Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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On aura le droit à une heure de couvre-feu en moins du coup aussi ? :o
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Pale
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Kit, Next :hello:

Perso je suis en week end depuis mercredi :love: :D
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Kit
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Pale a écrit :
ven. 23 oct. 2020 08:52
Kit, Next :hello:

Perso je suis en week end depuis mercredi :love: :D
:hello:
je le suis aussi depuis mercredi et je reprends... mercredi soir :D
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Pale
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Kit a écrit :
ven. 23 oct. 2020 08:56
:hello: la première fois que tu me salue en 12 pages :D
:lol: Non mais tu vois, vu que l'on poste et que l'on échange à tout moment de la journée tous les jours, je n'ai pas toujours le réflexe de saluer :D
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Kit
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Next a écrit :
ven. 23 oct. 2020 08:51
On aura le droit à une heure de couvre-feu en moins du coup aussi ? :o
à Mulhouse on a eu le couvre-feu durant le confinement
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Kit
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Pale a écrit :
ven. 23 oct. 2020 08:59
Kit a écrit :
ven. 23 oct. 2020 08:56
:hello: la première fois que tu me salue en 12 pages :D
:lol: Non mais tu vois, vu que l'on poste et que l'on échange à tout moment de la journée tous les jours, je n'ai pas toujours le réflexe de saluer :D
oui mais c'est un peu pour ça que je me suis énervé l'autre jour entre les chauffeurs de bus qui ne me répondent pas et toi qui ne répondait pas à mon salut mais en saluait nommément 2 autres j'ai eu mon billet d'humeur et je suis moins venu ici durant plusieurs jours
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Kit a écrit :
ven. 23 oct. 2020 09:03
oui mais c'est un peu pour ça que je me suis énervé l'autre jour entre les chauffeurs de bus qui ne me répondent pas et toi qui ne répondait pas à mon salut mais en saluait nommément 2 autres j'ai eu mon billet d'humeur et je suis moins venu ici durant plusieurs jours
Il ne fallait pas t'énerver pour cela :D Depuis le temps que l'on poste sur le topic des profils et que l'on se côtoie, je passe souvent outre les formalités mais je n'ignore personne pour autant même si je ne réponds pas forcément à tout :D
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Kit a écrit :
ven. 23 oct. 2020 09:00
à Mulhouse
En allant trop vite j'ai cru lire Mulholland Drive :D
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Malgré un début accrocheur et quelques fulgurances visuelles, je n'ai pas plus accroché que cela à ce nouveau film d'animation Netflix. Si je devais comparer celui-ci à un film d'animation récent, ce serait Abominable. C'est très enfantin et souvent hystérique (pour ne pas dire abrutissant) mais certaines scènes procurent quand même quelques petits frissons.
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Pale a écrit :
ven. 23 oct. 2020 09:13
Kit a écrit :
ven. 23 oct. 2020 09:03
oui mais c'est un peu pour ça que je me suis énervé l'autre jour entre les chauffeurs de bus qui ne me répondent pas et toi qui ne répondait pas à mon salut mais en saluait nommément 2 autres j'ai eu mon billet d'humeur et je suis moins venu ici durant plusieurs jours
Il ne fallait pas t'énerver pour cela :D Depuis le temps que l'on poste sur le topic des profils et que l'on se côtoie, je passe souvent outre les formalités mais je n'ignore personne pour autant même si je ne réponds pas forcément à tout :D
c'était le jour où ça m'irritait grave d'être invisible je peux être des jours sans adresser la parole à quelqu'un (je ne parle de converser par clavier interposé) et souvent c'est par juste un bonjour, merci que je m'exprime en faisant mes courses, prends le bus, c'est ce qui risque de m'arriver ces jours-ci depuis que j'ai quitté ma collègue qui m'a remplacé mercredi matin jusqu'à mercredi soir prochain quand je reprendrai le boulot. j'avais pour projet cette semaine d'aller chez moi dans les Vosges (ça a fait 15 ans hier que mon frère est mort) mais c'est compliqué quand il pleut, que tu es en décalage avec le fait du travail de nuit, que tu ne peux coucher dans la maison familiale parce qu'en froid avec ton autre frère et que tu n'es pas véhiculé qu'avec le train, les cars tu pars à 7h et n'arrive qu'à passé midi alors qu'il n'y a que 80km enfin bref désolé de m'épancher ici
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Kit a écrit :
ven. 23 oct. 2020 11:42
c'était le jour où ça m'irritait grave d'être invisible je peux être des jours sans adresser la parole à quelqu'un (je ne parle de converser par clavier interposé) et souvent c'est par juste un bonjour, merci que je m'exprime en faisant mes courses, prends le bus, c'est ce qui risque de m'arriver ces jours-ci depuis que j'ai quitté ma collègue qui m'a remplacé mercredi matin jusqu'à mercredi soir prochain quand je reprendrai le boulot. j'avais pour projet cette semaine d'aller chez moi dans les Vosges (ça a fait 15 ans hier que mon frère est mort) mais c'est compliqué quand il pleut, que tu es en décalage avec le fait du travail de nuit, que tu ne peux coucher dans la maison familiale parce qu'en froid avec ton autre frère et que tu n'es pas véhiculé qu'avec le train, les cars tu pars à 7h et n'arrive qu'à passé midi alors qu'il n'y a que 80km enfin bref désolé de m'épancher ici
Profite quand même en faisant des trucs ! Films, séries, livres, musique, randonnées...
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j'aime la pluie mais pour la randonnée en ville c'est rappé :D (il y a 20 ans je faisais des km dans les Vosges pour aller au champignons)
lire, je lis surtout au taf, pour les séries et films je suis sacrément en retard
je vais faire des courses aujourd'hui plus grand chose de frais
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Pale c'est le moment de mettre des photos de Ryan Reynolds et Emilia Clarke, c'est leur anniversaire aujourd'hui
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Seule Emilia fera l'affaire :D
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Oh le fiasco. J'adore Dupontel mais je n'ai carrément pas accroché à son dernier film. Imaginez un sous sous sous sous sous-Amélie Poulain avec 20 ans de retard et probablement encore plus déconnecté de la réalité et vous obtenez Adieu Les cons. Du coup la satire fait plus pitié qu'autre chose mais en plus l'humour tombe à plat la plupart du temps, franchement les personnages sont à la limite du supportable. Et en plus certaines scènes font partie des plus gênantes que j'ai vu au ciné depuis un moment. Bref pour moi c'est de la grosse merde :D
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BOX OFFICE STORY
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Pale a écrit :
jeu. 22 oct. 2020 16:59
Tom Holland en Nathan Drake :

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Ca le fait bien Tom Holland en Nathan Drake
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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BOX OFFICE STORY a écrit :
ven. 23 oct. 2020 20:49
Ca le fait bien Tom Holland en Nathan Drake
Yes sinon voici une couverture qui claque bien comme il faut :

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Gku
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Next a écrit :
ven. 23 oct. 2020 08:51
On aura le droit à une heure de couvre-feu en moins du coup aussi ? :o
Plutôt 1h en plus :D :saint:


:hello: à tous :jap:
"The hardest thing in this world… is to live in it."

