Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Wickaël a écrit :
sam. 6 mars 2021 06:36
Cobra Kai encore un gros fou rire hier soir quand Johnny rêve de la mère de Miguel et quand il utilise l'appli de rencontre :lol:

J'ai vraiment un gros coup de cœur pour cette série.
Cobra Kai Tu as donc vu l'épisode 6 qui est un des épisodes les plus émouvants de la série. J'ai eu des frissons lorsque Johnny entre dans la chambre d’hôpital de son pote et que l'on voit un flashback d'eux dans Karaté Kid. Tu ressens le poids des années et le temps qui passe dans ce sublime épisode.

Sinon joyeux anniversaire à John Kreese alors :D
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robinne
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weird

Pale a écrit :
sam. 6 mars 2021 08:18
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Sacrée co-production :ouch:
Ils ont eu du mal à trouver un bon producteur qui croyait au projet ? :saint:
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Kit
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robinne a écrit :
sam. 6 mars 2021 09:42
Pale a écrit :
sam. 6 mars 2021 08:18
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Sacrée co-production :ouch:
Ils ont eu du mal à trouver un bon producteur qui croyait au projet ? :saint:
ou qui croyait en Johnny Depp, plus vraiment en odeur de sainteté ?
Vosg'patt de cœur
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Wickaël
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Pale a écrit :
sam. 6 mars 2021 08:02
Cobra Kai Tu as donc vu l'épisode 6 qui est un des épisodes les plus émouvants de la série. J'ai eu des frissons lorsque Johnny entre dans la chambre d’hôpital de son pote et que l'on voit un flashback d'eux dans Karaté Kid. Tu ressens le poids des années et le temps qui passe dans ce sublime épisode.

Sinon joyeux anniversaire à John Kreese alors :D
Oui bien émouvant cet épisode, la baston dans le bar est énorme et la mort de leur ami dans son sommeil m'a filé de gros frissons.

Et oui bon anniversaire à Sensei Kreese :D
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Pale
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Wickaël a écrit :
sam. 6 mars 2021 10:16
Oui bien émouvant cet épisode, la baston dans le bar est énorme et la mort de leur ami dans son sommeil m'a filé de gros frissons.
Avec la musique de Queen en prime.
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Le film enchaine les situations les plus improbables les unes que les autres mais le couple formé par Danny Boon et Valérie Bonneton que tout oppose est franchement marrant et mignon.
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yhi
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NaughtyDog a écrit :
ven. 5 mars 2021 21:39
un très bon Disney Animation
Une sortie ciné est envisageable en France ou ça sera que Disney+ de toute façon ?
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ClintReborn
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yhi a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:10
NaughtyDog a écrit :
ven. 5 mars 2021 21:39
un très bon Disney Animation
Une sortie ciné est envisageable en France ou ça sera que Disney+ de toute façon ?
Une sortie quoi ? :o :D
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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BoBleMexicain
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yhi a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:10
NaughtyDog a écrit :
ven. 5 mars 2021 21:39
un très bon Disney Animation
Une sortie ciné est envisageable en France ou ça sera que Disney+ de toute façon ?
a priori Disney a annoncé que sur sa plateforme
si ya évolution rapide des ouvertures de ciné possible que ils changent d avis
mais ya rien qui laissent croire que les salles rouvrent rapidement
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ClintReborn
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BoBleMexicain a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:19
yhi a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:10
NaughtyDog a écrit :
ven. 5 mars 2021 21:39
un très bon Disney Animation
Une sortie ciné est envisageable en France ou ça sera que Disney+ de toute façon ?
a priori Disney a annoncé que sur sa plateforme
si ya évolution rapide des ouvertures de ciné possible que ils changent d avis
mais ya rien qui laissent croire que les salles rouvrent rapidement
Et puis avec le bond des abonnements : "Disney+ voulait 90 millions d’abonnés en 5 ans : il les a eus en 15 mois" faut aussi se poser la question si une sortie ciné est devenue quelque chose d'assez secondaire ou pas... Les cinémas ne sont pas vraiment devenus indispensables :saint:
https://www.numerama.com/pop-culture/68 ... -mois.html

Si les cinés rouvrent est ce que le spectateur sera majoritairement présent ? Ou est ce qu'il se partagera avec la plateforme... :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Wickaël
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Pale a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:05
Wickaël a écrit :
sam. 6 mars 2021 10:16
Oui bien émouvant cet épisode, la baston dans le bar est énorme et la mort de leur ami dans son sommeil m'a filé de gros frissons.
Avec la musique de Queen en prime.
La musique en général est une grande force dans la série.
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Wickaël a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:39
La musique en général est une grande force dans la série.
Tiens j'ai un bon film à te conseiller si tu ne l'as pas encore vu : Brightburn. J'ai revu des scènes et c'est quand même une bonne petite tuerie dans son genre.
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ClintReborn a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:26
BoBleMexicain a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:19
yhi a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:10


Une sortie ciné est envisageable en France ou ça sera que Disney+ de toute façon ?
a priori Disney a annoncé que sur sa plateforme
si ya évolution rapide des ouvertures de ciné possible que ils changent d avis
mais ya rien qui laissent croire que les salles rouvrent rapidement
Et puis avec le bond des abonnements : "Disney+ voulait 90 millions d’abonnés en 5 ans : il les a eus en 15 mois" faut aussi se poser la question si une sortie ciné est devenue quelque chose d'assez secondaire ou pas... Les cinémas ne sont pas vraiment devenus indispensables :saint:
https://www.numerama.com/pop-culture/68 ... -mois.html

Si les cinés rouvrent est ce que le spectateur sera majoritairement présent ? Ou est ce qu'il se partagera avec la plateforme... :o
Je pense que c'est surtout les petits cinés d'arts et essais qui conserveront une grosse partie de leur clientèle, les spectateurs qui y vont sont fidèles. Les gros multiplexes vont certainement perdre une partie de leurs spectateurs mais bon le cinéma c'est comme le restaurant. On peut manger chez soi mais une sortie au resto c'est cool de temps en temps, idem pour le cinéma :D
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Wickaël
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Pale a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:46
Wickaël a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:39
La musique en général est une grande force dans la série.
Tiens j'ai un bon film à te conseiller si tu ne l'as pas encore vu : Brightburn. J'ai revu des scènes et c'est quand même une bonne petite tuerie dans son genre.
Pas encore eu l'occasion de le voir, mais il me tente beaucoup.
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Wickaël a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:51
Pas encore eu l'occasion de le voir, mais il me tente beaucoup.
Il est bien violent :D
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Wickaël
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Pale a écrit :
sam. 6 mars 2021 11:54
Il est bien violent :D
Ça me donne encore plus envie :D
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Miamsolo
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Wickaël a écrit :
sam. 6 mars 2021 10:16
Pale a écrit :
sam. 6 mars 2021 08:02
Cobra Kai Tu as donc vu l'épisode 6 qui est un des épisodes les plus émouvants de la série. J'ai eu des frissons lorsque Johnny entre dans la chambre d’hôpital de son pote et que l'on voit un flashback d'eux dans Karaté Kid. Tu ressens le poids des années et le temps qui passe dans ce sublime épisode.

