Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Miamsolo
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Ah ouais t'as vu un sacré paquet de films cette année, enfin l'année dernière! :D :hot:

Toujours un plaisir de voir ces classements finaux, ça me rend nostalgique :love2: :hello:
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Pale
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Miamsolo a écrit :
dim. 2 janv. 2022 00:20
Ah ouais t'as vu un sacré paquet de films cette année, enfin l'année dernière! :D :hot:

Toujours un plaisir de voir ces classements finaux, ça me rend nostalgique :love2: :hello:
Miam :hello:

J'aime bien cette transition entre la clôture des tops et la remise à zéro des compteurs, ça me motive pas mal :D
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Miamsolo
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Héhéhé pareil :D
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Prisoner
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Comment vous faites pour voir tout ça ?
Vous êtes en télétravail ou bien? :D
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Pale
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Prisoner a écrit :
dim. 2 janv. 2022 10:44
Vous êtes en télétravail ou bien? :D
Même pas :D

Perso c'est durant les week-ends ou les congés que j'essaie de voir le plus de choses.
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Pale
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L'année commence fort avec la découverte de Gilbert Grape. Lasse Hallström propose un drame assez bouleversant dans une Amérique profonde avec un Johnny Depp et un Leonardo DiCaprio en très grande forme. Ce dernier joue un autiste, sa prestation est hallucinante. Très grand film où l'on passe du rire aux larmes en un claquement de doigts.
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robinne
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weird

Et jamais des larmes au rire ? :D

Bonne année ici aussi :hot:
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robinne a écrit :
dim. 2 janv. 2022 12:18
Et jamais des larmes au rire ? :D
C'est surement déjà arrivé aussi :D

Bonne année Robinne :jap:
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Miamsolo
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Et voilà mon petit bilan cinéma annuel :sol: :hot: :hot: :hot:

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Et pour ceux qui aiment les BD, la même chose :D
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Pale
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Miamsolo a écrit :
dim. 2 janv. 2022 19:30
Et voilà mon petit bilan cinéma annuel :sol: :hot: :hot: :hot:

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Et pour ceux qui aiment les BD, la même chose :D
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Du beau travail :jap:

Mes prédictions pour 2022 : La trilogie du SDA sera en tête de ton classement :D
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Pale
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Un très bon film de Peter Weir. Malgré l'aspect un peu vieillot, le film n'en reste pas moins incroyable tant il est ultra novateur dans les thèmes qu'il aborde. Outre l'aspect mystique autour de la culture aborigène, ce qui impressionne le plus c'est ce qui tourne autour du dérèglement climatique qui a lieu dans le film et qui fait vraiment écho avec l'époque dans laquelle on vit actuellement. Alors il n'y a point de scènes catastrophes à la Emmerich mais on se retrouve avec une ambiance apocalyptique assez oppressante.
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Pale
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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Pale
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Le box-office US de ce week-end :

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https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw

À noter que Spider-Man en est à $1,368,892,000 dans le monde.
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Kit
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Pale a écrit :
mar. 28 déc. 2021 15:37
Kit a écrit :
mar. 28 déc. 2021 03:30
41 ans pour Noomi Rapace
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:hello:

Elle a l'air malade :o :D
maintenant que tu le dis :sarcastic: :lol:
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robinne
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weird

Pale a écrit :
dim. 2 janv. 2022 21:49
Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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Ton week-end s’annonce tranquille :o
De mon côté, pas mal de choses à rattraper :sweat: Je vais devoir faire des choix :D
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Miamsolo
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Pale a écrit :
dim. 2 janv. 2022 21:15
Miamsolo a écrit :
dim. 2 janv. 2022 19:30
Et voilà mon petit bilan cinéma annuel :sol: :hot: :hot: :hot:

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Et pour ceux qui aiment les BD, la même chose :D
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Du beau travail :jap:

Mes prédictions pour 2022 : La trilogie du SDA sera en tête de ton classement :D
Haha je ne pense pas, déjà cette année j'étais pas censé les revoir mais j'ai voulu les montrer à ma copine et ... comment dire ... elle déteste :lol: :cry:

Par contre j'ai bien envie de mater les versions longues du Hobbit :hot:
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Miamsolo
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D'ailleurs en parlant du SDA, cet album est juste :love: :love: :love:

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robinne a écrit :
lun. 3 janv. 2022 09:38
Ton week-end s’annonce tranquille :o
De mon côté, pas mal de choses à rattraper :sweat: Je vais devoir faire des choix :D
J'ai de quoi regarder chez moi aussi :D
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Pale
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EL a modérément apprécié The King’s Man : Première Mission (3 étoiles) :

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Depuis qu’il est passé derrière la caméra avec Layer Cake, Matthew Vaughn éparpille, revisite et reconfigure les grandes figures de la pop culture, du gangster, en passant par le super-héros ou l’espion Bondien. Avec un troisième volet de la saga Kingsman en forme de prequel, il s’essaie à un tout autre genre, aux enjeux et traditions radicalement différents de ceux qu’il a explorés jusqu’alors.

GENTLEMAN GUERRIER


Si ce nouvel opus opte une nouvelle graphie et s’intitule The King’s Man : Première Mission, ce n’est pas seulement par coquetterie, mais bien pour nous indiquer que le centre de gravité de la saga a changé. Nous ne sommes plus ici aux prises avec des combattants résolument indépendants du pouvoir, puisque nos héros se placent, de leur propre aveu, au service de la couronne, veillant notamment à sa survie. De fait il retrouve donc ici une certaine tradition de l’aventure à l’anglaise.

Un concept du gentleman, abondamment cité dans les deux premiers chapitres de la saga, le plus souvent pour être questionné et détourné, quand il est ici rétabli dans son acception classique, en témoigne la superbe de Ralph Fiennes, qui tient ici presque seul les rênes de l’intrigue, avec pour motivation originelle de préserver son Royaume, tant en termes d’intégrité que de dignité, alors que la Grande Guerre menace, puis fait rage dans toute l’Europe. Bien sûr, notre noble héros ne nous épargnera pas quelques saillies toutes britanniques et autres répliques frôlant l’impertinence, mais on est désormais à mille lieues des antagonistes zozotant des fins du monde cartoonesques, ou des espions rentrant les poils de ministres avenantes.

