bienvenueLe Cercle des profileurs disparus
Pour bien appréhender la vision personnelle et la profondeur de l’œuvre, il faut vraiment le regarder d'une traite, 3 fois d'affilée.
"Le plus important est toujours de se faire rire soi-même." bewyder
Oui mais en Chine si tu ne respectes pas les règles, même absurdes ou extrêmes, la police venait te sortir de chez toi en te trainant par les pieds et à coup de matraque, et tu es affichée sur des écrans publics. Et tes données personnelles sont partagées.
"Le plus important est toujours de se faire rire soi-même." bewyder
Le combat contre les 10 est juste énorme !Pale a écrit : ↑lun. 29 mars 2021 21:06
Ça c'est un tout autre niveau. Premier épisode de la saga que je découvre et c'est certainement un des meilleurs films d'arts martiaux que j'ai vu si ce n'est le meilleur. Émotions, humour et action sont au rendez-vous dans cette belle fresque aux combats qui m'ont plusieurs fois décroché la mâchoire. D'habitude je reproche aux films leur longueur mais ici c'est plutôt l'inverse, je n'aurais pas boudé mon plaisir face à 20-30 minutes supplémentaires. Donnie Yen est juste impressionnant dans le rôle de Ip Man et je materai sans hésitation les suites.
Par contre, les suites prennent le pas du combat trop câblé, dommage. Reste le personnage et son acteur, parfaite incarnation.
"Le plus important est toujours de se faire rire soi-même." bewyder
Marvel : Thor : Love and Thunder agrandit encore son casting avec un acteur de renom
Le prochain Thor : Love and Thunder de Marvel continue de dresser sa liste d'invités avec un nom qui ne devrait pas laisser le public indifférent.
Entre Anthony Hopkins qui a joué Odin, Benicio Del Toro et le caméo de son Collectionneur, Cate Blanchett qui a prêté son visage à Hela, Natalie Portman en Jane Foster ou encore le faux Loki de Matt Damon, la franchise Thor du MCU n'a pas fini d'empiler les noms oscarisés. Alors que Christian Bale a rejoint le casting du prochain Thor : Love and Thunder pour interpréter Gorr, le Boucher des Dieux (qui ne sera donc pas un copain du Dieu du tonnerre), le réalisateur Taika Waititi avait apparemment plus d'un tour en réserve pour surprendre les fans de l'Asgardien campé par Chris Hemsworth.
Si sa participation devait rester une surprise, Deadline a finalement confirmé que Russell Crowe (Gladiator, Les Misérables, Un Homme d'exception) avait bien rejoint le casting du blockbuster de Marvel après que l'acteur ait été vu en Australie (où se déroule en ce moment le tournage) en compagnie des autres membres de la distribution. Évidemment, son rôle est pour l'instant tenu secret, mais on imagine bien qu'il ne sera pas très important.
On mise plutôt sur un autre caméo comique, peut-être dans la troupe de théâtre vue dans Thor : Ragnarok étant donné que le faux Loki de Matt Damon sera de retour, aux côtés de Melissa McCarthy dans le rôle d'une fausse Hela. Dans ce cas, les spéculations sont ouvertes pour deviner qui l'acteur pourrait bien parodier.
Comme Christian Bale affilié au Batman de Christopher Nolan, Russell Crowe passe dans l'écurie Marvel après avoir incarné Jor-El dans Man of Steel pour la Warner et DC. De son côté, la Jane Foster de Natalie Portman fera aussi son retour sur les planches après que le personnage soit apparu dans Avengers : Endgame, reprenant les événements de Thor : Le Monde des ténèbres qui marque son dernier vrai rôle dans le MCU. Après les événements de la Phase 4, plusieurs Gardiens de la Galaxie tiendront également compagnie à Thor, donnant au film des allures d'Avengers 5 (mais avec Russell Crowe quelque part dans le lot).
La sortie de Thor : Love and Thunder est prévue pour le 6 mai 2022 aux États-Unis. En attendant, Marvel est en ce moment sur Disney+ avec Falcon et le Soldat de l'Hiver, dont la critique de l'épisode 2 est toujours disponible de ce côté.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617084766
Godzilla vs Kong : le combat de titans, sauveur du cinéma mondial et du box-office ?
L'opposition entre Godzilla et Kong cartonne dans les salles un peu partout à travers le monde. Un succès qui pourrait faire de Warner le sauveur des salles de cinéma.
Alors que les salles françaises sont encore fermées (et ce n’est pas près de s’arranger), les spectateurs se précipitent dans les cinémas pour voir la dernière production du studio américain Warner, Godzilla vs. Kong, dans 38 pays du monde depuis ce 24 mars. Et ils sont nombreux. Ce regain d’intérêt pour l’expérience de la salle de cinéma grâce à ces deux monstres pourrait bien rabattre les cartes des enjeux du cinéma et la stratégie de la Warner.
Pour rappel, le long-métrage réalisé par Adam Wingard a effectué le plus gros démarrage au cinéma à l’internationale depuis le début de la pandémie en mars 2020. Les scores sont effectivement importants aux vues du contexte sanitaire, avec 122 millions de dollars récoltés ce week-end au box-office mondial. Il a donc explosé le record pandémique détenu jusqu'ici par Tenet et ses 53 millions.
L'Empire du Milieu a été le principal acteur de cette prouesse puisque 70 millions de dollars ont été enregistrés sur le sol chinois pour ce week-end de lancement. L'engouement singulier des spectateurs semble s’expliquer en partie grâce à Legendary Pictures. Le studio qui co-produit le film et détient la licence appartient en effet au plus gros distributeur chinois, Wanda Group. Même si Warner s’est a priori chargée de la distribution, on peut supposer que Wanda Group n’est pas pour rien dans l’exploitation du film en Chine.
aoyan, la plus grande société de billetterie chinoise, présage un score en Chine à 141 millions de dollars, ce qui en ferait le plus grand succès de la franchise depuis Godzilla II : Roi des Monstres et ses 135,4 millions de dollars. En tout cas, avec un tel succès, le bouche-à-oreille est parti pour bien fonctionner et battre le précédent film. En effet, alors que le contexte est toujours particulier même en Chine (où seulement la moitié des salles sont ouvertes), Godzilla vs Kong a une meilleure ouverture avec ses 70 millions de dollars que Godzilla II qui affichait à l'époque 66 millions de dollars en Chine.
Les affaires ont également fonctionné dans d’autres territoires. En effet, les marchés mexicain et australien ont permis de récolter 12,6 millions de dollars. On compte aussi une belle réussite en Russie (5,8 millions de dollars), en Inde (4,8 millions de dollars) et à Taïwan (5,2 millions de dollars), qui a fait de Godzilla vs Kong le plus gros démarrage de Warner derrière Aquaman.
Cette performance du film à l’international semble symptomatique d’un grand désir des spectateurs de passer un bon moment au cinéma et d'y retourner. En effet, aux États-Unis, le combat des deux monstres sortira le 31 mars simultanément en salles et sur la plateforme HBO Max. Warner pourrait se voir passer une belle opportunité de réussir à attirer un plus grand nombre de spectateurs sans sa plateforme.
Une stratégie que le gros studio a de toute façon d"ores et déjà remis en question (ou plutôt repensé) avec son partenariat avec la société d'exploitation Cineworld qui aura lieu en 2022. De notre côté, il va falloir faire preuve de patience puisque le long-métrage est programmé pour le 19 mai 2021 au cinéma. En attendant, on vous renvoie à nos classements des cinq meilleurs films Godzilla et les cinq pires.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617024202
L'opposition entre Godzilla et Kong cartonne dans les salles un peu partout à travers le monde. Un succès qui pourrait faire de Warner le sauveur des salles de cinéma.
Alors que les salles françaises sont encore fermées (et ce n’est pas près de s’arranger), les spectateurs se précipitent dans les cinémas pour voir la dernière production du studio américain Warner, Godzilla vs. Kong, dans 38 pays du monde depuis ce 24 mars. Et ils sont nombreux. Ce regain d’intérêt pour l’expérience de la salle de cinéma grâce à ces deux monstres pourrait bien rabattre les cartes des enjeux du cinéma et la stratégie de la Warner.
Pour rappel, le long-métrage réalisé par Adam Wingard a effectué le plus gros démarrage au cinéma à l’internationale depuis le début de la pandémie en mars 2020. Les scores sont effectivement importants aux vues du contexte sanitaire, avec 122 millions de dollars récoltés ce week-end au box-office mondial. Il a donc explosé le record pandémique détenu jusqu'ici par Tenet et ses 53 millions.
L'Empire du Milieu a été le principal acteur de cette prouesse puisque 70 millions de dollars ont été enregistrés sur le sol chinois pour ce week-end de lancement. L'engouement singulier des spectateurs semble s’expliquer en partie grâce à Legendary Pictures. Le studio qui co-produit le film et détient la licence appartient en effet au plus gros distributeur chinois, Wanda Group. Même si Warner s’est a priori chargée de la distribution, on peut supposer que Wanda Group n’est pas pour rien dans l’exploitation du film en Chine.
aoyan, la plus grande société de billetterie chinoise, présage un score en Chine à 141 millions de dollars, ce qui en ferait le plus grand succès de la franchise depuis Godzilla II : Roi des Monstres et ses 135,4 millions de dollars. En tout cas, avec un tel succès, le bouche-à-oreille est parti pour bien fonctionner et battre le précédent film. En effet, alors que le contexte est toujours particulier même en Chine (où seulement la moitié des salles sont ouvertes), Godzilla vs Kong a une meilleure ouverture avec ses 70 millions de dollars que Godzilla II qui affichait à l'époque 66 millions de dollars en Chine.
Les affaires ont également fonctionné dans d’autres territoires. En effet, les marchés mexicain et australien ont permis de récolter 12,6 millions de dollars. On compte aussi une belle réussite en Russie (5,8 millions de dollars), en Inde (4,8 millions de dollars) et à Taïwan (5,2 millions de dollars), qui a fait de Godzilla vs Kong le plus gros démarrage de Warner derrière Aquaman.