Sinon joyeux anniversaire à John Kreese alors :D
Oui bien émouvant cet épisode, la baston dans le bar est énorme et la mort de leur ami dans son sommeil m'a filé de gros frissons.

Et oui bon anniversaire à Sensei Kreese :D
Le plus triste, c'est que l'acteur est vraiment décédé récemment... Ça donne une dimension encore plus émouvante à cet épisode :(
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Wickaël
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@Miamsolo je savais pas, en effet ça rajoute une couche :sweat:
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Wickaël a écrit :
sam. 6 mars 2021 16:43
@Miamsolo je savais pas, en effet ça rajoute une couche :sweat:
En effet l'acteur jouait son propre rôle finalement. Il était revenu pour ça sachant que c'était surement son dernier :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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BoBleMexicain
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Mohamedou Ould Slahi, est détenu depuis 10 ans au centre de détention de Guantanamo par le gouvernement américain de façon illégale. Il n'a jamais eu de procès et n'a jamais été inculpé de façon officielle. Lorsque l'avocate à la défense Nancy Hollander et son associé Teri Duncan découvrent cela, ils décident de braver le système judiciaire pour venir en aide à Slahi et faire régner la justice.

Kevin Macdonald dont j avais beaucoup aimé "le dernier roi d Ecosse" se lance sur un sujet délicat , tirée d une histoire vraie .
sans fioriture sans effet de manche , c est plutôt bien amené , avec une tres belle presta de Tahar Rahim a la fois sur la retenue et la colère . et puis Jodie , qui se fait trop rare ces dernieres années et en plus pas dans de bonnes prod ....
un joli pti
7.10
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C'est très moyen. En fait le début est pas mal et bourré de tension mais lorsque ça commence véritablement à péter, l'exagération prête plus à rire qu'autre chose, limite on se croirait dans Hot Shots. Le pompon ce sont les talibans, on a l'impression qu'ils ont fréquenté la même école de tir que les stormtroopers. Mais la palme revient à toute cette propagande et cet américanisme à outrance, le générique de fin m'a complètement achevé avec la musique. Par contre, Du sang et des larmes est une bonne démonstration de ce qu'est capable d'endurer le corps humain.
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J'ai vu hier A ghost story, c'était spécial, j'y repense beaucoup !
Pouet
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J'appréhendais ce film mais en fait... j'ai pas aimé. Pour moi ce n'est pas un film mais une grille du Loto qui coche absolument toutes les cases dont les cérémonies se délectent pour faire genre. Rien ne nous est épargné : la misère, la vieillesse, la maladie, le deuil, des gros plans sur des visages dégueulasses et j'en passe. Même la camionnette de l'héroïne est toute pourrie et sur le point de tomber en rade. Heureusement pour elle, elle a une famille riche sur laquelle elle peut compter et à qui elle se permet d'apprendre la vie. La meuf a également cette capacité de sortir un smartphone chargé de sa poche quand ça l'arrange. Je ne peux même pas dire que le film est sauvé par les paysages, tout y est morne et désertique et la musique est soporifique à souhait. À l'image du film en somme. Il n'y a vraiment que les dernières minutes qui m'ont fait ressentir un petit quelque chose mais le film tient malgré tout du supplice.
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Wickaël
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Pale a écrit :
sam. 6 mars 2021 22:36
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C'est très moyen. En fait le début est pas mal et bourré de tension mais lorsque ça commence véritablement à péter, l'exagération prête plus à rire qu'autre chose, limite on se croirait dans Hot Shots. Le pompon ce sont les talibans, on a l'impression qu'ils ont fréquenté la même école de tir que les stormtroopers. Mais la palme revient à toute cette propagande et cet américanisme à outrance, le générique de fin m'a complètement achevé avec la musique. Par contre, Du sang et des larmes est une bonne démonstration de ce qu'est capable d'endurer le corps humain.
J'aime bien ce film.


Hier soir j'ai découvert le Director's Cut de Troie. Vraiment très bon, meilleur que la version ciné, certaines scènes sont vraiment sanglantes et d'autres assez dures à regarder.
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Wickaël a écrit :
dim. 7 mars 2021 10:46
J'aime bien ce film.
J'ai cru que j'allais aimé mais pas vraiment. Ce qui m'a fait rire aussi, ce sont les chutes improbables des personnages. Ça m'a rappelé l'immense chute de Andy Samberg dans le film Hot Rod :

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:D
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Cocu a écrit :
dim. 7 mars 2021 10:18
J'ai vu hier A ghost story, c'était spécial, j'y repense beaucoup !
J'avais beaucoup aimé aussi malgré l'interminable scène de la tarte :D
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Pale a écrit :
dim. 7 mars 2021 10:51
Cocu a écrit :
dim. 7 mars 2021 10:18
J'ai vu hier A ghost story, c'était spécial, j'y repense beaucoup !
J'avais beaucoup aimé aussi malgré l'interminable scène de la tarte :D
Cette scène 🤣 j'ai trouvé le film incroyablement triste :( cette solitude..
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Cocu a écrit :
dim. 7 mars 2021 14:54
Cette scène 🤣 j'ai trouvé le film incroyablement triste :( cette solitude..
Oui le film arrive vraiment à retranscrire ce sentiment.
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Pale a écrit :
dim. 7 mars 2021 10:51
Cocu a écrit :
dim. 7 mars 2021 10:18
J'ai vu hier A ghost story, c'était spécial, j'y repense beaucoup !
J'avais beaucoup aimé aussi malgré l'interminable scène de la tarte :D
M'avait bien marqué aussi ce film. J'avais dû le mettre dans mon Top 10 l'année de sa sortie je pense.
Et la scène de la tarte est volontairement interminable du coup ça ne m'avait pas choqué.