The King’s Man est désormais le terrain de jeu de dignes combattants, meurtris par les affres de la guerre ou la brutalité des hommes, mus par de glorieux serments, un sens du sacrifice hors-norme, un désir irrépressible d’aller toujours de l’avant. En un mot comme en 100, Matthew Vaughn ne rigole plus (tout à fait). En témoigne l’ouverture du récit, qui tranche avec les délires des chapitres qui ont précédé. Nul massacre en hélicoptère ou poursuite affolante dans les rues de Londres, mais le déroulé sur fond vert d’un trauma moins bien étalonné qu’une sex tape de moines franciscains.

GUÉGUERRE MONDIALE

En effet, pour qui a toujours goûté la virtuosité avec laquelle le cinéaste a su investir quantité d’univers, de personnages ou de figures de la culture occidentale, l’entrée en matière de son nouveau film a des airs de désauce amère. Alors qu’un Fiennes grossièrement rajeuni s’émeut de la guerre civile sud-africaine, la caméra nous assène un double trauma originel non seulement attendu, mais déployé lourdement, et au gré d’une technique quasi-indigente, à tout le moins très en deçà de tout ce qu’a précédemment proposé l’auteur.

Il en sera ainsi du premier acte du long-métrage, qui doit faire face à une équation à peu près insoluble : hybrider le grand cinéma d’aventure classique, son sens de la gravitas, avec l’impertinence et l’amour du détournement qui fonde la saga dans lequel l’histoire s’inscrit. Car à l’évidence, Vaughn n’a pu financer son éclatant trip d’un bout à l’autre de l’Europe, en costumes, bourré d’action et de gadgets, qu’en promettant de le maquiller en un épisode de sa franchise à succès. Malheureusement, ces deux univers ne forment jamais un tout cohérent. Pire, ils s’alourdissent l’un l’autre.

Tout d’abord parce qu’en voulant relire les grandes étapes du premier conflit mondial, le scénario se contraint à d’interminables circonvolutions, comme lors de l’assassinat d’un certain archiduc qui précipitera l’Europe dans le chaos, inutilement complexifié, et synonyme de grossières explications à l’adresse du spectateur. Et il en va de même sitôt le film contraint de contextualiser, au risque de se dilater à chaque rebondissement. Une structure qui étouffe la vitalité de l'ensemble, notamment durant une première bobine dramatiquement explicative, où les personnages déblatèrent mais paraissent ne jamais agir.

Enfin, c’est bien la tonalité de l’ensemble qui interroge. Le réalisateur s’avère incapable de trancher entre bouffonnerie et gravité. Représenter les souverains de la vieille Europe en gamins irresponsables, pourquoi pas, mais réduire les totalitarismes soviétiques ou nazis à de simples castings absurdes, décrire les tranchées comme la plus tragique des boucheries... avant de faire jouir sa caméra d’une homérique baston nocturne sont autant de contradictions qui finissent par brouiller le message du film, jusqu’à l’alourdir définitivement.

BATAILLE DE LA SOMME DE TOUTES LES PEURS

The King’s Man est-il pour autant un film raté ? Non, le métrage contient son lot de faux pas, donne pour la première fois le sentiment que son metteur en scène ne maîtrise pas son sujet, jusqu’à se laisser dépasser par ses propres ambitions, mais il n’a pas pour autant perdu sa capacité à étonner, ou tout simplement à incarner un cinéma virevoltant, à défaut d’être virtuose. Le goût de l’épopée que recherche frénétiquement le cinéaste nous emporte plus d’une fois, quand il parvient à aligner l’inventivité, la technicité et la ludicité qui sont devenues ses marques de fabrique.

Cabot quand il nous offre une scène d’action où un Raspoutine lubrique entend découper ses adversaires en caricaturant un danseur du bolchoï, enflammé quand il se frotte à 1917 le temps d’une immersion dans les tranchées qui vire à la pure boucherie, mais aussi joueur quand il nous balance dans les pattes des légendes de la trempe de Mata Hari, le conteur a changé de modèles, et se rêve désormais en maître d’oeuvre d’un Capitaine Blood belliciste, ou en descendant de L’homme qui voulut être Roi. Cette note d'intention se retrouve parfois formidablement synthétisée, comme lors d'une attaque de sous-marin emballée en un fabuleux plan, convoquant l'héritage de Jules Verne aussi bien que l'imagerie de quantité de films de guerre, mâtinés de pulps déchaînés.

Cet appétit pour un spectacle grandiose autant que pour des personnages brisés par leurs hubris n’est plus une aspiration hollywoodienne fréquente, ce qui confère à ce souffle aventureux une dimension particulièrement divertissante et rafraîchissante. C’est d’ailleurs ce qui achève de faire du dernier acte une impeccable réussite, qui parvient enfin à mélanger - presque – tous ses ingrédients (exception faite du dévoilement grotesque du méchant). Quand ses protagonistes découpent sans vergogne leurs adversaires, après un crash aérien techniquement impressionnant, et avant un exercice d’escrime explosive qui se paie le luxe de rendre hommage à tout un pan du cinéma de divertissement qu’incarna Errol Flynn, impossible de résister à la bordélique générosité qu’incarne Matthew Vaughn, qui compte parmi les derniers auteurs de blockbusters.

Loufoquerie et souffle épique font rarement bon ménage, tout comme fiel satyrique et spectacle guerrier se contredisent. Heureusement, Matthew Vaughn n'a presque pas d'équivalent quand il s'agit de filmer l'action.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1641220056
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Pale
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Spider-Man : No Way Home talonne les Avengers et continue de rouler sur le box-office

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Spider-Man : No Way Home continue sa meilleure vie de succès Marvel, en battant ses voisins pré-pandémiques et se plaçant dans le haut du panier mondial.

Avec la réunion multiverselle des trois sagas de l'Araignée en un film, nommé Spider-Man : No Way Home, le succès était déjà garanti par le bouche-à-oreille intensif, qui multipliait les attentes et l'envie du public par trois mille. Ce qui était moins sûr, c'est la fulgurance avec laquelle ce succès pouvait se maintenir, au box-office.

Autant dire qu'avec le cap du milliard franchi très vite et un box-office domestique record pour Sony Pictures, aucune de ces questions n'est encore d'actualité. Après deux semaines et demi d'exploitation américaine, le troisième volet du Tisseur ne s'essouffle pas malgré le milliard dépassé, et il bat au passage quelques films-événements du même gabarit.

