Faut croire que les rééditions BR/4k du SDA/Hobbit sont plus intéressantes pour lui
Le Cercle des profileurs disparus
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BoBleMexicain
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faudra comptabiliser le nombre de versions sorties depuis le début mais vraiment ya de l abus .....
je crois que aucune franchise n a eté rincé autant que celle la
même star Wars est loin derrière
à tous, content de voir que le topic se soit régénéré dans le multiverse 
Test d'avatar
et de smiley 
Je ne suis pas trop allé au ciné cette année, encore moins depuis le confinement.
Dernièrement j'ai vu Tenet bien aimé mais pas transcendé !
Et sur Netflix, Enola Holmes qui est sympa
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Skipper Mike
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Nouveau forum, pas de vraie modération, donc enfin je vais pouvoir me lâcher et être violemment subversif.
On va enfin pouvoir poster nos tops Philippe Falardeau aussiSkipper Mike a écrit : ↑mar. 13 oct. 2020 00:15Nouveau forum, pas de vraie modération, donc enfin je vais pouvoir me lâcher et être violemment subversif.
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Zarbon Hayase
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Je diras meme plusSkipper Mike a écrit : ↑mar. 13 oct. 2020 00:15
Nouveau forum, pas de vraie modération, donc enfin je vais pouvoir me lâcher et être violemment subversif.
Yoko Kanno - Moon
https://www.youtube.com/watch?v=IaAVuyp1yiM
Mon Top Film Vu et Revu en 2022 :
https://www.senscritique.com/liste/top_ ... 22/3164292
https://www.youtube.com/watch?v=IaAVuyp1yiM
Mon Top Film Vu et Revu en 2022 :
https://www.senscritique.com/liste/top_ ... 22/3164292
à tous les allogéens et bonne journéeportez-vous bien
edit : pourquoi tu te fais chier à saluer on ne te réponds pas comme tout à l'heure les conducteurs de bus qui se plaignent des incivilités mais ne te regardent même pas quand tu es poli avec eux
Modifié en dernier par Kit le mar. 13 oct. 2020 16:56, modifié 1 fois.
Vosg'patt de cœur
EL a aimé Drunk (3,5 étoiles) :
Et si les êtres humains vivaient leur meilleure vie sous l'influence de l'alcool ? C'est l'hypothèse de quatre amis, qui tentent de dynamiser leurs existences monotones grâce à la bouteille. Peu importe le flacon, Thomas Vinterberg nous propose avec Drunk sa recette de l'ivresse.
ALCOOL AND THE GANG
Cinéaste à la filmographie plus ronde et aimante que ne le laissent entendre les surpuissants Festen et La Chasse, le Danois Thomas Vinterberg compose depuis 1998 une carrière qui va alternativement piocher du côté des zones de tension de nos sociétés, et en direction d’un geste plus volontiers académique, comme en témoigne le plaisant, mais très sage Loin de la foule déchaînée.
Avec Drunk et sa bande de vieux copains décidés à doper leur vie à la bibine, il parvient, peut-être pour la première fois, à mêler ces deux veines de son cinéma. Étude au scalpel qui sidère souvent par sa douceur, le film cristallise le talent singulier de Vinterberg, co-créateur aux côtés de Lars von Trier du Dogme95, dont il s'impose comme un passionnant reflet inversé, peuplé de personnages affligés dont le réalisateur ne désespère jamais.
Si la photographie et le découpage du film paraissent prolonger ses œuvres les plus mordantes, que la précision du montage comme la lumière enivrante de l’image donnent à ce récit des airs de piège bienveillant, on sent aussi que le metteur en scène est profondément désireux d’embrasser ses protagonistes, et ne les regarde jamais en entomologiste. Au contraire, si bien des artistes auraient abordé les destinées imbibées de Martin, Tommy, Peter et Nikolaj avec un mélange de moraline et de cynisme, Vinterberg ne cède jamais à ce type de travers.