Faudrait que je revoie le film un de ces quatre.
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@Next oui oui ça ne m'a pas choqué aussi, cette "boulimie" de solitude va bien avec le film.
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Cocu a écrit :
dim. 7 mars 2021 19:09
@Next oui oui ça ne m'a pas choqué aussi, cette "boulimie" de solitude va bien avec le film.
Oui elle représente bien à la fois la détresse de la fille, et aussi celle du fantôme condamné à regarder la scène comme nous.
Jamais vraiment compris pourquoi les gens se focalisaient beaucoup là-dessus à la sortie parce que la scène est justement pleine de sens. Même si oui elle est désagréable.
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Je constate que ce film est victime d'une vague de dénigrement assez hallucinante. Les personnages de ce film sont tous horribles mais c'est justement pour prouver (même si on le savait déjà) que le système peut être grave pourri. I Care A Lot est un film extrêmement corrosif mais c'est surtout un thriller exceptionnel devant lequel je me suis pris une bonne claque dans la gueule. J Blakeson m'avait déjà impressionné avec La Disparition d'Alice Creed (certes il a aussi réalisé La 5ème vague) et le réalisateur récidive ici avec une histoire de manipulation absolument savoureuse et incroyablement haletante. Je découvrais l'histoire et je suis resté sur le cul pendant presque 2 heures. En plus le film dispose d'une ambiance et d'une tension qui m'ont parfois fait penser à du Breaking Bad. La bande-originale est également prodigieuse.

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C'est un peu le grand écart entre les deux films mais j'avoue que je m'attendais à encore pire. Ce qui m'a motivé c'est la durée d'à peine 1h20 donc on n'a pas trop le temps de s'ennuyer. Après ce n'est clairement pas un film qui brille par sa finesse et sa subtilité. Le tout est assez cheap mais c'est pas trop pénible même si je ne lui mets pas plus qu'une étoile.
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Cette musique :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love:
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Voici quelques critiques de Ecran Large (plus ou moins toutes négatives) :

Boss Level (1,5 étoiles)
Sentinelle (2 étoiles)
Un Prince à New York 2 (1,5 étoiles)
Willy's Wonderland (2,5 étoiles)

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On sera restés longtemps sans nouvelles de Joe Carnahan et de son Boss Level, boucle temporelle surarmée qui débarque en vidéo sous nos latitudes. Alors que les salles sont fermées et que les spectateurs sont en quête d'échappées divertissantes, le film parvient-il à renouveler le genre dans lequel il s'inscrit, comme le fit avant lui le sympathique Palm Springs ?

MÊME JOUEUR PERD ENCORE


Joe Carnahan est un réalisateur qui n’aura jamais tout à fait réussi à assurer sa place à Hollywood. Artisan d’un cinéma bourru et éminemment violent, on lui doit le délirant le noir Narc et l’âpre, mais somptueux Le Territoire des loups. Des propositions fortes, pas franchement inscrites dans leur époque, comme le confirment ses récents échecs. Successivement engagé sur Death Wish puis Bad Boys for Life, il dut quitter chacun de ces projets avant de pouvoir les concrétiser.

À bien des égards, Boss Level apparaissait pour le metteur en scène comme un projet moins ambitieux, mais plus facilement contrôlable, évoquant un mélange entre Un Jour sans fin et son furibard Mise à prix. Puis le long-métrage disparut des radars hollywoodiens des mois durant, jusqu’à inquiéter durablement quant à son avancement. Et alors qu’il débarque finalement, en pleine sinistrose filmique et après une tripotée de productions à base de boucles temporelles, la promesse d’un trip bourrin et survoltée s’évente bien vite.

Chaque jour, Roy se réveille pour constater qu’il est traqué par une clique d’assassins déterminés et compétents. Chaque jour, il meurt, et chaque jour, il recommence. Non seulement ce canevas est désormais terriblement attendu, mais les choix qu’opère le scénario pour essayer de le renouveler s’avèrent presque systématiquement calamiteux.

TUER LE GAME

Incapable d’injecter de la chair dans son concept, Carnahan choisit donc de ne pas narrer chronologiquement son intrigue, pour essayer de se réserver quelques surprises au gré de ses étapes rebattues, mais ce faisant, il nous prive de deux ingrédients essentiels. Premièrement, notre personnage n’a désormais plus aucune courbe de progression, puisque nous le découvrons déjà rompu aux règles de sa boucle temporelle et passablement blasé. Impossible de s’attacher à ce protagoniste, qui semble d’abord se définir par son absence d’investissement et d’enjeux dans le récit qui nous est conté.

Deuxièmement, comme cet éparpillage narratif est totalement artificiel, Boss Level est contraint de recréer artificiellement une cohérence structurelle… à coups de voix off. Et on a beau aimer d’amour ce bourrin label rouge de Frank Grillo, il ne dispose pas d’un script capable de faire passer cette trop lourde pilule. Mais au moins ce comédien spécialisé dans les rôles physiques et les performances martiales est-il synonyme de mornifles cosmiques, tout à fait compatible avec le charisme légendaire de Mel Gibson.

Là aussi, la désillusion est sévère. Le premier a trop rarement l'occasion de s'investir dans les scènes d'action, tandis que le second est utilisé comme un piteux accessoire fumant le cigare entre deux répliques désincarnées. Post-produit comme on cogne un bébé contre un mur, le film n’est presque jamais spectaculaire. Si on devine que son budget limité a contraint d’autant ses possibilités en termes de cascades, le résultat fait peine à voir.

Découpage pauvret, chorégraphies mollassonnes... on ne retrouve ni la hargne, ni l’art de la mise en scène qui ont fait la marque du réalisateur, comme en témoigne un climax rachitique, se résumant à une fusillade en plans fixes et un dialogue interminable. Autant d’invraisemblables loupés qui rendent les énormités balancées ici et là sur le jeu vidéo et la parentalité difficilement supportables.

Boss Level est disponible en DVD et Blu-ray chez Metropolitan en France depuis le 6 mars 2021

Il ne reste plus grand-chose du cinéma de Joe Carnahan dans cette ritournelle fatiguée, avare en spectacle, paresseuse et techniquement très limitée.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... OctYCiBmP0

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De Chrysalis à L'Assaut, de Braqueurs en passant par Lukas, Julien Leclercq est un des rares réalisateurs français à œuvrer spécifiquement dans le cinéma de genre, et plus spécifiquement dans les eaux peu fréquentées du polar et de l’action. Quelques mois après La Terre et le Sang, voici venir Sentinelle, son second long-métrage produit pour Netflix, où Olga Kurylenko entreprend de venger sa petite sœur, violée et laissée pour morte par un oligarque russe.