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A ce propos, maintenant notre couvre-feu est de 22 à 6h :crazy:
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Oui les choses vont pas allez en s’arrangeant, on se dirige vers un couvre-feu généralisé voire un reconfirment ...
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En attendant, les dernières news :D

EL a modérément apprécié Borat 2 (3 étoiles) :

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Après le carton du premier Borat, Sacha Baron Cohen a quelque peu abandonné le personnage qui l'avait rendu célèbre dans le monde entier, pour se consacrer à ce qui est peut-être le véritable sommet de sa carrière, Brüno, et des satires reposant beaucoup moins sur la caméra cachée. Après un nouveau virage beaucoup plus politique avec la série Who Is America ?, il a finalement entrepris de doter son premier succès cinématographique d'une suite, tournée dans le plus grand secret.

À la guerre comme à la guerre


Qu’il est complexe d’émettre un avis critique sur ce Borat 2, à la fois très similaire et très différent de son prédécesseur. Car le procédé manié avec une dextérité impressionnante par Baron Cohen, à savoir le mockumentaire faisant la part belle à la caméra cachée intrusive, est sujet à un débat qu’il serait très difficile de résumer en un article. Coincé entre deux camps et résigné à essuyer des accusations de parti pris en commentaire, l’auteur de ces lignes marche sur la corde raide de l’analyse esthétique. Un numéro d’équilibriste d’autant plus délicat que le climat politique actuel est très lourd et que la position défendue par Baron Cohen fait surtout sens vis-à-vis de l’actualité américaine.

Ce n’est évidemment pas un hasard si Borat 2 sort pile-poil presque 2 semaines avant la fameuse élection présidentielle yankee, en plein milieu d’une campagne électorale si violente qu’elle renvoie aux dystopies les plus pessimistes et dont le climax réside pour l’instant dans un débat qui a assurément sidéré le monde entier, quel que soit son bord idéologique. Le long-métrage, vendu comme un prolongement de la satire irrévérencieuse et trash du premier opus, plonge en fait directement dans le militantisme frontal. Rien de bien étonnant là-dedans, tant on sait le tout-venant de la culture populaire américaine en guerre contre le camp adverse sur à peu près tous les médias possibles. Et ce camp adverse est le plus souvent le camp républicain.

Borat se voulait sous influence des Lettres persanes et soupoudré d’un zeste d’humour noir à la South Park, ciblant plus l’image américaine – forcément conservatrice – que les Américains. Sa suite fait beaucoup moins dans la dentelle en ciblant violemment une certaine frange de la population des États-Unis. Une frange parfois complètement stupide, profondément toxique et salement crédule, sur laquelle l’ex-journaliste kazakhstanais s’acharne particulièrement.

Il n’y a cependant rien d’insidieux dans ce parti-pris puisque l’acteur et le réalisateur Jason Woliner semblent l’assumer complètement, ouvrant leur générique sur une injonction on ne peut plus directe. Les motivations qui transparaissent derrière l’écriture improvisée du scénario sont évidentes : cherchant d’abord à se frotter au sommet du parti républicain, le vice-président Mike Pence, le joyeux trublion s’est rabattu sur l’ex-maire de New-York et actuel avocat du président Rudy Giuliani. Une opération couronnée d’un certain succès, puisque le petit scandale qui accompagne la sortie du film lui fait une publicité monstrueuse.

Bien sûr, c’est aussi l’occasion de piéger les traditionalistes et autres conspirationnistes américains, se succédant tout au long des 1h40 de métrage. Les spectateurs qui attendaient de cette suite le même niveau d’humour graveleux seront donc un peu déçus, puisque certains sketchs semblent parfois se forcer un peu à choquer. Si quelques scènes sont vraiment drôles, d’autres ne visent rien d’autre qu’une dénonciation rentre-dedans de l’absurdité et parfois de la dangerosité des modes de pensée trumpistes. La fameuse séquence mettant en scène Giuliani n’a ainsi rien d'amusante et s’avère même assez glauque, appuyée par une musique en rajoutant encore une couche dans le malaise. Borat 2 est donc bien plus un Who is America ? maquillé en Borat qu’une véritable suite de Borat.

Irruption volcanique

De fait, évidemment, le film cherche la polémique, et il l’obtient. Esthétiquement, il y a beaucoup à dire sur les choix de mise en scène du réalisateur et de l’acteur. Le thème de la puissance dévastatrice du montage, récurrent pour quiconque se frotte un jour à l’analyse filmique, est ici au cœur des débats. Il n’est plus question de « prank », terme anglo-saxon désignant un canular, mais carrément de « trap », un piège dans lequel tombent les victimes de Baron Cohen. Borat premier du nom consistait surtout à mettre les plus nauséabonds des idéologues américains face à leurs contradictions, ou juste à se moquer de leur ridicule influence. Son successeur reproduit souvent la même formule, mais se laisse parfois aller à l’attaque frontale, coordonnée et sagement préméditée en plus d'être appuyée par la forme, ce qui en fait un film d’une radicalité politique assez inouïe.

Outre l’éternelle description parodique du peuple kazakhstanais, de laquelle Baron Cohen se joue en rejetant sur son personnage les reproches qu’on lui a faits après le premier volet, il y a également ce nouveau protagoniste, sa fille, jouée par Maria Bakalova, censée avoir 15 ans dans la fiction (la comédienne a 24 ans). D’aucuns diraient que l'acteur, sous couvert d’ironie très acide, la trimballe comme un bout de viande censé attirer les plus véreux des politiciens. Mais la place qu’elle prend dans cette histoire fait relativiser cette position. Tutar n’est rien d’autre qu’un personnage, même si ce personnage est indéniablement un appât.

