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Le Cercle des profileurs disparus
Festival de Gérardmer : EGŌ de Hanna Bergholm reçoit le Grand Prix
The Innocents de Eskil Vogt est reparti de Gérardmer avec les Prix de la critique et du Public.
Après s'être ouvert le 26 janvier dernier avec la projection de The Cursed the Sean Ellis, le Festival du film fantastique de Gérardmer a dévoilé le palmarès de sa 29ème édition, le dimanche 30 janvier. Récompensant cinq longs métrages et un court métrage, cette édition s'est caractérisée par un palmarès très féminin, porté par Ego, le nouveau film de Hanna Bergholm. Pour rappel, cette édition était présidée par Julie Gayet, entourée d'Alexandre Aja, Suliane Brahim, Valérie Donzelli, Mélanie Doutey, Bertrand Mandico, Grégory Montel et Pascal-Alex Vincent.
Daté pour le 2 mars prochain en France, Ego est la nouvelle fable de la réalisatrice finlandaise de Puppet Master (2018). Racontant l'éclosion d'une étrange bête issue d'un oeuf mystérieux, ce film a reçu le Grand Prix du jury du festival, ainsi que le Prix du jury jeunes de la Région Grand Est. Grand vainqueur de cette 29ème occurence du festival de Gérardmer, voici sa bande-annonce :
En parallèle de son Grand Prix, le jury a attribué son Prix ex-aequo aux longs La Abuela et Samhain, réalisés respectivement par Paco Plaza et Kate Dolan. Le Prix de la meilleure musique est revenu à Mona Lisa and the Blood Moon de Ana Lily Amirpour.
Enfin, concernant les longs métrages, le dernier film mis à l'honneur a été The Innocents de Eskil Vogt. Distribué à partir du 9 février en France, ce film s'annonce comme une vraie claque horrifique. Favori du jury de la critique (composé de cinq journalistes) et du public, le long du scénariste de Joachim Trier est reparti de Gérardmer avec les Prix de la critique et du Public.
Du côté des courts métrages, le Grand Prix du court métrage a été remporté par Benjamin Malherbe et son court Charge Mentale. Il a été décerné par un jury présidé par Ludovic et Zoran Boukherma, et composé de Shirine Boutella, Saïda Jawad, et Antonin Peretjatko.
On note que cette année le palmarès se féminise, avec pas moins de trois femmes remportant quatre des sept prix décernés en 2022. Rappelons que lors de la 28ème édition, tous les prix avaient été raflés par des hommes.
Notons aussi que la sélection complète des films en compétition pour ce 29ème Festival de Gérardmer sera reprise à la Cinémathèque française du 2 au 7 février. "Une sélection de 10 films inédits venus du monde entier, pour retrouver les mythes, obsessions et codes du fantastique et de l'épouvante cinématographiques contemporains. Une plongée dans l'imaginaire le plus débridé et le plus terrifiant du moment" comme l'explique l'équipe organisatrice de cette reprise, laquelle s'ouvrira avec une projection du Grand Prix, le 2 février à 20h en Salle Henri Langlois.
https://premiere.fr/Cinema/News-Cinema/ ... e6XJ8adUog
Terrible le trailer
The Innocents de Eskil Vogt est reparti de Gérardmer avec les Prix de la critique et du Public.
Après s'être ouvert le 26 janvier dernier avec la projection de The Cursed the Sean Ellis, le Festival du film fantastique de Gérardmer a dévoilé le palmarès de sa 29ème édition, le dimanche 30 janvier. Récompensant cinq longs métrages et un court métrage, cette édition s'est caractérisée par un palmarès très féminin, porté par Ego, le nouveau film de Hanna Bergholm. Pour rappel, cette édition était présidée par Julie Gayet, entourée d'Alexandre Aja, Suliane Brahim, Valérie Donzelli, Mélanie Doutey, Bertrand Mandico, Grégory Montel et Pascal-Alex Vincent.
Daté pour le 2 mars prochain en France, Ego est la nouvelle fable de la réalisatrice finlandaise de Puppet Master (2018). Racontant l'éclosion d'une étrange bête issue d'un oeuf mystérieux, ce film a reçu le Grand Prix du jury du festival, ainsi que le Prix du jury jeunes de la Région Grand Est. Grand vainqueur de cette 29ème occurence du festival de Gérardmer, voici sa bande-annonce :
En parallèle de son Grand Prix, le jury a attribué son Prix ex-aequo aux longs La Abuela et Samhain, réalisés respectivement par Paco Plaza et Kate Dolan. Le Prix de la meilleure musique est revenu à Mona Lisa and the Blood Moon de Ana Lily Amirpour.
Enfin, concernant les longs métrages, le dernier film mis à l'honneur a été The Innocents de Eskil Vogt. Distribué à partir du 9 février en France, ce film s'annonce comme une vraie claque horrifique. Favori du jury de la critique (composé de cinq journalistes) et du public, le long du scénariste de Joachim Trier est reparti de Gérardmer avec les Prix de la critique et du Public.
Du côté des courts métrages, le Grand Prix du court métrage a été remporté par Benjamin Malherbe et son court Charge Mentale. Il a été décerné par un jury présidé par Ludovic et Zoran Boukherma, et composé de Shirine Boutella, Saïda Jawad, et Antonin Peretjatko.
On note que cette année le palmarès se féminise, avec pas moins de trois femmes remportant quatre des sept prix décernés en 2022. Rappelons que lors de la 28ème édition, tous les prix avaient été raflés par des hommes.