SUPER OLGA


James Bond Girl vengeresse, femme solaire dans À la merveille de Terrence Malick, Olga Kurylenko s’est illustrée ces dernières années en passagère de séries B plutôt économes de son talent. Mais s’il y a bien une qualité évidente dans Sentinelle, c’est le désir du film d’embrasser totalement l’aura de son actrice principale. La caméra scrute perpétuellement le visage gracile, mais saturé de tension de la comédienne, comme pour prendre le pouls de son bouillonnement intérieur.

Toujours en quête de son regard, cherchant sans cesse à incarner son trouble ou sa rage, la mise en scène reste rivée à elle, et le fait bien. Il faut dire que Kurylenko a rapidement des airs d’effet spécial à elle seule, tant sa présence mutique, presque minérale, sied à ce récit de vengeance. Physiquement investie, aussi crédible quand l’émotion la submerge progressivement que quand elle laisse exploser une violence sèche, l’actrice est la clef de voûte du récit et lui permet de tenir bon jusqu’à sa conclusion.

Son interprétation sobre d’une militaire au bord de la crise de nerfs, initialement marquée par un carnage en Syrie, et anesthésiée par un traitement complété de quelques sympathiques stupéfiants s’accorde également avec certains tics du réalisateur. On sait Leclercq amateur d’une photo désaturée et d’une caméra portée assez libre, et cette équation correspond très bien aux déchaînements du film, mais surtout à l’aura de l’actrice, toute en électricité contenue.

SHOOT TO THRILL

Malheureusement, pour une comédienne magnétique, le spectateur devra tenir bon face à une armada de seconds rôles découpés à la tronçonneuse dans un bloc de saindoux. De l’oligarque libidineux à une tripotée de militaires aussi redoutables qu’un teckel souffrant de coliques néphrétiques, tous font pâle figure et entament l’intérêt du récit. Pas assez hauts en couleur pour nous porter sur les rives de la bourrinerie qui tâche, ils confèrent à l’ensemble une fadeur regrettable.

Et si on ignore dans quelle mesure la crise sanitaire a impacté la fabrication du film au-delà de sa post-production, plusieurs séquences paraissent étrangement heurtées, ou articulées en dépit du bon sens, tel l’épilogue du film, qui arrive comme un moignon sur la soupe. À plusieurs reprises, Julien Leclercq et son scénariste Matthieu Serveau donnent le sentiment de s’emmêler les pinceaux, quitte à rendre incompréhensible une situation aussi simple que l’introduction d’une infirmière louche, amoindrissant la sympathique confrontation qui s’ensuit.

Un constat d’autant plus regrettable qu’avec son intrigue simple, son scénario fonctionnel, une Olga Kurylenko impeccable en casseuse de bouches et un rythme soutenu (75 minutes, hors générique), tout était réuni pour nous occasionner une solide fracture de la rétine, plutôt qu’un bâillement bienveillant.

Sentinelle est disponible sur Netflix depuis le 5 mars 2021 en France

Grâce à l'investissement d'Olga Kurylenko et à un tempo resserré, Sentinelle divertit, à défaut de masquer les failles de sa narration et de son montage.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1614968605

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Réfugié sur Amazon Prime Video, Eddie Murphy joue le vieux lion, pour prouver avec un Un Prince à New York 2 qu'il règne toujours sur la jungle hollywoodienne. Mais n'est-il pas trop tard pour ressusciter un personnage et une histoire qui ne sont plus de première jeunesse ?

EDDIE MORPHING


Suite tardive d’Un prince à New York, la genèse de la comédie qui a soufflé ses trente bougies n’a pas été de tout repos. Annoncée en 2017, alors sans Eddie Murphy, l’entreprise s’est finalement muée en une énième tentative de come-back. Star toute puissante du stand-up américain de la fin des seventies jusqu’au crépuscule des années 80, l’artiste a vu sa popularité et sa réussite s’éroder progressivement jusqu’à le contraindre à devenir une caricature de lui-même, puis progressivement disparaître.

Il y avait quelques raisons d’espérer, l’acteur retrouvant ici Craig Brewer, metteur en scène du récent Dolemite is my name, excellente surprise atterri sur Netflix, fantasme de blaxploitation et commentaire aussi malicieux que méta sur la carrière du comique. Malheureusement, on sent rapidement que ce duo prometteur est arrivé en cours de projet, tant il semble évident que le prince Akeem n’était pas initialement le centre de gravité du projet.

Contraint de ramener des États-Unis un bâtard qu’il pourra marier à un voisin belligérant, le roi Joffer lutte manifestement avec le désir des scénaristes Kenya Barris et David Sheffield d’aboutir à un remake centré sur le fils interprété par Jermaine Fowler. Un problème tant le sentiment de redite est puissant, tant les gags oscillent entre redite, décalages au tempo ronflant et blagues qui reposent sur des maquillages grossiers ou mal dopés au numérique.

Tout le monde s'efforce de tirer à lui une couverture bien trop petite, qui nécessite plus d'introductions de personnages, de vélocité et de créativité que quiconque ne semble en mesure d'en produire sur le plateau. Une sauce figée contre laquelle Murphy ne peut rien, et dans laquelle il se contente de se débattre avec l'énergie d'un lamantin en pleine rupture du corps caverneux.

UNE COURONNE DES PINES

La faute à une mélodie humoristique qui vire à la mélasse indigeste, on ne rit pas. C’est que Un Prince à New York 2, comme son titre ne l’indique pas, souffre de son concept même. Le premier opus ne nous offrait qu’un bref aperçu du Royaume de Zamunda. Caricatural, absurde, il constituait à la manière d’un conte philosophique voltairien, une bizarrerie introductive qui autorisait les personnages à se moquer du véritable décor : New York et les États-Unis. En retournant cette équation, le scénario est obligé de donner vie à ce pays fantasmatique, et le résultat est catastrophique.

