"Non mais qu'est-ce qui m'a pris ?", oui ce genre de phrases on l'a tous sortie au moins une fois. Une remarque déplacée, une erreur de jugement, un bulletin de vote maladroit, un patin roulé à la mauvaise personne,...
L'idée, bah c'est la même chose au cinéma. Partager des anecdotes au sujet de films qu'on a aimé la première fois et revu à la baisse et pas qu'un, jusqu'à vouloir l'oublier et oublier l'avoir un jour aimé.
Allez, je me lance. Ne riez pas, s'il vous pait.
(Je prends une grande respiration)
Voilà, il y a longtemps j'ai aimé Pearl Harbor
...Bon il y avait des explosions, des ralentis, des scènes avec des avions qui virevoltent etc...Pendant quelques mois, j'ai maintenu cette affection.
Avec ma famille, on s'était amusé à faire une liste de film avec une colonne réservée aux notes qu'on attribuait à chaque film. Il y en avait un paquet. Il se trouve que j'ai été le seul à mettre une super note au film de Bay
(la décence m'interdit de préciser la note sur 20)
Et puis, je l'ai revu à la sortie DVD (si ma mémoire est bonne, il est sorti le jour de la commémoration pour les 60 ans de l'attaque).
Je mentirai en disant que le changement d'opinion a été radical, mais je me suis senti mal.
Je me suis rendu compte que je ne voulais plus revoir autre chose que les 15 minutes de la partie centrale (avant que les deux héros prennent les airs), tout le reste me gênait. Le revoir une 3è fois entièrement, c'était hors de question.
Puis un an ou deux plus tard, on l'a regardé à la télé. On était plusieurs. On a passé les 3/4 du film à rire, à commenter ou "doubler" les dialogues tellement c'était une catastrophe :
-L'histoire pourrave
-Les dialogues à gerber
-Les acteurs en souffrance
-Le patriotisme atroce (Independence Day en mode 1er degré)
-Michael Bay (qui livre pourtant l'un de ses films les plus lisibles )
Je peux le dire : je l'ai vu 3 fois, mais en réalité je ne l'ai bien vu que la troisième fois et c'était atrocement mauvais. Mais un bon souvenir, pour le coup
voilà, c'est dit.
J'assume l'entière responsabilité de cet échec et en tire les conclusions en me retirant de ce topic...jusqu'à ce que d'autres acceptent de prendre la parole
Vos pires seconds visionnages
- ConFucKamus
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- Zefurin
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Ah moi je pense tout de suite à L'AS DES AS de Gérard Oury avec Belmondo.
Vu une premère fois quand j'avais 9-10 ans. J'y voyais un divertissement d'aventure grand spectacle sublime. Le film ressemble beaucoup à la première partie de Indiana Jones et la Dernière Croisade avec l'espèce de road trip effeiné des gentils dans une europe centrale nazifiée. Mais avec Belmondo dans le rôle principal...
Puis... je l'ai revu 20 ans plus tard (y a 3-4 ans à peu près).
Et j'ai complètement déchanté : c'est surjoué (le gamin juif que Belmondo protège est joué par un gamin qui joue comme un pied). Les dialogues sont débiles et infantilisants. Le comique premier degrés ne fonctionne plus. Et puis Belmondo passe son temps à faire du harcèlement sexuel à la nana principale du film...
Je me suis dit : "Voilà un film qu'il vallait mieux ne pas revoir."
Vu une premère fois quand j'avais 9-10 ans. J'y voyais un divertissement d'aventure grand spectacle sublime. Le film ressemble beaucoup à la première partie de Indiana Jones et la Dernière Croisade avec l'espèce de road trip effeiné des gentils dans une europe centrale nazifiée. Mais avec Belmondo dans le rôle principal...
Puis... je l'ai revu 20 ans plus tard (y a 3-4 ans à peu près).
Et j'ai complètement déchanté : c'est surjoué (le gamin juif que Belmondo protège est joué par un gamin qui joue comme un pied). Les dialogues sont débiles et infantilisants. Le comique premier degrés ne fonctionne plus. Et puis Belmondo passe son temps à faire du harcèlement sexuel à la nana principale du film...
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Rachel Mcadams = Random Bonasse de Sherlock Holmes.
MisterM 06/02/2024
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Le premier qui me vient en tête c'est Vidocq de pitoff. La première vision j'ai trouvé ça cool. Des années (décennie) je dis à ma femme fan de Depardieu "on va regarder Vidocq, il est cool et ambitieux"....
