Bon par contre les deux versions du film sont en VOST mais ça ne me pose pas de problème. Ça fait tellement longtemps que je voulais le revoir !
Le Cercle des profileurs disparus
Ma plus grosse attente pour 2021
C’était quoi, le miracle au printemps ?ClintReborn a écrit : ↑jeu. 29 oct. 2020 09:24En effet car confinement ou pas les hôpitaux ne pourront pas soigner les formes graves sauf miracle comme au printemps...
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Ceux qui ont survécu !robinne a écrit : ↑ven. 30 oct. 2020 09:13C’était quoi, le miracle au printemps ?ClintReborn a écrit : ↑jeu. 29 oct. 2020 09:24En effet car confinement ou pas les hôpitaux ne pourront pas soigner les formes graves sauf miracle comme au printemps...
Modifié en dernier par ClintReborn le ven. 30 oct. 2020 09:39, modifié 1 fois.
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Je parlais de ceux qui ont survécu a une forme grave du virus
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Moi qui ai à peu près tous les abonnements qui existent (Netflix, Amazon, OCS, Canal, etc...), j'ai résisté depuis le début à Disney+, ne serait-ce que parce que je les déteste et que très peu de leur contenu m'intéresse.
Mais évidemment je viens de craquer à cause de Mandalorian. Par simple flemme d'aller chercher des canaux moins légaux pour suivre la saison comme la première.
Je me déteste de donner de l'argent à Disney !
Mais évidemment je viens de craquer à cause de Mandalorian. Par simple flemme d'aller chercher des canaux moins légaux pour suivre la saison comme la première.
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Cela me ferait mal un abonnement à Disney pour une sérieNext a écrit : ↑ven. 30 oct. 2020 14:04Moi qui ai à peu près tous les abonnements qui existent (Netflix, Amazon, OCS, Canal, etc...), j'ai résisté depuis le début à Disney+, ne serait-ce que parce que je les déteste et que très peu de leur contenu m'intéresse.
Mais évidemment je viens de craquer à cause de Mandalorian. Par simple flemme d'aller chercher des canaux moins légaux pour suivre la saison comme la première.
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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C'est pas un symptôme du corona l’incompréhension ?
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Je regarderai du National Geographic quand je n'arrive pas à dormir pour rentabiliserClintReborn a écrit : ↑ven. 30 oct. 2020 14:09Cela me ferait mal un abonnement à Disney pour une série
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C'est pas rentable.. La flemme te coûte de l'argent c'est un combleNext a écrit : ↑ven. 30 oct. 2020 14:10Je regarderai du National Geographic quand je n'arrive pas à dormir pour rentabiliserClintReborn a écrit : ↑ven. 30 oct. 2020 14:09Cela me ferait mal un abonnement à Disney pour une série
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Il n'y a rien d'autre à faire ce week end
EL a beaucoup aimé le remake US de la série Utopia (4 étoiles) :
Plus moderne que son aînée britannique, Utopia version US est une belle réussite qui parvient à trouver sa propre voie dans ce trip paranoïaque, manipulateur, conspirationniste et violent, dont l'écho avec la réalité accentue sa noirceur et son atmosphère anxiogène.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... jvEJeoK_iQ
Plus moderne que son aînée britannique, Utopia version US est une belle réussite qui parvient à trouver sa propre voie dans ce trip paranoïaque, manipulateur, conspirationniste et violent, dont l'écho avec la réalité accentue sa noirceur et son atmosphère anxiogène.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... jvEJeoK_iQ
Mank : les premiers avis sur le film Netflix de David Fincher sont tombés
Les premières critiques sont enfin tombées pour Mank, le film Netflix très attendu de David Fincher. Et apparemment, elles sont dithyrambiques.
À l'heure où toutes les salles de cinémas referment dans le monde entier, y compris en France avec le reconfinement, les cinéphiles pourront au moins se délécter du long-métrage le plus attendu de cette fin d'année. On veut parler bien sûr de Mank, le nouveau film de David Fincher, six ans après Gone Girl, dont la sortie est prévue pour le 4 décembre 2020 sur Netflix. Un nouveau nom qui s'ajoute à la liste déjà longue des cinéastes qui se réfugient chez la plateforme pour signer leurs films les plus personnels.
