Barbie (2023), Greta Gerwig

[BoBleMexicain]

tapez Barbie sur google , mais prévoyez le seau pour vomir pas trop loin ...

[Kahled]

Le film est produit en très grande majorité par des hommes et surtout par Mattel (qui, bien sûr, dans l’esprit et dans son fonctionnement, n’a rien, mais absolument rien d’une association bénévole qui lutte pour le droit des femmes, ça se saurait…). Pur produit capitaliste dont le seul but est de vendre davantage encore leurs produits de merdes. Pas même besoin de le voir pour s’en rendre compte…

Mais féminisme et capital marchent main dans la main et ça ne date pas d’aujourd’hui (il faut voir comment l’industrie du tabac au XXe siècle a poussé les femmes à fumer et donc à détériorer leur santé en leur faisant miroiter une pseudo liberté…).

[Kahled]

tapez Barbie sur google , mais prévoyez le seau pour vomir pas trop loin ...

Oui, ça fait depuis quelques jours déjà qu’ils ont fait cette déco de circonstance…

Sinon, c’est marrant de se dire qu’actuellement, le Miyazaki cartonne au Japon et sans AUCUNE promo préalable.

Et leur choix a été pris justement en réaction à ce que la bande à Barbie a fait (promo qu’ils ont trouvée nulle, ils l’ont avoué à demi-mot).

C’est pas le même level ni la même classe…

[Next]

Donc accepter de ne pas/plus être un stéréotype du patriarcat revient nécessairement à "devenir une femme" ?

Je ne corresponds pas à la plupart des traits masculins considérés comme toxiques et pourtant, j'ai trouvé le propos du film limite à plusieurs reprises.

Je ne pense ne pas être le seul à en avoir marre d'être sempiternellement montré du doigt comme l'ennemi à abattre et responsable de tous les maux de la Terre par ma seule existence, surtout par des bourgeoises occidentales jouissant exactement des mêmes avantages que moi (si ce n'est même plus).

Barbie s'inscrit dans l'air du temps en essentialisant les mecs hétéros comme irrémédiablement mauvais et nocifs pour la gent féminine (parfaite de nature et incapable de faire preuve de la moindre toxicité, c'est bien connu) là où Allan, le seul modèle masculin positif du film, est évidemment montré comme crypto-gay. Au lieu de porter un message égalitaire et réconciliateur, encourageant les femmes comme les hommes à mieux s'écouter pour se comprendre, le film préfère céder aux sirènes de la misandrie, parce que le respect et le droit à l'individualité ne vont que dans un sens apparemment.

A titre perso, et en ayant connaissance de ce que peuvent subir au quotidien les femmes de mon entourage pour en discuter pas mal avec elles, j'aurais peine à plussoyer ta phrase sur les "bourgeoises occidentales".
Et je n'ai pas non plus l'impression d'avoir vu un film à l'ambition castratrice.

Les Ken ici ne sont pas mauvais en soi, mais plutôt naïfs (par méconnaissance au moins) et pris dans la découverte d'un mode sociétal qui historiquement fait tout pour les mettre en exergue là où ils ont toujours été considérés comme secondaires. Après cela fonctionne dans l'exagération parce qu'ils sont dans un univers extrême mais c'est tout.

Parce que ce que le film critique réellement pour moi, ce ne sont pas les hommes d'aujourd'hui, mais plutôt le système patriarcal dans lequel ils vivent et qui peine à se révolutionner. Même si évidemment on peut reprocher à une partie d'entre eux de s'y complaire. Et je pense que la distinction est importante sur le fond.

D'ailleurs dans le final, les Ken prennent conscience qu'ils ne sont pas définis par ce modèle préétabli (ni par celui du Barbie Land initial) et n'ont pas besoin de s'y conformer pour s'épanouir. Preuve qu'ils ne sont pas jugés mauvais par essence.

