Le Cercle des profileurs disparus
Merci. Et oui je l'avais déjà lors des multiples rediffusions à la télé. Par contre à partir du Livre V j'ai pas dû tout voir.
Concernant Le Dernier Mercenaire, c'est pas ouf, beaucoup de longueurs, un JCVD (trop) en roue libre, après y'a quelques scènes qui prêtent à sourire et des bastons pas trop mal mais l'ensemble est moyen.
5/10
Demain soir, Game Night, j'ai vu qu'il était arrivé sur Netflix 
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ClintReborn
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Découverte du jour the Queen Gambit existe IRL ! 
Alexandra Botez est une joueuse d'échecs américano-canadienne qui détient le titre de Maitre FIDE Féminin. Elle est également une streameuse d'échecs sur Twitch et possède une chaîne YouTube consacrée aux échecs
https://www.youtube.com/c/BotezLive/videos
https://www.twitch.tv/botezlive
Alexandra Botez est une joueuse d'échecs américano-canadienne qui détient le titre de Maitre FIDE Féminin. Elle est également une streameuse d'échecs sur Twitch et possède une chaîne YouTube consacrée aux échecs
https://www.youtube.com/c/BotezLive/videos
https://www.twitch.tv/botezlive
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Oui on peut s'éloigner mais tout quitter n'est peut-être pas la meilleure solution.
J'hésite de plus en plus à le mater, en plus il fait quasi 2 heures.
D'ailleurs quand JCVD essaye de faire naître un peu d'émotion à son perso c'est tellement navrant que ça m'a fait pisser de rire, une scène en particulier 
Mes visionnages de ce week-end :
Deuxième film de George Lucas et c'est indéniablement son meilleur à mes yeux. American Graffiti se déroule le temps d'une nuit, il n'y a pas vraiment d'histoire. Ça se déroule au début des années 60, on va suivre une poignée de personnages. Pour certains d'entre eux c'est la veille d'une nouvelle vie qui commence car ils rentrent à l'université et changent de ville. C'est un film très drôle mais aussi très mélancolique et nostalgique. Ce que j'ai trouvé le plus remarquable, c'est le talent de Lucas pour réussir à capturer la vie et la jeunesse. Pas de technologie déshumanisante, tout passait dans les rapports réels, le style, le look, les voitures. La reconstitution, l'ambiance sixties et la bande-originale sont incroyables.
Un thriller pantouflard dans lequel Robert De Niro et Al Pacino cabotinent pas mal, le film est vraiment indigne de leur talent quand on se remémore leur début. Cela dit ça se mate même si on grille tout après 5 minutes.
Le film relate la genèse de Mary Poppins au ciné. Même si c'est très certainement romancé, c'est toujours intéressant et instructif de voir le cheminement qui mène à certaines œuvres au cinéma. D'ailleurs Mary Poppins est vraiment un des films cultes de mon enfance. Bref j'ai trouvé ce film absolument bouleversant et sublime, il y a des scènes qui m'ont vraiment anéanti émotionnellement 
La première heure est un modèle de rythme et d'aventures. C'est très drôle aussi, franchement je me marre souvent durant les répliques de Dwayne Johnson Je trouve la tournure des événements un peu moins convaincante dans la seconde partie, encore une fois le meilleur du spectacle se trouve dans la première partie. Mais voilà ça reste un bon moment et le final offre un beau spectacle aussi.
Deuxième film de George Lucas et c'est indéniablement son meilleur à mes yeux. American Graffiti se déroule le temps d'une nuit, il n'y a pas vraiment d'histoire. Ça se déroule au début des années 60, on va suivre une poignée de personnages. Pour certains d'entre eux c'est la veille d'une nouvelle vie qui commence car ils rentrent à l'université et changent de ville. C'est un film très drôle mais aussi très mélancolique et nostalgique. Ce que j'ai trouvé le plus remarquable, c'est le talent de Lucas pour réussir à capturer la vie et la jeunesse. Pas de technologie déshumanisante, tout passait dans les rapports réels, le style, le look, les voitures. La reconstitution, l'ambiance sixties et la bande-originale sont incroyables.
Un thriller pantouflard dans lequel Robert De Niro et Al Pacino cabotinent pas mal, le film est vraiment indigne de leur talent quand on se remémore leur début. Cela dit ça se mate même si on grille tout après 5 minutes.
