Tu as avancé un peu dans la série depuis le premier épisode ?
Le Cercle des profileurs disparus
Le créateur de Vikings va faire une série historique sur la Grande Peste
Michael Hirst, le créateur de la série Vikings, ne va pas s'éloigner de la chaîne History, avec une mini-série sur la terrible épidémie de peste à Londres.
Diffusée depuis 2013, la série à succès Vikings qui, au départ, narrait les exploits du légendaire Ragnar Lodbrok, va se conclure au terme d'une sixième saison de 20 épisodes. Si la première partie (de 10 épisodes) a été diffusée fin 2019-début 2020 en France, l'ultime segment se fait désespérément attendre à cause de la pandémie de Covid-19 qui a bousculé la programmation de la chaîne History.
Si les Américains ont eu le plaisir de retrouver Travis Fimmel, l'interprète du célèbre Viking, dans la série de science-fiction Raised by Wolves (qui arrive le 7 décembre sur WarnerTV en France), le créateur Michael Hirst (Les Tudors, Camelot, Elizabeth : l'âge d'or) va également ravir les téléspectateurs en s'attaquant à une nouvelle fiction historique.
Comme l'a relayé Variety, History a commandé The Plague Year, une mini-série dramatique qui se déroulera à Londres en 1665, lorsque la capitale britannique a été foudroyée par une épidémie de peste bubonique dévastatrice, aussi connu comme la Grande Peste de Londres. Par l'intermédiaire de A+E Studios, Hirst enfilera la casquette de producteur exécutif, tandis que Herbert Coleman (Rectify, The Path, The Killing) se chargera de l'écriture du scénario.
Le média a précisé que les épisodes se concentreront sur des Londoniens n'ayant pas pu ou voulu fuir la ville, ainsi que sur leur lutte pour s'adapter à cet environnement régi par de nouvelles règles et trouver un moyen de s'accrocher dans cette période dictée par la peur, la paranoïa et la suspicion.
Cette nouvelle coïncide avec la volonté de A+E Networks (propriétaire de la chaîne), de s'orienter définitivement vers les courtes séries et mini-séries, le président de la programmation Rob Sharenow ayant précisé plus tôt dans l'année que cette stratégie conviendrait mieux à leur public. C'est également un moyen de se détourner des récits trop scénarisés qui, comme Vikings, auraient tendance à s'enliser au film des saisons au risque de perdre les fans en cours de route, comme on l'explique par ici.
On revient également sur cinq moments phares de la série dans le dossier juste là.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... SdvlQ9yCSA
Michael Hirst, le créateur de la série Vikings, ne va pas s'éloigner de la chaîne History, avec une mini-série sur la terrible épidémie de peste à Londres.
Diffusée depuis 2013, la série à succès Vikings qui, au départ, narrait les exploits du légendaire Ragnar Lodbrok, va se conclure au terme d'une sixième saison de 20 épisodes. Si la première partie (de 10 épisodes) a été diffusée fin 2019-début 2020 en France, l'ultime segment se fait désespérément attendre à cause de la pandémie de Covid-19 qui a bousculé la programmation de la chaîne History.
Si les Américains ont eu le plaisir de retrouver Travis Fimmel, l'interprète du célèbre Viking, dans la série de science-fiction Raised by Wolves (qui arrive le 7 décembre sur WarnerTV en France), le créateur Michael Hirst (Les Tudors, Camelot, Elizabeth : l'âge d'or) va également ravir les téléspectateurs en s'attaquant à une nouvelle fiction historique.
Comme l'a relayé Variety, History a commandé The Plague Year, une mini-série dramatique qui se déroulera à Londres en 1665, lorsque la capitale britannique a été foudroyée par une épidémie de peste bubonique dévastatrice, aussi connu comme la Grande Peste de Londres. Par l'intermédiaire de A+E Studios, Hirst enfilera la casquette de producteur exécutif, tandis que Herbert Coleman (Rectify, The Path, The Killing) se chargera de l'écriture du scénario.
Le média a précisé que les épisodes se concentreront sur des Londoniens n'ayant pas pu ou voulu fuir la ville, ainsi que sur leur lutte pour s'adapter à cet environnement régi par de nouvelles règles et trouver un moyen de s'accrocher dans cette période dictée par la peur, la paranoïa et la suspicion.
Cette nouvelle coïncide avec la volonté de A+E Networks (propriétaire de la chaîne), de s'orienter définitivement vers les courtes séries et mini-séries, le président de la programmation Rob Sharenow ayant précisé plus tôt dans l'année que cette stratégie conviendrait mieux à leur public. C'est également un moyen de se détourner des récits trop scénarisés qui, comme Vikings, auraient tendance à s'enliser au film des saisons au risque de perdre les fans en cours de route, comme on l'explique par ici.
On revient également sur cinq moments phares de la série dans le dossier juste là.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... SdvlQ9yCSA
EL n'ai pas aimé Une ode américaine (1,5 étoiles) :
Toujours en quête de récits édifiants et gourmand de performances grimées ou contre-emploi spectaculaires, Hollywood ne pouvait que se jeter sur Hillbilly Elegy, l’autobiographie de J.D. Vance, et son portrait de la famille dysfonctionnelle dont il s’est extrait, en l'adaptant avec Une ode américaine. Une mission confiée à Ron Howard, qui avec Un Homme d'exception ou De l'ombre à la lumière, n’en est pas à sa première adaptation d’histoire “vraie”.
ONCE UPON TIME IN HOLLYPLOUC
Dès ses premiers instants, le récit de l’ascension sociale difficile de Vance et la chronique de sa vie familiale passablement glauque se heurtent à plusieurs tropismes hollywoodiens auxquels Netflix semble avoir laissé totalement libre cours. Les transformations physiques sont une des marottes des Oscars, et on sent bien avec quel appétit la caméra s’attarde sur les peaux grêlées des personnages, les nez couperosés, les cheveux cassants, les épidermes flétris. Une complaisance assez malvenue, qui anéantit les ambitions de réalismes portées par le récit.
Jamais Howard ne trouve la distance pour filmer sa galerie de personnages, qu’il se contente de scruter avec une insistance souvent douloureuse, quand elle ne semble pas motivée par une répulsion assez perverse. Plus proche d’une campagne de sensibilisation aux soins dermatologiques que d’un récit en bonne et due forme, l’ensemble vire petit à petit à une suite de sketchs malaisants, ne cherchant jamais à comprendre ou à donner sens aux vicissitudes de ses protagonistes.