Les indignés de canapé auront beau jeu de pointer du doigt une vision raciste de l’Afrique, mais en l’état, il est sans doute plus exact d’en regretter l’insondable bêtise et l’incohérence, plutôt que d’y voir une véritable volonté colonialo-dominatrice (le résultat n’en est pas moins navrant). Ainsi, cohabitent au sein du projet une direction artistique grossière, un humour volontiers régressif, centré sur le masculin et gentiment phallocrate, avec des greffes “progressistes” aussi voyantes que contradictoires.

N’osant raisonnablement pas tout à fait embrasser ses saillies à base de pénis (ceux qui n’auront pas compris à l’issue du visionnage que Murphy a visiblement été hybridé avec un tronc de séquoia souffrent de sévères lacunes cognitives), le scénario propose une sous-intrigue sur l'émancipation totalement ratée. Artificielle, inconséquente, elle témoigne cruellement de combien l’apport de John Landis, réalisateur du précédent volet, fut essentiel à sa réussite et à l'équilibre entre ses divers ingrédients.

Un Prince à New York 2 est disponible sur Amazon Prime Video depuis le 5 mars 2021 en France

Suite tardive et dispensable, ce nouveau Prince à New York lutte contre lui-même, écartelé entre le désir de come-back d'un Eddie Murphy comateux et un ADN de remake déguisé aussi maladroit que paresseux.


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Dernier rejeton de la Cagesploitation avant Prisoners of the Ghostland et The Unbearable Weight of Massive Talent, Willy's Wonderland joue la carte de la comédie d'horreur décomplexée. Mis sur le devant de la scène grâce à ses similitudes avec la saga de jeux vidéo Five Nights at Freddy's, il vient de sortir en VOD aux États-Unis, où il a récolté des critiques mitigées. Une réception somme toute logique.

Cage ou pas Cage ?


Ces dernières années, Nicolas Cage a passé une nouvelle étape dans sa carrière complètement anarchiste. Laissant discrètement derrière lui les pires zéderies auxquelles il a été contraint de participer pour financer un train de vie aussi disproportionné que sa personnalité, il se contente désormais de se jouer lui-même, flattant un public – une secte – entièrement dévoué à son génie. Il crée ainsi un nouvel espace-temps cinématographique, dans lequel sa folie communicative devient un argument de vente, un moteur narratif, voire un sujet d’étude.

Willy’s Wonderland, produit par l’acteur, se réclame évidemment de cette mouvance, au point de faire de son personnage un non-personnage, un véhicule pour son air halluciné. Il faut voir comment le réalisateur Kevin Lewis, avec la complicité du scénariste G.O. Parsons, donne dans l’iconisation brute, et ce dès les premiers plans sur le héros, nous laissant progressivement découvrir sa nouvelle incarnation capillaire.

Protagoniste balèze, mutique et mystérieux, le concierge se voudrait une version rigolarde de l’archétype à la Sergio Leone, celui de l’homme sans nom, qui cache une violence intérieure sous un vernis à ne pas craqueler, sous peine d’en subir les conséquences. Les conséquences, ici, se concrétisent par une baston contre une armée d’animatroniques possédées, se repaissant goulûment des pauvres étrangers venus nettoyer leur parc, le fameux Willy’s Wonderland.

Sauf que contrairement aux sombres pistoleros incarnés par Clint Eastwood, Charles Bronson ou même Ryan Gosling, pour citer un exemple plus récent, le concierge ne laisse poindre aucun indice à propos du violent conflit qui sommeille en lui, ou d’un passé qu’on devine tragique. Il reste placide, défouraille du bestiau mécanique à la force de ses bras et d’une sous-marque de Monster Drink.

On est là, quoi

Et malgré toute cette énergie déployée à caricaturer sa légende, le film ne parvient à la toucher que du bout des doigts. Car si transformer Cage en machine à tuer des machines peut sembler appétissant à première vue, l’idée montre vite ses limites dans l’exécution. L’acteur s’épanouit en effet bien plus dans les rôles expressifs, dans lesquels il peut déchaîner la puissance de son improvisation sauvage.

Tout l’inverse du concierge de Willy’s Wonderland, autorisé à desserrer les dents uniquement lors de ses innombrables parties de flipper. Confier un rôle principal au roi de la roue libre sans lui accorder la moindre réplique à déclamer d’un ton illuminé (le héros ne parle jamais, lui économisant l’apprentissage du texte) relève du gâchis pur et dur, qu’importe l’amour que le réalisateur et le scénariste portent manifestement à son charisme.

Les précédentes Cageries, même quand elles faisaient du comédien une brute, lui laissaient largement le temps de s’exprimer. On se souvient forcément des dérapages de Mandy, ou même de Jiu Jitsu, pourtant loin d’être fameux, où la brièveté de son apparition était contrebalancée par un look improbable et quelques répliques bien senties. Rien de tout ça dans ce long-métrage, frustrant pour les fans de l’acteur (dont nous faisons partie, comment avez-vous deviné?) auxquels il était pourtant dédié. Dommage, car le personnage en lui-même, presque programmé pour accomplir l’absurde travail confié, s’avère amusant dans l’idée.

Ainsi, l’omniprésence de Cage, dont les rituels occupent une place certaine, fait vite sombrer le récit dans une mécanique assez schématique, surtout au niveau des personnages secondaires, tous destinés à l’abattoir, sauf le héros et sa protégée un peu trop vite adoptée. La gestion de l’espace illisible, le bestiaire trop peu détaillé, ou même la narration forcée de recourir à deux longs flashbacks pour raconter une histoire d’une bêtise assumée en pâtissent forcément. À force de trop miser sur un Nic Cage effacé, dont on ne ratera aucun jet de canette, le film se prend un peu les pieds dans le tapis. Un tapis pourtant bien rigolo.

Casimir : Final wars

Car ces défauts sont à l’image du reste du film, très honnête et même parfois attendrissant, mais persistant à singer ses meilleures idées. Le style de Lewis se revendique très clairement de Sam Raimi, avec son expressionnisme potache et son propre Bruce Campbell. D’où un sur-découpage permanent, jouant de ses innombrables inserts et de ses angles improbables pour donner un cachet amusant au tout.

Une démarche sincère et indéniablement rafraîchissante qui n’admet pas comme excuse un budget limité. Elle travaille au maximum ce qu’elle a, d’un décor certes difficile à appréhender, mais vite rehaussé par les trouvailles esthétiques du directeur de la photographie David Newbert à des antagonistes bien pensés pour éviter tant que faire se peut le recours au CGI, et dont les trognes morbides demandent de se faire éclater par la rage de Cage.