Au contraire, au fur et à mesure que progresse la murge filmique, c’est une grande chaleur, une empathie qui abat tout sur son passage, qui étreint l’ensemble de l’œuvre. Le scénario ne le dissimule jamais, notre quatuor de poivrots a fait un choix aux conséquences lourdes, une expérience traumatisante pour tous, sacrificielle pour les uns, quand bien même elle a des airs de transcendance brut(al)e. Mais dans Drunk, l’horreur ne provient jamais de la soif du buveur, ou de la déchéance de la gueule de bois, plutôt de la révoltante banalité du monde.
LE BOIRE POUR LE CROIRE
Et c’est ce positionnement, à la fois doux et cruel, qui confère à Drunk sa pertinence, qui lui permet de dépasser la simple malice de son concept, de ne jamais s’encombrer d’aucune forme de puritanisme, pour mieux nous asséner un message trouble et terrible. Oui, l’existence éthylique de nos héros charrie quelque chose de pathétique, de minablement tragique. Alors qu’ils feignent de se délester des pesanteurs de leurs quotidiens, ils ne s’élèvent au-dessus de leur gangue de médiocrité que pour mieux s’y vautrer, sèchement, les dents sur le bitume.
Et pourtant, face à eux, qu’ils doutent ou s’entêtent, le constat demeure inchangé. Le monde est trop étriqué, trop falot et rabougri pour leur proposer autre chose qu’un inexorable rétrécissement de l’horizon. Martin (Mads Mikkelsen), le jeune historien prometteur est devenu un quadragénaire emmerdant comme un jour de pluie, et rien, ni ses collègues ni sa famille, ne peuvent amoindrir cette équation. Dès lors, que reste-t-il, pour survivre et retrouver un instant la caresse de l’inconstance, sinon l’ivresse ? Le constat, sous ses airs de cuite ensoleillée, cohabite avec une gueule de bois sourde, un désespoir souriant, dont les effets ne sauraient se dissiper rapidement.
On pourra regretter que le récit prenne un tout petit peu trop son temps durant son premier tiers, comme si Vinterberg ne faisait pas tout à fait assez confiance à sa mise en scène (qui aura rarement atteint de tels sommets d’épure et d’intelligence) et voulait s’assurer de bétonner la construction de ses personnages. Il faut ainsi un peu de temps à Drunk pour tout à fait se mettre en place, et nous immerger dans un raz-de-marée de Sazeracs on the rocks. Un grief bien vite oublié devant l’étourdissement provoqué par le film, qui culmine lors d’un final irrésistible, nous entraînant dans une danse à la fois misérable et héroïque.
S'il faut un peu de temps à Thomas Vinterberg pour installer son alcoolique expérience, cette dernière finit par l'emporter dans un tourbillon d'humanité et de cinéma qui laissent le spectateur titubant et rassasié.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... XR3nG6iVwE
Et si les êtres humains vivaient leur meilleure vie sous l'influence de l'alcool ? C'est l'hypothèse de quatre amis, qui tentent de dynamiser leurs existences monotones grâce à la bouteille. Peu importe le flacon, Thomas Vinterberg nous propose avec Drunk sa recette de l'ivresse.
ALCOOL AND THE GANG
Cinéaste à la filmographie plus ronde et aimante que ne le laissent entendre les surpuissants Festen et La Chasse, le Danois Thomas Vinterberg compose depuis 1998 une carrière qui va alternativement piocher du côté des zones de tension de nos sociétés, et en direction d’un geste plus volontiers académique, comme en témoigne le plaisant, mais très sage Loin de la foule déchaînée.
Avec Drunk et sa bande de vieux copains décidés à doper leur vie à la bibine, il parvient, peut-être pour la première fois, à mêler ces deux veines de son cinéma. Étude au scalpel qui sidère souvent par sa douceur, le film cristallise le talent singulier de Vinterberg, co-créateur aux côtés de Lars von Trier du Dogme95, dont il s'impose comme un passionnant reflet inversé, peuplé de personnages affligés dont le réalisateur ne désespère jamais.
