Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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yhi
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Pale a écrit :
lun. 22 août 2022 10:58
rarement eu autant envie de claquer un personnage dans le mur.
Il a rejoint (dans le mur) la soeur de Nope :D
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Pale
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yhi a écrit :
lun. 22 août 2022 18:35
Pale a écrit :
lun. 22 août 2022 10:58
rarement eu autant envie de claquer un personnage dans le mur.
Il a rejoint (dans le mur) la soeur de Nope :D
Quelle horreur quand j'y repense ce personnage :D
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Pale
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Vu :

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Un film qui vaut principalement pour son ambiance d'époque mais surtout le plaisir de retrouver Michael Douglas et Kathleen Turner qui refont équipe après À la poursuite du diamant vert et Le Diamant du Nil. J'ai d'ailleurs regarder expressément le film en version française et c'est que du bonheur de réentendre ces voix qui ont marqué mon enfance :D Bon après le film en tant que tel est bien, les personnages s'en mettent plein la gueule mais c'est un peu long et répétitif par moment. Enfin ça reste malgré tout un bon moment dans l'ensemble.
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Heiz
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Pale a écrit :
ven. 19 août 2022 23:41
Kahled a écrit :
ven. 19 août 2022 21:06
Pale a écrit :
ven. 19 août 2022 19:01
EL a adoré la dernière saison de Better Call Saul (4,5 étoiles) :

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De la très efficace Breaking Bad est née la prodigieuse Better Call Saul. Celle-ci peut désormais se targuer de nous avoir offert un des épilogues les plus émouvants, cohérents et tragiques du paysage sériel américain.

https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... VQwLkBWfk4

Je suis actuellement à la moitié de la saison et je dois avouer qu'il ne s'agit pas de ma saison préférée pour le moment.
Hum, t’en es à quel épisode ? :D
J'ai vu les sept premiers Oui le final ne m'a pas bouleversé. Je m'attendais presque à un suicide de Howard et je pense que ça m'aurait fait plus d'effet si il s'était suicidé de manière désespérée devant Saul et Kim pour leur mettre le nez dans leur merde. Là l'arrivée de Lalo à la dernière minute et le surjeu des acteurs, j'y ai cru moyen.
Curieux de voir ce que tu vas penser de la suite!
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Heiz a écrit :
mar. 23 août 2022 00:43
Curieux de voir ce que tu vas penser de la suite!
J'ai fait une petite pause mais je reprends bientôt :D

Ça va Heiz ? :hot:
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La bande-annonce de Lou :

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Réputé comme l'un des Disney les plus sombres, j'avoue que l'univers et l'ambiance sont parfois sinistres et lugubres. C'est un Disney qui m'aurait probablement fortement marqué dans mon enfance. Après l'histoire et les personnages sont assez basiques, le tout aurait mérité plus de développement.
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Heiz
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Pale a écrit :
mar. 23 août 2022 10:08
Heiz a écrit :
mar. 23 août 2022 00:43
Curieux de voir ce que tu vas penser de la suite!
J'ai fait une petite pause mais je reprends bientôt :D

Ça va Heiz ? :hot:
Tu vas sûrement être surpris par certains choix dans la suite :p

Oui, super bien! Toujours au Canada pour l'instant, la vie est belle :D
Et toi, ça roule?
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Heiz a écrit :
mar. 23 août 2022 18:59
Tu vas sûrement être surpris par certains choix dans la suite :p

Oui, super bien! Toujours au Canada pour l'instant, la vie est belle :D
Et toi, ça roule?
Ça fait combien de temps maintenant que tu y es ? Tu envisages de revenir malgré tout en France par la suite ?

De mon côté ça va, je suis actuellement en congé :hot:
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Vu :

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La première heure est excellente, habile mélange de comédie, de mystère et de science-fiction. Tout fonctionne pour le mieux et certaines scènes sont hilarantes. Je ne sais pas trop ce qu'il s'est passé ensuite mais j'ai l'impression que le réalisateur ne savait pas trop comment finir son film. En panne d'inspiration, Voisins du troisième type se transforme à la fin en comédie d'action un peu nulle et facile. Mais bon dans l'ensemble ça reste sympa et encore une fois je retiens surtout la première partie qui m'a bien fait rire.
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Heiz
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Pale a écrit :
mar. 23 août 2022 19:04

Ça fait combien de temps maintenant que tu y es ? Tu envisages de revenir malgré tout en France par la suite ?

De mon côté ça va, je suis actuellement en congé :hot:
Ça fait tout juste 4 ans (déjà!!), et oui à terme je vais sûrement revenir en France. J'y pense déjà pas mal, probablement l'année prochaine.