Mais encore une fois, Lewis s’empêtre un peu dans ses effets de style, les multipliant bien trop vite sans pour autant jouir du sens du mouvement de son modèle. À force de confondre vitesse et précipitation, Willy’s Wonderland gâche son principal intérêt, à savoir les bastons contre l’armée d’animatroniques lesquels sont complètement déformés par un manque de chorégraphies gênant et une prolifération frénétique des plans débullés.

D’autant que contrairement à Raimi, le cinéaste ne varie pas tant que ça les conditions des affrontements, ni même les capacités des belligérants. Et ce n’est pas la débilité affichée, complètement absurde, de la troupe d’adolescents, qui parvient à arracher le film d'une certaine redondance, que quelques giclées de sang génériques n'évitent pas particulièrement non plus.

Pleine de bonnes intentions, la comédie d’horreur se vide constamment un chargeur dans le pied en concrétisant de travers ses plus belles audaces. Finalement, peut-être le script de Parsons, à l’origine du projet (celui a qui a réussi à attirer l’attention de Cage), a-t-il souffert de la présence de la star, intimant par sa seule présence une surenchère parfois nocive. Les aspirants à la Cagesploitation devraient-ils faire attention à ne pas se faire dévorer par son aura presque mystique ? Nul doute que The Unbearable Weight of Massive Talent nous éclairera sur ce point.

Mû par de véritables ambitions stylistiques et un amour sincère pour son acteur principal, Willy's Wonderland ne cesse de se tirer dans les pattes pour finalement ressembler à un festival de fausses bonnes idées.


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Netflix, Steven Spielberg et les créateurs de Stranger Things vont adapter Stephen King

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Netflix sort un nouvel obus avec une nouvelle adaptation d'un livre de Stephen King dirigée par les frères Duffer (Stranger Things) et Steven Spielberg.

La mode des récits à la Stephen King et des années 80 semble ne pas faiblir, puisque après l'annonce d'une nouvelle adaptation de The Running Man par Edgar Wright, l'auteur est sur le point de voir une autre de ses oeuvres transposée à l'écran. Mais cette fois, il s'agira de la petite lucarne et non de la grande toile : Netflix est en effet à la tête de la commande, et la plate-forme entend faire collaborer rien de moins que les frères Duffer et Steven Spielberg, qui s'apprête donc à voir un de ses projets de longue date prendre enfin vie.

Le Hollywood Reporter rapporte que Netflix entend produire une adaptation du livre Le Talisman, énorme best-seller en 1984 et dont le plus grand fan n'est probablement autre que Steven Spielberg lui-même, puisqu'il a acheté les droits d'adaptation en 1982, soit deux ans avant même la publication du livre. En 2018, un peu moins de 40 ans plus tard, le réalisateur parlait toujours de ce projet qu'il souhaitait réaliser lui-même, avant semble-t-il de définitivement passer la main en 2021.

Attention cependant : les frères Duffer et Steven Spielberg ne sont bien annoncés que comme producteurs de la série pour le moment, et il n'est question nulle part d'une quelconque réalisation de leur part. Le rôle de showrunner a en effet été donné à Curtis Gwinn, un collaborateur des frères Duffer ayant travaillé sur l'écriture et la production de Stranger Things, mais ayant aussi roulé sa bosse chez The Walking Dead, Narcos ou encore The Leftovers. Stephen King lui-même est également annoncé comme collaborateur de la série.

Pour ce qui est de l'histoire pure et dure, on ne sait pas encore exactement ce qu'il en sera, mais on peut déjà vous dire que le livre, co-écrit avec Peter Straub, raconte l'histoire de Jack Sawyer, un garçon de douze ans en voyage à travers les dimensions et les États-Unis pour trouver le Talisman éponyme, un objet magique qu'il espère utiliser afin de guérir sa mère gravement malade. Aucune date de sortie espérée encore à ce jour, mais la rédaction est composée de suffisamment de fans de Stephen King pour vous tenir au courant le moment venu.


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Après The Revenant, Iñárritu prépare enfin son grand retour avec une fable épique

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Cinq ans après The Revenant, le cinéaste mexicain Alejandro González Iñárritu va faire son grand retour au cinéma, avec une fable épique.

Il y a plus de cinq ans maintenant, le cinéaste mexicain Alejandro González Iñárritu s’est imposé dans l’industrie hollywoodienne avec deux propositions de cinéma fortes et techniquement ultra-abouties : Birdman et The Revenant. Deux films qui ont permis au cinéaste de rafler l’Oscar du meilleur réalisateur deux années consécutives, ce qui n’était pas arrivé depuis Joseph L. Mankiewicz dans les années 50.

Beaucoup de succès pour cette deuxième période dans la filmographie du cinéaste mexicain, durant laquelle ce dernier s’est adonné à des performances techniques plus proches de l’exercice de style que des récits choraux et éclatés de ses débuts dans l’industrie, avec 21 grammes et Babel. Depuis, Iñárritu s’est fait beaucoup plus discret en s’essayant notamment au format de la VR avec le court-métrage Carne y Arena. Il plaçait le spectateur parmi des migrants traversant la frontière mexicaine, dans une installation immersive et conceptuelle qui tourne encore actuellement dans le monde.

Mais apparemment, le réalisateur de Biutiful est bien décidé à revenir au format long-métrage après son essai VR, puisque le Los Angeles Times a rapporté qu’Alejandro González Iñárritu a commencé le tournage de son nouveau film dans la ville de Mexico, intitulé sobrement Limbo. C’est le directeur de la photographie de Premier contact, Bradford Young, qui était initialement rattaché au projet, mais ce dernier a finalement été remplacé par le légendaire Darius Khondji dont on ne présente plus le somptueux CV entre Uncut Gems, Okja, The Lost City of Z ou évidemment Seven.

Après Emmanuel Lubezki sur Birdman et The Revenant, le cinéaste mexicain s’approprie donc un nouveau directeur de la photo en béton armé, pour ce qui s’annonce comme une sorte de fable. La démarche artistique et politique semble d'ailleurs se rapprocher du Roma de son ami Alfonso Cuarón, notamment car le sujet paraît plus intime. En effet, on ne sait pas grand-chose sur Limbo, si ce n’est que le film explorera "la modernité politique et sociale de Mexico", une volonté déjà exprimée dans une première photo de tournage partagé récemment sur Twitter.