Photographie au classicisme terne, montage alterné terriblement scolaire... la caméra de Ron Howard ne compte guère que sur les performances des acteurs pour nous captiver. Mais il ne suffit pas de jeter au visage un tsunami de morve et de larmes, emballées dans de gros accents qui tâchent, pour raconter la misère ou faire preuve d’empathie. Tout en trémolos et en hystérie, Amy Adams et Glenn Close ne peuvent pas non plus se reposer sur le scénario, qui, à force d’évacuer tout point de vue, transforme le métrage en une sorte de safari social particulièrement déplaisant.
PARTI DE CAMPAGNE
Le rêve américain a toujours placé l’individu et sa capacité d’action en son centre, et c’est ce qu’espérait décrire Une ode américaine, en narrant l’ascension de J.D. (Gabriel Basso) élevé dans un milieu ravagé par la pauvreté et la toxicomanie. Mais, en faisant le choix de ne jamais s’interroger sur la société dans laquelle évoluent les malheureux qu’il regarde comme un amas de ploucs, le film évacue tout questionnement sur leurs actes, leurs échecs ou leur réussite. Ainsi, non seulement le déroulé des évènements est extrêmement attendu, mais la froideur avec laquelle il établit que chacun est strictement responsable de la tournure de son existence a quelque chose de singulièrement cynique.
Un néant intellectuel qui oblige le scénario à tisser des liens de cause à effet grossiers, filmés avec une lourdeur infinie. C’est le cas quand un flashback nous explique que si Bev est une addicte irrécupérable, c’est évidemment parce qu’elle a vu sa propre mère immoler son poivrot de paternel. À force d’enfiler ce genre de perles, insérées dans la narration à coups de pied de biche, Une ode américaine se délite tout à fait, et donne le sentiment de regarder une troupe de riches artistes se déguiser en pauvres, avec l’ambition de nous asséner une grande leçon sur la force de la volonté.
Une ode américaine est disponible sur Netflix depuis le 24 novembre en France
Complaisant et pauvrement raconté, Une ode américaine est un safari social embarrassant où le gratin hollywoodien rivalise de cabotinage.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... U0ICd21atk
Toujours en quête de récits édifiants et gourmand de performances grimées ou contre-emploi spectaculaires, Hollywood ne pouvait que se jeter sur Hillbilly Elegy, l’autobiographie de J.D. Vance, et son portrait de la famille dysfonctionnelle dont il s’est extrait, en l'adaptant avec Une ode américaine. Une mission confiée à Ron Howard, qui avec Un Homme d'exception ou De l'ombre à la lumière, n’en est pas à sa première adaptation d’histoire “vraie”.
ONCE UPON TIME IN HOLLYPLOUC
Dès ses premiers instants, le récit de l’ascension sociale difficile de Vance et la chronique de sa vie familiale passablement glauque se heurtent à plusieurs tropismes hollywoodiens auxquels Netflix semble avoir laissé totalement libre cours. Les transformations physiques sont une des marottes des Oscars, et on sent bien avec quel appétit la caméra s’attarde sur les peaux grêlées des personnages, les nez couperosés, les cheveux cassants, les épidermes flétris. Une complaisance assez malvenue, qui anéantit les ambitions de réalismes portées par le récit.
Jamais Howard ne trouve la distance pour filmer sa galerie de personnages, qu’il se contente de scruter avec une insistance souvent douloureuse, quand elle ne semble pas motivée par une répulsion assez perverse. Plus proche d’une campagne de sensibilisation aux soins dermatologiques que d’un récit en bonne et due forme, l’ensemble vire petit à petit à une suite de sketchs malaisants, ne cherchant jamais à comprendre ou à donner sens aux vicissitudes de ses protagonistes.
Photographie au classicisme terne, montage alterné terriblement scolaire... la caméra de Ron Howard ne compte guère que sur les performances des acteurs pour nous captiver. Mais il ne suffit pas de jeter au visage un tsunami de morve et de larmes, emballées dans de gros accents qui tâchent, pour raconter la misère ou faire preuve d’empathie. Tout en trémolos et en hystérie, Amy Adams et Glenn Close ne peuvent pas non plus se reposer sur le scénario, qui, à force d’évacuer tout point de vue, transforme le métrage en une sorte de safari social particulièrement déplaisant.
PARTI DE CAMPAGNE
Le rêve américain a toujours placé l’individu et sa capacité d’action en son centre, et c’est ce qu’espérait décrire Une ode américaine, en narrant l’ascension de J.D. (Gabriel Basso) élevé dans un milieu ravagé par la pauvreté et la toxicomanie. Mais, en faisant le choix de ne jamais s’interroger sur la société dans laquelle évoluent les malheureux qu’il regarde comme un amas de ploucs, le film évacue tout questionnement sur leurs actes, leurs échecs ou leur réussite. Ainsi, non seulement le déroulé des évènements est extrêmement attendu, mais la froideur avec laquelle il établit que chacun est strictement responsable de la tournure de son existence a quelque chose de singulièrement cynique.
Un néant intellectuel qui oblige le scénario à tisser des liens de cause à effet grossiers, filmés avec une lourdeur infinie. C’est le cas quand un flashback nous explique que si Bev est une addicte irrécupérable, c’est évidemment parce qu’elle a vu sa propre mère immoler son poivrot de paternel. À force d’enfiler ce genre de perles, insérées dans la narration à coups de pied de biche, Une ode américaine se délite tout à fait, et donne le sentiment de regarder une troupe de riches artistes se déguiser en pauvres, avec l’ambition de nous asséner une grande leçon sur la force de la volonté.
Une ode américaine est disponible sur Netflix depuis le 24 novembre en France
Complaisant et pauvrement raconté, Une ode américaine est un safari social embarrassant où le gratin hollywoodien rivalise de cabotinage.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... U0ICd21atk
The Mandalorian : la série Disney+ fait un carton, mais pas assez pour menacer Netflix
La guerre du streaming fait rage et même si Disney+ attire les téléspectateurs en masse avec The Mandalorian, Netflix garde toujours une longueur d'avance.
Ça peut paraître évident, mais on préfère le rappeler quand même : la série Star Wars de Disney+ est un succès record pour la jeune plateforme lancée en 2019. La création de Jon Favreau planchait d'ailleurs sur une troisième saison (peut-être même une quatrième) avant même la diffusion de la deuxième fournée, et des spin-offs pourraient s'intéresser à certains des personnages présents au générique.
En exploitant au maximum l'univers de Lucasfilm, Disney a clairement ses chances dans la guerre du streaming (on en parle ici), même si le dernier classement hebdomadaire du groupe Nielsen, qui suit l'évolution des audiences américaines des principales plateformes, est davantage en faveur de Netflix.
