Votre dernier film

[ConFucKamus]

lisant regulierement tes ecrits je sais que yavait rien de hargneux , d'autant que sur le thread principal , tout ce que j ai ecris a deja été amplement debattu et que j ai fais du bis repetita sans le savoir
je le répéte
j ai aimé
comme une grosse majorité de la filmo de Ridley (pour Gucci jme reserve pas encore vu )

Tout le monde aime Ridley.

C'est un prérequis

[Zefurin]

Tout le monde aide Ridley.

AiDe ou aiMe ?

Parce que Sean Young, elle aime pas beaucoup Ridley Scott.

[ConFucKamus]

Tout le monde aide Ridley.

AiDe ou aiMe ?

Parce que Sean Young, elle aime pas beaucoup Ridley Scott.

Tiens cette faute-là je l'avais pas vue. Honte à moi

[BoBleMexicain]

Tout le monde aide Ridley.

AiDe ou aiMe ?

Parce que Sean Young, elle aime pas beaucoup Ridley Scott.

Tiens cette faute-là je l'avais pas vue. Honte à moi

c'est pas une faute c'est une coquille

[ConFucKamus]

Je ne regarde pratiquement pas de séries, mais j'avais regardé les Peaky Blinders (je tolère les mini-séries !).
De mémoire la saison 2 était la meilleure. La 1ère saison me faisait trop penser à la trilogie Godfather (Tommy Shelby = Michael Corleone). Mais, sans mauvais jeu de mot, est-il possible de réellement s'affranchir ( ) des films de Coppola quand on construit une saga familiale criminelle.

La saison 3 tournait en rond avec une intrigue un peu laborieuse de Russes royalistes. La saison 4 n'apportait pas grand chose. La saison 5, je l'ai trouvé très intéressante du point de vue historique (début du parti fasciste anglais, aujourd'hui totalement oublié), mais trop laborieuse du point de vue scénaristique (construite comme une intro à la future saison 6).

Néanmoins cette série a eu un gros succès, à tel point que d'après certains tailleurs elle aurait relancé la mode du costume 3 pièces chez lez hommes ! On voit aussi dans les magasins de vêtements et de chapeaux énormément de casquettes comme celles des Peaky Blinders.

Je viens de finir la saison 3 de Peaky Blinders. Totalement de ton avis. Niveau mise en scène, on est pas loin de la saison 2. Mais quel bordel, mes aïeux.
Passé les 2 premiers épisodes (avec cet excellent twist), tout devient confus, éparpillé, et souvent bâclé. On avance pas, on fait des zigzags et des demi-tours. Laborieux, c'est le mot.

À un moment, on suggère des évolutions qu'on réduit en charpie l'épisode d'après. Franchement, je me suis demandé où tout cela menait, déjà que l'intrigue avec les Russes est inutilement emberlificoté...
Et ces grosses ficelles, entre Arthur qui n'en finit plus de réaliser qu'il doit changer et Michael qui se rappelle son passé avec le grand méchant, sans parler de ces interminables ralentis sur des gens qui marchent, pitié...

La première saison n'allait pas bien loin, mais au moins ça avançait vraiment. Là, c'est mieux shooté mais terriblement chaotique. Ouf, la direction artistique et les acteurs font le boulot.

[BoBleMexicain]

J aime regarder les exploits digne de super heros
ceci ne constitue pas un film mais un documentaire sur un exploit ou plutot 14