Bonne période pour les congés! Je vois que tu prends le temps de cinéphiler (oui j'invente des mots, mais ça sonne bien :D )
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NaughtyDog
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tellement hâte :hot:
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Cocu
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:hello: J'ai finis Ozark 😁 je ne suis pas aussi ébahis que certains, c'était sympa mais je reste sur ma faim. Un coup de mou sur le début de la saison 3, j'ai bien décroché 😅 Y a du mieux sur la fin, et la saison 4 tiens en haleine jusqu'au final. Gros coup de coeur pour Ruth évidemment 😍je me doutais de sa mort même si un peu triste, c'était la fin idéale . Belle évolution/introspection sur Wendy que j'ai plus apprécié sur la fin. J'ai beaucoup aimé le rôle de Ben, et Marty évidemment. Même les seconds rôles sont bien. À part Charlotte que je trouve un peu transparente...
Par contre je n'ai pas compris le plan final 🧐🤔 si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi finir comme ça ? 😅
Pouet
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Je suis parti quelques jours et la seule news qui a été postée c'est la bande-annonce (absolument magnifique) de Empire of Light :o :D

Il faut impérativement rattraper ça :

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Cocu a écrit :
jeu. 25 août 2022 19:58
:hello: J'ai finis Ozark 😁 je ne suis pas aussi ébahis que certains, c'était sympa mais je reste sur ma faim. Un coup de mou sur le début de la saison 3, j'ai bien décroché 😅 Y a du mieux sur la fin, et la saison 4 tiens en haleine jusqu'au final. Gros coup de coeur pour Ruth évidemment 😍je me doutais de sa mort même si un peu triste, c'était la fin idéale . Belle évolution/introspection sur Wendy que j'ai plus apprécié sur la fin. J'ai beaucoup aimé le rôle de Ben, et Marty évidemment. Même les seconds rôles sont bien. À part Charlotte que je trouve un peu transparente...
Par contre je n'ai pas compris le plan final 🧐🤔 si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi finir comme ça ? 😅
:hello:

Le plan final je l’interprète comme ça : Aussi abominable soit la famille Byrde, ils s'en sortiront toujours et le fils (les enfants) sont bien partis pour continuer dans cette voie et prendre la relève. C'est un fin assez amorale dans le sens où la famille aurait pu être arrêtée par les forces de l'ordre ou même mourir mais ici non, on a l'impression qu'ils réussiront toujours ce qu'ils entreprennent même les pires choses.
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Cocu
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Pale a écrit :
sam. 27 août 2022 20:11
Cocu a écrit :
jeu. 25 août 2022 19:58
:hello: J'ai finis Ozark 😁 je ne suis pas aussi ébahis que certains, c'était sympa mais je reste sur ma faim. Un coup de mou sur le début de la saison 3, j'ai bien décroché 😅 Y a du mieux sur la fin, et la saison 4 tiens en haleine jusqu'au final. Gros coup de coeur pour Ruth évidemment 😍je me doutais de sa mort même si un peu triste, c'était la fin idéale . Belle évolution/introspection sur Wendy que j'ai plus apprécié sur la fin. J'ai beaucoup aimé le rôle de Ben, et Marty évidemment. Même les seconds rôles sont bien. À part Charlotte que je trouve un peu transparente...
Par contre je n'ai pas compris le plan final 🧐🤔 si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi finir comme ça ? 😅
:hello:

Le plan final je l’interprète comme ça : Aussi abominable soit la famille Byrde, ils s'en sortiront toujours et le fils (les enfants) sont bien partis pour continuer dans cette voie et prendre la relève. C'est un fin assez amorale dans le sens où la famille aurait pu être arrêtée par les forces de l'ordre ou même mourir mais ici non, on a l'impression qu'ils réussiront toujours ce qu'ils entreprennent même les pires choses.
Jusqu'à leur accident de voiture où ils s'en sortent indemnes 😅😅
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Heiz a écrit :
mer. 24 août 2022 13:22
Bonne période pour les congés! Je vois que tu prends le temps de cinéphiler (oui j'invente des mots, mais ça sonne bien :D )
Effectivement j'en ai bien profité :D (il est pas mal du tout ce mot en fait :D)
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Cocu a écrit :
sam. 27 août 2022 20:13
Jusqu'à leur accident de voiture où ils s'en sortent indemnes 😅😅
Exactement, on pourrait croire qu'ils vont y passer mais au final pas du tout :D
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EL n'a pas aimé Le Samaritain (1,5 étoiles) :

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Après avoir subverti les super-héros avec les séries The Tick, The Boys et Invincible, Amazon Prime Video a de nouveau tenté de détourner les codes de ce genre omniprésent à l'écran avec le film Le Samaritain hérité de la MGM et motivé par l'ego surgonflé de Sylvester Stallone.

ACTION (OLD) MAN


Entre la conclusion (la vraie) de la saga Rambo, l'absence confirmée de Rocky Balboa dans Creed III et le départ imminent de Barney Ross dans le prochain volet d'Expendables, on aurait pu penser qu'à plus de 75 ans, Sylvester Stallone s'était enfin fait à l'idée de vieillir. Mais avec Le Samaritain (qu'il a produit), l'acteur a surtout prouvé qu'il aimait toujours autant les come-back et n'était pas prêt de lâcher son statut de héros d'action indomptable, ni son image d'éternel outsider.

Après avoir passé sa carrière à incarner des surhommes abîmés qui sauvent les gens, Stallone est donc officiellement devenu sa propre caricature en interprétant un vieux super-héros obligé de sortir de la retraite pour prouver qu'il en a encore suffisamment dans les bras et qu'il n'a rien d'une relique. Forcément, le profil de ce nouveau monsieur muscles n'a pas tellement changé des précédents.

Son personnage, Joe Smith, est un homme solitaire, traumatisé par son passé et en quête de rédemption. Il a consacré une partie de sa vie à protéger celle des autres, mais n'est plus considéré par grand-monde, même s'il est destiné à regagner le respect de ses compatriotes en ouvrant son coeur et le crâne de ses ennemis.