SPIDER-MAN VS AVENGERS

Au milieu de sa troisième semaine d'exploitation (2 janvier 2022), Spider-Man : No Way Home en est à 1,369 milliard de dollars au box-office mondial. Un gain de plus de 300 millions de dollars, aux dernières nouvelles (1,054 milliard le 26 décembre 2021).

Avec un tel score, c'est évidemment le plus gros boum mondial depuis le début de la pandémie de Covid-19, largement supérieur à Mourir peut attendre (774 millions), Fast & Furious 9 (726 millions), ou encore Venom 2 (501 millions). Sans parler des scores en demi-teinte des récents Marvel : Shang-Chi (432 millions), Les Eternels (401 millions) et Black Widow (379 millions).

De quoi renouer avec l'habituelle économie Avengeresque de Marvel Studios. Et tant qu'à parler des Vengeurs, l'Araignée a dépassé Captain America : Civil War (1,153 milliard), qui jouissait pourtant de son effet Avengers 2.5 et de l'introduction de Spidey dans le MCU. L'élève a aussi battu le maître quand on voit que Iron Man 3 (1,214 milliard) est vaincu. Même Black Panther (1,347 milliard) et sa figure applaudie de super-héros africain a été dépassée.

Prochaines victimes du MCU : Avengers : L'Ère d'Ultron (1,402 milliard) et Avengers (1,515 milliard), la saga qui a définitivement pavé la voie super-héroïque que le cinéma contemporain emprunte à plein régime. Infinity War (2,048 milliards) et Endgame (2,8 milliards) semblent toutefois indétrônables, malgré la frénésie autour de No Way Home.

Dans tous les cas, le film arachnéen se place actuellement comme le 20ème plus gros succès du box-office mondial de tous les temps. Hors Marvel, il a devant lui La Reine des neiges 2 (1,4 milliard), Fast & Furious 7 (1,5 milliard), ou encore Le Roi Lion (1,6 milliard).

Du côté du box-office domestique, No Way Home culmine à 610 millions de dollars, un record nord-américain qui place le film comme le dixième plus gros succès économique local. Un chiffre pas négligeable quand on constate que ce territoire très important (où les studios récupèrent plus que partout ailleurs sur les recettes) représente presque la moitié de son box-office mondial... et plus que la totalité de celui de Venom : Let There Be Carnage, l'autre production de l'année de Sony, qui a à peine franchi le cap des 500 millions. Merci Marvel, merci multivers, merci fan-service.

LES VICTIMES DE SPIDER-MAN

Évidemment, de tels chiffres font que No Way Home invisibilise tous les gros poissons du moment, laissant The King’s Man : Première Mission (48 millions au box-office mondial) et Matrix : Resurrections (106 millions au box-office mondial) sur le bas côté, pour ne leur laisser comme seule perspective un joli flop.

Néanmoins, d'autres paramètres propres à chaque film sont à prendre en compte, comme la sortie simultanée de Resurrections sur HBO Max, ou la critique pas franchement convaincue par Première Mission. À noter que Spider-Man : No Way Home enfoncera un peu plus le clou en jouissant d'une sortie japonaise le 7 janvier 2022, de sorte à grappiller les miettes qui traînent en coin de table.

Le film s'en sort ainsi à merveille, même sans la Chine. Sachant que Marvel encaisse des sommes mirobolantes sur ce territoire (près de 630 millions pour Endgame, près de 360 millions pour Infinity War, près de 200 millions pour Far From Home).

Le cinéma retrouve ainsi sa routine. Spider-Man reste une marque à la force de frappe gigantesque ; Marvel Studios fait ce qu'il sait faire de mieux en battant ses propres records ; et l'industrie hollywoodienne se régale de cette bonne tranche de fan-service, qui a ramené les masses au cinéma. Les salles obscures ont encore de belles années devant elles, malgré l'essor exponentiel du streaming.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1641220083
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Pale
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Netflix : Don't Look Up et The Witcher saison 2, les gros cartons de Noël 2021

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La satire d'Adam McKay domine le top 10 de la plateforme au N rouge, avec la saison 2 de The Witcher juste à côté sur le podium.

C’est les fêtes de Noël, et comme chaque année, il y a un film et une série Netflix qui ressortent gagnants parmi les contenus originaux disponibles sous le sapin de la plateforme (ou sur votre télé, votre ordinateur, enfin ce que vous voulez). Et le géant du streaming a eu la bonne idée de sortir de son catalogue pour Noël l'excellente comédie d'Adam McKay, Don't Look Up : Déni cosmique. Une satire politique aussi drôle que terrifiante dans sa pertinence, servi par un casting plus que prestigieux ; Leonardo DiCaprio, Jennifer Lawrence, Meryl Streep, Mark Rylance, Jonah Hill, Timothée Chalamet, et tant d’autres. Bref, le film Netflix parfait pour rire, pleurer, et s’engueuler comme toute famille qui se respecte à Noël.

Et la plateforme ne s’y est pas trompé, puisque depuis sa sortie le 25 décembre dernier, Don’t Look Up domine le classement des contenus les plus visionnés sur Netflix, non seulement en France, mais aussi dans le monde entier. En effet, comme le rapporte Deadline, la comédie d’Adam McKay aura cumulée, à l’issue de son week-end de Noël, plus de 111 millions d’heures visionnées, ce qui représente un score écrasant par rapport aux autres films présents dans le top 10.

À titre de comparaison, Impardonnable, le drame de Nora Fingscheidt avec Sandra Bullock, sorti quelques semaines auparavant, occupe la troisième place du classement juste derrière, en cumulant 26,6 millions d’heures visionnées, ce qui est nettement moins comparé au carton de Don’t Look Up. Un succès sans aucun doute dû en grande partie à son parterre de têtes d’affiches, Netflix pouvant se targuer de posséder dans ses rangs l’un des castings les plus prestigieux de cette année 2021, toutes catégories confondues.

Mais devant Don’t Look Up et Impardonnable, une série occupe également la première place du Top 10 de la plateforme (côté séries), à savoir le retour d’Henry Cavill en sorceleur, avec la saison 2 de The Witcher, qui cumule quant à elle plus de 168 millions d’heures visionnées. Un score colossal qui en fait la série la plus regardée actuellement chez le N rouge, devant la saison 2 d'Emily in Paris et ses 107 millions d’heures visionnées. Un score tout aussi impressionnant, en plus d’être inexplicable, probablement dû au potentiel nanardesque des aventures d’Emily dans un Paris que personne ne connaît, qui peuvent également servir de prétexte pour un bon jeu à boire entre amis.

