon n'est pas ici pour casser des bouches dans Stillwater. Loin des bastons de Jason Bourne ou des coups d'épée du Dernier Duel, il explore la Canebière pour rendre justice à sa progéniture, le tout à la faveur d'une tragédie humaine et judiciaire plus étonnante qu'il n'y paraît.

MAT DIAMOND


On avait laissé Tom McCarthy sous la pluie d’Oscars de Spotlight, drame journalistique efficace, mais scolaire, sans attendre grand-chose de cet honnête conteur au style un peu trop propre sur lui. Ça, c'était jusqu’à ce qu’il revienne par le tapis rouge cannois, où il présentait en 2021 Stillwater, récit dont les prémices ne sont pas sans évoquer un certain Taken, auxquels il greffe plusieurs éléments issus de faits-divers réels. Matt Damon s'y glisse dans la peau de Bill, ouvrier de l'Oklahoma débarquant à Marseille dans l'espoir de sauver sa fille, accusée du meurtre de sa petite amie et incarcérée dans la cité phocéenne.

Et c'est bien Damon qui constitue l'atout premier du long-métrage. Dès l'ouverture, alors qu'on le suit dans ce qui ressemble encore à une chronique naturaliste de l'Amérique prolétaire, le comédien impose une présence, un tempo, très éloigné de ses plus récentes performances. Son corps, massif, occupe l'écran, tout comme il semble encombrer cet homme dont on sent que le système de valeurs a été inexorablement sapé.

On le découvre au travail, participant au démantèlement de maisons, roulant le long d'interminables langues d'asphaltes, priant sur le burger qu'il a commandé au milieu d'un fast food aux airs de ruche dépressive. Caractérisé avec empathie et une distance jamais glaciale ou sardonique, Bill est peut-être le premier écho de l'Amérique qui fit l'élection de Donald Trump, que Hollywood traite sans agenda politique sous-jacent ou mépris satisfait.

Le comédien habite parfaitement cette physionomie massive et contrainte, simultanément en proie au doute et pétrie de contradictions. Travailleur acharné aux convictions ancrées, Bill est aussi un père qui doit se déraciner pour espérer retrouver sa fille, dont le caractère et la vie sont aux antipodes des siens. Avant que le scénario bifurque du côté de l'investigation et de la colère, l'intrigue prend soin de donner le plus d'espace possible à ce type qui s'efforce de comprendre un univers à rebours du sien, et durant le premier tiers du film, l'attention avec laquelle la caméra scrute la politesse humble de cet homme fracturé est saisissante.

Son dos voûté, sa voix embuée de larmes quand il s'excuse d'exister devant une juge d'instruction qui ne saisit pas sa vulnérabilité, font idéalement écho à une autre existence embarrassée tant par son environnement que les circonstances. Celle de Virginie, incarnée par une Camille Cottin moins volcanique qu'authentiquement à fleur de peau. Le spectacle de ces deux êtres que tout oppose, sauf peut-être leurs déambulations erratiques, est un petit précis de justesse, tant en matière d'interprétation que d'écriture.

TAKEN ET BARBIE

Et c'est bien l'écriture qui permet à Stillwater de laisser une empreinte sur son spectateur. Si Tom McCarthy et Marcus Hinchey ont été les principaux maîtres d'oeuvre du long-métrage, ce dernier a eu la bonne idée de faire appel aux excellents Thomas Bidegain et Noé Debre. Une manière d'encadrer le tout de visions plus en prise avec la réalité marseillaise, conférer à l'ensemble un point d'équilibre entre protagonistes américains et français, une mesure et une prise solide dans le réel. La réussite du dispositif est évidente, tant le film parvient à embrasser la cité dans ses multiples facettes, ses contradictions, ses élans, de vie comme de mort.

D'où une immersion puissante, d'autant plus intéressante qu'elle place le public hexagonal dans une situation passionnante, où il peut simultanément constater la pertinence du regard, tout en expérimentant le profond trouble qui étreint Bill, alors qu'il se retrouve en butte à des institutions, mais aussi des habitus, des traditions, des rites sociaux, qu'il ne comprend pas. C'est dans cette seconde partie que l'interprétation de Damon se fait plus intense encore, quand nous observons ce corps monolithique, que l'espace même, ses ruelles et ses impasses, renvoient à sa notion d'étranger radical, proche et pourtant irréconciliable.