D'après les résultats, calculés en fonction du nombre de minutes regardées, Le Jeu de la dame est sur la première marche du podium avec un total de 1,85 milliard de minutes visionnées pour ses 7 épisodes. Après son record sur Netflix, la mini-série dramatique portée par la brillante Anya Taylor-Joy dépasse ainsi The Mandalorian, qui siège en troisième position avec 1,03 milliard de minutes pour 9 épisodes (ce qui comprend la première saison et le premier épisode de la saison 2).
Pour rester du côté des créations originales, The Haunting of Bly Manor, la série horrifique de Mike Flanagan qui a fait forte impression en octobre dernier sur Netflix, se classe 9e avec 535 millions de minutes regardées pour ses 9 épisodes. Il faut évidemment prendre ces chiffres avec un minimum de recul, étant donné que Deadline, qui a relayé le classement, a précisé qu'ils ne prenaient pas en compte les visionnages sur les appareils mobiles. De même, l'épisode 4 de la saison 2 de The Mandalorian (critique ici) a excité les foules et le reste de la fournée devrait ainsi gonfler ses audiences dans les prochaines semaines.
La dernière fois qu'on a partagé un classement du groupe Nielsen, c'était en octobre dernier et la série The Boys, le carton d'Amazon Prime Video avec des super-héros cinglés, s'était alors positionné devant la création originale Away de Netflix, faisant ainsi de l'ombre au géant avec ses 891 millions de minutes visionnées.
Le classement entier :
1 : Le jeu de la dame sur Netflix (7 épisodes, 1.85 milliard de minutes regardées)
2 : The Office sur Netflix (192 épisodes, 1.05 milliard)
3 : The Mandalorian sur Disney+ (9 épisodes, 1.03 milliard)
4 : Bienvenue à Schitt's Creek sur Netflix (80 épisodes, 963 millions)
5 : Holidate sur Netflix (654 millions)
6 : Grey’s Anatomy sur Netflix (361 épisodes, 624 millions)
7 : Esprits Criminels sur Netflix (277 épisodes, 620 millions)
8 : NCIS sur Netflix (353 épisodes, 552 millions)
9 : The Haunting of Bly Manor sur Netflix (9 épisodes, 535 millions)
10 : Great British Baking Show sur Netflix (63 épisodes, 530 millions)
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... RtDfb7tx9E
La guerre du streaming fait rage et même si Disney+ attire les téléspectateurs en masse avec The Mandalorian, Netflix garde toujours une longueur d'avance.
Ça peut paraître évident, mais on préfère le rappeler quand même : la série Star Wars de Disney+ est un succès record pour la jeune plateforme lancée en 2019. La création de Jon Favreau planchait d'ailleurs sur une troisième saison (peut-être même une quatrième) avant même la diffusion de la deuxième fournée, et des spin-offs pourraient s'intéresser à certains des personnages présents au générique.
En exploitant au maximum l'univers de Lucasfilm, Disney a clairement ses chances dans la guerre du streaming (on en parle ici), même si le dernier classement hebdomadaire du groupe Nielsen, qui suit l'évolution des audiences américaines des principales plateformes, est davantage en faveur de Netflix.
D'après les résultats, calculés en fonction du nombre de minutes regardées, Le Jeu de la dame est sur la première marche du podium avec un total de 1,85 milliard de minutes visionnées pour ses 7 épisodes. Après son record sur Netflix, la mini-série dramatique portée par la brillante Anya Taylor-Joy dépasse ainsi The Mandalorian, qui siège en troisième position avec 1,03 milliard de minutes pour 9 épisodes (ce qui comprend la première saison et le premier épisode de la saison 2).
Pour rester du côté des créations originales, The Haunting of Bly Manor, la série horrifique de Mike Flanagan qui a fait forte impression en octobre dernier sur Netflix, se classe 9e avec 535 millions de minutes regardées pour ses 9 épisodes. Il faut évidemment prendre ces chiffres avec un minimum de recul, étant donné que Deadline, qui a relayé le classement, a précisé qu'ils ne prenaient pas en compte les visionnages sur les appareils mobiles. De même, l'épisode 4 de la saison 2 de The Mandalorian (critique ici) a excité les foules et le reste de la fournée devrait ainsi gonfler ses audiences dans les prochaines semaines.
La dernière fois qu'on a partagé un classement du groupe Nielsen, c'était en octobre dernier et la série The Boys, le carton d'Amazon Prime Video avec des super-héros cinglés, s'était alors positionné devant la création originale Away de Netflix, faisant ainsi de l'ombre au géant avec ses 891 millions de minutes visionnées.
Le classement entier :
1 : Le jeu de la dame sur Netflix (7 épisodes, 1.85 milliard de minutes regardées)
2 : The Office sur Netflix (192 épisodes, 1.05 milliard)
3 : The Mandalorian sur Disney+ (9 épisodes, 1.03 milliard)
4 : Bienvenue à Schitt's Creek sur Netflix (80 épisodes, 963 millions)
5 : Holidate sur Netflix (654 millions)
6 : Grey’s Anatomy sur Netflix (361 épisodes, 624 millions)
7 : Esprits Criminels sur Netflix (277 épisodes, 620 millions)
8 : NCIS sur Netflix (353 épisodes, 552 millions)
9 : The Haunting of Bly Manor sur Netflix (9 épisodes, 535 millions)
10 : Great British Baking Show sur Netflix (63 épisodes, 530 millions)
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... RtDfb7tx9E
Wonder Woman 1984, Sacrées sorcières... quels films à voir après le déconfinement ?
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 92suGVkWlI
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BOX OFFICE STORY
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Pour faire encore plus impressionnant le Jeu de la dame a été regardé 110 milliards de secondes soit 1.10 billions de dixièmes de secondes ou 11 billions de centièmes de secondes ou 111 billions de millièmes de secondes. Ebouriffant !
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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ClintReborn
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Cela m'attire pas du tout cette "ode américaine" autant regarder les documentaires sociaux sur le sujet ce qui est déjà complètement déprimant... Il y a un moment ou faire dans le misérabilisme contemporain n'apporte plus rien a moins d'en sortir une histoire extraordinaire 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Peter Dinklage sera le héros du reboot de Toxic Avenger
Le héros parodique de Lloyd Kaufman et Michael Herz va revenir sur les écrans.
Selon le site Deadline, le studio Legendary est sur le point de faire renaître le héros de Lloyd Kaufman et Michael Herz, Toxic Avenger, créé en 1985, dans le film éponyme. De son vrai nom, Melvin Junko, Toxic Avenger est en fait un technicien de surface, souffre-douleur de la bande à Bozo, qui suite à une embuscade destinée à l'humilier, tombe dans un fût radioactif qui le transforme en un monstre hideux et surpuissant. Il deviendra justicier sous le surnom de Toxic Avenger.
Le film, donna lieu à trois suites, toujours réalisées par Lloyd Kaufman et Michael Herz (plus une comédie musicale, des dessins animés et des comics Marvel). Une quatrième était en préparation il y a six ans, puis il y a deux ans, mais sans voir le jour.
