Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Zefurin
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Pale a écrit :
jeu. 7 mars 2024 22:28


Un film post-apo avec Nicolas Cage qui a l'air assez prometteur.
Ça a l'air...
...
...
Parfait ?
Enfin un film avec Nicolas Cage qui m'intéresse...
Rachel Mcadams = Random Bonasse de Sherlock Holmes.
MisterM 06/02/2024
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robinne
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weird

Bon anniversaire @Kit :bounce:

(Merci @Mothra2000 pour l'info :jap: )
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Bon anniv @Kit !
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Kit
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:jap: :jap: :jap: :jap: :jap: :jap: :jap: :jap: :jap: :hot: :hot:
merci @robinne , @Next :love2: je ne pensais pas qu'on me le souhaiterait surtout un w-e :bounce:
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Pale
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Zefurin a écrit :
ven. 8 mars 2024 23:25
Ça a l'air...
...
...
Parfait ?
Enfin un film avec Nicolas Cage qui m'intéresse...
Parfait je ne sais pas, mais ça a l'air bien tendu. L'ambiance me rappelle un peu la scène d'intro de 28 semaines plus tard :crazy:
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Pale
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Joyeux anniversaire @Kit :hot: :hot: :hot:
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Kit
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^^

Pale a écrit :
sam. 9 mars 2024 10:43
Joyeux anniversaire @Kit :hot: :hot: :hot:
:jap: :jap: :jap: :jap: :jap: :jap: @Pale :hot: :hot:
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Kit
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je partage le 9 mars avec
Jean-Pierre Chevènement 85 ans
Jean-Jacques Debout 84 ans
Ornella Muti 69 ans (Mort d'un pourri)
Linda Fiorentino 66 ans (Jade, Men in Black)
Thierry Vigneron 64 ans saut à la perche
Jean-Marc Vallée 61 ans réal/scén (C.R.A.Z.Y., Victoria : Les Jeunes Années d'une reine)
Marianne Basler 60 ans (Trois Hommes et un couffin, Les Noces barbares)
Juliette Binoche 60 ans
Valérie Lemercier 60 ans
Alison Doody 58 ans (Indiana Jones et la Dernière Croisade)
Youri Djorkaeff 56 ans foot
Vincent Desagnat 48 ans act
Matthew Gray Gubler 44 ans (Esprits criminels)
Lilou Fogli 43 ans actr. épouse de Clovis Cornillac
Brittany Snow 38 ans actr (John Tucker doit mourir)
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Pale
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Ça faisait très longtemps que l'on n'avait plus vu James Franco.
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Kit
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il a pris un coup de vieux
il n' a pas eu aussi des problèmes d'harcèlement sexuel ?
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Pale
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Kit a écrit :
sam. 9 mars 2024 20:03
il a pris un coup de vieux
il n' a pas eu aussi des problèmes d'harcèlement sexuel ?
Oui je pense.
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Cocu
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Kit a écrit :
sam. 9 mars 2024 20:03
il a pris un coup de vieux
il n' a pas eu aussi des problèmes d'harcèlement sexuel ?
Bon anniversaire en retard !
Pouet
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Kit
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^^

Cocu a écrit :
dim. 10 mars 2024 13:17
Kit a écrit :
sam. 9 mars 2024 20:03
il a pris un coup de vieux
il n' a pas eu aussi des problèmes d'harcèlement sexuel ?
Bon anniversaire en retard !
:jap: :jap: Cocu
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Pale
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Vu :

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Les 20-25 premières minutes ne sont pas ouf et font craindre le pire mais lorsque les choses sérieuses commencent, le spectacle est au rendez-vous. J'ai beaucoup aimé l'univers, c'est épique et très beau visuellement.

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Il y a un peu de John Hughes dans ce premier film de Cameron Crowe, surtout au niveau de l'écriture des personnages. De ce film je ne connaissais que la célèbre scène du poste radio que soulève John Cusack. Je m'attendais à quelque chose de déjanté mais il n'en est rien, on est davantage dans la romance où humour et mélancolie se mélangent.

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Thriller purement années 80 que j'aurais très certainement surkiffé à l'époque. La particularité de ce film, c'est que le héros est un technicien des effets spéciaux qui va collaborer avec une organisation pour simuler la mort de quelqu'un. Bien évidemment le héros va basculer malgré lui dans une histoire de complot et de trahison et va se servir de ses talents d'illusionniste pour tenter de survivre. Le tout est assez tiré par les cheveux mais j'ai malgré tout passé un bon moment devant ce film dans lequel on retrouve une mise en abyme sur le cinéma et les effets spéciaux.

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J'ai adoré ce film. C'est une comédie de science-fiction absolument hilarante mais c'est aussi une charge/satire des maux de la société et 30 ans plus tard, le film est toujours aussi pertinent si ce n'est plus encore.

