Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Pig avec Nicolas Cage est plébiscité par la critique.
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Kit
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Localisation : où est né William Wyler

:hello:
bon anniversaire à
Lucienne Legrand 101 ans (actr.)
Paul Verhoeven 83 ans
James Brolin 81 ans (Mondwest, Amityville : La Maison du diable, séries Dr Marcus Welby, Hôtel, Pensacola, Castle)
Richard Branson 71 ans (Virgin)

Happy 60th birthday Elizabeth McGovern (Il était une fois en Amérique, Ragtime, série Downton Abbey)
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Marc Girardelli 58 ans (ski)
Vin Diesel 54 ans
La Grande Sophie 52 ans (chant.)
Titoff 49 ans

joyeux 45ème anniversaire à Elsa Pataky (Saga Fast and Furious) épouse de Chris Hemsworth après avoir été en couple avec Michaël Youn, Adrien Brody, Olivier Martinez
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Mélissa Theuriau 43 ans (journ.) épouse de Jamel Debbouze
Kristen Bell 41 ans (Veronica Mars, Heroes)
Chace Crawford 36 ans (série Gossip Girl)
Nabil Fekir 28 ans (foot)

une pensée pour
Red Skelton (act.)
John Glenn (astr.)
Maria Pacôme (actr.)
Screamin' Jay Hawkins (blues)
Jean Yanne

et pour les disparus un 18 juillet
Jack Hawkins (act.)
André Castelot (écr., journ., scén., frère de l'acteur Jacques Castelot)
Gino Bartali (cycl.)
Henri Salvador
Nelson Mandela
Pierre Sabbagh (télé ORTF)
Vosg'patt de cœur
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NaughtyDog
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Les Olympiades est un nouveau Jacques Audiard qui respire la fraîcheur et un vent de jeunesse. Complètement singulier vis-à-vis du reste de sa filmo, on y suit la vie de 4 jeunes trentenaires au sein du 13e arrondissement de Paris. Camille (Makita Samba) est prof de français, désireux de ne pas s'engager dans des relations de couple et de travailler dans l'immobilier.
Emilie (Lucie Zhang) est asociale, a fait sciences po mais se retrouve à travailler en centre d'appels.
Nora (Noémie Merlant) débarque de Bordeaux pour faire du droit, et va faire la rencontre d'une cam-girl du nom de Amber Sweet (Jenny Beth).
Tout ce beau monde (le casting est absolument parfait) va se croiser, s'aimer, se décevoir, et tenter de trouver leur identité.

Un postulat dont la finalité n'aura rien de surprenant, et on regrettera que le scénario ne comporte pas + d'enjeux dramatiques supplémentaires.
Néanmoins, le film (écrit par Céline Sciamma et Léa Mysius) parvient avec authenticité et douceur à prendre le pouls d'une génération multi-culturelle, diplômée, et de la middle-class, qui se cherche autant humainement qu'intimement et professionnellement.

A ce titre, l'enjeu principal des Les Olympiades est de suivre le cheminement de ces âmes solitaires, qui se mentent tous à eux-mêmes. S'enchaînent donc plusieurs scènes de marivaudage tantôt mordantes (oui le film est drôle), sensuelles ou planantes, afin de retranscrire le spleen existentiel des divers protagonistes.
On se plait à les suivre tenter de construire quelque chose, au rythme de la BO de Rone (très bonne) oscillant entre sonorités électroniques et atmosphériques.

D'entrée de jeu Audiard, aidé de son chef op' Paul Guilhaume, filment les Olympiades, Montsouris ou Tolbiac dans un somptueux noir et blanc rappelant forcément le Manhattan de Woody Allen.
Visuellement c'est évidemment de toute beauté, enchaînant plan aériens voluptueux ou perspectives d'un 13e arrondissement moderne, loin de l'architecture Haussmannienne toujours associée à la capitale.
La volonté d'un décorum multi-culturel également, qui se poursuit avec le choix de casting.
On esquisse par endroits la volonté de traiter des problématiques familiales (tous distants avec leur famille et qui vont là-aussi essayer de renouer le lien) même si le tout reste plus au second plan (comme la perspective de carrière, qui n'est pas tant la finalité du récit non plus).
2-3 scories, pour une belle chronique à la fabrication et à l'interprétation tout simplement exemplaire
Très beau film

4/5

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Avec Tromperie, Desplechin surprend via une mise en scène travaillée, accompagnée d'une photographie douceâtre par Yorick le Saux (habitué de la filmo d'Ozon).
Un soin formel carré pour mettre en scène Philip (un très bon Podalydès dans un registre tout à fait inédit), écrivain et séducteur impliqué dans une relation adultère avec sa jeune muse (une Léa Seydoux qui démontre encore une fois aux détracteurs qu'elle a du talent).
En 12 séquences chapitrées, le spectateur est donc témoin des rencontres de Philip avec toutes les femmes de sa vie (relations passées et présentes) : l'occasion d'aboder avec intelligence un nombre de thèmes varié, allant bien sûr du mariage, des attentes, de l'antisémitisme, du sexisme, du mensonge, de l'envie...
Le tout via des dialogues piquants à la dimension théâtrale souvent assumée.
Car oui Tromperie est très verbeux, et c'est aussi sa principale limite. Si la réalisation globale permet quelques fulgurances de point de vue ou de fading significatif, le montage un peu trop programmatique donne au film un rythme de croisière monocorde empêchant l'irruption de l'émotion.
Plus cérébral et littéraire qu'autre chose donc, tandis que certains segments (ceux n'impliquant pas Léa Seydoux paradoxalement) font office de parenthèses illustratives et un brin inutiles (le rapport à la mort via le personnage d'Emmanuelle Devos demeure intéressant, tout comme le faux procès).

