Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... zhFWd9jVNo
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Pale a écrit :
jeu. 8 sept. 2022 17:40
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J'ai l'impression que c'est un remake des 10 petits nègres d'Agatha Christie qui ne dit pas son nom :o :D
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Sans ordre de préférence, mes plus grosses attentes de cette fin d'année :

- Blonde
- Fumer fait tousser
- Avatar - La Voie de l'eau


C'est pas ouf :D

Des films que j'attends plus modérément :

- Don't Worry Darling
- Black Adam
- L'École du bien et du mal
- Enola Holmes 2
- Armageddon Time
- Black Panther: Wakanda Forever
- Troll
- Pinocchio
- Le Chat Potté 2 - La Dernière quête
- Glass Onion - Une histoire à couteaux tirés
- White Noise
- Les Banshees d'Inisherin
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Des concepts arts du nouveau Indiana Jones :

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Pale a écrit :
sam. 10 sept. 2022 09:14
Des concepts arts du nouveau Indiana Jones :

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C'est beau mais bon le film m'inquiète toujours autant :saint: Je me demande si dans le futur un réalisateur pourrait utiliser la franchise en faisant un Harrisson Ford "numérique" en deep fake :saint:
Il y a des sportifs de 80 ans :o Mais ma grande peur c'est que le film triche constamment pour faire oublier l'âge de Ford...
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Blonde : les premiers avis du sulfureux faux-biopic Netflix sur Marilyn Monroe sont là

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Blonde, le faux-biopic ultra-attendu de Netflix sur Marilyn Monroe, a reçu des premiers avis lors de sa présentation à la Mostra de Venise.

Il aura fallu attendre, attendre et encore attendre pour enfin voir Andrew Dominik revenir au cinéma de fiction. Son précédent film, Cogan : Killing Them Softly, était sorti en 2012 et depuis le monsieur n’a fait qu’un bref passage sur le petit écran pour la série Mindhunter et dévoilé un double documentaire sur Nick Cave. En vérité, pendant 10 ans, le cinéaste s’est surtout acharné à concrétiser son adaptation de Blonde, le faux-biopic de Marilyn Monroe écrit par Joyce Carol Oates.

Après des problèmes de financements, des changements de casting... tout s’est accéléré en 2016 lorsque Netflix a annoncé avoir acheté les droits de distribution du film. Malgré tout, entre des rumeurs de censure de Netflix à cause de scènes choquantes et une interdiction de Blonde aux mineurs, le chemin a été long et tortueux. Heureusement, finalement, Blonde, menée par Ana de Armas dans la peau de l’icône, va enfin débarquer sur la plateforme au N rouge. Alors qu’il n’a pu atterrir à Cannes à cause des réglementations du festival, le long-métrage a été présenté en compétition lors de la Mostra de Venise 2022. Et forcément, les premières critiques sont tombées. Revue de presse.

“Séduisant et kaléidoscopique, Blonde explore toute la complexité de Marilyn Monroe ainsi que celle de l’écosystème dans lequel elle et nous évoluons.” Jane Crowther - Total Film

“Blonde est magnifique, hypnotisant et, en même temps, profondément émouvant. Mais c’est aussi une œuvre sur l'aliénation – au sein même de sa conception – qui tourne constamment la caméra vers le spectateur, alors que Marilyn s’adresse à lui. Difficile de vendre un film aussi non linéaire et elliptique.” Bilge Ebiri - Vulture

“Le film nous rapproche bien plus de Marilyn que Elvis le faisait avec Elvis, en grande partie parce qu'il est construit autour de la performance d’Ana de Armas, époustouflante, d'une imagination, d'une candeur et d'une mélancolie à couper le souffle.” Owen Gleiberman - Variety

"La présence éblouissante de Ana de Armas est indiscutable. Mais le regard aussi décousu de son réalisateur et un scénario aussi désordonné, Ana de Mars fait simplement de son mieux face au monde chaotique de Marilyn Monroe et aussi face au chaos du film lui-même." Lex Briscuso - Slash Film

“C’est une œuvre impitoyable, nauséeuse et cruelle. Le film est totalement dépourvu d’espoir. [...] pourtant, la vision d’ensemble du réalisateur est convaincante et elle est exprimée avec une telle habileté visuelle, que les grands basculements de l’intrigue nous atteignent de plein fouet.” Jack King - The Playlist

“Le film nous donne peu à voir du travail de Marilyn ou de son environnement. C’est plus ou moins de la souffrance, tout le temps. Mais en mettant l’accent dessus, de Armas remplit absolument son rôle et parvient à fabriquer une impressionnante et terrifiante image de la démence de la gloire.” Richard Lawson - Vanity Fair

"Malgré toute la liberté que le film avait pour réimaginer la vie de la comédienne et la sauver de sa persécution, Blonde est trop occupé à la jeter dans son océan d’angoisses et de la regarder sombrer." Phil de Semlyen - Time Out