Depuis elle choisit les films.
Depuis elle choisit les films.
Signature
J'ai un peu honte de l'admettre mais je dois me confesser : je fais partie de ceux ayant défendu le premier Suicide Squad au moment de sa sortie.
Parce que DC venait tout juste de lancer son univers cinématographique, que BvS avait reçu l'accueil critique qu'on lui connaît et que j'avais été galvanisé par la bande-annonce sur fond de Bohemian Rhapsody (ignorant encore que cette musique pouvait rendre épique n'importe quelle succession d'images), je m'étais auto-persuadé que je devais défendre l'alternative que DC représentait par rapport aux films Marvel et leur formule éculée.
J'avais réussi à me convaincre que Suicide Squad n'était pas la version charcutée tant décriée mais bel et bien le film que le réal prévoyait de faire, en voulant pour preuve ses diverses déclarations à la presse (sur lesquelles il est totalement revenu depuis, soit dit en passant). Bref, inutile de rappeler que ce film est une purge, le pire du DCEU avec la version ciné de Justice League, que j'ai quand même eu la lucidité de considérer pour ce qu'elle était.
Parce que DC venait tout juste de lancer son univers cinématographique, que BvS avait reçu l'accueil critique qu'on lui connaît et que j'avais été galvanisé par la bande-annonce sur fond de Bohemian Rhapsody (ignorant encore que cette musique pouvait rendre épique n'importe quelle succession d'images), je m'étais auto-persuadé que je devais défendre l'alternative que DC représentait par rapport aux films Marvel et leur formule éculée.
J'avais réussi à me convaincre que Suicide Squad n'était pas la version charcutée tant décriée mais bel et bien le film que le réal prévoyait de faire, en voulant pour preuve ses diverses déclarations à la presse (sur lesquelles il est totalement revenu depuis, soit dit en passant). Bref, inutile de rappeler que ce film est une purge, le pire du DCEU avec la version ciné de Justice League, que j'ai quand même eu la lucidité de considérer pour ce qu'elle était.
Un film avec Belmondo sorti dans les années 1980 quoi. L'As des as a beau faire partie des plus réussis et sympathiques de cette période démarrée avec Peur sur la ville, je comprends que l'on ne puisse plus accrocher aujourd'hui... Même si j'arrive encore à le voir comme une madeleine de Proust.
- Zefurin
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La même ! (enfin... sauf que j'ai pas de femme )
Il faut dire qu'à l'époque, Vidocq jouissait d'une idée d'histoire assez mémorable avec Sans oublier la direction artistique du film que je trouvais assez singulière...
Et en écoutant les critique, je me souviens avoir pensé (du haut de mes onze ans et de mes maigre connaissances en cinoche) que c'était un peu injuste pour le film de se faire autant traîner dans la boue.
Puis effectivement il est repassé à la téloche y a quelques années (sans doute à l'occasion du film où Vincent Cassel joue le rôle de Vidocq en 2018)... et là... patatra : les acteurs sont C A T A S T R O P H I Q U E S.
Canet, Dussolier, Inès Sastre (vraiment là pour sa plastique que pour ses talents d'actrice)... et Moussa Maaskri qui joue l'adjoint de Vidocq (une torture à regarder jouer).
Et même l'image distordue de la caméra numérique... c'est d'un moche... mais d'un moche...
Mais c'est dommage car le rythme du film et l'idée principale de l'histoire... ca peut VRAIMENT fonctionner. Mais mince... cette direction d'acteur est à gerber.
Je suis sur qu'avec Jean-Pierre Jeunet à la réalisation... ce film aurait pu faire un carton.
Le problème c'est que j'ai cette dépréciation sur pas mal de film de Bébel (le Solitaire... il a vachement vieilli ce film)...
... et de De Funès aussi.
Il n'y a que Oscar, la Grande Vadrouille et le premier Gendarme de Saint-Trop qui garde encore une verve comique qui me fasse rire.
L'aile ou la cuisse, Rabby Jacob... la dernière fois que j'ai regardé ça, ce sont des sourires esquissés... mais rien de plus.
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MisterM 06/02/2024
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J'y réfléchis depuis hier, mais je ne trouve pas vraiment d'exemple criant de mon côté. A part des trucs découverts vraiment enfant, mais du coup à des âges où il n'est pas forcément évident de s'attarder sur la qualité (genre les films live Tortues Ninja 3 dans les années 90 quoi), donc ça ne compte pas vraiment.
Sujet intéressant !
Je vois beaucoup de films vus enfant cités par les autres.