Reste un chouette film par Desplechin qui se renouvelle, porté par un très bon duo d'acteurs

6/10

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Peut-être mon film préféré de cette sélection cannoise (avec le Audiard dont il partage des similitudes thématiques).
10 ans après Oslo, 31 aout et 3 ans après Thelma, Joachim Trier revient avec Julie (en 12 chapitres), à savoir la chronique sur plusieurs années du personnage féminin éponyme.
Julie est une trentenaire indécise et perdue dans la vie, qui se cherche, multiplie les rencontres et les désirs professionnels. Lorsqu'elle commencera à filer le parfait amour avec Aksel, un dessinateur de BD quarantenaire, une rencontre en soirée avec Eivind viendra encore une fois chambouler son existence (à moins que ce soit elle le problème ?).

A travers un canevas basique de comédie romantique, Joachim Trier livre in fine une "dramédie" à la délicatesse et au lyrisme tout simplement délectable. L'occasion (tout comme Fleabag dans un registre plus satirique) de dresser le portrait d'une femme moderne à travers l'ère post-MeToo.
Jamais complaisant ou faussement indigné, le film dresse aussi des portraits masculins nuancés, et universellement applicables.
Drôle, touchant, parfois même audacieux (un segment en animation, un autre utilisant un arrêt temporel sur une musique magnifique d'Ola Flottum), on regrettera peut-être une fin relativement classique (mais lourde de sens sur la possibilité ou non de compatibilité relationnelle de Julie).
Mais si il faut absolument voir ce film pour autre chose que l'intelligence de son écriture, la maitrise de sa mise en scène ou la pertinence de ses propos, c'est indéniablement pour la révélation Renate Reinsve dans le rôle-titre, tout simplement renversante autant dans le drame que la comédie.
Bref on va pas chipoter, c'est très beau et très bon !

8/10
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Wickaël
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Pale a écrit :
sam. 17 juil. 2021 23:04
La même chose pour moi :D Perso je ne prends plus en compte les incohérences de la saga, j'y vais avant tout pour le spectacle et à ce niveau le film assure :D
C'était couillu de tuer le jeune John Connor, et en plus j'ai trouvé les FX pas dégueu du tout. La course poursuite au Mexique envoie du lourd. Beaucoup aimé le personnage de Grace également, un Kyle Reese au féminin et vraiment badass, son premier affrontement contre le Rev-9 à l'usine était excellent. Revoir Linda Hamilton était un vrai plaisir également, bien aimé son look. Quand à Schwarzy, même si son histoire prête à sourire, il est toujours classe en T-800. Bref un bon film d'action/SF qui ne mérite pas sa piètre réputation.

Ce soir je me revois Terminator 2.
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Pale
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Sur le tournage de Flash :

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Natalie Portman sur le tournage de L'Attaque des clones :

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Sur le tournage de Indiana Jones 5 (durant lequel les cascadeurs bossent plus que les acteurs) :

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Gros travail sur les décors d'autant plus que le tournage a lieu en Écosse :D
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Pale
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Je m'attendais à revivre un calvaire à la Tom et Jerry mais il n'en est rien, ce Space Jam - Nouvelle ère explose tout simplement le premier épisode :D Je me suis tapé des barres pendant 2 heures. L'esprit cartoon de la première partie fonctionne à merveille tandis que la seconde partie est stylée de ouf visuellement. Cette suite possède également des millions de clins d’œil, rien à envier à Ready Player One. Du coup la campagne de bashing que subit le film (c'est devenu une tradition, notamment sur IMDB) me fait juste pisser de rire :D
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robinne
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Kit a écrit :
dim. 18 juil. 2021 01:00
:hello:

Happy 60th birthday Elizabeth McGovern (Il était une fois en Amérique, Ragtime, série Downton Abbey)
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joyeux 45ème anniversaire à Elsa Pataky (Saga Fast and Furious) épouse de Chris Hemsworth après avoir été en couple avec Michaël Youn, Adrien Brody, Olivier Martinez
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:hello:
Bons anniversaires à elles :love:
Je ne connaissais pas la 2ème. Elle est française ?
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robinne
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weird

Pale a écrit :
dim. 18 juil. 2021 08:39
Natalie Portman sur le tournage de L'Attaque des clones :

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Elle a l’air de s’être amusée :o
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Perso je ne regarde aucune critique, vraiment. Sans l'aide de personne j'ai par exemple trouvé que WW84 est un des plus mauvais films de l'histoire du cinéma Mondial et je persiste ou que Loki est une très grande série. J'aijeté un petit coup d'oeil sur ce film parce qu'il était sur un site de streaming que je regarde pour les séries et qu'il était dispo via HBO Max j'imagine. Bon perso j'aime pas le basket donc Lebron James ni les toons, alors c'est pas ma came c'est clair. Pour les barres de rire je pense que t'es bon public. Pour Tom et Jerry on se rejoint....voire ma chère Chloé dans un tel navet m(a consterné...Pour Space jam 2 à priori y a de la thune qui a été sortie... Il devrait faire 32 millions de dollars sur le sol US...Et c'est le genre de film qui cartonne en Russie ou au Mexique...
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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robinne a écrit :
dim. 18 juil. 2021 13:10
Pale a écrit :
dim. 18 juil. 2021 08:39
Natalie Portman sur le tournage de L'Attaque des clones :

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Elle a l’air de s’être amusée :o
Un fantastique cachou en tout cas, sans sexisme aucun :o
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Pour Indy 5 James Mangold a prouvé qu'il était tout à afit capable de livrer des produits d'un niveau au dessus de la moyenne...
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BOX OFFICE STORY a écrit :
dim. 18 juil. 2021 13:17
Pour les barres de rire je pense que t'es bon public.
Quand je trouve ça bien fait oui :D