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Je découvre ce film culte et voici mon expression devant une grosse partie du film :

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Je fais référence à la tête de Simon Pegg :D En vrai je m'attendais à quelque chose dans le même style que Phantom of the Paradise mais ici on est davantage dans le nanar genre Flash Gordon mais version comédie musicale. Je peux concevoir que le film a fait l'effet d'un choc à sa sortie pour le côté provocateur mais j'ai trouvé ça d'une ringardise absolue. Par contre je tiens quand même à souligner l'excellente performance de Susan Sarandon qui est la seule à m'avoir fait rire un tantinet.
Modifié en dernier par Pale le dim. 10 mars 2024 22:28, modifié 1 fois.
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les Oscars palmarès Oscar du meilleur scénario original pour "Anatomie d'une chute" de Justine Triet
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https://www.leparisien.fr/culture-loisi ... 5KEOLM.php
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Kit a écrit :
lun. 11 mars 2024 07:49
les Oscars palmarès Oscar du meilleur scénario original pour "Anatomie d'une chute" de Justine Triet
:hello: Pas vraiment de surprises mais très content pour La Zone d'intérêt et surtout pour Godzilla Minus One.
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:hello: bonne journée
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J'ai découvert cette bande-annonce il y a peu et ça m'a donné envie. Reste à voir si il sera diffusé à proximité de chez moi à sa sortie.
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Vu :

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De Michele Soavi j'avais moyennement apprécié Bloody Bird. Il signe ici un film de zombies assez atypique. La première partie est très bonne, alternant entre horreur et comédie à l'humour très macabre. C'est très plaisant mais on a l'impression que le réalisateur ne sait pas trop dans quelle direction aller, ça ne décolle jamais véritablement et l'ennui se fait ressentir dans la seconde partie qui n'est qu'une succession de scènes WTF.

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Je découvre ce second film de Jonathan Glazer. La première partie est assez prodigieuse et nous fait croire à l'incroyable. On retrouve cette ambiance typique du réalisateur et ce mariage parfait entre les images et la musique. Je dois avouer malgré tout avoir ressenti une pointe de déception suite à la tournure de certains événements, la seconde partie a tendance à retomber un peu comme un soufflé. Je tiens quand même à souligner l'immense performance de Nicole Kidman.

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Le premier restera mon premier mais j'ai beaucoup aimé ce quatrième opus, c'est bon enfant et bien rythmé. Je n'ai plus beaucoup de souvenirs du 2 et du 3 mais j'ai préféré celui-ci.

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Une comédie basée uniquement sur un immense quiproquo. Très possible que le film Game Night s'en soit inspiré. Bref Bill Murray est embarqué malgré lui dans une histoire d'espionnage alors que lui pense être dans une pièce de théâtre interactive. Certaines situations sont hilarantes mais j'avoue que la lassitude a tendance a faire son apparition au bout d'un moment tant les situations absurdes commencent à être assez répétitives. Mais ça m'a bien fait rire malgré tout.

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Je tiens à préciser que l'enchainement L'Homme qui en savait trop peu et La Fille qui en savait trop est une pure coïncidence :D Apparemment La Fille qui en savait trop est un des premiers films à avoir fondé le genre Giallo. Cela ne m'a pas empêché de trouver cela assez mauvais. Certes il y a certains plans qui ont plutôt de la gueule mais l'intrigue et la réaction des personnages rendent l'ensemble assez risible, il n'y a rien qui va ou presque.
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Pale a écrit :
mar. 12 mars 2024 21:20
Vu :

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De Michele Soavi j'avais moyennement apprécié Bloody Bird. Il signe ici un film de zombies assez atypique. La première partie est très bonne, alternant entre horreur et comédie à l'humour très macabre. C'est très plaisant mais on a l'impression que le réalisateur ne sait pas trop dans quelle direction aller, ça ne décolle jamais véritablement et l'ennui se fait ressentir dans la seconde partie qui n'est qu'une succession de scènes WTF.

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Je découvre ce second film de Jonathan Glazer. La première partie est assez prodigieuse et nous fait croire à l'incroyable. On retrouve cette ambiance typique du réalisateur et ce mariage parfait entre les images et la musique. Je dois avouer malgré tout avoir ressenti une pointe de déception suite à la tournure de certains événements, la seconde partie a tendance à retomber un peu comme un soufflé. Je tiens quand même à souligner l'immense performance de Nicole Kidman.

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Le premier restera mon premier mais j'ai beaucoup aimé ce quatrième opus, c'est bon enfant et bien rythmé. Je n'ai plus beaucoup de souvenirs du 2 et du 3 mais j'ai préféré celui-ci.

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Une comédie basée uniquement sur un immense quiproquo. Très possible que le film Game Night s'en soit inspiré. Bref Bill Murray est embarqué malgré lui dans une histoire d'espionnage alors que lui pense être dans une pièce de théâtre interactive. Certaines situations sont hilarantes mais j'avoue que la lassitude a tendance a faire son apparition au bout d'un moment tant les situations absurdes commencent à être assez répétitives. Mais ça m'a bien fait rire malgré tout.

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Je tiens à préciser que l'enchainement L'Homme qui en savait trop peu et La Fille qui en savait trop est une pure coïncidence :D Apparemment La Fille qui en savait trop est un des premiers films à avoir fondé le genre Giallo. Cela ne m'a pas empêché de trouver cela assez mauvais. Certes il y a certains plans qui ont plutôt de la gueule mais l'intrigue et la réaction des personnages rendent l'ensemble assez risible, il n'y a rien qui va ou presque.
Oui la 2e partie de Birth annihile pas mal de choses ^^
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Je trouve ces affiches assez moches ^^
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Cocu
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Pale a écrit :
mar. 12 mars 2024 21:20
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Le premier restera mon premier
Oui c'est pas faux 😁
Pouet
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Scream 7 : Neve Campbell de retour, et c'est pas la seule surprise pour sauver la suite

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Neve Campbell, actrice phare de la saga culte Scream, a annoncé son retour en Sidney Prescott dans Scream 7. De quoi régler tous les problèmes de cette suite, qui a connu un développement chaotique ?