"Il y a une ligne très fine entre le fait de dépeindre la manière dont Marilyn Monroe a été sous-estimée et rejoindre ce qu’on essaye de démontrer. Blonde ne se retrouve pas toujours du bon côté de la ligne, mais propose malgré tout un impressionnant spectacle visuel. [...] Dominik choisit de tout le temps nous montrer l’actrice comme magnifique, peu importe à quel point son alter ego Norma Jeane est aliénée ou tourmentée. Plus intéressé par la surface que par la vie intérieure de ses personnages, Blonde est superficiel." Catherine Bray - Empire

"C’est un portrait de Marilyn Monroe qui accentue sa souffrance et son angoisse en la canonisant en une sainte féministe morte pour nos péchés scopophiles [le plaisir qu'on prend regarder des images-chocs, ndlr], et afin que nous puissions nous délecter de sa beauté et de son talent. Ce n’est pas vraiment un opéra, mais plutôt une sorte de rituel religieux des temps modernes, suivant le chemin de croix de Monroe. La Passion de Marilyn." Leslie Felperin - The Guardian

"La dimension tragique d’une femme admirée à travers le monde, dévorée par Hollywood et finalement abandonnée à son propre désespoir dans une petite maison ordinaire de Brentwood fait vibrer, car nous connaissons tous l’histoire malheureuse de Marilyn. Mais il est difficile de ne pas ressentir un certain malaise en voyant Dominik prendre son pied devant ce sordide spectacle. Ana de Armas s’abandonne pourtant totalement pour s’imprégner de la douleur de son personnage. Elle méritait mieux." David Rooney - The Hollywood Reporter

Des premiers avis plutôt divisés si l’on peut dire. Ce n’est évidemment pas une surprise tant le film est décrit comme impitoyable, sensoriel et assez expérimental par ces premiers retours. Un seul élément ne semble pas diviser les différentes critiques : la performance de Ana de Armas dans la peau de Marilyn Monroe. Alors que la comédienne cubano-espagnole avait reçu quelques critiques idiotes lors de la sortie de la bande-annonce concernant son accent, cela ne semble pas avoir dérangé les multiples critiques ayant découvert le long-métrage. Par ailleurs, la jeune comédienne s’est montrée très émue lors de la conférence de presse vénitienne, expliquant que ce rôle avait "changé sa vie".

Pour savoir si vous ferez partie du camp des conquis/subjugués ou des déçus/exaspérés, il ne faudra plus attendre bien longtemps. Blonde sera en effet disponible sur Netflix dès le 28 septembre 2022.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... SEt51EtmBg
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EL a aimé Revoir Paris (3,5 étoiles) :

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Comment raconter le désarroi qui survient après la violence et la peur ? En auscultant le quotidien d'une femme ayant survécu à une vague d'attentats, la réalisatrice Alice Winocour (Maryland, Proxima) nous propose de Revoir Paris avec Virginie Efira et Benoît Magimel.

FLASH-BACK


Quelques mois seulement après le procès des attentats du 13 novembre, qui occupa pendant 9 mois les citoyens français, les médias, l’appareil judiciaire et de nombreuses parties civiles, Revoir Paris sort au cinéma. Récit d’une reconstruction, on y suit Mia, survivante d’une série d’attentats survenus en plein Paris, en lutte avec une mémoire fragmentée et le désir de se confronter aux shrapnels de celle-ci.

Confrontation qui s’incarne ici doublement, puisque si le spectateur suit le parcours erratique de la protagoniste, contre ses souvenirs, ses proches et ce que lui intiment les autres survivants, il doit aussi faire face à l’attraction/répulsion qu’engendre chez le spectateur le projet d’encapsuler au sein d’une fiction des attentats parmi les plus meurtriers de l’histoire de France.

Comment transformer une tragédie et un traumatisme collectifs en narration de cinéma au sein d’une culture cinématographique encore rétive à la captation ou recréation du réel, du fait historique ? Tout d’abord semble assumer Alice Winocour, en ne se dissimulant jamais derrière les artifices du médium, mais en investissant au contraire l’infinie palette d’effets qu’il propose, en revendiquant justement son essence fictionnelle, avec ce qu’elle contient d’imperfections, et ce qu’elle autorise de libertés.

Renvoyer l’horreur au hors-champ aurait sans doute été une facilité aussi invalidante que verser dans la complaisance, ou l’enregistrement froid d’une violence insoutenable. Il faudra donc trouver une ligne de crête, et la conserver en investissant les moyens singuliers que met à disposition le cinéma.

CEUX QUI RESTENT

Une fenêtre close, un lent traveling démarre. Au-delà des vitres se dessine cet enchevêtrement de toits et de façades anarchiques, bien loin des perspectives haussmanniennes de vastes boulevards ornés de monuments géométriquement alignés qui ornent tant un certain cinéma français que les cartes postales à destination des grappes de touristes qui les arpentent. Quelques notes de musiques résonnent gravement. Alors que nous suivons le début de soirée contrarié de Mia, nous comprenons que la caméra de Winocour ne reculera pas, et s’apprête à se confronter à la représentation de l’horreur.

Celle-ci surgit soudain, impressionne par sa justesse. La précision des cadres, composés pour rendre saisissante la violence sans s’attarder ni sur ses ravages immédiats ni sur ses auteurs. Le travail du son, le son des chaussures écrasant les éclats de boiseries, les filaments de nappe ou les bris de verre saturent progressivement les tympans du spectateur, avant que le bruit sourd des corps heurtant le sol ne recouvre progressivement l’atmosphère. Coupure au noir. Ellipse.