Aujourd’hui, c’est donc non plus une suite qui est prévue mais un total reboot qui remettra au gout du jour l’histoire originelle avec Macon Blair (qui vient de réaliser pour Netflix I Don’t Feel at Home in This World Anymore) derrière la caméra et Lloyd Kaufman,ainsi que Michael Herz à la co-production.
L’ex-héros de la série Game of Thrones, Peter Dinklage, est en passe de reprendre le rôle-titre. Pour le moment on ne sait quand est prévu le tournage et surtout quel sera le nouveau look de ce Toxic Avenger nouvelle génération.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... ErzWNu38n4
Le héros parodique de Lloyd Kaufman et Michael Herz va revenir sur les écrans.
Selon le site Deadline, le studio Legendary est sur le point de faire renaître le héros de Lloyd Kaufman et Michael Herz, Toxic Avenger, créé en 1985, dans le film éponyme. De son vrai nom, Melvin Junko, Toxic Avenger est en fait un technicien de surface, souffre-douleur de la bande à Bozo, qui suite à une embuscade destinée à l'humilier, tombe dans un fût radioactif qui le transforme en un monstre hideux et surpuissant. Il deviendra justicier sous le surnom de Toxic Avenger.
Le film, donna lieu à trois suites, toujours réalisées par Lloyd Kaufman et Michael Herz (plus une comédie musicale, des dessins animés et des comics Marvel). Une quatrième était en préparation il y a six ans, puis il y a deux ans, mais sans voir le jour.
Aujourd’hui, c’est donc non plus une suite qui est prévue mais un total reboot qui remettra au gout du jour l’histoire originelle avec Macon Blair (qui vient de réaliser pour Netflix I Don’t Feel at Home in This World Anymore) derrière la caméra et Lloyd Kaufman,ainsi que Michael Herz à la co-production.
L’ex-héros de la série Game of Thrones, Peter Dinklage, est en passe de reprendre le rôle-titre. Pour le moment on ne sait quand est prévu le tournage et surtout quel sera le nouveau look de ce Toxic Avenger nouvelle génération.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... ErzWNu38n4
Aquaman 2 : 1,5 million de signatures pour la pétition contre Amber Heard
De nombreux fans veulent que l'actrice subisse le même sort que son Johnny Depp.
La pétition lancée par une fan de Johnny Depp, Jeanne Larson, contre la présence d’Amber Heard dans le film Aquaman 2 remporte pas mal d’adhésions, comme le rapporte Deadline.
Lors de son lancement, en février dernier, la pétition avait déjà eu un certain succès, mais à présent elle a atteint un nouveau record en franchissant le million et demi de signatures. Sa créatrice a justifié son geste par le fait que, selon elle, Amber Heard est une "agresseuse domestique connue et avérée", prenant ainsi parti pour son ex-mari, Johnny Depp, dans le conflit qui oppose les deux acteurs. "Les hommes sont victimes de violence domestique, tout comme les femmes. Cela doit être reconnu et des mesures doivent être prises pour empêcher qu'un agresseur connu ne soit célébré dans l'industrie du divertissement".
Or, on le sait, ce procès a été perdu par la star de Pirates des Caraïbes. En conséquence, Depp a été écarté par la Warner Bros. de l’autre franchise dont il était l’un des héros : Les Animaux fantastiques.
A l’annonce de son remplacement, la pétition de Jeanne Larson a fait un bond spectaculaire, dépassant les 1,5 million de signatures. Et elle progresse d'heure en heure. Son but étant d'atteindre les 3 millions de signatures...
Amber Heard a récemment confirmé elle-même sa présence dans Aquaman 2 (normalement réalisé par James Wan, comme le premier opus). En revanche, la date du début du tournage se fait attendre.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... AJN3HzT9ZQ
De nombreux fans veulent que l'actrice subisse le même sort que son Johnny Depp.
La pétition lancée par une fan de Johnny Depp, Jeanne Larson, contre la présence d’Amber Heard dans le film Aquaman 2 remporte pas mal d’adhésions, comme le rapporte Deadline.
Lors de son lancement, en février dernier, la pétition avait déjà eu un certain succès, mais à présent elle a atteint un nouveau record en franchissant le million et demi de signatures. Sa créatrice a justifié son geste par le fait que, selon elle, Amber Heard est une "agresseuse domestique connue et avérée", prenant ainsi parti pour son ex-mari, Johnny Depp, dans le conflit qui oppose les deux acteurs. "Les hommes sont victimes de violence domestique, tout comme les femmes. Cela doit être reconnu et des mesures doivent être prises pour empêcher qu'un agresseur connu ne soit célébré dans l'industrie du divertissement".
Or, on le sait, ce procès a été perdu par la star de Pirates des Caraïbes. En conséquence, Depp a été écarté par la Warner Bros. de l’autre franchise dont il était l’un des héros : Les Animaux fantastiques.
A l’annonce de son remplacement, la pétition de Jeanne Larson a fait un bond spectaculaire, dépassant les 1,5 million de signatures. Et elle progresse d'heure en heure. Son but étant d'atteindre les 3 millions de signatures...
Amber Heard a récemment confirmé elle-même sa présence dans Aquaman 2 (normalement réalisé par James Wan, comme le premier opus). En revanche, la date du début du tournage se fait attendre.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... AJN3HzT9ZQ
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ClintReborn
- Messages : 4018
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
Signé !
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Amber :Pale a écrit : ↑mar. 1 déc. 2020 16:21Aquaman 2 : 1,5 million de signatures pour la pétition contre Amber Heard
De nombreux fans veulent que l'actrice subisse le même sort que son Johnny Depp.
La pétition lancée par une fan de Johnny Depp, Jeanne Larson, contre la présence d’Amber Heard dans le film Aquaman 2 remporte pas mal d’adhésions, comme le rapporte Deadline.
Lors de son lancement, en février dernier, la pétition avait déjà eu un certain succès, mais à présent elle a atteint un nouveau record en franchissant le million et demi de signatures. Sa créatrice a justifié son geste par le fait que, selon elle, Amber Heard est une "agresseuse domestique connue et avérée", prenant ainsi parti pour son ex-mari, Johnny Depp, dans le conflit qui oppose les deux acteurs. "Les hommes sont victimes de violence domestique, tout comme les femmes. Cela doit être reconnu et des mesures doivent être prises pour empêcher qu'un agresseur connu ne soit célébré dans l'industrie du divertissement".
Or, on le sait, ce procès a été perdu par la star de Pirates des Caraïbes. En conséquence, Depp a été écarté par la Warner Bros. de l’autre franchise dont il était l’un des héros : Les Animaux fantastiques.