Deux scènes qui m'ont provoqué un fou rire : Quand Grosminet annonce l'arrivée de Michael Jordan mais que c'est Michael B. Jordan qui fait son apparition dans le vestiaire :D Quand Don Cheadle dit "King Kong est un ringard à côté de moi" et que la caméra se focalise ensuite sur King Kong qui croise les bras et tire la tronche :D
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Pale
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Sur Netflix :

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Sans compter que j'ai toujours Comment je suis devenu super-héros, The Water Man et A Classic Horror Story à découvrir.
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Kit
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robinne a écrit :
dim. 18 juil. 2021 13:10
Kit a écrit :
dim. 18 juil. 2021 01:00
:hello:
joyeux 45ème anniversaire à Elsa Pataky (Saga Fast and Furious) épouse de Chris Hemsworth après avoir été en couple avec Michaël Youn, Adrien Brody, Olivier Martinez
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Je ne connaissais pas la 2ème. Elle est française ?
elle est Espagnole d'origine roumaine
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Ce Space Jam 2 devait àla base être produit par Ryan Coogler, et être un vrai film mêlant cartoon et basket

Mais la WB a voulu faire l'anti-RPO, à savoir un truc multi-référentiel marketing pour afficher toutes ses licenses, le tout en prenant un nouveau réal 4 jours avant le tournage (hallucinant).

Et évidemment le résultat est totalement symptomatique...mais pas si catastrophique ceci-dit.

Pour faire simple, ce Space Jam 2 est plutot plaisant quand il se concentre sur le match de basket, l'aspect relationnel entre Lebron et son fils, et l'aspect cartoon (le monde des Tunes, Metropolis, Themyscira...). C'est pas fou non plus, mais au moins ça respecte le postulat de base à destination des plus jeunes.

LE souci est tout le reste,quand on t'assène de gros clins d'oeil à Casablanca, Matrix, Mad Max Fury Road, Training Day...Comme au final l'impression qu'on veut ratisser largesans se poser la question de qui est la cible du film (chose que savait faire le film original,malgré tous ses défauts).

Don Cheadle fait le taf en bad guy, bien que visuellement on ne souhaite pas en faire quoique ce soit d'intéressant à part une version CGI dégueulasse à la fin.

Bref c'est pas la folie, mais pas une daube

2/5
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Pale
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Je découvre seulement Hitch - Expert en séduction et j'ai bien aimé. Pendant 1h30, le film effectue un beau travail d'équilibriste, entre humour (certaines scènes sont hilarantes) et romantisme. Par contre je trouve que les 15-20 dernières minutes sombrent dans la mièvrerie et le sentimentalisme de bas étage. Mais bon j'ai quand même passé un bon moment dans l'ensemble.
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Cocu
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Pale a écrit :
dim. 18 juil. 2021 13:41
Mon programme ciné du week-end prochain :

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Sans compter que j'ai toujours Comment je suis devenu super-héros, The Water Man et A Classic Horror Story à découvrir.
Old tu me diras? :bounce: Kaamelott j'veux rien savoir par contre 😁
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robinne
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weird

Cocu a écrit :
dim. 18 juil. 2021 19:56
Pale a écrit :
dim. 18 juil. 2021 13:41
Mon programme ciné du week-end prochain :

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Sur Netflix :

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Sans compter que j'ai toujours Comment je suis devenu super-héros, The Water Man et A Classic Horror Story à découvrir.
Old tu me diras? :bounce: Kaamelott j'veux rien savoir par contre 😁
Moi, c’est l’inverse ^^
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@robinne tu veux tout savoir? 😁
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weird

Cocu a écrit :
dim. 18 juil. 2021 20:08
@robinne tu veux tout savoir? 😁
Non, il peut en dire un peu sur Kaamelott, mais rien sur Old :p
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Cocu
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Ok 😁 pale faudra utiliser les spoilers 😛
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Cocu a écrit :
dim. 18 juil. 2021 21:10
Ok 😁 pale faudra utiliser les spoilers 😛
Après je ne rentre jamais dans les détails, je donne toujours mes impressions à chaud :D
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Pale
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19 juillet bon anniversaire
Évelyn Séléna 82 ans (vx fr. de Glenn Close, Candice Bergen et Jane Seymour + Meryl Streep, Helen Mirren, Jane Fonda et Carrie Fisher (princesse Leia dans la trilogie de Starwars 1977, Linda Gray dans Dallas)
Ilie Năstase 75 ans (tennis)

joyeux 70ème anniversaire à Abel Ferrara (réal., The King of New York)
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Bruno Choël 67 ans (vx fr. de Ewan McGregor, Johnny Depp, Mark Wahlberg, Jason Bateman, Matthew McConaughey et Greg Kinnear + Joaquin Phoenix, Rob Lowe, Tim Robbins, Eric Bana et Jon Hamm)
Karen Cheryl 66 ans (chant.)
Atom Egoyan 61 ans (réal., Exotica)

joyeux 60ème anniversaire à
Hideo Nakata (réal., Ring)
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Campbell Scott (act., Le choix d'aimer) fils de l'acteur George C. Scott (Patton)
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Anthony Edwards 59 ans (Top Gun, série Urgences)
Sinclair 51 ans (chant.)
Saïd Taghmaoui 48 ans (La haine, Wonder Woman)

joyeux 45ème anniversaire à Benedict Cumberbatch
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Chris Sullivan 41 ans (act.)
Jared Padalecki 39 ans (Gilmore Girls, Supernatural, Walker)