Après cette ouverture éreintante, nous retrouvons Mia dans un quotidien à la fois paralysé et précipité. Elle veut tourner la page, mais n’y parvient pas, voudrait se débarrasser d’une terrible cicatrice, mais doit attendre. Avancer, tout en retournant sur les lieux de son trauma.

Ce double mouvement, fascinant, douloureux, mais insoluble, semble inspirer Alice Winocour qui surprend par l’acuité avec laquelle elle enregistre les déambulations de son héroïne. Qu’elle scrute la montée d’une irrépressible émotion sur le visage de Virginie Efira, ou sa progression décidée dans les rues de la capitale, ce qu’elle capture ici étonne, comme si la peine et la brutalité qui innervent cette histoire donnaient un sens nouveau, primaire, au titre de son long-métrage. C’est bien de Revoir Paris dont il est ici question, de l’aborder sous un œil neuf, mais pas dénué de vécu, ainsi que le traverse sa protagoniste.

VISER LE COEUR

Avec Maryland puis Proxima, un thriller et un drame avec l’exploration spatiale en toile de fond, la metteuse en scène avait exploré des univers assez éloignés du tout-venant de la production hexagonale. On retrouve dans son nouvel effort ce sentiment de déracinement désenchanté, ce foisonnement articulé autour d’un sens du montage comme de la photographie très spécifiques. Tantôt naturaliste, tantôt extrêmement stylisé, le film s'inquiète seulement de traduire le flux de pensées, le ressenti parfois chaotique de son personnage principal. Le monteur Julien Lacheray est de nouveau à la manœuvre, tandis que Stéphane Fontaine remplace à la photo son collaborateur attitré, George Lechaptois.

Mais cette nouvelle alliance s’avère des plus constructives, tant la plupart des séquences axées autour de la reconstruction mémorielle et de l’acceptation, aux côtés d’un stupéfiant Benoît Magimel, font œuvre de modestie et d’orfèvrerie. Au-delà de l’admiration pour l’intelligence du positionnement, c’est la capacité à transfigurer le factuel par le narratif, en d’autres termes, la recherche d’une vérité plutôt qu’une réalité, qui émeut. Et c’est tout ce qui importe finalement dans le geste de la cinéaste, donner à panser plutôt qu’à penser.

Pour ce faire, elle s’appuie grandement sur sa comédienne, dont la prestation est une nouvelle fois admirable. Et pourtant, Efira doit aussi composer avec les faiblesses d’un scénario qui se perd par endroit. En effet, le personnage de Mia confère à l’ensemble une chair à ce point sensible que l’arc qui la voit s’enquérir de l’identité d’une victime, d’une maladresse extrême, est rapidement recouvert par la puissance évocatrice de l’ensemble. Comme si l’actrice autorisait la protagoniste à remettre sur pied son spectateur en accomplissant sa mission initiale, celle de traductrice, levant pour nous le voile sur l’effroi et l’impensable inhérents à toute catastrophe.

Parce qu'il aborde une héroïne complexe en s'efforçant de n'oublier aucune de ses facettes, qui à embrasser les plus fragiles, le long-métrage nous tend un miroir brisé, dont tous les éclats ne jouissent pas de la même réflexion. Reste qu'en dépit d'une sous-intrigue aux accents un peu paternalistes, dont la candeur vire un peu à la naïveté pré-fabriquée, le parcours de Mia contient suffisamment d'irréfragable espoir pour nous tenir sinon, en vie, au moins en haleine.

Et si toute la grâce fragile et précieuse du long-métrage d'Alice Winocour tenait précisément dans la promesse de son titre ? Revoir Paris parvient contre toute attente à renouveler notre regard sur une Cité et ceux qui la peuplent, y compris dans la douleur. Et tant pis si cette errance parfois lumineuse se paie au prix de quelques approximations narratives.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 3UkS0zz_b0
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Revoir Paris je vais le voir demain :hot:

Cette semaine j'étais en arrêt maladie mal de dos et j'ai vu pas mal de choses. J'en touche un mot vite fait demain.
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Blanche-Neige et la sorcière :love: :D
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Un concept art de Avatar 2 :

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Ce que j'ai vu cette semaine :

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Oui je découvre seulement ce film. On retrouve une ambiance à la Rocky mais dans le monde du rap et des joutes verbales. Le final est épique et j'ai été assez impressionné par la prestation de Eminem, très à l'aise à l'écran. J'ai adoré.

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Film d'action et d'espionnage basique mais suffisamment haletant et rythmé pour que l'on ne s'y ennuie pas.

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Le film commence sur les chapeaux de roue et impressionne par certaines scènes ultra violentes. Le film accuse quand même de grosses baisses de rythme dans sa deuxième partie mais ça se mate sans problème.

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Ode au journalisme et à la créativité, j'ai malgré tout modérément apprécié. On ne retrouve plus cette spontanéité chez Wes Anderson, tout a l'air ultra calculé et automatique. Tous les sketches ne se valent pas, celui avec Timothée Chalamet est le pire je pense, j'ai failli m'endormir devant. Heureusement d'autres sketches sont plus attrayants. Après voilà ça ne manque quand même pas de charme dans l'ensemble.