A l’annonce de son remplacement, la pétition de Jeanne Larson a fait un bond spectaculaire, dépassant les 1,5 million de signatures. Et elle progresse d'heure en heure. Son but étant d'atteindre les 3 millions de signatures...
Amber Heard a récemment confirmé elle-même sa présence dans Aquaman 2 (normalement réalisé par James Wan, comme le premier opus). En revanche, la date du début du tournage se fait attendre.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... AJN3HzT9ZQ
une nouvelle alerte Amber ?
Heard :
les signataires seront-ils entendus
Vosg'patt de cœur
J'ai vu 2 épisodes de plus
Un peu moins loufoques que le premier (il n'y a plus la surprise).J'avance à mon rythme. A voir sur la longueur.
S'il y a trop de références, j'ai peur de passer à côté
Sacré score
EL a détesté Ava (1 étoile) :
Jessica Chastain veut prouver qu'elle a les épaules pour être une héroïne dure à cuire, capable de courir, taper, flinguer, porter avec fierté du faux sang et de sales perruques. Et comme on est jamais plus mal servi que par soi-même, la talentueuse actrice a lancé l'initiative comme productrice, avec Ava. Dommage : c'est une catastrophe totale, dans laquelle elle a embarqué John Malkovich, Colin Farrell, Geena Davis, Joan Chen ou encore le réalisateur Tate Taylor.
AVA-RIÉ
Ava est une tueuse à gages, qui enchaîne les perruques et les assassinats. Ava a l'air méchante, mais il y a quelqu'un derrière le masque de fond de teint. Elle a ainsi pris l'habitude de demander à chacune de ses victimes de se confesser avant de passer l'arme à gauche, car Ava cherche un sens à ses missions.
Ava a aussi des problèmes de famille, avec un père qu'elle a un peu retrouvé dans son mentor, une mère encore plus maquillée qu'elle, et une sœur chanteuse qui va se marier avec son ex joué par Common. Elle a aussi des problèmes avec un boss à la moustache suspecte, et en plus elle est alcoolique.
Ava, c'est le bingo du grotesque, le kamoulox de la dramaturgie pour les nuls, comme si Luc Besson essayait d'écrire un crossover entre Grey's Anatomy et NCIS, avec Jessica Chastain dans sa meilleure imitation de Milla Jovovich. Ava, c'est le pire du pire dans la grande et sinistre famille des films d'action féminins bêtement pensés. Les acteurs ont les yeux à peine ouverts, et c'est probablement la même chose pour ceux qui ont chorégraphié l'action. Ça n'a ni le style outrancier d'Atomic Blonde, ni la folie amusante d'Alias, ni la molle efficacité de Salt, mais ça rivalise avec des joyaux de gêne comme Colombiana ou Peppermint. Et sur l'échelle de Besson, c'est plus Anna, ce navet avec une mannequin en John Weak, que Nikita.
SPY LAME
Le néant d'Ava, c'est d'abord celui d'une intrigue et de personnages qui semblent tous être des cadavres sortis du congélateur d'une deuxième partie de TF1. Le mentor paternel, le traître qui pue l'embrouille derrière sa moustache, l'espèce de mère maquerelle du poker, la famille qui ne connaît pas la vérité sur Ava... tout y est, jusqu'au méchant général d'Arabie saoudite et au vilain business man du FMI. Ce n'est pas un scénario, mais un assemblage de confettis sortis de la poubelle d'un studio, qui avait jeté une suite de Taken et un reboot de la série Nikita.
Le projet semble ainsi avoir été entièrement pensé à l'envers. Besoin d'une héroïne badass ? Ce sera une surdouée passée par l'armée, et devenue tueuse increvable. D'un conflit intime ? Elle sera une ancienne alcoolique, et c'est dur. D'une vie personnelle ? Elle aura des rapports compliqués avec sa mère et sa sœur, avec un secret lié à son père. D'une touche de féminité ? Elle est encore amoureuse de son ex.
L'action et le suspense sont à la hauteur du reste, c'est-à-dire plus bas que terre. C'est donc une énième histoire de personnage trahi, et obligé de faire route solo pour nettoyer un rang hiérarchique. Si Tom Cruise s'en sort depuis 20 ans avec ce refrain dans Mission : Impossible, c'est parce qu'il met toute l'énergie ailleurs, dans les cascades et l'adrénaline. Inutile d'avoir le moindre espoir de ce côté.
Décors insipides entre rues mouillées et intérieurs semi-chic, chorégraphies ordinaires de baston, découpage dégueulasse qui n'en finit plus de hacher les mouvements : l'ennui est étalé à l'écran comme le faux sang sur la tronche des acteurs surpayés. Le réalisateur Tate Taylor n'a aucune idée de quoi filmer ou montrer, ce qui amène à des fusillades totalement insensés, et finalement à une fantastique "course-poursuite" de boiteux, qui boucle merveilleusement ce cirque désolant.
JESSIC-ARRÊTE
Que se passe t-il donc avec Jessica Chastain ? Hier, c'était la formidable actrice de The Tree of Life, Take Shelter, Zero Dark Thirty ou encore A Most Violent Year. Aujourd'hui, c'est l'actrice et productrice d'Ava et 355 (censé sortir en janvier mais décalé à 2022), deux films d'action ostensiblement girl power, qui semblent répondre de la pire des manières à la question du féminisme made in Hollywood. Elle qui avait commencé au royaume des dieux, se retrouve désormais dans la flaque de boue où coulent les DTV avec Scott Adkins, Noomi Rapace et Olga Kurylenko.
En réalité, Ava semble être le bébé difforme d'une manœuvre de Terminatorisation enclenchée par l'actrice depuis quelques années, avec une volonté de s'ériger en symbole de femme forte absolu. Comme un bingo débilos, Jessica Chastain semble s'amuser avec les pires clichés du genre, entre la force intellectuelle (Crimson Peak, Miss Sloane, son rôle coupé dans Ma vie avec John F. Donovan) et la force physique (Le Chasseur et la Reine des glaces, X-Men : Dark Phoenix), à cheval entre les studios et le circuit alternatif de production. La logique derrière est bienvenue pour une artiste féministe si engagée. Le résultat l'est beaucoup moins, avec des rôles de plus en plus froids et mécaniques, où la théorie l'emporte sur le reste.
Mais Ava marque un tournant à tous les niveaux. Déjà parce que c'est le premier essai de sa société de production Freckle Films (le deuxième est 355). C'est donc le film du contrôle absolu, où Jessica Chastain a choisi toute l'équipe ; notamment le réalisateur et scénariste Matthew Newton, connu pour des faits de violence domestique, si bien qu'elle l'a vite mis à la porte pour engager Tate Taylor (La Couleur des sentiments). C'est un projet conçu sans aucune autre vision que celle d'un véhicule pour l'actrice, et sans personne pour apporter une âme.