A l'inverse, je ne trouve pas que Allan soit dépeint si positivement que ça non plus. Il est sympathique et ne tombe pas dans le panneau de la misogynie, ce qui est très louable. Mais sa solution privilégiée est la fuite, ce qui ne résout pas grand chose.

Sans compter que le modèle de Barbie Land en début de film, conçu à 100% pour mettre en avant Barbie et donc la femme, n'est pas non plus dépeint comme très enviable.

[Next]

tapez Barbie sur google , mais prévoyez le seau pour vomir pas trop loin ...

Ca marche aussi avec "grogu", "askew", "christmas", "Forrest Gump" et plein d'autres choses.

[robinne]

tapez Barbie sur google , mais prévoyez le seau pour vomir pas trop loin ...

Klaus Barbie ?

[BOX OFFICE STORY]

tapez Barbie sur google , mais prévoyez le seau pour vomir pas trop loin ...

Klaus Barbie ?

En fait la page Google devenait toute rose avec des feux d'artifices rose, etc...C'est du marketing mondial en quelque sorte.

[Prisoner]

tapez Barbie sur google , mais prévoyez le seau pour vomir pas trop loin ...

Klaus Barbie ?

Santa Klaus?

[NaughtyDog]

Sympatoche mais avec de gros freins tout de même. Ce Barbie se veut en fait plutot réjouissant lorsqu'il se déroule dans ce Barbieland (excellente production design en passant), sorte de fausse utopie matriarcale embrassant tout l'archétype de la Barbie parfaite qui va être dynamité.
Mais le souci c'est que dès qu'on passe dans "le réel" le réquisitoire voulu se veut écrit grossièrement et finalement avec beaucoup moins d'idées en plus de délayer son récit.
L'humour est parfois bon, parfois à côté, et on a même des résolutions fastoches au profit d'un prospectus moral stabylosé.
Pourtant le fond du film tape juste en voulant abolir tous les clichés genrés et toxiques pour une meilleure cohabitation finale, mais il aurait fallu un film un peu mieux équilibré en terme d'aventure "fish out of the water" (voire meme ancrer le monde reel dans les 80's peut-être car même si on vit toujours dans un monde patriarcal, les frontières ont quand même pas mal bougé pour plus d'équité).

Malgré ces problemes (je pourrai parler du cynisme de Mattel ou des references filmiques parfois placées gratos), Greta Gerwig trouve le bon axe pour adapter Barbie, offre parfois de belles idées (et 2 scènes de danse bien shootées) associées à la photo de Rodrigo Prieto. Mais surtout Robbie montre encore un jeu plein de justesse, supporté par un Gosling semblant tout droit sorti d'un bon sketch SNL.

Bref ça enfonce des portes ouvertes, y a un gros ventre mou, et des problemes d'ecriture, mais aussi un soin global apporté et une certaine identité.
Pas un visionnage desagreable donc

2.5 ou 3/5

[NaughtyDog]

Donc accepter de ne pas/plus être un stéréotype du patriarcat revient nécessairement à "devenir une femme" ?

Je ne corresponds pas à la plupart des traits masculins considérés comme toxiques et pourtant, j'ai trouvé le propos du film limite à plusieurs reprises.

Je ne pense ne pas être le seul à en avoir marre d'être sempiternellement montré du doigt comme l'ennemi à abattre et responsable de tous les maux de la Terre par ma seule existence, surtout par des bourgeoises occidentales jouissant exactement des mêmes avantages que moi (si ce n'est même plus).

Barbie s'inscrit dans l'air du temps en essentialisant les mecs hétéros comme irrémédiablement mauvais et nocifs pour la gent féminine (parfaite de nature et incapable de faire preuve de la moindre toxicité, c'est bien connu) là où Allan, le seul modèle masculin positif du film, est évidemment montré comme crypto-gay. Au lieu de porter un message égalitaire et réconciliateur, encourageant les femmes comme les hommes à mieux s'écouter pour se comprendre, le film préfère céder aux sirènes de la misandrie, parce que le respect et le droit à l'individualité ne vont que dans un sens apparemment.