Cette performance du film à l’international semble symptomatique d’un grand désir des spectateurs de passer un bon moment au cinéma et d'y retourner. En effet, aux États-Unis, le combat des deux monstres sortira le 31 mars simultanément en salles et sur la plateforme HBO Max. Warner pourrait se voir passer une belle opportunité de réussir à attirer un plus grand nombre de spectateurs sans sa plateforme.
Une stratégie que le gros studio a de toute façon d"ores et déjà remis en question (ou plutôt repensé) avec son partenariat avec la société d'exploitation Cineworld qui aura lieu en 2022. De notre côté, il va falloir faire preuve de patience puisque le long-métrage est programmé pour le 19 mai 2021 au cinéma. En attendant, on vous renvoie à nos classements des cinq meilleurs films Godzilla et les cinq pires.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617024202
Black Adam : le film DC avec Dwayne Johnson a enfin retrouvé une date de sortie
L'arrivée de Dwayne Johnson et de son Black Adam dans le DCEU a enfin une date de sortie après plusieurs mois sans nouvelle de la part de la Warner.
Si la pandémie de Covid-19 a obligé la plupart des studios à retarder de plusieurs mois, voire parfois d'un an, l'arrivée en salles de nombreux films, d'autres sont également restés quelques mois à attendre une nouvelle date de sortie. C'est le cas de Black Adam, un des prochains blockbusters du DCEU qui sera porté par Dwayne Johnson et réalisé par Jaume Collet-Serra. Alors qu'il devait sortir le 22 décembre 2021 après des années de développement, le film a été retiré du calendrier de la Warner en octobre dernier et n'avait pas encore annoncé de report daté.
Le tournage doit commencer d'ici deux semaines et les annonces de casting se sont succédé ces dernières semaines, la plus récente étant celle de l'arrivée de Pierce Brosnan dans le costume du Dr.Fate qui a terminé la formation de la Société de Justice d'Amérique. Il était donc temps pour le film de dévoiler sa nouvelle date de sortie en salles, désormais calée au 29 juillet 2022 aux États-Unis (et probablement le 27 chez nous).
C'est Dwayne Johnson en personne qui a dévoilé l'information sur Instagram, avec une vidéo prise à Times Square dans laquelle des écrans publicitaires géants se chargent d'annoncer la nouvelle. Dans la légende de sa publication, l'acteur a de nouveau précisé que l'anti-héros et ennemi de Shazam allait changer la hiérarchie de pouvoir au sein du DCEU et complètement chambouler l'univers étendu.
Le reste du casting sera composé de Noah Centineo dans le costume d'Atom Smasher, Aldis Hodge dans celui d'Hawkman, Quintessa Swindell pour incarner Cyclone ou encore Sarah Shahi qui pourrait interpréter Isis. Avec le début de tournage qui se rapproche, on devrait bientôt avoir de premiers aperçus de ces nouveaux super-héros emblématiques de DC et de Black Adam, qu'on espère suffisamment sombre et menaçant pour se distancer de la formule Marvel.
Sinon, The Suicide Squad a tout récemment révélé sa première bande-annonce, tandis que notre critique du Snyder Cut est toujours disponible de ce côté.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1616998875
L'arrivée de Dwayne Johnson et de son Black Adam dans le DCEU a enfin une date de sortie après plusieurs mois sans nouvelle de la part de la Warner.
Si la pandémie de Covid-19 a obligé la plupart des studios à retarder de plusieurs mois, voire parfois d'un an, l'arrivée en salles de nombreux films, d'autres sont également restés quelques mois à attendre une nouvelle date de sortie. C'est le cas de Black Adam, un des prochains blockbusters du DCEU qui sera porté par Dwayne Johnson et réalisé par Jaume Collet-Serra. Alors qu'il devait sortir le 22 décembre 2021 après des années de développement, le film a été retiré du calendrier de la Warner en octobre dernier et n'avait pas encore annoncé de report daté.
Le tournage doit commencer d'ici deux semaines et les annonces de casting se sont succédé ces dernières semaines, la plus récente étant celle de l'arrivée de Pierce Brosnan dans le costume du Dr.Fate qui a terminé la formation de la Société de Justice d'Amérique. Il était donc temps pour le film de dévoiler sa nouvelle date de sortie en salles, désormais calée au 29 juillet 2022 aux États-Unis (et probablement le 27 chez nous).
C'est Dwayne Johnson en personne qui a dévoilé l'information sur Instagram, avec une vidéo prise à Times Square dans laquelle des écrans publicitaires géants se chargent d'annoncer la nouvelle. Dans la légende de sa publication, l'acteur a de nouveau précisé que l'anti-héros et ennemi de Shazam allait changer la hiérarchie de pouvoir au sein du DCEU et complètement chambouler l'univers étendu.
Le reste du casting sera composé de Noah Centineo dans le costume d'Atom Smasher, Aldis Hodge dans celui d'Hawkman, Quintessa Swindell pour incarner Cyclone ou encore Sarah Shahi qui pourrait interpréter Isis. Avec le début de tournage qui se rapproche, on devrait bientôt avoir de premiers aperçus de ces nouveaux super-héros emblématiques de DC et de Black Adam, qu'on espère suffisamment sombre et menaçant pour se distancer de la formule Marvel.
Sinon, The Suicide Squad a tout récemment révélé sa première bande-annonce, tandis que notre critique du Snyder Cut est toujours disponible de ce côté.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1616998875
Transformers : un nouveau film est officiellement lancé sans Michael Bay, vers un reboot de la licence ?
En plus de la suite de Bumblebee, Paramount officialise un nouveau film Transformers sans Michael Bay. Mais est-ce une suite ? Un reboot ?
Malgré le lancement officiel d'une suite au spin-off de Bumblebee réalisée par Steven Caple Jr., l'univers Transformers au cinéma tel qu'on le connaît navigue en eaux troubles. Avec un Transformers 5 : The Last Knight très en dessous des espérances commerciales et un Michael Bay aux abonnés absents, le futur est incertain depuis plusieurs années maintenant... et même si les choses avancent désormais, elles restent assez opaques.
Lorenzo di Bonaventura, producteur présent depuis le tout premier Transformers, déclarait en 2018 à Slashfilm : "Je déteste le mot reboot, car je ne sais pas exactement ce que ça veut dire. Nous allons faire un autre gros film Transformers qui sera différent de ce qui a été fait avant". Alors, quand The Hollywood Reporter annonce qu'un nouveau film Transformers est officiellement lancé, vous nous direz, facile, ce sera un Transformers 6 dans la continuité des autres films mais avec d'autres personnages, comme l'avait fait Transformers 4 : L'Âge de l'extinction en son temps. C'est là que ça se complique.
Le journal rapporte en effet que le synopsis est encore inconnu mais que la Paramount entend "développer un projet en dehors de l'univers principal des films Transformers produits par la Paramount depuis 2007", et faire de ce nouveau film indépendant le point de départ d'une nouvelle fournée de projets Transformers de formats différents à destination de différents supports - on vous fait la traduction : du contenu pour Paramount+. Un nouvel univers donc, mais cependant, personne n'emploie le mot reboot, ce qui est d'autant plus étrange que Micahel Bay semble bel et bien parti.
Occupé en ce moment sur Ambulance pour Universal, Michael Bay n'est jamais mentionné, et la réalisation et le scénario de ce nouveau film ont été confié à une nouvelle équipe, ce qui tend à faire penser que la Paramount entend bien repartir de zéro avec de nouvelles têtes et de nouvelles idées. À la réalisation, on trouvera donc Ángel Manuel Soto, encore inconnu du grand public mais remarqué à Sundance en 2020 avec Charm City Kings et attaché à la réalisation du futur film Blue Beetle pour Warner/DC. Côté scénario, c'est Marco Ramirez, ancien showrunner de The Defenders qui a la lourde tâche de pondre un nouveau script pour la franchise autrefois milliardaire au box-office mondial. On leur souhaite bien du courage.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 6YwF_dn4mw
En plus de la suite de Bumblebee, Paramount officialise un nouveau film Transformers sans Michael Bay. Mais est-ce une suite ? Un reboot ?
Malgré le lancement officiel d'une suite au spin-off de Bumblebee réalisée par Steven Caple Jr., l'univers Transformers au cinéma tel qu'on le connaît navigue en eaux troubles. Avec un Transformers 5 : The Last Knight très en dessous des espérances commerciales et un Michael Bay aux abonnés absents, le futur est incertain depuis plusieurs années maintenant... et même si les choses avancent désormais, elles restent assez opaques.
Lorenzo di Bonaventura, producteur présent depuis le tout premier Transformers, déclarait en 2018 à Slashfilm : "Je déteste le mot reboot, car je ne sais pas exactement ce que ça veut dire. Nous allons faire un autre gros film Transformers qui sera différent de ce qui a été fait avant". Alors, quand The Hollywood Reporter annonce qu'un nouveau film Transformers est officiellement lancé, vous nous direz, facile, ce sera un Transformers 6 dans la continuité des autres films mais avec d'autres personnages, comme l'avait fait Transformers 4 : L'Âge de l'extinction en son temps. C'est là que ça se complique.
Le journal rapporte en effet que le synopsis est encore inconnu mais que la Paramount entend "développer un projet en dehors de l'univers principal des films Transformers produits par la Paramount depuis 2007", et faire de ce nouveau film indépendant le point de départ d'une nouvelle fournée de projets Transformers de formats différents à destination de différents supports - on vous fait la traduction : du contenu pour Paramount+. Un nouvel univers donc, mais cependant, personne n'emploie le mot reboot, ce qui est d'autant plus étrange que Micahel Bay semble bel et bien parti.