Notons aussi que la sélection complète des films en compétition pour ce 29ème Festival de Gérardmer sera reprise à la Cinémathèque française du 2 au 7 février. "Une sélection de 10 films inédits venus du monde entier, pour retrouver les mythes, obsessions et codes du fantastique et de l'épouvante cinématographiques contemporains. Une plongée dans l'imaginaire le plus débridé et le plus terrifiant du moment" comme l'explique l'équipe organisatrice de cette reprise, laquelle s'ouvrira avec une projection du Grand Prix, le 2 février à 20h en Salle Henri Langlois.
https://premiere.fr/Cinema/News-Cinema/ ... e6XJ8adUog
Terrible le trailer
3 ans à l'école à Gérardmer. je trouve que le festival avait plus de présence télévisuelle lorsqu'il était à AvoriazPale a écrit : ↑lun. 31 janv. 2022 17:51Festival de Gérardmer : EGŌ de Hanna Bergholm reçoit le Grand Prix
The Innocents de Eskil Vogt est reparti de Gérardmer avec les Prix de la critique et du Public.
Après s'être ouvert le 26 janvier dernier avec la projection de The Cursed the Sean Ellis, le Festival du film fantastique de Gérardmer a dévoilé le palmarès de sa 29ème édition, le dimanche 30 janvier. Récompensant cinq longs métrages et un court métrage, cette édition s'est caractérisée par un palmarès très féminin, porté par Ego, le nouveau film de Hanna Bergholm. Pour rappel, cette édition était présidée par Julie Gayet, entourée d'Alexandre Aja, Suliane Brahim, Valérie Donzelli, Mélanie Doutey, Bertrand Mandico, Grégory Montel et Pascal-Alex Vincent.
Daté pour le 2 mars prochain en France, Ego est la nouvelle fable de la réalisatrice finlandaise de Puppet Master (2018). Racontant l'éclosion d'une étrange bête issue d'un oeuf mystérieux, ce film a reçu le Grand Prix du jury du festival, ainsi que le Prix du jury jeunes de la Région Grand Est. Grand vainqueur de cette 29ème occurence du festival de Gérardmer, voici sa bande-annonce :
En parallèle de son Grand Prix, le jury a attribué son Prix ex-aequo aux longs La Abuela et Samhain, réalisés respectivement par Paco Plaza et Kate Dolan. Le Prix de la meilleure musique est revenu à Mona Lisa and the Blood Moon de Ana Lily Amirpour.
Enfin, concernant les longs métrages, le dernier film mis à l'honneur a été The Innocents de Eskil Vogt. Distribué à partir du 9 février en France, ce film s'annonce comme une vraie claque horrifique. Favori du jury de la critique (composé de cinq journalistes) et du public, le long du scénariste de Joachim Trier est reparti de Gérardmer avec les Prix de la critique et du Public.
Du côté des courts métrages, le Grand Prix du court métrage a été remporté par Benjamin Malherbe et son court Charge Mentale. Il a été décerné par un jury présidé par Ludovic et Zoran Boukherma, et composé de Shirine Boutella, Saïda Jawad, et Antonin Peretjatko.
On note que cette année le palmarès se féminise, avec pas moins de trois femmes remportant quatre des sept prix décernés en 2022. Rappelons que lors de la 28ème édition, tous les prix avaient été raflés par des hommes.
Notons aussi que la sélection complète des films en compétition pour ce 29ème Festival de Gérardmer sera reprise à la Cinémathèque française du 2 au 7 février. "Une sélection de 10 films inédits venus du monde entier, pour retrouver les mythes, obsessions et codes du fantastique et de l'épouvante cinématographiques contemporains. Une plongée dans l'imaginaire le plus débridé et le plus terrifiant du moment" comme l'explique l'équipe organisatrice de cette reprise, laquelle s'ouvrira avec une projection du Grand Prix, le 2 février à 20h en Salle Henri Langlois.
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Vosg'patt de cœur
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Peut être un peu d'espoir avec Massacre à la tronçonneuse d'avoir un truc qui fait enfin un peu peur sur Netlix...J'irai voir en tout cas...
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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Putin les barres de rire !
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y a quand même de sacrées perles
dans mon beau département des Vosges, il y a Fraize (j'y suis né ; le canton n'existe plus, la moitié des communes a rejoint le canton de Gérardmer, l'autre un canton de Saint-Dié), il y a aussi Le Syndicat commune proche de Remiremont, Charmes entre Épinal et Nancy
et je rajouterai pour rendre hommage à mon petit frère son seul jeu de mots
pourquoi les rats de Baccarat (54) ne vont pas dans les Vosges toutes proches ? parce que dans les Vosges les Raon-l'Étape
Modifié en dernier par Kit le mar. 1 févr. 2022 11:03, modifié 1 fois.
Vosg'patt de cœur
pour imiter Jacques Martin, il y a une église, une mairie ?
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ClintReborn
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- Localisation : Avalon
Elle est même très vide il existe tellement de noms étrangesAh ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
The Burning Sea : une bande-annonce spectaculaire pour le film catastrophe à la Deepwater
Les chiens sont lâchés dans la bande-annonce explosive de The Burning Sea.
Après la comète ignorée de Don't Look Up et juste avant la chute de la lune vers la Terre dans le bien nommé Moonfall : ce début d'année 2022 semble être placé sous le signe de la catastrophe écologique qui met à mal le bien-être de notre chère petite planète bleue. Et ce n'est pas la sortie prochaine de l'intrigant The Burning Sea qui va nous contredire.
Film catastrophe réalisé par le cinéaste John Andreas Andersen, derrière le film The Quake - sorti en France directement sur la plateforme E-Cinema -, The Burning Sea raconte la terrible conséquence de multiples forages réalisés dans la mer du Nord à la fin des années 60 : une fissure ouverte au fond de l'océan qui provoque l'effondrement d'une plateforme pétrolière. De ce pitch relativement classique, en est tiré un film qui s'est dévoilé dans une bande-annonce explosive.
Après avoir rapidement (et superficiellement) présenté les enjeux et protagonistes, la bande-annonce nous montre comment cette fine équipe va se retrouver prise dans l'effondrement cataclysmique de cette station pétrolière.
S'en suit donc une suite de plans mettant volontiers en valeur l'ampleur des dégâts et le spectaculaire de l'action, le tout couronné par des effets spéciaux qui n'ont rien à envier au meilleur du cinéma hollywoodien à 200 millions. Le programme est donc dévoilé : des personnages à la peinture classique qui doivent survivre dans cette catastrophe, mise en scène avec le plus de démesure possible.