Depuis quelques mois, Scream 7 était bloqué dans une situation légèrement chaotique. En novembre 2023, Melissa Barrera a été virée par les producteurs suite à ses propos sur le conflit israélo-palestinien. Dans la foulée, Jenna Ortega a quitté l’aventure Scream, officiellement pour des questions de disponibilité – mais de toute évidence, c'était pour soutenir sa collègue. Et en décembre, c'est le réalisateur Christopher Landon qui a claqué la porte.

Malgré le succès de Scream 5 et Scream 6, l'avenir de la franchise horrifique semblait menacé. Quelle histoire raconter sans le duo d'héroïnes au centre des deux derniers volets ? Faut-il avancer avec de nouveaux personnages, ou reculer avec les figures emblématiques restantes ?

Le studio a tranché. Et comme Terminator, Halloween, S.O.S. Fantômes ou Star Wars, Scream va continuer à exploiter la nostalgie puisque Neve Campbell reviendra. Après avoir refusé Scream 6, l'actrice rependra le rôle de Sidney Prescott dans Scream 7. Et elle ne sera pas seule pour faire plaisir aux fans, et remettre le film sur les rails.

Pour rappel, Neve Campbell incarnait Sidney Prescott, l'héroïne culte de la saga imaginée par le réalisateur Wes Craven et le scénariste Kevin Williamson. Elle apparaît dans tous les épisodes de la franchise, excepté Scream VI. L'actrice avait à l'époque expliqué que le salaire proposé n'était pas à la hauteur de ce qu'elle avait apporté à la saga, et qu'elle préférait refuser plutôt que de céder aux producteurs.

Le studio a de toute évidence réévalué la situation et sorti un joli chèque, puisque Neve Campbell a annoncé son retour avec enthousiasme sur Instagram :

"Sidney Prescott revient !!!! Ça a toujours été un plaisir et un honneur de pouvoir jouer Sidney dans les films Scream. Ma gratitude envers ces films et ce qu'ils ont signifié pour moi n'a jamais diminué.

Je suis très heureuse et fière de dire qu’on m’a demandé, de la manière la plus respectueuse qui soit, de ramener Sidney à l’écran et je ne pourrais pas être plus ravie ! En fait, je pourrais. Si j’ai eu la chance inouïe de faire ces films avec le maitre de l’horreur Wes Craven et le duo merveilleusement talentueux de Matt et Tyler, je rêve depuis de nombreuses années de ce qu'on pourrait faire de fantastique avec Kevin Williamson à la barre. Et maintenant, ça se produit, Kevin Williamson va réaliser Scream 7 ! "


Et c'est là l'autre grande nouvelle : le retour du scénariste de la saga Scream, qui va pour la première fois réaliser un épisode.

"C’était son bébé et c’est son esprit brillant qui a imaginé ce monde. Kevin n’est pas juste une inspiration en tant qu’artiste, c’est aussi un ami très cher depuis de nombreuses années. À tous les incroyables fans de Scream, j’espère que vous êtes aussi impatients que moi."

Kevin Williamson, c'est l'autre star de la saga. C'est le scénariste de Scream 1, Scream 2, et Scream 4, resté producteur sur tous les opus. C'est aussi le scénariste superstar des années 90, notamment côté slasher (il a écrit Souviens-toi... l’été dernier et The Faculty, et participé à Halloween : 20 ans après, il revient). Et bien sûr, c'est le créateur de la série Dawson, emblématique de l'époque.

Scream 7 sera son deuxième film comme réalisateur après l’injuste désastre Mrs. Tingle, sorti en 1999. Depuis, il avait surtout oeuvré dans le royaume des séries, avec Vampire Diaries ou The Following.

Reste maintenant à savoir qui reviendra dans Scream 7, sachant que Courteney Cox était présente dans tous les épisodes jusque là, que la rumeur parlait de Patrick Dempsey (Mark Kincaid dans Scream 3), et que Hayden Panettiere (vue dans Scream 4) avait été ramenée dans Scream 6.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... FiiKjYiLLI
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Le Problème à 3 corps : les premiers avis sur la série Netflix des créateurs de Game of Thrones sont là

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Les premiers avis viennent de tomber pour Le Problème à 3 corps, la nouvelle série Netflix des créateurs de Game of Thrones.

Si la dernière saison de Game of Thrones a déçu la plupart des fans de la série, les showrunners D.B. Weiss et David Benioff ont été vite pointés du doigt comme les responsables de cet échec, alors qu'Hollywood se prosternait devant eux quelques années auparavant. Lucasfilm avait entre autres engagé le duo sur un projet Star Wars, mais celui-ci a finalement été annulé. Heureusement, Weiss et Benioff ont pu enfin concrétiser leur nouveau projet.

Le Problème à 3 corps, c’est donc le dernier né des showrunners sur Netflix, en collaboration cette fois avec Alexander Woo (True Blood, The Terror). La série est adaptée du livre du même nom de Liu Cixin, où une grande grande menace émerge à travers différentes époques. Dans ce contexte, cinq amis font des découvertes ahurissantes au moment où les lois de la science se dérèglent. L’ambition de la série semble démesurée, mais les scénaristes sont déjà passés par là. Le pari de Netflix payera-t-il ? Les premiers avis sont tombés aux États-Unis. Revue de presse.