En témoigne une scène saisissante, alors que Bill évolue tant bien que mal au coeur du stade Vélodrome, pendant un match de l'olympique de Marseille. Englué dans la foule, imperméable à la fièvre, mû par un autre régime de tension que les supporters alentour, il nous immerge dans sa subjectivité, laquelle contamine cette séquence filmée sur le vif, dont l'intensité croît un peu plus à chaque plan. En cet instant, le réalisateur trouve la distance idéale pour se décaler des attendus du film de vengeance, ou du thriller parano tel qu'Europacorp l'a dans un même mouvement dépoussiéré et caricaturé. Ce sera malheureusement la seule opportunité de ce genre saisie par le cinéaste.

En effet, et c'est la grande faiblesse de cette histoire souvent émouvante, Tom McCarthy n'est que trop rarement à la hauteur de ses comédiens ou de son scénario. La photographie foisonnante et organique de Masanobu Takayanagi fait parfois illusion, tant elle confère à Stillwater une atmosphère accrocheuse, tour à tour mélodramatique et poisseuse, mais une nouvelle fois, le cinéaste comme son découpage se révèlent tristement illustratifs.

On peine souvent à déceler un point de vue véritable, un propos, comme si le maître d'oeuvre ne se questionnait jamais sur ce qu'il filme, sur le sens de son découpage. Tout ce que l'ensemble y gagne en lisibilité, il le perd en puissance, notamment quand l'histoire se voit contrainte de quitter les calanques du drame pour accoster sur le vieux port du thriller.

Certes, la caméra de Tom McCarthy manque cruellement de point de vue et se contente d'illustrer, souvent platement, son récit. Mais ce dernier recèle quantité de trouvailles, pose un regard passionnant sur le volcan marseillais et donne un bel espace à d'excellents comédiens.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1632227434
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Miamsolo
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Demain je profite de la fête du cinéma pour me faire Dune et Shang Chi :sol:
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Miamsolo a écrit :
mar. 21 sept. 2021 23:09
Demain je profite de la fête du cinéma pour me faire Dune et Shang Chi :sol:
Jeudi soir il y aura Last Night in Soho en AVP dans mon ciné à la séance de 20h sauf que cette semaine je fais 14-22 :D
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Pale a écrit :
mar. 21 sept. 2021 23:18
Miamsolo a écrit :
mar. 21 sept. 2021 23:09
Demain je profite de la fête du cinéma pour me faire Dune et Shang Chi :sol:
Jeudi soir il y aura Last Night in Soho en AVP dans mon ciné à la séance de 20h sauf que cette semaine je fais 14-22 :D
Oui j'avais vu ça aussi, mais bon jeudi je me lève à 6h du matin, pareil pour vendredi, donc pas sûr que je vais tenir éveillé à 20h (surtout que le cinéma que je fréquente n'est pas tout près de chez moi non plus) :(
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Barbaque : Fabrice Éboué chasse le vegan dans la bande-annonce bouchère

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Fabrice Éboué présente la bande-annonce de son prochain film, Barbaque, où il joue un traqueur de vegans dont il vend ensuite la chair.

La France a une pléthore de comédies à proposer, souvent bon enfant dans leur humour. Mais il arrive quelquefois qu'il suffise d'un premier aperçu pour que certaines sortent du lot... et c'est le cas de Barbaque. Fabrice Éboué, comédien populaire français qu'on a récemment pu retrouver dans Tout Simplement Noir, et déjà passé à plusieurs reprises derrière la caméra (CoExister, Le crocodile du Botswanga et Case départ), revient avec une nouvelle comédie, qui s'annonce plus tordue que ses précédents travaux.

Axée sur la question du veganisme et des remous qu'il provoque dans la société, le synopsis du film est le suivant : "Vincent et Sophie sont bouchers. Leur commerce, tout comme leur couple, est en crise. Mais leur vie va basculer le jour où Vincent tue accidentellement un vegan militant qui a saccagé leur boutique… Pour se débarrasser du corps, il en fait un jambon que sa femme va vendre par mégarde. Jamais jambon n’avait connu un tel succès ! L’idée de recommencer pourrait bien les titiller…"



Complètement barré, provocateur et teinté d'humour noir, c'est à se demander d'où sort cet objet cinématographique (auquel TF1 participe, tout de même). Des effets de mise en scène assez guignolesques (les zooms de la caméra après un meurtre de vegan) aux répliques qui font pouffer de rire tant elles paraissent impossibles à caser comme elles le sont dans la vie ("C'est du vegan... c'est un herbivore"), l'amusement sera probablement au rendez-vous, avec ce métrage.