Dans cette première image, on peut apercevoir le cinéaste dirigé son acteur principal, qui n’est autre que Daniel Giménez Cacho (Zama), qui déambule au milieu de gens allongés à terre. On remarque également la présence sur le tournage d’Eugenio Caballero, chef décorateur ayant notamment opéré sur Roma, ce qui rend le rapprochement entre les deux films assez évidents.

Outre ce détail en commun, Limbo semble également représenter un retour aux sources et à ses origines pour Alejandro González Iñárritu, qui n’a pas tourné dans son pays natal depuis Amours chiennes, tout comme Cuarón n’avait pas tourné au Mexique depuis Et... ta mère aussi ! avant Roma. Le grand retour du cinéaste au cinéma pourrait donc se faire par la porte de la fable politique et sociale, peut-être un récit choral dans la veine de Babel, on espère. Autant dire qu’on a très hâte.

On ne sait rien de plus pour le moment sur Limbo, si ce n’est que le nouveau film d’Alejandro González Iñárritu est actuellement en cours de production. En attendant d’en savoir plus sur ce projet fort intrigant, on vous renvoie vers nos critiques respectives de Birdman et The Revenant.


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Jumanji : Dwayne Johnson et son équipe devraient revenir pour une quatrième aventure

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Dwayne Johnson pourrait voir son avenir se passer dans une jungle qu'il connaît bien avec un nouveau Jumanji.

Le projet de réadaptation en film du roman pour enfants Jumanji semblait être risqué et assez bizarre. Cependant, le succès des Jumanji : Bienvenue dans la jungle et de sa suite Jumanji : Next level a totalement démontré le contraire. Les yeux des fans de l'ancien catcheur Dwayne Johnson ont pu en effet profiter de sa luisante musculature, mais également admirer sa verve humoristique. Ce dernier a d'ailleurs renforcé grâce à ces longs-métrages sa côte de sympathie sur le web.

À la différence du Jumanji de 1996, les personnages sont plongés cette fois-ci dans le monde animal à cause d'un jeu vidéo. Le jeu de plateau s'est en effet transformé pour plonger ses joueurs dans un monde vidéoludique. Alors que la séquence post-générique du troisième film (eh oui on compte celui de 1996) laissait présager la venue des animaux du jeu dans le monde réel, il semblerait que le groupe d'aventurier reprenne du service. Cette équipe de choc composée de The Rock, Jack Black, Karen Gillan et de Kevin Hart devrait donc prochainement retourner dans la jungle.

Pour rappel, le réalisateur des films Jake Kasdan avait déjà annoncé une suite en avril 2020. Plus d'un an après, l'annonce se précise puisque le producteur de la franchise Hiram Garcia a affirmé à ComicBook.com, qu'un quatrième film allait se faire à "100%". Il a également étayé un peu plus sa pensée :

"Nous avons souvent eu des conversations avec l'équipe qui a bossé sur les films, c'est une vraie famille. [...] Je ne peux rien vous dire, mais nous préparons un gros projet, un de nos favoris aussi et ça se prépare."

On peut constater que l'ambiance est déjà au beau fixe, le nabab américain semble convaincu par ce projet de suite et a pour ambition de faire marcher de nouveau sa poule aux oeufs d'or. Il faut dire que le succès des deux précédentes productions a sans doute poussé le producteur à développer un troisième opus nouvelle génération.

En effet, Jumanji : Bienvenue dans la jungle a réussi à faire un carton au box-office, en comptabilisant 962 millions de dollars de recettes mondiales (pour environ 90 millions de budget hors-marketing). La suite sortie en 2019 a réalisé un score plus que correct en glanant 800 millions de dollars, mais beaucoup moins impressionnant vu son budget plus élevé (125 millions hors-marketing).

Bien évidemment, le film est encore au stade de développement et donc aucune date de sortie n'est encore prévue pour l'instant. On peut supposer néanmoins que le casting sera d'attaque pour faire une nouvelle partie. Affaire à suivre... En attendant, vous pouvez vous replonger dans nos critiques assassines de Jumanji : Bienvenue dans la jungle et de Jumanji : Next Level.


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Après Booksmart sur Netflix, Olivia Wilde dévoile une image anxiogène de son thriller psychologique

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Après son premier film Booksmart, Olivia Wilde repasse derrière la caméra pour un thriller psychologique Netflix, qui dévoile une première image.

Si l’actrice Florence Pugh s’apprête à partager l’affiche aux côtés de Scarlett Johansson dans le prochain blockbuster Marvel prévu dans les salles, Black Widow, probablement pour succéder à la veuve noire dans le MCU, la jeune Britannique s’est fait d’abord connaître dans un cinéma d’auteur plus confidentiel.

De la révélation dans le drame The Young Lady à la nouvelle adaptation des Filles du Docteur March qui lui a valu une nomination aux Oscars, en passant par la claque Midsommar d’Ari Aster, on peut dire que Florence Pugh a déjà mis tout le monde d’accord avant d’être récupérée par Disney et son écurie de super-héros. Et alors que l’actrice va jouer une androïde serial killer pour Apple après Black Widow, Florence Pugh sera également à l’affiche de Don't Worry, Darling, le second long-métrage de l’actrice et réalisatrice Olivia Wilde, après le petit succès de son premier film Booksmart sur Netflix.

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On ne sait pas grand-chose pour le moment sur ce nouveau film, si ce n’est qu’il s’agira cette fois d’un thriller psychologique où Florence Pugh partage l’affiche aux côtés du chanteur Harry Styles. L'ancien chanteur poursuit sa carrière d’acteur surprenante après son rôle dans Dunkerque de Christopher Nolan. Et alors que le tournage de ce deuxième film s'est terminé le 14 février dernier, Olivia Wilde a partagé une première image de son long-métrage sur son compte Instagram, où l’on peut voir Florence Pugh occuper le cadre.

Une première image plutôt intrigante, dans la composition de son cadre et dans son esthétique, où la jeune actrice semble être prise au piège dans un cadre très serré, avec des hommes habillés en noir à l’arrière-plan, à l'allure de quasi-zombies. On pourrait croire que ce premier cliché sort tout droit du Midsommar d’Ari Aster, tant l’ambiance de cette image tend plus vers le cauchemar lumineux, avec cette lumière qui se reflète sur la vitre sur laquelle semble s’appuyer l’actrice.