Si la photographie et le découpage du film paraissent prolonger ses œuvres les plus mordantes, que la précision du montage comme la lumière enivrante de l’image donnent à ce récit des airs de piège bienveillant, on sent aussi que le metteur en scène est profondément désireux d’embrasser ses protagonistes, et ne les regarde jamais en entomologiste. Au contraire, si bien des artistes auraient abordé les destinées imbibées de Martin, Tommy, Peter et Nikolaj avec un mélange de moraline et de cynisme, Vinterberg ne cède jamais à ce type de travers.
Au contraire, au fur et à mesure que progresse la murge filmique, c’est une grande chaleur, une empathie qui abat tout sur son passage, qui étreint l’ensemble de l’œuvre. Le scénario ne le dissimule jamais, notre quatuor de poivrots a fait un choix aux conséquences lourdes, une expérience traumatisante pour tous, sacrificielle pour les uns, quand bien même elle a des airs de transcendance brut(al)e. Mais dans Drunk, l’horreur ne provient jamais de la soif du buveur, ou de la déchéance de la gueule de bois, plutôt de la révoltante banalité du monde.
LE BOIRE POUR LE CROIRE
Et c’est ce positionnement, à la fois doux et cruel, qui confère à Drunk sa pertinence, qui lui permet de dépasser la simple malice de son concept, de ne jamais s’encombrer d’aucune forme de puritanisme, pour mieux nous asséner un message trouble et terrible. Oui, l’existence éthylique de nos héros charrie quelque chose de pathétique, de minablement tragique. Alors qu’ils feignent de se délester des pesanteurs de leurs quotidiens, ils ne s’élèvent au-dessus de leur gangue de médiocrité que pour mieux s’y vautrer, sèchement, les dents sur le bitume.
Et pourtant, face à eux, qu’ils doutent ou s’entêtent, le constat demeure inchangé. Le monde est trop étriqué, trop falot et rabougri pour leur proposer autre chose qu’un inexorable rétrécissement de l’horizon. Martin (Mads Mikkelsen), le jeune historien prometteur est devenu un quadragénaire emmerdant comme un jour de pluie, et rien, ni ses collègues ni sa famille, ne peuvent amoindrir cette équation. Dès lors, que reste-t-il, pour survivre et retrouver un instant la caresse de l’inconstance, sinon l’ivresse ? Le constat, sous ses airs de cuite ensoleillée, cohabite avec une gueule de bois sourde, un désespoir souriant, dont les effets ne sauraient se dissiper rapidement.
On pourra regretter que le récit prenne un tout petit peu trop son temps durant son premier tiers, comme si Vinterberg ne faisait pas tout à fait assez confiance à sa mise en scène (qui aura rarement atteint de tels sommets d’épure et d’intelligence) et voulait s’assurer de bétonner la construction de ses personnages. Il faut ainsi un peu de temps à Drunk pour tout à fait se mettre en place, et nous immerger dans un raz-de-marée de Sazeracs on the rocks. Un grief bien vite oublié devant l’étourdissement provoqué par le film, qui culmine lors d’un final irrésistible, nous entraînant dans une danse à la fois misérable et héroïque.
S'il faut un peu de temps à Thomas Vinterberg pour installer son alcoolique expérience, cette dernière finit par l'emporter dans un tourbillon d'humanité et de cinéma qui laissent le spectateur titubant et rassasié.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... XR3nG6iVwE
Disney évolue en Netfix et laisse couler les cinémas pour le streaming
Disney a révisé sa stratégie de diffusion pour donner la priorité au streaming, dans le but de devenir une sorte de méga-Netflix du cinéma.
