Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Je remets cette affiche en nouvelle page :

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Wickaël
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Il y a un truc qui m'avait déplu dans cette saison
Perso ça ne m'a pas dérangé, j'avais même vu venir le truc :D
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J'ai très hâte pour le trailer de Raya :hot:
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C'est ouf mais ce trailer ne m'enthousiasme absolument pas :D
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En version française :

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robinne
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weird

Pale a écrit :
mer. 21 oct. 2020 16:14


C'est ouf mais ce trailer ne m'enthousiasme absolument pas :D
Je ne regarderai pas cette BA :o
J’attends de voir le film pour me faire mon avis :D
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ClintReborn
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Je regarderai cette BA :o
Je vais me faire un avis sans voir le film :D
:fou: :ouch: :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Pale
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:lol:

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Je ne me risquerais pas de faire la comparaison avec le Hitchcock car je n'en ai plus aucun souvenir et puis ça s'avérerait inutile aussi. En tant que tel, le film de Ben Wheatley est plutôt bien foutu. En réalité cette nouvelle version est de très bonne facture durant une bonne grosse partie mais a tendance à se casser la gueule sur la fin. Alors que le film prenait bien son temps et instaurait une bonne ambiance, tout se précipite à la fin et ça devient un peu n'importe quoi. C'est dommage mais ça se regarde car le film possède des qualités comme les acteurs, les décors, des plans magnifiques ou la bande-originale.
Modifié en dernier par Pale le jeu. 22 oct. 2020 09:46, modifié 1 fois.
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Cocu
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Zarbon Hayase a écrit :
mar. 20 oct. 2020 23:16
Pale a écrit :
mar. 20 oct. 2020 22:35
Zarbon Hayase a écrit :
mar. 20 oct. 2020 22:11
Le 1er épisode de la saison 3 c'est celui avec Bryce Dallas Howard. :love: :love: :love:
Un des meilleurs de cette série !
Je confirmé, mais apres je suis peut etre pas le plus objective. :lol:
Vu ce soir! Beaucoup aimé mais un peu déçue par la fin, j'ai préféré le précédent !
Pouet
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En attendant Dune : une série HBO pour Denis Villeneuve et Jake Gyllenhaal

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Après Prisoners et Enemy, Jake Gyllenhaal retrouve Denis Villeneuve pour The Son, une série HBO, par les producteurs de Westworld. En attendant que le film Dune sorte, l'année prochaine...

Alors que son adaptation très attendue de Dune vient d'être récemment repoussée au 29 septembre 2021 en France, à cause de la pandémie due à la Covid-19, le cinéaste Denis Villeneuve avait exprimé encore récemment son envie de travailler de nouveau avec l'acteur Jake Gyllenhaal, après deux collaborations plus que fructueuses, sur Prisoners et Enemy. Le réalisateur avait donc envie de retrouver l'acteur pour une série HBO produite par Jonathan Nolan et Lisa Joy, les créateurs de la série Westworld.

Selon Collider, Denis Villeneuve travaillerait actuellement sur l'adaptation en mini-série de The Son, roman de l'auteur norvégien Jo Nesbø. Un autre roman de l'écrivain avait été adapté maladroitement avec le film Le Bonhomme de neige, le terrible accident industriel de Tomas Alfredson (Morse) avec Michael Fassbender en caricature gênante de flic désabusé.

D'abord pressenti pour une adaptation en long-métrage, le livre sera donc finalement transformé en série. Il s'agira d'un polar noir qui se déroule à Oslo, en Norvège, où Sonny, un tueur en série évadé de prison, multiplie les assassinats en visant les corrompus de la société : les parrains de la drogue, des trafiquants d'humains, des flics ripoux, etc. Un synopsis qui promet un polar bien poisseux sur fond de quête de vengeance, dont Denis Villeneuve devrait réaliser tous les épisodes, tout en étant producteur exécutif de la série.

Jake Gyllenhaal, quant à lui, campera fort probablement le rôle principal du tueur. Il sera également producteur exécutif sur le projet. À noter qu'il s'agit de la deuxième collaboration de l'acteur avec HBO, avec la série Lake Success déjà en préparation. Les créateurs de Westworld, Jonathan Nolan et Lisa Joy, partageront leur rôle de showrunner aux côtés du scénariste Lenore Zion, qu'on a pu voir à l'oeuvre sur les séries Billions et Ray Donovan.

Un projet fort alléchant, ne serait-ce qu'à l'idée de voir l'acteur retrouver le cinéaste, six ans après Enemy, mais aussi de voir Denis Villeneuve revenir au polar, après l'excellent Prisoners, qui avait reçu les éloges de la critique. Francesca Orsi, vice-présidente des programmes de la chaîne HBO, a exprimé son enthousiasme sur la mini-série :

"Jonah et Lisa sont une formidable force créative et nous sommes ravis de collaborer à nouveau avec eux, aux côtés de la brillante Lenore, pour adapter le roman de Jo Nesbø. Denis est un maître dans le tissage de récits visuellement exquis et uniques, Jake est un acteur et producteur doué dont le travail traverse souvent des terrains provocants et fascinants, et bien sûr, lui et Denis ont collaboré avec brio par le passé. Nous sommes plus qu'excités à l'idée de voir comment cette équipe puissante abordera ce travail exceptionnel."