Cette histoire poussiéreuse aurait malgré tout pu être un minimum divertissante si elle osait être aussi bourrin que convenue, mais elle reste à l'inverse trop lisse et sage. Bien qu'il soit encore bien conservé et que personne n'aurait envie de lui chatouiller les narines, Sylvester Stallone n'a évidemment plus sa forme d'antan. Le scénario de Bragi F. Schut se montre donc radin en action et raccourcit autant que possible les quelques échanges de coups pour ne pas trahir son essoufflement.

Ainsi, l'acteur grogne plus qu'il ne frappe, enchaîne les chorégraphies statiques et se contente de faire des grimaces pour sonner la charge, loin de la puissance que son personnage devrait véhiculer. Le film tente même par moments de camoufler la mollesse de ses séquences de baston avec des punchlines risibles héritées des séries B testostéronées des années 80 et 90, notamment quand Stallone dit nonchalamment "éclate-toi bien avec" à un méchant sur le point d'être explosé par une bombe.

MULTIVERS

Même s'il a ensuite été adapté en comics, le scénario est une histoire originale qui n'est qu'une version appauvrie de tout ce qui a déjà pu être fait ailleurs, que ce soit chez Marvel, DC ou dans des oeuvres indépendantes. Joe Smith n'est qu'un décalque du vieux Bruce Wayne dans Batman: The Dark Knight Returns avec des pouvoirs presque identiques à ceux de Bruce Willis dans Incassable. Son origin story, qui présente des similitudes avec celle de Wolverine, est expédiée dans un prologue animé à la Archenemy qui compile les clichés paresseux, en particulier la lutte fratricide, l'arme spéciale qui peut vaincre le Samaritain et le méchant qui s'appelle Nemesis.

Granite City, la ville où se déroule le récit, a été transformée en sorte de Gotham City, avec ses rues sales minées par la pauvreté et la délinquance. Cyrus, le méchant de Pilou Asbæk, est quant à lui un ersatz périmé du Joker, censé incarner le mal absolu et une nouvelle figure anarchique pour le peuple acculé et révolté qui cède à la violence.

En plus d'une volonté de réalisme similaire à celle de Hancock (qui n'est pas vraiment une bonne référence), le scénariste pensait qu'il serait super original de casser la dichotomie supposée du genre en "s'interrogeant" sur la notion d'héroïsme et d'anti-héroïsme, un trope de plus en plus récurrent et rébarbatif dans le monde des super-héros. Après avoir dûment présenté au public le monsieur qui sauve des enfants et celui qui menace de les tuer, le dernier tiers du film tente ainsi une grossière inversion des valeurs et du rapport de force dans un retournement scénaristique poussif et usé jusqu'à la corde.

Tout ça pour finalement garder l'image sans nuance d'un gentil Stallone triomphant du mal, et conclure avec un message niais et régurgité sur la part de bonté et de noirceur en chacun de nous. À deux doigts de pleurer, mais pas pour les bonnes raisons.

HISTOIRE PRÉCIPITÉE

Au-delà de sa mièvrerie et de son manque d'originalité, le scénario ne parvient même pas à creuser les pistes narratives plutôt intéressantes qu'il lance. Afin de préserver son retournement de situation (aussi peu impactant soit-il), la relation entre Le Samaritain et son frère - pourtant au coeur de l'histoire - n'est jamais abordée. Que ce soit à propos de la perte de son jumeau, de sa culpabilité, de son mystérieux passé ou tout simplement de ses motivations, Joe est une coque vide auquel le film ne s'intéresse jamais. Et le jeu monolithique de Stallone n'aide pas à nuancer le personnage ou à enrichir sa caractérisation.

Le récit ne s'intéresse pas non plus à Sam, le jeune adolescent admiratif du Samaritain. C'est pourtant lui qui aurait pu apporter un peu de chaleur et d'émotion à l'ensemble, si seulement le film avait approfondi son postulat de départ, c'est-à-dire un gosse tiraillé entre deux figures paternelles, perdu entre ses rêves d'enfant et ses désillusions, au lieu de l'abandonner en cours de route. Et c'est d'autant plus dommage, étant donné que Javon 'Wanna' Walton est le plus investi et authentique à l'écran.

Le contexte social et politique est quant à lui aussi épais que les personnages. La ville est censée être une poudrière sur le point d'exploser, mais la tension n'est abordée qu'à travers quelques bribes de journaux télévisés (le summum de l'innovation). Le moment de bascule, qui voit un quartier difficile et défavorisé virer à la zone de non-droit, se résume à une scène où Pilou Asbæk rallie une vingtaine de figurants après un discours creux autour des inégalités sociales et de l'inaction politique sur lesquelles le scénario fait totalement l'impasse.

Le conflit n'est jamais palpable et le grand soulèvement populaire censé plonger la ville dans le chaos n'est jamais vécu de l'intérieur, si ce n'est à travers deux ou trois plans de personnes cagoulées entourées de fumigènes, qui démontrent là encore toute l'inventivité de la mise en scène de Julius Avery.

S'il n'est pas particulièrement infâme (à côté par exemple d'un Morbius ou d'un Arthur, malédiction), Le Samaritain n'a donc que peu d'intérêt, si ce n'est celui de confirmer qu'il serait temps pour Stallone de déposer les armes.