A titre perso, et en ayant connaissance de ce que peuvent subir au quotidien les femmes de mon entourage pour en discuter pas mal avec elles, j'aurais peine à plussoyer ta phrase sur les "bourgeoises occidentales".
Et je n'ai pas non plus l'impression d'avoir vu un film à l'ambition castratrice.

Les Ken ici ne sont pas mauvais en soi, mais plutôt naïfs (par méconnaissance au moins) et pris dans la découverte d'un mode sociétal qui historiquement fait tout pour les mettre en exergue là où ils ont toujours été considérés comme secondaires. Après cela fonctionne dans l'exagération parce qu'ils sont dans un univers extrême mais c'est tout.

Parce que ce que le film critique réellement pour moi, ce ne sont pas les hommes d'aujourd'hui, mais plutôt le système patriarcal dans lequel ils vivent et qui peine à se révolutionner. Même si évidemment on peut reprocher à une partie d'entre eux de s'y complaire. Et je pense que la distinction est importante sur le fond.

D'ailleurs dans le final, les Ken prennent conscience qu'ils ne sont pas définis par ce modèle préétabli (ni par celui du Barbie Land initial) et n'ont pas besoin de s'y conformer pour s'épanouir. Preuve qu'ils ne sont pas jugés mauvais par essence.

A l'inverse, je ne trouve pas que Allan soit dépeint si positivement que ça non plus. Il est sympathique et ne tombe pas dans le panneau de la misogynie, ce qui est très louable. Mais sa solution privilégiée est la fuite, ce qui ne résout pas grand chose.

Sans compter que le modèle de Barbie Land en début de film, conçu à 100% pour mettre en avant Barbie et donc la femme, n'est pas non plus dépeint comme très enviable.

Le film a rien de misandre

Il critique avant tout la toxicité, les rapports de force et le caractère stereotypé des genres

À Barbieland y a litterement que 2 hommes : Ken (le mascu fragile au debut et le male toxique ensuite) et Allan
Tout comme au debut il y a juste la Barbie parfaite type Victoria Secret ou la soubrette de service

Y a bcp de trucs à redire niveau finesse d'écriture, mais pour moi ce film ne peut que trigger les mascu fragiles
Ai l'impression de voir les blancs indignés par Get Out lol

[PierrotDameron]

[Breaking the Bat]

DOMESTIC (47%)
$258,402,851
INTERNATIONAL (53%)
$291,400,000
WORLDWIDE
$549,802,851

[BoBleMexicain]

ON EST FOUTU
Saga en vue ...

[Kahled]

On le boycottera et puis c’est tout.
C’est pas non plus un drame.

[BoBleMexicain]

On le boycottera et puis c’est tout.
C’est pas non plus un drame.

yavait du 45eme degré dans mon propos ))
si je devais m offusquer de tout ce que sort et que je ne verrai jamais , j en sortirais pas ))
et ca fait deja quelques années que je ferme la porte a une grosse partie de films qui sortent
ma boulimie est bien plus sélective a present

[Breaking the Bat]

Plus rien ne l'arrête

$351,414,453
INTERNATIONAL (55%)
$429,300,000
WORLDWIDE
$780,714,453

[PierrotDameron]

Alors, très content que le film (vu samedi) fasse ces chiffres, j'ai passé un bon moment mais…

C'était quand même très moyen !
Je cherche encore le féminisme dans le discours, parce qu'à part la fin et la décision de Barbie Margot… y a rien ?
La critique du patriarcat est rigolote mais le film ne développe pas vraiment de discours là-dessus (la team Mattel ne sert a rien dans la dernière partie du film).
Le côté Toy Story/Grande Aventure Lego, idem, aurait pu être amener plus loin. Notamment avec le personnage de Ferrera et sa fille, et tout le lien avec l'imaginaire d'enfance, etc. Pour moi le film ne va pas au bout de leur arc.