On ne sait, pour l'instant, pas grand-chose de plus sur The Son. En attendant d'en savoir plus, on pourra retrouver l'acteur, aux côtés d'Oscar Isaac, au casting d'un intrigant biopic sur le tournage du Parrain, tandis qu'on attend toujours de pied ferme le Dune de Denis Villeneuve, dont la sortie est désormais prévue au 29 septembre 2021 en France.

Et sinon, on essaye toujours de comprendre pourquoi l'acteur Jake Gyllenhaal, malgré ses excellentes performances dans Stronger, Night Call, ou encore La Rage au ventre, n'a toujours pas eu d'Oscar, dans notre dossier disponible par ici.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... VMUcM4zUcc
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Willow : la suite officiellement lancée sur Disney+, avec un nouveau réalisateur

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La suite de Willow, en série sur Disney+, vient d'être officiellement lancée, avec un nouveau réalisateur aux commandes.

Après Star Wars, Disney+ continue de piocher dans le vaste catalogue de Lucasfilm pour produire du contenu sur sa plateforme de streaming. Cette fois-ci, la firme aux grandes oreilles s'empare de l'univers du film culte de Ron Howard, Willow, la célèbre épopée d'heroic fantasy avec Warwick Davis dans le rôle-titre, mais aussi Val Kilmer.

Déjà teasé depuis un moment par le scénariste de Solo : À Star Wars Story, Jon Kasdan, qui avait évoqué, à l'époque, un scénario déjà écrit, la suite de Willow, en série, avait été officiellement annoncée en préparation il y a quelques mois, où Ron Howard avait notamment évoqué la possibilité de revenir à la réalisation si l'occasion se présentait.

Apparemment, ça ne sera finalement pas le cas, puisque, selon Collider, la série de Disney+ vient d'être officiellement lancée, avec un nouveau réalisateur pour diriger le pilote : Jon M. Chu, réalisateur notamment d'Insaisissables 2 et Crazy Rich Asians.

Cette suite se déroulerait plusieurs années après les évènements du film original, produit par George Lucas et sorti en 1988, et introduirait de nouveaux personnages dans l'univers de fantasy qui a marqué toute une génération. Une suite dans laquelle Warwick Davis reprendra son rôle iconique aux côtés des nouveaux protagonistes. Dans un communiqué officiel, le réalisateur Jon M. Chu a partagé son enthousiasme à l'idée de rejoindre le projet, ainsi que l'impact qu'avait eu le film de Ron Howard sur son enfance :

"Ayant grandi dans les années 80, Willow a eu un effet profond sur moi. L'histoire de ces héros courageux dans les moments les moins probables m'a permis, à moi, un gamin d'origine asiatique qui a grandit dans un restaurant chinois, cherchant à atteindre Hollywood, de croire au pouvoir de notre propre volonté, de notre détermination, et bien sûr, à la magie intérieure.

Donc, le fait que je puisse travailler avec mes héros, créés par Ron Howard et Kathleen Kennedy, est plus qu'un rêve devenu réalité. C'est un moment inoubliable pour moi. Jon Kasdan et Wendy Mericle ont ajouté de nouveaux personnages révolutionnaires et de délicieuses surprises à cette histoire intemporelle, que je suis impatient que le monde puisse découvrir en nous rejoignant dans ce voyage épique."


Ron Howard, qui reste également producteur exécutif de la série, aux côtés du scénariste du film original, Bob Dolman, s'est également exprimé dans ce communiqué officiel :

"C'est passionnant, d'un point de vue créatif, non seulement de revisiter le monde et les personnages conçus pour la première fois par George Lucas, Bob Dolman et moi-même, mais de le voir prendre son envol de manière aussi fraîche, amusante et cinématographique, grâce à l'imagination de Jon Kasdan et de l'équipe de Willow. Ce n'est pas un retour nostalgique, c'est un mouvement créatif en avant et c'est un plaisir de faire partie de tout cela."

À en croire les propos de Ron Howard et Jon M. Chu, la série sera bien plus qu'une simple suite nostalgique, mais un véritable renouveau créatif, avec une jeune équipe qui apporterait un vent frais dans l'univers du film original qui a bercé l'enfance de beaucoup de fans, Willow étant un film encore très apprécié aujourd'hui. Une raison de plus pour Disney de ne pas se planter sur ce coup-là.

Espérons que la série de Disney+ connaîtra un meilleur succès que Dark Crystal : le Temps de la résistance, l'autre série tirée d'un film d'heroic fantasy culte des années 80, chez son concurrent Netflix, qui s'est vue être annulée au bout de seulement une saison. On ne sait pas grand-chose de plus pour le moment, si ce n'est que la série sortira sur la plateforme Disney+, Warwick Davis ayant confirmé récemment son retour au casting, pour un début de production planifié en 2021.