Cette emphase immodérée est assez excitante sur le papier, surtout face au gros des blockbusters américains qui ont du mal à vraiment nous impressionner avec leurs effets spéciaux déficients et leurs mises en scène qui rivalisent de platitude. La mise en scène est donc signée du cinéaste John Andreas Andersen, qui collabore ici de nouveau avec son scénariste Harald Rosenløw-Eeg (avec qui il avait déjà écrit The Quake), accompagné, quant à lui, par Lars Gudmestad.
Espérons que la générosité du film ne vienne pas exclusivement de la bande-annonce et que le film soit aussi explosif sur son entièreté que dans ces images. Pour le découvrir, il faudra attendre bien sagement une sortie du film en France, en sachant qu'il est encore impossible de savoir si le film sera diffusé en salles, en DVD, en VOD ou sur une quelconque plateforme de streaming.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... YLY_-qENpk
Les images sont plutôt impressionnantes.
Les chiens sont lâchés dans la bande-annonce explosive de The Burning Sea.
Après la comète ignorée de Don't Look Up et juste avant la chute de la lune vers la Terre dans le bien nommé Moonfall : ce début d'année 2022 semble être placé sous le signe de la catastrophe écologique qui met à mal le bien-être de notre chère petite planète bleue. Et ce n'est pas la sortie prochaine de l'intrigant The Burning Sea qui va nous contredire.
Film catastrophe réalisé par le cinéaste John Andreas Andersen, derrière le film The Quake - sorti en France directement sur la plateforme E-Cinema -, The Burning Sea raconte la terrible conséquence de multiples forages réalisés dans la mer du Nord à la fin des années 60 : une fissure ouverte au fond de l'océan qui provoque l'effondrement d'une plateforme pétrolière. De ce pitch relativement classique, en est tiré un film qui s'est dévoilé dans une bande-annonce explosive.
Après avoir rapidement (et superficiellement) présenté les enjeux et protagonistes, la bande-annonce nous montre comment cette fine équipe va se retrouver prise dans l'effondrement cataclysmique de cette station pétrolière.
S'en suit donc une suite de plans mettant volontiers en valeur l'ampleur des dégâts et le spectaculaire de l'action, le tout couronné par des effets spéciaux qui n'ont rien à envier au meilleur du cinéma hollywoodien à 200 millions. Le programme est donc dévoilé : des personnages à la peinture classique qui doivent survivre dans cette catastrophe, mise en scène avec le plus de démesure possible.
Cette emphase immodérée est assez excitante sur le papier, surtout face au gros des blockbusters américains qui ont du mal à vraiment nous impressionner avec leurs effets spéciaux déficients et leurs mises en scène qui rivalisent de platitude. La mise en scène est donc signée du cinéaste John Andreas Andersen, qui collabore ici de nouveau avec son scénariste Harald Rosenløw-Eeg (avec qui il avait déjà écrit The Quake), accompagné, quant à lui, par Lars Gudmestad.
Espérons que la générosité du film ne vienne pas exclusivement de la bande-annonce et que le film soit aussi explosif sur son entièreté que dans ces images. Pour le découvrir, il faudra attendre bien sagement une sortie du film en France, en sachant qu'il est encore impossible de savoir si le film sera diffusé en salles, en DVD, en VOD ou sur une quelconque plateforme de streaming.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... YLY_-qENpk
Les images sont plutôt impressionnantes.
Après Assassin's Creed, Justin Kurzel va revenir à la SF avec un anti-Inception
Morning, film de science-fiction réalisé par Justin Kurzel (Nitram, Assassin's Creed, Macbeth), a dévoilé son casting.
Morning, du peu qu'on en sait, sera l'histoire d'un monde futuriste dans lequel les gens prennent une pilule les privant de sommeil. Avec un soleil artificiel, les journées sont constantes et on ne dort plus. Sans trop savoir quelles en seront les conséquences pour la société, une jeune génération va se soulever pour récupérer son sommeil et ses rêves. Une antithèse au monde d'Inception, quelque part.
Cette histoire assez intéressante sur le papier (à quoi ressemblerait la dynamique quotidienne du monde sans nuit ni sommeil ?) sera portée par la réalisation de Justin Kurzel, comme l'a révélé Deadline. Le metteur en scène a jonglé de l'horrible adaptation d'Assassin's Creed (pauvre bougre) au récompensé Nitram lors du dernier Festival de Cannes 2021, après avoir impressionné avec son Macbeth (passé par Cannes aussi en 2015) ou Le Gang Kelly (sorti directement en DVD par chez nous, en 2020). Mais qui seront les stars de son nouveau récit ? Morning e levé le voile sur son casting.
Selon Deadline, Laura Dern, Benedict Cumberbatch et Noah Jupe (Sans un Bruit) seront de la partie. Noah Jupe étant le jeune de la bande (né en 2005), il y a de fortes chances qu'il appartienne à la génération rebelle souhaitant savoir à quoi ressemble un petit somme. Il pourrait donc être le protagoniste du film.
Néanmoins, le peu de description du film se concentre sur les deux autres acteurs. La juge Cathy (Laura Dern), qui a aidé à bâtir à son échelle ce monde sans sommeil, va voir sa vie s'écrouler à la mort de son mari Frank (Benedict Cumberbatch). Tandis que ses souvenirs la hantent, son fils Danny (Noah Jupe) découvre un monde criminel aspirant à recouvrer la capacité de rêver.
Le producteur Adam Ackland a décrit le film comme une "joyeuse, osée et introspective manière d'aborder à quel point un monde pas si différent du nôtre, fondé sur la productivité par-dessus tout, a détruit notre capacité de s'attacher, de s'endeuiller et d'aimer". Entre science-fiction, possible thriller politique et drame familial, on devrait être servis en émotion et aussi en esthétique lumineuse grâce à la présence d'Adam Arkapaw à la photo.