Le Samaritain est disponible depuis le 26 août sur Amazon Prime Video.

Le Samaritain suscitera probablement plus d'indifférence que d'engouement ou de réelle déception, et ne devrait pas rester plus de 24 heures en mémoire après visionnage.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... S-AFA-sX14

M'en fous, je le mate ce soir :D
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Bioshock : le film Netflix a trouvé son réalisateur, et bof

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Le jeu vidéo culte Bioshock va être adapté. En film. Par Netflix. Avec un réalisateur qui est moyennement rassurant.

Le rouleau compresseur Netflix n'en a pas fini avec vos rêves-cauchemars de gameurs et gameuses. Il y a eu la série The Witcher, Le Cuphead Show !, Tekken : Bloodline, Arcane tiré de League of Legends, Castlevania, ou encore l'abominable série Resident Evil et la non moins abominable Resident Evil : Infinite Darkness. Il y aura bientôt Cyberpunk : Edgerunners, Sonic Prime, Horizon 2074 adapté de Horizon : Zero Dawn, une série animée Tomb Raider, des projets Assassin's Creed, un film Beyond Good & Evil ou encore un film The Division développé depuis des années.

Mais s'il y a bien un mastodonte auquel s'attaque Netflix, c'est Bioshock. Le géant de la SVoD a mis la main sur ce petit monument du jeu vidéo en février 2022, et ainsi récupéré un projet qui avait été abandonné par Universal en 2013.

Et Netflix a choisi Francis Lawrence pour diriger les opérations.

Qui est Francis Lawrence ? C'est le réalisateur de Constantine, Je suis une légende, toutes les suites de Hunger Games, Red Sparrow, et la niaiserie De l'eau pour les éléphants. Un pur CV hollywoodien donc, qui compte pas mal de gros succès, mais un CV qui manque cruellement d'éclat (un mauvais esprit dirait : de bons films). Le monsieur a d'ailleurs rempilé sur Hunger Games puisqu'il réalise le prequel Hunger Games : La ballade du serpent et de l'oiseau chanteur. C'est donc un peu le David Yates de cette saga visiblement increvable.

Sachant que Gore Verbinski, le petit génie derrière la trilogie Pirates des Caraïbes et Lone Ranger, était à l'origine sur le coup, il y a de quoi soupirer. D'autant plus quand on se souvient qu'il avait quitté le navire pour des raisons de budget, et parce que le studio avait du mal à assumer la violence des jeux vidéo.

Néanmoins, il y a une lueur d'espoir puisque le scénario de Bioshock sera écrit par Michael Green, dont le CV est nettement plus beau. Après avoir fait ses armes sur pas mal de séries, dont Heroes, il a co-créé American Gods avec Bryan Fuller. Puis, il a signé les scénarios de Logan et Blade Runner 2049... et Alien : Covenant, Le Crime de l'Orient-Express, Jungle Cruise et Mort sur le Nil. Personne n'est parfait, mais Michael Green a de toute évidence un talent pour créer et s'approprier des univers riches, et sombres.

Le premier jeu vidéo Bioshock est sorti en 2007, et a fait l'effet d'une petite bombe grâce à son univers fascinant et unique. L'histoire se déroule dans les années 60 et suit le rescapé d'un crash d'avion en plein milieu de l'océan, qui trouve refuge dans un phare. De là, il accède à une incroyable cité sous-marine : Rapture.

Pensée comme un rêve de société libre, et affranchie des gouvernements, politiciens et religions, Rapture s'est évidemment écroulée. L'utopie s'est transformée en cauchemar, et la ville est désormais en ruines, peuplée de gens devenus fous. Il fallait donc se frayer un chemin dans cet enfer, grâce à des pouvoirs extraordinaires acquis avec des inventions pas du tout dangereuses, et en se frottant à des guerriers impitoyables protégeant des petites filles légèrement louches.

Bioshock 2 a exploré plus en profondeur cet univers sous-marin magnifiquement inquiétant, puis Bioshock Infinite s'est envolé dans les cieux, vers la cité aérienne de Columbia. Une nouvelle utopie parfaitement cauchemardesque, où un détective privé était lancé sur les traces d'une jeune femme kidnappée, dotée de pouvoirs étonnants, et surveillée par un oiseau de fer géant.

Inutile de préciser que Netflix détient les clés d'un potentiel grand univers, suffisamment riche pour donner lieu à une franchise. Alors qu'un jeu Bioshock 4 est toujours attendu, le film Bioshock est donc bel et bien lancé. Courage, espoir, mais prudence.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... S-AFA-sX14
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Le Seigneur des anneaux : les premiers avis sur Les Anneaux de Pouvoir sont tombés (et sont très positifs)

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Malgré l'inquiétude mondiale, les premiers avis sur Le Seigneur des anneaux : Les Anneaux de Pouvoir sont tombés et la série semble avoir réussi son pari.

Il y a presque vingt ans, Peter Jackson concluait sa trilogie cinématographique avec Le Seigneur des anneaux : Le Retour du roi, avant de rouvrir un nouveau chapitre dix ans plus tard avec Le Hobbit : Un voyage inattendu, le premier volet de la saga Le Hobbit qui s'est conclue en 2014 avec Le Hobbit : La Bataille des cinq armées. Alors qu'on pensait que l'oeuvre de J.R.R. Tolkien n'allait plus être retouchée, en 2017, Amazon a acquis les droits du Seigneur des anneaux. Fan des bouquins de Tolkien, Jeff Bezos aurait lui-même veillé à cette acquisition, c'est donc lui qu'il faudra blâmer si Le Seigneur des anneaux : Les Anneaux de Pouvoir se révèle décevante.