Derrière les secondes saisons de ces séries à succès, ce sont les rattrapages de leurs premières fournées qui occupent respectivement la troisième et quatrième place du classement sériel de la plateforme, sans aucun doute grâce à leur popularité sur les réseaux sociaux. Par ailleurs, Emily in Paris avait déjà eu le droit à son moment de gloire lors de la diffusion de sa première saison en 2020, ses clichés hilarants étant devenus des memes instantanés depuis.

Don’t Look Up et The Witcher saison 2 sont donc clairement les grands vainqueurs de cette fin d’année 2021 sur Netflix, avec des scores écrasants qui défient toutes concurrences. Succès mérités ? Nos critiques du film d’Adam McKay et du retour du sorceleur parlent pour nous.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1640880348
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Aujourd'hui c'est l'anniversaire de la sublime Florence Pugh (26 ans) :

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Kit
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Pale a écrit :
lun. 3 janv. 2022 18:07
Aujourd'hui c'est l'anniversaire de la sublime Florence Pugh (26 ans) :

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:hello: connais pas
c'est aussi le 65ème anniversaire de Mel Gibson, le 39ème de Katie McGrath (séries Merlin, Supergirl), les 30 ans de la belle Mulhousienne Delphine Wespiser (Miss France 2012, Fort Boyard)
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Kit a écrit :
lun. 3 janv. 2022 18:28
c'est aussi le 65ème anniversaire de Mel Gibson
66 je pense.
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Wickaël
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Bonne année à toutes et à tous par ici :hello:
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weird

Wickaël a écrit :
lun. 3 janv. 2022 22:06
Bonne année à toutes et à tous par ici :hello:
Bonne année :hello:
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Pale a écrit :
lun. 3 janv. 2022 19:39
Kit a écrit :
lun. 3 janv. 2022 18:28
c'est aussi le 65ème anniversaire de Mel Gibson
66 je pense.
et tu penses bien :crazy:
Vosg'patt de cœur
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Wickaël a écrit :
lun. 3 janv. 2022 22:06
Bonne année à toutes et à tous par ici :hello:
À toi aussi :hot:
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Don't Look Up continue d'exploser les scores de Netflix

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En seulement 10 jours, Don't Look Up est déjà le troisième film le plus vu sur la plateforme Netflix.

Les fêtes de fin d'année ont été une excellente opération pour la plateforme Netflix puisque cette dernière a explosé ses métriques avec une multitude de contenus parmi lesquels la deuxième saison de The Witcher, la vague The Silent Sea, la quatrième saison du plaisir coupable Cobra Kai ou encore le film catastrophe Don't Look Up : Déni cosmique au casting 5 étoiles. C'est ainsi ce dernier qui a trouvé le succès le plus fulgurant.

Don't Look Up est une satire acide d'Adam McKay (The Big Short, Vice) dépeignant un duo de scientifiques (Jennifer Lawrence, Leonardo DiCaprio) essayant d'alerter le pays de l'Oncle Sam de l'arrivée imminente d'une météorite. Le programme qui se veut comme la métaphore la plus violente de l'année rassemble un parterre de stars parmi lesquelles Meryl Streep, Jonah Hill, Ariana Grande ou encore Timothée Chalamet. Et si vous vous demandez à quel point ça a été un succès, accrochez vos ceintures.

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Ce tableau issu du récapitulatif hebdomadaire de Netflix sur le site Top 10 Netflix dispose de quelques subtilités. En effet, il s'appuie sur le nombre de minutes visionnées par les spectateurs. De fait, un film comme The Irishman faisant 3h30 est, a priori, avantagé sur une production de 1h52 à l'instar d'Impardonnable (The Unforgivable dans son titre original), puisqu'un spectateur qui regarde les deux films en entier donne près du double de temps de visionnage au premier (très) long-métrage de Martin Scorsese.

La mesure n'est donc pas optimale mais les chiffres suffisamment parlant pour montrer les succès ou échecs des Originals Netflix. Dans le tableau ci-dessus, les chiffres comprennent le nombre de minutes visionnées lors des 28 premiers jours d'exploitation du film. Et alors que Red Notice conserve toujours la tête, Don't Look Up s'approche à vitesse grand V.

Au bout de seulement dix jours (les chiffres de DLU représentant la période du 24 décembre au 2 janvier inclus), le film est d'ores et déjà le troisième plus gros succès de la plateforme alors qu'il n'a pas accompli la moitié de la durée pour laquelle ses visionnages seront comptabilisés.

Après avoir comptabilisé plus de 111 millions de minutes visionnés lors de son premier week-end, le long-métrage a donc ajouté 152,2 millions de minutes à son compteur (réalisant la deuxième semaine record pour un film Netflix sorti sur la plateforme depuis le 28 juin, et probablement depuis toujours). Succès est donc un euphémisme.

Bénéficiant d'un sujet plus que d'actualité, d'un casting plus étoilé que la Voie lactée et d'un bouche-à-oreille généreux alimenté par la division des critiques et des avis, il pourrait tout à fait s'imposer comme LE plus grand succès de Netflix d'ici ses 28 premiers jours. Le partage des comptes Netflix au sein des familles a sans doute été une caisse de résonnance, tout comme l'absence de concurrence en streaming (les yeux étant rivés sur le cinéma avec l'homme-araignée).

Reste à voir jusqu'où le film ira, et s'il accrochera des nominations aux Oscars et s'il décrochera finalement le(s) Graal. Don't Look Up : Déni cosmique est disponible sur Netflix depuis le 24 décembre 2021.


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Pale
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EL a beaucoup aimé Licorice Pizza (4 étoiles) :

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Après plusieurs années à réaliser des films d'une grande maitrise technique et aux ambiances très froides avec The Master, Phantom Thread ou There Will Be Blood, Paul Thomas Anderson revient à ses premières amours avec Licorice Pizza. Du moins, semblait, car son neuvième film est une petite pépite singulière et très déroutante, probablement son film le plus doux et personnel.

ONCE UPON A TIME... IN SAN FERNANDO VALLEY


Plusieurs cinéastes sont revenus avec des oeuvres très personnelles ces dernières années sur grand écran. Alors qu'Alfonso Cuaron a réalisé Roma pour raconter son enfance mexicaine, et que Steven Spielberg et James Gray préparent des films quasi-autobiographiques pour 2022, le plus évident et récent hommage à une époque passée est probablement Once Upon a Time... in Hollywood de Quentin Tarantino. Le réalisateur revenait ainsi sur l'âge d'or d'Hollywood rêvant de réécrire l'Histoire grâce aux pouvoirs de la fiction, pour perpétuer son idéal hollywoodien.