Le film relate la genèse de Mary Poppins au ciné. Même si c'est très certainement romancé, c'est toujours intéressant et instructif de voir le cheminement qui mène à certaines œuvres au cinéma. D'ailleurs Mary Poppins est vraiment un des films cultes de mon enfance. Bref j'ai trouvé ce film absolument bouleversant et sublime, il y a des scènes qui m'ont vraiment anéanti émotionnellement
La première heure est un modèle de rythme et d'aventures. C'est très drôle aussi, franchement je me marre souvent durant les répliques de Dwayne Johnson
Je trouve la tournure des événements un peu moins convaincante dans la seconde partie, encore une fois le meilleur du spectacle se trouve dans la première partie. Mais voilà ça reste un bon moment et le final offre un beau spectacle aussi.
Je dois avouer que j'ai beaucoup ri. Mention spéciale à Jesse Plemons qui m'a fait marrer à chacune de ses apparitions, sans oublier la grosse surprise J'ai vraiment passé un bon moment.
7/10
Flash Gordon : entre Thor et Star Wars, le remake de Taika Waititi donne enfin des nouvelles
Après Thor 4 et son Star Wars, Taika Waititi devrait dépoussiérer Flash Gordon avec un nouveau film, qui devait au départ être en animation.
Avant l'arrivée de Chloé Zhao (Les Éternels), qui est récemment devenue la première réalisatrice oscarisée du MCU avec Nomadland, Disney fanfaronnait déjà en comptant dans ses rangs le cinéaste Taika Waititi, qui prête lui aussi un peu de son prestige à la compagnie depuis qu'il a décroché l'Oscar du meilleur scénario adapté pour Jojo Rabbit.
Après son entrée réussie dans le microcosme des gros studios et des gros sous avec Thor : Ragnarok, Waititi va rester du côté de Disney et des blockbusters avec Thor : Love and Thunder, actuellement en post-production, et son film Star Wars dont on ne sait encore rien (si ce n'est qu'il devrait le réaliser et co-écrire avec Krysty Wilson-Cairns). Sans oublier sa résurrection de la franchise Flash Gordon que Waititi avait lui-même cité comme une des principales influences de son Thor : Ragnarok.
Il y a deux ans, Deadline a en effet annoncé la mise en chantier d'un nouveau film sur le héros kitschissime de l'âge d'or des comics, qui devait alors être un remake animé du Flash Gordon de 1980 porté par Sam J. Jones et réalisé par Mike Hodges. Depuis que le space-opéra a servi de référence au film Ted (avec un caméo de Sam J. Jones dans Ted 2), le projet traînait dans un tiroir de la Fox, avec Julius Avery (Overlord) et Matthew Vaughn (Kingsman) un moment attachés à la production, jusqu'à ce que l'idée tombe entre les mains du savant fou de Marvel, qui se chargera du scénario.
John Davis et John Fox, qui produisent quant à eux ce nouveau film de science-fiction, ont donné une récente interview à Collider, dans laquelle ils ont enfin donné des nouvelles du projet, qui n'est plus un long-métrage animé, mais reste apparemment inspirée de l'oeuvre écrite par Alex Raymond dans les années 30.
John Davis : "C'est Taika qui l'écrit. C'est un film qui a eu une influence énorme sur lui en grandissant. C'est l'un de ses films préférés. Au départ, il m'a dit : "Faisons un film d'animation". J'ai dit : "D'accord". Puis on s'y est mis, on a commencé à le développer et il m'a dit : "Non, faisons-le en live-action". Et j'ai dit : "Encore mieux". [...] C'est celui qui a la vision la plus géniale et intéressante pour ce film. Il se rapproche de façon très intéressante de la bande dessinée."
En plus de Flash Gordon, Taika Waititi nous présentera bientôt Next Goal Wins, sa prochaine comédie sur le football britannique avec Elisabeth Moss et Michael Fassbender, mais aussi Our Flag Means Death, une série de pirates à destination de HBO Max et la série comique Reservation Dogs pour la chaîne FX. En attendant d'en savoir plus, notre critique du dernier Jojo Rabbit est juste là. Le cinéaste est également à l'affiche de The Suicide Squad, dont notre critique est toujours de ce côté.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1627887238
Après Thor 4 et son Star Wars, Taika Waititi devrait dépoussiérer Flash Gordon avec un nouveau film, qui devait au départ être en animation.