"Le Problème à 3 corps s’élève à tous les niveaux. Visuellement ? C’est magnifique. L’histoire ? Totalement captivante. Le casting ? Parfait. Au niveau du rythme ? Sans aucun défaut. Benioff, Weiss et Woo donnent une leçon de science-fiction, celle dont on a besoin en ce moment : audacieuse, inébranlable, créative, imaginative et totalement unique." - Radio Times

"Le Problème à 3 corps de Netflix essaie parfois trop d’être cool, en saupoudrant des extraits de Lana Del Rey et des prises de drogues récréatives. Mais au bout du compte, les créateurs réussissent à retranscrire l’urgence de l’histoire sans lobotomiser le matériau d’origine." - Time

"Benioff, Weiss et Woo ont fait tout ce qu’ils pouvaient pour mélanger les grandes idées des livres, avec des gens qui ont des personnalités définies et des vies personnelles, plutôt que d'exister uniquement en tant que fonction de l’intrigue. Mais même en s’écartant intelligemment du matériau d’origine, la première saison de la série est, au mieux, un drame médiocre." - Rolling Stone

"Le Problème à 3 corps bénéficie clairement d’un binge-watching. Il y a tellement de choses qui se passent qu’un rythme de sortie hebdomadaire risque de laisser les spectateurs à la traine s’ils ne donnent pas toute leur attention à la série. La multitude d’histoires qui se croisent entre elles à différentes époques donnera envie d’y replonger." - Collider

"Le Problème à 3 corps manquera peut être de vous ébahir, mais il y a suffisamment de plaisir, de choc et d’horreur pour que les amateurs de science-fiction ne s’ennuient pas. Il s’agit là d’une saison tout à fait réussie." - Decider

"Certaines séquences marchent mieux que d’autres — comme l’histoire secondaire du jeu vidéo qui donne un soupçon de malaise — mais de nombreuses performances et une séquence particulièrement choquante font de cette adaptation de la franchise bien-aimée une œuvre plus que méritante." - IGN

"Un glorieux bordel galactique. Des problèmes ? Des tonnes. Mais admirez l’ambition." - The Telegraph

"La série n’est pas dépourvue de bonnes choses. C’est juste plat, avec des touches de décoration, ce qui s’étend à la caractérisation et au jeu des acteurs. Personne dans l’ensemble n’est mauvais, mais très peu de performances sont mémorables." - The Hollywood Reporter

"Ce qui marche le mieux avec Le Problème à 3 corps, c’est que vous n’avez pas besoin de prendre en compte tous ses thèmes plus profonds pour l’apprécier. Le film fonctionne également sur le plan superficiel de la science-fiction, avec des rebondissements dingues et des performances solides tout du long. Adepo, Sharp, Wong et Cunningham sont particulièrement forts, et leur talent est indéniable." - RogerEbert.com

Dans l’ensemble, la série semble avoir plutôt charmé les critiques américaines. Son intrigue complexe, sans être inaccessible, apparait comme un des points qui mettent le plus de monde d’accord, certains la trouvant même impressionnante. L’écriture des personnages, elle, partage un peu plus, mais a l'air d'avoir convaincu. Dans l’ensemble, le retour des showrunners a l’air d’impressionner par son ambition, que la plupart des avis relèvent. Pour vous faire votre propre opinion sur Le Problème à 3 corps, il faudra attendre le 21 mars, sur Netflix.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... fTRxGnv0uA
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EL a beaucoup aimé Ferrari (4 étoiles) :

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Bien qu’il ait signé le pilote de la série Tokyo Vice, Michael Mann a été plutôt absent des écrans depuis le crash financier injuste d’Hacker en 2015. Cette petite traversée du désert nous a fait attendre encore plus impatiemment Ferrari, d’autant que le cinéaste planche sur ce projet fantasmé depuis de nombreuses années. On aurait pu craindre un best-of stratégique de la part du réalisateur de Heat et Collateral, mais il n’en est rien. Son nouveau film, porté par Adam Driver et Penelope Cruz, choisit la forme de l’anti-biopic et de l’anti-film de course. Un risque totalement en accord avec les thèmes du réalisateur, pour une œuvre aussi mal aimable que passionnante.

IRON MANN


Pourquoi aime-t-on autant le cinéma de Michael Mann ? Peut-être parce que ses effets de style marqués (teintes surréelles de la photographie, musique éthérée, ralentis...) servent une double connexion. Tout d’abord, la connexion du public avec l’univers du film, dans un acte de pur lâcher-prise atmosphérique. Qu’il s’agisse du grain de la pellicule ou du pixel du numérique, les images du cinéaste se mixent et mutent, lancées à pleine vitesse dans un flux permanent d'humains et de marchandises, matérielles et immatérielles. Les voitures foncent dans la nuit, l’argent passe des banques aux mains des braqueurs, et les data voguent de serveur en serveur.

Ce cinéma du passage, d’une fluidité enivrante, cotonneuse et onirique a été joliment décrit par Patrick H. Willems comme un cinéma “de la vibe”, où la sensorialité de l’instant l’emporte sur le récit. Depuis Miami Vice, Mann en a fait sa clé de voûte, au point de l’associer à des scénarios de plus en plus nébuleux. C’est néanmoins dans ces moments suspendus qu'il fascine le plus, et ça s’accorde avec l’autre connexion de ses longs-métrages : celle des personnages avec leur environnement. Ses héros espèrent tous un contrôle, une osmose avec leur monde, que ce soit le territoire urbain de Heat, Collateral et Hacker, ou la nature sauvage de la province de New York dans Le Dernier des Mohicans.

Ferrari débute pour sa part sur une suite de fondus sur des collines italiennes, avant que l’une d’entre elles ne transite vers le corps endormi d’Adam Driver (bien plus en retenue que dans le pathétique House of Gucci). L’ancien pilote de Formule 1 métaphorise tout un territoire, alors même que son nom dépasse sa simple personne. Dans la veine des protagonistes habituels du réalisateur, Enzo Ferrari est un maniaque obsessionnel qui donne au film son tempo par un montage vif lors d’une session de conduite où chaque cut accentue le passage des vitesses et la maîtrise du véhicule.