Pour rappel, Don’t Worry, Darling se déroulera dans les années 50, où l’on y suivra l’histoire d’une femme au foyer, interprétée par Florence Pugh, qui découvre une vérité troublante sur son mari, interprété par Harry Styles, qui cache un sombre secret. On ne sait rien de plus que ce court et intrigant postulat de départ. Côté casting, la jeune réalisatrice se paye des noms plutôt solides : Chris Pine, Gemma Chan (Eternals), KiKi Layne (The Old Guard), Nick Kroll (Loving), Timothy Simons (Veep), ou encore Kate Berlant (Once Upon a Time... in Hollywood).

Pour rappel, Don’t Worry, Darling est prévu pour une sortie courant 2021. En attendant d’en apprendre plus sur le second film d’Olivia Wilde, Florence Pugh sera à l’affiche de Black Widow, toujours prévu pour une sortie le 5 mai 2021 dans nos salles, si elles ont rouvert d’ici là et que le film n’a pas été relégué sur Disney+ entre temps.


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Star Trek : un nouveau film produit par J.J.Abrams en développement

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Alors que Star Trek 4 s'est perdu aux confins de la galaxie, la Paramount va développer un autre film tiré de la franchise SF, avec J.J. Abrams à la production.

En attendant que la Paramount prenne une décision claire concernant la mise en chantier ou l'abandon définitif de Star Trek 4 (ou plutôt du reboot réalisé par Noah Hawley), la franchise de science-fiction se refait une santé sur le petit écran. Avec Star Trek : Discovery qui a été lancée en 2017 et Star Trek : Picard qui a débuté l'année dernière, les projets télévisés se multiplient et s'accompagnent d'un regain de popularité sur lequel le studio compte bien surfer. Encore plus avec l'arrivée de Paramount+ dans la guerre du streaming.

En parallèle des nouvelles saisons de Discovery, Picard, Star Trek: Lower Decks (la série animée), et en attendant Star Trek : Strange New Worlds, Star Trek : Prodigy (une autre série animée) ou Section 31, le spin-off de Star Trek : Discovery avec Michelle Yeoh, la Paramount va lancer un nouveau film écrit par Kalinda Vazquez (Once Upon a Time, Prison Break) pour étendre un peu plus l'univers de Gene Roddenberry. L'information vient de Deadline, qui a également précisé qu'elle a conclu un accord avec le studio pour développer un film original qui lui permettra d'élargir son rôle créatif au sein de la franchise.

Vazquez est une trekkie, dont le nom est d'ailleurs une référence à un personnage apparu dans la série des années 60, qui a notamment travaillé sur plusieurs épisodes de Discovery en tant que productrice consultante et scénariste. Pour l'instant, il est très difficile de savoir ce qui attend les fans vu le manque de détails. Si le film ne devrait avoir aucun rapport avec la trilogie lancée en 2009 par J.J. Abrams, ce dernier sera bien attaché à la production sous sa bannière Bad Robot. Il n'est pas non plus dit qu'il sera en lien avec la série Discovery ou qu'il remplacera le projet d'Hawley (tombé un temps entre les mains de Quentin Tarantino).

En perte de vitesse depuis le décevant Star Trek : Sans Limites, le troisième volet de la dernière trilogie réalisé par Justin Lin, la saga a tenté un bon moment de sortir un quatrième opus en salles, mais sans cap précis, l'avenir de la franchise au cinéma est peut-être compromis pour un bon moment (encore plus avec la crise sanitaire et le recours massif au streaming). Le film écrit par Vazquez pourrait donc très bien venir muscler le catalogue de Paramount+, même si aucune confirmation n'a été faite.

Une chose en revanche est quasi certaine, on ne risque pas de revoir Chris Pine, Zoe Saldana, Zachary Quinto, Simon Pegg, Karl Urban et John Cho reprendre les commandes de l’USS Enterprise de sitôt. En attendant d'en savoir plus, notre critique de la première saison de Star Trek : Picard est juste ici et notre critique de Star Trek : Sans Limites, juste là.


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ClintReborn
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Un nouveau star trek cela sera peut être l'occasion pour faire enfin le défit du visionnage de l'intégrale séries et films depuis les années 60 :D :o :lol: :cry:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Je découvre ce film d'action, ce dernier n'a pas volé sa réputation. Malgré une mise en scène assez dégueulasse bourrée d'effets tape à l’œil en tout genre, c'est un film d'action complètement barge et absolument hilarant. Certaines scènes m'ont limite fait pisser de rire tellement ça va loin dans le délire.

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Western quasi inconnu mais qui bénéficie quand même d'un excellent casting. C'est vraiment un western de bonne facture avec son lot de fusillades et de tension. D'ailleurs la tension ne faiblit quasiment pas durant toute la durée. Celle-ci est d'ailleurs un peu trop courte mais on n'a pas le temps de s'ennuyer une seconde tant le rythme est effréné. A noter quelques petites facilités ici et là mais ça reste une belle découverte.
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Skipper Mike
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Le palmarès du festival de Berlin :

Ours d'or du meilleur film : Bad luck banging or loony porn de Radu Jude (Roumanie)
Grand prix du jury, Ours d'argent : Wheel of Fortune and Fantasy de Ryusuke Hamaguchi (Japon)
Prix du jury, Ours d'argent : Mr Bachmann and His Class de Maria Speth (Allemagne)
Ours d'argent du meilleur réalisateur : Dénes Nagy pour Natural Light (Hongrie)
Ours d'argent de la meilleure interprétation (prix non-genré) : l'Allemande Maren Eggert pour son rôle dans I'm your man (Allemagne)
Ours d'argent pour la meilleure interprétation dans un rôle secondaire (prix non-genré) : la Hongroise Lilla Kizlinger pour son rôle dans Forest - I See You Everywhere
Ours d'argent de la meilleure contribution artistique : Yibrán Asuad pour le montage de Una película de policías de Alonso Ruizpalacios (Mexique)
Ours d'argent du meilleur scénario : Introduction de Hong Sangsoo (Corée du Sud)


J'attends surtout les deux premiers.
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Wickaël
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J'ai terminé la saison 2 de Cobra Kai la baston au lycée est complètement folle, et la fin ne donne qu'une envie, voir la troisième saison !

J'adore cette série !
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Pale
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Wickaël a écrit :
lun. 8 mars 2021 22:19
J'ai terminé la saison 2 de Cobra Kai la baston au lycée est complètement folle, et la fin ne donne qu'une envie, voir la troisième saison !

J'adore cette série !
La chute fait très mal :cry:
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