Sans date de production ni de sortie, on ne sait pas encore quand tout ce beau monde finira sur nos écrans, même si on peut tabler aux alentours de 2023, si ce n'est 2024. On ne sait pas non plus si le film est destiné aux salles obscures ou à une plateforme de streaming.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... eYXjcgA-qQ
Morning, film de science-fiction réalisé par Justin Kurzel (Nitram, Assassin's Creed, Macbeth), a dévoilé son casting.
Morning, du peu qu'on en sait, sera l'histoire d'un monde futuriste dans lequel les gens prennent une pilule les privant de sommeil. Avec un soleil artificiel, les journées sont constantes et on ne dort plus. Sans trop savoir quelles en seront les conséquences pour la société, une jeune génération va se soulever pour récupérer son sommeil et ses rêves. Une antithèse au monde d'Inception, quelque part.
Cette histoire assez intéressante sur le papier (à quoi ressemblerait la dynamique quotidienne du monde sans nuit ni sommeil ?) sera portée par la réalisation de Justin Kurzel, comme l'a révélé Deadline. Le metteur en scène a jonglé de l'horrible adaptation d'Assassin's Creed (pauvre bougre) au récompensé Nitram lors du dernier Festival de Cannes 2021, après avoir impressionné avec son Macbeth (passé par Cannes aussi en 2015) ou Le Gang Kelly (sorti directement en DVD par chez nous, en 2020). Mais qui seront les stars de son nouveau récit ? Morning e levé le voile sur son casting.
Selon Deadline, Laura Dern, Benedict Cumberbatch et Noah Jupe (Sans un Bruit) seront de la partie. Noah Jupe étant le jeune de la bande (né en 2005), il y a de fortes chances qu'il appartienne à la génération rebelle souhaitant savoir à quoi ressemble un petit somme. Il pourrait donc être le protagoniste du film.
Néanmoins, le peu de description du film se concentre sur les deux autres acteurs. La juge Cathy (Laura Dern), qui a aidé à bâtir à son échelle ce monde sans sommeil, va voir sa vie s'écrouler à la mort de son mari Frank (Benedict Cumberbatch). Tandis que ses souvenirs la hantent, son fils Danny (Noah Jupe) découvre un monde criminel aspirant à recouvrer la capacité de rêver.
Le producteur Adam Ackland a décrit le film comme une "joyeuse, osée et introspective manière d'aborder à quel point un monde pas si différent du nôtre, fondé sur la productivité par-dessus tout, a détruit notre capacité de s'attacher, de s'endeuiller et d'aimer". Entre science-fiction, possible thriller politique et drame familial, on devrait être servis en émotion et aussi en esthétique lumineuse grâce à la présence d'Adam Arkapaw à la photo.
Sans date de production ni de sortie, on ne sait pas encore quand tout ce beau monde finira sur nos écrans, même si on peut tabler aux alentours de 2023, si ce n'est 2024. On ne sait pas non plus si le film est destiné aux salles obscures ou à une plateforme de streaming.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... eYXjcgA-qQ
Après Sermons de minuit, Mike Flanagan donne des nouvelles de sa prochaine série d'horreur Netflix
Après ses séries horrifiques sur Netflix, Mike Flanagan prépare un nouveau cauchemar pour la plateforme, The Fall of House of Usher qui a donné de ses nouvelles.
À défaut d'avoir pu concrétiser son projet d'adaptation du roman Revival de Stephen King après son Doctor Sleep, le nouveau prodige de l'horreur Mike Flanagan a jeté son dévolu sur un autre maître du fantastique, l'auteur Edgar Allan Poe. En octobre dernier, le cinéaste a annoncé son projet d'adapter sur Netflix la nouvelle The Fall of House of Usher de 1839, même si sa prochaine mini-série sera davantage un "remix moderne" de certaines des oeuvres les plus importantes de l'écrivain gothique.
Il prendra ainsi la casquette de producteur via son studio Intrepid Pictures, en plus de participer à la réalisation et à l'écriture du scénario. Le casting est composé de Mark Hamill, Frank Langella, Mary McDonnell, Willa Fitzgerald et plusieurs acteurs avec qui il a déjà collaboré : Carla Gugino, Zach Gilford, Rahul Kohli ou encore Kate Siegel, sa femme à la ville. Et le projet est en bonne voie d'après Flanagan, qui a récemment annoncé le début de la production sur Twitter.
"Et c'est parti"
L'histoire de The Fall of House of Usher se déroulera dans la demeure lugubre et oppressante de Lord Roderick Usher (Frank Langella) qui y accueille son ami d'enfance alors que sa compagne est souffrante. Une preuve de plus de l'attrait de Flanagan pour les vieilles bâtisses flippantes.
Après The Haunting of Hill House, The Haunting of Bly Manor et plus récemment Sermons de minuit, Flanagan reviendra également sur Netflix avec la série The Midnight Club, dont la sortie est prévue plus tard cette année. Il devrait ensuite rester sur la plateforme pour manger quelques enfants avec l'adaptation de la bande-dessinée à succès de Boom ! Studios, Something is Killing the Children.
Si le projet n'a pas été confirmé, il devrait également revenir au cinéma avec un long-métrage d'horreur se déroulant sur Mars adapté du roman The Season of Passage de l’écrivain Christopher Pike. Pour l'instant, The Fall of House of Usher n'a pas encore annoncé sa date de sortie, mais de prochaines informations devraient être communiquées dans les prochains mois.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... ziSOc5Cba8
Après ses séries horrifiques sur Netflix, Mike Flanagan prépare un nouveau cauchemar pour la plateforme, The Fall of House of Usher qui a donné de ses nouvelles.
À défaut d'avoir pu concrétiser son projet d'adaptation du roman Revival de Stephen King après son Doctor Sleep, le nouveau prodige de l'horreur Mike Flanagan a jeté son dévolu sur un autre maître du fantastique, l'auteur Edgar Allan Poe. En octobre dernier, le cinéaste a annoncé son projet d'adapter sur Netflix la nouvelle The Fall of House of Usher de 1839, même si sa prochaine mini-série sera davantage un "remix moderne" de certaines des oeuvres les plus importantes de l'écrivain gothique.