Pourtant, c’est l’une des rares scènes où le fondateur de la célèbre marque de voitures de sport sera au volant. Dans sa quête d’une fuite en avant (autre motif mannien), il est contraint à la fixité, limité à théoriser et ressentir à distance la vitesse de ses bolides et des pilotes qui les conduisent. C’est la première “fausse” déception du long-métrage, et son premier coup de génie. Loin du biopic exhaustif sans point de vue, Ferrari se concentre uniquement sur l’année 1957. L’usine de la firme existe depuis déjà dix ans, mais elle bat de l’aile financièrement. Pour cette raison, Enzo mise sur le prestige que pourrait lui rapporter la Mille Miglia, une course dangereuse de 1 000 miles au cœur de l’Italie.

DOMMAGE COLLATÉRAL

À partir de là, la victoire de l’écurie Ferrari semble être l’horizon logique du film. Ce ne sera pas le cas. La ligne d’arrivée n’est qu’une formalité du hors-champ, preuve que Mann s’intéresse avant tout aux limites de son cadre, au fait que sa caméra ne capte finalement qu’un passage, qu’une bribe dans la vie de son protagoniste (on pourrait d’ailleurs reprocher une entrée en matière un poil expéditive). Or, c’est la meilleure manière de refléter les prisons qui l’entravent. Le passé comme le futur s’annoncent lourds à porter et sont tous deux enveloppés par un parfum de mort.

Le centre névralgique du long-métrage se trouve là : dans son étonnante morbidité, couperet qui ne cesse de s’abattre et de hanter ceux qui s’approchent de la figure du Commendatore Ferrari et de son nom. Rarement a-t-on vu Mann aussi sombre et funeste. Jusque-là, on pouvait voir dans ses “vibes” et dans sa peinture immersive des décors la sensation de mondes en constant changement, obligeant les personnages à s’y adapter. La fixité, la sédentarité recherchée par la plupart des héros manniens est un leurre, un piège éphémère que symbolise à merveille Laura (Penelope Cruz), épouse humiliée et résiliente.

On peut d’ailleurs y voir l’une des raisons qui font des véhicules un élément régulièrement sublimé par le cinéaste. Sauf que dans Ferrari, cette fascination de la mécanique, de la transcendance par la vitesse (magnifiquement représentée par des caméras embarquées, des travellings amples, ou même un effet de distorsion de l’espace merveilleux) est aussi synonyme de danger. Ces quelques secondes de dépassement de soi se payent par le prix fort : un retour des plus terribles au tangible du corps et à la physique terrestre.

L’immobilité, c’est la mort. Le mouvement, c’est la mort. Alors que faire ? Se laisser emporter dans le flux du temps ? Se laisser mourir avec le monde d’avant ? Ou prendre le risque d’aller trop loin ? Peut-être est-ce dû au fait que Michael Mann atteigne lui-même le crépuscule de sa vie, mais la pulsion de mort de Ferrari arbore quelque chose d’à la fois violent et apaisé. Dans cet ensemble de passages et de transitions des vies, la collision est inévitable.

Ferrari est disponible sur Amazon Prime depuis le 8 mars 2024 en France

Dans ce faux biopic aux accents tragiques purement manniens, Ferrari trouve son moteur dans sa surprenante morbidité. Un film étrange, mais passionnant.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... AtF804P9QI
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mer. 13 mars 2024 16:15
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Je trouve ces affiches assez moches ^^
Elles sont officielles ? :??:
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robinne a écrit :
mer. 13 mars 2024 19:11
Pale a écrit :
mer. 13 mars 2024 16:15
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Je trouve ces affiches assez moches ^^
Elles sont officielles ? :??:
Oui :crazy:
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The Fall Guy : les premiers avis sur le film d'action avec Ryan Gosling sont tombés

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Les premiers avis sur The Fall Guy de David Leitch, avec Ryan Gosling, Emily Blunt et Aaron Taylor-Johnson, viennent de tomber.

Sorti en 2022, Bullet Train de David Leitch a divisé à la fois le public et la critique, malgré un casting de luxe (Brad Pitt, Aaron Taylor-Johnson, ou encore Sandra Bullock) et un synopsis des plus intrigants (un groupe d'assassins qui s'entretuent à bord d'un train à grande vitesse). A Ecran Large, on y a vu une vaste fumisterie. Néanmoins, depuis le premier John Wick qu'il a co-réalisé, Leitch est en train de devenir un nom reconnu du cinéma d'action (bien qu'on interrogera la trace dans l'histoire de Deadpool 2 ou Atomic Blonde).

Cela dit, à l'heure où la place dévaluée des cascadeurs est de plus en plus dénoncée,The Fall Guy nous rend forcément curieux. L'histoire ? Un cascadeur (Ryan Gosling), tout juste victime d'un accident qui a presque mis fin à sa carrière, doit retrouver une star de cinéma disparue (Aaron Taylor-Johnson) tout en résolvant un complot et en tentant de reconquérir l'amour de sa vie (Emily Blunt). Le film, qui promet d'être un mélange d'action et de comédie (romantique, entre autres) a donc tout à prouver, au-delà de ses acteurs imposants et de sa dimension méta. Justement, il a été présenté en avant-première lors du festival SXSW, et a donc de premières critiques américaines. Revue de presse.