Depuis les premières images inédites dévoilées il y a quelques mois, le film ne cesse de se faire désirer par les cinéphiles. Entre les éloges d'Aaron Sorkin, scénariste oscarisé pour The Social Network, sa bande-annonce hypnotique, ou encore plus récemment, les détails donnés par le cinéaste lui-même sur le sound design, promettant un film réalisé comme dans les années 1940 du vieil Hollywood. Vous l'aurez compris, le nouveau Fincher fait saliver les cinéphiles qui trépignent d'impatience. Et ce n'est pas près de s'arrêter, puisque les premières critiques viennent de tomber sur la twitosphère. Revue de presse.
"Mank de David Fincher est phénoménal. Absolument tout, que ce soit le brillant designe sonore ou les immenses performances d'acteurs, en font l'un des meilleurs films de 2020. Les cinéphiles vont tombés en AMOUR avec ce film." Steven Weintraub - Collider
"Mes impressions sur Mank : j'ai trouvé ça magnifique et inspirant. Ça parle de prendre la décision de se détourner de tout ce que vous savez, de tout ce qui vous soutient, lorsque vous réalisez à quel point c'est mal. C'est une chose de tout brûler. Encore plus difficile lorsque vous vous tenez au centre." Anthony Breznican - Vanity Fair
"Maintenant que l'embargo de Mank est terminé... vous saviez déjà que c'était fait pour moi les gars. Et vous aussi, si vous êtes un passionné hardcore de l'histoire du cinéma, qui prend vie grâce à un réalisateur et un écrivain qui ont tous deux clairement adorés s'y plonger. Pas un film sentimental sur Hollywood, mais, à sa manière, un film joyeux." Mark Harris - Vulture
"Mank est un film labyrinthique particulier, une approche passionnante et imprévisible pour déconstruire l'histoire d'Hollywood dans sa propre langue. Non, vous n'obtiendrez pas une backstory définitive de Citizen Kane (et Orson Welles en sort relativement indemme) ; vous aurez une fenêtre remarquable sur ce que ça signifie." Eric Kohn - IndieWire
"Sur le papier, Mank de David Fincher est un film que je 'devrais' aimer, mais que j'admire simplement. Incroyablement artisanal, bien tourné, joué. Mais l'histoire m'a laissé froid. J'en sais désormais plus sur les sentiments de Mank envers la course au poste de gouverneur de Californie en 1934, que sur ceux envers Orson Welles." Mike Ryan - The Huffington Post
"Un premier regard sur Mank confirme que Gary Oldman et David Fincher seront au coeur des nominations pour les Oscars, mais la surprise est Amanda Seyfried qui pourrait tout simplement écraser la concurrence à l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle. Pour l'oscar du meilleur film ? Une nomination assurée." Gregory Ellwood - The Playlist
"Mank est admirable à bien des égards techniquement. Production, photographie, son et musique sont ses éléments les plus forts et ses meilleurs atouts pour les prochains Oscars. C'est le guide d'histoire du cinéma pour cinéphiles, susceptibles d'aliéner certains publics. Arliss Howard et Tom Pelphrey se démarquent." Clayton Davis - Variety
Vous l'aurez compris, Mank fait globalement l'unanimité auprès des premières critiques américaines, vu par la plupart comme un véritable poids lourd pour les Oscars, autant dans les catégories techniques que pour son acteur Gary Oldman, son actrice Amanda Seyfried, et son cinéaste David Fincher. Mais certains pointent également le long-métrage comme un long cours d'histoire du cinéma un peu trop taillé pour les statuettes.
Mank est-il une oeuvre qui déconstruit le vieil Hollywood, ou qui l'admire en le sublimant avec un savoir-faire artisanal irréprochable ? Réponse le 4 décembre 2020 sur Netflix. En attendant, le second long-métrage du scénariste Aaron Sorkin, Les Sept de Chicago, clairement sous l'influence du cinéaste, est actuellement sur la plateforme au N rouge, avec notre critique disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... Zak4sEUodo
Les premières critiques sont enfin tombées pour Mank, le film Netflix très attendu de David Fincher. Et apparemment, elles sont dithyrambiques.
À l'heure où toutes les salles de cinémas referment dans le monde entier, y compris en France avec le reconfinement, les cinéphiles pourront au moins se délécter du long-métrage le plus attendu de cette fin d'année. On veut parler bien sûr de Mank, le nouveau film de David Fincher, six ans après Gone Girl, dont la sortie est prévue pour le 4 décembre 2020 sur Netflix. Un nouveau nom qui s'ajoute à la liste déjà longue des cinéastes qui se réfugient chez la plateforme pour signer leurs films les plus personnels.