Avant l'arrivée de Chloé Zhao (Les Éternels), qui est récemment devenue la première réalisatrice oscarisée du MCU avec Nomadland, Disney fanfaronnait déjà en comptant dans ses rangs le cinéaste Taika Waititi, qui prête lui aussi un peu de son prestige à la compagnie depuis qu'il a décroché l'Oscar du meilleur scénario adapté pour Jojo Rabbit.
Après son entrée réussie dans le microcosme des gros studios et des gros sous avec Thor : Ragnarok, Waititi va rester du côté de Disney et des blockbusters avec Thor : Love and Thunder, actuellement en post-production, et son film Star Wars dont on ne sait encore rien (si ce n'est qu'il devrait le réaliser et co-écrire avec Krysty Wilson-Cairns). Sans oublier sa résurrection de la franchise Flash Gordon que Waititi avait lui-même cité comme une des principales influences de son Thor : Ragnarok.
Il y a deux ans, Deadline a en effet annoncé la mise en chantier d'un nouveau film sur le héros kitschissime de l'âge d'or des comics, qui devait alors être un remake animé du Flash Gordon de 1980 porté par Sam J. Jones et réalisé par Mike Hodges. Depuis que le space-opéra a servi de référence au film Ted (avec un caméo de Sam J. Jones dans Ted 2), le projet traînait dans un tiroir de la Fox, avec Julius Avery (Overlord) et Matthew Vaughn (Kingsman) un moment attachés à la production, jusqu'à ce que l'idée tombe entre les mains du savant fou de Marvel, qui se chargera du scénario.
John Davis et John Fox, qui produisent quant à eux ce nouveau film de science-fiction, ont donné une récente interview à Collider, dans laquelle ils ont enfin donné des nouvelles du projet, qui n'est plus un long-métrage animé, mais reste apparemment inspirée de l'oeuvre écrite par Alex Raymond dans les années 30.
John Davis : "C'est Taika qui l'écrit. C'est un film qui a eu une influence énorme sur lui en grandissant. C'est l'un de ses films préférés. Au départ, il m'a dit : "Faisons un film d'animation". J'ai dit : "D'accord". Puis on s'y est mis, on a commencé à le développer et il m'a dit : "Non, faisons-le en live-action". Et j'ai dit : "Encore mieux". [...] C'est celui qui a la vision la plus géniale et intéressante pour ce film. Il se rapproche de façon très intéressante de la bande dessinée."
En plus de Flash Gordon, Taika Waititi nous présentera bientôt Next Goal Wins, sa prochaine comédie sur le football britannique avec Elisabeth Moss et Michael Fassbender, mais aussi Our Flag Means Death, une série de pirates à destination de HBO Max et la série comique Reservation Dogs pour la chaîne FX. En attendant d'en savoir plus, notre critique du dernier Jojo Rabbit est juste là. Le cinéaste est également à l'affiche de The Suicide Squad, dont notre critique est toujours de ce côté.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1627887238
La critique de Le Dernier Mercenaire sur EL (1 étoile) :
Ces dernières années, Jean-Claude Van Damme aura plus d'une fois mélangé arts martiaux et comédie. Le Dernier Mercenaire, sorti sur Netflix, en est la preuve. Toutefois, cette comédie d'action semble bien loin des fantaisies parfois méta auxquelles il s'est prêté, de JCVD à Jean-Claude Van Johnson. Du coup, ça vaut quoi ?
LA TOTALE
Imaginez qu’on révèle simultanément à un enfant au cœur fragile que le père Noël n’existe pas et que ses parents l’ont adopté. On aura beau jeu de lui faire remarquer qu’à 13 ans passé, et affublé de sa vilaine peau, il aurait pu commencer à se douter de quelque chose, la déception n’en sera pas moins grande.
Il en va de même avec le spectateur qui se sera rué sur Le Dernier Mercenaire espérant retrouver un Jean-Claude Van Damme investi, ou l'amateur d'humour priant pour que cette comédie française lui offre quelques rires dignes de ce nom. On aurait pu s'y attendre, mais ça fait mal quand même.
Non pas que le muscle de Bruxelles ait été un comédien d'une ampleur phénoménale, mais s'il y a bien une immense qualité qu'il faut reconnaître à JCVD, c'est celle du surinvestissement. De Bloodsport - Tous les coups sont permis, en passant par Universal Soldier : Le Combat absolu, Double Team ou JCVD, l'artiste martial a toujours tout donné, dans chaque rôle. Il démultiplie les mimiques, pousse chaque expression jusqu'à son point de cabotinage cosmique, le tout enrobé dans des prestations physiques souvent étourdissantes. Un absolu premier degré qui confine parfois à la candeur, et font de presque tous ses personnages de formidable surface d'identification, et de son jeu une forme d'expression naïve et jubilatoire.