Occupé en ce moment sur Ambulance pour Universal, Michael Bay n'est jamais mentionné, et la réalisation et le scénario de ce nouveau film ont été confié à une nouvelle équipe, ce qui tend à faire penser que la Paramount entend bien repartir de zéro avec de nouvelles têtes et de nouvelles idées. À la réalisation, on trouvera donc Ángel Manuel Soto, encore inconnu du grand public mais remarqué à Sundance en 2020 avec Charm City Kings et attaché à la réalisation du futur film Blue Beetle pour Warner/DC. Côté scénario, c'est Marco Ramirez, ancien showrunner de The Defenders qui a la lourde tâche de pondre un nouveau script pour la franchise autrefois milliardaire au box-office mondial. On leur souhaite bien du courage.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 6YwF_dn4mw
Brad Pitt en mode Cliff Booth : il réalise lui-même ses cascades dans Bullet Train
La star a plein de scènes de combats dans le film de David Leitch (John Wick, Deadpool 2).
Jouer un cascadeur chez Quentin Tarantino a visiblement bien plu à Brad Pitt, qui enchaîne avec un autre projet rempli d'action : Bullet Train, de David Leitch. La star connaît bien le réalisateur, qui était coordinateur des cascades sur Fight Club (et qui a aussi réalisé Deadpool 2, entre autres), et à 57 ans, il a bluffé l'équipe du film en effectuant lui-même ses cascades, tel Cliff Booth (son personnage dans Once Upon a Time... in Hollywood) au meilleur de sa forme.
''Brad a effectué 95% de ses cascades : des combats, explique le réalisateur de seconde équipe Greg Rementer à Vulture. C'est un athlète né, il est doué pour ça ! D'ailleurs, je n'ai jamais eu autant d'acteurs de cette ampleur réunis dans un même film qui excellaient autant lors de nos entraînements physiques : Brad, Brian (Tyree Henry), Michael Shannon, Hiroyuki Sonada, Andrew Koji -qui s'y connaissait déjà grâce à la série Warrior-, tous ces comédiens ont leur lot de bonnes scènes d'action et ils ont fait eux-mêmes une grande partie des cascades.''
Notez que Sandra Bullock, Zazie Beetz et Aaron Taylor-Johnson font eux aussi partie du casting de ce film inspiré du manga Maria Beetle, de Kotaro Isaka, qui suit plusieurs tueurs à gages dotés de diverses spécialités, qui se retrouvent tous à bord d'un même train... et s'y entre-tuent. Lady Gaga serait aussi rattachée au projet, même si le réalisateur ne confirme rien pour l'instant. Terminant tout juste le tournage, Leitch a tout de même dit quelques mots à Vulture : ''Nous avons eu de la chance de pouvoir tourner à L.A. dans cette période où les artistes pouvaient retravailler, et d'avoir eu Brad sur ce projet, alors qu'il venait tout juste de recevoir son Oscar, et aussi d'avoir un super scénario de Zak Olkewicz, qui a su attirer les meilleures personnes sur ce film. Nous avons réussi à tourner en toute sécurité en pleine pandémie et ça, c'est assez dingue.''
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... xd3ZsOfXDY
La star a plein de scènes de combats dans le film de David Leitch (John Wick, Deadpool 2).
Jouer un cascadeur chez Quentin Tarantino a visiblement bien plu à Brad Pitt, qui enchaîne avec un autre projet rempli d'action : Bullet Train, de David Leitch. La star connaît bien le réalisateur, qui était coordinateur des cascades sur Fight Club (et qui a aussi réalisé Deadpool 2, entre autres), et à 57 ans, il a bluffé l'équipe du film en effectuant lui-même ses cascades, tel Cliff Booth (son personnage dans Once Upon a Time... in Hollywood) au meilleur de sa forme.
''Brad a effectué 95% de ses cascades : des combats, explique le réalisateur de seconde équipe Greg Rementer à Vulture. C'est un athlète né, il est doué pour ça ! D'ailleurs, je n'ai jamais eu autant d'acteurs de cette ampleur réunis dans un même film qui excellaient autant lors de nos entraînements physiques : Brad, Brian (Tyree Henry), Michael Shannon, Hiroyuki Sonada, Andrew Koji -qui s'y connaissait déjà grâce à la série Warrior-, tous ces comédiens ont leur lot de bonnes scènes d'action et ils ont fait eux-mêmes une grande partie des cascades.''
Notez que Sandra Bullock, Zazie Beetz et Aaron Taylor-Johnson font eux aussi partie du casting de ce film inspiré du manga Maria Beetle, de Kotaro Isaka, qui suit plusieurs tueurs à gages dotés de diverses spécialités, qui se retrouvent tous à bord d'un même train... et s'y entre-tuent. Lady Gaga serait aussi rattachée au projet, même si le réalisateur ne confirme rien pour l'instant. Terminant tout juste le tournage, Leitch a tout de même dit quelques mots à Vulture : ''Nous avons eu de la chance de pouvoir tourner à L.A. dans cette période où les artistes pouvaient retravailler, et d'avoir eu Brad sur ce projet, alors qu'il venait tout juste de recevoir son Oscar, et aussi d'avoir un super scénario de Zak Olkewicz, qui a su attirer les meilleures personnes sur ce film. Nous avons réussi à tourner en toute sécurité en pleine pandémie et ça, c'est assez dingue.''
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... xd3ZsOfXDY
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ClintReborn
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- Localisation : Avalon
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Après Godzilla vs Kong, le réalisateur Adam Wingard va ramener à la vie les Cosmocats
Si Adam Wingard prouve avec son Godzilla vs Kong qu'il est taillé pour le blockbuster, Warner en est plus que convaincu et prévoit avec lui Cosmocats.
Avec Godzilla vs. Kong, Adam Wingard s’est lancé dans le grand bain des blockbusters. Et quelle entrée en matière ! La sortie à l’internationale ce week-end a fait de sa superproduction, le plus gros succès au box-office depuis le début de la pandémie en mars 2020.
Malgré la diffusion simultanée au cinéma et sur la plateforme HBO Max, cette collaboration avec Warner pourrait également réussir son introduction le 31 mars 2021 sur le marché américain. Alors que Wingard était plutôt spécialisé dans le cinéma d’horreur avec (V/H/S, You're Next, Blair Witch...), un nouveau blockbuster Warner est en préparation avec ce dernier à la réalisation. Un projet qui motive tout particulièrement le jeune réalisateur, prêt à se remettre au travail.
En effet, lors d’une interview pour Deadline, Adam Wingard a affirmé être aux commandes d’une adaptation au cinéma d’une série d’animation culte des années 80 :
"J’ai entendu dire qu’un script de Thundercats était mis en place avec certains de mes producteurs de Death Note. Je leur ai dit que je voulais réécrire le script avec mon ami Simon Barrett. C’est une grande passion pour moi. Personne sur terre ne connaît mieux ThunderCats que moi. Ils m’ont donné les rênes."
Cette ébullition pour la série était partagée par une grande partie du jeune public des années 80. Le plus drôle, c'est qu'un projet d'adaptation avec à la réalisation Michael Bay a été envisagé en 2018 pour Netflix, mais n'a pas donné suite. Heureusement, car Adam Wingard semble être la personne qu’il fallait pour lancer la production du long-métrage :
"ThunderCats est un projet de rêve pour moi. Quand j’étais au lycée, j’étais obsédé par ça. […] J’écrivais mon script de ThunderCats durant ma 10e année (équivalent de la première en France). Et je l’écrivais à la main. Ce scénario a fini par faire 272 pages. Je l’ai encore. Je le transportais et j’en parlais beaucoup. Je ne réalisais pas que mes camarades se moquaient de moi en me posant des questions sur mon scénario."
Les lycéens moqueurs peuvent maintenant se mordre les doigts puisqu'Adam Wingard va réaliser son grand rêve et va en plus de cela, être assisté par son ami de longue date Simon Barrett. Ce dernier a été son scénariste dans les précédentes productions, notamment You're Next ou bien Blair Witch (suite du Le Projet Blair Witch).
Pour rappel, Cosmocats est une série d’animation américaine sortie entre 1985 et 1989 (et a eu le droit à une autre série sortie en 2011). Elle met en scène les combats entre les Cosmocats, race de félins humanoïdes menée par le jeune et brave Starlion (accompagné d'une très grosse épée), et les Mutants, race de monstres diaboliques. Les Cosmocats fuient leur planète envahie par les mutants. Ils vont finalement se retrouver sur Terre et affronter un méchant comparable à une momie égyptienne Mumm-Ra.
Pour les connaisseurs, le générique de la série est assez savoureux et a d’ailleurs été réalisé par Masayuki Yamaguchi, l'un des créateurs de la série animé culte, Neon Genesis Evangelion.
Un beau programme pour Adam Wingard qui n'a pour l'instant pas de date de sortie de prévu, ni son casting établi. Néanmoins, nous ne patienterons pas trop longtemps pour retrouver Adam Wingard, puisque son Godzilla vs Kong sortira (si les cinémas rouvrent) le 19 mai 2021 en France. En attendant, vous pouvez retrouver nos classements des cinq meilleurs films Godzilla et les cinq pires.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617194216
Écran Large a modérément apprécie Wonder Woman 1984 (3 étoiles) :
Après une sortie pour le moins chaotique, au beau milieu d’une crise sanitaire mondiale, Wonder Woman 1984 avait déçu ses premiers spectateurs, légaux et illégaux. Et à en croire les nombreux retours visibles en ligne, Patty Jenkins s’était vautrée dans les grandes largeurs. Mais, alors que la poussière de la polémique est largement retombée et que le film sort enfin légalement en France, qu’en est-il véritablement ?
FLOP BUSTER
Les tares du blockbuster super-héroïques à l’ère de son industrialisation sont désormais bien connues, et Wonder Woman 1984 n’y échappe pas, notamment quand le film doit se dépatouiller d’un cahier des charges aussi lourdingue que contradictoire. En effet, on a souvent l’impression que les plaisantes intentions de la cinéaste entrent en contradiction avec les exigences du chantier qu’elle dirige.