Depuis les premières images inédites dévoilées il y a quelques mois, le film ne cesse de se faire désirer par les cinéphiles. Entre les éloges d'Aaron Sorkin, scénariste oscarisé pour The Social Network, sa bande-annonce hypnotique, ou encore plus récemment, les détails donnés par le cinéaste lui-même sur le sound design, promettant un film réalisé comme dans les années 1940 du vieil Hollywood. Vous l'aurez compris, le nouveau Fincher fait saliver les cinéphiles qui trépignent d'impatience. Et ce n'est pas près de s'arrêter, puisque les premières critiques viennent de tomber sur la twitosphère. Revue de presse.
"Mank de David Fincher est phénoménal. Absolument tout, que ce soit le brillant designe sonore ou les immenses performances d'acteurs, en font l'un des meilleurs films de 2020. Les cinéphiles vont tombés en AMOUR avec ce film." Steven Weintraub - Collider
"Mes impressions sur Mank : j'ai trouvé ça magnifique et inspirant. Ça parle de prendre la décision de se détourner de tout ce que vous savez, de tout ce qui vous soutient, lorsque vous réalisez à quel point c'est mal. C'est une chose de tout brûler. Encore plus difficile lorsque vous vous tenez au centre." Anthony Breznican - Vanity Fair
"Maintenant que l'embargo de Mank est terminé... vous saviez déjà que c'était fait pour moi les gars. Et vous aussi, si vous êtes un passionné hardcore de l'histoire du cinéma, qui prend vie grâce à un réalisateur et un écrivain qui ont tous deux clairement adorés s'y plonger. Pas un film sentimental sur Hollywood, mais, à sa manière, un film joyeux." Mark Harris - Vulture
"Mank est un film labyrinthique particulier, une approche passionnante et imprévisible pour déconstruire l'histoire d'Hollywood dans sa propre langue. Non, vous n'obtiendrez pas une backstory définitive de Citizen Kane (et Orson Welles en sort relativement indemme) ; vous aurez une fenêtre remarquable sur ce que ça signifie." Eric Kohn - IndieWire
"Sur le papier, Mank de David Fincher est un film que je 'devrais' aimer, mais que j'admire simplement. Incroyablement artisanal, bien tourné, joué. Mais l'histoire m'a laissé froid. J'en sais désormais plus sur les sentiments de Mank envers la course au poste de gouverneur de Californie en 1934, que sur ceux envers Orson Welles." Mike Ryan - The Huffington Post
"Un premier regard sur Mank confirme que Gary Oldman et David Fincher seront au coeur des nominations pour les Oscars, mais la surprise est Amanda Seyfried qui pourrait tout simplement écraser la concurrence à l'Oscar de la meilleure actrice dans un second rôle. Pour l'oscar du meilleur film ? Une nomination assurée." Gregory Ellwood - The Playlist
"Mank est admirable à bien des égards techniquement. Production, photographie, son et musique sont ses éléments les plus forts et ses meilleurs atouts pour les prochains Oscars. C'est le guide d'histoire du cinéma pour cinéphiles, susceptibles d'aliéner certains publics. Arliss Howard et Tom Pelphrey se démarquent." Clayton Davis - Variety
Vous l'aurez compris, Mank fait globalement l'unanimité auprès des premières critiques américaines, vu par la plupart comme un véritable poids lourd pour les Oscars, autant dans les catégories techniques que pour son acteur Gary Oldman, son actrice Amanda Seyfried, et son cinéaste David Fincher. Mais certains pointent également le long-métrage comme un long cours d'histoire du cinéma un peu trop taillé pour les statuettes.
Mank est-il une oeuvre qui déconstruit le vieil Hollywood, ou qui l'admire en le sublimant avec un savoir-faire artisanal irréprochable ? Réponse le 4 décembre 2020 sur Netflix. En attendant, le second long-métrage du scénariste Aaron Sorkin, Les Sept de Chicago, clairement sous l'influence du cinéaste, est actuellement sur la plateforme au N rouge, avec notre critique disponible par ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... Zak4sEUodo
EL n'a pas aimé Bronx de Olivier Marchal (1,5 étoiles) :
Il y a les gros trafiquants. Il y a les petites mains du crimes, gouailleuses et toujours le doigt sur la détente. Et il y a les flics. Les filles. L'alcool. Le soleil. C'est Marseille, c'est le Bronx et c'est le nouveau film d'Olivier Marchal, disponible sur Netflix.