Tout cela a disparu ici. L'artiste semble éteint, le regard perdu dans le vague, comme attendant que la table régie accueille un rab de café qui ne viendra jamais. Sa formidable gueule ne se fend plus de la moindre expression. Tout juste patiente-t-il, pendant que l'intrigue lui impose moult postiches et déguisements, qui évoquent moins un pastiche d'espionnage qu'un enterrement de vie de garçon fortement allergique à la dignité. Le dernier coup est porté lors de l'ultime baston du film, alors que Van Damme s'efface presque tout à fait derrière une doublure que le montage ne cherche même plus à cacher.
MORT À L'ARRIVÉE
Si regarder un des combattants les plus attachants et physiquement impressionnants de ces dernières années faire semblant de se battre, de dos et perruqué, ne suffisait pas à notre malheur, mise en scène et écriture se chargent rapidement de transformer Le Dernier Mercenaire en Golgotha de la SVoD. Découvrir une création du réalisateur de Cyprien est toujours une expérience à part, entre la transe chamanique, le châtiment corporel, et la gastroentérite. Reconnaissons-lui d'avoir poussé les potards de la douleur dans des proportions inespérées. Caractérisation des personnages, dialogues, tempo comique, montage, découpage, photographie... rien ne va dans cette angoissante pièce montée.
Semblable à des otages récitant la voix chevrotante d'improbables messages de revendications, Alban Ivanov, Eric Judor, l'excellent Nassim Lyes et quelques autres se débattent mollement de répliques floues, que jamais le montage ne parvient à mettre en valeur. Face à un dispositif si désespérément amorphe, même Eric Judor semble spongieux. Mais le plus désolant, c'est cette galerie de seconds rôles émoussés et dévolus à des interprètes trop rares de Michel Crémadès à Valérie Kaprisky, écrits à la ponceuse, tandis qu'un Patrick Timsit est condamné à gigoter entre rajeunissement numérique et vieillissement artistique.
Unique tour de force du film, réussir là où Tenet échoua, à savoir nous permettre de réévaluer la notion même de temporalité. En 112 minutes, c'est un improbable retour vers le futur du subjonctif d'une certaine école de nanar hexagonal qui nous est proposé.
De la blague de cité frelatée, en passant par le sketch transformiste en carton, jusqu'aux poncifs sur les services secrets, sans oublier une avalanche de répliques à base de volumétrie pénienne, c'est un catalogue surréaliste qui se déploie. Voir Netflix abonder dans cette école de la médiocrité et y sauter dedans à pieds joints n'en est que plus désolant.
Le Dernier Mercenaire est disponible sur Netflix depuis le 30 juillet 2021 en France.
Il n'y a rien à sauver dans cet exercice d'humiliation de Jean-Claude Van Damme, qui en appelle aux heures les plus sombres de la comédie française.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1627650126
Ces dernières années, Jean-Claude Van Damme aura plus d'une fois mélangé arts martiaux et comédie. Le Dernier Mercenaire, sorti sur Netflix, en est la preuve. Toutefois, cette comédie d'action semble bien loin des fantaisies parfois méta auxquelles il s'est prêté, de JCVD à Jean-Claude Van Johnson. Du coup, ça vaut quoi ?
LA TOTALE
Imaginez qu’on révèle simultanément à un enfant au cœur fragile que le père Noël n’existe pas et que ses parents l’ont adopté. On aura beau jeu de lui faire remarquer qu’à 13 ans passé, et affublé de sa vilaine peau, il aurait pu commencer à se douter de quelque chose, la déception n’en sera pas moins grande.
Il en va de même avec le spectateur qui se sera rué sur Le Dernier Mercenaire espérant retrouver un Jean-Claude Van Damme investi, ou l'amateur d'humour priant pour que cette comédie française lui offre quelques rires dignes de ce nom. On aurait pu s'y attendre, mais ça fait mal quand même.