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Ça commence comme un bon petit survival mais le film se transforme ensuite en banal thriller un peu mou du genou. Très moyen.

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24 ans après sa sortie, le film reste un ravissement niveau visuel. Après le tout reste prévisible et la fin est un peu trop vite expédiée. Mais ça reste joli, Raspoutine est un très bon méchant.

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Le film porte bien son nom, celui-ci commence par la gloire du boxeur James J. Braddock, puis de sa chute durant la grande dépression durant laquelle il perd tout et vit dans la misère avec sa famille avant de retrouver petit à petit le succès. J'ai beaucoup aimé ce film de Ron Howard, la reconstitution est très bonne et c'est probablement le film de boxe où j'ai le plus ressenti de la douleur durant les combats, certains coups font mal.

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Je découvre seulement ce Disney ^^ En fait j'adorais les vieux Disney dans mon enfance (ceux des années 50/60/70) mais parmi ceux qui sortaient au ciné durant mon enfance/adolescence, j'en ai loupé pas mal. Après c'est intéressant aussi de les découvrir sur le tard. Par exemple, j'ai trouvé qu'il y avait des scènes d'une cruauté absolue dans La Petite Sirène :D genre la scène des cuisines quand des poissons se font découper devant Sébastien . Donc voilà, je m'attendais à un Disney plutôt nunuche mais pas du tout, c'est parfois cruel, émouvant et Ursula a dû en traumatiser plus d'un :D

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J'ai beaucoup aimé, ça ne m'a pas laissé insensible même si paradoxalement j'ai trouvé qu'il y avait quand même une part de manipulation de la part du film, celui-ci ne fait pas toujours dans la finesse et la subtilité. Mais voilà j'ai quand même trouvé le tout assez captivant et le talent des acteurs n'y est pas pour rien.

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Tout le monde s'insurge et sort des messages ultra prévisibles et caricaturaux du style "Ouais vivement le Del Toro" pour faire bon genre et briller sur les réseaux :D Perso j'ai passé un excellent moment devant ce Pinocchio et ça écrase sans mal des trucs sur lesquels tout le monde se touche comme la dernière grosse esbroufe de George Miller qui lui bénéficie d'effets spéciaux largement plus indigestes et artificiels (la scène avec Einstein est un grand moment de gêne). Ici il y a un côté volontairement cartoonesque (en même temps c'est par le réalisateur de Qui veut la peau de Roger Rabbit) et ça fonctionne, Zemeckis ne se contente pas d'une adaptation plan par plan. Après voilà j'ai aussi des réserves, tout s'enchaine un peu trop vite sur la fin, des trucs auraient pu être plus développés mais la magie a quand même fonctionné sur moi. C'est très lumineux et on retrouve un sens du détail assez impressionnant dans les décors ou costumes.
Modifié en dernier par Pale le dim. 11 sept. 2022 09:39, modifié 1 fois.
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Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 09:28
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Oui je découvre seulement ce film. On retrouve une ambiance à la Rocky mais dans le monde du rap et des joutes verbales. Le final est épique et j'ai été assez impressionné par la prestation de Eminem, très à l'aise à l'écran. J'ai adoré.
Je viens de finir la série sur Orelsan sur Prime, je ne connaissais pas le chanteur (1/2 chansons qui passent à la radio sans savoir que c'était de lui) ça m'a un peu fait penser à ce film 😁
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Wickaël
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Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 09:28
Ce que j'ai vu cette semaine :
Eh bien en effet tu as vu pas mal de choses :D


De mon côté je suis (enfin) venu à bout de l'intégrale de Game of Thrones, et je n'ai pas été déçu. La série fait partie de mon Top 10.
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Wickaël a écrit :
dim. 11 sept. 2022 10:59
Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 09:28
Ce que j'ai vu cette semaine :
Eh bien en effet tu as vu pas mal de choses :D


De mon côté je suis (enfin) venu à bout de l'intégrale de Game of Thrones, et je n'ai pas été déçu. La série fait partie de mon Top 10.
Tu n'as pas fait un classement de tes saisons préférées ?

Question : Where is @robinne ? :crazy: :D
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Cocu a écrit :
dim. 11 sept. 2022 09:37
Je viens de finir la série sur Orelsan sur Prime, je ne connaissais pas le chanteur (1/2 chansons qui passent à la radio sans savoir que c'était de lui) ça m'a un peu fait penser à ce film 😁
Tu as aimé la série ?
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On a vu la bande-annonce démente d'Indiana Jones 5

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Au D23, Disney a dévoilé le trailer surexcitant du film de James Mangold, avec évidemment Harrison Ford de retour dans le rôle. Pour l'ultime fois, a-t-il confirmé. Première était sur place.