Il prendra ainsi la casquette de producteur via son studio Intrepid Pictures, en plus de participer à la réalisation et à l'écriture du scénario. Le casting est composé de Mark Hamill, Frank Langella, Mary McDonnell, Willa Fitzgerald et plusieurs acteurs avec qui il a déjà collaboré : Carla Gugino, Zach Gilford, Rahul Kohli ou encore Kate Siegel, sa femme à la ville. Et le projet est en bonne voie d'après Flanagan, qui a récemment annoncé le début de la production sur Twitter.
"Et c'est parti"
L'histoire de The Fall of House of Usher se déroulera dans la demeure lugubre et oppressante de Lord Roderick Usher (Frank Langella) qui y accueille son ami d'enfance alors que sa compagne est souffrante. Une preuve de plus de l'attrait de Flanagan pour les vieilles bâtisses flippantes.
Après The Haunting of Hill House, The Haunting of Bly Manor et plus récemment Sermons de minuit, Flanagan reviendra également sur Netflix avec la série The Midnight Club, dont la sortie est prévue plus tard cette année. Il devrait ensuite rester sur la plateforme pour manger quelques enfants avec l'adaptation de la bande-dessinée à succès de Boom ! Studios, Something is Killing the Children.
Si le projet n'a pas été confirmé, il devrait également revenir au cinéma avec un long-métrage d'horreur se déroulant sur Mars adapté du roman The Season of Passage de l’écrivain Christopher Pike. Pour l'instant, The Fall of House of Usher n'a pas encore annoncé sa date de sortie, mais de prochaines informations devraient être communiquées dans les prochains mois.
https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... ziSOc5Cba8
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ClintReborn
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- Localisation : Avalon
Je ne veux pas spoiler le film mais c'est le genre de fermeture cadenas de Mister Bean qui s'ouvre en un bon coup de pied dans la portière ?
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
je m'étais posé la même question
Vosg'patt de cœur
EL a aimé Super-héros malgré lui (3,5 étoiles) :
Un film de super-héros qui dure moins de trois heures, respecte ses personnages en leur infligeant les pires outrages, sans oublier de divertir ? C’est possible, et c’est Super-héros malgré lui, le nouveau film de Philippe Lacheau.
DÉCÈS COMIC
À la manière d’un élastique de slip trop serré rencontrant soudain une gonade innocente, l’humour de la Bande à Fifi souffle sur la comédie française depuis le succès surprise de Babysitting. Source d’un maelstrom de débilités, tantôt réjouissantes, tantôt affligeantes, le chef d’orchestre Philippe Lacheau poursuit son jeu d’hommages et déconstructions de la pop culture entamé avec Nicky Larson et le Parfum de Cupidon. Mieux, il parvient à gommer plusieurs des limites parfois embarrassantes de son style aisément reconnaissable.
Avec son adaptation de l’œuvre de Tsukasa Hôjô, Lacheau avait su utiliser à plein la dimension souvent la moins commentée de son cinéma, à savoir son goût pour une forme de fantaisie naïve, basée sur de surprenantes ruptures de ton. Peut-être plus encore que City Hunter, la geste des super issus des maisons Marvel ou DC lui offre un terreau jubilatoire.
En témoignent cet aigle qui arrache soudain un enfant pour le boulotter, un affrontement contre des braqueurs tout droit sorti de La Chèvre, ou une joute surréaliste à coups de morceaux de décors en mousse, et quantité d’autres trouvailles qui surprennent et confèrent à la comédie une dimension rafraîchissante.
Ces irruptions d'authentiques bizarreries au sein d'un récit mené tambour battant font un bien fou, mais pas autant que le goût de la mise en scène pour un humour burlesque, qui use du comique de situation à la manière d'un lance-flamme, pour porter à incandescence chaque rebondissement. Sitôt les corps en jeu, le découpage s'allie idéalement au montage pour décupler l'effet de chaque gag. Ces derniers abondent, tant et si bien qu'on ne compte plus les grands écarts faciaux, chutes et chocs qui accablent les personnages. Leur effet est pourvoyeur d'un humour résolument neuneu, voire franchement con, presque toujours manié avec intelligence.
EN HAUT DE L'AFFICHE
Une frénésie qu'on retrouve également dans la structure de l'ensemble, qui parvient à traiter des conflits ou enjeux de son protagoniste avec un sérieux certain, en à peine 82 minutes. Une rapidité qui se traduit par un tempo ahurissant dans lequel la moindre séquence, fût-elle percluse de vannes, est toujours signifiante, pensée pour faire progresser notre anti-héros et l'amener à résoudre ses lourdes problématiques existentielles (un déficit de reconnaissance paternelle, une histoire d'amour flinguée, et une regrettable propension à faire l'hélicoptère devant les enfants).
On retire de cette intensité narrative une euphorie énervée d'autant plus jouissive pour les amateurs de comédie que Lacheau parvient à alterner les genres avec malice.
C'est le cas quand il introduit, au détour d'une des nombreuses confrontations quasi-méta de son histoire, une dimension de vaudeville, ou qu'il s'amuse à pasticher les Avengers. Ces passages où le comédien, scénariste et réalisateur se frotte directement à l'imagerie des blockbusters ont pour eux d'être très correctement chorégraphiés, drôles, souvent aux marges de la parodie, mais mus par une sincérité salvatrice.
On pourra regretter, notamment durant le dernier acte, que ces joutes s'avèrent trop brèves, notamment quand elles mélangent véritable baston, et orgie d'accessoires en mousse. Les idées sont là, le plaisir de les tordre également, tant et si bien que la résolution paraît presque trop courte. Léger, drôle, parfois imprévisible, Super-héros malgré lui exigera néanmoins de son public qu'il supporte la verrue plantaire qui handicape la plupart des propositions de la Bande à Fifi : une laideur qui ferait passer Gérard Larcher pour un Rembrandt.