C’EST UNE PÉTOIRE QU’IL NOUS FAUT
Dès son premier long-métrage, Gangsters, Olivier Marchal a imposé un style instantanément reconnaissable, une patte présente dans toutes ses créations. Dès ce huis-clos resserré jusque dans ses propositions les plus ambitieuses (36 quai des Orfèvres), les plus énervées (Braquo) ou franchement foirées (MR 73), le réalisateur tisse la toile tangible d’un univers aussi personnel que référencé, peuplé de flics intérieur cuir, de gros balèzes à qui on ne la fait pas, de commissariats qui sentent la clope froide et de pourris qu’on dessoude. Un univers bourrin, régressif, attachant jusque dans ses outrances.
C’est donc avec curiosité qu’on découvre sa nouvelle création, Bronx, produite par Gaumont, initialement programmée pour une sortie estivale, que la crise sanitaire actuelle a poussé dans le jeune port de Netflix. Et pour le coup, on serait tenté de croire que le studio français a dû soupirer de soulagement en réalisant cette transaction, tant le dernier film d’Olivier Marchal paraît incompatible avec le grand écran.
Tout ce qui constituait jusqu’à aujourd’hui la marque de son réalisateur s’y retrouve simultanément caricaturé et rabougri. Toutes ses figures de policier borderline ou de truands matamores sont dévitalisées, à peine caractérisées, tant la caméra et le scénario semblent en roue libre totale.
On ne comprend jamais qui fait quoi, comment ou pourquoi, tandis que la mise en scène peine à capturer à coups de champ-contrechamp flingués des dialogues oscillant entre le néant et les vers de mirliton. Restent alors les trognes, celles d'Alain Figlarz, de Francis Renaud, ou encore Patrick Catalifo, parfois sympathiques, quand elles ne sont pas encombrées de seconds couteaux souffreteux.
MDR 73
Devenu caricatural et insignifiant, le style Marchal devient totalement inopérant, du fait de l’indigence technique et d’une absence de générosité embarrassante. En l’état, on a bien du mal à comprendre comment celui qui goûtait un cinéma sous-influence américaine, trempé dans l’acier et parfumé à la cordite, peut aboutir à un étalonnage à ce point infect. L’image, baveuse, oscille entre teintes verdâtres et orangées, retirant tout semblant d’authenticité à cette vendetta marseillaise.
En témoigne une scène de fusillade nocturne à l’indigence stupéfiante, qui laisse à penser que celui qui se rêvait en Michael Mann hexagonal aurait désormais du mal à emballer un épisode de vidéo-gag. Signe de la désagrégation de ce cinéma populaire et souvent excitant : la quasi-disparition de l’action. Ça parle, ça bavasse et ça panouille, mais en dépit de multiples occasions, jamais la fièvre ne s’empare de l’image. Et le spectateur d’oublier instantanément ce qu’il voit, plutôt que d’en tenir rigueur à un réalisateur qu’on espère retrouver un jour au mieux de sa forme.
Bronx est disponible sur Netflix depuis le 30 octobre 2020 en France
Comme une cuite au pastis, Bronx fait mal par où il passe, mais a la décence de ne pas laisser le moindre souvenir à sa victime.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... XJ1iby4DhA
Il y a les gros trafiquants. Il y a les petites mains du crimes, gouailleuses et toujours le doigt sur la détente. Et il y a les flics. Les filles. L'alcool. Le soleil. C'est Marseille, c'est le Bronx et c'est le nouveau film d'Olivier Marchal, disponible sur Netflix.
C’EST UNE PÉTOIRE QU’IL NOUS FAUT
Dès son premier long-métrage, Gangsters, Olivier Marchal a imposé un style instantanément reconnaissable, une patte présente dans toutes ses créations. Dès ce huis-clos resserré jusque dans ses propositions les plus ambitieuses (36 quai des Orfèvres), les plus énervées (Braquo) ou franchement foirées (MR 73), le réalisateur tisse la toile tangible d’un univers aussi personnel que référencé, peuplé de flics intérieur cuir, de gros balèzes à qui on ne la fait pas, de commissariats qui sentent la clope froide et de pourris qu’on dessoude. Un univers bourrin, régressif, attachant jusque dans ses outrances.