Et avec Licorice Pizza, Paul Thomas Anderson semblait lui aussi parti pour réaliser son film nostalgique en replongeant dans les années 70 et sa bien-aimée San Fernando Valley, où il a grandi et réalisé près de la moitié de sa filmographie avec les cultes Boogie Nights, Magnolia et l'euphorisant et trop souvent oublié Punch-Drunk Love - Ivre d'amour.

Sauf que PTA a des desseins beaucoup plus simples que ceux de Tarantino. Car Licorice Pizza, s'il est une lettre d'amour à San Fernando Valley et est rempli d'une vraie et belle nostalgie, notamment avec ses références à tout un pan hollywoodien (William Holden, Jon Peters, Lucy Ball) et angélien (Joel Wachs) des années 70 ou ses clins d'oeil aux amis de PTA (la présence au casting de ses enfants et sa femme Maya Rudolph, de la fille de Spielberg, de la famille Haïm au complet ou du père de Leonardo DiCaprio, ouais), il ne croule jamais sous son poids et ne regrette jamais vraiment cette époque disparue à jamais.

Au contraire, les années 70 en prennent pour leur grade (sexisme, racisme ordinaire, violences policières, crise pétrolière...) et PTA n'est pas tant un nostalgique ou mélancolique. Il a plutôt l'allure d'un grand rêveur persuadé qu'on peut encore faire des films de cinéma dans leur plus simple forme : raconter une histoire, des histoires, grâce à la force de nos souvenirs.

CALIFORNIAN GRAFFITI

Après Licorice Pizza, difficile de douter des ambitions uniques de Paul Thomas Anderson, assurément l'un des derniers représentants contemporains d'un cinéma non-standardisé et profondément hors-norme. Le cinéaste continue en effet à vouloir bouleverser le 7e art avec son nouveau film (dont il est producteur, scénariste, réalisateur et co-chef opérateur avec Michael Bauman) et à tracer son propre chemin, loin des diktats d'un public toujours plus friand des récits tout faits et uniformisés.

Dès les premières minutes (dont le plan d'ouverture évoque American Graffiti, la vraie référence du film), racontant la rencontre entre Gary (excellent Cooper Hoffman, fils du regretté Philip Seymour) et Alana (la révélation Alana Haim) le jour de la photo de classe, dans une succession de plans-séquences fluide, Licorice Pizza semble se diriger vers le genre du teen-movie basique, du film de passage à l'âge adulte ordinaire.

Et pourtant quelque chose semble différent. Même si les deux personnages se rencontrent pour la première fois, ils paraissent se connaître depuis des années. Et c'est logique, car Licorice Pizza ne sera jamais véritablement un teen-movie comme les autres.

Toujours aidé d'une bande-originale entraînante et savoureuse, PTA décide d'ouvrir les portes à une romance excentrique absolument déroutante (elle a 25 ans, il en a 15) et donc à une histoire d'amour compliquée et impossible, où les sentiments seront surtout amicaux et platoniques, et non réellement amoureux. Une romance d'un anti-conformisme désarmant, aux airs presque enfantins, se refusant au monde adulte pour mieux retomber dans l'insouciance d'une jeunesse rêvant de tous les possibles (Gary) même s'il se fait rattraper par la dure réalité, n'oublie jamais la difficulté de la vie adulte et s'y retrouve confronté en permanence (Alana).

Dans un sous-texte meta avec le cinéma en lui-même, Licorice Pizza raconte donc cette époque où on préférait oser plutôt que ne pas essayer (prendre des risques plutôt que complaire), soit ce qu'il se passe à travers le duo principal et notamment le personnage de Gary, évident prolongement de PTA (même si inspirée en quasi-exclusivité de la vie de Gary Goetzman, mentor de PTA et producteur du Silence des agneaux entre autres).

Et pour aller plus loin encore dans son désir de tout chambouler, Paul Thomas Anderson va malmener son duo principal, en croisant la réalité et la fiction, mêlant la petite et la grande Histoire, pour les confronter à des aventures complètement loufoques, des rencontres inattendues, et mieux les faire se retrouver, les lier pour toujours.

A LA CONQUÊTE DU TEMPS PERDU

Alors, Licorice Pizza se mue en une oeuvre beaucoup plus solaire, émouvante et drôle, sorte de plongée ensoleillée, mais non dénuée de nuages sombres et oppressants, dans cette San Fernando Valley de 1973 et pourtant presque hors du temps.

C'est probablement ce qui pourra le plus décontenancer les spectateurs : cette narration évasive, foutraque et sinueuse, continuellement labyrinthique, sans véritable repère temporel. Après la minutie de Phantom Thread, le cinéaste décide en effet de complètement lâcher prise narrativement, choisissant de se faire plaisir avant tout plutôt que de contenter les envies des spectateurs, de cocher les cases habituelles du genre.

D'où cette sensation étrange tout au long du film : Paul Thomas Anderson est en totale roue libre. Rien qui ne l'empêche de diriger son récit avec la maestria qu'on lui connaît, mais il y a quelque chose de parfaitement troublant, le temps défilant sans jamais que l'on ne sache s'il ne dure qu'un été ou plusieurs années. Au fil de son avancée, Licorice Pizza divague, se perd consciemment dans les rues de LA, ressemble un peu à l'accumulation de plusieurs petits bouts de saynètes ne s'enchaînant pas forcément avec logique, passant du coq à l'âne, et s'enfonce presque dans une forme de surréalisme.

Indiscutablement, le film en laissera beaucoup sur le bord de la route ne comprenant pas forcément où le film veut en venir. Toutefois, ce choix narratif est justement ce qui le rend plus vrai, plus naturel, plus authentique. Ce qui en fait un récit d'apprentissage d'une liberté salvatrice, affranchi d'une quelconque forme de soumission, délivré de toutes les conventions, dont les revirements inopinés du scénario et les déambulations de ses personnages font complètement exploser son identité bouillonnante, fougueuse et exaltée.

Tout n'arrive pas logiquement dans la vie, tout n'est pas un enchaînement parfait... et Licorice Pizza fait donc de même. Car il en naît des tranches de vies belles et délicates, se construisant au gré des imprévus, des relations, des rencontres.