"Il s’agit d’un film majeur construit sur l’espoir que le public voudra voir un casting d’acteurs attrayants, charmants et intéressants rebondir sur les performances des uns et des autres à l’écran, en échangeant des piques et des regards perçants. Il n'y a pas de tentative de franchisation ici, ni d'ambition au-delà d'offrir au public des plaisirs purs et primitifs." - Slashfilm

"The Fall Guy est drôle, sexy et il présente la version jouet pour garçon du MVP de Barbie Ryan Gosling – c'est-à-dire que cette fois-ci, il incarne la figurine d'action ultime." - Variety

"En plus d'être un film d'action sans limites, The Fall Guy est également la meilleure comédie romantique de studio depuis Crazy Rich Asians. Gosling et Blunt forment un duo enivrant, et Gosling s'envole avec le reste du film." - The Daily Beast

"Il existe de nombreux éléments qui rendent The Fall Guy extrêmement amusant, mais ce qui le rend véritablement astucieux, c'est la façon dont Leitch et son équipe (y compris l'écrivain Drew Pearce et le coordinateur des cascades Chris O'Hara) ont conçu les cascades du film comme des extensions des personnages." - Vulture

"Ryan Gosling est au sommet de ses pouvoirs de star de cinéma. Son sourire est séduisant ; ses yeux sont captivants. Même ses cheveux ébouriffés sont puissants. Ces forces sont réunies pour élever The Fall Guy, le film d'action de haut vol et percutant du réalisateur David Leitch [...]. Lui-même ancien cascadeur, Leitch revient [...] avec une ode à la profession négligée qui fait partie intégrante de la réalisation de films." - Screen Daily

"Entre les courses-poursuites et les combats sous drogues psychédéliques, Colt (le personnage de Gosling, ndlr) comprend mieux qui il est, ainsi que ses émotions. Au final, ce qui fait de The Fall Guy un bon moment trop rare parmi les blockbusters de studios, c'est son coeur." - The Hollywood Reporter

"The Fall Guy ressemble à un ensemble complet d'idées éparses qui ont été mieux réalisées ailleurs." - The Wrap

On remarque que les critiques américaines sont dans l'ensemble très satisfaites du film, notamment en ce qui concerne son approche de l'action (évidemment primordiale dans un tel projet). Ryan Gosling en cascadeur de l'extrême semble avoir impressionné, autant dans sa qualité d'actionman (encore une référence à Barbie ?!) que par l'alchimie que lui et Emily Blunt ont apparemment su faire retranscrire à l'écran. De notre côté, on pourra se faire notre propre avis lorsque The Fall Guy sortira en salles chez nous, à avoir le 1er mai 2024.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... p-FkGlaEBg
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -g_Zpg0WUs
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Eddington : Le prochain film d'Ari Aster s'offre un casting cinq étoiles

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Le maître du malaise compte sur des figures hollywoodiennes phares de ces dernières années : autour de Joaquin Phoenix graviteront Austin Butler, Emma Stone et Pedro Pascal, rien que ça !

Ari Aster convoque au casting de son prochain western d’épouvante, Eddington, des têtes d’affiches très prisées d’Hollywood. Parmi elles, Joaquin Phoenix, Emma Stone, Austin Butler, Pedro Pascal, Luke Grimes, Deirdre O’Connell, Michael Ward et Clifton Collins Jr. La rencontre entre Beau (is afraid) et Bella Baxter promet d’être épique !

Produit et financé par A24, le projet promet de d’honorer la réputation d’Ari Aster, connu pour ses projets nébuleux et cauchemardesques… Le pitch ? Un road trip, investit par Lindsay et Marc, qui traversent le Nouveau Mexique pour atteindre Los Angeles. Malheureusement, le trajet est semé d’embuches, puisqu’une panne d’essence va causer le bouleversement de ce périple. Le duo s’abrite à l’extérieur de la petite ville d’Eddington, où des habitants chaleureux leur offre l’hospitalité, jusqu’à la nuit tombée… L’atmosphère se métamorphose et se transforme subitement en fresque horrifique…

Cette mésaventure routière peut s’apparenter à la parenthèse isolée, végétale (et sacrificielle) de Midsommar ainsi que Dream Scenario pour son épilogue infernal. Pour son nouveau long-métrage, le cinéaste invoque les thèmes totems de sa filmographie en tant que réalisateur, mais aussi producteur…

Eddington marque la sixième collaboration entre Square Peg et A24, qui a produit et distribué les trois films précédents d’Ari Aster, Hérédité, Midsommar et Beau Is Afraid.

Ari Aster a porté son dévolu sur des acteurs et actrices en vogue, qui influenceront nettement son audience à découvrir son nouveau projet en salles. Ces deux dernières années, les célébrités ont marqué le cinéma avec leurs performances hautes en couleur :

Joaquin Phoenix a récemment été nommé pour un Golden Globe pour sa performance dans Beau Is Afraid (disponible sur PremièreMax), la comédie noire horrifique d’Aster en 2023.

Emma Stone, quant à elle, vient tout juste de remporter son deuxième Oscar de meilleure actrice pour avoir joué l’expérimentation morte-vivante du Dr Baxter dans Pauvres créatures de Yórgos Lánthimos, ainsi que sa participation à la série The Curse avec Nathan Fielder et Benny Safdie, avec qui elle forme une fine équipe.