Sinon je me suis bien amusé, Robbie et Gosling sont très sympa. Les moment musicaux sont cools, j'aurai aimé en voir plus : Barbie fuyant Mattel par exemple aurait pu faire un bon moment de comédie musical, à la place on a une scène de course-poursuite digne de la série Obi-Wan Kenobi.
Dernier point décevant : la réalisation de Gerwing, j'ai trouvé ça assez pauvre, façon comédie basique qui passerait un après-midi.

6/10

[Breaking the Bat]

$394,576,906
INTERNATIONAL (52.1%)
$429,300,000
WORLDWIDE
$823,876,906

Je pense que le film va taper le milliard après les chiffres de ce week-end !

[PierrotDameron]

[Prisoner]

Misère ...

Bon le principal c'est que Coppola soit content

[Breaking the Bat]

Hop là !

DOMESTIC (44.5%)
$459,381,000
INTERNATIONAL (55.5%)
$572,100,000
WORLDWIDE
$1,031,481,000

Je pense qu'on tient le plus gros succès de l'année, il devrait pouvoir aller chercher Mario sans trop de souci.

[PierrotDameron]

[PierrotDameron]

il devrait pouvoir aller chercher Mario sans trop de souci.

C'est combien le score de Mario ?

[Breaking the Bat]

il devrait pouvoir aller chercher Mario sans trop de souci.

C'est combien le score de Mario ?

$1,352,756,895

[Kahled]

Vivement que la hype autour de ce truc redescende.

[Tulio]

Vivement que la hype autour de ce truc redescende.

Dans moins d'un mois on n'en parlera déjà plus.

Même si je vois venir la nomination "ironique" de Robbie et Gosling aux Oscars, histoire d'entériner le cynisme du film.

[Breaking the Bat]

DOMESTIC (44.5%)
$526,309,000
INTERNATIONAL (55.5%)
$657,600,000
WORLDWIDE
$1,183,909,000

[PierrotDameron]

[Gekko]

J'étais curieux de voir la chose (même si craintif au fond de moi, c'est quand même la réalisatrice de Lady Bird), ça semblait décalé avec des moments type comédie musicale.
Au final c'est rarement drôle, les séquences musicales sont peu nombreuses (il y en a que deux).
Le message assené est d'une lourdeur incroyable... Ils y vont au marteau piqueur, les dialogues sont déclarés de manière peu naturel.
Le film en devient chiant et agaçant sur la longueur.
Sinon, visuellement Barbieland est une réussite. C'est le seul point positif avec les séquences musicales.

[Tulio]

Le message assené est d'une lourdeur incroyable... Ils y vont au marteau piqueur, les dialogues sont déclarés de manière peu naturel.
Le film en devient chiant et agaçant sur la longueur.
Sinon, visuellement Barbieland est une réussite. C'est le seul point positif avec les séquences musicales.

Oui.

[Zefurin]

J'étais curieux de voir la chose (même si craintif au fond de moi, c'est quand même la réalisatrice de Lady Bird), ça semblait décalé avec des moments type comédie musicale.
Au final c'est rarement drôle, les séquences musicales sont peu nombreuses (il y en a que deux).
Le message assené est d'une lourdeur incroyable... Ils y vont au marteau piqueur, les dialogues sont déclarés de manière peu naturel.
Le film en devient chiant et agaçant sur la longueur.
Sinon, visuellement Barbieland est une réussite. C'est le seul point positif avec les séquences musicales.

Toujours pas vu... et je m'en porte super bien !

[Gekko]

Du coup, je suis content du succès phénoménal pour la Warner et Ryan Gosling (qui n'a jamais eu vraiment de succès populaire à son actif, si je ne dis pas de conneries).
Je suis moins ravi pour la réalisatrice, qui va crouler sous les propositions de franchises cultes (qu'elle risque de massacrer), et encore moins pour Mattel, qui a trouvé le filon juteux pour adapter tous leurs jouets à la cons.