En attendant d'en savoir plus, on vous invite à découvrir dix pépites incontournables, entre nostalgie et chefs-d'œuvre, sur Disney+, avec notre dossier disponible par ici.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... Zugw56WYNw
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Pale
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EL a bof aimé Peninsula (2,5 étoiles) :

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Le film de zombie est un genre poncé jusqu'à la moelle et pourtant loin d'être esseulé tant la figure du revenant cannibale fascine toujours l'imaginaire collectif et parvient ponctuellement à faire peau neuve, comme dans Dernier train pour Busan en 2016 (critique ici). Ce huis clos sud-coréen jouit d'une belle réputation chez les cinéphiles, qui attendaient donc avec impatience Peninsula, une sorte de spin-off-suite-continuation du premier film, présenté au Festival de Deauville dans le cadre du partenariat avec le Label Cannes 2020, qu'on ne peut malheureusement pas qualifier de nouveau coup de maître.

BUSAN-VERSE


Le film se déroule ainsi près de quatre ans après la dévastation de la Corée, ostracisée par le reste du monde, où doit retourner un ancien soldat émigré à Hong Kong pour récupérer plusieurs millions de dollars, au risque de tomber sur les hordes de zombies et les survivants aliénés qui peuplent encore cette zone de non-droit. Installer Peninsula dans le même univers que Dernier train pour Busan (et le film d'animation Seoul Station sorti juste avant), sans se positionner comme une suite directe sur les rescapés du massacre ferroviaire, était un argument marketing à double tranchant pour le nouveau film de Yeon Sang-Ho, qui est retourné derrière la caméra pour l'occasion.

Si cette assimilation au précédent volet lui garantit une plus grande visibilité et une meilleure identification auprès du public (encore plus aux États-Unis où le film a été vendu sous le titre Train to Busan Presents: Peninsula), le long-métrage n'échappe évidemment pas à la comparaison avec son magistral prédécesseur, ce qui ne plaide pas en sa faveur. Alors qu'on imaginait ce nouvel opus comme un thriller d'action intense qui bénéficierait de la même maîtrise technique et intelligence scénaristique, l'approche de Peninsula est au contraire très conventionnelle, décevante et dépossédée de toute la puissance narrative et visuelle.

À travers son scénario schématique, son cadre décloisonné trop générique et ses personnages caricaturaux et manichéens auxquels les acteurs peinent à donner du relief (en particulier les antagonistes), le film a laissé de côté toute la subtilité et la finesse qui a fait le succès de son aîné, subtilisant sa poigne et son rythme frénétique par des tirs de gros calibres et des courses-poursuites en drift dans les rues étonnamment dégagées de la péninsule coréenne.

RETOUR À ZOMBIELAND

Indépendamment de Dernier train pour Busan, Peninsula aurait pu revendiquer un statut de série B déjantée et décomplexée, abandonnant l'horreur et versant sans retenue dans le vidage de chargeurs et le vroum-vroum survolté à la Mad Max : Fury Road ou Fast and Furious pour un résultat plus exaltant et moins barbant. En plus de passer à côté des thèmes lourds et récurrents du genre qu'il tente maladroitement d'introduire (rédemption, isolationnisme, déshumanisation), le film se vautre dans un pathos forcé et inefficace malgré les litres de larmes versées par les protagonistes et les discours niais sur musique tragique.

Ces scènes étirées et clichées freinent ainsi le rythme et la dynamique du métrage de presque deux heures, même s'il sait s'emballer quand il se donne un peu de mal. À côté de cette émotion décharnée, certaines scènes démesurées réussissent à dépasser ce premier degré plombant, pour proposer du spectacle violent, effréné et absurde qui aurait pu déboucher sur un bon gros délire d'initiés, si le film avait lâché la bride jusqu'au bout.

Les quelques moments de tension sont également bienvenus, notamment dans l'espèce de dôme du tonnerre où les soldats abandonnés, probablement inspirés des militaires cinglés du Jour des morts-vivants de Romero, organisent des tournois à morts entre des humains retenus captifs et des zombies. Cette séquence avait retenu toute l'attention des fans dans la bande-annonce, mais cette promesse alléchante est finalement peu exploitée et ne sert que momentanément l'aspect spectaculaire, sans nourrir de réelles ambitions narratives, alors même que le casting était tout à fait apte à les porter.

ZOMBIES DÉSINCARNÉS

Si le film a laissé sur le carreau l'habileté du Dernier train pour Busan, le réalisateur a également retiré tout esthétisme à son univers post-apocalyptique. Pour créer un environnement urbain dévasté et réaliser des scènes plus ambitieuses, notamment les nombreuses courses-poursuites en bolides tunés dans les rues étroites et autres vagues-submersion de zombies, le cinéaste a opté pour la facilité du numérique.

Le charme des morts-vivants joués par des acteurs qui témoignait d'une réelle authenticité et démarche cinématographique a laissé place à un marasme de CGI criard à la World War Z, qui donne l'impression d'être coincé dans une cinématique de jeu vidéo. En plus de perdre leur réalisme, ces cadavres ambulants servent davantage d'accessoires pour le scénario et de chair à canon pour faire grimper le taux d'hémoglobine, que de créatures centrales dans le récit !