une pensée pour :ouch:
Robert Dalban (act., Les Tontons flingueurs)
Pat Hingle (Pendez-les haut et court, Batman, Batman : Le défi)
Richard Jordan (Une bible et un fusil, L'Âge de cristal, À la poursuite d'Octobre Rouge, série Equalizer)
Benoît Duquesne (journ. tv)

ainsi que pour les disparus un 19 juillet :ouch:
Joe Flynn (act.)
Alain Bombard (biol., traversée de l'Atlantique en solitaire dans un canot de sauvetage)
Gérard Oury
Jack Warden (12 hommes en colère)
Roger Rudel (act., vx fr. de Kirk Douglas)
Cécile Aubry (actr., réal. série Poly, Belle et Sébastien + suites, Le Jeune Fabre)
Jacques Jouanneau (act.)
James Garner (La Grande évasion, Les Jeux de l'amour et de la guerre, 36 heures avant le débarquement, Victor, Victoria, Maverick, Space Cowboys, séries 200 dollars plus les frais, Bret Maverick)
Rutger Hauer (Blade Runner, Ladyhawke)
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:hello:

EL n'a pas trop aimé OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire (2 étoiles) :

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Douze ans après son dernier périple au Brésil dans OSS 117 : Rio ne répond plus, l'espion français le plus sexiste de nos écrans est de retour dans une nouvelle aventure. Si Jean Dujardin est de retour tout comme le scénariste Jean-François Halin, le cinéaste Michel Hazanavicius a laissé les commandes à Nicolas Bedos. Un changement aussi prometteur qu'inquiétant, dont le verdict a sonné durant la cérémonie de clôture du Festival de Cannes 2021. Alors ça vaut quoi ?

BONS BAISERS D'AFRIQUE


Dès les premiers instants de son film, Nicolas Bedos marque les bases avec une scène d'action d'ouverture pleinement bondienne où OSS 117 parvient à s'échapper du joug de ses tortionnaires à coups de poing, de course effrénée et de saut en hélicoptère. L'intention semble donc claire, non pas de faire un James Bond spectaculaire comme les récents films de Daniel Craig, mais bien d'embrasser avec un certain amour et une certaine idée du pastiche les aventures de l'espion 007 dans les années 80, donc son sexisme et racisme également.

En résulte le générique qui suit la scène en question, hommage parodique à la marque de fabrique des films de l'agent britannique qui viendra à la fois rire de son modèle, l'admirer et placer quelques indices ludiques sur le récit attendant le spectateur. Un changement de ton plutôt prometteur après les références plus hitchcockiennes de OSS 117 : Le Caire, nid d'espions et OSS 117 : Rio ne répond plus (très belmondiennes pour celui-ci par ailleurs) qui semblait donc la porte d'entrée à un nouveau type d'OSS.

Et forcément, c'est rapidement le cas. En se déroulant en 1981, à l'aune de l'arrivée de François Mitterrand à la tête de la présidence française, le désormais Giscardien Hubert Bonisseur de la Bath est un peu en bout de course. Et après une entrée d'un sexisme caractéristique du personnage (claquant le cul de trois de ses collaboratrices sans leur consentement avant de lâcher un petit "Me Too", comme un clin d'oeil uchronique) dans les bureaux de la SDECE, OSS 117 se fait finalement recadrer au fur et à mesure de l'avancée du récit.

D'abord rétrograder chez les geeks de la SDECE, car remplacé par plus jeune et fringant que lui, l'emblème misogyne, raciste et homophobe de ses dernières années est présenté comme un has-been. Un choix audacieux de la part de Bedos et Jean-François Halin (déjà scénariste des deux opus précédents) pour mieux remettre le style OSS au coeur des débats actuels.

UN HOMME PLUS À LA HAUTEUR

Ainsi, durant sa première heure, Hubert Bonisseur de la Bath, devenu ici Emile Cousin pour sa nouvelle couverture, est en perdition : sa virilité est mise à l'épreuve (il est incapable de bander), sa forme physique se dissipe (il a pris un sacré coup de vieux et n'est plus aussi athlétique qu'avant) et surtout sa manière d'agir avec les femmes, les noirs... est totalement remise en question. Même s'il tente tant que bien mal de changer (à l'image de son arrivée à l'hôtel africain et ses remarques racistes malgré elles sur le bagagiste), il en est incapable et se fait surtout voler la vedette par son acolyte OSS 1001.

Incarné par Pierre Niney, OSS 1001 est l'opposé même de OSS 117 : moderne, bien sous tout rapport, vif, attirant et respectueux avec les femmes. Bref, il coche toutes les cases du monde "politiquement correct" de 2021 (tel que l'imagine Bedos), largement contesté par la figure polémique de Hubert Bonisseur de la Bath. On croit même, à un moment, que le personnage de Niney prendra la relève dans de possibles futurs opus. Sauf que c'est évidemment le grand questionnement de Bedos à travers ce OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire : le monde veut-il vraiment voir OSS 117 devenir un OSS 1001 ?

Et sa réponse sera claire, nette et précise : il en est hors de question. Par conséquent, s'il présente d'abord au grand jour la beauferie et la ringardise de OSS 117 pour mieux ancrer son histoire dans la bien-pensance dite de ce monde refusant l'esprit séditieux et provocateur du personnage, Nicolas Bedos va finalement tout envoyer balader. Dans un geste assez drôle (même si peu surprenant) et après une grosse moitié, OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire rebascule donc dans ce qui faisait l'identité du personnage.