Showrunée par J.D. Payne et Patrick McKay, la première saison de la série que certains fans ont déjà décidé de détester, a couté... 465 millions de dollars. Autant dire que la multinationale a lâché un tas de pognon pour faire de la série le premier vrai phénomène d'Amazon Prime Video, surtout que, comme on pouvait s'y attendre, son concurrent House of the Dragon a déjà battu des records sur HBO. L'embargo réservé aux réseaux sociaux venant de sauter, les journalistes américains qui ont eu la chance de découvrir en avant-première les deux premiers épisodes de la série ont partagé leurs avis sur Twitter. Revue de tweets.

« Les deux premiers épisodes des Anneaux de Pouvoir sont... très réussis, jusqu'à présent. Les bandes-annonces ont déjà montré le spectacle visuel brillant de la série et ces deux épisodes ont planté le décor d'une histoire riche et intrigante qu'il me tarde de découvrir encore plus. » Jacob Fisher - DiscussingFilm

« Après deux épisodes des Anneaux de Pouvoir, jusqu'ici, tout va bien ! La réalisation est assez remarquable. Des visuels à couper le souffle s'enchainent, le niveau de détail dans la conception des costumes et de la production visuelle dans son ensemble est de très bonne qualité. Quant à l'histoire/aux personnages... ces épisodes avaient beaucoup à faire, notamment dans la présentation des lieux et personnages clés. La plupart n'apparaissent que rapidement, mais pour moi, les deux grands gagnants sont Nazanin Boniadi et Nori de Markella Kavenagh. Particulièrement impressionnée par combien j'ai pu apprendre de leurs passions et objectifs en seulement 2 épisodes. » Perri Nemiroff - Collider

« OK donc les deux premiers épisodes du Seigneur des anneaux : Les Anneaux de Pouvoir sont un spectacle à contempler absolument. L'ampleur, la portée, l'ambition et la grandeur sont inégalées à la télévision. Ces épisodes ont également la tâche laborieuse d'introduire une telle profusion de détails pour construire l'univers que la série met un peu de temps pour s'envoler. » Brandon Katz - The Wrap

« J'ai vu les deux premiers épisodes des Anneaux de Pouvoir. Oui, comme les bandes-annonces le promettaient, c'est visuellement renversant. Les épisodes posent le décor pour le récit épique qui se prépare. J'ai aimé certains personnages et certaines sous-intrigues plus que d'autres, mais j'ai accroché et je suis prête à en découvrir davantage. » Vanessa Armstrong - SYFY Wire / SlashFilm

« Le Seigneur des anneaux : Les Anneaux de Pouvoir a tout de suite capté mon imagination grâce à ses histoires et personnages captivants et cette Terre du Milieu aussi familière que nouvelle. L'histoire/la mise en place est très dense cependant, le rythme des deux premiers épisodes est assez lent, mais vous donne envie d'en découvrir plus. » Germain Lussier - io9

« J'ai vu les deux premiers épisodes de la série Amazon Prime Video, Le Seigneur des Anneaux. Préparez-vous à être éblouis par l'ampleur et la portée des Anneaux de Pouvoir. Je ne sais pas comment ils ont réussi à faire ça, mais ils ont fait une série Le Seigneur des Anneaux qui ressemble au Seigneur des Anneaux. » Steven Weintraub - Collider

« La nouvelle série Amazon Le Seigneur des anneaux : Les Anneaux de Pouvoir est impressionnante. Le budget massif dégouline à l'image et la série donne *l'impression* qu'elle pourrait s'imbriquer à l'univers des films de Peter Jackson. Malgré cet immense monde, la série n'est jamais écrasante et ne se disperse pas. » Trent Moore - SYFY

« J'ai vu les deux premiers épisodes du Seigneur des anneaux : Les Anneaux de Pouvoir. C'est un plaisir à regarder et la musique est magnifique. La série met du temps à se mettre en place, et il y a BEAUCOUP de choses à mettre en place. Et pour les fans des films, la série arrivera à vous séduire une fois bien lancée. » Alex Zalben - Decider

Même si, comme d'habitude, il est important de noter que ces avis ne sont que partiels, l'embargo critique n'étant pas encore levé, ces premiers retours sont très enthousiastes. Les journalistes qui se sont exprimés semblent tous d'accord sur certains points. Premièrement, la qualité visuelle est largement au rendez-vous. Des décors aux costumes, les moindres détails semblent avoir été pensés. Comme les bandes-annonces le laissaient penser, Le Seigneur des anneaux : Les Anneaux de Pouvoir penche du côté de la fresque.

Deuxièmement, les deux premiers épisodes prennent leur temps et parfois, semblent un peu trop lents. Malgré ce point plutôt négatif, les journalistes rappellent qu'il y a beaucoup de personnages et d'intrigues et que cette longueur d'installation est donc inévitable. Et pour finir, les critiques semblent assez d'accord pour dire que la série ne sera pas une déception pour les fans des films puisqu'elle semble parfaitement s'accorder au ton de ces derniers.