Ce traitement pratique leur fait ainsi perdre leur caractère implacable et affaiblit la menace qu'ils sont censés représenter, ce qu'on recherche principalement dans un film de zombie. La mise en scène et le cadrage, qui n'ont rien de catastrophique, sont tout de même moins inspirés et réfléchis, tout comme la photographie trop colorée et contrastée, réveillée par moments par quelques jeux de lumière intéressants basés sur l'incapacité des morts à voir dans le noir. Le cadre désolé en images numériques ne facilite pas non plus l'immersion, même si certains endroits de cette ville portuaire parviennent à renvoyer l'image lugubre et poisseuse qu'on attend d'un monde post-apocalyptique.

Peninsula aurait peut-être gagné à jouer la carte de l'animation pour pallier ses effets spéciaux négligés, le réalisateur étant familier de l'exercice avec Station Seoul, The King of pigs et The Fake. Résultat : Peninsula devient oubliable et se révèle surtout une grosse déception tant les attentes étaient élevées. Reste quelques moments non dépourvus d'ambition et de créativité, mais à peine de quoi passer le temps avant de passer à autre chose.

Peninsula est un nouveau raz-de-marée cadavérique qui accumule les faiblesses de style et de narration, et souffre grandement de sa filiation avec le très estimé Dernier Train pour Busan. Yeon Sang-Ho propose une série B d'action post-apocalyptique convenue et divertissante, mais encore trop premier degré pour que le public adhère à ce spectacle bourrin, qui avait tout pour être jouissif.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... cHf65YHEgI

Un autre avis mitigé (2,5 étoiles) :

"Un conseil : mieux vaut se lancer dans Peninsula en pensant à une version mongoloïde de New York 1997 à la sauce Far Cry, plutôt qu'en imaginant une suite à Dernier train pour Busan."

Un autre plus positif (3,5 étoiles) :

"Après Dernier train pour Busan et Seoul Station, Yeon Sang-Ho troque le scalpel sociétal pour le bazooka et nous offre un trip B invraisemblablement satisfaisant, qui n'est pas sans rappeler le glorieux et mal-aimé Doomsday."
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Pale
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EL a modérément apprécié Rebecca (3 étoiles) :

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Le roman de Daphné du Maurier avait permis au Rebecca d'Alfred Hitchcock de recevoir l'Oscar du meilleur film en 1940. On pouvait donc espérer que le réalisateur britannique Ben Wheatley soit aussi inspiré par le livre pour sa nouvelle adaptation produite par Netflix et en tire un beau joyau. Verdict.

LA MORT AUX TROUSSES


Ben Wheatley est un des cinéastes les plus étranges de ces dernières années. Remarqué avec son très mystérieux et angoissant Kill List, puis sa comédie noire Touristes, il a complètement plongé dans l'expérimental avec A field in England en 2013 avant de s'offrir des projets plus ambitieux avec le thriller SF High-Rise puis le huis clos pétaradant Free Fire en 2016, tous deux aux castings prestigieux.

Toutefois, ces deux films n'étant pas de franche réussite, le réalisateur et scénariste s'est fait un peu oublier (son dernier en date, Happy New Year, Colin Burstead, n'est d'ailleurs jamais sorti en France), avant d'être annoncé aux commandes du fameux Rebecca fin 2018. De quoi donner la possibilité d'explorer encore un nouveau genre à ce touche à tout (qui sera d'ailleurs derrière la caméra pour Tomb Raider 2, oui oui).

Et à vrai dire, la facilité de Wheatley à jongler entre les genres, basculer d'une tonalité à une autre ou à créer des ambiances en seulement quelques plans est sûrement l'une des plus grandes réussites de son nouveau film.

Beaucoup plus lumineux que l'adaptation de Hitchcock, Rebecca est indiscutablement magnifique visuellement. L'esthétique est particulièrement léchée, mais plus intéressant encore, Wheatley évite de simplement se reposer sur les décors paradisiaques des bords de la Riviera ou des longues plaines anglaises pour magnifier son image. Au contraire, le Britannique va très vite décider de plonger son personnage principal, incarné par Lily James, au coeur du manoir de Manderley afin de transformer son rêve de bonheur en cauchemar plus sombre et effrayant.

Ainsi, à travers son récit et ses cadres réfléchis, Ben Wheatley ausculte les pensées de la jeune héroïne et son évolution mentale et psychologique au fur et à mesure qu'elle s'enfonce dans les secrets du manoir où la fameuse Rebecca de Winter vivait auparavant. Avec une fluidité rare dans le milieu actuellement, le cinéaste passe du mélodrame au thriller, du psychologique à l'horreur, de la romance au mystère, en seulement quelques plans et réussit à insuffler une vraie atmosphère à son long-métrage.

Le jeu entre le rouge et le bleu, omniprésent dès le début du film, devient d'ailleurs la source d'une merveille psychédélique pendant la scène du bal, troublant totalement la nouvelle Madame de Winter. La juxtaposition des images, les cris stridents d'une foule étouffante et la confrontation finale avec la terrible Mrs Danvers (excellente Kristin Scott Thomas) en font une séquence angoissante, dévoilant en plus les véritables intentions de la gouvernante.