C’est peut-être la raison pour laquelle la sous-intrigue de Cheetah (Kristen Wiig) ne prend jamais, greffée pour gonfler artificiellement le quota de scènes d’action (avec quelques échecs cosmiques à la clef). C’est sans doute ce qui explique l’irruption de scènes d’action absurdes, à l’image d’une confrontation autoroutière qui donne le sentiment d’avoir été intégralement conçue sur fonds verts, ne tient qu’à un quiproquo et n’impressionne jamais. C’est probablement ce qui “justifie”, une longueur stérile, le film dépassant allègrement les 2h30, qui use le spectateur, au détriment d’une atmosphère lumineuse et bienvenue, qui appelait au contraire une certaine célérité.
De même, on ne saurait dire si le métrage a souffert d’une production heurtée, ou si les conséquences de la pandémie survenue en 2020 ont interrompu l’agencement de ses finitions, mais on est souvent consterné par le rendu global du blockbuster. Les effets spéciaux les plus complexes, ceux concernant le personnage de Cheetah notamment, souffrent d’une grossièreté souvent embarrassante, mais on s’étonne aussi de constater certains ratés terriblement embarrassants, qui vont de perruques mal fignolées (lors du final ventilant) ou à l’usage de mannequins tout droit sorti des pires nanars des années 80. Ce sentiment de gâchis est encore rehaussé par une série de traits d'humour le plus souvent grossiers, ou en rupture avec la candeur de l'ensemble.
PATTY CUT
Wonder Woman 1984 est-il pour autant le cataclysme dont tant de spectateurs se font l’écho ? Non. Il est d’ailleurs étonnant qu’à l’heure où un certain film de 4h est porté aux nues comme un accomplissement dans l’art d’adapter les comics (coucou Zack Snyder's Justice League), le boulot et la passion de Patty Jenkins n’aient pas engendré plus de louanges. Dès son introduction, la volonté manifeste de charger ses cadres de vie, de lignes de fuite évocatrice, de sublimer perpétuellement la grâce et la puissance des Amazones est manifeste. On le sent d'autant plus que sa collaboration avec Gal Gadot fonctionne désormais à plein régime, la comédienne étant nettement plus à l'aise avec le personnage (et la comédie) que lors de ses précédentes interprétations de l'héroïne.
Et il en va de même sitôt le récit revenu au présent. Plus qu’un énième produit surfant sur la nostalgie des années 80, la réalisatrice utilise la profusion de formes et de couleurs pour régulièrement retrouver des gammes chromatiques associées à la veine la plus vivace, organique et colorée des œuvres originales. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le film se place aussi clairement dans les pas du chef-d’oeuvre matriciel qu’est le Superman de Richard Donner (quitte à faire parfois dans la révérence trop appuyée).
Alors que d’autres productions ont encore bien du mal à s’extraire du schéma facile du destruction porn et des luttes artificielles contre des hordes de bots numériques, Patty Jenkins ramène toujours ses protagonistes à des enjeux émotionnels concrets, primaires, proches du conte. Une orientation qui lui permet de s’appesantir sur un méchant pathétique, le trop humain et souvent touchant Maxwell Lord (Pedro Pascal). Ce dernier permettra au scénario d’oser un climax très intéressant sur le papier, résolument anti-spectaculaire et chevillé aux valeurs de son héroïne... jusqu’à ce qu’il se transforme en mauvaise réclame pour les réparations de ventilateurs défectueux.
Ce qui permet enfin à Wonder Woman 1984 de se tailler une place à part au sein des productions DC, ce sont les séquences où Jenkins parvient à imposer une logique purement cinématographique. La dramaturgie des premières rencontres entre Diana et Barbara, les relations toxiques qui poussent Lord vers une spirale destructrice ou encore la dernière scène dans laquelle apparaît Chris Pine sont toutes mues par un sens du cadre et une narration toujours pensée par l'image, qui font trop cruellement défaut au genre.
Wonder Woman 1984 est disponible en VOD dès ce 31 mars 2021, et en DVD et Blu-ray dès le 7 avril 2021
Imparfait, souvent schizophrène et souffrant de finitions parfois cosmiques, Wonder Woman 1984 étonne souvent par ses bonnes idées, une conception du spectacle étonnamment fidèle aux canons des comics, et un récit à hauteur de ses personnages, et donc des émotions du spectateur.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1617178653
Après une sortie pour le moins chaotique, au beau milieu d’une crise sanitaire mondiale, Wonder Woman 1984 avait déçu ses premiers spectateurs, légaux et illégaux. Et à en croire les nombreux retours visibles en ligne, Patty Jenkins s’était vautrée dans les grandes largeurs. Mais, alors que la poussière de la polémique est largement retombée et que le film sort enfin légalement en France, qu’en est-il véritablement ?
FLOP BUSTER
Les tares du blockbuster super-héroïques à l’ère de son industrialisation sont désormais bien connues, et Wonder Woman 1984 n’y échappe pas, notamment quand le film doit se dépatouiller d’un cahier des charges aussi lourdingue que contradictoire. En effet, on a souvent l’impression que les plaisantes intentions de la cinéaste entrent en contradiction avec les exigences du chantier qu’elle dirige.
C’est peut-être la raison pour laquelle la sous-intrigue de Cheetah (Kristen Wiig) ne prend jamais, greffée pour gonfler artificiellement le quota de scènes d’action (avec quelques échecs cosmiques à la clef). C’est sans doute ce qui explique l’irruption de scènes d’action absurdes, à l’image d’une confrontation autoroutière qui donne le sentiment d’avoir été intégralement conçue sur fonds verts, ne tient qu’à un quiproquo et n’impressionne jamais. C’est probablement ce qui “justifie”, une longueur stérile, le film dépassant allègrement les 2h30, qui use le spectateur, au détriment d’une atmosphère lumineuse et bienvenue, qui appelait au contraire une certaine célérité.
De même, on ne saurait dire si le métrage a souffert d’une production heurtée, ou si les conséquences de la pandémie survenue en 2020 ont interrompu l’agencement de ses finitions, mais on est souvent consterné par le rendu global du blockbuster. Les effets spéciaux les plus complexes, ceux concernant le personnage de Cheetah notamment, souffrent d’une grossièreté souvent embarrassante, mais on s’étonne aussi de constater certains ratés terriblement embarrassants, qui vont de perruques mal fignolées (lors du final ventilant) ou à l’usage de mannequins tout droit sorti des pires nanars des années 80. Ce sentiment de gâchis est encore rehaussé par une série de traits d'humour le plus souvent grossiers, ou en rupture avec la candeur de l'ensemble.
PATTY CUT
Wonder Woman 1984 est-il pour autant le cataclysme dont tant de spectateurs se font l’écho ? Non. Il est d’ailleurs étonnant qu’à l’heure où un certain film de 4h est porté aux nues comme un accomplissement dans l’art d’adapter les comics (coucou Zack Snyder's Justice League), le boulot et la passion de Patty Jenkins n’aient pas engendré plus de louanges. Dès son introduction, la volonté manifeste de charger ses cadres de vie, de lignes de fuite évocatrice, de sublimer perpétuellement la grâce et la puissance des Amazones est manifeste. On le sent d'autant plus que sa collaboration avec Gal Gadot fonctionne désormais à plein régime, la comédienne étant nettement plus à l'aise avec le personnage (et la comédie) que lors de ses précédentes interprétations de l'héroïne.
Et il en va de même sitôt le récit revenu au présent. Plus qu’un énième produit surfant sur la nostalgie des années 80, la réalisatrice utilise la profusion de formes et de couleurs pour régulièrement retrouver des gammes chromatiques associées à la veine la plus vivace, organique et colorée des œuvres originales. Ce n’est d’ailleurs pas un hasard si le film se place aussi clairement dans les pas du chef-d’oeuvre matriciel qu’est le Superman de Richard Donner (quitte à faire parfois dans la révérence trop appuyée).
Alors que d’autres productions ont encore bien du mal à s’extraire du schéma facile du destruction porn et des luttes artificielles contre des hordes de bots numériques, Patty Jenkins ramène toujours ses protagonistes à des enjeux émotionnels concrets, primaires, proches du conte. Une orientation qui lui permet de s’appesantir sur un méchant pathétique, le trop humain et souvent touchant Maxwell Lord (Pedro Pascal). Ce dernier permettra au scénario d’oser un climax très intéressant sur le papier, résolument anti-spectaculaire et chevillé aux valeurs de son héroïne... jusqu’à ce qu’il se transforme en mauvaise réclame pour les réparations de ventilateurs défectueux.
Ce qui permet enfin à Wonder Woman 1984 de se tailler une place à part au sein des productions DC, ce sont les séquences où Jenkins parvient à imposer une logique purement cinématographique. La dramaturgie des premières rencontres entre Diana et Barbara, les relations toxiques qui poussent Lord vers une spirale destructrice ou encore la dernière scène dans laquelle apparaît Chris Pine sont toutes mues par un sens du cadre et une narration toujours pensée par l'image, qui font trop cruellement défaut au genre.
Wonder Woman 1984 est disponible en VOD dès ce 31 mars 2021, et en DVD et Blu-ray dès le 7 avril 2021
Imparfait, souvent schizophrène et souffrant de finitions parfois cosmiques, Wonder Woman 1984 étonne souvent par ses bonnes idées, une conception du spectacle étonnamment fidèle aux canons des comics, et un récit à hauteur de ses personnages, et donc des émotions du spectateur.
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Balle Perdue 2, remake de Hard Day... Netflix France mise sur l'action pour l'avenir
Netflix France prépare plusieurs surprises pour 2022 avec une bonne grosse dose d'action et sa première franchise.