Comme toujours, on attend de voir la série pour se faire notre propre avis. Rendez-vous le 2 septembre 2022 sur Amazon Prime Video pour découvrir les deux premiers épisodes du Seigneur des anneaux : Les Anneaux de Pouvoir.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... cx2tx6Rq7M
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Pale
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EL a aimé Beast (3,5 étoiles) :

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Nate (Idris Elba) n'a pas vu venir la maladie puis le décès de sa femme. Tout comme il n'a pas vu venir la désagrégation du lien avec ses deux filles. Et devinez quoi, cet énorme lion décidé à les dévorer au détour d'une excursion sur les terres natales de feu madame, il ne l'a pas vu venir non plus. Voilà qui est finalement fort cohérent avec Beast ce survival qui nous a mordus par surprise et à pleines dents.

LA GROSSE BEAST À DUDULE


Dans le sillage des Dents de la mer, au tournant des années 70 et jusqu’à la fin du 20e siècle, le cinéma s’est emparé de tout ce que la planète Terre compte de prédateurs, pour les confronter à de jeunes gens aux mœurs légères, à des familles bon teint, ou à des couples au bord de la crise de nerfs. Bien des figurants mastiqués plus tard, le genre, descendant du survival qui fit rage dans les seventies, se sera aussi bien aventuré du côté de l’exploitation bis à la Piranhas que de la terreur existentielle typique de Long Week-end.

Une variété dans les dévorations et curetages de boyaux qui n’aura pas empêché cette réjouissante mode de péricliter, perdant progressivement les faveurs du public. Et s’il est particulièrement savoureux de voir débarquer dans les salles obscures Beast, qui coche à peu près toutes les cases possibles et imaginables de cette typologie de divertissement fort peu vegans, jamais l’entreprise n’aura paru aussi anachronique.

Avec son budget de 36 millions de dollars hors marketing, Universal a besoin de lever quelque 100 millions de dollars pour rentabiliser l’opération, soit dépasser le score du récent Crawl avec un budget presque trois fois supérieur. Depuis quelques années, Hollywood tente de digérer les aspirations antispécistes d’une partie du public pour ne pas se l’aliéner et veille à ne pas maltraiter d’animaux sur ses tournages, ou dans ses scénarios. Une équation peu compatible avec un carnage impitoyable à base de crocs et d’hémorragies massives.

Ajoutons à cela que l’œuvre qui nous intéresse se penche sur un prédateur qui n’a rien d’anodin. Quelques films ont bien essayé de faire du lion, symbole sur pattes de la turbine à viande mâle régnant sur la pyramide alimentaire universelle, mais on dénombre parmi eux une poignée de Z fumants, ou de sombres catastrophes industrielles. Les deux plus glorieux représentants de cette niche filmique demeurent Roar, qui vit une partie de son équipe mâchée goulument par les fauves, et l’attachant L’ombre et la Proie, belle tentative mutilée par une production chaotique. Autant dire que Beast sort donc dans les salles obscures auréolé d’un parfum de plantage annoncé.

SIMPLY THE BEAST

Sauf que c’est tout le contraire qui s’impose à l’écran, et ce, dès l’ouverture du film. C’est Baltasar Kormákur qui tient la caméra. De Survive en passant par Everest, le réalisateur a aiguisé et pensé son cinéma autour de la figure du survivant et avec les années, est passé maître dans l’art de caractériser un espace géographique (le plus souvent hostile) et d’en tirer, avec logique et minutie toutes les potentialités narratives. Pour immerger le spectateur dans ce récit d’à peine une heure et demie, il doit immédiatement le saisir à la gorge.

Ce sera chose faite à la faveur d’un plan-séquence malin et techniquement impeccable, qui nous dévoile comment des braconniers passent de chasseurs à proie, grâce à un lion un chouïa caractériel. Gestion impeccable de la photographie, mouvements chorégraphiés avec soin, et surtout, une préparation qu’on devine méticuleuse afin de permettre une utilisation optimale des effets numériques. En effet, on aura souvent moqué les doublures d’animaux pour leur absence de masse, ou tout simplement leur laideur (coucou Prey !), mais du début à la fin de Beast, on assiste à une véritable leçon tant technique qu’artistique.

Technique, car le degré de réalisme des animaux occupés à transformer les protagonistes en ceviche est régulièrement stupéfiant. La précision des jeux de mouvements entre les différents plans de l’image, les effets de lumière, jusqu’aux interactions entre personnages de chair et de sang et animaux virtuels, sont tous d’une précision remarquable, et souvent confondante. Artistique enfin, parce que Kormákur sait quand retenir les chiens, et lâcher les fauves.

En chef d’orchestre émérite, le cinéaste use de longs plans, idéaux pour faire monter la pression, au sein desquels la moindre attaque, le premier coup de patte venu, servent autant d'exhausteurs d’adrénaline que de ponctuation rythmique. En termes d’écriture comme de gestion de la tension, Beast a des airs de partition faussement simple, toute rupture de ton et reprises nerveuses.

BEAST OF THE BEST

S’il est mené tambour battant, le long-métrage n’en est pas moins aussi programmatique et classique que le laisse entendre son synopsis. Ce n’est pas un problème outre mesure en cela que le scénario définit intelligemment les personnalités, arcs narratifs et conflits de tous ses personnages, pour ne jamais les perdre de vue, et veiller à progresser toujours vers leur résolution. C’est ce type de rigueur, de volonté de disposer avec un minimum de soin et d’intelligences quantité de fusils de Tchekov (éléments disséminés dans un long-métrage dont le sens ou l’utilité se révèlera après leur introduction au spectateur), qui rendent l’expérience instantanément gratifiante.