L'OMBRE D'UN DOUTE

Malheureusement, cette maitrise dans la mise en scène, véritable terreau à atmosphère (une ombre immense, un sol enlisant), ne suffit pas à faire de cette nouvelle adaptation une oeuvre marquante. Comme à son habitude, Wheatley a de formidables idées visuelles, mais elles sont souvent trop peu exploitées. Au-delà, la manière dont Ben Wheatley compose son récit à travers son montage, faisant de grands sauts dans le temps ou de petit aparté rêveur, aurait dû être gage d'une énergie continue et d'un mouvement perpétuel à l'intrigue.

Mais paradoxalement, le long-métrage ne réussit pas à s'appuyer dessus pour prendre de l'ampleur et retombe souvent à plat. Malgré l'envie du Britannique, le récit est lancinant, manque d'ardeur et de dynamique, rendant les deux heures qui la composent particulièrement longues.

Par ailleurs, en ne donnant pas assez de matière à son récit pour s'envoler, Rebecca n'arrive tout simplement pas à mettre en perspective son approche pourtant séduisante de l'oeuvre de Daphné du Maurier. Alors qu'Hitchcock ne faisait jamais vraiment de Maxime de Winter (Laurence Olivier remplacé par un Armie Hammer quasi inexistant) un méchant malgré ses actes, Wheatley décide ici de vraiment pointer du doigt ses agissements, qu'ils soient vis-à-vis de son ancienne femme Rebecca ou de sa nouvelle.

Une vision beaucoup plus moderne, complètement dans l'air du temps, faisant la part belle aux personnages féminins du récit notamment dans le troisième acte du long-métrage. Une volonté qui vient exploser durant la séquence finale entre Mrs Danvers et Madame de Winter rompant d'ailleurs avec le film d'Alfred Hitchcock. En effet, si l'immense réalisateur ne faisait que sous-entendre une relation plus qu'amicale entre Mrs Danvers et Rebecca, Wheatley est plus direct lors d'une ultime confrontation abordant frontalement le sujet. Un choix significatif et audacieux, mais bien trop tardif pour lui donner véritablement corps. Dommage.

Rebecca est disponible en intégralité sur Netflix depuis le 21 octobre 2020

Jalonné de quelques brillantes idées visuelles et d'une approche beaucoup plus moderne de l'oeuvre de Daphné du Maurier, Rebecca de Ben Wheatley n'en reste pas moins une oeuvre assez mineure.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... l4FnRMS9yE
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Après Project Power, Jamie Foxx retourne sur Netflix avec une comédie de vampires

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Après avoir joué au super-héros sur Netflix dans Project Power, Jamie Foxx va refaire un tour chez le géant du streaming dans la comédie vampirique Day Shift.

Avant de retrouver Jamie Foxx dans son costume d'Electro à l'occasion de Spider-Man 3 et dans la prochaine adaptation cinématographique de Spawn signée Todd McFarlane, l'acteur va continuer ses pérégrinations sur la plateforme de streaming en jouant cette fois-ci les chasseurs de vampires façon Blade de Marvel, mais avec humour.

Comme le carton Tyler Rake pour Sam Hargrave, la comédie Day Shift marquera ainsi le premier essai de J.J. Perry derrière la caméra, après plusieurs crédits en tant que réalisateur de seconde équipe pour Bloodshot, Fast & Furious 8, Du plomb dans la tête ou encore La Tour sombre. Il est également connu pour son travail de coordinateur cascades sur Gemini Man, Skyscraper ou John Wick 2, en plus d'en avoir effectué certaines dans le premier John Wick.

Il s'agira donc aussi de retrouvailles avec le papa de la franchise d'action portée par Keanu Reeves, Chad Stahelski, qui servira ici de producteur aux côtés de Foxx comme producteur exécutif. L'histoire originale a été écrite par Tyler Tice avec la participation de Shay Hatten qui a travaillé sur le scénario de John Wick : Parabellum et du prochain John Wick : Chapitre 4 (en plus du spin-off Ballerina). D'après Variety qui a relayé l'information, Day Shift s'intéressera à un père de famille en galère, qui travaille pour une société de nettoyage de piscine dans la vallée de San Fernando pour élever sa fille de huit ans. Mais ce boulot n'est qu'une couverture pour son activité nocturne qui consiste à chasser les vampires.