Depuis quelque temps, Netflix France doit remodeler son catalogue et repenser son fonctionnement pour offrir une plus grande place à ses propres productions. En effet, en novembre 2019, dans un entretien pour Capital, Franck Riester (le ministre de la Culture de l’époque) a reproché publiquement à Netflix de ne pas apporter une grande contribution à la production française. En réponse à cette demande déguisée, Netflix a inauguré un bureau le 17 janvier 2020 à Paris.
Et même s'il reste encore des points importants à régler concernant Netflix en France, cette installation a fait avancer les exigences de l’État français sur les investissements du N rouge dans la production de contenu français. Netflix est à présent dans l'obligation d’offrir 25% de son chiffre d’affaires au financement de la production française. Un investissement qui continue à pousser dans son coin et est parti pour se stabiliser.
L’année 2021 a démarré tambour battant pour Netflix qui a balancé en janvier sa série Lupin avec Omar Sy. Un important succès qui a démontré l’engagement de la plateforme pour le marché français et qui devrait suivre avec la suite prévue cet été, mais aussi les retours attendus de Mortel, Plan Cœur, Family Business ou même les films 8 rue de l'Humanité réalisé par Dany Boon et Le Dernier Mercenaire avec Jean-Claude Van Damme d'ici fin 2021. Et le leader des plateformes ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et a annoncé ses nouveaux projets pour 2022, dont deux films qui ont particulièrement retenu notre attention.
Ainsi, le Fast & Furious à la française, Balle perdue aura droit à une suite. Le film de Guillaume Pierret a su se faire une place de choix dans le catalogue Netflix, puisqu’il a réussi à attirer les abonnés avec pas moins de 37 millions de visionnages en 28 jours dans le monde (selon Netflix). En revenant avec une suite, cela deviendra la première franchise made in France de Netflix du côté cinéma. Un bel exploit pour ce réalisateur dont c'était le premier film.
L’autre projet palpitant est le long-métrage À tombeau ouvert avec Franck Gastambide et Simon Abkarian. Et non, ce film ne sera pas le remake du film de Martin Scorsese avec Nicolas Cage, mais sera un remake du film coréen Hard Day de Kim Seong-hun sorti en 2014. Le film policier avait été sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes en 2014 et avait fait sensation.
Régis Blondeau sera le réalisateur d'À tombeau ouvert, après avoir été longtemps directeur de la photographie pour de nombreux films français, notamment pour Pierre-François Martin-Laval et ses adaptations de bandes-dessinées Gaston Lagaffe et Les Profs.
Outre ses deux longs-métrages, la plateforme prépare plusieurs séries dont Les sept vies de Léa de Charlotte Sanson, précédemment scénariste pour la série Vampires (une autre production Netflix). Elle comptera au casting les talentueux Mélanie Doutey et Samuel Benchetrit. La plateforme délivrera également une série fondée sur une idée originale de la comique Nawell Madani avec Bendo, une série documentaire sur Johnny Hallyday ou encore une série de fiction de Hervé Hadmar retraçant l'incendie historique de Notre Dame de Paris.
Aux États-Unis, Netflix est parvenu à conjuguer parfaitement des productions ambitieuses et à très gros budget, comme The Irishman de Scorsese et Mank de David Fincher, avec des productions à plus petit budget, mais qui cartonnent sur la plateforme (Bird Box par exemple). Un modèle que la plateforme semble vouloir exporter. Si Netflix veut calquer son modèle de production à l’internationale, la France est bien partie pour y parvenir. Depuis son lancement, Netflix France a produit 24 contenus originaux (six films, neuf séries, cinq spectacles, trois documentaires et un magazine) et compte bien désormais à plus de 20 créations chaque année.
Une perspective pour l'avenir cohérente avec les nombreux autres projets pour 2021 et 2022, notamment une suite du long-métrage De l’autre côté du périph avec Louis Leterrier à la réalisation et toujours Omar Sy et Laurent Lafitte au casting. Netflix France lancera également en 2021 la série Disparu à jamais adaptée d'un polar de Harlan Coben et portée par Finnegan Oldfield, Nicolas Duvauchelle et Garance Marillier.
Enfin, nul doute que Netflix veut montrer patte blanche dans le secteur culturel français. La plateforme s'est également engagée à soutenir les jeunes talents des écoles de cinéma françaises (Fémis, Les gobelins). Plus étonnant encore, elle a mis en avant son partenariat avec la Cinémathèque frnçaise pour la restauration du film muet sur Napoléon d'Abel Gance.
En espérant voir Netflix continuer à prendre des risques et ses nouvelles contributions pour 2022, la série Lupin est toujours disponible sur la plateforme et vous pouvez toujours lire notre critique.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617123207
Netflix France prépare plusieurs surprises pour 2022 avec une bonne grosse dose d'action et sa première franchise.
Depuis quelque temps, Netflix France doit remodeler son catalogue et repenser son fonctionnement pour offrir une plus grande place à ses propres productions. En effet, en novembre 2019, dans un entretien pour Capital, Franck Riester (le ministre de la Culture de l’époque) a reproché publiquement à Netflix de ne pas apporter une grande contribution à la production française. En réponse à cette demande déguisée, Netflix a inauguré un bureau le 17 janvier 2020 à Paris.
Et même s'il reste encore des points importants à régler concernant Netflix en France, cette installation a fait avancer les exigences de l’État français sur les investissements du N rouge dans la production de contenu français. Netflix est à présent dans l'obligation d’offrir 25% de son chiffre d’affaires au financement de la production française. Un investissement qui continue à pousser dans son coin et est parti pour se stabiliser.
L’année 2021 a démarré tambour battant pour Netflix qui a balancé en janvier sa série Lupin avec Omar Sy. Un important succès qui a démontré l’engagement de la plateforme pour le marché français et qui devrait suivre avec la suite prévue cet été, mais aussi les retours attendus de Mortel, Plan Cœur, Family Business ou même les films 8 rue de l'Humanité réalisé par Dany Boon et Le Dernier Mercenaire avec Jean-Claude Van Damme d'ici fin 2021. Et le leader des plateformes ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et a annoncé ses nouveaux projets pour 2022, dont deux films qui ont particulièrement retenu notre attention.
Ainsi, le Fast & Furious à la française, Balle perdue aura droit à une suite. Le film de Guillaume Pierret a su se faire une place de choix dans le catalogue Netflix, puisqu’il a réussi à attirer les abonnés avec pas moins de 37 millions de visionnages en 28 jours dans le monde (selon Netflix). En revenant avec une suite, cela deviendra la première franchise made in France de Netflix du côté cinéma. Un bel exploit pour ce réalisateur dont c'était le premier film.
L’autre projet palpitant est le long-métrage À tombeau ouvert avec Franck Gastambide et Simon Abkarian. Et non, ce film ne sera pas le remake du film de Martin Scorsese avec Nicolas Cage, mais sera un remake du film coréen Hard Day de Kim Seong-hun sorti en 2014. Le film policier avait été sélectionné à la Quinzaine des réalisateurs du Festival de Cannes en 2014 et avait fait sensation.
Régis Blondeau sera le réalisateur d'À tombeau ouvert, après avoir été longtemps directeur de la photographie pour de nombreux films français, notamment pour Pierre-François Martin-Laval et ses adaptations de bandes-dessinées Gaston Lagaffe et Les Profs.
Outre ses deux longs-métrages, la plateforme prépare plusieurs séries dont Les sept vies de Léa de Charlotte Sanson, précédemment scénariste pour la série Vampires (une autre production Netflix). Elle comptera au casting les talentueux Mélanie Doutey et Samuel Benchetrit. La plateforme délivrera également une série fondée sur une idée originale de la comique Nawell Madani avec Bendo, une série documentaire sur Johnny Hallyday ou encore une série de fiction de Hervé Hadmar retraçant l'incendie historique de Notre Dame de Paris.
Aux États-Unis, Netflix est parvenu à conjuguer parfaitement des productions ambitieuses et à très gros budget, comme The Irishman de Scorsese et Mank de David Fincher, avec des productions à plus petit budget, mais qui cartonnent sur la plateforme (Bird Box par exemple). Un modèle que la plateforme semble vouloir exporter. Si Netflix veut calquer son modèle de production à l’internationale, la France est bien partie pour y parvenir. Depuis son lancement, Netflix France a produit 24 contenus originaux (six films, neuf séries, cinq spectacles, trois documentaires et un magazine) et compte bien désormais à plus de 20 créations chaque année.
Une perspective pour l'avenir cohérente avec les nombreux autres projets pour 2021 et 2022, notamment une suite du long-métrage De l’autre côté du périph avec Louis Leterrier à la réalisation et toujours Omar Sy et Laurent Lafitte au casting. Netflix France lancera également en 2021 la série Disparu à jamais adaptée d'un polar de Harlan Coben et portée par Finnegan Oldfield, Nicolas Duvauchelle et Garance Marillier.
Enfin, nul doute que Netflix veut montrer patte blanche dans le secteur culturel français. La plateforme s'est également engagée à soutenir les jeunes talents des écoles de cinéma françaises (Fémis, Les gobelins). Plus étonnant encore, elle a mis en avant son partenariat avec la Cinémathèque frnçaise pour la restauration du film muet sur Napoléon d'Abel Gance.
En espérant voir Netflix continuer à prendre des risques et ses nouvelles contributions pour 2022, la série Lupin est toujours disponible sur la plateforme et vous pouvez toujours lire notre critique.
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Après The Batman, Matt Reeves va produire le remake d’un petit film d’horreur SF
Le réalisateur de The Batman va revenir avec le remake d'un film d'horreur SF russe.
Les grosses bestioles dans l’espace voilà quelque chose dont on ne se lasse pas. Qu’elles hantent les vaisseaux comme dans Alien, le huitième passager ou qu’elles s’incrustent dans le corps humain comme dans Life : Origine Inconnue les grosses bêtes extraterrestres sont l’ingrédient idéal pour provoquer la peur.