THE POWER OF THE MOVIES

Paul Thomas Anderson a toujours été un grand cinéaste de la rencontre de Hard Eight (avec celle de Sidney et John) à Phantom Thread (le glacial Woodcock et l'ardente Alma) en passant par les innombrables jonctions relationnelles de Magnolia ; ou plus encore, des rencontres discordantes, associant des personnages que tout semblait opposer. Et Licorice Pizza est peut-être la quintessence de son cinéma, se composant quasi-uniquement des événements jalonnant la rencontre et la relation de deux protagonistes complètement différents (l'entreprenant et serein Gary, la timide et incertaine Alana), comme liés par un fil fantôme (encore).

Et la force souterraine de Licorice Pizza se cache peut-être ici, dans cette capacité de PTA à faire de la rencontre entre Gary et Alana, le vrai centre du récit, le point auquel le spectateur souhaite en permanence revenir, s'accroche éperdument, au milieu des aventures et rencontres exceptionnelles qui lui sont données à l'écran (Sean Penn en pastiche motard de William Holden, l'incroyable numéro de Bradley Cooper en Jon Peters...). Car au fond, ces multiples interactions avec les grands de ce monde, jonglant entre l'épique et le ridicule, ne sont que des passades pour révéler les vraies intentions du récit.

Ainsi, l'action du film est constamment mise dans l'ombre (la cascade en moto de Penn supplantée par le regard d'un Gary inquiet), désamorcée (la présence préoccupante du voyeur mystérieux du QG politique finalement éclipsée par les secrets intimes de Joel Wachs) ou réduite à sa forme la plus épurée (une descente en camion effrénée, mais silencieuse et en marche arrière) pour mieux se recentrer sur l'important : Gary et Alana. À une époque où le spectacle se joue surtout à coups d'explosions et d'effets spéciaux, celui de PTA repose sur ses forces les plus pures, les plus vives : ses personnages.

Car ce sont eux qui comptent le plus pour Paul Thomas Anderson. Ce sont eux, ses véritables héros. Ces personnages vrais, loin de la violence (Peters), l'exubérance (Holden) ou la fausseté (Wachs, d'une certaine manière) des adultes les entourant. Ces personnages comprenant au fur et à mesure ce qu'ils manquent sans leur relation. Ces personnages découvrant la beauté rare de leur liaison. Ces personnages dont on prend un plaisir simple à suivre les libres pérégrinations, les méandres amoureux, la connexion étrange mais fusionnelle, les sentiments virevoltants, vacillants et, in fine, indélébiles.

Derrière cette légèreté et sobriété, les richesses thématiques et intimes de Licorice Pizza se font alors jour dans ses derniers retranchements, évoquant tout autant les espoirs évanouis de l'American Dream que la fièvre de l'adolescence, la perte de l'innocence, le magnétisme invisible attirant les âmes, la perversité des hommes (notamment les adultes, tous complètement tarés) voire les dégâts de la célébrité (encore les mêmes hommes).

Et Paul Thomas Anderson de réussir encore à faire d'une rencontre aussi absurde que son titre - Licorice Pizza, à la fois rebutante idée de "pizza à la réglisse" littéralement, souvenir fascinant d'une époque révolue et appellation fantasque du disque vinyle -, un nouveau grand moment de cinéma.

Alors certes, à l'image de la première rencontre entre Alana et Gary, Licorice Pizza pourra laisser perplexe au premier rendez-vous, restant sagement sibyllin à ce moment. Mais il se révélera incontestablement au fil des visionnages, pour mieux grandir dans la durée et se graver pleinement dans les esprits. Et d'une certaine façon, au gré des rencontres entre le récit et ses spectateurs y revenant inlassablement, Licorice Pizza affirmera l'élégance de son extravagante singularité pour encore longtemps.

Paul Thomas Anderson lâche totalement prise dans son déroutant Licorice Pizza, épopée amoureuse sinueuse et imprévisible au cœur du Los Angeles rêveur, mais pas si nostalgique, des 70s. C'est délicat, drôle, libre, hors-norme, plein d'amour et mené par le sublime duo Alana Haim-Cooper Hoffman.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1641380063

Un avis plus négatif (2,5 étoiles) :

"Mais où est passé le Paul Thomas Anderson incroyable et magique de Boogie Nights et Magnolia ? Soigné mais éparpillé, tendre mais anecdotique, Licorice Pizza donne surtout envie de revoir sa grande romance : Punch-Drunk Love."
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Pale
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Kitbag : le biopic de Ridley Scott sur Napoléon remplace son actrice principale

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L'actrice Jodie Comer a quitté le casting de Kitbag, le prochain biopic sur Napoléon Bonaparte réalisé par Ridley Scott, qui a déjà une autre interprète en vue.

Plus de 20 ans après avoir joué une version réinventée de Commode dans Gladiator, Joaquin Phoenix retrouvera bientôt Ridley Scott pour incarner une autre tête couronnée qui a marqué l'Histoire : Napoléon Bonaparte. D'après le cinéaste, cet énième biopic consacré au premier empereur des Français, baptisé Kitbag, offrira un regard plus personnel et intimiste sur ses exploits militaires et sa rapide ascension jusqu'à son sacre, tout en se concentrant sur sa relation tempétueuse et passionnée avec sa première épouse Joséphine de Beauharnais.

Initialement choisie pour jouer la femme de l'homme d'État, l'actrice Jodie Comer (Killing Eve, Free Guy) devait donc elle aussi prêter à nouveau ses talents au réalisateur après avoir tenu le premier rôle féminin dans le tragique Le Dernier Duel, sorti en 2021. Même si l'interprète de la Française Marguerite de Thibouville a conquis une bonne partie du public et de la critique, sa différence d'âge avec Joaquin Phoenix n'est pas passée inaperçue au moment de l'annonce. Joséphine était de six ans l'aînée de son époux - ce qui n'était pas vraiment anodin dans leur relation -, alors que Jodie Comer a presque 20 ans de moins que l'acteur à qui elle devait donner la réplique.

Mais comme l'a rapporté The Hollywood Reporter, l'actrice britannique de 28 ans n'est désormais plus impliquée dans la production. La raison officielle serait un conflit d'emploi du temps. À cause de la reprise de la pandémie et des changements de planning qui en découlent, Jodie Comer ne pourrait plus tenir ses engagements envers Scott. Le tournage de Kitbag doit démarrer en Europe en janvier 2022, alors que l'actrice doit commencer les répétitions de la pièce Prima Facie en mars de la même année.