Austin Butler est à l’affiche de Dune : Deuxième Partie ; l’épopée interstellaire lui offre l’opportunité de jouer un méchant d’anthologie, le terrible Feyd-Rautha. Tandis que Pedro Pascal, après son succès dans la série The Last of us, promet d'honorer des scénarios prometteurs, notamment dans Drive-Away Dolls d’Ethan Coen ainsi que de la prochaine adaptation du quatuor superhéroïque de Marvel, Les Quatre Fantastiques.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... wwpwJQZS90
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Road House : Les premiers avis sur le remake avec Jake Gyllenhaal sont arrivés

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Les premiers avis sur Road House, le remake avec du film de 1989 réalisé par Doug Liman et avec Jake Gyllenhaal, viennent de tomber.

Ça a été compliqué, mais Road House est là ! Le film avait pourtant été boycotté par son propre réalisateur Doug Liman en raison de nombreux désaccords avec Amazon, nouveau propriétaire du projet depuis le rachat de MGM. En effet, Amazon aurait purement et simplement congédié l'un des producteurs, Joel Silver, et poussé à utiliser l'intelligence artificielle pour terminer plus rapidement le film. Et Liman a d'ailleurs déclaré à Deadline que cela avait couté une nomination aux Oscars pour la star du film, Jake Gyllenhaal... rien que ça.

Mais Road House, de quoi ça parle ? Remake du film du même nom sorti en 1989 avec Patrick Swayze dans le rôle principal, l'intrigue tourne autour d'un videur (Jake Gyllenhaal) engagé pour faire le ménage dans un bar mal famé, et qui va se heurter à un caïd local (Conor McGregor) qui fait la loi en ville. Réalisé donc par Doug Liman (La Mémoire dans la Peau, Edge of Tomorrow, Barry Seal) et scénarisé par Anthony Bagarozzi, Charles Mondry et Sheldon Turner, Road House est maintenant disponible sur Amazon Prime Video, et il vient de recevoir ses premières critiques :

"Vous venez voir Road House pour passer un bon moment et apprécier quelques combats à couper le souffle, et c'est ce que ce film vous offre, grâce à des cascades vraiment impressionnantes, une performance tout à fait convaincante de Gyllenhaal en version Southpaw et des débuts crépitants à l'écran pour Conor McGregor, champion et artiste de l'UFC." - The Guardian

"L'action dans Road House est plus que brutale ; par moments, c'est vicieux. Pourtant, si le film est bien plus violent qu'un film d'action moyen, il est également plus humain grâce à son côté un peu cinglé." - Variety

"Le travail de Liman dans Road House est carrément captivant. Les combats sont huilés à la perfection et les caméras placées sur des charriots traquent les moindres mouvements de ses personnages. Le réalisateur n’a absolument pas peur d’expérimenter, utilisant toutes les astuces de son arsenal pour rendre la foule absolument folle." - The Daily Beast

"Écoutez, j'étais sceptique quant à un nouveau film Road House. Mais cette nouvelle version ne cherche certainement pas à remplacer la première. C'est un apport digne de la famille Road House qui capture l'esprit de ce que devrait être un film..." - Uproxx

"La combinaison du charme décontracté de Gyllenhaal, du soleil de la Floride et d'au moins une scène de combat mémorable font que ce Road House vaut le détour." - Time Out

"Le scénario est incroyablement stupide et, parfois, n'essaie pas d'élever le remake de manière significative ; il s'agit vraiment de s'engager dans l'action sauvage et rien d'autre." - Screen Rant

"Si vous pouvez regarder au-delà de la réalisation horrible de Road House, des combats en CGI et du mauvais éclairage, vous trouverez un film amusant." - IGN

"Une fois que vous plissez les yeux et que vous regardez au-delà de Gyllenhaal, il n'y a pas grand-chose d'autre à voir ici. L'acteur principal brille seulement pendant un court moment dans ce film caractérisé par des personnages, des performances et même un type d'action semblables à du remplissage." - Slashfilm

"Un film Road House ne devrait pas être ennuyeux, surtout à ce point-là. Un film Road House ne devrait pas avoir à améliorer sa chorégraphie de combat en post-production, ni avoir un ton aussi confus. Je suppose que Liman n'a pas reçu le mémo ? Son remake de Road House est une corvée sans inspiration qui ne libère jamais correctement Gyllenhaal ni ne rend compte des caractéristiques les plus élémentaires du porno nostalgique des combats de bars." - Collider

Dans l'ensemble, les critiques américaines de ce Road House sont donc assez partagées. Le bon point revenant le plus est celui de l'action et de la manière dont elle est mise en scène, bien que certains déplorent une utilisation excessive du CGI et de trop grandes modifications en post-production. En revanche, l'action est peut-être l'un des seuls côtés vraiment positifs de Road House, avec, il faut aussi le souligner, la performance bien appréciée de Jake Gyllenhaal, lui qui avait expérimenté un rôle un peu similaire dans La Rage au ventre.

Le scénario est décrit soit comme tout juste acceptable, soit carrément insignifiant, et les techniques de réalisation de Doug Liman divisent également, entre direction géniale servant les combats et le scénario, et un rendu sans originalité. De la même manière par rapport à son statut de remake, si certains apprécient le film et considèrent qu'il s'intègre plutôt bien dans l'univers des premiers opus, d'autres critiques voient surtout un long-métrage qui n'est pas à la hauteur de celui qu'il aspire à imiter. Quoi qu'il en soit, le public français pourra bientôt se faire son propre avis, puisque Road House sera disponible à partir du 21 mars 2024 sur Prime Video.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... LTNJ_9NUUs
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robinne
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Pale a écrit :
jeu. 14 mars 2024 18:45
Road House : Les premiers avis sur le remake avec Jake Gyllenhaal sont arrivés
Je ne savais pas c'était Doug Liman aux manettes :bounce:
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NaughtyDog
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Pas le meilleur Garland, pourtant ce Civil War se révèle plus intéressant là où on ne l'attend pas.
Plus gros budget d'A24, ce récit dystopique à 50M où l'Amérique se retrouve fracturée dans une nouvelle guerre de Sécession se veut frustrant dans l'aspect timoré de son univers. Un aspect politique globalement nébuleux (où la Californie et le Texas sont alliés en dépit du bon sens) qui est également une force, parcenant à créer un espace mental où on peut y projeter n'importe quelle escalade de violence opposant n'importe quel parti politique.