Borat 2 donne un violent coup de pied dans la fourmilière, ou pour reprendre une image encore plus pertinente, il rajoute de l’huile sur le feu à quelques jours à peine de l’élection, comme une pierre décadente à l’édifice de l’éviction du dirigeant orange de la Maison-Blanche. Et dès lors qu’on appréhende l’œuvre sous cet angle, sans chercher à réfléchir plus que ça aux moyens utilisés par l'équipe, il faut avouer que l’acteur a quand même des testicules d’une taille conséquente et un sens de l’improvisation pas beaucoup moins important.

Les anecdotes sur le tournage commencent déjà à émerger, et on n’est pas surpris de savoir qu’il s’est feint d’un niveau d’engagement qui force le respect. Bien loin de se contenter de cracher son fiel sur internet, Baron Cohen monte au front, quitte à porter un gilet pare-balle lors d’une convention plus armée qu’un bataillon de Marines.

Bien conscient que l’actualité sera forcément au cœur de son sujet, il fait preuve d’une capacité d’adaptation jouissive, surtout quand il s’agit de s’attaquer à la pandémie actuelle. Borat 2 est probablement la première œuvre cinématographique à s’emparer de la situation sanitaire sous un angle aussi directement politisé, avec en prime un petit twist croustillant. Un choix très judicieux quand on se rend compte que cette crise est depuis devenue un sujet de débat plus politique que médical, au grand dam des exploitants qui aimeraient bien ne pas fermer plus de 10 ans. Même chose avec la thématique du féminisme, grande provocatrice de haine sur Twitter mais problématique indissociable de notre époque. Elle est mine de rien le fil rouge du récit, un statut loin d'être anodin. Baron Cohen cherche bien là à faire le film militant le plus actuel possible, et à ce niveau, c’est indéniablement réussi.

Certes, Borat 2 est presque plus un tract politique qu'une véritable satire, mais l'audace de son militantisme force le respect.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... YklNab-xsk
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Scarlett Johansson sera la nouvelle Fiancée de Frankenstein (ou presque)

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Adieu Marvel et retour aux films d'auteur ? Scarlett Johansson sera l'héroïne de Bride, nouvelle version à peine camouflée de La Fiancée de Frankenstein, réalisée par Sebastián Lelio.

Dans une autre dimension, La Momie a été un carton, et le Dark Universe d'Universal est une machine de guerre portée par Javier Bardem en monstre de Frankenstein, Johnny Depp en Homme invisible, Russell Crowe en Jekyll et Hyde, et Tom Cruise en super-héros - tous castés et annoncés en grande pompe à l'époque. Dans la nôtre, le film d'Alex Kurtzman a été un petit désastre : malgré un score a priori convenable (dans les 410 millions au box-office, pour un budget officiel de 125), le blockbuster a été un four côté américain, et le studio a vite enterré tout le reste.

Le premier film de cet univers étendu après La Momie devait être une nouvelle version de La Fiancée de Frankenstein, réalisée par Bill Condon, écrite par David Koepp, avec Javier Bardem et des rumeurs d'Angelina Jolie. Censé sortir en 2019, il a été repoussé, mis en pause, puis simplement annulé. Et si le succès d'Invisible Man a depuis rallumé la mèche, avec l'envie de revenir à cette fiancée, un autre projet semble clairement y aller en premier : Bride, avec Scarlett Johansson.

Bride ne cite pas officiellement Frankenstein, mais c'est tout comme. Ce sera l'histoire d'une femme créée comme l'épouse parfaite, et qui décide de rejeter son inventeur. Elle doit alors fuir et se confronter au monde, qui la considère comme un monstre, tandis qu'elle découvre peu à peu sa propre identité, ses forces, et ses pouvoirs.

Quelques raisons d'y croire, au-delà du pitch intrigant : Bride est produit par Apple et surtout A24, le studio indépendant en vogue, derrière The Witch, Green Room, The Lobster, A Ghost Story, Hérédité, Midsommar... et bien sûr Under the Skin, cette pépite noire où Scarlett Johansson incarnait une créature venue d'ailleurs.

Autre fait notable : Bride sera réalisé par Sebastián Lelio, derrière Gloria, Une femme fantastique, Désobéissance, et le remake de son propre film, Gloria Bell avec Julianne Moore, distribué par A24. Un choix plus qu'intrigant donc, vu l'intérêt du cinéaste pour le féminin, et son profil loin des sirènes hollywoodiennes.

Pour Scarlett Johansson, c'est un autre bon signal. Sortie de l'océan Marvel où elle baignait et manquait de se noyer depuis Iron Man 2, l'actrice hier associée à Woody Allen et Sofia Coppola était d'abord occupée par les Avengers, des films grand public type Lucy et Ghost in the Shell, et éventuellement de belles et fragiles choses, comme Her.

Hasard ou renaissance : c'est une fois morte et enterrée (hors champ) dans Avengers : Endgame, et avec la dernière cartouche Black Widow, qu'elle a retrouvé de beaux rôles dans Jojo Rabbit et Marriage Story, qui lui ont valu deux nominations aux Oscars (comme second et premier rôle). Ne reste plus qu'à espérer que Bride sera de ce côté de sa filmographie.

Black Widow, qui a été repoussé (encore), sortira en mai 2021.

Et pour comprendre l'incroyable et increvable histoire de Frankenstein, Dracula et autres Universal Monsters, c'est dans ce dossier.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... Bjc2TSNXdM
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EL a modérément aimé Voyage vers la Lune (3 étoiles) :

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Quand Netflix s'est lancé dans l'animation, la perplexité a envahi les amoureux de cet art. Mais Klaus a enchanté tout le monde, au point de prétendre à une nomination aux Oscars. Après La Famille Willoughby cette année, la plateforme collabore avec Pearl Studio et Sony Pictures Imageworks pour un Voyage vers la Lune qui s'inspire ouvertement des derniers chefs-d'oeuvre de Disney et Pixar. Le résultat est-il à la hauteur de ses ambitions ?