Si le vide intersidéral entourant le vaisseau sans issu est déjà une angoisse en soi, mettez-y une horrible créature inconnue et vous sombrez vite dans le film d’horreur. Mais même de retour sur la bonne vieille Terre, le monstre de l’espace n’en est jamais moins effrayant. Car de quoi avoir peur si ce n’est d’une forme de vie inconnue ?
C’est ce postulat qu’a pris le film de SF d’horreur, Sputnik. Et selon le magazine Deadline, après un succès critique et public, le film russe va être adapté sur les écrans américains.
Ce remake sera produit par Matt Reeves, le réalisateur de The Batman. Le cinéaste va donc revenir à l'horreur pure, après Cloverfield et Laisse-moi entrer, et juste après un séjour chez DC comics avec Robert Pattinson. Pour rappel, Sputnik se déroule durant la Guerre froide alors qu'un cosmonaute rentrant d'une mission se retrouve physiquement envahi par un étrange crabe spatial à longues pattes. Une jeune médecin va tenter de l'en libérer alors que l'armée veut transformer cet étrange parasite en arme.
Et ce n'est pas très étonnant que Sputnik du réalisateur russe Egor Abramenko ait piqué la curiosité des Américains, le film a été un joli succès en pleine pandémie comme l’a commenté le producteur du film russe, Fedor Bondarchuk, pour Deadline :
“Sputnik était le premier gros film russe à sortir directement sur les plateformes pendant la pandémie et comme tout le monde était coincé chez eux, un nombre sans précédent de personnes a regardé le film. Cela a créé un vrai buzz en Russie, mais également dans le monde entier.”
Reste à voir si ce remake américain va réussir à conserver l’atmosphère du film russe qui a déjà trouvé un petit public. De plus, on sait que Sputnik a connu un tel succès surtout grâce au confinement. Qu'en sera-t-il du remake alors ? On peut penser qu'avec sa casquette de producteur Matt Reeves va réussir à garder ce je ne sais quoi d’effrayant qui a fait le succès de Sputnik et qui sans doute va attirer un public qui n'a pas pour habitude de regarder des films russes.
Pour l’instant, pas plus d'information sur ce remake. Mais pour vous plonger dans l’ambiance, vous pouvez lire notre critique de ce fameux Sputnik.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617114828
Le réalisateur de The Batman va revenir avec le remake d'un film d'horreur SF russe.
Les grosses bestioles dans l’espace voilà quelque chose dont on ne se lasse pas. Qu’elles hantent les vaisseaux comme dans Alien, le huitième passager ou qu’elles s’incrustent dans le corps humain comme dans Life : Origine Inconnue les grosses bêtes extraterrestres sont l’ingrédient idéal pour provoquer la peur.
Si le vide intersidéral entourant le vaisseau sans issu est déjà une angoisse en soi, mettez-y une horrible créature inconnue et vous sombrez vite dans le film d’horreur. Mais même de retour sur la bonne vieille Terre, le monstre de l’espace n’en est jamais moins effrayant. Car de quoi avoir peur si ce n’est d’une forme de vie inconnue ?
C’est ce postulat qu’a pris le film de SF d’horreur, Sputnik. Et selon le magazine Deadline, après un succès critique et public, le film russe va être adapté sur les écrans américains.
Ce remake sera produit par Matt Reeves, le réalisateur de The Batman. Le cinéaste va donc revenir à l'horreur pure, après Cloverfield et Laisse-moi entrer, et juste après un séjour chez DC comics avec Robert Pattinson. Pour rappel, Sputnik se déroule durant la Guerre froide alors qu'un cosmonaute rentrant d'une mission se retrouve physiquement envahi par un étrange crabe spatial à longues pattes. Une jeune médecin va tenter de l'en libérer alors que l'armée veut transformer cet étrange parasite en arme.
Et ce n'est pas très étonnant que Sputnik du réalisateur russe Egor Abramenko ait piqué la curiosité des Américains, le film a été un joli succès en pleine pandémie comme l’a commenté le producteur du film russe, Fedor Bondarchuk, pour Deadline :
“Sputnik était le premier gros film russe à sortir directement sur les plateformes pendant la pandémie et comme tout le monde était coincé chez eux, un nombre sans précédent de personnes a regardé le film. Cela a créé un vrai buzz en Russie, mais également dans le monde entier.”
Reste à voir si ce remake américain va réussir à conserver l’atmosphère du film russe qui a déjà trouvé un petit public. De plus, on sait que Sputnik a connu un tel succès surtout grâce au confinement. Qu'en sera-t-il du remake alors ? On peut penser qu'avec sa casquette de producteur Matt Reeves va réussir à garder ce je ne sais quoi d’effrayant qui a fait le succès de Sputnik et qui sans doute va attirer un public qui n'a pas pour habitude de regarder des films russes.
Pour l’instant, pas plus d'information sur ce remake. Mais pour vous plonger dans l’ambiance, vous pouvez lire notre critique de ce fameux Sputnik.
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ClintReborn
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Autant colin farrell garde toujours la même expression depuis 20 ans Autant cela à l'air d'avoir été la grosse déprime sur le tournage vu les gueules qu'ils tirent elle peut servir de tuto exemple sur comment ne pas vendre la joie sur une affiche de film 
Par contre je soupçonne fortement le concepteur du vaisseau d'avoir trop regarder docteur who C'est juste un tournevis géant
Autant cela à l'air d'avoir été la grosse déprime sur le tournage vu les gueules qu'ils tirent elle peut servir de tuto exemple sur comment ne pas vendre la joie sur une affiche de film Par contre je soupçonne fortement le concepteur du vaisseau d'avoir trop regarder docteur who
C'est juste un tournevis géantAh ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
ClairementClintReborn a écrit : ↑mer. 31 mars 2021 17:47Autant colin farrell garde toujours la même expression depuis 20 ans
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BoBleMexicain
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- Enregistré le : mer. 15 juil. 2020 11:43
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ou star Wars
Justice League : HBO Max se porte mieux que jamais depuis la sortie du Snyder Cut
Le Snyder Cut de Justice League a permis à HBO Max d’être au meilleur de sa forme.
Ah, Justice League... Le film de Joss Whedon sorti en 2017 est un peu un sujet qui fâche les fans de DC Comics. D'un autre côté, la nouvelle version de Zack Snyder, Zack Snyder's Justice League a fait couler beaucoup d’encre et a encore une fois beaucoup divisé. Le film de Snyder aurait même rendu les fans du DC Comics "toxiques" selon Ann Sarnoff, la présidente de Warner.
Pourtant, c'est bien grâce à l'intervention des fans que la version de Snyder a vu le jour après un tsunami de #ReleaseTheSnyderCut sur les réseaux sociaux pendant plus de trois ans. Et comme ils ne sont jamais rassasiés, ils demandent désormais avec hargne le Snyder Verse au complet. Difficile de penser que cela arrivera un jour vu les déclarations des pontes de Warner ou Snyder lui-même, mais une chose est sûre, on connait l’identité du plus grand fan de cette nouvelle version.
Effectivement, HBO Max étant la seule plateforme de streaming ayant le droit de diffuser dans son offre abonnée la version revue et corrigée de Justice League, le service de SVoD de Warner se frotte les mains face au succès de la version de Zack Snyder. Ce Justice League 2.0 a en effet permis à HBO Max de se trouver au meilleur de sa forme.
Le 18 mars 2021, date à marquer d’une pierre blanche pour la chaine américaine, alors que HBO Max sortait en SVoD Zack Snyder’s Cut Justice League, le nombre de téléchargements de l’application mobile de la plateforme est monté en flèche. Selon le magazine Bloomberg, et son analyseur de données Apptopia, l’application d’HBO Max a explosé le compteur avec 1,48 million de téléchargements en dix jours, soit une hausse de 64 % par rapport à la normale.
Grâce au Snyder Cut, HBO Max a fait sensation la semaine du 22 mars (jusqu'au 28 mars inclu) laissant les géants comme Disney+ et Netflix, une fois n'est pas coutume, derrière. Car, sur la même période de temps les mastodontes du streaming ont comptabilisé respectivement "que" 831 000 et 712 000 téléchargements de leurs applications mobiles.
De quoi vraiment lancer HBO Max dans la cour des grands après son lancement chaotique ? Rien n'est moins sûr, mais on peut imaginer que cela aura un impact favorable pour la plateforme, d'autant plus avec l'arrivée de Godzilla vs. Kong dans son catalogue.
En tout cas, HBO Max et par extension Warner Bros. peuvent remercier Zack Snyder, les fans et peut-être même Joss Whedon. Car sans la haine provoquée par son Justice League de 2017, HBO Max n’aurait pas eu l’occasion d'avoir un produit d'appel aussi prestigieux dans son catalogue. Si vous êtes impatients de voir la suite de Justice League, il va falloir attendre encore un long moment alors on vous en dit plus ici.
Et si vous avez encore de l'espoir, pour vous aider à patienter, vous pouvez toujours lire notre critique de Zack Snyder's Cut Justice League garantie sans spoiler pour les retardataires.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617273819
Demonic : le film d'horreur de Neill Blomkamp arrive enfin (et on a hâte)
Le film d’horreur Demonic de Neill Blomkamp va arriver plus tôt qu’on le pensait.
Neill Blomkamp est un réalisateur qui prend son temps. Effectivement, plusieurs années peuvent passer entre deux films du cinéaste. Après avoir explosé à Hollywood avec District 9 en 2009, Blomkamp a attendu 2013 pour réaliser Elysium avec Matt Damon et Jodie Foster. Son troisième et dernier film en date, Chappie avec Hugh Jackman et Dev Patel n’a vu le jour lui qu’en 2015.