Dès que le film ne se mesure plus à l'imagerie du grand spectacle, il s'embourbe dans une photo pâlotte, qui interdit à sa myriade de plans moyens de nous marquer la rétine. Un constat d'autant plus dommage que cette tare s'évanouit dès qu'une idée apparaît, qu'un banc de poissons ou un canard se fait massacrer.
C'est le dernier écueil qui se dresse encore devant le rire contagieux de la mauvaise troupe, dont on remarquera que si elle demeure obsédée par les blagues à base de testicules, de phallus ou de tout interstice susceptible de les accueillir, elle a su se départir de l'homophobie ordinaire qui minait ses précédents efforts.
Un régal de blagues bourrines, de comique de situation enlevées et de contagieuse débilité, limités par la laideur de plusieurs scènes.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... rRXxRHfT9Q
Un film de super-héros qui dure moins de trois heures, respecte ses personnages en leur infligeant les pires outrages, sans oublier de divertir ? C’est possible, et c’est Super-héros malgré lui, le nouveau film de Philippe Lacheau.
DÉCÈS COMIC
À la manière d’un élastique de slip trop serré rencontrant soudain une gonade innocente, l’humour de la Bande à Fifi souffle sur la comédie française depuis le succès surprise de Babysitting. Source d’un maelstrom de débilités, tantôt réjouissantes, tantôt affligeantes, le chef d’orchestre Philippe Lacheau poursuit son jeu d’hommages et déconstructions de la pop culture entamé avec Nicky Larson et le Parfum de Cupidon. Mieux, il parvient à gommer plusieurs des limites parfois embarrassantes de son style aisément reconnaissable.
Avec son adaptation de l’œuvre de Tsukasa Hôjô, Lacheau avait su utiliser à plein la dimension souvent la moins commentée de son cinéma, à savoir son goût pour une forme de fantaisie naïve, basée sur de surprenantes ruptures de ton. Peut-être plus encore que City Hunter, la geste des super issus des maisons Marvel ou DC lui offre un terreau jubilatoire.
En témoignent cet aigle qui arrache soudain un enfant pour le boulotter, un affrontement contre des braqueurs tout droit sorti de La Chèvre, ou une joute surréaliste à coups de morceaux de décors en mousse, et quantité d’autres trouvailles qui surprennent et confèrent à la comédie une dimension rafraîchissante.
Ces irruptions d'authentiques bizarreries au sein d'un récit mené tambour battant font un bien fou, mais pas autant que le goût de la mise en scène pour un humour burlesque, qui use du comique de situation à la manière d'un lance-flamme, pour porter à incandescence chaque rebondissement. Sitôt les corps en jeu, le découpage s'allie idéalement au montage pour décupler l'effet de chaque gag. Ces derniers abondent, tant et si bien qu'on ne compte plus les grands écarts faciaux, chutes et chocs qui accablent les personnages. Leur effet est pourvoyeur d'un humour résolument neuneu, voire franchement con, presque toujours manié avec intelligence.
EN HAUT DE L'AFFICHE
Une frénésie qu'on retrouve également dans la structure de l'ensemble, qui parvient à traiter des conflits ou enjeux de son protagoniste avec un sérieux certain, en à peine 82 minutes. Une rapidité qui se traduit par un tempo ahurissant dans lequel la moindre séquence, fût-elle percluse de vannes, est toujours signifiante, pensée pour faire progresser notre anti-héros et l'amener à résoudre ses lourdes problématiques existentielles (un déficit de reconnaissance paternelle, une histoire d'amour flinguée, et une regrettable propension à faire l'hélicoptère devant les enfants).
On retire de cette intensité narrative une euphorie énervée d'autant plus jouissive pour les amateurs de comédie que Lacheau parvient à alterner les genres avec malice.
C'est le cas quand il introduit, au détour d'une des nombreuses confrontations quasi-méta de son histoire, une dimension de vaudeville, ou qu'il s'amuse à pasticher les Avengers. Ces passages où le comédien, scénariste et réalisateur se frotte directement à l'imagerie des blockbusters ont pour eux d'être très correctement chorégraphiés, drôles, souvent aux marges de la parodie, mais mus par une sincérité salvatrice.
On pourra regretter, notamment durant le dernier acte, que ces joutes s'avèrent trop brèves, notamment quand elles mélangent véritable baston, et orgie d'accessoires en mousse. Les idées sont là, le plaisir de les tordre également, tant et si bien que la résolution paraît presque trop courte. Léger, drôle, parfois imprévisible, Super-héros malgré lui exigera néanmoins de son public qu'il supporte la verrue plantaire qui handicape la plupart des propositions de la Bande à Fifi : une laideur qui ferait passer Gérard Larcher pour un Rembrandt.
Dès que le film ne se mesure plus à l'imagerie du grand spectacle, il s'embourbe dans une photo pâlotte, qui interdit à sa myriade de plans moyens de nous marquer la rétine. Un constat d'autant plus dommage que cette tare s'évanouit dès qu'une idée apparaît, qu'un banc de poissons ou un canard se fait massacrer.
C'est le dernier écueil qui se dresse encore devant le rire contagieux de la mauvaise troupe, dont on remarquera que si elle demeure obsédée par les blagues à base de testicules, de phallus ou de tout interstice susceptible de les accueillir, elle a su se départir de l'homophobie ordinaire qui minait ses précédents efforts.
Un régal de blagues bourrines, de comique de situation enlevées et de contagieuse débilité, limités par la laideur de plusieurs scènes.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... rRXxRHfT9Q
Moonfall : les premiers avis sur le film catastrophe de Roland Emmerich sont tombés
Les premiers avis du nouveau film catastrophe où tout explose de Roland Emmerich, Moonfall, sont tombés. Comme la Lune, donc.