Sans détour, Nicolas Bedos assène aux spectateurs que, même par les temps qui courent, le politiquement incorrect a toute sa place au cinéma et pour encore longtemps. Quoi que chacun pense, le cinéaste n'en a rien à faire et laissera donc son personnage continuer ses frasques réactionnaires sans le juger au pilori à travers d'autres personnages. Et l'idée était bonne ! C'était un moyen malin de relancer la machine du politiquement incorrect en faisant un pied de nez à ceux qui s'en offusquent, tout en restant clairvoyant sur la situation. Malheureusement, c'est un échec gênant.

AAAAH LA BELLE ÉPOQUE

Car il y a un véritable problème dans ce troisième opus de OSS 117 : la gestion de ce politiquement incorrect. Si les films de Michel Hazanavicius l'étaient pleinement, ils ne glorifiaient jamais le personnage de Hubert Bonisseur de la Bath pour autant. Au contraire, dans sa manière de dépeindre les vannes racistes et sexistes de l'espion français, on sentait que le réalisateur de The Artist avait totalement conscience de l'absurdité du personnage même. De fait, il portait un regard lucide sur OSS 117 et ne l'admirait jamais vraiment.

C'est tout l'opposé de Nicolas Bedos qui finit par donner raison, in fine, à son protagoniste (ce que ne faisaient jamais les deux précédents opus, qui le ridiculisaient). Ici, le politiquement incorrect existe donc dans un seul but : provoquer. L'humour du métrage en est forcément victime.

Exception faite de quelques idées drôles (un Tintin au Congo, un marteau et une faucille, un réveil improbable en charmeur de cobra, une joute en allemand face à un lion, un dialogue Micheline-Emile...), l'ensemble est passablement pénible, rarement amusant et souvent gênant : la grande majorité des blagues voulues irrévérencieuses parvenant à peine à esquisser un sourire.

Quelle tristesse par ailleurs de voir Nicolas Bedos proposer aussi peu de choses visuellement. Après le joli Monsieur & Madame Adelman et surtout le romanesque et bluffant La Belle Epoque, le jeune cinéaste semble éteint. Sans doute aveuglé par sa détermination à clouer le bec des chantres de la bienséance, il n'offre aucun souffle épique à son aventure. Une aventure en elle-même d'une faiblesse ahurissante.

Au-delà même du projet raté de Bedos sur l'idée du politiquement (in)correct, OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire souffre surtout de son très mauvais scénario. C'est bien simple, la mission en Afrique de OSS 117 est un amoncellement de vide. Jamais Nicolas Bedos ne semble s'y intéresser et forcément, le spectateur ne rentre jamais dedans.

Les enjeux sont inexistants (pauvre Fatou N'Diaye), la construction du récit remémore trop le spectre des anciennes aventures (encore une piscine, des espions à ses trousses, une discussion avec un chef d'État qui tourne mal...) et le tout est inévitablement parasité par les vraies raisons de l'existence du film (on en parlait plus haut). Et les rares bonnes idées du récit, comme l'homosexualité refoulée d'OSS (déjà évoquée en filigrane dans Le Caire nid d'espions), n'ont jamais le droit à un traitement digne de ce nom.

Le grand final étonnera sûrement plus d'un spectateur tant il est rushé à la vitesse de la lumière alors même que la mission semblait tout juste commencer à l'écran. Reste à savoir si les suites teasées dans les derniers instants sauront corriger le tir. On ne va pas se mentir, ça n'est pas gagné.

Moins vif, moins drôle, moins inventif... OSS 117 : Alerte rouge en Afrique est inférieur en tout point aux précédents opus, les surpassant dans un seul domaine : le malaise ; Nicolas Bedos ne réussissant jamais à gérer le politiquement incorrect de l'espion avec malice et lucidité.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1626699563
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robinne
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Pale a écrit :
lun. 19 juil. 2021 16:25
:hello:

EL n'a pas trop aimé OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire (2 étoiles) :

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Ah :(

:hello:
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Pale
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robinne a écrit :
lun. 19 juil. 2021 16:30
Ah :(

:hello:
Il me semble que les retours sont moins enthousiastes que pour les deux premiers épisodes.

On verra bien :D
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Space Jam 2 : LeBron James démarre mieux que Michael Jordan au Box Office US

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Le film sorti vendredi outre-Atlantique a mis Black Widow au tapis ce week-end.

Les grands débuts de LeBron James au cinéma sont plutôt réussis. Pas tout à fait un énorme succès, mais avec 32 millions de dollars pour son week-end de lancement aux Etats-Unis, Space Jam 2 prend les commandes du Box Office US.

Surtout dans sa lutte à travers l'histoire avec Michael Jordan, LeBron James peut se targuer d'avoir officiellement réussi un meilleur démarrage que son glorieux aïeul. L'iconique star des Bulls avait encaissé 27 millions de dollars en novembre 1996 (inflation non prise en compte) pour ses premiers jours sur les écrans. Mais c'était dans un parc de 2 650 cinémas, quand Space Jam 2 s'affiche depuis vendredi dans 3 956 salles américaines. Surtout, le long métrage porté par LeBron James a coûté 150 millions de dollars à Warner Bros. soit deux fois plus que le premier volet de Michael Jordan... Sans aucun doute, le Box Office final de Space Jam 2 sera scruté de près. L'original avait terminé sa carrière avec un gain de 250 millions de dollars dans le monde.