Non pas que le muscle de Bruxelles ait été un comédien d'une ampleur phénoménale, mais s'il y a bien une immense qualité qu'il faut reconnaître à JCVD, c'est celle du surinvestissement. De Bloodsport - Tous les coups sont permis, en passant par Universal Soldier : Le Combat absolu, Double Team ou JCVD, l'artiste martial a toujours tout donné, dans chaque rôle. Il démultiplie les mimiques, pousse chaque expression jusqu'à son point de cabotinage cosmique, le tout enrobé dans des prestations physiques souvent étourdissantes. Un absolu premier degré qui confine parfois à la candeur, et font de presque tous ses personnages de formidable surface d'identification, et de son jeu une forme d'expression naïve et jubilatoire.
Tout cela a disparu ici. L'artiste semble éteint, le regard perdu dans le vague, comme attendant que la table régie accueille un rab de café qui ne viendra jamais. Sa formidable gueule ne se fend plus de la moindre expression. Tout juste patiente-t-il, pendant que l'intrigue lui impose moult postiches et déguisements, qui évoquent moins un pastiche d'espionnage qu'un enterrement de vie de garçon fortement allergique à la dignité. Le dernier coup est porté lors de l'ultime baston du film, alors que Van Damme s'efface presque tout à fait derrière une doublure que le montage ne cherche même plus à cacher.
MORT À L'ARRIVÉE
Si regarder un des combattants les plus attachants et physiquement impressionnants de ces dernières années faire semblant de se battre, de dos et perruqué, ne suffisait pas à notre malheur, mise en scène et écriture se chargent rapidement de transformer Le Dernier Mercenaire en Golgotha de la SVoD. Découvrir une création du réalisateur de Cyprien est toujours une expérience à part, entre la transe chamanique, le châtiment corporel, et la gastroentérite. Reconnaissons-lui d'avoir poussé les potards de la douleur dans des proportions inespérées. Caractérisation des personnages, dialogues, tempo comique, montage, découpage, photographie... rien ne va dans cette angoissante pièce montée.
Semblable à des otages récitant la voix chevrotante d'improbables messages de revendications, Alban Ivanov, Eric Judor, l'excellent Nassim Lyes et quelques autres se débattent mollement de répliques floues, que jamais le montage ne parvient à mettre en valeur. Face à un dispositif si désespérément amorphe, même Eric Judor semble spongieux. Mais le plus désolant, c'est cette galerie de seconds rôles émoussés et dévolus à des interprètes trop rares de Michel Crémadès à Valérie Kaprisky, écrits à la ponceuse, tandis qu'un Patrick Timsit est condamné à gigoter entre rajeunissement numérique et vieillissement artistique.
Unique tour de force du film, réussir là où Tenet échoua, à savoir nous permettre de réévaluer la notion même de temporalité. En 112 minutes, c'est un improbable retour vers le futur du subjonctif d'une certaine école de nanar hexagonal qui nous est proposé.
De la blague de cité frelatée, en passant par le sketch transformiste en carton, jusqu'aux poncifs sur les services secrets, sans oublier une avalanche de répliques à base de volumétrie pénienne, c'est un catalogue surréaliste qui se déploie. Voir Netflix abonder dans cette école de la médiocrité et y sauter dedans à pieds joints n'en est que plus désolant.
Le Dernier Mercenaire est disponible sur Netflix depuis le 30 juillet 2021 en France.
Il n'y a rien à sauver dans cet exercice d'humiliation de Jean-Claude Van Damme, qui en appelle aux heures les plus sombres de la comédie française.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1627650126
Box-office US : Jungle Cruise démarre fort
Emily Blunt et Dwayne Johnson ont récolté 34 millions de dollars en salles et 30 millions sur Disney Plus.
Grâce à 34,1 millions de dollars récoltés dans 4310 salles américaines, Jungle Cruise démarre largement en tête du box-office américain. Si son budget de 200 millions de dollars ne sera pas facile à rembourser, ce film d'aventures porté par Emily Blunt et Dwayne Johnson démarre un peu mieux que ce que prédisaient les spécialistes du box-office : l'épidémie de Covid-19 reprenant de l'ampleur aux Etats-Unis, avec l'arrivée du variant Delta, ils misaient plutôt sur un début entre 25 et 30 millions de billets verts. Sachant qu'il a aussi gagné cette dernière somme sur Disney Plus, où il est proposé en accès premium depuis vendredi, et qu'il cumule déjà 90 millions dans le monde grâce à ses scores à l'international, ce démarrage est plutôt rassurant.