Après la sortie de Mulan sur Disney+ (déjà active aux États-Unis, prévue au 4 décembre en France) et la récente annonce de l'arrivée de Soul le 25 décembre sur la plateforme, il n'y avait plus tellement de doute concernant la volonté du studio de laisser sombrer les salles obscures vidées par la crise sanitaire mondiale, qui oblige encore une bonne partie des cinémas à garder leurs portes fermées aux États-Unis.
Avant même la rétrogradation du prochain Pixar, il était annoncé que ce modèle de diffusion en streaming pourrait devenir la nouvelle norme. C'est donc sans surprise que la firme a réorganisé en profondeur ses activités médias et divertissements qui ont fusionné en une seule division, désormais chargée de la distribution du contenu, de la vente de publicités et de Disney+.
Cette nouvelle branche gérée par Kareem Daniel décidera notamment du calendrier des sorties de films au cinéma et sur internet ainsi que de leur monétisation. Bob Chapek, le nouveau boss de Disney, s'est exprimé dans un communiqué :
"Nous sommes en train de faire pencher la balance du côté de la diffusion en continu. [...] Étant donné l'incroyable succès de Disney+ et de nos projets pour accélérer notre activité "direct to consumer", nous nous positionnons stratégiquement pour soutenir efficacement notre stratégie de croissance et augmenter la valeur pour nos actionnaires."
Alors que les spectateurs fuient les salles, Disney+, lancé en novembre dernier aux États-Unis, a réussi à rattraper les finances du studio en regroupant plus de 60,5 millions d'abonnés (et près de 100 millions avec Hulu et ESPN+).
Le groupe a donc immédiatement senti le filon et commencé à expérimenter la formule avec Artemis Fowl, qui a été un des premiers films à être privé de salles, avant de pousser le processus avec le remake à gros budget de Niki Caro en SVoD Premium en Amérique du Nord, c'est-à-dire en payant 30 dollars en plus du prix de l'abonnement, contrairement en France où le film arrivera finalement sur le catalogue sans frais supplémentaires le 4 décembre prochain. Le modèle a encore changé avec la sortie du film d'animation de Pete Docter, en SVoD classique, malgré un budget à 150 millions (hors frais marketing).
Si ce système de guichet unique sera très probablement catastrophique pour les exploitants, pour enfoncer le clou, Bob Chapek a également déclaré que cette réorganisation pourrait entraîner une nouvelle réduction du personnel. Mais il ne s'agira probablement pas de la même ampleur que celle de septembre dernier qui a vu 28 000 employés des parcs à thèmes de la société prendre la porte.
Pour l'instant, il est toujours prévu que les films comme ceux du MCU ou les Star Wars sortent en salles, Black Widow étant attendu le 7 mai 2021 à domicile pour lancer la Phase 4 de l'univers étendu. La question se pose néanmoins pour les prochains Jungle Cruise, prévu le 28 juillet 2021 ou Indiana Jones 5, calé au 22 juillet 2022.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 6fd3BDd_0E
Disney a révisé sa stratégie de diffusion pour donner la priorité au streaming, dans le but de devenir une sorte de méga-Netflix du cinéma.
Après la sortie de Mulan sur Disney+ (déjà active aux États-Unis, prévue au 4 décembre en France) et la récente annonce de l'arrivée de Soul le 25 décembre sur la plateforme, il n'y avait plus tellement de doute concernant la volonté du studio de laisser sombrer les salles obscures vidées par la crise sanitaire mondiale, qui oblige encore une bonne partie des cinémas à garder leurs portes fermées aux États-Unis.
Avant même la rétrogradation du prochain Pixar, il était annoncé que ce modèle de diffusion en streaming pourrait devenir la nouvelle norme. C'est donc sans surprise que la firme a réorganisé en profondeur ses activités médias et divertissements qui ont fusionné en une seule division, désormais chargée de la distribution du contenu, de la vente de publicités et de Disney+.