En fait dans cette catégorie, je pense qu'il y a les films que l'on a pu voir et revoir des tonnes de fois enfant. Et qui ont un effet madeleine de Proust quand on les revois 10, 20, 30 ans plus tard, qui permet d'en atténuer leurs défauts (par exemple dans mon cas, les De Funès).
A l'inverse, les films que l'on a vu une ou deux fois enfant peuvent vite faire déchanter quand on les revoit adulte...
Sinon dans mon cas je pense surtout aux films à twist. Il y a ceux qui ont une vraie profondeur ou mise en scène, comme Primal Fear et surtout Usual Suspects. Je peux les revoir sans souci, même en connaissant le(s) twist(s), des années après.
Par contre j'ai revu 10 ans après des films comme Wild Things (Sex Crimes) ou Lucky Number Slevin. Je me souvenais des twists, et clairement ce sont des films qui marchent moins bien. Ils ont perdu largement leur originalité depuis.
Je vois beaucoup de films vus enfant cités par les autres.
En fait dans cette catégorie, je pense qu'il y a les films que l'on a pu voir et revoir des tonnes de fois enfant. Et qui ont un effet madeleine de Proust quand on les revois 10, 20, 30 ans plus tard, qui permet d'en atténuer leurs défauts (par exemple dans mon cas, les De Funès).
A l'inverse, les films que l'on a vu une ou deux fois enfant peuvent vite faire déchanter quand on les revoit adulte...
Sinon dans mon cas je pense surtout aux films à twist. Il y a ceux qui ont une vraie profondeur ou mise en scène, comme Primal Fear et surtout Usual Suspects. Je peux les revoir sans souci, même en connaissant le(s) twist(s), des années après.
Par contre j'ai revu 10 ans après des films comme Wild Things (Sex Crimes) ou Lucky Number Slevin. Je me souvenais des twists, et clairement ce sont des films qui marchent moins bien. Ils ont perdu largement leur originalité depuis.
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The Dark Knight Rises perso pour des raisons évidentes
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Idem !Next a écrit : ↑ven. 2 déc. 2022 11:34J'y réfléchis depuis hier, mais je ne trouve pas vraiment d'exemple criant de mon côté. A part des trucs découverts vraiment enfant, mais du coup à des âges où il n'est pas forcément évident de s'attarder sur la qualité (genre les films live Tortues Ninja 3 dans les années 90 quoi), donc ça ne compte pas vraiment.
Sauf que Les Tortues ninja 3, je l'avais trouvé pas terrible déjà à l'époque !
Je n'ose pas le revoir.
Sinon, j'avais un bon souvenir gamin du Cyborg de JCVD, revu adulte: quelle purge atroce !
"On peut manger tous les champignons !
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
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Mission : Impossible 2 m'a fait un peu le même effet.
Ébahi par l'action au premier visionnage
Effrayé par la connerie et l'insuffisance de son histoire un peu plus tard.
#restorethewoocut
@Zefurin
Là, par contre Vidocq j'ai trouvé ça affreux dès la première fois.
C'est d'une laideur presque inédite. En tout cas pour les années 2000, c'est un jalon
À part Depardieu, tout est à jeter. Tout. Surtout Pitof
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C'est amusant, je me suis refait les Mission Impossible pendant le confinement. Le 2 a été celui que j'ai pris le plus de plaisir à revoir !ConFucKamus a écrit : ↑sam. 3 déc. 2022 10:12Mission : Impossible 2 m'a fait un peu le même effet.
Ébahi par l'action au premier visionnage
Effrayé par la connerie et l'insuffisance de son histoire un peu plus tard.
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Mission Impossible 2... moi je l'apprécie toujours autant.
Un second visionage catastrophique aussi... c'est évidemment Star Wars 8 : The Last Jedi de Rian Johnson.
Au risque de surprendre @ConFucKamus j'étais ressorti plutôt enthousiasme de la salle de cinéma... la première fois que je l'ai vu. J'étais même plus enthousiasmé par ce film que pas The Force Awakens...
En fait trés sincèrement, je savais pas trop comment le dire... mais j'étais un peu ébetté par le film. Je savais pas vraiment si j'avais aimé ou pas aimé, mais j'avais réussi à prendre mon pied plusieurs fois.
C'est au second visionnage que tout a changé. J'ai vu tout ce qui n'allait pas... à savoir... ben... TOUT.
La raison et l'analyse ont pris le pas sur l'enthousiasme 1er degré... et là j'ai pris plusieurs fois mon visage dans les mains en me demandant comment on pouvait écrire un film aussi con.