Le seul véritable reproche qu’on pourra faire au film tient d’ailleurs à sa volonté de demeurer – relativement – sobre, et de passer trop rapidement sur plusieurs séquences clefs. Le résultat n’en est que plus fluide, la narration ne se départant jamais de la tension posée dès la première scène, mais donne parfois l’impression de glisser sans s’attarder sur tel ou tel concept.

C’est notamment le cas des braconniers mentionnés plus haut, adjonction intéressante à l’histoire, dont on pense un temps qu’elle va bouleverser la trame générale, avant que le destin ne rappelle aux impétrants combien visiter le système digestif d’un grand prédateur est aisé. Mais ces quelques limites s’avèrent accessoires, tant elles n’existent finalement que pour permettre à Beast de remplir avec une rafraîchissante simplicité la promesse faite au spectateur.

Celle d’un spectacle intense mais dénué de complaisance, qui joue sur notre rapport ambivalent entre désir de peur, désir scopique, vertige du danger et fantasme de voir celui-ci dominé. Un geste funambule donc, d’autant plus abouti qu’il s’achève sur une confrontation dantesque, qui tranche d’autant plus volontiers dans le gras du réalisme qu’elle est l’occasion pour le héros joué avec charisme et retenue par Idris Elba d’affronter ses démons, incarné en un monstre de crocs et de poil. Une bête comme on en voit trop peu.

Beast sort en salles ce 24 août 2022

Classique et parfois attendu dans son déroulé, Beast est un des survivals les plus rigoureux, intenses et griffus vus depuis longtemps. Un régal de tension, qui ne lésine ni sur le spectacle ni sur la mastication de figurants, et mettra en appétit les amateurs du genre.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... O94xBu7zDM
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Pale
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Virginie Efira sera l’héroïne de la prochaine série française de Disney Plus

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Eric Rochant réalisera les deux premiers épisodes de Tout va bien.

Disney Plus a annoncé ce jeudi le début du tournage de Tout va bien, une nouvelle création originale française. Une série en 8 épisodes créée par Camille de Castelnau, qui est notamment connue pour son travail comme scénariste sur la série Canal Plus Le Bureau des légendes. Eric Rochant sera d’ailleurs producteur de la série, et fera partie des réalisateurs, tout comme Xavier Legrand (Jusqu’à la garde), Cathy Verney (Hard,Vernon Subutex) et Audrey Estrougo (Suprêmes).

Virginie Efira tiendra le premier rôle de cette comédie dramatique chorale, en compagnie de Nicole Garcia, Sara Giraudeau, Aliocha Schneider, Bernard Le Coq, Eduardo Noriega, Yannik Landrein, Mehdi Nebbou et Angèle Mièle. Tout va bien racontera l’histoire d’une famille ordinaire confrontée à la maladie grave d’un de ses enfants.

"Je veux que Tout va bien soit une série réaliste, donc souvent drôle", explique Camille de Castelnau. "Je sais à quel point la maladie grave d’un enfant peut faire peur à un public de plus en plus exigeant, dont on imagine parfois qu’il n’a pas envie de voir 'ça'. Mais je veux qu’on se sente bien au chaud dans cette série, qu’il y ait un plaisir de fiction, parce qu’on y partage la vie de personnages frappés par un des pires cauchemars de l’humanité... mais qui continuent à vivre, avec 'ça', malgré 'ça', ou pour 'ça'. Avec leurs enjeux personnels, leurs petits secrets honteux, leurs catastrophes moins officielles mais parfois réjouissantes".

Tout va bien sera diffusée courant 2023 sur Disney Plus.


https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... msfAk2ISbU
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Pale
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 2UzOd45wzc
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Wickaël
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Pale a écrit :
dim. 28 août 2022 08:12
M'en fous, je le mate ce soir :D
Perso j'ai bien aimé, je l'ai regardé hier soir. J'ai beaucoup de sympathie pour Sly donc ça joue dans l'appréciation. Après le film est très classique mais l'alchimie entre Stallone et le gamin fonctionne et on a droit à quelques moments d'action bien foutus.

6/10
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J'aime beaucoup George Miller et je suis ultra confiant pour Furiosa mais je dois avouer ne pas avoir vraiment adhéré à Trois Mille ans à t’attendre. Je vois ce film un peu comme le caprice d'un papy gâteux qui endort tout le monde avec ses histoires à dormir debout. J'ai trouvé ça incroyablement verbeux et soporifique. Vu durant une séance matinale et malgré ça j'ai failli m'endormir à plusieurs reprises, surtout sur la fin. Après je ne jette pas tout non plus, visuellement il y a quand même de belles choses mais bon je suis resté assez insensible et hermétique à l’œuvre.