Moment de folie au D23 Expo, le grand raout Disney où la firme de Burbank présente une grande partie de ses projets pour les mois et les années à venir. Après une série d'annonces très molles autour de l'univers Star Wars (uniquement des séries Disney+, pas un seul film à se mettre sous la dent), Kathleen Kennedy, présidente de Lucasfilm, a terminé son panel en présentant les premières images d'Indiana Jones 5 – dont le titre officiel est pour le moment tout simplement Indiana Jones. La foule s'est levée comme un seul homme pour accueillir sur scène l'éternel explorateur lui-même, Harrison Ford. Visiblement ému (on jurerait avoir vu une larme couler), il assurait aux 7 500 personnes présentes au convention center d'Anaheim être « très fier » du travail du réalisateur James Mangold, présent à ses côtés avec l'actrice Phoebe Waller-Bridge. « On a une vraie aventure humaine à raconter, et c'est un film qui va vous botter le cul », a-t-il lancé, avant de confirmer qu'il s'agira de sa dernière apparition dans le rôle. « This is it ! »

Et cette bande-annonce, alors ? Surexcitante et menée à un rythme dingue : l'esprit des trois premiers films semble intact, et Mangold nous promène entre une ville désertique (où Indy semble se souvenir de son passé) et New York (pour une parade et une course-poursuite à cheval dans le métro), avec entre deux des plans sur Mads Mikkelsen en uniforme nazi, une scène d'action sur un train, une séquence très rigolote où Indy fait claquer son fouet face à une dizaine d'hommes armés (une sorte de miroir de la scène culte du premier film). Le trailer nous apprend également que Phoebe Waller-Bridge, dont le rôle était encore inconnu, joue la filleule d'Indiana Jones. Et sur plusieurs images, Harrison Ford est rajeuni numériquement (l'effet est assez saisissant), ce qui questionne sur la temporalité de l'histoire, qui n'a pas été dévoilée.

Pour en savoir plus, il faudra attendre que Lucasfilm décide de publier en ligne la bande-annonce (on sera évidemment là pour la décortiquer), mais en l'état James Mangold semble avoir réussi l'impossible pari de passer après Steven Spielberg. Indiana Jones 5 sortira en juin 2023.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... gJq6i89kk0
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On a vu plusieurs scènes bluffantes d'Avatar : La Voie de l'eau

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James Cameron revient sur Pandora et prouve qu'il est toujours le patron. Première était au D23 pour voir quelques scènes de ce blockbuster déjà révolutionnaire.

Depuis combien d'années n'avons-nous pas chaussé des lunettes 3D ? A peine le temps de se questionner sur l'utilité de cet artefact du passé que James Cameron nous prouve au contraire qu'il appartient au futur : la lumière s'éteint doucement dans le convention center d'Anaheim, où Disney organise le D23, sa grand-messe bi-annuelle, et plusieurs scènes d'Avatar : La Voie de l'eau sont projetées en 3D et 48 images par secondes. Si l'on a pu douter du bien-fondé de ce retour sur Pandora, Cameron nous force à rendre les armes : ces premières images sont un tour de force visuel, mélange bluffant de photoréalisme (Cette lumière ! Ce rendu de la peau !) et d'onirisme. De ce qu'on a pu en voir, Avatar 2 pourrait se résumer à la célèbre citation d'Arthur C. Clarke : « Toute technologie suffisamment avancée est indiscernable de la magie ».

Avec James Cameron en sorcier suprême de la tech, La Voie de l'eau se regarde comme un grand spectacle au sens forain du terme, un pur morceau de cinéma qui brouille toutes les frontières et va même piocher dans la grammaire visuelle du jeu vidéo. Treize ans ont passé depuis le premier Avatar, et ça se voit : l'effet 3D en lui-même est sidérant, l'image gagnant à la fois en profondeur et en relief (sur plusieurs plans, les objets et les corps semblent sortir de l'écran) avec une netteté absolument inédite – les 48 images/seconde doivent cependant bien aider, il faudra voir ce qui se passe dans une salle non équipée.

Sur les cinq scènes présentées au D23, plusieurs se déroulaient en mer, mettant à l'honneur le nouveau procédé de motion capture qui permet à Cameron de tourner sous l'eau. On a ainsi pu voir des Na’vi nager au milieu d'une faune marine extrêmement riche et « réaliste » (autant que peuvent l'être des espèces extraterrestres), avec certains Na'vi devant remonter régulièrement à la surface alors que d'autres semblent capable de respirer sans problème dans les profondeurs. Dans une autre séquence d'action particulièrement réussie et se déroulant de nuit, dans une forêt, Neytiri (Zoe Saldana) et Sully (Sam Worthington) tentent de sauver leurs enfants de Miles Quaritch (Stephen Lang), revenu d'entre les morts sous la forme d'un Na'vi.

Sigourney Weaver, qui joue cette fois Kiri, la fille adoptive de Neytiri et Sully (une ado, donc !), apparaît également dans un extrait très troublant car présenté sans aucun contexte : elle y observe Grace Augustine, son personnage du premier film, plongée dans un tube rempli de liquide (est-elle décédée ou dans le coma?) et l'on comprend qu'il s'agit de la mère de Kiri. Visiblement, Augustine était enceinte au moment de sa « mort », et deux autres personnages – un Na'vi et un humain - spéculent sur l'identité du père. Le mystère reste pour l'instant entier.

En direct à l'écran depuis la Nouvelle-Zélande, où il tourne en même temps Avatar 3 et 4, James Cameron s'est adressé au public : « On est en train de terminer [le montage et les effets spéciaux] de La Voie de l'eau et je sais que vous patientez depuis très longtemps. J'espère que vous trouverez que l'attente valait le coup ». Rassurons-le : il peut dormir sur ses deux oreilles.