Comme l'a indiqué Deadline, Scott aurait d'ores et déjà les yeux rivés sur une autre actrice : Vanessa Kirby. À 33 ans, l'actrice est légèrement plus âgée que sa prédécesseure et son âge correspond à celui de Joséphine au moment de son mariage. En revanche, Joaquin Phoenix reste en comparaison trop âgé pour le rôle de Napoléon, mort à 51 ans alors que l'acteur en a déjà 47.

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Malgré cet écart factuel encore peu compréhensible, l'actrice actuellement en pleine négociation a déjà prouvé son aisance devant la caméra avec ses rôles dans Pieces of a Woman (qui lui a d'ailleurs valu une nomination aux Oscars), L'Ombre de Staline, Mission : Impossible ou encore la série historique The Crown. Rien n'est pour l'instant confirmé, mais ce rôle serait un autre bon tremplin pour sa carrière en pleine ascension.

Aucune date de sortie n'a encore été annoncée, mais Kitbag devrait débarquer sur Apple TV+ courant 2023.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1641367517
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Le Diable dans la ville blanche : Keanu Reeves bientôt en serial killer dans la série de Martin Scorsese ?

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L'acteur Keanu Reeves est en discussion pour un rôle dans la mystérieuse série de Leonardo DiCaprio et Martin Scorsese, Le Diable dans la ville blanche.

Acteur ayant débuté au milieu des années 80, Keanu Reeves s'est réellement fait connaître en apparaissant dans L'Excellente aventure de Bill et Ted et dans Point Break - Extrême limite. Il a traversé par la suite les années 90/2000/2010 en jouant pour Francis Ford Coppola, Gus Van Sant, Bernardo Bertolucci, Sam Raimi et Nicolas Winding Refn, tout en devenant une star du cinéma d'action avec ses rôles dans Speed, Matrix, Constantine ou dans la saga John Wick.

Mais alors qu'il est actuellement à l'affiche de Matrix Resurrections qui galère au box-office et que nous l'attendons avec impatience dans John Wick : Chapitre 4, le nom de Keanu Reeves n'en a pas fini de venir titiller l'actualité. En effet, selon Deadline, l'acteur serait en discussion pour venir rejoindre le casting de la série Le Diable dans la ville blanche, produite par Leonardo DiCaprio et Martin Scorsese.

La série est l'adaptation du roman The Devil in the White City écrit par Erik Larson en 2003 et relate l'histoire vraie d'un architecte et d'un tueur en série lors de l'exposition universelle de 1893 à Chicago. Le rôle exact de Reeves n'a pas encore été révélé, mais si l'acteur doit jouer un des deux protagonistes principaux, il s'agira de sa première vraie performance dans un rôle principal pour une série télévisée - n'ayant fait que quelques apparitions dans des séries des années 80 principalement.

Ce projet d'adaptation n'est pas neuf puisque dès 2010, l'acteur Leonardo DiCaprio a acheté les droits du roman pour en faire un long-métrage réalisé par Martin Scorsese et produit par la Paramount. Cependant, en 2019, Hulu a annoncé qu'ils développaient un projet de série avec comme producteurs exécutifs, DiCaprio et Scorsese, mais aussi Rick Yorn, Sam Shaw, Jennifer Davisson et Stacey Sher.

La réalisation des deux premiers épisodes sera confiée à Todd Field, metteur en scène de In the Bedroom et Little Children, tandis que la production sera assurée par Paramount TV, ABC Signature et Appian Way. L'adaptation sera quant à elle gérée par le créateur des séries Castle Rock et Manhattan, Sam Shaw.

Ce projet a évidemment de quoi intriguer et donne envie de voir ce que le combo Scorsese, DiCaprio, Shaw et Reeves pourra donner. Mais pour le savoir, il faudra attendre que la série rentre en production puis débarque sur Hulu. En attendant, il faudra se contenter de la nouvelle collaboration entre Martin Scorsese et Leonardo DiCaprio dans le prochain long-métrage du cinéaste qui sortira cette année sur Apple TV+ : Killers of the Flower Moon.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... 1641312107
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ClintReborn
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Pale a écrit :
mer. 5 janv. 2022 17:29
Kitbag : le biopic de Ridley Scott sur Napoléon remplace son actrice principale

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L'actrice Jodie Comer a quitté le casting de Kitbag, le prochain biopic sur Napoléon Bonaparte réalisé par Ridley Scott, qui a déjà une autre interprète en vue.

Plus de 20 ans après avoir joué une version réinventée de Commode dans Gladiator, Joaquin Phoenix retrouvera bientôt Ridley Scott pour incarner une autre tête couronnée qui a marqué l'Histoire : Napoléon Bonaparte. D'après le cinéaste, cet énième biopic consacré au premier empereur des Français, baptisé Kitbag, offrira un regard plus personnel et intimiste sur ses exploits militaires et sa rapide ascension jusqu'à son sacre, tout en se concentrant sur sa relation tempétueuse et passionnée avec sa première épouse Joséphine de Beauharnais.

Initialement choisie pour jouer la femme de l'homme d'État, l'actrice Jodie Comer (Killing Eve, Free Guy) devait donc elle aussi prêter à nouveau ses talents au réalisateur après avoir tenu le premier rôle féminin dans le tragique Le Dernier Duel, sorti en 2021. Même si l'interprète de la Française Marguerite de Thibouville a conquis une bonne partie du public et de la critique, sa différence d'âge avec Joaquin Phoenix n'est pas passée inaperçue au moment de l'annonce. Joséphine était de six ans l'aînée de son époux - ce qui n'était pas vraiment anodin dans leur relation -, alors que Jodie Comer a presque 20 ans de moins que l'acteur à qui elle devait donner la réplique.

Mais comme l'a rapporté The Hollywood Reporter, l'actrice britannique de 28 ans n'est désormais plus impliquée dans la production. La raison officielle serait un conflit d'emploi du temps. À cause de la reprise de la pandémie et des changements de planning qui en découlent, Jodie Comer ne pourrait plus tenir ses engagements envers Scott. Le tournage de Kitbag doit démarrer en Europe en janvier 2022, alors que l'actrice doit commencer les répétitions de la pièce Prima Facie en mars de la même année.