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J'ai éprouvé tout le contraire devant ce film :D J'ai adoré le style old school du film et puis c'est toujours terriblement jouissif de voir Stallone qui colle des beignes à tout le monde. D'autant plus qu'ici il fait très mal vu les pouvoirs dont il est pourvu. Le final dans le feu est un peu moche et improbable (genre la fumée n'affecte personne) mais bon ça n’entache en rien le plaisir pris devant l'ensemble.
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C'est très moyen pour ne pas dire mauvais. Le début est vaguement amusant mais ensuite les personnages deviennent imbuvables et ne font que débiter des inepties à la mitraillette pendant 2 heures. C'est vraiment un concours de celui qui a la plus grosse paire de couilles et à la longue ça devient lassant :D
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ClintReborn
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Pale a écrit :
lun. 29 août 2022 11:41
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C'est très moyen pour ne pas dire mauvais. Le début est vaguement amusant mais ensuite les personnages deviennent imbuvables et ne font que débiter des inepties à la mitraillette pendant 2 heures. C'est vraiment un concours de celui qui a la plus grosse paire de couilles et à la longue ça devient lassant :D
:lol: Je découvre l'existence de ce film
En 1996 ils ont sorti le très mauvais jeu sur la console Jaguar avec le même titre :rofl: Et je ne savais pas que c'était lier a un film en fait :lol: :lol: :lol: :lol:
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Loin d'un chef d'œuvre évidemment. Mais ça reste un film assez culte pour qui était gosse-ado dans mon quartier à l'époque de la sortie. On est tous allé le voir en salle et on se balançait des répliques à longueur de récré.

Il y a un projet de remake en cours d'ailleurs.
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ClintReborn a écrit :
lun. 29 août 2022 11:52
Pale a écrit :
lun. 29 août 2022 11:41
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C'est très moyen pour ne pas dire mauvais. Le début est vaguement amusant mais ensuite les personnages deviennent imbuvables et ne font que débiter des inepties à la mitraillette pendant 2 heures. C'est vraiment un concours de celui qui a la plus grosse paire de couilles et à la longue ça devient lassant :D
:lol: Je découvre l'existence de ce film
En 1996 ils ont sorti le très mauvais jeu sur la console Jaguar avec le même titre :rofl: Et je ne savais pas que c'était lier a un film en fait :lol: :lol: :lol: :lol:
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Je connaissais l'existence du film (d'ailleurs comme le dit Next, il a un petit statut de film culte) mais pas du jeu :D
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Préférence pour le précédent Dubosc. Après disons que la première partie est plutôt pas mal, drôle et attendrissante. Je suis un peu moins convaincu par la suite et le déroulement de l'histoire. Par contre le film se conclut par une très belle scène. Au final c'est bien mais sans plus.
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Pas de ciné prévu le week-end prochain.

Mon programme ciné de septembre :

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Peut-être :

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Sur Netflix et autres plateformes :

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Ma plus grosse attente : Blonde

J'attends énormément aussi Pinocchio et Don't Worry Darling.
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Le (minable) box-office US de ce week-end :

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https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw
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Ça a l'air énorme :D
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Ça n'atteint bien évidemment pas le niveau d'un Minority Report mais c'est pas mal du tout. Un thriller d'action et de science-fiction avec un scénario palpitant en mode puzzle où tout s'éclaircit au fur et à mesure. Bon après il faut passer outre l'exagération un peu ringarde propre à John Woo durant les cascades. D'ailleurs c'est marrant mais au milieu de nulle part, le réalisateur réussit à te mettre un pigeon qui vole au ralenti :D
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C'était le film idéal pour terminer mes vacances, histoire de déprimer encore un peu plus :D Alors certes on n'échappe pas aux clichés du teen movie américain indépendant avec un personnage principal qui est vraiment la caricature de l'ado renfermé sur lui même et qui a 2 de tension et à qui il faut 5 minutes pour répondre quand on lui parle mais ça ne manque pas de charme. C'est très mélancolique comme la fin d'un été ou d'une fête et certaines scènes ne m'ont pas laissé insensible. Les acteurs sont parfaits, Sam Rockwell en tête. J'adore tellement cet acteur.
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Nouveau film de Florian Zeller avec The Father.
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Lyricis Interactive

Une première image pour le film Netflix, The Pale Blue Eye réalisé par Scott Cooper (Crazy Heart, Les Brasiers de la colère, Strictly Criminal, Hostiles) avec en vedette Christian Bale, Harry Melling, Gillian Anderson, Robert Duvall, Charlotte Gainsbourg, Timothy Spall, Toby Jones. (adaptation du roman de Louis Bayard)

1830. Un détective chevronné enquête sur les meurtres qui ont eu lieu au sein de l'Académie militaire américaine de West Point, aidé par une jeune recrue méticuleuse qui deviendra plus tard un auteur mondialement connu, Edgar Allan Poe.

Sur Netflix le 6 janvier 2023.


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Cocu
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Pale a écrit :
mar. 30 août 2022 20:00
The Pale Blue Eye
Ca parle de tes yeux bleus? 😁
Pouet
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Pale
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Cocu a écrit :
mar. 30 août 2022 20:56
Pale a écrit :
mar. 30 août 2022 20:00
The Pale Blue Eye
Ca parle de tes yeux bleus? 😁
:lol: Pas que je sache.
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C'est incroyable mais l'actrice Charlbi Dean qui apparait sur cette affiche est décédée. Elle avait 32 ans :sweat:

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Cocu
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Pale a écrit :
mar. 30 août 2022 21:23
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C'est incroyable mais l'actrice Charlbi Dean qui apparait sur cette affiche est décédée. Elle avait 32 ans :sweat:

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On sait de quoi? 😥
Pouet
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