Reste que la décision des studios Disney de sortir en même temps leurs films sur grand écran et en streaming, avec un coût supplémentaire en plus de l'abonnement mensuel, est pas mal critiquée, notamment par des membres internes au studio, à l'image de la comédienne Scarlett Johansson, qui estime avoir perdu plusieurs millions de dollars à cause de cette stratégie de sortie sur Black Widow. Elle a porté plainte contre ses producteurs et d'autres stars seraient prêtes à en faire de même, comme Emma Stone pour Cruella.
Scarlett Johansson en guerre contre Disney : elle fait un procès après la sortie de Black Widow sur Disney +
Une autre nouveauté est deuxième : The Green Knight débute aussi au-dessus des attentes, grâce à 6,7 millions de dollars amassés dans 2790 cinémas. S'il n'a pas encore de date de sortie française, ce film de David Lowery (A Ghost Story, Peter et Elliott le Dragon...) inspiré de la légende de Gauvin a reçu d'excellentes critiques aux Etats-Unis. En revanche, Stillwater, avec Matt Damon, est en dessous des attentes avec 5,1 millions de dollars gagnés sur 2531 écrans et la cinquième place du top.
Du côté des continuations, les films déjà sortis perdent entre -35% (Escape Games 2) et -70% (Snake Eyes) de leur fréquentation. Seuls Black Widow et Fast & Furious 9 cumulent plus de 150 millions de dollars en quatre et six semaines d'exploitation.
Box-office américain du week-end du 30 juillet au 1er août 2021 :
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... kjVCnivJTg
Emily Blunt et Dwayne Johnson ont récolté 34 millions de dollars en salles et 30 millions sur Disney Plus.
Grâce à 34,1 millions de dollars récoltés dans 4310 salles américaines, Jungle Cruise démarre largement en tête du box-office américain. Si son budget de 200 millions de dollars ne sera pas facile à rembourser, ce film d'aventures porté par Emily Blunt et Dwayne Johnson démarre un peu mieux que ce que prédisaient les spécialistes du box-office : l'épidémie de Covid-19 reprenant de l'ampleur aux Etats-Unis, avec l'arrivée du variant Delta, ils misaient plutôt sur un début entre 25 et 30 millions de billets verts. Sachant qu'il a aussi gagné cette dernière somme sur Disney Plus, où il est proposé en accès premium depuis vendredi, et qu'il cumule déjà 90 millions dans le monde grâce à ses scores à l'international, ce démarrage est plutôt rassurant.
Reste que la décision des studios Disney de sortir en même temps leurs films sur grand écran et en streaming, avec un coût supplémentaire en plus de l'abonnement mensuel, est pas mal critiquée, notamment par des membres internes au studio, à l'image de la comédienne Scarlett Johansson, qui estime avoir perdu plusieurs millions de dollars à cause de cette stratégie de sortie sur Black Widow. Elle a porté plainte contre ses producteurs et d'autres stars seraient prêtes à en faire de même, comme Emma Stone pour Cruella.
Scarlett Johansson en guerre contre Disney : elle fait un procès après la sortie de Black Widow sur Disney +
Une autre nouveauté est deuxième : The Green Knight débute aussi au-dessus des attentes, grâce à 6,7 millions de dollars amassés dans 2790 cinémas. S'il n'a pas encore de date de sortie française, ce film de David Lowery (A Ghost Story, Peter et Elliott le Dragon...) inspiré de la légende de Gauvin a reçu d'excellentes critiques aux Etats-Unis. En revanche, Stillwater, avec Matt Damon, est en dessous des attentes avec 5,1 millions de dollars gagnés sur 2531 écrans et la cinquième place du top.
Du côté des continuations, les films déjà sortis perdent entre -35% (Escape Games 2) et -70% (Snake Eyes) de leur fréquentation. Seuls Black Widow et Fast & Furious 9 cumulent plus de 150 millions de dollars en quatre et six semaines d'exploitation.
Box-office américain du week-end du 30 juillet au 1er août 2021 :
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... kjVCnivJTg
Tom Hanks rejoint Tilda Swinton et Bill Murray chez Wes Anderson
C'est la première fois que la star de Forrest Gump collabore avec le réalisateur de The French Dispatch.
The Hollywood Reporter annonce que Tom Hanks rejoint la prochaine réalisation de Wes Anderson. Une première pour l'acteur, qui, s'il a tourné plusieurs films avec Steven Spielberg, Robert Zemeckis, Ron Howard ou Paul Greengrass, n'a encore jamais travaillé avec le cinéaste de La Famille Tenenbaum, La Vie Aquatique et The Grand Budapest Hotel.