Mais c'est surtout le film du vide ultime, où il n'existe rien d'autre que Jessica Chastain, l'actrice, la star, la force brute, à l'écran comme en coulisses. Autour d'elle, c'est le néant. Peu importe son talent, tout le monde boit la tasse dans un tel naufrage. Et il suffit de revoir Piégée de Steven Soderbergh, avec Gina Carano, qui raconte à peu près la même histoire, pour voir ce qu'il manque à Ava : un peu d'intelligence, de partis pris, et de point de vue. Du cinéma, en somme.
Au bingo de la connerie, Ava se place au panthéon des super-navets, entre hommage à Luc Besson et symptôme du pire de Hollywood. Une bien laide catastrophe, dégoulinante et vilaine, où Jessica Chastain semble plus qu'égarée.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 9gEBj-0m5k
Jessica Chastain veut prouver qu'elle a les épaules pour être une héroïne dure à cuire, capable de courir, taper, flinguer, porter avec fierté du faux sang et de sales perruques. Et comme on est jamais plus mal servi que par soi-même, la talentueuse actrice a lancé l'initiative comme productrice, avec Ava. Dommage : c'est une catastrophe totale, dans laquelle elle a embarqué John Malkovich, Colin Farrell, Geena Davis, Joan Chen ou encore le réalisateur Tate Taylor.
AVA-RIÉ
Ava est une tueuse à gages, qui enchaîne les perruques et les assassinats. Ava a l'air méchante, mais il y a quelqu'un derrière le masque de fond de teint. Elle a ainsi pris l'habitude de demander à chacune de ses victimes de se confesser avant de passer l'arme à gauche, car Ava cherche un sens à ses missions.
Ava a aussi des problèmes de famille, avec un père qu'elle a un peu retrouvé dans son mentor, une mère encore plus maquillée qu'elle, et une sœur chanteuse qui va se marier avec son ex joué par Common. Elle a aussi des problèmes avec un boss à la moustache suspecte, et en plus elle est alcoolique.
Ava, c'est le bingo du grotesque, le kamoulox de la dramaturgie pour les nuls, comme si Luc Besson essayait d'écrire un crossover entre Grey's Anatomy et NCIS, avec Jessica Chastain dans sa meilleure imitation de Milla Jovovich. Ava, c'est le pire du pire dans la grande et sinistre famille des films d'action féminins bêtement pensés. Les acteurs ont les yeux à peine ouverts, et c'est probablement la même chose pour ceux qui ont chorégraphié l'action. Ça n'a ni le style outrancier d'Atomic Blonde, ni la folie amusante d'Alias, ni la molle efficacité de Salt, mais ça rivalise avec des joyaux de gêne comme Colombiana ou Peppermint. Et sur l'échelle de Besson, c'est plus Anna, ce navet avec une mannequin en John Weak, que Nikita.
SPY LAME
Le néant d'Ava, c'est d'abord celui d'une intrigue et de personnages qui semblent tous être des cadavres sortis du congélateur d'une deuxième partie de TF1. Le mentor paternel, le traître qui pue l'embrouille derrière sa moustache, l'espèce de mère maquerelle du poker, la famille qui ne connaît pas la vérité sur Ava... tout y est, jusqu'au méchant général d'Arabie saoudite et au vilain business man du FMI. Ce n'est pas un scénario, mais un assemblage de confettis sortis de la poubelle d'un studio, qui avait jeté une suite de Taken et un reboot de la série Nikita.
Le projet semble ainsi avoir été entièrement pensé à l'envers. Besoin d'une héroïne badass ? Ce sera une surdouée passée par l'armée, et devenue tueuse increvable. D'un conflit intime ? Elle sera une ancienne alcoolique, et c'est dur. D'une vie personnelle ? Elle aura des rapports compliqués avec sa mère et sa sœur, avec un secret lié à son père. D'une touche de féminité ? Elle est encore amoureuse de son ex.
L'action et le suspense sont à la hauteur du reste, c'est-à-dire plus bas que terre. C'est donc une énième histoire de personnage trahi, et obligé de faire route solo pour nettoyer un rang hiérarchique. Si Tom Cruise s'en sort depuis 20 ans avec ce refrain dans Mission : Impossible, c'est parce qu'il met toute l'énergie ailleurs, dans les cascades et l'adrénaline. Inutile d'avoir le moindre espoir de ce côté.
Décors insipides entre rues mouillées et intérieurs semi-chic, chorégraphies ordinaires de baston, découpage dégueulasse qui n'en finit plus de hacher les mouvements : l'ennui est étalé à l'écran comme le faux sang sur la tronche des acteurs surpayés. Le réalisateur Tate Taylor n'a aucune idée de quoi filmer ou montrer, ce qui amène à des fusillades totalement insensés, et finalement à une fantastique "course-poursuite" de boiteux, qui boucle merveilleusement ce cirque désolant.
JESSIC-ARRÊTE
Que se passe t-il donc avec Jessica Chastain ? Hier, c'était la formidable actrice de The Tree of Life, Take Shelter, Zero Dark Thirty ou encore A Most Violent Year. Aujourd'hui, c'est l'actrice et productrice d'Ava et 355 (censé sortir en janvier mais décalé à 2022), deux films d'action ostensiblement girl power, qui semblent répondre de la pire des manières à la question du féminisme made in Hollywood. Elle qui avait commencé au royaume des dieux, se retrouve désormais dans la flaque de boue où coulent les DTV avec Scott Adkins, Noomi Rapace et Olga Kurylenko.
En réalité, Ava semble être le bébé difforme d'une manœuvre de Terminatorisation enclenchée par l'actrice depuis quelques années, avec une volonté de s'ériger en symbole de femme forte absolu. Comme un bingo débilos, Jessica Chastain semble s'amuser avec les pires clichés du genre, entre la force intellectuelle (Crimson Peak, Miss Sloane, son rôle coupé dans Ma vie avec John F. Donovan) et la force physique (Le Chasseur et la Reine des glaces, X-Men : Dark Phoenix), à cheval entre les studios et le circuit alternatif de production. La logique derrière est bienvenue pour une artiste féministe si engagée. Le résultat l'est beaucoup moins, avec des rôles de plus en plus froids et mécaniques, où la théorie l'emporte sur le reste.
Mais Ava marque un tournant à tous les niveaux. Déjà parce que c'est le premier essai de sa société de production Freckle Films (le deuxième est 355). C'est donc le film du contrôle absolu, où Jessica Chastain a choisi toute l'équipe ; notamment le réalisateur et scénariste Matthew Newton, connu pour des faits de violence domestique, si bien qu'elle l'a vite mis à la porte pour engager Tate Taylor (La Couleur des sentiments). C'est un projet conçu sans aucune autre vision que celle d'un véhicule pour l'actrice, et sans personne pour apporter une âme.