C’est donc avec curiosité qu’on découvre sa nouvelle création, Bronx, produite par Gaumont, initialement programmée pour une sortie estivale, que la crise sanitaire actuelle a poussé dans le jeune port de Netflix. Et pour le coup, on serait tenté de croire que le studio français a dû soupirer de soulagement en réalisant cette transaction, tant le dernier film d’Olivier Marchal paraît incompatible avec le grand écran.
Tout ce qui constituait jusqu’à aujourd’hui la marque de son réalisateur s’y retrouve simultanément caricaturé et rabougri. Toutes ses figures de policier borderline ou de truands matamores sont dévitalisées, à peine caractérisées, tant la caméra et le scénario semblent en roue libre totale.
On ne comprend jamais qui fait quoi, comment ou pourquoi, tandis que la mise en scène peine à capturer à coups de champ-contrechamp flingués des dialogues oscillant entre le néant et les vers de mirliton. Restent alors les trognes, celles d'Alain Figlarz, de Francis Renaud, ou encore Patrick Catalifo, parfois sympathiques, quand elles ne sont pas encombrées de seconds couteaux souffreteux.
MDR 73
Devenu caricatural et insignifiant, le style Marchal devient totalement inopérant, du fait de l’indigence technique et d’une absence de générosité embarrassante. En l’état, on a bien du mal à comprendre comment celui qui goûtait un cinéma sous-influence américaine, trempé dans l’acier et parfumé à la cordite, peut aboutir à un étalonnage à ce point infect. L’image, baveuse, oscille entre teintes verdâtres et orangées, retirant tout semblant d’authenticité à cette vendetta marseillaise.
En témoigne une scène de fusillade nocturne à l’indigence stupéfiante, qui laisse à penser que celui qui se rêvait en Michael Mann hexagonal aurait désormais du mal à emballer un épisode de vidéo-gag. Signe de la désagrégation de ce cinéma populaire et souvent excitant : la quasi-disparition de l’action. Ça parle, ça bavasse et ça panouille, mais en dépit de multiples occasions, jamais la fièvre ne s’empare de l’image. Et le spectateur d’oublier instantanément ce qu’il voit, plutôt que d’en tenir rigueur à un réalisateur qu’on espère retrouver un jour au mieux de sa forme.
Bronx est disponible sur Netflix depuis le 30 octobre 2020 en France
Comme une cuite au pastis, Bronx fait mal par où il passe, mais a la décence de ne pas laisser le moindre souvenir à sa victime.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... XJ1iby4DhA
Insidious 5 officiellement lancé, avec une surprise
C'est maintenant officiel : Insidious 5 arrive et pour l'occasion, un tout nouveau réalisateur dont le visage est bien connu des fans va passer derrière la caméra.
Avant de permettre au Conjuring Universe de voir le jour avec le premier Conjuring : Les Dossiers Warren en 2013, James Wan avait lancé une autre franchise horrifique en 2011 avec Insidious qui a par la suite connu trois suites, dont la plus récente Insidious 4 : La Dernière Clé a été réalisée par Adam Robitel.
La saga est peut-être en train de s'essouffler, mais le public répond encore présent comme l'a prouvé le quatrième chapitre qui est parvenu à ramasser plus de 167 millions de dollars de recettes au box-office mondial, pour un budget de seulement 10 millions (hors frais marketing). Et même si l'histoire semble conclue depuis un moment, Blumhouse n'allait certainement pas s'asseoir sur un nouveau succès financier. Depuis 2019, les rumeurs sur un cinquième film n'attendaient donc qu'une confirmation de la part du studio, qui a tout récemment officialisé la nouvelle sur Twitter.
Comme le précise le tweet, Josh (Patrick Wilson) et Dalton Lanbert (Ty Simpkins) seront de retour au casting, tandis que Wilson fera ses débuts en tant que réalisateur sur ce cinquième volet. Avant son passage derrière la caméra, l'acteur a joué dans le dernier film de Robitel, mais aussi les deux premiers Insidious de James Wan, qu'il a par la suite retrouvé dans Conjuring en incarnant le démonologue Ed Warren.
Par rapport à ses nouvelles responsabilités, le cinéaste a déclaré dans un communiqué :
"Je suis honoré et ravi d'être à la tête du prochain chapitre d'Insidious, qui offrira une chance extraordinaire de dévoiler tout ce que les Lambert ont vécu il y a dix ans et de faire face aux conséquences de leurs choix. La réalisation du film est pour moi un moment à part entière, tant sur le plan professionnel que personnel, et je suis extrêmement reconnaissant qu'on me confie la tâche de continuer à raconter cette histoire effrayante et obsédante. On va aller plus loin."