Cette nouvelle branche gérée par Kareem Daniel décidera notamment du calendrier des sorties de films au cinéma et sur internet ainsi que de leur monétisation. Bob Chapek, le nouveau boss de Disney, s'est exprimé dans un communiqué :
"Nous sommes en train de faire pencher la balance du côté de la diffusion en continu. [...] Étant donné l'incroyable succès de Disney+ et de nos projets pour accélérer notre activité "direct to consumer", nous nous positionnons stratégiquement pour soutenir efficacement notre stratégie de croissance et augmenter la valeur pour nos actionnaires."
Alors que les spectateurs fuient les salles, Disney+, lancé en novembre dernier aux États-Unis, a réussi à rattraper les finances du studio en regroupant plus de 60,5 millions d'abonnés (et près de 100 millions avec Hulu et ESPN+).
Le groupe a donc immédiatement senti le filon et commencé à expérimenter la formule avec Artemis Fowl, qui a été un des premiers films à être privé de salles, avant de pousser le processus avec le remake à gros budget de Niki Caro en SVoD Premium en Amérique du Nord, c'est-à-dire en payant 30 dollars en plus du prix de l'abonnement, contrairement en France où le film arrivera finalement sur le catalogue sans frais supplémentaires le 4 décembre prochain. Le modèle a encore changé avec la sortie du film d'animation de Pete Docter, en SVoD classique, malgré un budget à 150 millions (hors frais marketing).
Si ce système de guichet unique sera très probablement catastrophique pour les exploitants, pour enfoncer le clou, Bob Chapek a également déclaré que cette réorganisation pourrait entraîner une nouvelle réduction du personnel. Mais il ne s'agira probablement pas de la même ampleur que celle de septembre dernier qui a vu 28 000 employés des parcs à thèmes de la société prendre la porte.
Pour l'instant, il est toujours prévu que les films comme ceux du MCU ou les Star Wars sortent en salles, Black Widow étant attendu le 7 mai 2021 à domicile pour lancer la Phase 4 de l'univers étendu. La question se pose néanmoins pour les prochains Jungle Cruise, prévu le 28 juillet 2021 ou Indiana Jones 5, calé au 22 juillet 2022.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 6fd3BDd_0E
EL a beaucoup aimé la série La Flamme avec Jonathan Cohen (4 étoiles) :
Jusqu'au boutiste et irrévérencieuse, La Flamme est sûrement la sensation comique du petit écran (voire plus) de l'année 2020.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... 8Rzh0qbdO8
Un autre avis moins dithyrambique mais positif :
"Parfois maladroite quand elle veut jouer la carte de l'absurde mongoloïde, la série est hilarante quand elle reste sur les rails du pastiche, en partie grâce à son casting en feu."
Jusqu'au boutiste et irrévérencieuse, La Flamme est sûrement la sensation comique du petit écran (voire plus) de l'année 2020.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... 8Rzh0qbdO8
Un autre avis moins dithyrambique mais positif :
"Parfois maladroite quand elle veut jouer la carte de l'absurde mongoloïde, la série est hilarante quand elle reste sur les rails du pastiche, en partie grâce à son casting en feu."
Tenet continue sa chute, avec un dernier souffle au box-office
Après un règne de six semaines, Tenet a été détrôné au box-office nord-américain ce week-end, par la comédie Mon grand-père et moi.
Alors que le film de Christopher Nolan venait de dépasser les 300 millions de dollars au box-office mondial, pour un total de 45 millions sur le territoire domestique, lors de son cinquième week-end d'exploitation, Tenet s'est fait évincer de la première place du box-office domestique, après un règne de six semaines consécutives.
Un règne qui prend fin suite à l'arrivée d'un concurrent assez inattendu, puisqu'il s'agit de la comédie Mon grand-père et moi, avec Robert De Niro qui continue d'abîmer sa fin de carrière, après avoir brillé dans The Irishman de Martin Scorsese entre temps, dans le rôle d'un papi qui déclare la guerre contre son petit fils. Une comédie américaine très grasse (on vous dit pourquoi on n’a pas aimé par ici) qui vient de détrôner celui qui était considéré, encore récemment, comme le messie cinématographique de l'année.