10 nez


N’y voyez pas là une tentative de convoquer des références putassières : mise à part une séquence en 2D au début qui semble vaguement s’inspirer du sublime conte de la princesse Kaguya, Voyage vers la Lune est bel et bien la réponse de Netflix au succès toujours renouvelé des films d’animation produits par Disney et son pendant à récompenses Pixar. Il se veut en effet une synthèse des deux modèles, souvent copiés, rarement égalés.

Pour ce qui est de l’influence de Disney, elle ne fait aucun doute, et ce dès les premières minutes. Avec un cynisme assez décourageant, le scénario se déroule en accumulant les poncifs dictés par la firme aux grandes oreilles depuis des décennies. On suit une gamine chinoise étrangement anglophone qui doit faire face à la mort d’un parent proche. Accompagnée par toute une ribambelle de faire-valoir animaliers, trop mignons ou très rigolos en fonction de son humeur, elle affronte cette épreuve et rechigne au changement. Mais lorsqu'elle s’envole dans une aventure inspirée de son mythe préféré où se morfond une princesse éplorée, mais badass, tout change. Elle apprend alors à tourner la page et... on connait la suite.

Non pas que l’équipe d’Ecran Large soit particulièrement hermétique à un modèle qui a de nombreuses fois prouvé son efficacité, mais le fait que les ingrédients parfaits d’une recette Disney soient balancés à l'écran avec un tel systématisme a tendance à donner l’impression d’une copie maladroite, cherchant plus à voler l’émotion qu’à la susciter. D’autant plus que le film n’emprunte pas forcément le meilleur à son modèle.

On y croise notamment une insupportable voix off chantée, déballant, dans un geste d’une fainéantise impressionnante, les enjeux de l’intrigue et les tourments intérieurs de son héroïne au moment où se pointe le deuxième acte. Une maladie directement héritée des comédies musicales de l’âge d’or de la boîte de Mickey, ou même des propositions plus contemporaines. Ce n’est pas un hasard si le duo de réalisateurs (Glen Keane et John Kahrs) était précédemment à la tête de l’animation sur la superproduction Raiponce.

Très mécanique, le scénario multiplie les personnages secondaires cartoonesques et les quêtes initiatiques en 1h40, un délai bien trop court pour ne pas laisser apparentes les ficelles énormes avec lesquelles il manipule les personnages. Le récit cumule les passages obligatoires, se bousculant jusqu’à un climax émotionnel qui massacre les quelques pistes symboliques qui restaient pour friser l'overdose démonstrative embarrassante.

Voyage vers la Lune ne se regarde pas principalement pour sa narration, donc, même si l’ambiguïté de certains personnages l’emporte par instants. La déesse en particulier échappe plutôt vite à son statut de proto-princesse fantastique, tendance reine des neiges tombée dans un tube de gouache, pour laisser filtrer une semi-colère éloignant l’ensemble des griffes du manichéisme.

Moonrise Kingdom

En fait, Voyage vers la Lune ne se consomme pas. Il se contemple. Techniquement très honnête, mais très loin de se frotter aux masterclass récentes insurpassables que sont Coco ou Les Indestructibles 2, le film se rattrape très largement sur une direction artistique si soignée qu’elle en vient à tout engloutir, tel le plus coloré des trous noirs de l’univers.

Alors que l’exposition très mécanique de la première partie du récit plombe un peu l’excitation du spectateur, l’aspect visuel décolle en même temps que son héroïne, à l’occasion d’un lancement de fusée tout simplement spectaculaire se concluant sur une intrusion du fantastique ne s’embarrassant d’aucune pincette.

Car la Lune visée, astre froid et désertique à première vue, se mue vite en terrain de jeu abstrait pour animateur, rappelant forcément les mondes enchâssés de Pixar, et plus particulièrement ceux de Coco, de Vice Versa, et même celui des bandes-annonces du Soul qu’on ne pourra malheureusement pas voir dans les salles obscures.

Dommage d’ailleurs que Voyage dans la Lune ait subi le même traitement, tant la générosité qu’il déploie aurait magnifié un écran de cinéma. Et là où les décors fantasmagoriques de Pixar sont forcément conditionnés par une intrigue complexe, le long-métrage de Pearl Studio peut compter sur son absence de cadre précis pour faire de la surface de la Lune un bac à sable où s’épanouissent leurs idées les plus dingues.

Et c’est là que l’aspect musical du long-métrage paie, puisqu’après s’être tapé des complaintes récitant le scénario d’un air mélancolique, deux morceaux font très bon usage des expérimentations esthétiques lunaires, servis par une mise en scène qui lâche les chiens. Le premier participe à la sidération que suscite cet environnement où les styles graphiques s’entremêlent. Le deuxième nous embarque dans la partie de ping-pong chantée à la fois la plus absurde et la plus endiablée de l’histoire du cinéma d’animation (même si on peine à trouver un concurrent, les suggestions sont les bienvenues).

L’inventivité de cette section centrale fait vite oublier les lourdeurs qui desservent Voyage vers la Lune. Taillé pour la compétition, il ne risque pas de remporter beaucoup de trophées louant son originalité. En revanche, les esthètes récompenseront à coup sûr ses audaces abstraites et plurielles, si Soul ne rafle pas tout, bien entendu.

Voyage vers la Lune est disponible sur Netflix depuis le 23 octobre 2020

Certes, cette nouvelle production Netflix caricature la formule des films d'animation en vogue. Mais l'expérience visuelle qu'elle propose justifie à elle seule le voyage du titre.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... nx5aGRIQG4
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Après Dumbo, Tim Burton devrait adapter La Famille Addams pour Netflix

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Après son remake pour Disney, Tim Burton serait sur le point de réadapter la célèbre Famille Addams qui aurait des chances d'atterrir sur Netflix.

L'année dernière, Morticia, Gomez, Pugsley, Mercredi, Fétide et La Chose ont fait leur retour au cinéma grâce au film d'animation en 3D de Conrad Vernon et Greg Tiernan, qui aura d'ailleurs une suite, sobrement intitulée La Famille Addams 2. Le long-métrage des réalisateurs de Sausage Party a ainsi vu le jour après qu'un projet similaire de Tim Burton en stop-motion ait été abandonné, ce qui n'empêche apparemment pas le cinéaste de s'accrocher à cet univers à gothico-morbide dont on le croirait tout droit sorti.