Insidious 5, écrit par Scott Teems, se déroulera 10 ans après les événements du dernier volet, alors que Dalton entrera à l'université. On ne sait pas encore de quoi parlera exactement cette suite attendue pour 2022, mais en 2019, Lin Shaye, une des figures de proue de la saga avait promis qu'elle redistribuerait les cartes et ferait en sorte de ne plus s'enliser dans une formule dont on a déjà fait le tour. Une démarche apparemment similaire au prochain Conjuring 3 : sous l'emprise du diable dans lequel Wilson est à nouveau attendu, cette fois pour enquêter sur une possession démoniaque portée devant la justice.
En attendant plus de nouvelles, notre dossier complet sur Blumhouse est juste ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rSWp-_NuyU
C'est maintenant officiel : Insidious 5 arrive et pour l'occasion, un tout nouveau réalisateur dont le visage est bien connu des fans va passer derrière la caméra.
Avant de permettre au Conjuring Universe de voir le jour avec le premier Conjuring : Les Dossiers Warren en 2013, James Wan avait lancé une autre franchise horrifique en 2011 avec Insidious qui a par la suite connu trois suites, dont la plus récente Insidious 4 : La Dernière Clé a été réalisée par Adam Robitel.
La saga est peut-être en train de s'essouffler, mais le public répond encore présent comme l'a prouvé le quatrième chapitre qui est parvenu à ramasser plus de 167 millions de dollars de recettes au box-office mondial, pour un budget de seulement 10 millions (hors frais marketing). Et même si l'histoire semble conclue depuis un moment, Blumhouse n'allait certainement pas s'asseoir sur un nouveau succès financier. Depuis 2019, les rumeurs sur un cinquième film n'attendaient donc qu'une confirmation de la part du studio, qui a tout récemment officialisé la nouvelle sur Twitter.
Comme le précise le tweet, Josh (Patrick Wilson) et Dalton Lanbert (Ty Simpkins) seront de retour au casting, tandis que Wilson fera ses débuts en tant que réalisateur sur ce cinquième volet. Avant son passage derrière la caméra, l'acteur a joué dans le dernier film de Robitel, mais aussi les deux premiers Insidious de James Wan, qu'il a par la suite retrouvé dans Conjuring en incarnant le démonologue Ed Warren.
Par rapport à ses nouvelles responsabilités, le cinéaste a déclaré dans un communiqué :
"Je suis honoré et ravi d'être à la tête du prochain chapitre d'Insidious, qui offrira une chance extraordinaire de dévoiler tout ce que les Lambert ont vécu il y a dix ans et de faire face aux conséquences de leurs choix. La réalisation du film est pour moi un moment à part entière, tant sur le plan professionnel que personnel, et je suis extrêmement reconnaissant qu'on me confie la tâche de continuer à raconter cette histoire effrayante et obsédante. On va aller plus loin."
Insidious 5, écrit par Scott Teems, se déroulera 10 ans après les événements du dernier volet, alors que Dalton entrera à l'université. On ne sait pas encore de quoi parlera exactement cette suite attendue pour 2022, mais en 2019, Lin Shaye, une des figures de proue de la saga avait promis qu'elle redistribuerait les cartes et ferait en sorte de ne plus s'enliser dans une formule dont on a déjà fait le tour. Une démarche apparemment similaire au prochain Conjuring 3 : sous l'emprise du diable dans lequel Wilson est à nouveau attendu, cette fois pour enquêter sur une possession démoniaque portée devant la justice.
En attendant plus de nouvelles, notre dossier complet sur Blumhouse est juste ici.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... rSWp-_NuyU
EL a aimé Le Jeu de la dame (3,5 étoiles) :
Aussi belle que perspicace, Le Jeu de la dame est une mini-série captivante, réalisée avec un soin méticuleux, dans laquelle Anya Taylor-Joy est magnétique et porte un scénario prenant malgré ses quelques défauts.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... IglA6L6QGw
Aussi belle que perspicace, Le Jeu de la dame est une mini-série captivante, réalisée avec un soin méticuleux, dans laquelle Anya Taylor-Joy est magnétique et porte un scénario prenant malgré ses quelques défauts.
https://www.ecranlarge.com/saisons/crit ... IglA6L6QGw
La bande originale de Kaamelott - Premier Volet se dévoile
Si le film ne sortira pas tout de suite, sa musique sera en vente dès le 27 novembre.