En tout cas, on peut saluer l'effort de traiter un sujet aussi sérieux de manière aussi décomplexée. D'ailleurs, notre avis sur le film est déjà en ligne, en attendant de vous faire votre propre avis, dès le 27 octobre 2021.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1632324285
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Les Animaux fantastiques 3 dévoile son titre officiel avec du Dumbledore

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Les Animaux fantastiques sont de retour pour un troisième opus qui a dévoilé son titre officiel avec une touche de Dumbledore.

Devenue extrêmement populaire, la saga Harry Potter suivant la scolarité bien compliquée du jeune sorcier, incarné par Daniel Radcliffe, est devenue pour toute une génération un objet de culte. Et après avoir rapporté beaucoup (beaucoup) d’argent, il était naïf de penser que l’adaptation de l’univers magique de J.K. Rowling s’arrêterait là. Pour continuer à faire tourner la machine à billets, Warner a donc succombé à une saga spin-off : Les Animaux Fantastiques.

Loin de convaincre l'ensemble des fans de la saga mère, Les Animaux Fantastiques et sa suite Les Animaux fantastiques : Les Crimes de Grindelwald n’ont pas fait sauter la banque. Qu’importe, le troisième volet des aventures de Norbert Dragonneau (Eddie Redmayne) a tout de même été commandé et donne enfin de ses nouvelles, près de trois ans après la sortie du deuxième volet.

Certes, le film a connu quelques rebondissements dont il se serait bien passé entre le le scandale autour de Johnny Depp et les frasques de J.K. Rowling en personne. C'est donc Mads Mikkelsen qui reprendra à Johnny Depp le rôle du vilain Grindelwald et si on ne sait pas quelle pirouette justifiera ce changement de visage (mais bon, avec la magie tout est possible), le long-métrage a donc bel et bien avancé puisque Warner a révélé son titre officiel.

Alors que le précèdent volet s’est conclu sur une série de révélations, surtout à propos du professeur Dumbledore (campé dans sa version jeune et fringante par Jude Law), le titre coulait presque de source et s’intitule sans une once de malice : Les Animaux fantastiques : Les Secrets de Dumbledore. Simple et efficace dirons-nous.

En tout cas, c'est un moyen judicieux de rameuter la horde de fans de Harry Potter et du célèbre boss de Poudlard. Reste donc à espérer que ce nouveau métrage remonte le niveau après le très confus Les Crimes de Grindelwald. Une chose est sûre, on devrait retrouver Katherine Waterston, Dan Fogler ou encore Ezra Miller pour ce troisième volet de la saga qui, si tout se passe bien, en comptera cinq en tout.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1632326879
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Pale a écrit :
mer. 22 sept. 2021 09:33
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C'est Emily Clarke ?
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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BOX OFFICE STORY a écrit :
mer. 22 sept. 2021 23:13
C'est Emily Clarke ?
Yes :D
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Des visuels de quelques gros films français à venir :

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BOX OFFICE STORY a écrit :
mer. 22 sept. 2021 23:13
Pale a écrit :
mer. 22 sept. 2021 09:33
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C'est Emily Clarke ?
Même moi, je l'avais reconnue :o
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La news complètement WTF du moment :

popcorns

Le casting de l'adaptation live américaine des Chevaliers du Zodiaque se précise : Mackenyu Arata (Seiya), Madison Iseman (Sienna), Famke Janssen, Sean Bean (Alman Kido) et Diego Tinoco.

Réalisé par Tomasz Baginski (producteur de la série The Witcher), le film sera une origin story dans laquelle Kiddo prendra Seiya sous son aile dans l'ordre des Chevaliers. Notre héros embarquera alors dans une épopée afin de récupérer l'armure de Pégase, accompagné d'une jeune femme, Sienna, qui lutte pour contrôler ses pouvoirs divins.


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Box-office France : Dune enterre la concurrence avec un énorme démarrage

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Dune caresse le firmament du box-office et laisse les autres sorties en queue de comète.