Jamie Foxx sera également dans un autre film Netflix, They Cloned Tyrone de Juel Taylor avec John Boyega. En attendant plus d'informations sur ce qui s'annonce comme le prochain phénomène de la plateforme, notre critique de Project Power est juste ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 3n0Xhn5jL8
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robinne
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weird

ClintReborn a écrit :
mer. 21 oct. 2020 20:59
Je regarderai cette BA :o
Je vais me faire un avis sans voir le film :D
:fou: :ouch: :lol:
Résultat : je l’ai vu avant qu’il ne sorte.
Fincher garde son oeil clinique pour évoquer la vie d’un grand réalisateur hollywoodien. Les acteurs sont impec et la bande-son aux petits oignons.
^^
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Pale a écrit :
mer. 21 oct. 2020 21:58
https://fr.web.img6.acsta.net/r_1920_10 ... 328407.jpg[/img]
Je l’ajoute à ma liste car j’aime bien le réal :bounce:
Et je n’ai pas vu le Hitchcock :saint:
Modifié en dernier par robinne le mer. 21 oct. 2020 22:54, modifié 1 fois.
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weird

Pale a écrit :
mer. 21 oct. 2020 22:33
En attendant Dune : une série HBO pour Denis Villeneuve et Jake Gyllenhaal
Bonne nouvelle :bounce:
En espérant que Dune sorte avant :o
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Denis Villeneuve - Dune : "Timothée Chalamet a le charisme d'une rock star"

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"J'ai été soulagé quand il a accepté, car je n'avais pas de plan b", assure le réalisateur.

Timothée Chalamet est en couverture du nouveau GQ. Après le portrait flatteur fait par Wes Anderson, qui l'a embauché pour The French Dispatch parce qu'il trouvait qu'il collait bien à l'esprit de la Nouvelle Vague pour le rôle de jeune étudiant de son film chorale tourné en France, place aux propos de Denis Villeneuve, qui adapte Dune et a proposé au comédien de 24 ans de jouer Paul Atreides, le héros de l'oeuvre de SF culte de Frank Herbert.

Comme Wes, Denis assure qu'il n'avait pas d'autre acteur en tête. Pourtant, quand il lui a proposé, il a eu peur que Timothée refuse car il avait passé une audition pour Prisoners, son thriller sorti en 2013 avec Jake Gyllenhaal et Hugh Jackman, mais n'a pas été embauché à l'époque. "Il avait réussi son audition, mais physiquement ça ne collait pas", se souvient Villeneuve. "Il a dû m'en vouloir que je ne l'engage pas. Mais pour Paul Atreides, je pensais qu'il n'y avait qu'un acteur actuellement sur la planète pour l'interpréter. Il a une profonde intelligence dans les yeux. C'est quelque chose qu'on ne peut pas jouer. Ce gamin est brillant, très intellectuel et très fort. Et ça se voit dans ses yeux. C'est une vieille âme, on sent qu'il a vécu plusieurs vies. Et en même temps, il a l'air si jeune à l'écran. Parfois, on dirait qu'il a 14 ans. Il a cette allure de jeune homme qui contraste avec son regard de vieille âme, c'est un gamin qui en sait plus sur la vie que ce que son âge le laisserait penser. Et surtout, il a ce charisme de rock star. Dont Paul aura besoin quand il devra diriger la population de toute la planète, plus tard dans l'histoire. Timothée a ce même genre de charisme qu'on trouvait chez les stars du vieil Hollywood des années 1920. Une sorte de beauté romantique. Un mélange d'aristocratie et de vagabond en même temps. Tout ce que je veux dire, c'est que Timothée, c'était Paul Atreides pour moi. J'ai été soulagé quand il a accepté, car je n'avais pas de plan b."


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... l4FnRMS9yE
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robinne a écrit :
mer. 21 oct. 2020 22:51
ClintReborn a écrit :
mer. 21 oct. 2020 20:59
Je regarderai cette BA :o
Je vais me faire un avis sans voir le film :D
:fou: :ouch: :lol:
Résultat : je l’ai vu avant qu’il ne sorte.
Fincher garde son oeil clinique pour évoquer la vie d’un grand réalisateur hollywoodien. Les acteurs sont impec et la bande-son aux petits oignons.
^^
:lol: :lol: :lol:
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Lyricis Interactive

Une affiche et bande annonce pour la mini série de HBO, The Flight Attendant créée par Steve Yockey avec Kaley Cuoco, Michiel Huisman, T.R. Knight, Rosie Perez, Zosia Mamet, Michelle Gomez, Colin Woodell, Merle Dandridge, Griffin Matthews, Nolan Gerard Funk.
Hôtesse de l'air, Cassandra se réveille un matin avec la gueule de bois dans une chambre d'hôtel de Dubai, un corps mort à côté du sien. De peur d'être accusée de meurtre, elle n'appelle pas la police et tente de continuer sa vie comme si de rien n'était...
Le 26 novembre 2020 sur HBO Max.


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Un trailer assez intense.
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Je n'en sais pas plus sur ce retour de Crocodile Dundee :D
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Je poste cette affiche de The Crown avec Elizabeth Debicki en Diana :

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BOX OFFICE STORY
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J'ai cru à une blague pour Dundee...Sacré ribambelle d'octogénaires !
Pour Elizabeth Debicki...je....j'en ...d'avance...
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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BOX OFFICE STORY a écrit :
mer. 21 oct. 2020 23:27
Pour Elizabeth Debicki...je....j'en ...d'avance...
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:lol:
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Don't Breathe 2 : une date de sortie annoncée pour la suite du thriller horrifique

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La suite de Don't Breathe - La Maison des ténèbres est terminée et a dévoilé sa date de sortie en salles.