En attendant, Une nouvelle Ère se permet quand même de battre Black Widow à plate couture au Box Office US. Le dernier Marvel a vu sa fréquentation chuter de 80% d'un vendredi à l'autre. Spectaculaire recul qui voit Scarlett Johansson récolter 26 millions de dollars supplémentaires aux USA pour un total de 132 millions $ en Amérique du Nord. Des ventes de billets en baisse de 67% sur le week-end marquant officiellement la plus forte chute de l’histoire du MCU pour une deuxième semaine d'exploitation. En comptant le reste du monde, Black Widow compile 264 millions de dollars, laissant à penser que le film terminera loin du milliard. Même s'il faut aussi prendre en compte le facteur Disney Plus - le film est proposé à 30$ en simultanée à sa sortie en salle pour les abonnés américains de la plateforme - encore difficile à quantifier.

On notera enfin sur le podium du week-end du Box Office US le petit score du film d'horreur Escape Game 2 : Le Monde est un piège. Sortie vendredi dernier outre-Atlantique (ce sera le 11 août 2021 en France), la suite totalise 8,8 millions de dollars au Box Office US et 13,3 millions à l'international.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... hgafMqDQl0
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Pale a écrit :
lun. 19 juil. 2021 16:50
robinne a écrit :
lun. 19 juil. 2021 16:30
Ah :(

:hello:
Il me semble que les retours sont moins enthousiastes que pour les deux premiers épisodes.

On verra bien :D
Et Telerama semble être contre le courant : https://www.telerama.fr/festival-de-can ... 928985.php
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robinne a écrit :
lun. 19 juil. 2021 17:24
Pale a écrit :
lun. 19 juil. 2021 16:50
robinne a écrit :
lun. 19 juil. 2021 16:30
Ah :(

:hello:
Il me semble que les retours sont moins enthousiastes que pour les deux premiers épisodes.

On verra bien :D
Et Telerama semble être contre le courant : https://www.telerama.fr/festival-de-can ... 928985.php
Teledrama méfiance :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit :
lun. 19 juil. 2021 17:35
robinne a écrit :
lun. 19 juil. 2021 17:24
Pale a écrit :
lun. 19 juil. 2021 16:50


Il me semble que les retours sont moins enthousiastes que pour les deux premiers épisodes.

On verra bien :D
Et Telerama semble être contre le courant : https://www.telerama.fr/festival-de-can ... 928985.php
Teledrama méfiance :lol:
Je partage ta méfiance :lol:
Apprécierait-il le film juste parce que tous ses confrères ne l'apprécient pas spécialement ? :saint:
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Pig : Nicolas Cage est surpris par les excellentes critiques de son dernier film

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Dans ce long-métrage de Michael Sarnoski au synopsis improbable, Cage incarne un ermite-chasseur de truffes...

Nicolas Cage est à l'affiche du nouveau film de Michael Sarnoski, intitulé Pig, aux côtés d'Alex Wolff. Dans ce long-métrage, il incarne un ermite reclus dans la forêt et chasseur de truffes, accompagné d'un compagnon quelque peu surprenant, puisqu'il s'agit d'un cochon, qui l'aide dans sa quête végétale. Mais quand son copain disparaît, les choses se corsent.

Malgré son spitch assez surprenant, le film a pour l'instant eu de bons retours et des critiques plutôt positives, d'après le site américain The Hollywood Reporter, ce qui n'a pas manqué d'étonner l'acteur de 57 ans. En effet, ces dernières années, ses films n'ont pas eu de retours aussi positifs, "c'est très agréable d'avoir une réponse enthousiaste. C'est un peu surprenant, mais très agréable", a-t-il déclaré au magazine, lors de la première du film à Los Angeles, le 13 juillet. Le film a même atteint 97% de critiques positives sur le site Rotten Tomatoes, dédié aux critiques cinématographiques. L'acteur a même déclaré à quel point il avait eu une bonne relation avec sa co-star Alex Wolff, alors que ce dernier ne souhaitait plus prêter attention aux critiques. Cage lui a déclaré : "Tu devrais regarder celle-là, parce que ça devrait te surprendre." Les deux acteurs partagent de nombreuses scènes et travailler ensemble était pour Cage "la meilleure expérience que j'ai eue : autant sur le plan professionnel que personnel."

Pig peut rappeler à certains le film John Wick, avec Keanu Reeves, dans lequel l'acteur incarnait un ancien tueur à gage repenti, pris de haine quand son chiot est assassiné. Mais Cage, qui semble continuer dans le domaine des films indépendants, n'a pas spécialement vu le lien : "Je ne pouvais pas penser à un film plus éloigné de John Wick que Pig". Il a ajouté : "Je ne sais pas si je retournerai un jour aux spectacles types Jerry Bruckheimer, car je pense qu'il y a comme un culte de peur dans les studios et c'est assez étouffant. Je ne ressens pas ça quand je fais un film indépendant."

Ce qui a beaucoup attiré Cage pour ce film est la relation humaine-animale, qui peut être émouvante pour plus d'une personne. Il a commenté cette amitié surnaturelle en affirmant qu'il avait compris "ce lien profond que nous pouvions avoir avec nos frères et soeurs animaux. Je sais que je compte beaucoup sur mon amitié avec mes chats et je n'ai pas vu beaucoup de films sur ce sujet, sur ces relations entre les humains et leurs amis animaux".

On doit beaucoup à Cage pour la réussite de ce film. D'après l'équipe du tournage, l'acteur est arrivé plus déterminé que jamais, déjà à fond dans son rôle d'homme meurtri, à la recherche de réconfort dans la nature. Le réalisateur a d'ailleurs déclaré à propos de son premier rôle : "C'est fou parce que c'est comme si les gens réalisaient seulement maintenant que "Nic" est un très bon acteur, alors que je pensais que nous en étions tous conscients depuis longtemps. Je sais qu'il fait des rôles un peu pompeux parfois, mais c'est un acteur génial et il l'a toujours été. Je me sens idiot de m'accorder le moindre mérite, mais je suis heureux que les gens le reconnaissent dans ce film".