Au final Garland veut avant tout réaliser un road trip post-apo à hauteur d'homme, où un quatuor de reporters évolue de manière quasi picaresque pour capturer des téloignages photographiques de la chute des USA.
Un parti-pris pertinent, questionnant l'impartialité des images et leur impact sur l'individu, et ce au gré des diverses rencontres.

La structure narrative est finalement assez simple (un trajet sur la côte Est entre NY et Washington pour rejoindre la Maison Blanche et recueillir les derniers mots du Président), mais c'est au sein de diverses parenthèses que Civil War touche à une universalité dans la futilité de la guerre (des snipers qui se jaugent sans savoir dans quel camp est l'autre, un Jessie Plemons qui se sert du conflit pour assouvir ses idéaux politiques, etc), et un regard pessimiste sur la nature auto-destructrice cyclique de l'Homme.

Le casting est très bon, tandis que le coeur du film repose dans la passation de témoin entre les personnages de Kirsten Dunst et Cailee Spaeny (d'une simili-Lee Miller ayant roulé sa bosse à une rookie souhaitant connaître le métier de photographe de guerre).

On évite pas quelques maladresses (dont un climax de guerilla sans réel enjeu dramaturgique, ou bien quelques réactions stéréotypées de personnages ayant lu le script), mais si Civil War manque peut-être de chaos, on tient un nouveau long-métrage solide d'Alex Garland.

3,5/5
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Civil War : premiers avis pour le film de guerre qui va définitivement énerver les Américains

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Les premiers avis sur Civil War d’Alex Garland, avec Kirsten Dunst et Jesse Plemons, viennent de tomber.

Le dernier film d’Alex Garland (Annihilation, Ex Machina) arrive bientôt dans nos salles. Après l’horrifique Men, en 2022. Civil War, son nouveau projet, confirme la volonté du cinéaste de s’éloigner de ses bases de pure science-fiction. Le scénariste et auteur, devenu réalisateur après avoir fait ses armes aux côtés, entre autres, de Danny Boyle (28 jours plus tard, Sunshine) est attendu au tournant sur le sol américain. En même temps, son sujet est capable de créer le débat.

Ici, le réalisateur présente une Amérique en proie au chaos, à une guerre civile totale qui divise le pays, le tout dans un futur relativement proche. Pour nous immiscer dans cet univers, Garland nous fait suivre un groupe de journalistes qui traverse ce pays. Équipés uniquement de leur matériel, ils doivent faire face à l’armée, chargée de tirer à vue sur les reporters. Les avis des premiers concernés, les journalistes américains, sont tombés. Revue de presse.

"En tant que road movie, Civil war est plutôt bon, même si certains segments sont plus captivants que d’autres. Dunst ressort vraiment du lot, nous tenant en haleine pendant les passages plus anecdotiques. Wagner Moura, Stephen McKinley Henderson et Cailee Spaeny font du bon boulot." - Slashfilm

"Véritable choc au système, Civil war est conçu pour diviser." - Variety

"Le postulat du film est idéal pour porter un regard froid et sévère sur la tendance américaine actuelle à se laisser couler mollement vers l’autodestruction. La seule interrogation qui demeure est de savoir si la proposition commerciale et déjantée de Garland cherche à étudier ou à exploiter l’état du pays. La question n’est pas encore tranchée." - Rolling Stone

"Bien que le portrait que nous obtenons soit brisé et fragmenté, dans ses derniers instants, Civil War arrive quand même à soulever une vérité dure, mais nécessaire dans les décombres de l’Ancien Monde. Garland obtient ce magnifique dernier plan, mais à quel prix ?" - TheWrap

"Le scénario-choc, écrit d’une main de maitre par Garland, est contrebalancé par sa mise en scène calme et maitrisée." - Austin Chronicle

"Un drame de guerre captivant, qui s’intéresse davantage aux personnes qu’à la politique." - Polygon

"Au bout du compte, Civil War se ressent comme une opportunité manquée. La vision du réalisateur d'une Amérique fracturée, en proie au conflit, offre un potentiel d’introspection sur nos divisions sociétales actuelles. Cependant, l’exécution du film, entravée par des personnages trop maigres, une narration terne et une trop grande dépendance à l’action tape-à-l’œil, m’a laissé sur ma faim." - Deadline

La presse semble plutôt en accord sur un point : comme l’Amérique que le long-métrage traite, Civil War va diviser. L’approche du pays, mais surtout des personnages du film paraissent ressortir comme les éléments les plus réussis de celui-ci. Les journalistes relèvent aussi la performance du casting, et en particulier de Kirsten Dunst, qui apparaitrait comme jamais auparavant. Le réalisateur semble être parvenu à mettre en place des scènes marquantes dans leur grandeur et leur symbolisme. Pour voir l’état de l’Amérique selon Garland, il faudra attendre encore un tout petit peu : le film est prévu pour le 17 avril en salles en France.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rFfpFt3atA
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