Comme l'a indiqué Deadline, Scott aurait d'ores et déjà les yeux rivés sur une autre actrice : Vanessa Kirby. À 33 ans, l'actrice est légèrement plus âgée que sa prédécesseure et son âge correspond à celui de Joséphine au moment de son mariage. En revanche, Joaquin Phoenix reste en comparaison trop âgé pour le rôle de Napoléon, mort à 51 ans alors que l'acteur en a déjà 47.

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Malgré cet écart factuel encore peu compréhensible, l'actrice actuellement en pleine négociation a déjà prouvé son aisance devant la caméra avec ses rôles dans Pieces of a Woman (qui lui a d'ailleurs valu une nomination aux Oscars), L'Ombre de Staline, Mission : Impossible ou encore la série historique The Crown. Rien n'est pour l'instant confirmé, mais ce rôle serait un autre bon tremplin pour sa carrière en pleine ascension.

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En effet c'est un film sur la jeunesse de Napoléon alors que l'acteur est bien trop vieux :lol: Ils vont devoir lui mettre une tonne de maquillage :roll:

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn
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Pale a écrit :
mer. 5 janv. 2022 18:13
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Ils ont a peine abuser sur le titre :lol: "The Woman in the House Across the Street from the Girl in the Window" La femme dans la maison en face de la fille à la fenêtre :lol:

Anna (Kristen Bell) s'est faite récemment larguée et vit désormais seule. Pour s'occuper, elle observe ses voisins par la fenêtre, un verre de vin à la main, surtout quand un charmant voisin emménage en face. Alors qu'elle refait peu à peu surface, elle voit un soir un terrible meurtre depuis sa fenêtre. Enfin c'est ce qu'elle pense avoir vu.

Alfred Hitchcock avait résumé ça simplement par "Rear Window" :lol: :o

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A ce niveau le prochain titre dépassera les 100 caractères :lol: :lol: :lol:
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robinne
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weird

ClintReborn a écrit :
mer. 5 janv. 2022 18:01
Pale a écrit :
mer. 5 janv. 2022 17:29
Kitbag : le biopic de Ridley Scott sur Napoléon remplace son actrice principale
En effet c'est un film sur la jeunesse de Napoléon alors que l'acteur est bien trop vieux :lol: Ils vont devoir lui mettre une tonne de maquillage :roll:

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Tu connais le maquillage ?
ClintReborn a écrit :
mer. 5 janv. 2022 18:38
Pale a écrit :
mer. 5 janv. 2022 18:13
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Ils ont a peine abuser sur le titre :lol: "The Woman in the House Across the Street from the Girl in the Window" La femme dans la maison en face de la fille à la fenêtre :lol:
On est sûr que ce n’est pas une parodie ?
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Pale
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ClintReborn a écrit :
mer. 5 janv. 2022 18:38
Pale a écrit :
mer. 5 janv. 2022 18:13
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Ils ont a peine abuser sur le titre :lol: "The Woman in the House Across the Street from the Girl in the Window" La femme dans la maison en face de la fille à la fenêtre :lol:

Anna (Kristen Bell) s'est faite récemment larguée et vit désormais seule. Pour s'occuper, elle observe ses voisins par la fenêtre, un verre de vin à la main, surtout quand un charmant voisin emménage en face. Alors qu'elle refait peu à peu surface, elle voit un soir un terrible meurtre depuis sa fenêtre. Enfin c'est ce qu'elle pense avoir vu.

Alfred Hitchcock avait résumé ça simplement par "Rear Window" :lol: :o

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A ce niveau le prochain titre dépassera les 100 caractères :lol: :lol: :lol:
C'est un titre parodique :D
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weird

Pale a écrit :
mer. 5 janv. 2022 19:14
ClintReborn a écrit :
mer. 5 janv. 2022 18:38
Pale a écrit :
mer. 5 janv. 2022 18:13
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Ils ont a peine abuser sur le titre :lol: "The Woman in the House Across the Street from the Girl in the Window" La femme dans la maison en face de la fille à la fenêtre :lol:

Anna (Kristen Bell) s'est faite récemment larguée et vit désormais seule. Pour s'occuper, elle observe ses voisins par la fenêtre, un verre de vin à la main, surtout quand un charmant voisin emménage en face. Alors qu'elle refait peu à peu surface, elle voit un soir un terrible meurtre depuis sa fenêtre. Enfin c'est ce qu'elle pense avoir vu.

Alfred Hitchcock avait résumé ça simplement par "Rear Window" :lol: :o

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A ce niveau le prochain titre dépassera les 100 caractères :lol: :lol: :lol:
C'est un titre parodique :D
Ah bah voilà :sol:
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Le box-office français de la semaine :

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https://premiere.fr/Cinema/News-Cinema/ ... m5jlbgMpTY
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weird

Pale a écrit :
mer. 5 janv. 2022 20:35
Le box-office français de la semaine :

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https://premiere.fr/Cinema/News-Cinema/ ... m5jlbgMpTY
Je n'ai vu aucun film de cette liste :lol:
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robinne a écrit :
mer. 5 janv. 2022 19:05
ClintReborn a écrit :
mer. 5 janv. 2022 18:01
Pale a écrit :
mer. 5 janv. 2022 17:29
Kitbag : le biopic de Ridley Scott sur Napoléon remplace son actrice principale
En effet c'est un film sur la jeunesse de Napoléon alors que l'acteur est bien trop vieux :lol: Ils vont devoir lui mettre une tonne de maquillage :roll:

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Tu connais le maquillage ?
Même avec le maquillage faut être sacrément en forme pour paraitre dans la vingtaine :roll: Je vois plus un Napoléon qui revient sur ses souvenirs et un autre acteur pour vivre les jeunes années ce qui serait beaucoup plus crédible ... Après Scott n'est pas Gance ni Kubrick il peut se planter en beauté comme avec robin des bois :o :D
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Bizarrement je pense regarder la série avec Lily James....
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Fini la saison 4 de Cobra Kai. Malgré un début un peu mou cette saison se réveille au mileu et explose vers les derniers épisodes, en particulier lors du tournoi de karaté, on en prend plein les mirettes. Ne connaissant pas le troisième film je n'ai découvert qu'avec cette saison le personnage de Terry, un sacré taré. Inutile de préciser que l'attente jusqu'à la saison 5 va être longue...

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BOX OFFICE STORY a écrit :
mer. 5 janv. 2022 22:27
Bizarrement je pense regarder la série avec Lily James....
Ou plutôt regarder Lily James dans sa série :o :D :lol:
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