Et depuis plus rien. Enfin, ce n’est pas tout à fait exact, Neil Blomkamp a été occupé, mais aucun de ses projets n’a été concrétisé, comme Alien 5 ou encore l’adaptation du jeu vidéo Halo. Il a donc passé le temps avec sa société de courts-métrages SF et horrifiques OATS. Mais ça y est, Neill Blomkamp va signer son grand retour avec le film d’horreur Demonic qui a enfin une date de sortie.
Pour rappel, Demonic raconte l’histoire de la fille (Carly Pope) d’une tueuse en série qui rencontre un scientifique lui demandant son aide avec une nouvelle technologie qui lui permet d’entrer dans l’esprit de sa mère à présent dans le coma. Elle va trouver au travers de cette expérience une force surnaturelle qui est au cœur de ses traumatismes infantiles.
Le magazine Deadline a révélé que la société de production spécialisée dans l’horreur, IFC Midnight (The Wretched, The Vigil) a acquis les droits du prochain film de Blomkamp. Et ainsi, cela explique l’annonce d'une date de sortie pour Demonic alors que le film ne donnait aucune nouvelle de son avancée. La présidente de IFC Midnight, Arianna Bocco, a déclaré à Deadline :
“C’est excitant de travailler ensemble pour ce nouveau projet très attendu et d’être immergé dans un nouveau monde terrifiant très similaire au nôtre.”
Demonic a été filmé avec Carly Pope, Chris Williams et Michael Rogers en quelques semaines seulement dans l’arrière-pays canadien malgré la Covid, alors que d'un autre côté, le virus avait stoppé net un autre projet de Blomkamp : The Inferno avec Taylor Kitsch. Si la plupart des films sont repoussés à une date plus ou moins lointaine, Demonic lui devrait sortir le 20 août 2021 aux Etats-Unis si rien ne vient à nouveau tout chambouler. En France, il faudra attendre encore un peu pour connaître le sort du film.
Août est encore bien loin, alors en attendant vous pouvez lire notre critique de Chappie le dernier film de Neill Blomkamp.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617272497
Le film d’horreur Demonic de Neill Blomkamp va arriver plus tôt qu’on le pensait.
Neill Blomkamp est un réalisateur qui prend son temps. Effectivement, plusieurs années peuvent passer entre deux films du cinéaste. Après avoir explosé à Hollywood avec District 9 en 2009, Blomkamp a attendu 2013 pour réaliser Elysium avec Matt Damon et Jodie Foster. Son troisième et dernier film en date, Chappie avec Hugh Jackman et Dev Patel n’a vu le jour lui qu’en 2015.
Et depuis plus rien. Enfin, ce n’est pas tout à fait exact, Neil Blomkamp a été occupé, mais aucun de ses projets n’a été concrétisé, comme Alien 5 ou encore l’adaptation du jeu vidéo Halo. Il a donc passé le temps avec sa société de courts-métrages SF et horrifiques OATS. Mais ça y est, Neill Blomkamp va signer son grand retour avec le film d’horreur Demonic qui a enfin une date de sortie.
Pour rappel, Demonic raconte l’histoire de la fille (Carly Pope) d’une tueuse en série qui rencontre un scientifique lui demandant son aide avec une nouvelle technologie qui lui permet d’entrer dans l’esprit de sa mère à présent dans le coma. Elle va trouver au travers de cette expérience une force surnaturelle qui est au cœur de ses traumatismes infantiles.
Le magazine Deadline a révélé que la société de production spécialisée dans l’horreur, IFC Midnight (The Wretched, The Vigil) a acquis les droits du prochain film de Blomkamp. Et ainsi, cela explique l’annonce d'une date de sortie pour Demonic alors que le film ne donnait aucune nouvelle de son avancée. La présidente de IFC Midnight, Arianna Bocco, a déclaré à Deadline :
“C’est excitant de travailler ensemble pour ce nouveau projet très attendu et d’être immergé dans un nouveau monde terrifiant très similaire au nôtre.”
Demonic a été filmé avec Carly Pope, Chris Williams et Michael Rogers en quelques semaines seulement dans l’arrière-pays canadien malgré la Covid, alors que d'un autre côté, le virus avait stoppé net un autre projet de Blomkamp : The Inferno avec Taylor Kitsch. Si la plupart des films sont repoussés à une date plus ou moins lointaine, Demonic lui devrait sortir le 20 août 2021 aux Etats-Unis si rien ne vient à nouveau tout chambouler. En France, il faudra attendre encore un peu pour connaître le sort du film.
Août est encore bien loin, alors en attendant vous pouvez lire notre critique de Chappie le dernier film de Neill Blomkamp.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617272497
À couteaux tirés 2 et 3 : Netflix se paye (très cher) les suites du film d'enquête avec Daniel Craig
Netflix a mis la main au porte-monnaie pour acheter les deux suites du film À couteaux tirés, dans lesquels Daniel Craig reprendra le rôle du détective Benoit Blanc.
Depuis l'arrivée de HBO Max et Disney+ (et accessoirement Apple TV+), la guerre du streaming fait rage et la pandémie n'a fait qu'accélérer la compétition pour détrôner Netflix. Mais même si ces nouveaux concurrents ne sont pas à prendre à la légère puisque leur catalogue peut s'appuyer sur des licences DC ou Star Wars et Marvel, l'actuel géant du streaming sait comment garder une longueur d'avance, que ce soit avec ses créations originales, ou des rachats que la plateforme compte bien multiplier.
Après la tentative ratée de mettre sur la main sur Godzilla vs. Kong, Netflix est donc récemment allé faire son marché du côté de Media Rights Capital, qui a produit le film À couteaux tirés, réalisé et écrit par Rian Johnson en 2019. Le film inspiré des célèbres whodunit (ou romans d'énigme) avait été distribué par Lionsgate et avait récolté la belle somme de 311 millions de dollars dans le monde (dont 165 à domicile) pour un petit budget de seulement 40 millions.
L'idée d'une suite a donc germé très tôt, mais il ne faudra pas espérer revoir le détective Benoit Blanc de Daniel Craig sur grand écran, puisque Netflix a déboursé 450 millions pour obtenir les droits d'À couteaux tirés 2 et 3 d'après Variety.
Après le nombre record de nominations pour Netflix aux prochains Oscars, la plateforme tient une nouvelle opportunité de voir un des films de son catalogue décrocher une statuette, À couteaux tirés ayant permis une nomination pour Rian Johnson dans la catégorie du meilleur scénario original. Les deux suites seront elles aussi écrites et réalisées par le cinéaste, qui avait déjà annoncé que la première verrait un nouveau casting prendre le relai, pour que le détective campé par Daniel Craig s'attaque à une toute nouvelle affaire quelque part dans le monde, à la façon du Hercule Poirot de Kenneth Branagh dans le prochain Mort sur le Nil.
En attendant d'en savoir plus, la bande-annonce des sorties cinéma de Netflix pour 2021 est par ici. Sinon, notre critique du dernier Bad Trip de la plateforme est disponible de ce côté. On revient également sur la disparition du regretté Christopher Plummer par là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617264485
Netflix a mis la main au porte-monnaie pour acheter les deux suites du film À couteaux tirés, dans lesquels Daniel Craig reprendra le rôle du détective Benoit Blanc.
Depuis l'arrivée de HBO Max et Disney+ (et accessoirement Apple TV+), la guerre du streaming fait rage et la pandémie n'a fait qu'accélérer la compétition pour détrôner Netflix. Mais même si ces nouveaux concurrents ne sont pas à prendre à la légère puisque leur catalogue peut s'appuyer sur des licences DC ou Star Wars et Marvel, l'actuel géant du streaming sait comment garder une longueur d'avance, que ce soit avec ses créations originales, ou des rachats que la plateforme compte bien multiplier.
Après la tentative ratée de mettre sur la main sur Godzilla vs. Kong, Netflix est donc récemment allé faire son marché du côté de Media Rights Capital, qui a produit le film À couteaux tirés, réalisé et écrit par Rian Johnson en 2019. Le film inspiré des célèbres whodunit (ou romans d'énigme) avait été distribué par Lionsgate et avait récolté la belle somme de 311 millions de dollars dans le monde (dont 165 à domicile) pour un petit budget de seulement 40 millions.
L'idée d'une suite a donc germé très tôt, mais il ne faudra pas espérer revoir le détective Benoit Blanc de Daniel Craig sur grand écran, puisque Netflix a déboursé 450 millions pour obtenir les droits d'À couteaux tirés 2 et 3 d'après Variety.
Après le nombre record de nominations pour Netflix aux prochains Oscars, la plateforme tient une nouvelle opportunité de voir un des films de son catalogue décrocher une statuette, À couteaux tirés ayant permis une nomination pour Rian Johnson dans la catégorie du meilleur scénario original. Les deux suites seront elles aussi écrites et réalisées par le cinéaste, qui avait déjà annoncé que la première verrait un nouveau casting prendre le relai, pour que le détective campé par Daniel Craig s'attaque à une toute nouvelle affaire quelque part dans le monde, à la façon du Hercule Poirot de Kenneth Branagh dans le prochain Mort sur le Nil.
En attendant d'en savoir plus, la bande-annonce des sorties cinéma de Netflix pour 2021 est par ici. Sinon, notre critique du dernier Bad Trip de la plateforme est disponible de ce côté. On revient également sur la disparition du regretté Christopher Plummer par là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617264485
Celle-ci n'est pas mal non plus :ClintReborn a écrit : ↑mer. 31 mars 2021 17:47elle peut servir de tuto exemple sur comment ne pas vendre la joie sur une affiche de film
Qui regarde les affiches des trucs qui sortent directement sur les plateformes ?Pale a écrit : ↑jeu. 1 avr. 2021 19:09Celle-ci n'est pas mal non plus :ClintReborn a écrit : ↑mer. 31 mars 2021 17:47elle peut servir de tuto exemple sur comment ne pas vendre la joie sur une affiche de film
C'est complètement tiré par les cheveux mais au moins ils vont à fond dans le délire. Je m'étais fait pas mal chier devant Godzilla 2 : Roi des monstres pour ses grosses baisses de rythme mais ici j'avoue avoir pris mon pied
Bon déjà visuellement ça défonce tout. Quand les titans sont amenés à se mettre sur la tronche, ça fracasse bien. A ce titre, le final à Hong Kong est dantesque et rappelle aisément la bataille finale dans Man of Steel en terme de destruction porn. J'ai adoré aussi le côté Jules Verne que propose une partie du film. Au niveau de la bande-originale, rien de véritablement honorable mais on retrouve parfois une ambiance électro pas déplaisante. J'ai conscience que ça ne vole pas ultra haut et je me suis parfois marré devant les facilités du scénario mais les scènes d'action et le final cataclysmique m'ont vraiment emporté
Modifié en dernier par Pale le ven. 2 avr. 2021 00:09, modifié 1 fois.