Pig sortira dans les salles françaises prochainement.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... NeQTl7uQoc
Modifié en dernier par Pale le mar. 20 juil. 2021 17:48, modifié 2 fois.
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ClintReborn
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Et c'est la qu'il remporte son second oscar sur un malentendu :lol: :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Fear Street : et si ça devenait le MCU horrifique de Netflix ?

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Leigh Janiak, la réalisatrice des trois films, a annoncé son intention de créer un MCU version film d'horreur sur Netflix.

En près de 15 ans, la stratégie Marvel a poussé les logiques de productivité et de rentabilité hollywoodienne à leur paroxysme, obligeant tout le monde à s'aligner ou à se coucher. Alterner aventures solos puis aventures collectives sur grand écran et désormais sur le plus petit avec Disney+, c'est ouvrir une connexion directe aux mines du Roi Salomon. Face à une manne aussi facilement exploitable et lassée de voir leurs tentatives de franchise young adult bider, les studios se sont engouffrés dans la brèche.

Dark Universe (enfin ça c'était avant) et F&F-verse chez Universal Pictures, Monsterverse et DCEU chez Warner Bros, Transformers-verse chez Paramount... voire Moi, moche et méchant-verse encore chez Paramount et Madagascar-verse du côté de l'animation, avec les déclinaisons pingouinesques sur grand et petit écran. Et évidemment, ce n'est pas un mastodonte boulimique comme la plateforme Netflix qui va se refuser à une telle logique. Jusque maintenant, elle s'était contentée d'étendre des univers déjà existants (Jurassic World, Resident Evil...), mais un cap a été franchi avec la trilogie Fear Street.

À l'occasion d'un entretien avec IndieWire, Leigh Janiak, réalisatrice des trois volets, s'est exprimée sur la suite à donner à toute la mythologie installée à travers les différents épisodes :

"L'un des aspects les plus excitants de Fear Street, c'est qu'il s'agit d'un univers vaste qui offre beaucoup de possibilités. Une des choses dont nous avons discuté avant d'être engagés était que nous avions le potentiel de créer un Marvel de l'horreur [un univers étendu, ndlr] où vous pouvez retrouver des tueurs de slashers de plein d'ères différentes. L'un des principaux éléments de notre mythologie se base sur le fait que le mal habite Shadyside, ce qui ouvre la porte à plein d'autres possibilités.

Je crois que ma seule envie, c'est que le public l'aime assez pour qu'on puisse aller plus loin, on peut imaginer une autre trilogie, des films solos indépendants, une série, etc. Je ne l'envisage même plus en termes de film ou de série d'ailleurs. C'est ça qui est génial avec Netflix et avec la nature de Fear Street, qui est un hybride entre plein de nouvelles choses. Je suis très enthousiaste sur ce qui pourrait se passer ensuite.

Par exemple, je suis très enthousiaste à l'idée d'un slasher dans les années 50, ce que j'ai assez peu croisé et ce que ça signifierait de l'introduire à une telle période. C'est juste cool d'imaginer ces différentes époques et ce qu'il serait possible de faire, en tant que fan de cinéma d'horreur."


Un discours qui fait chaud au coeur ou froid dans le dos en fonction de votre avis sur la trilogie horrifique Fear Street. Inspirée des romans de R.L. Stine, Fear Street est une anthologie de 17 livres... sur les 150 de l'auteur. De quoi encore fournir du carburant à la plateforme, appâtant encore les ados avec des scènes gores aussi pudiques que les scènes érotiques. Ce futur usinage de téléfilms luxueux produits à la chaîne traduit autant une triste tendance de l'industrie du divertissement qu'une forte envie de pépettes.

Pour l'instant, Netflix n'a pas donné de suite aux propos de la réalisatrice. En attendant, vous pouvez retrouver notre critique de Fear Street - Partie 3 : 1666 qui conclut mollement la trilogie ou celle d'Hérédité qui vient d'arriver sur Amazon Prime Video qui nous avait laissé d'agréables frissons.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626793886
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Old : les premiers avis sur le trip horrifique de M. Night Shyamalan sont tombés

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Après Glass, le réalisateur M. Night Shyamalan est de retour avec Old dont les premiers avis annoncent du malaise horrifique.

Adulé ou décrié, M. Night Shyamalan possède autant de fervents détracteurs que de fervents admirateurs. Après une petite traversée du désert ponctué de succès plus que relatif à la qualité tout aussi inconstante, le réalisateur de Signes semble retrouver un second souffle. Avec le très apprécié Split qui a été suivi de Glass (avec un succès plus modeste), M. Night Shyamalan est de retour sur de meilleurs rails.

Son dernier long métrage en date Old, adapté du roman graphique Château de Sable de Pierre Oscar Levy et Frederik Peeters, s’est déjà donné à voir dans une bande-annonce et expose le retour définitif du cinéaste dans l’étrange horrifique. Mais comme bien souvent avec Shyamalan, Old risque d’être clivant et de recevoir autant d’avis différents que d'entrées au box-office.

Du côté de chez l’Oncle Sam, certains ont déjà eu l’occasion de jeter un coup d’œil à Old lors de l'avant-première mondiale. Quelques avis ont alors surgi des tréfonds de Twitter afin de nous donner un avant-goût de ce qui nous attend, et si on doit retenir l’essentiel c’est que le film s'annonce bien dérangeant. Petite revue de presse.

"Il est temps de vous parler du film Old de M. Night Shyamalan. Old est le meilleur film que Night a fait depuis Incassable. C'est un thriller intense et implacable, réalisé avec une jubilation sadique et une émotion surprenante. C'est difficile à regarder et j'ai adoré chaque seconde de ce film. Critique complète et interview plus tard dans la semaine."