Avatar : La Voie de l'eau sortira le 14 décembre prochain au cinéma.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 4LCZ3AHIdk
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Alice Winocour ne fait que s'améliorer, Au revoir Paris est probablement son meilleur film. Ce qui ne laisse pas insensible, c'est ce contraste du monde qui avance et les survivants dont la vie s'est arrêtée durant les attentats et qui tentent de se reconstruire physiquement et mentalement. Virgine Efira est absolument bouleversante dans son rôle de survivante qui tente de recoller les morceaux de ses souvenirs pour être en accord avec elle-même. J'ai quelques réserves par rapport à quelques petites longueurs ici et là de la part de la réalisatrice mais ça reste un très beau film.
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Miamsolo
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J'ai le même avis que toi pour David Gale. Un bon film, mais tu sens que le film n'est pas honnête avec le spectateur et veut jouer la carte de la manipulation :D Mais après ça reste une bonne découverte :bounce:

Sinon j'ai découvert Old Boy hier (pas le remake, l'original) et comment dire? ... J'ai rarement été aussi frustré en terminant un film. On me l'a tellement vendu comme un des plus grands films de tous les temps, ça m'a énervé de ne pas l'avoir apprécié autant que la majorité des gens. Je me suis dit: "tout ça pour ça?", et même les scènes qui sont adoubées par les spectateurs m'ont laissé un petit goût amer en bouche (rien que la scène du couloir, elle est sympa, mais quand tu as la moitié des figurants qui tape dans le vent, je suis désolé mais moi ça me sort du truc, je ne vois pas où est la soi-disant chorégraphie incroyable du film, franchement je ne comprends pas...)

J'avais lu le manga il y a quelques mois. Je trouve le manga bien meilleur sur le début, par contre la fin du film est un poil meilleure (car dans le manga c'est trop confus) :crazy:
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Wickaël
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Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 16:08
Tu n'as pas fait un classement de tes saisons préférées ?
Non mais j'ai noté chaque saison sur SC donc je pourrais aisément faire un classement, je m'en occupe ;)
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Pale
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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Fall est programmé cette semaine en Belgique. En vrai les deux films me tentent moyennement, on verra sur le moment.

Sur Netflix :

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Par le réalisateur de Le Mystère des pingouins que j'avais adoré.
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Wickaël
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Mon Top des saisons de GoT :

01. Saison 1 - 10/10
02. Saison 6 - 10/10
03. Saison 4 - 10/10
04. Saison 3 - 10/10
05. Saison 2 - 9/10
06. Saison 5 - 9/10
07. Saison 7 - 8/10
08. Saison 8 - 8/10

Meilleur épisode : S6-E9 - La bataille des bâtards :gore:
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Pale
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Miamsolo a écrit :
dim. 11 sept. 2022 17:18
J'ai le même avis que toi pour David Gale. Un bon film, mais tu sens que le film n'est pas honnête avec le spectateur et veut jouer la carte de la manipulation :D Mais après ça reste une bonne découverte :bounce:

Sinon j'ai découvert Old Boy hier (pas le remake, l'original) et comment dire? ... J'ai rarement été aussi frustré en terminant un film. On me l'a tellement vendu comme un des plus grands films de tous les temps, ça m'a énervé de ne pas l'avoir apprécié autant que la majorité des gens. Je me suis dit: "tout ça pour ça?", et même les scènes qui sont adoubées par les spectateurs m'ont laissé un petit goût amer en bouche (rien que la scène du couloir, elle est sympa, mais quand tu as la moitié des figurants qui tape dans le vent, je suis désolé mais moi ça me sort du truc, je ne vois pas où est la soi-disant chorégraphie incroyable du film, franchement je ne comprends pas...)

J'avais lu le manga il y a quelques mois. Je trouve le manga bien meilleur sur le début, par contre la fin du film est un poil meilleure (car dans le manga c'est trop confus) :crazy:
La Vie de David Gale : Le fait que Kevin Spacey soit lui même dans le coup, j'ai trouvé que ça décrédibilisait un peu l'ensemble. Mais le pire c'est que ça ne m'a pas empêché d'avoir des yeux humides à la fin :D
Modifié en dernier par Pale le dim. 11 sept. 2022 17:41, modifié 1 fois.
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Miamsolo a écrit :
dim. 11 sept. 2022 17:18
Sinon j'ai découvert Old Boy hier (pas le remake, l'original) et comment dire? ... J'ai rarement été aussi frustré en terminant un film. On me l'a tellement vendu comme un des plus grands films de tous les temps, ça m'a énervé de ne pas l'avoir apprécié autant que la majorité des gens. Je me suis dit: "tout ça pour ça?", et même les scènes qui sont adoubées par les spectateurs m'ont laissé un petit goût amer en bouche (rien que la scène du couloir, elle est sympa, mais quand tu as la moitié des figurants qui tape dans le vent, je suis désolé mais moi ça me sort du truc, je ne vois pas où est la soi-disant chorégraphie incroyable du film, franchement je ne comprends pas...)
Pas toujours évident de découvrir un film adoubé de la sorte :D