Pour l'instant sans titre, ce nouveau film doit être tourné en Espagne, et jusqu'ici, Wes Anderson s'était entouré de comédiens fidèles : Tilda Swinton, Bill Murray et Adrien Brody. Soit trois stars qui seront en octobre à l'affiche de The French Dispatch, son dernier film tourné à Angoulême avec un casting cinq étoiles, puis dévoilé dans le cadre du festival de Cannes, en juillet.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 5s939t8HxQ
C'est la première fois que la star de Forrest Gump collabore avec le réalisateur de The French Dispatch.
The Hollywood Reporter annonce que Tom Hanks rejoint la prochaine réalisation de Wes Anderson. Une première pour l'acteur, qui, s'il a tourné plusieurs films avec Steven Spielberg, Robert Zemeckis, Ron Howard ou Paul Greengrass, n'a encore jamais travaillé avec le cinéaste de La Famille Tenenbaum, La Vie Aquatique et The Grand Budapest Hotel.
Pour l'instant sans titre, ce nouveau film doit être tourné en Espagne, et jusqu'ici, Wes Anderson s'était entouré de comédiens fidèles : Tilda Swinton, Bill Murray et Adrien Brody. Soit trois stars qui seront en octobre à l'affiche de The French Dispatch, son dernier film tourné à Angoulême avec un casting cinq étoiles, puis dévoilé dans le cadre du festival de Cannes, en juillet.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 5s939t8HxQ
Waterworld aura une suite en série, qui reprendra l'histoire 20 ans plus tard
C'est le producteur original du film, John Davis, qui est derrière ce projet télévisuel, qui devrait sortir sur une plateforme de streaming.
C'est l'un des plus célèbres naufrages de l'histoire du cinéma. Et pourtant, Waterworld pourrait être sauvé des eaux par la télévision. Le producteur original du film, John Davis, prépare une série télé dérivée de Waterworld, une suite carrément, qui verrait où en sont les personnages du long métrage, 20 ans plus tard.
Dans cette interview à Collider, David affirme que le projet est actuellement en développement chez Universal Television et qu'une plateforme de streaming devrait diffuser la série à terme. Il refuse de dire quelle plateforme, mais on sait que Dan Trachtenberg (10 Cloverfield Lane) devrait réaliser.
Rappelons que Waterworld se déroule dans un futur post-apocalyptique où la planète est presque entièrement recouverte d'eau en raison du réchauffement climatique. Kevin Costner jouait un mystérieux vagabond connu sous le nom de The Mariner, face à Jeanne Tripplehorn, Tina Majorino et Dennis Hopper. Film le plus cher jamais réalisé à l'époque, Waterworld n'a glané que 260 millions $ dans le monde au Box Office.
Il serait surprenant de voir Kevin Costner reprendre le rôle qui a pratiquement ruiné sa carrière. Aucun showrunner ou acteur n'est encore attaché à la série Waterworld : "Nous parlons avec des gens, mais personne n'est encore signé. Dan est attaché au projet, nous planchons sur l'histoire en ce moment, on discute avec différents auteurs. Et nous devrions avoir un scénariste signé au cours des deux prochaines semaines..."
https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... nGJriB6bj8
C'est le producteur original du film, John Davis, qui est derrière ce projet télévisuel, qui devrait sortir sur une plateforme de streaming.
C'est l'un des plus célèbres naufrages de l'histoire du cinéma. Et pourtant, Waterworld pourrait être sauvé des eaux par la télévision. Le producteur original du film, John Davis, prépare une série télé dérivée de Waterworld, une suite carrément, qui verrait où en sont les personnages du long métrage, 20 ans plus tard.
Dans cette interview à Collider, David affirme que le projet est actuellement en développement chez Universal Television et qu'une plateforme de streaming devrait diffuser la série à terme. Il refuse de dire quelle plateforme, mais on sait que Dan Trachtenberg (10 Cloverfield Lane) devrait réaliser.
Rappelons que Waterworld se déroule dans un futur post-apocalyptique où la planète est presque entièrement recouverte d'eau en raison du réchauffement climatique. Kevin Costner jouait un mystérieux vagabond connu sous le nom de The Mariner, face à Jeanne Tripplehorn, Tina Majorino et Dennis Hopper. Film le plus cher jamais réalisé à l'époque, Waterworld n'a glané que 260 millions $ dans le monde au Box Office.