Roland Emmerich s'est fait un nom dans des productions grandiloquentes et inoffensives où beaucoup de choses explosent. Double maléfique de Dean Devlin, il a explosé entre autres grâce à Independance Day, Godzilla, Le Jour d'après ou encore 2012. Si depuis la fin des années 2000 sa carrière s'est un peu calmée (à l'image de sa suite d'Independance Day dont la réception a été froide), on attendait une résurgence sous forme d'explosion neuneu et décomplexée.
Alors quand on a posé nos mirettes sur Moonfall, un film catastrophe comptant le récit de la Lune qui s'écrase sur Terre avec des allures de théories du complot ou d'apparitions fantastiques louches, on a évidemment senti quelque chose frétiller en nous. D'autant plus quand on a vu Halle Berry, Patrick Wilson, John Bradley et Donald Sutherland. Il était alors impossible de ne pas succomber à ce plaisir coupable. Et à l'instar de la Lune, les premiers avis sur Moonfall sont tombés. Petite revue de presse.
"J'ai vu Moonfall il y a quelques semaines et je ricane encore quand j'y pense. C'est un pur divertissement à une échelle épique. Halle Berry, Patrick Wilson et Josh Bradley se régalent dans ce scénario grotesque et transpirent le drama comme une serviette mouillée. C'est du Roland Emmerich tout craché et vous ne devriez pas résister à aller le voir." Simon Thompson - Forbes
"Moonfall bénéficie d'une période d'appétence pour le film catastrophe, même s'il y a trop de moments, de dialogues ou d'ambiance "déjà vus". Mais c'est son concept RIDICULE qui a marché le mieux sur moi. (L'exposition trop lourde en moins.) C'est ce qui le fait se démarquer ! Et John Bradley est le meilleur acteur du film." Perri Nemiroff - Collider
"Moonfall a été exactement le genre de trucs drôle et stupide dont j'avais besoin en ce moment. Plein de destruction et de dialogues délicieusement débiles. C'est un buffet dans lequel je me suis régalée." Courtney Howard - Variety
"Moonfall est l'un des films les plus stupides que j'ai vus, et je le pense sincèrement comme un compliment. Il y a tellement de choses dont je pourrais parler individuellement, mais je serais maudit de ne pas être diverti par la folie complète du scénario du film. C'est tellement, mais tellement stupide, mais aussi un peu fun." Jeremy Crabb - Screen Rant
"Si ce que vous espérez voir dans Moonfall c'est de la destruction massive, une histoire sans cervelle et des dialogues ridicules alors c'est exactement ce que le dernier film de Roland Emmerich va vous offrir. J'étais à fond dedans jusqu'à l'absurde troisième acte et sa vidange d'exposition qui m'a complètement perdu. Un désastre qui s'est égaré." Matt Neglia - Next Best Picture
"Moonfall est la pichenette la plus grosse, blockbusterienne, complètement givrée et désastreuse que j'ai vue depuis un certain temps. C'est tellement éclaté et bête et j'aime chaque seconde de chute de la Lune complètement stupide et divertissante. Je mets la note d'infinies étoiles sur cinq." Matt Donato - Slash Film
"Quand Patrick Wilson dans Moonfall dit qu'il ne veut pas aller dans une mission suicide dans l'espace parce qu'il a des problèmes à régler sur Terre et qu'Halle Berry lui répond 'Ah parce que la Lune qui s'écrase en morceaux sur la Terre ce n’est pas un problème pour toi ?" Alison Willmore - Vulture
Sortez les popcorns et le pack de bières, Moonfall a tout l'air d'être d'une stupidité sans nom et en ce sens, la production pourrait peut-être ravir nos plus bas instincts pour notre plus grand bonheur. Si après une journée de boulot épuisante vous ne souhaitez pas vous abreuver d'une itération d'une fable de Shakespeare en noir et blanc signée A24, Moonfall est fait pour vous.
Blockbuster dans toute sa splendeur, joyeusement neuneu dans son traitement des thèmes qu'il aborde (la Lune est-elle creuse à l'intérieure, est-ce un complot, sommes-nous tous des reptiles ?), le film n'en demeure pas moins, selon ces premiers avis, très divertissant, et amusant. Moonfall s'écrasera dans les salles obscures le 9 février 2022 en France.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... E5SCN-KAFo
Mad Max : Fury Road - Brad Pitt et Angelina Jolie ont failli jouer des rôles majeurs dans le film
Bien avant Tom Hardy et Charlize Theron, le couple Brad Pitt et Angelina Jolie a failli être la tête d'affiche de Mad Max : Fury Road.
À l'heure où le casting du spin-off de Furiosa bouge, un petit interlude sur celui de la saga Mad Max s'impose. Alors qu'elle a été initiée en 1979 et devenue une trilogie en 1985, ses beaux jours ont été portés par la frimousse de Mel Gibson, inconnu à l'époque et légendaire metteur en scène de nos jours. Néanmoins, le réalisateur George Miller voulait plus. Un quatrième film, qu'on connaît aujourd'hui comme l'excellent Mad Max : Fury Road (qu'on a classé comme parmi les meilleurs films de la décennie 2010).
Mais entre 1985 et 2015, il s'en est passé des choses. De fait, la production de Fury Road a été un petit enfer pour Miller, qui a accumulé les déboires pour venir au terme de sa vision. En 2001, le réalisateur touchait presque au but, alors que les story-boards étaient terminés et que les auditions étaient envisageables. Mais Gibson avait vieilli, et le besoin d'une nouvelle star s'imposait pour camper le héros. Et pour la liste des acteurs envisagés pour les rôles principaux (Max et l'héroïne qu'on se doute être Furiosa), on était loin de Tom Hardy et Charlize Theron.
Kyle Buchanan, journaliste du New York Times, publiera le 22 février 2022 son livre Blood, Sweat, and Chrome: The Wild and True Story of Mad Max: Fury Road, qui retrace la production chaotique du quatrième volet. Sur son tweet (ci-dessus), il offre un teasing exclusif en clamant "Brangelina [mixage de Brad Pitt et Angelina Jolie, ndlr] dans Mad Max : Fury Road ?" tout en dévoilant ensuite une partie des débats sur les acteurs et actrices envisagés pour le film.