Kaamelott - Premier Volet devait sortir dans un mois dans les salles obscures. Et puis la crise sanitaire est repartie de plus belle et le Roi Arthur a dû reporter son retour. Le film n'a pas encore de nouvelle date, mais en attendant, les fans peuvent au moins se consoler avec la bande originale du film. Elle, sera bien disponible à compter du 27 novembre chez Deutsche Grammophon. De la grande musique, composée et orchestrée par Alexandre Astier en personne, lui qui est passé par le conservatoire et à l’American School of Modern Music de Paris. L'acteur a dévoilé un premier morceau, intitulé Désenchevêtrement, avec l'Orchestre national de Lyon, dirigé par Frank Strobel et au chœur de chambre Spirito. On apprend qu'un coffret collector, vinyle et CD sera aussi disponible.
Par ailleurs, deux livres réunissant l'intégralité des scripts des "Livres V et VI" de Kaamelott sont disponibles depuis hier, jeudi 29 octobre. De quoi se remettre dans l'univers des dernières saisons de la série culte et de se rafraîchir un peu la mémoire, en attendant le film Kaamelott - Premier Volet, qu'on ne verra certainement pas avant 2021 maintenant...
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 709y1f-iB8
Si le film ne sortira pas tout de suite, sa musique sera en vente dès le 27 novembre.
Kaamelott - Premier Volet devait sortir dans un mois dans les salles obscures. Et puis la crise sanitaire est repartie de plus belle et le Roi Arthur a dû reporter son retour. Le film n'a pas encore de nouvelle date, mais en attendant, les fans peuvent au moins se consoler avec la bande originale du film. Elle, sera bien disponible à compter du 27 novembre chez Deutsche Grammophon. De la grande musique, composée et orchestrée par Alexandre Astier en personne, lui qui est passé par le conservatoire et à l’American School of Modern Music de Paris. L'acteur a dévoilé un premier morceau, intitulé Désenchevêtrement, avec l'Orchestre national de Lyon, dirigé par Frank Strobel et au chœur de chambre Spirito. On apprend qu'un coffret collector, vinyle et CD sera aussi disponible.
Par ailleurs, deux livres réunissant l'intégralité des scripts des "Livres V et VI" de Kaamelott sont disponibles depuis hier, jeudi 29 octobre. De quoi se remettre dans l'univers des dernières saisons de la série culte et de se rafraîchir un peu la mémoire, en attendant le film Kaamelott - Premier Volet, qu'on ne verra certainement pas avant 2021 maintenant...
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 709y1f-iB8
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Il faudrait un miracle pour que Kaamelott sorte pour Noël Si ils ne repoussent pas la sortie de la musique en plein confinement c'est peut être que cela devient tendu de laisser sans retour sur investissement un projet dans son carton... Faut pas espérer une suite au film Kaamelott avant très longtemps dans ces conditions
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
On a eu Disney + gratuit pendant 1 an avec Canal +, pas toi?Next a écrit : ↑ven. 30 oct. 2020 14:04Moi qui ai à peu près tous les abonnements qui existent (Netflix, Amazon, OCS, Canal, etc...), j'ai résisté depuis le début à Disney+, ne serait-ce que parce que je les déteste et que très peu de leur contenu m'intéresse.
Mais évidemment je viens de craquer à cause de Mandalorian. Par simple flemme d'aller chercher des canaux moins légaux pour suivre la saison comme la première.
Je me déteste de donner de l'argent à Disney !
Pouet
Certes pas un chef d’œuvre mais un bon divertissement à l'ancienne. Pour le coup, dommage que ce soit aussi court. C'est un peu cheap mais ça participe au charme de l'ensemble. Les gosses sont excellents et la plupart des répliques sont très bonnes. Un très bon moment pour ma part
- NaughtyDog
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une petite déception que cette nouvelle adaptation des Sorcières (surtout après celle de Roeg).
Déception également marquée par le fait que je suis un grand fan de Zemeckis (un grand réal boudé ces derniers temps malgré qu'il continue à faire des films diablement intéressants).