Après que Tenet ait perdu la tête récemment du box-office français à cause de la comédie Mon cousin, les choses ont donc également basculé durant ce septième week-end d'exploitation aux États-Unis. En effet, le blockbuster de Nolan n'a engendré que 2,1 millions de dollars au box-office domestique, soit 22% de moins par rapport à son week-end précédent. À titre de comparaison, Mon grand-père et moi a opéré un démarrage à 3,6 millions de dollars pour son premier week-end d'exploitation, sur 2 250 salles, contre 2 215 pour Tenet.
Selon Deadline, Laurent Ouaknine, le président du distributeur 101 Studios, qui distribue le film dans les salles américaines, s'est félicité du succès de la comédie avec Robert De Niro au box-office domestique : "Je suis vraiment ravi que 101 Studios ait pu offrir au public une comédie qui ramène toute la famille au cinéma."
Un succès qui pourrait mettre fin à la carrière domestique du blockbuster de Christopher Nolan, déjà en perte de vitesse depuis quelque temps, après une chute drastique lors de sa deuxième semaine, que ce soit sur le territoire domestique ou au box-office français. Doit-on mettre ce semi-échec, au box-office domestique, sur le compte du casse-tête que représente le film de Nolan pour le public ?
En effet, peut-être que Tenet est beaucoup trop cérébral ou complexe dans sa compréhension pour inciter le public américain à retourner en salles, là où une comédie familiale avec Robert De Niro en tête d'affiche peut ramener les familles au cinéma, malgré la pandémie.
Le constat est assez similaire en France, avec le succès de deux comédies qui ont relégué Tenet à la troisième place au box-office, Mon Cousin en tête, mais aussi Antoinette dans les Cévennes, une petite comédie indépendante qui vient de dépasser les 500 000 entrées. Un succès étonnant, qui n'aurait probablement pas eu lieu en dehors du contexte de la pandémie. Peut-être que le public a donc, en effet, plus besoin d'une comédie que d'un blockbuster à 200 millions de dollars pour avoir envie de retourner dans les salles en famille.
Pour rappel, Tenet est toujours actuellement en salles, mais il y a aussi d'autres petits films tout aussi intéressants qui valent le coup d'oeil, notamment Antoinette dans les Cévennes qu'on ne peut que vous encourager à allez voir. En attendant, vous pouvez toujours découvrir ce que l'on pense du blockbuster de Christopher Nolan, avec notre critique disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... cqgKmh6zrU
Après un règne de six semaines, Tenet a été détrôné au box-office nord-américain ce week-end, par la comédie Mon grand-père et moi.
Alors que le film de Christopher Nolan venait de dépasser les 300 millions de dollars au box-office mondial, pour un total de 45 millions sur le territoire domestique, lors de son cinquième week-end d'exploitation, Tenet s'est fait évincer de la première place du box-office domestique, après un règne de six semaines consécutives.
Un règne qui prend fin suite à l'arrivée d'un concurrent assez inattendu, puisqu'il s'agit de la comédie Mon grand-père et moi, avec Robert De Niro qui continue d'abîmer sa fin de carrière, après avoir brillé dans The Irishman de Martin Scorsese entre temps, dans le rôle d'un papi qui déclare la guerre contre son petit fils. Une comédie américaine très grasse (on vous dit pourquoi on n’a pas aimé par ici) qui vient de détrôner celui qui était considéré, encore récemment, comme le messie cinématographique de l'année.