Et dans cette discussion, les prénoms de Brad Pitt et Angelina Jolie sont mentionnés, l'un pour Max et l'autre pour Furiosa. On pourrait croire que cela est dû à Mr. & Mrs. Smith, qui a délivré l'un des duos romantiques les plus célèbres du cinéma contemporain, mais même pas. En 2001, nous sommes quatre ans avant la sortie de la comédie d'espionnage. Pitt était plutôt connu pour Ocean's Eleven et Jolie pour Lara Croft : Tomb Raider.
C'est donc une coïncidence totale qui, si elle s'était concrétisée, aurait pu non seulement bouleverser notre appréciation de Fury Road, mais aussi de Smith (en bien ou en mal, on ne saura jamais vraiment). Cette réalité alternative a été anéantie suite aux attentats terroristes du 11 septembre 2001, et plus particulièrement à cause de sa riposte américaine, qui l'a amené à monopoliser les déserts du Proche-Orient et Moyen-Orient, empêchant tout tournage là-bas.
Finalement, les prises de vue de Fury Road auront lieu en 2012 en Namibie, pour une sortie en 2015. Même si ça aurait pu être amusant d'imaginer ces deux stars déambuler dans le désert, la taule et l'essence du monde de Mad Max, on est bien contents d'avoir eu des acteurs moins "évidents" comme Tom Hardy et Charlize Theron, dont l'alchimie toute particulière crève l'écran.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... X26l-kPQRY
Bien avant Tom Hardy et Charlize Theron, le couple Brad Pitt et Angelina Jolie a failli être la tête d'affiche de Mad Max : Fury Road.
À l'heure où le casting du spin-off de Furiosa bouge, un petit interlude sur celui de la saga Mad Max s'impose. Alors qu'elle a été initiée en 1979 et devenue une trilogie en 1985, ses beaux jours ont été portés par la frimousse de Mel Gibson, inconnu à l'époque et légendaire metteur en scène de nos jours. Néanmoins, le réalisateur George Miller voulait plus. Un quatrième film, qu'on connaît aujourd'hui comme l'excellent Mad Max : Fury Road (qu'on a classé comme parmi les meilleurs films de la décennie 2010).
Mais entre 1985 et 2015, il s'en est passé des choses. De fait, la production de Fury Road a été un petit enfer pour Miller, qui a accumulé les déboires pour venir au terme de sa vision. En 2001, le réalisateur touchait presque au but, alors que les story-boards étaient terminés et que les auditions étaient envisageables. Mais Gibson avait vieilli, et le besoin d'une nouvelle star s'imposait pour camper le héros. Et pour la liste des acteurs envisagés pour les rôles principaux (Max et l'héroïne qu'on se doute être Furiosa), on était loin de Tom Hardy et Charlize Theron.
Kyle Buchanan, journaliste du New York Times, publiera le 22 février 2022 son livre Blood, Sweat, and Chrome: The Wild and True Story of Mad Max: Fury Road, qui retrace la production chaotique du quatrième volet. Sur son tweet (ci-dessus), il offre un teasing exclusif en clamant "Brangelina [mixage de Brad Pitt et Angelina Jolie, ndlr] dans Mad Max : Fury Road ?" tout en dévoilant ensuite une partie des débats sur les acteurs et actrices envisagés pour le film.
Et dans cette discussion, les prénoms de Brad Pitt et Angelina Jolie sont mentionnés, l'un pour Max et l'autre pour Furiosa. On pourrait croire que cela est dû à Mr. & Mrs. Smith, qui a délivré l'un des duos romantiques les plus célèbres du cinéma contemporain, mais même pas. En 2001, nous sommes quatre ans avant la sortie de la comédie d'espionnage. Pitt était plutôt connu pour Ocean's Eleven et Jolie pour Lara Croft : Tomb Raider.
C'est donc une coïncidence totale qui, si elle s'était concrétisée, aurait pu non seulement bouleverser notre appréciation de Fury Road, mais aussi de Smith (en bien ou en mal, on ne saura jamais vraiment). Cette réalité alternative a été anéantie suite aux attentats terroristes du 11 septembre 2001, et plus particulièrement à cause de sa riposte américaine, qui l'a amené à monopoliser les déserts du Proche-Orient et Moyen-Orient, empêchant tout tournage là-bas.
Finalement, les prises de vue de Fury Road auront lieu en 2012 en Namibie, pour une sortie en 2015. Même si ça aurait pu être amusant d'imaginer ces deux stars déambuler dans le désert, la taule et l'essence du monde de Mad Max, on est bien contents d'avoir eu des acteurs moins "évidents" comme Tom Hardy et Charlize Theron, dont l'alchimie toute particulière crève l'écran.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... X26l-kPQRY
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ClintReborn
- Messages : 4008
- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
Hum cela ne me parait pas si difficile que ça niveau moyens techniques et budgets; on est plus dans les années 90 la ou on aurait eu une série Seigneur des anneaux en carton pâte version Hercule et Xéna
On est maintenant capable de produire des séries dignes d'une production cinématographique avec des effets spéciaux convaincants. Bref cela peut toujours être un ratage mais j'ai quand même confiance aux ambitions affichées... 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Qu’a-t-il fait ?Je n’ai pas trop de doutes sur la technique. Je pense plus à l’histoire : là où Jackson a mis 3 longs films, ils mettront plusieurs épisodes, j’espère qu’on ne va pas s’ennuyerClintReborn a écrit : ↑jeu. 3 févr. 2022 20:36Hum cela ne me parait pas si difficile que ça niveau moyens techniques et budgets; on est plus dans les années 90 la ou on aurait eu une série Seigneur des anneaux en carton pâte version Hercule et Xéna
En terme d'"affichées" justement, je trouve ces affiche bien moche et ça fait plutôt craindre le pireClintReborn a écrit : ↑jeu. 3 févr. 2022 20:36mais j'ai quand même confiance aux ambitions affichées...