Il serait surprenant de voir Kevin Costner reprendre le rôle qui a pratiquement ruiné sa carrière. Aucun showrunner ou acteur n'est encore attaché à la série Waterworld : "Nous parlons avec des gens, mais personne n'est encore signé. Dan est attaché au projet, nous planchons sur l'histoire en ce moment, on discute avec différents auteurs. Et nous devrions avoir un scénariste signé au cours des deux prochaines semaines..."
https://www.premiere.fr/Series/News-Ser ... nGJriB6bj8
Lyricis Interactive
Première image pour See How They Run réalisé par Tom George (This Country TV, Defending the Guilty TV) avec Sam Rockwell, Saoirse Ronan, Adrien Brody, David Oyelowo, Ruth Wilson, Harris Dickinson, Sian Clifford, Jacob Fortune-Lloyd, Shirley Henderson, Reece Shearsmith, Paul Chahidi, Pearl Chanda, Charlie Cooper, Pippa Bennett-Warner.
Londres, dans les années 1950. Un producteur de cinéma hollywoodien entreprend d'adapter une pièce de théâtre populaire du West End. Bientôt des membres de la production du film sont assassinés. L'inspecteur Stoppard et sa jeune coéquipière, Stalker, sont en charge de l'enquête...
Au cinéma en 2022.
Première image pour See How They Run réalisé par Tom George (This Country TV, Defending the Guilty TV) avec Sam Rockwell, Saoirse Ronan, Adrien Brody, David Oyelowo, Ruth Wilson, Harris Dickinson, Sian Clifford, Jacob Fortune-Lloyd, Shirley Henderson, Reece Shearsmith, Paul Chahidi, Pearl Chanda, Charlie Cooper, Pippa Bennett-Warner.
Londres, dans les années 1950. Un producteur de cinéma hollywoodien entreprend d'adapter une pièce de théâtre populaire du West End. Bientôt des membres de la production du film sont assassinés. L'inspecteur Stoppard et sa jeune coéquipière, Stalker, sont en charge de l'enquête...
Au cinéma en 2022.
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ClintReborn
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Ils ont bien bosser sur le visuel
Depuis des années les séries ont par leurs budgets et ambitions repousser les frontières entre la tv et le cinéma; mais maintenant nous pouvons peut être parler de Cinétélévision ! Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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D'autant plus que ici Amazon n'a pas lésiné sur les dépensesClintReborn a écrit : ↑mar. 3 août 2021 10:17Ils ont bien bosser sur le visuel
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ClintReborn
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Le mec qui a fait cette affiche est un grand fan des jeux "trouve des objets dans l'image" ...
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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NaughtyDog
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C'est ce que je me suis dis aussiNaughtyDog a écrit : ↑mer. 4 août 2021 00:24c'est même plus beau que bcp de décors du SDA en film lol
Magnifique rom com signée John Carney qui a ensuite réalisé le très bon Sing Street. Enfin New York Melody n'est pas forcément la rom-com de base qui répond aux attentes du spectateur. C'est avant tout une ode à la musique et à New-York. Les acteurs sont juste fabuleux, Keira
J'ai entamé le Livre V de Kaamelott, les épisodes sont au format 50 minutes, ça fait bizarre à première vue parce que je m'attendais à des épisodes de 7 minutes comme lors des diffusions à la télé, mais c'est pas dérangeant.
Par contre j'avais raison, y'a certaines choses que j'avais vu mais d'autres c'est complètement nouveau pour moi.
Et je sais aussi que le Livre VI est en format 50 minutes.
Je crois que c'est devenu ma série préférée
Par contre j'avais raison, y'a certaines choses que j'avais vu mais d'autres c'est complètement nouveau pour moi.
Et je sais aussi que le Livre VI est en format 50 minutes.
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ClintReborn
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Le livre 5 a été complètement haché par M6 lors de la diffusion en épisodes en format court ce qui est assez absurde puisque c'était prévu en 8 épisode de 52 minutes
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Oui et c'est vraiment dommage parce que le format 50 minutes est excellent. En plus le générique est sublime.ClintReborn a écrit : ↑mer. 4 août 2021 13:07Le livre 5 a été complètement haché par M6 lors de la diffusion en épisodes en format court ce qui est assez absurde puisque c'était prévu en 8 épisode de 52 minutes