Avant de le voir reprendre le rôle du Colonel Miles Quaritch dans le très attendu Avatar 2 de James Cameron, Stephen Lang va incarner une nouvelle fois l'ancien soldat aveugle anonyme de Don't Breathe dans la suite du très sympathique thriller horrifique de 2016.

Après le succès critique et financier du film de Fede Alvarez (157 millions pour 10 millions de budget), un Don't Breathe 2 a rapidement été annoncé, bien qu'il ait fallu attendre un petit moment avant d'avoir des nouvelles concrètes. Le cinéaste a entre temps cédé son fauteuil à Rodo Sayagues (son scénariste pour Evil Dead et La Maison des ténèbres) qui réalisera ainsi son premier long-métrage.

Alvarez reste toutefois lié au projet en le co-produisant aux côtés de Sam Raimi, Robert Tapert et Sayagues, qui a également contribué à l'écriture du scénario. Au début du mois d'octobre, on apprenait par l'acteur principal que le film avait allumé ses caméras en secret sur le territoire serbe, et que le tournage était déjà très avancé (si ce n'est presque terminé).

Le casting n'a pas encore été précisé, mais Sony vient tout de même d'annoncer une date de sortie calée au 13 août prochain aux États-Unis, bien que l'information soit à prendre avec des gants étant donné les pérégrinations incessantes des films prévus ou décalé en 2021 depuis le début de la pandémie de Covid-19.

Si l'intrigue n'a pas été confirmée, plusieurs sources indiquaient précédemment que la suite se déroulerait plusieurs années après les événements sordides du premier film, le vieil homme vivant désormais reclus dans une cabane isolée. Il semblerait ainsi être sur le chemin de la rédemption en élevant une jeune orpheline après l'incendie de sa maison, dans ce qui ressemblerait à une vie bien plus calme et paisible. Mais sa culpabilité et les démons de son passé pourraient brutalement ressurgir lorsqu'un groupe kidnappe sa fille adoptive, l'obligeant à quitter son cocon pour lui venir en aide et peut-être enfin faire le deuil de son enfant.

En attendant une confirmation de l'histoire et des annonces de casting, notre critique de Don't Breathe - La Maison des ténèbres juste ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... Xq5DCh5NH4
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Box-office mondial : Comment l’épidémie de Covid-19 chamboule le top 10

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C’est un film chinois qui est en tête du classement : The Eight Hundred et le box-office local fait mieux que l'Américain. Une première.

Entraînant la fermeture de nombreuses salles à travers le monde depuis le printemps dernier, l’épidémie de Covid-19 a logiquement bouleversé le box-office. Après avoir détaillé les chiffres de la fréquentation française, zoom sur le classement mondial, forcément particulier cette année. Il vient en effet d’enregistrer une première historique : “La Chine est officiellement devenu le pays dont le box-office est le plus important du monde, écrit The Hollywood Reporter, qui reprend les données d'Artisan Gateway. Pour l’année 2020, il a atteint 1,988 milliard de dollars le 18 octobre, doublant ainsi l’Amérique du Nord et son 1,937 milliard de dollars. Cet écart devrait s’accroître très sensiblement d’ici à la fin de l’année.”

En 2019, un film atteignait les 2,7 milliards de dollars de recettes, Avengers Endgame, et les huit productions suivantes, toutes américaines et principalement produites par Disney (The Lion King, La Reine des Neiges 2, Captain Marvel…), étaient au-dessus du milliard. En 2020, il se pourrait bien qu’aucun ne franchisse les 500 millions de dollars. Pour l’instant, c’est donc une production chinoise de grande ampleur relatant une bataille historique locale, intitulée The Eight Hundred, qui trône grâce à 460,6 millions de billets verts amassés dans le pays. C’est plus que Bad Boys For Life, produit par Sony, qui le suit avec 426,5 millions de dollars de recettes mondiales. Tenet, la seule production hollywoodienne de plus de 200 millions de budget à être sortie depuis le début de l’épidémie, boucle le podium grâce à 334 millions. La Warner Bros a tenté le coup fin août, mais si ses recettes internationales étaient correctes (en France, il a notamment bien marché en devenant le plus gros succès de l’année grâce à 2,3 millions d’entrées), ses scores américaines étaient très en dessous des attentes et il risque de ne pas se rembourser.

On trouve une autre production chinoise au sein de ce classement : Legend of Deification, qui confirme la bonne santé du marché local malgré l’épidémie, les règles sanitaires strictes ayant permis aux Chinois de revenir au cinéma plus tôt qu’en Europe et dans certains états américains. D’ailleurs, The Eight Hundred et Legend of Deification sont sortis après la réouverture des salles post-confinement : le premier à la fin du mois d’août et le second début octobre. Le marché prend de plus en plus d’ampleur depuis quelques années, et dans ces circonstances exceptionnelles, cela ressort très clairement en observant ce top 10.