L'ambiance et les thèmes abordés sont pas mal et collent encore plus à notre époque actuelle qu'à sa sortie. Après disons que l'ensemble est un peu cheap, ce qui a tendance à rendre certaines scènes assez ridicules. J'ai une large préférence pour Infectés des mêmes réalisateurs mais Les Derniers jours se suit bien et les personnages principaux sont attachants.
Après Get Out et Us, le prochain film de Jordan Peele aura un petit air de The Walking Dead
Jordan Peele, le réalisateur de Get Out et Us revient avec un nouveau film qui a piqué à The Walking Dead.
Jordan Peele a fait sensation dans le cinéma d’horreur en 2017 à la sortie de l’excellemment terrifiant et politique Get Out porté par le non moins excellent Daniel Kaluuya. Fort de son succès, Peele a rempilé avec l’horreur en 2019 et a réalisé Us. Ce second film plus cryptique et symbolique a également eu un joli succès où brille la toujours géniale Lupita Nyong'o. Jordan Peele s'est donc fait un nom dans le monde assez fermé du cinéma d'horreur de haut vol.
La force de Jordan Peele se situe autant dans l’efficacité de ses récits horrifique et de son sens de la mise en scène que dans sa capacité à s’entourer d’acteurs stupéfiants. Après deux gros succès, le réalisateur est de retour avec un nouveau film et a dévoilé un nouveau nom qui sera au casting. Peele s’est en effet rapproché d’un acteur rodé à l’horreur, car il a pendant longtemps zigouillé du zombie.
Si le réalisateur n'a pas confirmé pour sûr le genre de son prochain film, il s’est entouré d’acteurs accoutumés aux histoires d’horreur. Il est d'ailleurs plutôt logique d’imaginer que Peele va rester dans son domaine de prédilection. En effet, selon le magazine Variety un nouveau nom est venu enrichir le casting, il s'agit de Steven Yeun. L’acteur a rerçu récemment une nomination aux Oscars pour le drame Minari de Lee Isaac Chung, mais on le connait mieux pour son personnage de Glenn dans la série The Walking Dead, où il a fait une rencontre malheureuse avec une batte de baseball.
Le projet de Peele est encore bien secret, mais Steven Yeun rejoindrait donc Daniel Kaluuya de retour sous la direction du réalisateur de Get Out. Il est probable qu'il soit le remplaçant de Jesse Plemons qui avait dû quitter le film pour se consacrer pleinement à celui de Scorsese (sympa d'être convoité comme ça non ?). Toujours selon Variety, l’actrice Keke Palmer serait également de la partie, elle-même habituée aux scénarios effrayants après son passage dans les séries Scream Queens et Scream. Avec tous ces acteurs habitués à hurler de peur, Peele semble signer son retour à l’horreur.
Cependant, on n'est pas à l’abri d’un contre-pied étonnant. Car il ne faut pas oublier que Jordan Peele est à l’origine un enfant de la comédie et des séries à sketchs dans le style du Saturday Night Live. Certes, cela serait aussi surprenant que drôle, mais qui sait. Il va falloir attendre un peu pour en savoir plus sur ce projet encore bien mystérieux.
Le film est actuellement prévu pour le 22 juillet 2022. Pour patienter, vous pouvez lire notre critique de Us, le dernier métrage de Jordan Peele.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617370975
Jordan Peele, le réalisateur de Get Out et Us revient avec un nouveau film qui a piqué à The Walking Dead.
Jordan Peele a fait sensation dans le cinéma d’horreur en 2017 à la sortie de l’excellemment terrifiant et politique Get Out porté par le non moins excellent Daniel Kaluuya. Fort de son succès, Peele a rempilé avec l’horreur en 2019 et a réalisé Us. Ce second film plus cryptique et symbolique a également eu un joli succès où brille la toujours géniale Lupita Nyong'o. Jordan Peele s'est donc fait un nom dans le monde assez fermé du cinéma d'horreur de haut vol.
La force de Jordan Peele se situe autant dans l’efficacité de ses récits horrifique et de son sens de la mise en scène que dans sa capacité à s’entourer d’acteurs stupéfiants. Après deux gros succès, le réalisateur est de retour avec un nouveau film et a dévoilé un nouveau nom qui sera au casting. Peele s’est en effet rapproché d’un acteur rodé à l’horreur, car il a pendant longtemps zigouillé du zombie.
Si le réalisateur n'a pas confirmé pour sûr le genre de son prochain film, il s’est entouré d’acteurs accoutumés aux histoires d’horreur. Il est d'ailleurs plutôt logique d’imaginer que Peele va rester dans son domaine de prédilection. En effet, selon le magazine Variety un nouveau nom est venu enrichir le casting, il s'agit de Steven Yeun. L’acteur a rerçu récemment une nomination aux Oscars pour le drame Minari de Lee Isaac Chung, mais on le connait mieux pour son personnage de Glenn dans la série The Walking Dead, où il a fait une rencontre malheureuse avec une batte de baseball.
Le projet de Peele est encore bien secret, mais Steven Yeun rejoindrait donc Daniel Kaluuya de retour sous la direction du réalisateur de Get Out. Il est probable qu'il soit le remplaçant de Jesse Plemons qui avait dû quitter le film pour se consacrer pleinement à celui de Scorsese (sympa d'être convoité comme ça non ?). Toujours selon Variety, l’actrice Keke Palmer serait également de la partie, elle-même habituée aux scénarios effrayants après son passage dans les séries Scream Queens et Scream. Avec tous ces acteurs habitués à hurler de peur, Peele semble signer son retour à l’horreur.
Cependant, on n'est pas à l’abri d’un contre-pied étonnant. Car il ne faut pas oublier que Jordan Peele est à l’origine un enfant de la comédie et des séries à sketchs dans le style du Saturday Night Live. Certes, cela serait aussi surprenant que drôle, mais qui sait. Il va falloir attendre un peu pour en savoir plus sur ce projet encore bien mystérieux.
Le film est actuellement prévu pour le 22 juillet 2022. Pour patienter, vous pouvez lire notre critique de Us, le dernier métrage de Jordan Peele.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1617370975
Godzilla vs. Kong réalise le meilleur démarrage au Box Office US depuis le début de la pandémie
Les deux monstres ont mangé Wonder Woman.
Alors que les salles rouvrent peu à peu outre-Atlantique, on se rend compte que les amateurs de cinéma se languissaient vraiment des écrans noirs. Les premiers chiffres de Godzilla vs Kong, qui vient de débarquer dans les salles américaines, a enregistré 9,6 millions de dollars de recettes au Box Office US, pour sa seule première journée d'exploitation (ce mercredi 31 mars).
Un record de fréquentation depuis le début de la pandémie ! Godzilla vs Kong écrase ainsi Wonder Woman 1984 qui détenait ce record à Noël, avec 7,5 millions de dollars. Il faut préciser que les deux films produits par Warner Bros. sont sortis simultanément sur HBO Max et ont donc fait face à la concurrence du streaming et du téléchargement illégal.
On notera également que Godzilla vs Kong a pu s'appuyer sur de bonnes critiques (contrairement à la suite du blockbuster DC) et un réseau de distribution plus important, puisque 3000 cinémas projettent le film en ce moment aux USA, quand Wonder Woman 1984 devait se contenter de 2150 salles, l'hiver dernier, en plein pic de la pandémie.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... kpBsl4gQ1g
Les deux monstres ont mangé Wonder Woman.
Alors que les salles rouvrent peu à peu outre-Atlantique, on se rend compte que les amateurs de cinéma se languissaient vraiment des écrans noirs. Les premiers chiffres de Godzilla vs Kong, qui vient de débarquer dans les salles américaines, a enregistré 9,6 millions de dollars de recettes au Box Office US, pour sa seule première journée d'exploitation (ce mercredi 31 mars).
Un record de fréquentation depuis le début de la pandémie ! Godzilla vs Kong écrase ainsi Wonder Woman 1984 qui détenait ce record à Noël, avec 7,5 millions de dollars. Il faut préciser que les deux films produits par Warner Bros. sont sortis simultanément sur HBO Max et ont donc fait face à la concurrence du streaming et du téléchargement illégal.
On notera également que Godzilla vs Kong a pu s'appuyer sur de bonnes critiques (contrairement à la suite du blockbuster DC) et un réseau de distribution plus important, puisque 3000 cinémas projettent le film en ce moment aux USA, quand Wonder Woman 1984 devait se contenter de 2150 salles, l'hiver dernier, en plein pic de la pandémie.
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... kpBsl4gQ1g
Pas moi désolé, la voiture me suffit
Pas beaucoup de découvertes ces derniers temps, je suis en train de me refaire la première saison de American Horror Story, que je trouve meilleure que lors de mon premier visionnage.
J'ai prévu de mater le premier Karaté Kid ce week-end et peut-être Darkman sur Netflix.
J'ai également reçu Le Royaume de Ga'Hoole, ce qui fait que j'ai tous les films de Snyder en Blu-ray, je vais pouvoir commencer ma rétrospective
Voili voilou