Après que Tenet ait perdu la tête récemment du box-office français à cause de la comédie Mon cousin, les choses ont donc également basculé durant ce septième week-end d'exploitation aux États-Unis. En effet, le blockbuster de Nolan n'a engendré que 2,1 millions de dollars au box-office domestique, soit 22% de moins par rapport à son week-end précédent. À titre de comparaison, Mon grand-père et moi a opéré un démarrage à 3,6 millions de dollars pour son premier week-end d'exploitation, sur 2 250 salles, contre 2 215 pour Tenet.
Selon Deadline, Laurent Ouaknine, le président du distributeur 101 Studios, qui distribue le film dans les salles américaines, s'est félicité du succès de la comédie avec Robert De Niro au box-office domestique : "Je suis vraiment ravi que 101 Studios ait pu offrir au public une comédie qui ramène toute la famille au cinéma."
Un succès qui pourrait mettre fin à la carrière domestique du blockbuster de Christopher Nolan, déjà en perte de vitesse depuis quelque temps, après une chute drastique lors de sa deuxième semaine, que ce soit sur le territoire domestique ou au box-office français. Doit-on mettre ce semi-échec, au box-office domestique, sur le compte du casse-tête que représente le film de Nolan pour le public ?
En effet, peut-être que Tenet est beaucoup trop cérébral ou complexe dans sa compréhension pour inciter le public américain à retourner en salles, là où une comédie familiale avec Robert De Niro en tête d'affiche peut ramener les familles au cinéma, malgré la pandémie.
Le constat est assez similaire en France, avec le succès de deux comédies qui ont relégué Tenet à la troisième place au box-office, Mon Cousin en tête, mais aussi Antoinette dans les Cévennes, une petite comédie indépendante qui vient de dépasser les 500 000 entrées. Un succès étonnant, qui n'aurait probablement pas eu lieu en dehors du contexte de la pandémie. Peut-être que le public a donc, en effet, plus besoin d'une comédie que d'un blockbuster à 200 millions de dollars pour avoir envie de retourner dans les salles en famille.
Pour rappel, Tenet est toujours actuellement en salles, mais il y a aussi d'autres petits films tout aussi intéressants qui valent le coup d'oeil, notamment Antoinette dans les Cévennes qu'on ne peut que vous encourager à allez voir. En attendant, vous pouvez toujours découvrir ce que l'on pense du blockbuster de Christopher Nolan, avec notre critique disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... cqgKmh6zrU
John David Washington et Emmanuel Lubezski rejoignent le film mystérieux de David O. Russell
Margot Robbie et Christian Bale ont déjà été annoncés au casting.
En début d'année, on apprenait que cinq ans après Joy, David O. Russell devait tourner son nouveau film en avril avec les fidèles Christian Bale et Robert De Niro, mais aussi Margot Robbie et Michael B. Jordan. Variety révèle à présent que l'acteur de Black Panther ne sera finalement pas de la partie, remplacé par John David Washington, vu récemment dans Blackkklansman et Tenet, et que les prises de vue démarreront en début d'année 2021, à Los Angeles. Deadline donne de son côté le nom du chef opérateur de ce film pour l'instant sans titre, et sans pitch : Emmanuel Lubezki, connu notamment pour ses collaborations avec Alfonso Cuaron (Y Tu Mama Tambien, Les Fils de l'homme, Gravity...) ou Alejandro Gonzalez Inarritu (Birdman, The Revenant).
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... _Pqx8LAfXo
Margot Robbie et Christian Bale ont déjà été annoncés au casting.
En début d'année, on apprenait que cinq ans après Joy, David O. Russell devait tourner son nouveau film en avril avec les fidèles Christian Bale et Robert De Niro, mais aussi Margot Robbie et Michael B. Jordan. Variety révèle à présent que l'acteur de Black Panther ne sera finalement pas de la partie, remplacé par John David Washington, vu récemment dans Blackkklansman et Tenet, et que les prises de vue démarreront en début d'année 2021, à Los Angeles. Deadline donne de son côté le nom du chef opérateur de ce film pour l'instant sans titre, et sans pitch : Emmanuel Lubezki, connu notamment pour ses collaborations avec Alfonso Cuaron (Y Tu Mama Tambien, Les Fils de l'homme, Gravity...) ou Alejandro Gonzalez Inarritu (Birdman, The Revenant).