D'après Deadline, le réalisateur de Beetlejuice serait en négociations avec la MGM (qui possède maintenant les droits) pour réaliser tous les épisodes et assurer la production exécutive d'une nouvelle série en live-action de La Famille Addams, qui devrait d'ailleurs garder le même titre.

Cette nouvelle adaptation des sinistres personnages imaginés par Charles Addams devrait également entretenir quelques points communs avec la récente version animée en se déroulant à notre époque et gravitant autour de la jeune Mercredi et du regard qu'elle porte sur ce monde moderne à mille lieux de son étrange et lugubre univers vintage.

Il s'agirait ainsi de la première série en prise de vue réelle chapeautée par Burton après qu'il ait travaillé sur la mini-série animée The World of Stainboy en 2000. À l'inverse, Alfred Gough et Miles Millar, qui serviraient de showrunners (en plus d'assurer la production exécutive avec Burton), sont plus habitués au petit écran après Into the Badlands, Les Chroniques de Shannara, Charlie's angels et Smallville. Le duo a également co-écrit les scénarios des films La Momie : La tombe de l'empereur Dragon, L'arme fatale 4, La Coccinelle revient ou encore Shanghaï Kid.

À l'heure actuelle, plusieurs acheteurs se disputeraient les droits de diffusion de la série, bien que Netflix serait évidemment en tête de liste pour obtenir le projet. Si la nouvelle tombe sous le sens car elle permettrait au réalisateur de déployer à nouveau son imaginaire et son esthétique gothique au service d'une oeuvre imaginée comme telle, cette énième adaptation risquerait aussi de renforcer la déplaisante caricature dans laquelle s'enlise Burton depuis plusieurs années, comme on l'explique dans le dossier juste ici qui s'appuie sur sa filmographie.

En attendant une confirmation, notre critique de La Famille Addams se trouve par là.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... _2ccoC2P9g
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Sacrées sorcières : le remake de Robert Zemeckis se fait démolir par les critiques

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Les premières critiques de Sacrées sorcières viennent de tomber. Et le nouveau film de Robert Zemeckis se fait démolir par la presse américaine.

Après Alliés et Bienvenue à Marwen, le cinéaste Robert Zemeckis est de retour, avec Sacrées sorcières, nouvelle adaptation du roman de Roald Dahl, l'auteur de Charlie et la chocolaterie, après une première version, sortie en 1990, intitulée Les Sorcières, et réalisé par Nicolas Roeg. Pour rappel, ce film, que le réalisateur de Qui veut la peau de Roger Rabbit ? a co-scénarisé avec Kenya Barris et le mexicain Guillermo del Toro, raconte l'histoire d'un jeune garçon et de sa grand-mère (Octavia Spencer), exilés en Angleterre, qui doivent lutter contre un groupe de sorcières mené par Anne Hathaway.

Après une première bande-annonce cartoonesque, qui laissait présager un retour du cinéaste à la comédie burlesque, dans la veine de son La mort vous va si bien, les premières critiques de la presse américaine sont tombées pour le nouveau Robert Zemeckis. Et le moins que l'on puisse dire, c'est que ça fait un peu mal... Revue de presse.

"Zemeckis a fait quelques films ratés au cours des 20 dernières années, mais Sacrées sorcières est le plus frustrant de tous, car on a l'impression qu'il aurait pu être fait par quelqu'un d'autre. N'importe qui d'autre." - IndieWire

"Pendant une grande partie de ce film, vous vous mettez à espérer que, peut-être, Robert Zemeckis pourrait en quelque sorte retrouver l'esprit macabre et envoûtant de La mort vous va si bien. Il reste d'ailleurs toujours l'un de ses plus grands films et l'un des rares dans lequel son goût pour des effets visuels toujours plus extravagants colle parfaitement à l'histoire qu'il raconte. Mais malgré quelques éclairs de nouveautés, Sacrées sorcières est bien mince en comparaison, concoctée principalement à partir d'ingrédients d'occasion." - Los Angeles Times

"Zemeckis transforme cette histoire bien-aimée et sombre en une histoire maniérée, étrange, mais toujours assez divertissante, en tant que conte sur l'acceptation de soi, pour les enfants. Le problème, c'est que ça fait pâle figure par rapport à ce qui a été fait auparavant." - IGN

"Plus important encore, le film possède des moments effrayants et agités, qui devraient scotcher joyeusement les jeunes téléspectateurs dans le canapé, ou les envoyer se cacher sous un oreiller. Le film, à son meilleur, est dégoûtant et stupide et aimablement troublant, et c'est peut-être tout ce qui compte." - Vanity Fair

"Un fil surnaturel, chargé de tels effets visuels, prouve que Robert Zemeckis est bien à la barre. Ce qui rend cela un peu décourageant, c'est que ce soit simplement bon, plutôt que génial. L'histoire de Dahl marche toujours, mais comme une potion sans oeil de triton, cette nouvelle prise est légèrement insuffisamment cuite." - Empire

"J'aurai adoré voir ce qu'un fantaisiste audacieusement idiosyncratique comme del Toro aurait pu faire de cette histoire. Mais il y en a beaucoup plus ici pour un public à la recherche de divertissements familiaux, qui jongle entre les ténèbres et une certaine malice. En attendant, c'est un pas en avant par rapport aux deux derniers films de Zemeckis, que sont Alliés et Bienvenue à Marwen." - The Hollywood Reporter

"Cette comédie d'horreur pour enfants apportera une bonne dose de bizarrerie à votre Halloween." - The Wrap

"La performance d'Anne Hathaway offre au film un centre de gravité autour de la mauvaise blague, et Zemeckis, qui s'en tient au scénario élémentaire de Dahl, met le tout en scène avec un flair pour la farce qui vous laisse bourdonner." - Variety

Vous l'aurez compris, hormis une ou deux critiques, qui qualifie le métrage de bon divertissement d'Halloween pour les enfants, le nouveau film de Robert Zemeckis peine à convaincre les critiques de la presse américaine. Une majorité lui reproche son goût pour des effets visuels criards (que l'on voit déjà dans la bande-annonce) tandis que d'autres pointent du doigt un divertissement tellement calibré qu'il en est devenu impersonnel pour son auteur.