[Tulio]

Du coup, je suis content du succès phénoménal pour la Warner et Ryan Gosling (qui n'a jamais eu vraiment de succès populaire à son actif, si je ne dis pas de conneries).

Je trouve d'ailleurs ironique que, pour un film se voulant aussi ouvertement féministe, ce soit l'homme qui crève l'écran et le porte sur ses épaules.

Aquaman et Barbie qui sont devenus les plus gros succès de Warner, dépassant TDKR et le dernier Harry Potter. On a vraiment changé d'époque...

[ConFucKamus]

Je viens de rattraper le film

Esthétiquement c'est royal. Mais qu'est ce que c'est futile et finalement insipide.

Tout l'aspect discours sur le patriarcat est d'un ronflant...Et qu'est ce que W. Ferrell vient faire là, au delà du bon calcul après l'adaptation du film Lego ? Franchement, je ne vois pas.

Et pareil, à quoi sert Michael Cera ?

Y'a pas grand chose qui mène quelque part. Passons sur l'histoire avec la gamine et sa mère qui n'a aucun goût. Rien n'est construit quoi, merde !

Pour dire, je trouve que les seuls moments où le film se trouve c'est quand Ken part dans ses délires masculinistes ou lors de la bataille complètement ridicule (mais drôle).

Là, Barbie a un angle et opte pour le comique pur afin de faire passer l'idée.


Merci Ryan Gosling

[Tulio]

Et pareil, à quoi sert Michael Cera ?

À racheter la toxicité du personnage de Scott Pilgrim ? Je plaisante mais ça ne m'étonnerait même pas que ce soit le cas.

Pour dire, je trouve que les seuls moments où le film se trouve c'est quand Ken part dans ses délires masculinistes ou lors de la bataille complètement ridicule (mais drôle).

On est d'accord ! Le fait qu'il s'agisse des meilleurs moments du film montre bien qu'il y a quelque chose qui cloche dans l'orientation du scénario.

On passera aussi sur le fait que les scènes avec Will Ferrell sont souvent plus délirantes et surréalistes que toutes celles se déroulant à Barbieland.

[ConFucKamus]

Et pareil, à quoi sert Michael Cera ?

À racheter la toxicité du personnage de Scott Pilgrim ? Je plaisante mais ça ne m'étonnerait même pas que ce soit le cas.

Pour dire, je trouve que les seuls moments où le film se trouve c'est quand Ken part dans ses délires masculinistes ou lors de la bataille complètement ridicule (mais drôle).

On est d'accord ! Le fait qu'il s'agisse des meilleurs moments du film montre bien qu'il y a quelque chose qui cloche dans l'orientation du scénario.

On passera aussi sur le fait que les scènes avec Will Ferrell sont souvent plus délirantes et surréalistes que toutes celles se déroulant à Barbieland.

Le film est totalement déséquilibré entre le côté très 1er degré de l'odyssée Barbiesque chez les humains et la caricature très parlante (et drôle) de Ken. Le message passe mieux quand on le laisse filtrer à travers la charge ironique. Gerwig et Baumbach aurait dû rester dans cette veine.

Savater le patriarcat, le masculinisme toxique et l'hypocrisie derrière les grandes postures ("Ah oui, le patriarcat existe toujours...on le cache mieux c'est tout", bonne punchline), parfait pour moi !
Mais pourquoi aller dans un ton aussi frontalement balourd ?

Quant à M. Cera, il est tellement inutile et de côté...Et Will Ferrell a beau se démener, il a même fini par me gêner. Will Ferrell ! Ce génie comique

[Gekko]

Will Ferrell malheureusement, ça fait un moment qu'il choisi mal ses films.

[BoBleMexicain]

1,446 milliard USD
Il atteint la quatorzième place de la liste des plus gros succès du box-office mondial, avec plus de 1,4 milliards de recettes.

c'est par ou la sortie ?

[Gekko]

Les chiottes, c'est au fond, à gauche.