Mais c'est surtout le film du vide ultime, où il n'existe rien d'autre que Jessica Chastain, l'actrice, la star, la force brute, à l'écran comme en coulisses. Autour d'elle, c'est le néant. Peu importe son talent, tout le monde boit la tasse dans un tel naufrage. Et il suffit de revoir Piégée de Steven Soderbergh, avec Gina Carano, qui raconte à peu près la même histoire, pour voir ce qu'il manque à Ava : un peu d'intelligence, de partis pris, et de point de vue. Du cinéma, en somme.
Au bingo de la connerie, Ava se place au panthéon des super-navets, entre hommage à Luc Besson et symptôme du pire de Hollywood. Une bien laide catastrophe, dégoulinante et vilaine, où Jessica Chastain semble plus qu'égarée.
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c'était surtout pour le jeu de mot, j'avais été surpris qu'en mettant Heard dans le traducteur deepl.com d'obtenir entendu
Vosg'patt de cœur
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ClintReborn
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Malkovich cela fait aussi un moment qu'il s'embarque en alternance dans des projets foireux 
Il apparait dans quantité de projets en second ou premier rôle mais la qualité est rarement présente
Il apparait dans quantité de projets en second ou premier rôle mais la qualité est rarement présente Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Il s'y passe quoi déjà ?
@robinne je préfère, pour le jeu d'acteur, les jeux de mots, et puis ça m'entraine à reconnaître un peu
Pouet
La bande-annonce est sortie mais elle est exagérément révélatrice, je ne l'ai pas regardé jusqu'au bout
Il applique la méthode De NiroClintReborn a écrit : ↑mar. 1 déc. 2020 21:26Malkovich cela fait aussi un moment qu'il s'embarque en alternance dans des projets foireux
oui, pas mal, mais j’ai préféré le 7 (48h pour prouver que le voleur est le bon).
Bonne habitude.
Je fais pareil
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ClintReborn
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La chaleur monte sur ce topic Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Malheureusement, oui
C'est un trouble psychologique de l'identité très impactant aux seins des forums et réseaux sociaux.
Allez, c'est parti, je me penche sur une thèse de 100 pages.
"Le plus important est toujours de se faire rire soi-même." bewyder
Bah, pour savoir, demandons l'heure !
@Batman
@Superman
@Catwoman
Quelle heure est-il ?
"Le plus important est toujours de se faire rire soi-même." bewyder
EL n'a pas aimé The Walking Dead : World Beyond (1 étoile) :
Tout le fiel déversé par cette critique ne saurait rendre justice à l'abyssal ennui qu'inspire cette fausse série pour ados aussi léthargique et fauchée qu'obstinée.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... nmiOv65muI
Tout le fiel déversé par cette critique ne saurait rendre justice à l'abyssal ennui qu'inspire cette fausse série pour ados aussi léthargique et fauchée qu'obstinée.
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HBO Max : Warner envisage de sortir Mortal Kombat et d'autres films directement sur la plateforme
Alors que le blockbuster Godzilla vs. Kong pourrait atterrir sur HBO Max, la Warner pourrait bien réserver le même sort au prochain Mortal Kombat.
Ce genre d'annonce n'a presque plus rien d'étonnant depuis qu'on a appris que la MGM avait sérieusement songé à vendre Mourir peut attendre, le dernier James Bond de Daniel Craig, à une plateforme de streaming comme Netflix, Amazon Prime Video ou Apple TV+, avant que la somme pharaonique de 600 millions mette fin à ces négociations lunaires.
Il y a quelques jours de ça, c'était au tour de Godzilla vs. Kong, le prochain opus du MonsterVerse, de faire l'objet de rumeur concernant une sortie numérique. Le géant au N rouge aurait ainsi posé 200 millions sur la table, avant que la Warner (qui possède 25% de parts et contrôle les conditions de sortie du film), gèle les discussions dans l'optique de gonfler un peu plus le catalogue de HBO Max sans mettre la main au porte-monnaie, pour doper ses abonnements et enfin se faire une place dans la guerre du streaming qui fait rage.
Et d'après un récent rapport de Variety, le studio serait en train de peser le pour et le contre d'une sortie similaire pour d'autres productions, comme The Little Things, le thriller criminel avec Denzel Washington, le remake de Tom et Jerry ou encore le reboot de Mortal Kombat signé Simon McQuoid. Il serait alors question d'une sortie en simultané sur la plateforme et dans les salles de cinéma en mesure d'accueillir en toute sécurité ses spectateurs, à l'instar du modèle établi par Wonder Woman 1984.
Aucune mention d'une sortie en Premium Video n'a été faite, mais le site précise qu'un autre report courant 2021 était aussi envisageable. Censé débarquer le 17 février 2021 (le 15 janvier à domicile), le film n'a toujours pas diffusé d'images promotionnelles ni de bande-annonce, ce qui peut donc suggérer qu'il sera effectivement reporté. Reste à savoir quand compte tenu de l'embouteillage de l'année prochaine.
Après l'échec de Tenet pour réanimer le box-office américain (et mondial), la firme mise désormais sur sa plateforme, tout comme Mickey qui a clairement revu sa stratégie de diffusion pour s'appuyer en priorité sur Disney+, même si Black Widow devrait avoir les honneurs de la salle.
Pour plus de détails, on explique la nouvelle stratégie de HBO Max pour concurrencer Netflix de ce côté. On parle également de la malédiction des autres adaptations de jeux vidéo dans le dossier juste là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rTcQEZ55r4
Alors que le blockbuster Godzilla vs. Kong pourrait atterrir sur HBO Max, la Warner pourrait bien réserver le même sort au prochain Mortal Kombat.
Ce genre d'annonce n'a presque plus rien d'étonnant depuis qu'on a appris que la MGM avait sérieusement songé à vendre Mourir peut attendre, le dernier James Bond de Daniel Craig, à une plateforme de streaming comme Netflix, Amazon Prime Video ou Apple TV+, avant que la somme pharaonique de 600 millions mette fin à ces négociations lunaires.
Il y a quelques jours de ça, c'était au tour de Godzilla vs. Kong, le prochain opus du MonsterVerse, de faire l'objet de rumeur concernant une sortie numérique. Le géant au N rouge aurait ainsi posé 200 millions sur la table, avant que la Warner (qui possède 25% de parts et contrôle les conditions de sortie du film), gèle les discussions dans l'optique de gonfler un peu plus le catalogue de HBO Max sans mettre la main au porte-monnaie, pour doper ses abonnements et enfin se faire une place dans la guerre du streaming qui fait rage.