Pour rappel, Sacrées Sorcières de Robert Zemeckis, avec, au casting, Anne Hathaway et Octavia Spencer, mais aussi Stanley Tucci, ou encore Chris Rock, est prévu pour une sortie dans nos salles le 18 novembre 2020 en France. En attendant, vous pouvez découvrir tout le bien que l'on pense de Bienvenue à Marwen, le dernier film en date du cinéaste, avec notre critique disponible par ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... qwR491B80s
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Après The Good Place, Kristen Bell, aka Veronica Mars, de retour sur Netflix pour un thriller hitchcockien

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Après The Good Place où elle dégageait une bouffée d’optimisme rare ou encore Veronica Mars où elle écrasait tout de sa volonté, Kristen Bell reviendra sur Netflix pour un thriller sombre et comique... à la Fenêtre sur cour.

Alors qu’elle s’apprête à reprendre son rôle de "voix de Gossip Girl" pour le reboot de la série à venir, Kristen Bell ne devrait pas s’absenter trop longtemps des écrans du géant rouge car après quatre ans passés dans la peau d’Eleanor Shellstrop pour la géniale The Good Place (produite par NBC, diffusée par Netflix à l'international), l’actrice vient de signer pour une nouvelle série avec Netflix : The Woman in the House.

Vendu comme étant un thriller sombre et comique, la série a été officiellement commandée il y a seulement quelques jours. On ne connaît donc que peu de chose de ses subtilités.

Toutefois, on sait d’ores et déjà que Kristen Bell campera le personnage d’Anna, une femme au cœur brisé, qui regarde sa vie passer sans plus lui trouver aucune saveur particulière et qui se laisse aller au désespoir, assise dans son canapé. Son seul compagnon ? Sa bouteille de vin. Sa seule distraction ? Regarder les passants dérouler leur existence de l'autre côté de la fenêtre.

La série va prendre un tour hitchcockien et pousser la curiosité de son héroïne jusqu’au voyeurisme, lorsqu'un beau voisin s'installe de l’autre côté de la rue. Elle est alors témoin d’un meurtre sordide (à moins que ?) et les choses deviennent tout de suite plus intéressantes.

The Woman in the House est signée Rachel Ramras, Hugh Davidson (plus ou moins inconnus au bataillon) et Larry Dorf (Tammy) et n’a pas vocation a duré plus de 8 épisodes. Iimpossible de ne pas penser au chef-d’œuvre d’Alfred Hitchcock, Fenêtre sur cour à la découverte du pitch. Un synopsis qui nous fait d'ailleurs penser qu'on n'a pas non plus de nouvelles du très similaire La Femme à la Fenêtre de Joe Wright produit par Fox, devenu depuis propriété de Disney et que Netflix semblait sur le point de racheter en août dernier. Peut-être que le film débarquera donc prochainement sur la plateforme si elle a obtenu les droits de distribution. Affaire à suivre...

En attendant, la série avec Kristen Bell n'a évidemment aucune date de sortie fixée pour le moment.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... f9ileZ7Ilc
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Dany Boon sur Netflix : sa comédie sur le confinement sortira directement sur la plateforme

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Dany Boon réalisera son film, inspiré du confinement, chez Netflix dont le tournage devrait débuter très bientôt.

On avait eu vent, assez récemment, que pas mal de scénaristes et réalisateurs avaient été inspirés par le confinement pour leurs prochains films, et c'était le cas, notamment, de Dany Boon. Après les succès de Bienvenue chez les Ch'tis, Rien à déclarer, Raid dingue ou encore La ch’tite famille, l'humoriste semblait donc parti pour relancer les salles de cinéma avec son prochain projet comique sur le confinement. Mais finalement, elle en sera sûrement autrement.

Alors qu'il était présent au casting de la comédie policière Murder Mystery, sorti en 2019, aux côtés d'Adam Sandler et Jennifer Aniston sur Netflix, sa collaboration avec la plateforme lui a, apparemment, donné des idées. En effet, Dany Boon devrait tourner son prochain film, inspiré du confinement, en tant que scénariste, réalisateur, producteur et acteur, pour la plateforme au N rouge. C'est Satellifax qui a balancé la nouvelle et selon leurs informations, le tournage débutera le 8 novembre 2020, en Belgique.

Sur un scénario co-écrit avec sa compagne, l'actrice Laurence Arné, le film s'intitulera 8 rue de l'Humanité, et se déroulera dans un Paris aux rues vides et silencieuses, ce qui fait clairement écho au contexte du confinement. Alors que certains ont préféré fuir la capitale (ça nous rappelle quelque chose...), sept familles sont restées dans un immeuble, pour trois mois de confinement, de joie, d'angoisse, de comédie et de drame. Un pitch qui annonce clairement une comédie sur le confinement, mais rien, pour le moment, n'indique qu'on y parlera de la Covid-19, qui n'est, pour l'instant, pas mentionnée dans ce court synopsis.

Dany Boon cherchera-t-il à nous faire rire du confinement, afin d'exorciser cette période difficile et le contexte de la crise sanitaire actuelle ? Si c'est vraiment le cas, reste à savoir si les gens auront vraiment envie de se remémorer le confinement depuis leur canapé.

Le tournage devrait durer environ 6 semaines, pour une sortie rapide sur la plateforme normalement, même si aucune date de sortie n'a évidemment été communiquée pour le moment. Un projet conçu donc pour Netflix, qui le co-produira avec Pathé.

Le film est d'ailleurs né en parallèle de l'autre long-métrage de Dany Boon, Le Palmier, dont la production a été repoussée à cause de la pandémie et de l'annonce du confinement justement. Le Palmier, sera donc, a priori, tourné en 2021, et produit par Pathé, pour une sortie, cette fois-ci, dans les salles.

En attendant d'en savoir un peu plus sur 8 rue de l'Humanité, on vous propose de redécouvrir la première collaboration de l'acteur avec Netflix, dans Murder Mystery, aux côtés d'Adam Sandler et Jennifer Aniston, dont la bande-annonce est disponible par ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... io8qf-RTHc
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Box-office France : 30 jours max explose les compteurs, Tenet tombe dans les limbes

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Antoinette chute dans les Cévennes est détrôné par le bande à Fifi, suivi de Liam Neeson et Mads Mikkelsen qui s'invitent à la fête.