Mais j'avoue que la machination du kidnappeur m'avait pas mal impressionné :D
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Wickaël a écrit :
dim. 11 sept. 2022 17:29
Mon Top des saisons de GoT :

01. Saison 1 - 10/10
02. Saison 6 - 10/10
03. Saison 4 - 10/10
04. Saison 3 - 10/10
05. Saison 2 - 9/10
06. Saison 5 - 9/10
07. Saison 7 - 8/10
08. Saison 8 - 8/10

Meilleur épisode : S6-E9 - La bataille des bâtards :gore:
Mes saisons préférées restent les 4 premières (je pense que la 3 est ma préférée), les 4 suivantes sont interchangeables dans mon classement mais je les aime beaucoup aussi.

L'épisode 5 de la saison 8 est sacrément impressionnant aussi.
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Wickaël
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Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 17:40
L'épisode 5 de la saison 8 est sacrément impressionnant aussi.
Oui en terme de destruction c'est quelque chose.
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Wickaël a écrit :
dim. 11 sept. 2022 17:53
Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 17:40
L'épisode 5 de la saison 8 est sacrément impressionnant aussi.
Oui en terme de destruction c'est quelque chose.
T'as aimé Ramsay ? :D
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Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 16:16
Cocu a écrit :
dim. 11 sept. 2022 09:37
Je viens de finir la série sur Orelsan sur Prime, je ne connaissais pas le chanteur (1/2 chansons qui passent à la radio sans savoir que c'était de lui) ça m'a un peu fait penser à ce film 😁
Tu as aimé la série ?
Oui j'ai beaucoup aimé. J'ai aussi trouvé Orel très mignon quand il était jeune 😁😁
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Cocu a écrit :
dim. 11 sept. 2022 19:49
Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 16:16
Cocu a écrit :
dim. 11 sept. 2022 09:37
Je viens de finir la série sur Orelsan sur Prime, je ne connaissais pas le chanteur (1/2 chansons qui passent à la radio sans savoir que c'était de lui) ça m'a un peu fait penser à ce film 😁
Tu as aimé la série ?
Oui j'ai beaucoup aimé. J'ai aussi trouvé Orel très mignon quand il était jeune 😁😁
Du coup je te conseille ce film :

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Wickaël
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Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 19:45
T'as aimé Ramsay ? :D
Mais tellement, une enflure comme on en voit rarement :D
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Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 21:35
Du coup je te conseille ce film :

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Oui ils en parlent dans la série, je verrai peut-être..
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Wickaël a écrit :
dim. 11 sept. 2022 22:19
Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 19:45
T'as aimé Ramsay ? :D
Mais tellement, une enflure comme on en voit rarement :D
Je me souviens quand j'ai rattrapé la série sur le tard, j'ignorais l'existence de ce personnage. Durant ses premières apparitions dans la saison 3, tu te dis "putain il est trop cool et épique ce personnage" quand tu le vois sauver Théon dans les bois. Mais après tu découvres sa véritable nature :hehe:
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A couteaux tirés 2 : les premiers avis sur la suite Netflix sont tombés

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Après l'excellent A couteaux tirés, Rian Johnson revient déjà avec la suite, Glass Onion : une histoire à couteaux tirés, grâce à Netflix.

Rian Johnson a été conspué, à tort, pour Star Wars : Les Derniers Jedi en 2017 par les fans toxiques de l'univers de George Lucas. Heureusement, il semblerait que le monsieur ait réussi à trouver un autre endroit où s'épanouir sans avoir à subir ce genre de haine. En 2019, avec son whodunit À couteaux tirés, il avait réussi à remodeler le genre, en déjouer les codes, pour offrir une enquête amusante au casting cinq étoiles. Et forcément, ça a attiré l'attention puisque Netflix a tout simplement racheté les droits de "l'univers" et commandé deux suites à Rian Johnson.

Trois ans plus tard, la première suite, Glass Onion : une histoire à couteaux tirés est enfin terminée. Et avant de débarquer dans le catalogue du N rouge pour les fêtes de Noël, le long-métrage a été présenté en avant-première mondiale lors du Festival du Film International de Toronto. Autant dire que Netflix était confiant pour son À couteaux tirés 2 puisque le dévoiler aussi tôt, c'était prendre le risque de voir sa réputation détruite longtemps avant sa sortie. Mais sans surprise, le film a été accueilli de manière très positive. Revue de presse.