Produit par Cuaron, Del Toro et Zemeckis lui-même (excusez du peu),on retrouve le cinéaste ici vers un divertissement familial qui renvoie énormément à la période où il expérimentait avec la performance capture (le Pole Express, Beowulf et A Christmas Carol), sans toutefois atteindre ici le même degré de sophistication novatrice, ou la mêmeliberté deton.
Le film commence de bien belle manière (c'est dans les 30 premières minutes qu'on voit que Zemeckis est avant tout un super conteur d'histoires). L'horreur (sans être graphique) s'insinue à merveille dans un conte pour enfants en apparence,notamment via une très bonne caractérisation des sorcières (représentées comme de viles créatures malfaisantes aux attributs aviaires assez dérangeants lol).
Puis patatra, dès que les héros (très peu caractérisés en plus, donc sans aucun affect vis à vis du spectateur) se transforment en souris, le tout suit un chemin beaucoup plus balisé.
Le film bénéficie quand même d'un bon rythme, d'un soin carré à la réalisation (Zemeckis tente même des plans très immersifs, mêlant FX et prises de vues réelles comme dans un volume de perf capture) et de scènes bien senties.
Mais in fine, reste une adaptation tout au mieux sympatoche, sans grand éclat.
Sentiment assez mitigé donc, même si Hathaway s'éclate comme une folle avec un accent d'Europe de l'Est, et Octavia Spencer est toujours aussi sympathique
2.5/5
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
à tous
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Vosg'patt de cœur
Lyricis Interactive
Une affiche et un teaser pour le film d'horreur, Willy's Wonderland réalisé par Kevin Lewis avec en vedette Nicolas Cage, Emily Tosta, Beth Grant, Ric Reitz, and Chris Warner.
Un gardien d'un parc d'attractions se retrouve bloqué durant toute une nuit. Les monstres du parc prennent vie et sont à sa poursuite. Le gardien doit les vaincre pour survivre jusqu’au matin et être enfin libéré.
Une affiche et un teaser pour le film d'horreur, Willy's Wonderland réalisé par Kevin Lewis avec en vedette Nicolas Cage, Emily Tosta, Beth Grant, Ric Reitz, and Chris Warner.
Un gardien d'un parc d'attractions se retrouve bloqué durant toute une nuit. Les monstres du parc prennent vie et sont à sa poursuite. Le gardien doit les vaincre pour survivre jusqu’au matin et être enfin libéré.
une musique crispantePale a écrit : ↑sam. 31 oct. 2020 08:43On est censé entendre quoi ?Kit a écrit : ↑sam. 31 oct. 2020 00:58Bing (n'oubliez pas le son)
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- ClintReborn
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Pour une fois un film avec Cage qui parait crédible même sur l'affiche c'est rare :Pale a écrit : ↑sam. 31 oct. 2020 08:46Lyricis Interactive
Une affiche et un teaser pour le film d'horreur, Willy's Wonderland réalisé par Kevin Lewis avec en vedette Nicolas Cage, Emily Tosta, Beth Grant, Ric Reitz, and Chris Warner.
Un gardien d'un parc d'attractions se retrouve bloqué durant toute une nuit. Les monstres du parc prennent vie et sont à sa poursuite. Le gardien doit les vaincre pour survivre jusqu’au matin et être enfin libéré.
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Vu hier soir et je partage pas ton enthousiasme. J'me suis fait un peu chier... 4/10Pale a écrit : ↑ven. 30 oct. 2020 21:01
Certes pas un chef d’œuvre mais un bon divertissement à l'ancienne. Pour le coup, dommage que ce soit aussi court. C'est un peu cheap mais ça participe au charme de l'ensemble. Les gosses sont excellents et la plupart des répliques sont très bonnes. Un très bon moment pour ma part
Bon j'ai maté Halloween (1978) , ce soir ce sera le 2018
Et demain probablement le Director's Cut de Donnie Darko.
On pensait avoir fait le tour avec le thème de la maison hantée mais His House apporte vraiment du sang neuf en la matière. En à peine 1h30, le film m'a fait passer par tous les états L'ambiance est tout bonnement terrifiante et la mise en scène est juste impressionnante.
Il a des bons retours ce film.Pale a écrit : ↑sam. 31 oct. 2020 11:21
On pensait avoir fait le tour avec le thème de la maison hantée mais His House apporte vraiment du sang neuf en la matière. En à peine 1h30, le film m'a fait passer par tous les états L'ambiance est tout bonnement terrifiante et la mise en scène est juste impressionnante.