Le couvre-feu annoncé récemment a obligé les salles à stopper leurs activités à partir de 21h, dans plusieurs métropoles et l'ensemble de l'Île-de-France. Une décision qui a fait couler beaucoup d'encre, étant donné que les séances du soir sont celles qui rapportent le plus aux carrières des films. Pourtant, avec plus de 1,9 million d'entrées hebdomadaires cette semaine, pour tous les films et pour toutes les séances, la fréquentation des salles de cinéma a connu un véritable regain par rapport à la semaine précédente (1 090 330 entrées). Une augmentation probablement due aux nouveautés de la semaine, mais surtout aux vacances de la Toussaint, qui viennent de démarrer le week-end dernier.

Sans grande surprise, le grand gagnant de la semaine est 30 jours max, la comédie de Tarek Boudali. La bande à fifi, composée de Philippe Lacheau, Julien Arruti ou encore Vanessa Guide, opère un fort démarrage avec 508 815 entrées, pour une distribution à 615 copies. Le film réalise le neuvième meilleur démarrage de 2020, loin derrière le leader Tenet et ses plus de 900 000 entrées, certes. C'est plus précisément le troisième meilleur démarrage pour un film français, en 2020, derrière 10 jours sans maman et De Gaulle, ce qui est loin d'être négligeable.

En deuxième position, on retrouve le film d'animation Les Trolls 2 : Tournée mondiale, qui démarre fort bien aidé par les vacances scolaires. Avec 419 574 entrées pour plus de 637 copies, la comédie d'animation familiale devient donc le onzième meilleur démarrage de l'année, deux places derrière le film de Tarek Boudali, les deux ayant trouvé leurs publics cibles à leurs sorties.

En troisième position, on retrouve The Good Criminal, le thriller d'action avec Liam Neeson, qui a également ses fans en France adorant toujours voir l'acteur casser des gueules à presque 70 ans. Avec 116 387 entrées, pour une distribution à 376 copies, le film opère un démarrage plus qu'honnête, certes loin derrière ceux de 30 jours max et Les Trolls 2, mais c'est quand même notable. Tout comme au box-office domestique, Liam Neeson évince donc Tenet, pour prendre sa place dans le Top 5.

La véritable surprise de la semaine, qui fait plutôt très plaisir, c'est de voir Mads Mikkelsen s'inviter à la fête, avec Drunk de Thomas Vinterberg, qui se retrouve en quatrième position du top, juste derrière Liam Neeson. Avec 114 935 entrées, pour une distribution bien plus maigre que les autres nouveautés de la semaine, à savoir 288 copies, c'est un beau démarrage pour ce film festif, par le réalisateur de Festen et La Chasse. Une ode à la vie qui fait beaucoup de bien dans le contexte actuel (on a beaucoup aimé), qui mérite son joli succès et sa place dans le top 5.

Les quatre premières places du classement ont donc été prises d'assaut par les nouveautés de la semaine, qui rassemblent du monde en salles. Le seul film, qui n'est pas une nouveauté cette semaine, qui reste dans le top 5 pour sa deuxième semaine est Parents d'élèves. Avec 76 637 entrées et une distribution à 465 copies, la comédie avec Vincent Dedienne enregistre une chute de 30% de fréquentation, et cumule 186 885 entrées. Un score correct, mais qui annonce une perte de vitesse progressive pour le long-métrage, qui devrait rapidement quitter le haut du classement.

Au pied du top 5, en sixième position, on retrouve Antoinette dans les Cévennes, qui opère une forte chute, de plus de 35% avec 75 848 entrées pour sa cinquième semaine d'exploitation sur plus de 700 copies. Néanmoins, le film vient de dépasser la barre des 700 000 entrées cette semaine, au bout d'à peine plus d'un mois d'exploitation, ce qui, encore une fois, est tout simplement énorme pour une petite comédie indépendante, qui aura bénéficié d'un sacré bouche-à-oreille, et qui aura su tirer son épingle du jeu en pleine crise sanitaire.

À noter également, la présence, en septième position, du joli western féministe animé de Rémi Chayé, Calamity, Une enfance de Martha Jane Cannary. Le deuxième film d'animation à sortir parmi les nouveautés de la semaine, dont le parterre de salles est beaucoup plus maigre que Les Trolls 2 (250 copies) s'offre un succès modeste, mais notable. Il avait été primé du Cristal du long-métrage, lors de l'édition digitale d'Annecy Online 2020.

Mais l'évènement de la semaine, qu'on ne peut pas taire, c'est sans aucun doute la sortie du top 5 du film de Christopher Nolan, à savoir Tenet. Si le blockbuster vient de dépasser les 2,3 millions d'entrées en France, au bout de deux mois d'exploitation en salles, le film opère une nouvelle perte de vitesse, redescendant à 57 709 entrées, pour une distribution à 524 copies. Un signe qui sonne sûrement le début de la fin pour le film de Nolan.

La semaine prochaine, ce sera au tour de Peninsula, d'Adieu les cons, Petit Vampire, Miss ou encore Poly, de se confronter aux nouveaux mastodontes du podium, que sont la bande à Fifi, les trolls et Liam Neeson. En attendant, malgré les restrictions du couvre-feu, il est plus important que jamais de soutenir les salles et les exploitants. Donc, allons tous au cinéma !


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Cocu
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Top l'épisode 3 de la S3 de Black Mirror 🥰 Sur les hackers et le jeune Alex Lawther
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Quibi : la première victime de la guerre du streaming explose en vol

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Depuis le succès mondial de Netflix, les plateformes déferlent et refaçonnent l’industrie hollywoodienne. Et Quibi s’impose comme leur premier accident industriel.

GAME OVER

Quibi a débarqué dans le monde de la production et diffusion de contenus avec une promesse assez ambitieuse, puisque la plateforme de programmes courts entendait révolutionner la consommation de vidéos. Remarquée grâce à une levée de fonds de 2 milliards de dollars, emmenée par deux dirigeants qui comptent parmi les plus en vue d’Hollywood, l’entreprise voulait proposer un tout nouveau modèle, partiellement en rupture avec ses concurrents.