J'ai vu le film 2 fois avec mon frère... et comme moi, il a eu le même désenchantement.
Un second visionage catastrophique aussi... c'est évidemment Star Wars 8 : The Last Jedi de Rian Johnson.
Au risque de surprendre @ConFucKamus j'étais ressorti plutôt enthousiasme de la salle de cinéma... la première fois que je l'ai vu. J'étais même plus enthousiasmé par ce film que pas The Force Awakens...
En fait trés sincèrement, je savais pas trop comment le dire... mais j'étais un peu ébetté par le film. Je savais pas vraiment si j'avais aimé ou pas aimé, mais j'avais réussi à prendre mon pied plusieurs fois.
C'est au second visionnage que tout a changé. J'ai vu tout ce qui n'allait pas... à savoir... ben... TOUT.
La raison et l'analyse ont pris le pas sur l'enthousiasme 1er degré... et là j'ai pris plusieurs fois mon visage dans les mains en me demandant comment on pouvait écrire un film aussi con.
J'ai vu le film 2 fois avec mon frère... et comme moi, il a eu le même désenchantement.
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Quoi ? Un tel chef d'œuvre ?ConFucKamus a écrit : ↑sam. 3 déc. 2022 10:12@Zefurin
Là, par contre Vidocq j'ai trouvé ça affreux dès la première fois.
C'est d'une laideur presque inédite. En tout cas pour les années 2000, c'est un jalon
À part Depardieu, tout est à jeter. Tout. Surtout Pitof
Comment... mais... mais comment... comment ai-je fait pour trouver ce film appréciable ?
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Alors attention.Redzing a écrit : ↑sam. 3 déc. 2022 15:31C'est amusant, je me suis refait les Mission Impossible pendant le confinement. Le 2 a été celui que j'ai pris le plus de plaisir à revoir !ConFucKamus a écrit : ↑sam. 3 déc. 2022 10:12Mission : Impossible 2 m'a fait un peu le même effet.
Ébahi par l'action au premier visionnage
Effrayé par la connerie et l'insuffisance de son histoire un peu plus tard.
C'est vraiment si je suis dans un état d'esprit similaire aux autres M:I.
Sinon, comme nanar, c'est vraiment le panard.
Pearl Harbor 1er degré, c'est insoutenable. Second degré, un bon pack et quelques potes, et c'est parti pour la rigolade.
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Ce message va être banni.Zefurin a écrit : ↑sam. 3 déc. 2022 17:41Un second visionage catastrophique aussi... c'est évidemment Star Wars 8 : The Last Jedi de Rian Johnson.
Au risque de surprendre @ConFucKamus j'étais ressorti plutôt enthousiasme de la salle de cinéma... la première fois que je l'ai vu. J'étais même plus enthousiasmé par ce film que pas The Force Awakens...
En fait trés sincèrement, je savais pas trop comment le dire... mais j'étais un peu ébetté par le film. Je savais pas vraiment si j'avais aimé ou pas aimé, mais j'avais réussi à prendre mon pied plusieurs fois.
C'est au second visionnage que tout a changé. J'ai vu tout ce qui n'allait pas... à savoir... ben... TOUT.
La raison et l'analyse ont pris le pas sur l'enthousiasme 1er degré... et là j'ai pris plusieurs fois mon visage dans les mains en me demandant comment on pouvait écrire un film aussi con.
J'ai vu le film 2 fois avec mon frère... et comme moi, il a eu le même désenchantement.
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Moi non plus je n'ai pas d'exemple criant.
Top Gun, sûrement, j'avais dû l'apprécier étant enfant. Trouvé ça franchement bof/beauf plus récemment.
Lucy était un peu moins bien la seconde fois.
En fait ça irait plutôt dans le sens inverse : j'ai tendance à être très dur au premier visionnage, et au second je me demande parfois pourquoi j'avais autant détesté.
Par contre j'étais beaucoup plus diverti la seconde fois, les attentes jouent beaucoup dans l'appréciation.
Top Gun, sûrement, j'avais dû l'apprécier étant enfant. Trouvé ça franchement bof/beauf plus récemment.
Lucy était un peu moins bien la seconde fois.
En fait ça irait plutôt dans le sens inverse : j'ai tendance à être très dur au premier visionnage, et au second je me demande parfois pourquoi j'avais autant détesté.
De même.
Par contre j'étais beaucoup plus diverti la seconde fois, les attentes jouent beaucoup dans l'appréciation.