Notez aussi que les films présents ici ont tous franchi la barre des 100 millions (de peu pour L’Appel de la forêt), et sont majoritairement sortis au cinéma en début d’année, avant que les mesures de confinement ne soient annoncées : Bad Boys 3 date de janvier, Birds of Prey et Sonic de février, En avant, de mars, etc. Enfin, étant donné que les studios hollywoodiens repoussent la plupart de leurs blockbusters en 2021, il se pourrait bien que ce classement reste peu ou prou le même jusqu’à la fin de l’année. A moins qu'un nouveauté chinoise fasse de nouveau un carton ?

Voici le box-office mondial de 2020 :

1. The Eight Hundred a gagné 460 millions de dollars depuis le 28 août
2. Bad Boys for Life a gagné 426 millions de dollars depuis le 17 janvier
3. Tenet a gagné 334 millions de dollars depuis le 3 septembre
4. Sonic le film a gagné 308 millions de dollars depuis le 14 février
5. Docteur Dolittle a gagné 245 millions de dollars depuis le 17 janvier
6. Birds of Prey a gagné 201 millions de dollars depuis le 7 février
7. Legend of Deification a gagné 163 millions de dollars depuis le 1er octobre
8. En avant a gagné 141 millions de dollars depuis le 6 mars
9. L’Homme invisible a gagné 130 millions de dollars depuis le 28 février
10. L’Appel de la forêt a gagné 107 millions de dollars depuis le 21 février


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 7Yj9lZhmf4
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Sympa les couleurs :D
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Ça s'amuse bien sur le tournage de The Witcher :

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Quelques photos du tournage de Stranger Things :

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Tom Holland en Nathan Drake :

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Wickaël
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Pale a écrit :
jeu. 22 oct. 2020 09:53
Sympa les couleurs :D
Pale qui s'éclate comme un fou :D
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Wickaël
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D'ailleurs mate The Boys Pale tu vas kiffer :D
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Wickaël a écrit :
jeu. 22 oct. 2020 17:25
Pale qui s'éclate comme un fou :D
N'exagérons rien :D

Sinon oui faudrait que je commence cette deuxième saison :D
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ClintReborn
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Pale a écrit :
mer. 21 oct. 2020 23:06
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Cette série Barbarians c'est vraiment vendu comme le jeu Ryse son of rome :lol:
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Wickaël
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ClintReborn a écrit :
jeu. 22 oct. 2020 17:32
Pale a écrit :
mer. 21 oct. 2020 23:06
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Cette série Barbarians c'est vraiment vendu comme le jeu Ryse son of rome :lol:
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J'avais pas fait le rapprochement mais en effet y'a un truc. Et j'avais bien aimé le jeu au passage :D
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Très beau trailer.

Dommage pour le titre français.
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BoBleMexicain
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Pale a écrit :
jeu. 22 oct. 2020 19:17


Très beau trailer.

Dommage pour le titre français.
enfin un western avec TOm j ai hate :love:
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robinne
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Pale a écrit :
jeu. 22 oct. 2020 09:53
Sympa les couleurs :D
Pourrais-tu mettre les titres d’une couleur différente, afin qu’on les distingue mieux ? :D
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robinne a écrit :
jeu. 22 oct. 2020 21:25
Pourrais-tu mettre les titres d’une couleur différente, afin qu’on les distingue mieux ? :D
:love: :D

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Le film divise clairement et moi-même je suis partagé. Il y a des choses que j'ai apprécié, d'autres moins. Dans ce que j'ai adoré il y a le rythme, on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer. L'ambiance apocalyptique a de la gueule aussi. Les personnages sont attachants, du moins les gentils car on retrouve également des personnages complètement dingues. C'est d'ailleurs un truc qui m'a agréablement surpris, il règne une certaine folie dans ce film :D En fait le film aurait pu être un chef d’œuvre du genre avec des effets spéciaux dignes de ce nom. Car avec la meilleure volonté du monde, c'est difficile de ne pas être gêné par les effets spéciaux lors des poursuites. Avec des effets à la Mad Max: Fury Road ça aurait été parfait. Bon ils en font également des tonnes avec cette fin inutilement étirée. Donc voilà, Peninsula est quand même une bonne surprise tant je m'attendais à pire et c'est dommage que le réalisateur n'ait pas eu les moyens de ses ambitions.
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robinne
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weird

De notre côté, le couvre-feu ne va pas aider pour aller au cinéma :cry:
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Pale
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Une bande annonce pour Dreamland réalisé par Miles Joris-Peyrafitte avec Margot Robbie, Travis Fimmel, et Finn Cole.

Eugene Evans, 15 ans, a juré de sauver l'exploitation de ses parents détruite par des tempêtes de poussière en capturant une braqueuse de banques en cavale dont la tête est mise à prix.

En SVOD le 17 novembre 2020 sur toutes les plateformes.




Pas mal du tout ce trailer.
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L'affiche française :

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Bientôt le w-e ! Bonne journée ! :hello:
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Kit
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Next a écrit :
ven. 23 oct. 2020 08:32
Bientôt le w-e ! Bonne journée ! :hello:
:hello: bonne journée et n'oublie le changement d''heure, on passe à l'heure d'hiver ce w-e (j'en avais tellement marre de me farcir cette longue nuit que ce coup-ci je me suis fait remplacé :D )
Vosg'patt de cœur
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