Et d'après un récent rapport de Variety, le studio serait en train de peser le pour et le contre d'une sortie similaire pour d'autres productions, comme The Little Things, le thriller criminel avec Denzel Washington, le remake de Tom et Jerry ou encore le reboot de Mortal Kombat signé Simon McQuoid. Il serait alors question d'une sortie en simultané sur la plateforme et dans les salles de cinéma en mesure d'accueillir en toute sécurité ses spectateurs, à l'instar du modèle établi par Wonder Woman 1984.
Aucune mention d'une sortie en Premium Video n'a été faite, mais le site précise qu'un autre report courant 2021 était aussi envisageable. Censé débarquer le 17 février 2021 (le 15 janvier à domicile), le film n'a toujours pas diffusé d'images promotionnelles ni de bande-annonce, ce qui peut donc suggérer qu'il sera effectivement reporté. Reste à savoir quand compte tenu de l'embouteillage de l'année prochaine.
Après l'échec de Tenet pour réanimer le box-office américain (et mondial), la firme mise désormais sur sa plateforme, tout comme Mickey qui a clairement revu sa stratégie de diffusion pour s'appuyer en priorité sur Disney+, même si Black Widow devrait avoir les honneurs de la salle.
Pour plus de détails, on explique la nouvelle stratégie de HBO Max pour concurrencer Netflix de ce côté. On parle également de la malédiction des autres adaptations de jeux vidéo dans le dossier juste là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rTcQEZ55r4
Après le succès d'Invisible Man, un nouveau Van Helsing en préparation chez Universal
Après le succès d'Invisible Man, plusieurs film de monstres d'Universal vont être remis au goût du jour, même si pour Van Helsing, c'était loin d'être gagné.
Si Universal a calmé ses ardeurs concernant son Dark Universe après l'échec cuisant de La Momie en 2014, le studio avait avant ça était désillusionné par le Van Helsing de 2004 signé Stephen Sommers qui aurait dû être le point de départ de tout un univers étendu à la Marvel. Sauf que le crash critique et financier de ce nanar pop-corn à 160 millions de dollars (!) avec Hugh Jackman et Kate Beckinsale a été tellement violent que le chasseur de vampires et autres bestioles au CGI outrageant ont été mis au placard un long moment, avant de profiter du succès d'Invisible Man de Leigh Whannell qui a aussitôt poussé la firme à dépoussiérer d'autres monstres mythiques de son catalogue.
Abraham Van Helsing n'est, à proprement parlé, pas un monstre, mais l'ennemi du compte Dracula prend place dans un monde qui en est rempli, et sera donc lui aussi modernisé avec un nouveau film prenant place dans son univers. Comme l'a rapporté Deadline, le scénario de ce nouveau Van Helsing est encore gardé sous clé, mais prendra la forme d'un thriller horrifique, sans qu'on sache pour l'instant quelle place occupera le personnage anciennement incarné par Hugh Jackman.
Il sera réalisé par Julius Avery à qui on doit Son of a Gun, Overlord et le prochain Samaritan avec Sylvester Stallone qui jouera au super-héros, et qui s'occupera également de réécrire le scénario original d'Eric Pearson (Godzilla vs. Kong, Black Widow, Thor : Ragnarok). La production sera quant à elle assurée par James Wan sous sa bannière Atomic Monster, un habitué du genre après les franchises Conjuring et, Insidious (dont il a réalisé les deux premiers volets), mais aussi les films Saw (qu'il a lancé derrière la caméra), les trois Annabelle, Dans le noir ou encore La Nonne.
Parmi les autres projets du studio, on compte notamment un reboot du Loup-garou de 1941 avec Ryan Gosling au casting et Leigh Whannell à la réalisation, mais aussi un film Dracula de Karyn Kusama, The Invisible Woman de Elizabeth Banks, Dark Army de Paul Feig et une comédie musicale intitulée Monster Mash.
Sinon, pour mieux se perdre dans l'univers de Van Helsing, notre dossier abonnés sur le film est de ce côté. Notre critique d'Overlord est quant à elle juste ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... srKYM9tMTQ
Après le succès d'Invisible Man, plusieurs film de monstres d'Universal vont être remis au goût du jour, même si pour Van Helsing, c'était loin d'être gagné.
Si Universal a calmé ses ardeurs concernant son Dark Universe après l'échec cuisant de La Momie en 2014, le studio avait avant ça était désillusionné par le Van Helsing de 2004 signé Stephen Sommers qui aurait dû être le point de départ de tout un univers étendu à la Marvel. Sauf que le crash critique et financier de ce nanar pop-corn à 160 millions de dollars (!) avec Hugh Jackman et Kate Beckinsale a été tellement violent que le chasseur de vampires et autres bestioles au CGI outrageant ont été mis au placard un long moment, avant de profiter du succès d'Invisible Man de Leigh Whannell qui a aussitôt poussé la firme à dépoussiérer d'autres monstres mythiques de son catalogue.
Abraham Van Helsing n'est, à proprement parlé, pas un monstre, mais l'ennemi du compte Dracula prend place dans un monde qui en est rempli, et sera donc lui aussi modernisé avec un nouveau film prenant place dans son univers. Comme l'a rapporté Deadline, le scénario de ce nouveau Van Helsing est encore gardé sous clé, mais prendra la forme d'un thriller horrifique, sans qu'on sache pour l'instant quelle place occupera le personnage anciennement incarné par Hugh Jackman.
Il sera réalisé par Julius Avery à qui on doit Son of a Gun, Overlord et le prochain Samaritan avec Sylvester Stallone qui jouera au super-héros, et qui s'occupera également de réécrire le scénario original d'Eric Pearson (Godzilla vs. Kong, Black Widow, Thor : Ragnarok). La production sera quant à elle assurée par James Wan sous sa bannière Atomic Monster, un habitué du genre après les franchises Conjuring et, Insidious (dont il a réalisé les deux premiers volets), mais aussi les films Saw (qu'il a lancé derrière la caméra), les trois Annabelle, Dans le noir ou encore La Nonne.
Parmi les autres projets du studio, on compte notamment un reboot du Loup-garou de 1941 avec Ryan Gosling au casting et Leigh Whannell à la réalisation, mais aussi un film Dracula de Karyn Kusama, The Invisible Woman de Elizabeth Banks, Dark Army de Paul Feig et une comédie musicale intitulée Monster Mash.
Sinon, pour mieux se perdre dans l'univers de Van Helsing, notre dossier abonnés sur le film est de ce côté. Notre critique d'Overlord est quant à elle juste ici.
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Toujours pas de réponse ?
A mon avis, ils sont en train de sauver le monde