En début de semaine, on s'enthousiasmait sur le démarrage de Dune à l'international qui dépassait les estimations initiales. En effet, une telle entrée en matière prédisait une belle carrière au blockbuster SF de Denis Villeneuve avant son arrivée sur HBO Max le 22 octobre aux US et donc sa présence quasi-instantanée sur les plateformes de téléchargement illégal. Dune a donc un mois pour conquérir le box-office international, engranger un maximum de dollars et il compte visiblement bien en profiter.

Le long-métrage se permet ainsi le deuxième meilleur démarrage de 2021 en France, juste derrière Fast & Furious 9 et ses 1 302 000 entrées en juillet dernier, et juste devant Kaamelott : Premier volet et ses 1 015 000 entrées. Concernant Villeneuve, avec ses 1 030 687 entrées, Dune avoisine en une semaine, l'entièreté de la carrière de Blade Runner 2049 (1 272 000 entrées en 2017) et Prisoners (1 155 000), les deux plus gores succès du québécois sur notre sol.

Un démarrage plus que prometteur pour le blockbuster qui devrait lui permettre d'atteindre probablement les 2 millions d'entrées minimum en fin de carrière hexagonale. Il faut l'espérer en tout cas, puisque l'avenir de la saga tient à son succès au box-office, et si le gros se jouera sûrement à la sortie américaine, Dune a tout intérêt à faire de son mieux d'ici là dans le monde.

Loin derrière avec ses 214 000 entrées, Boîte noire ne démérite pas puisque le thriller d'enquête de Yann Gozlan avec Pierre Niney affiche une belle tenue de route avec une chute de seulement 27% en deuxième semaine et un cumul de 506 000 entrées. Malgré un démarrage supérieur (340 000 entrées environ), Un homme idéal, la précédente collaboration de Gozlan et Niney chutait de 50 % en mars 2015, et cumulait un tout petit peu plus avec 507 000 entrées. Impossible de dire si le film atteindra le cap du million d'entrées, mais on lui souhaite un bon vol.

Deuxième film français du trio de tête, Bac Nord impressionne presque autant que son climax suffocant avec un maintien dans le top 5 depuis cinq semaines consécutives. Avec ses 198 000 entrées pour un bilan total de près de 1 657 000 spectateurs, le polar d'action de Cedric Jimenez bat La French, son précédent record personnel avec 1 556 000 entrées. Sa chute de seulement 22% lui permettra peut-être de franchir les 2 millions d'entrées, ce qui donne envie de crier cocorico avec un accent marseillais.

Avec près de 990 000 entrées au bout de sa troisième semaine d'exploitation, Shang-Chi et la légende des Dix Anneaux parvient enfin à dépasser la première semaine de Black WIdow et ses 909 000 entrées. Avec une chute de 37% et 197 000 entrées, le film égalera ou échouera sans doute à quelques encablures des 1 662 000 entrées de la veuve noire. Un score un peu décevant pour la force de frappe que possède Marvel, mais qui rejoint les origin-story de certains héros comme Captain America et ses 1 068 000 entrées en 2011.

À l'arrière du top 5, Pourris gâtés avec le comédien de stand-up Artus et Gérard Jugnot et L'origine du monde de et avec Laurent Lafitte se partagent les miettes. Le premier engrange près de 149 000 entrées tandis que le deuxième termine sa première semaine à 118 000 entrées. Un ventre mou qui correspond au démarrage moyen des comédies françaises sorties dernièrement : Un Triomphe (144 000 entrées), Le discours (122 000 entrées), La Fine Fleur (116 000 entrées)...

Dans les tréfonds du top 10, La Pat' Patrouille, le Film continue son braquage canin avec une forme insolente. Sa chute de 6% au bout de six semaines et ses 1 279 000 entrées doivent sans doute rendre vert de jalousie ses camarades, parmi lesquels on retrouver La proie d'une ombre, avec 35 000 entrées au compteur de sa première semaine. Le film d'horreur avec Rebecca Hall porte malheureusement trop bien son titre, visiblement resté dans l'obscurité.

Enfin, signalons l'entrée de Les amours d'Anaïs en 16e position avec environ 27 000 entrées. La comédie romantique avec Anaïs Demoustier n'a visiblement pas captivé le public, indiscutablement plus intéressé par les dilemmes colossaux de la maison Atrèides que la légèreté de ces amourettes. Et ce ne sont sans doute pas les vacances de Matt Damon à Marseille dans Stillwater qui devraient changer la donne la semaine prochaine.