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... _Pqx8LAfXo
Emmanuel LubezskiPale a écrit : ↑mar. 13 oct. 2020 16:14John David Washington et Emmanuel Lubezski rejoignent le film mystérieux de David O. Russell
Margot Robbie et Christian Bale ont déjà été annoncés au casting.
En début d'année, on apprenait que cinq ans après Joy, David O. Russell devait tourner son nouveau film en avril avec les fidèles Christian Bale et Robert De Niro, mais aussi Margot Robbie et Michael B. Jordan. Variety révèle à présent que l'acteur de Black Panther ne sera finalement pas de la partie, remplacé par John David Washington, vu récemment dans Blackkklansman et Tenet, et que les prises de vue démarreront en début d'année 2021, à Los Angeles. Deadline donne de son côté le nom du chef opérateur de ce film pour l'instant sans titre, et sans pitch : Emmanuel Lubezki, connu notamment pour ses collaborations avec Alfonso Cuaron (Y Tu Mama Tambien, Les Fils de l'homme, Gravity...) ou Alejandro Gonzalez Inarritu (Birdman, The Revenant).
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... _Pqx8LAfXo
Je me demandais justement ce qu’il devenait, alors que je viens de revoir Children of Men. Je suis content d’apprendre qu’il collabore avec David O. Russell.
Je suis étonné qu’il n’ait pas été appelé pour d’autres projets avant
Le chauffeur je ne sais pas, mais moi je te dis bonsoir
Pouet
Bonjour à tous
J'ai acheté le coffret 3 films Dragons, jamais vu le dernier et très peu de souvenirs du deuxième, par contre le premier =
Je pense que les enfants vont adorer. D'ailleurs le petit dernier fêtera son premier anniversaire demain et il marche tout seul depuis quelques jours
J'ai acheté le coffret 3 films Dragons, jamais vu le dernier et très peu de souvenirs du deuxième, par contre le premier =
Je pense que les enfants vont adorer. D'ailleurs le petit dernier fêtera son premier anniversaire demain et il marche tout seul depuis quelques jours
Wickaël a écrit : ↑mer. 14 oct. 2020 08:36Bonjour à tous
J'ai acheté le coffret 3 films Dragons, jamais vu le dernier et très peu de souvenirs du deuxième, par contre le premier =
Je pense que les enfants vont adorer. D'ailleurs le petit dernier fêtera son premier anniversaire demain et il marche tout seul depuis quelques jours
Bonjour à toi 
Vosg'patt de cœur
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ClintReborn
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- Localisation : Avalon
De retour pour vous jouez de mauvais tours 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Zarbon Hayase
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Oh il est venu le petit clint. Yoko Kanno - Moon
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Clint bienvenueVosg'patt de cœur
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ClintReborn
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Après quelques jours a cliquer machinalement sur le lien vide du forum d'allociné je me suis dit qu'il fallait faire quelque chose...
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn
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On va pas refaire toutes les peintures non plus 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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ClintReborn
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Zarbon Hayase
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Il y à meme qui reprendre les meme avatar, et refont les meme topic.
Yoko Kanno - Moon
https://www.youtube.com/watch?v=IaAVuyp1yiM
Mon Top Film Vu et Revu en 2022 :
https://www.senscritique.com/liste/top_ ... 22/3164292
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Zarbon Hayase a écrit : ↑mer. 14 oct. 2020 14:12Il y à meme qui reprendre les meme avatar, et refont les meme topic.
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ClintReborn
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C'est politique ?
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Bah il avait surement besoin de vacances
A tous
CLINTTTTTTTTTTTTTTTTTTT