"Old montre le meilleur et le pire des tendances de M. Night Shyamalan. Il y a quelques bonnes idées et la tension tout au long du film est implacable, il se peut que tout ne fonctionne pas, mais vous ne vous ennuierez jamais. L'un des plus gros problèmes de M. Night Shyamalan reste en revanche les dialogues."

"J'ai assisté à une projection anticipée de Old. Il y a du vrai body horror dans ce film, soyez-en excités ou avertis."

"Merci M. Night Shyamalan ! Je n'avais pas eu peur de la plage depuis Les Dents de la mer, et Old m'a mis en mode suspense et stress pendant tout le film. J'ai vraiment apprécié les prémisses et les thèmes du film. Préparez-vous à passer des vacances dérangeantes et loufoques au paradis. Allez le voir."

"M. Night Shyamalan est tellement créatif avec Old. Son travail de caméra est exaltant, avec certaines des techniques cinématographiques les plus audacieuses et agressives que j'ai vues de sa part. Les images sont un peu plus fortes que l'histoire, mais Thomasin McKenzie continue d'impressionner."

"Old est l'un des meilleurs films de M. Night Shyamalan, au même titre que Signes ou Split. Très inspiré par des œuvres comme The Twilight Zone - La Quatrième Dimension. Des acteurs formidables, une réalisation pointue et quelques-uns des meilleurs travails de Mike Gioulakis [le chef op, ndlr]. Troublant, fascinant et émouvant."


Old débarque au cinéma en France le 21 juillet 2021. Pour patienter avant la critique de la rédaction d’Écran Large, vous pouvez toujours retrouver notre critique de Glass ou notre avis sur la filmographie du cinéaste.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626787670
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Du très lourd les bandes-annonces de The Last Duel et Malignant :hot: :hot: :hot:
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Kaamelott : Premier volet - les premières critiques du retour du roi Alexandre Astier sont tombées

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Les fans trépignent d'impatience depuis bien longtemps, mais ça y est, Kaamelott : Premier volet arrive et il y a déjà des avis largement positifs qui rôdent.

Énorme carton à sa sortie sur M6, la série Kaamelott est rapidement devenue un pan à part entière de la culture populaire française. Même les non-initiés ont fini par connaitre certaines des répliques cultes des chevaliers de cette table pas très ronde. Une série qui a propulsé son créateur Alexandre Astier au rang de star (et quasiment de Dieu vivant pour certains).

S’il y a eu des bandes-dessinées, le Roi Arthur et sa troupe de drôles de zigotos vont maintenant passer à l’étape supérieure grâce à un film. Avec Kaamelott : Premier volet, les chevaliers vont entamer une nouvelle quête qui ne fait que commencer. Après des affiches et une bande-annonce, les fans de Kaamelott sont prêts pour retourner auprès du roi après tant d’années d’attente.

Et il y en a certains qui n’ont plus à attendre, car les premières projections très privées ont permis à quelques chanceux de voir le film en avance et de donner leurs avis. Et ce qui est ressort, c’est que le film est très beau, mais surtout très drôle. Revue de presse.

“À ces réussites de mise en scène, de direction d’acteurs, de filmage s’ajoute un ingrédient nouveau, absent sur le petit écran : l’émotion.” Le Figaro

“Alexandre Astier réussit un film aux images splendides, toutes en clair-obscur, un film dont la brochette d’acteurs mythiques offre toutes les nuances du comique, un film dont il maîtrise, comme à son habitude, jusqu’à la bande originale.” Marianne

“Kaamelott - Premier volet tient toutes ses promesses. Alexandre Astier a vraiment su adapter son univers au format du long métrage. Il mélange des éléments propres à satisfaire les fans de la série à des nouveautés conçues pour ceux qui ne la connaissent pas ou peu.” 20 Minutes

“Alexandre Astier s'interroge sur la nature du héros dans une fresque au souffle épique qui mêle fantaisie et heroic fantasy, répliques hilarantes et gravité. Avec un casting époustouflant à la clé.” Télé Loisirs

“Ce long-métrage n'offre qu'un élargissement de la lucarne au format 2.35, sans remettre en question les gimmicks et l'esthétique du show d'origine.” Mad Movies

“Ce sont surtout les fans qui apprécieront les mésaventures de ce premier volet, qui se veut le début d'une trilogie. Pour leur en mettre plein les yeux, Alexandre Astier sort le grand jeu : images soignées, mise en scène fluide, décors et costumes stylisés, effets spéciaux.” Le journal du dimanche

“[...] On rigole parfois très franchement, grâce à des répliques calibrées et à l’abattage intact de certains personnages (Lionnel Astier, toujours immense) et à l'arrivée de sympathiques nouveaux bien adaptés au verbe astierien (dont Clovis Cornillac et Guillaume Gallienne).” Première

“Alexandre Astier persiste dans son hybridation d’humour absurde et de sombre heroic fantasy discrètement politisée, avec force clins d’œil aux initiés. La mise en scène ? (...) il faut reconnaître qu’elle déçoit, sans relief, de même que le montage, expéditif — il faut tout caser… De belles idées, tout de même, l’emportent (...).” Télérama

Le film sort en salles dans l'Hexagone le 21 juillet 2021. En attendant de connaitre l'avis de la rédaction, vous pouvez toujours en découvrir davantage sur la carrière d'Alexandre Astier. Sinon, pour vous mettre dans l'ambiance, on a fait la liste des 15 meilleurs épisodes de la série.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626800398
Modifié en dernier par Pale le mar. 20 juil. 2021 19:20, modifié 1 fois.
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