Pour Meg Whitman et Jeffrey Katzenberg (ancien dirigeant de Dreamworks animation), il semblait vital de rompre avec les formats popularisés au cours du XXe siècle. Pensée pour être exclusivement utilisée sur mobile, Quibi proposait donc uniquement des formats courts, des épisodes d’une dizaine de minutes, conçus pour être consommés durant les différentes étapes de la vie quotidienne, d’une simple pause en passant par les phases de transports.

Mais seulement six mois après son débarquement en grande pompe, l’application vient d’annoncer officiellement qu’elle cessait ses activités et liquidait tous ses biens. On avait beau savoir que le lancement de la firme en avril avait eu des airs de naufrage et que ses premiers mois d’existence s’étaient révélés difficiles, l’entreprise possédait encore un compte en banque fourni de plusieurs centaines de millions de dollars et affichait encore tout récemment sa volonté d’accélérer la production de fictions inédites.

Jusqu’à ce que Jeffrey Katzenberg et Meg Whitman officialisent la fermeture de l’app, dans un communiqué de presse publié il y a quelques heures.

“C’est le cœur terriblement lourd que nous annonçons aujourd’hui la fin de nos activités, alors que nous entamons la vente de nos contenus et de notre technologie.”

FAIRE PASSER LA PILL

C’est donc bien une liquidation totale qui attend l’entreprise. Et pour ceux qui espéreraient encore que Quibi puisse intégrer un autre catalogue ou s’hybrider avec une plateforme existante, les propos des dirigeants ne souffrent aucune ambiguïté.

“Nous n’aurons pas échoué par manque de motivation, nous avons étudié et épuisé toutes les options à notre disposition.”

Comment expliquer ce spectaculaire échec ? A nouveau les dirigeants se montrent assez lucides.

“Peut-être parce que l’idée elle-même n’était pas assez porteuse pour justifier à elle seule un service de streaming indépendant, ou peut-être à cause de notre timing. Malheureusement, nous ne le saurons jamais, mais nous pensons qu’il s’agit d’une combinaison des deux.”

Lancée le 6 avril 2020, Quibi a donc fait face de plein fouet aux conséquences du confinement et de la Covid. Sur le papier, beaucoup de commentateurs ayant expliqué que la sociabilité diminuée jouait en faveur des producteurs de contenus, on aurait pu penser que la situation favoriserait l’entreprise. Sauf que ce concept de divertissement disponible uniquement via smartphone se retrouvait, hors du contexte d’une vie mobile, en concurrence directe avec des plateformes beaucoup plus installées, performantes... et disponibles sur de plus grands écrans.

Un échec qui évoquera forcément celui (relatif) de Black Pills, formidable application devenue maison de production après avoir cessé son activité de plateforme en 2019.

Enfin, Quibi a sans doute souffert de ses programmes eux-mêmes, qui auront eu le plus grand mal à retenir l’attention, ou tout simplement à se distinguer. On ne peut pas dire que Most Dangerous Game ou Survive aient déclenché les passions, pas plus que l'intrigante 50 States of Fright de Sam Raimi.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... d85eWSQNQY
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Cocu a écrit :
ven. 23 oct. 2020 22:02
Top l'épisode 3 de la S3 de Black Mirror 🥰 Sur les hackers et le jeune Alex Lawther
Très bon épisode yes ! Sans oublier la présence de Bronn de GOT :D
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Lyricis Interactive

L'acteur Aaron Taylor-Johnson (saga Kick-Ass, Avengers : L'Ère d'Ultron, Godzilla 2014, TeneT), rejoint le casting de Bullet Train réalisé par David Leitch (John Wick, Atomic Blonde, Deadpool 2, Fast and Furious: Hobbs and Shaw) avec Brad Pitt, Andrew Koji, Joey King (basé sur le roman Maria Beetle de Kotaro Isaka).

Dans le roman, cinq assassins se retrouvent dans un train à grande vitesse de Tokyo à Morioka, avec seulement quelques arrêts entre les deux. Ils découvrent que leurs missions ne sont pas sans rapport les unes avec les autres. La question qui se pose est de savoir qui sortira vivant du train et qu'est-ce qui les attend à la gare du terminale.


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J'adore cet acteur !
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Pale a écrit :
ven. 23 oct. 2020 22:08
Cocu a écrit :
ven. 23 oct. 2020 22:02
Top l'épisode 3 de la S3 de Black Mirror 🥰 Sur les hackers et le jeune Alex Lawther
Très bon épisode yes ! Sans oublier la présence de Bronn de GOT :D
yep, très bon aussi !
Le suivant était aussi sympa, intéressant mais plus gentillet 😁 Celui sur la vie après la mort
Pouet
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Gku
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Ça c'est de la comm faite par des gens vraiment dans leur époque au moins ! :lol:
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La réaction de Merej au trailer de Mank!
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Mes potentiels derniers cinés de l'année :

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Les Croods 2 : une nouvelle ère
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(j'ai des doutes sur son maintien en décembre)
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Comment je suis devenu super-héros
Le Peuple Loup
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Wonder Woman 1984
(idem que pour Free Guy)

Ça et les prochaines sorties sur Netflix (His House, Une ode américaine, Les chroniques de Noël 2, Mank, The Prom et certainement d'autres...), j'espère atteindre au moins les 100 films dans mon top de l'année :D
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A propos de Le Peuple Loup, je découvre seulement cette magnifique bande-annonce :

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Wickaël
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Pale a écrit :
sam. 24 oct. 2020 11:37
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Cocu
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Gku a écrit :
ven. 23 oct. 2020 23:21
:hot: :sol: :saint:
Ta signature c'est Buffy? 😁
Pouet
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Wickaël a écrit :
sam. 24 oct. 2020 12:12
Pale a écrit :
sam. 24 oct. 2020 11:37
Mes potentiels derniers cinés de l'année :

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Ça et les prochaines sorties sur Netflix (His House, Une ode américaine, Les chroniques de Noël 2, Mank, The Prom et certainement d'autres...), j'espère atteindre au moins les 100 films dans mon top de l'année :D
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🤣 pareil! Ah non demain je vais voir les Trolls 2 normalement 😁
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Cocu a écrit :
sam. 24 oct. 2020 13:18
Ah non demain je vais voir les Trolls 2 normalement 😁
Courage ^^ :D
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Zarbon Hayase
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Dany Boon sur Netflix : sa comédie sur le confinement sortira directement sur la plateforme
Sa vendez du rêve il y a pas à dire. :sol: :lol:
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