"Avec Glass Onion, Rian Johnson montre à quel point il maîtrise à la perfection à la fois le genre du whodunit et sa mise en scène. C'est du pur plaisir pop." The Playlist

"C'est tellement amusant de regarder ce que fait Johnson avec ce genre, surtout avec un casting aussi drôle et ludique. Avec Glass Onion, Johnson prouve qu'il est un trublion du cinéma de premier ordre." Collider

"Soyez rassurés : Johnson ne réinvente pas le whodunit avec Glass Onion, mais il prend un pied d'enfer à le déconstruire légèrement pour l'orienter à sa guise dans le sens de son scénario ultra-malin et son super détective." IndieWire

"Glass Onion est plus ample et plus précisément conçu que A couteaux tirés, mais ce qui est encore plus satisfaisant, c'est qu'il prend le temps d'observer ses personnages davantage plutôt que de tout de suite suivre leur déchéance." Vulture

"Le film offre plus d'actions, des châtiments délicieux, une structure plus audacieuse et des caméos vraiment surprenants simplement pour marquer le coup. Pourtant, il ne souffre jamais du sempiternel "donnons leur la même chose avec plus" comme le font souvent les suites de succès surprises. L'ensemble du casting est plus varié que dans A couteaux tirés, et la critique des riches désemparés est plus que pertinente à notre époque." The Hollywood Reporter

"Le plaisir qu'on prend devant Glass Onion vient en partie des twists de l'intrigue et des révélations choquantes mais hilarantes que Johnson nous balance à la figure à la vitesse de la lumière. Il y a des éclairs de génie dans chaque séquence qui viennent enrichir brillamment ce mystère captivant. Et comme Benoit Blanc, on s'accroche à l'idée de le résoudre." Slash Film

"Bien qu'il ne soit pas aussi agile dans son intrigue et bien que plusieurs éléments clés et motivations de personnages soient discutables, c'est un film sacrément plaisant, qui est au moins aussi drôle que le premier, si ce n'est plus." Screen Daily

"Plus encore qu'A couteaux tirés, Glass Onion est un thriller enveloppé dans une supercherie, elle-même nichée dans une énigme. Il s'agit évidemment d'un whodunit avec plusieurs suspects, mais tout cela s'accompagne de chemins de traverses, de flashbacks et d'éléments pour attirer l'attention, sans parler des deux homicides pour le prix d'un." Variety

"La suite plus extravagante et un peu facile de Johnson trouvera bien un public qui la préfère au film original. Elle est tellement bourrée d'éléments qu'elle sera sûrement plus amusante pour ceux qui apprécient d'en avoir pour leur argent. Et il faut dire que c'est difficile de ne pas s'amuser quand Johnson tire les ficelles, mais j'aurais aimé qu'il n'en tire pas autant ou qu'il tire un peu moins fort." The Guardian

Glass Onion : une histoire à couteaux tirés semble donc plus que convaincant. Avec une moyenne de 84/100 sur Metacritic avec 11 critiques recensés, le long-métrage de Rian Johnson se paye même son ainé puisque le film affichait une moyenne de 82/100. Ce n'est d'ailleurs pas totalement anodin puisque selon plusieurs critiques, ce Glass Onion est tout simplement meilleur que A couteaux tirés, notamment grâce à une enquête plus folle, un jeu avec le genre toujours aussi habile et un savant sens du rythme.

De quoi nous donner sacrément envie de découvrir ce que nous a réservé Rian Johnson avec cette suite en Grèce. Reste désormais à prendre son mal en patience d'ici sa sortie, le 23 décembre 2022 sur Netflix.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... pOxtAgbi2I
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robinne
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weird

Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 16:08


Question : Where is @robinne ? :crazy: :D
J’ai bien une idée, mais ça ne va pas te plaire :lol: *

:jap:
Merci de prendre des nouvelles ;)
Je ne voulais pas laisser de message avant d’avoir lu tous les messages non lus durant mes congés, mais ça me semble impossible :lol:


* in the kitchen, bien entendu, avec Brian :D :lol:
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Pale
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robinne a écrit :
lun. 12 sept. 2022 17:59
Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 16:08


Question : Where is @robinne ? :crazy: :D
J’ai bien une idée, mais ça ne va pas te plaire :lol: *

:jap:
Merci de prendre des nouvelles ;)
Je ne voulais pas laisser de message avant d’avoir lu tous les messages non lus durant mes congés, mais ça me semble impossible :lol:


* in the kitchen, bien entendu, avec Brian :D :lol:
:hello:

Il n'y a pas tant de pages que cela en fait :D

J'ai pas la réf :D
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robinne
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weird

Pale a écrit :
lun. 12 sept. 2022 18:17
robinne a écrit :
lun. 12 sept. 2022 17:59
Pale a écrit :
dim. 11 sept. 2022 16:08


Question : Where is @robinne ? :crazy: :D
J’ai bien une idée, mais ça ne va pas te plaire :lol: *

:jap:
Merci de prendre des nouvelles ;)
Je ne voulais pas laisser de message avant d’avoir lu tous les messages non lus durant mes congés, mais ça me semble impossible :lol:


* in the kitchen, bien entendu, avec Brian :D :lol:
:hello:

Il n'y a pas tant de pages que cela en fait :D

J'ai pas la réf :D
Tu parles uniquement du Cercle ou de tout le forum ?

« Brian is in the kitchen » était une phrase que beaucoup de petits Français ont dite pour apprendre l’anglais.
Même Gad Elmaleh en parle :o
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Pale
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robinne a écrit :
lun. 12 sept. 2022 19:32
Tu parles uniquement du Cercle ou de tout le forum ?

« Brian is in the kitchen » était une phrase que beaucoup de petits Français ont dite pour apprendre l’anglais.
Même Gad Elmaleh en parle :o
Je voulais dire sur Le Cercle depuis ton absence :D Après c'est vrai qu'il doit y avoir largement plus à rattraper sur le forum.
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