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Pale
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Pale
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J'avais oublié de poster ceci :



Ce qui est drôle, c'est que les américains sont plus réceptifs dans les commentaires :D

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BOX OFFICE STORY
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Le Dune de 1985 avait attiré 901 000 spectateurs dans un parc de salles que j'estime a 350 qui était le grand maximum. Au total il avait attiré 2 322 000 spectateurs. Très bon score donc et grosse première semaine à l'époque

En Allemagne sorti en décembre 1984 il s'est classé top 13 de l'année avec 1 600 000 spectateurs.

A Tokyo il a attiré 185 000 spectateurs en 35 jours, (le 1er Ghostbusters a attiré 1 100 000 spectateurs en 104 jours) soit le top 24 des films étrangers

Au Bresil au 30 juin 1985 il avait attiré 440 000 spectateurs en 2 mois ce qui le place top 10

Top 11 annuel a Manille avec 3 427 000 pesos (Rambo 2 en a rapporté 14 millions)
Top 12 annuel en Autriche
Top 20 annuel à Hong Kong
Top 18 annuel aux Pays Bas
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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Pale
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BOX OFFICE STORY a écrit :
jeu. 23 sept. 2021 23:47
Le Dune de 1985 avait attiré 901 000 spectateurs dans un parc de salles que j'estime a 350 qui était le grand maximum. Au total il avait attiré 2 322 000 spectateurs. Très bon score donc et grosse première semaine à l'époque

En Allemagne sorti en décembre 1984 il s'est classé top 13 de l'année avec 1 600 000 spectateurs.

A Tokyo il a attiré 185 000 spectateurs en 35 jours, (le 1er Ghostbusters a attiré 1 100 000 spectateurs en 104 jours) soit le top 24 des films étrangers

Au Bresil au 30 juin 1985 il avait attiré 440 000 spectateurs en 2 mois ce qui le place top 10

Top 11 annuel a Manille avec 3 427 000 pesos (Rambo 2 en a rapporté 14 millions)
Top 12 annuel en Autriche
Top 20 annuel à Hong Kong
Top 18 annuel aux Pays Bas
Au final il a quand même bien marché.

Sans vouloir jouer les mauvaises langues, j'ai l'impression qu'on se souviendra davantage de la version de Lynch dans 20 ans :D
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Pale
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Pale
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Je serai absent jusque dimanche soir/lundi, bon week-end à toutes et tous :hello:
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Wickaël
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Pale a écrit :
ven. 24 sept. 2021 07:05
Je serai absent jusque dimanche soir/lundi, bon week-end à toutes et tous :hello:
Bon week-end !
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ClintReborn
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Pale a écrit :
ven. 24 sept. 2021 07:05
Je serai absent jusqu'en octobre 2072, bon week-end à toutes et tous :hello:
Bah c'est long :lol: :hello: Bon week
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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robinne
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weird

Pale a écrit :
ven. 24 sept. 2021 07:05
Je serai absent jusque dimanche soir/lundi, bon week-end à toutes et tous :hello:
Bon week-end :bounce: :hello:
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NaughtyDog
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robinne
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weird

Pale a écrit :
jeu. 23 sept. 2021 00:02
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Je fais partie de l’équipe « 2 millions » :o
Ma séance était complète :ouch: ça faisait longtemps que je n’avais pas vu ça :bounce:
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robinne
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weird

NaughtyDog a écrit :
sam. 25 sept. 2021 18:51
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L’affiche est celle du film des vignettes ? :??:
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ClintReborn
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C'est quoi ce western ? :lol: Vu les photos on dirait un délire pas très réaliste :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pale
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robinne a écrit :
dim. 26 sept. 2021 10:03
Ma séance était complète :ouch: ça faisait longtemps que je n’avais pas vu ça :bounce:
J'espère qu'elle fut bonne :D

I'm back :hello:
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Pale
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robinne a écrit :
dim. 26 sept. 2021 10:04
L’affiche est celle du film des vignettes ? :??:
Nope :D

L'affiche c'est le nouveau film d'horreur de Scott Derrickson.
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Pale
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Hier soir Netflix a envoyé la sauce lors de son événement TUDUM.

Ce qui m'a le plus interpellé :











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Cocu
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Pale a écrit :
dim. 26 sept. 2021 16:44
I'm back :hello:
T'étais où ? :o :D
Pouet
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