En atteignant le 29 octobre 2019 le sommet du Shishapangma (8 027m) à 8h58 heure locale, Nirmal Purja bouclait son incroyable tentative de réussir l'ascension des quatorze sommets de plus de 8 000 mètres en 7 mois, du 23 avril au 29 octobre. ( en réalité six mois et six jours)

ce type a une vie assez extraordinaire et on peut dire qu il est le seul a avoir décidé de qui lui arriverait et de ce qu il ferait de sa vie
il en parle beaucoup dans le film et je laisse a ceux qui regarderont de découvrir
il est aussi celui qui , lors de l 'ascension de l'EVEREST prendra cette photo qui fera la tour du monde , des centaines de gens encordés faisant l 'ascension du plus haut sommet du monde (mais surement pas le plus dur de tous , d'ou surement cette attroupement de tarés )



le jour ou il prends cette photo douze alpinistes mourront dont quatre sont clairement imputé a l embouteillage sur le sommet

au travers de ce film il dénonce aussi tout ca ,cette surenchére des gens qui veulent se mesurer a des montagnes qui ne sont pas de leur niveau
et dans ce domaine la montagne gagne toujours
vraiment passionnant de bout en bout , le peti coté patoss de sa mere quasi mourrante rajoute forcément de l emotion a la trame meme si j aurais préferé l exploit a l etat pure ( mais pour le coups on comprends aussi qu il a perdu du temps et qu il aurait sans doute pu faire beaucoup mieux que six moi et six jours)
l'épilogue nous laisse dailleurs entrevoir qu il n est pas decidé a s arrêter la et qu il tentera de faire mieux ou autre chose
a moins d essayer de les monter sans oxygène( a 8000 c'est moins 80 pourcent d oxygène ) je vois pas quoi , le seul a avoir reussi cet exploit est MESMER mais lui ca lui a pris seize ans pour faire les quatorze sommets !!!
j ai quand même hâte de savoir

[ConFucKamus]

Bon, vu SOS Fantômes L'héritage



Faisons la courte : 1h de bien, 1h en mode nostalgico-balisé avec en pointe un climax qu'on voit venir gros comme une maison.

Arrivé à la moitié j'avais percuté non seulement ce qui allait se passer mais aussi comment, où et avec qui. Des grosses ficelles, vous allez en avoir plein.
Tout cette deuxième partie est une offrande. Scénaristes, producteurs, je ne sais pas qui en est responsable, mais le résultat c'est la même soupe qu'on ressert.
Mention de ce climax assez foireux avec les revenants et une apparition de H. Ramis qu'on jurerait sortie de Dragon Ball Z lors du combat Son Gohan/Cell.
Cette deuxième heure m'embête parce qu'elle fait pas mal retomber la première qui elle était bien tenue.

Le quatuor Carrie Coon/Paul Rudd/McKenna Grace et Logan Kim, c'était le triomphe assuré. On les aime d'emblée, bien que McKenna Grace vole le show (prodigieuse)
L'idée de cet héritage, de ce(ux) qu'il écrase, c'était du tout cuit. Très beau, encore plus si on le met en parallèle de ce qui se passait en coulisses (J. Reitman qui prend la succession du père pour SOS Fantômes)
L'écriture prend grand soin de caractériser son héroïne (ou son acolyte) sans photocopier la recette à l'œuvre sur Stranger Things : elle est discrète, solitaire mais courageuse et maligne, il est gai et volubile. Excellent duo.

L'énergie et le charme qui se dégage de cette belle équipe me pousse à être conciliant avec ce SOS Fantômes. Ce troisième volet aurait mieux fait de continuer à jouer avec le passé plutôt que de le rejouer.

[NaughtyDog]

un nouveau Hosoda d'excellente facture


une merveille visuelle en terme de technique et de direction artistique, pour une histoire mêlant les genres du cyberpunk (avec ce réseau social sous forme de matrice virtuelle), du drama (comme toujours chez Hosoda) et de la fantasy (via une relecture de la Belle et la Bête).

autant commencer par les ptites réserves qui l'empêchent d'être une réussite totale : l'amour d'Hosoda pou le classique de Disney est un peu trop appuyé selon moi (et pas nécessairement l'aspect le plus réussi du film).

Ensuite,on évite quelques (grosses) facilités scénaristiques dans le dernier tiers du film (ce qui pour moi nuit un tantine à la récompense des persos et du spectateur).


Pour le reste, ça fait plaisir de voir que Chizu produit des films aussi beaux, qui ne ressemblent pour ainsi dire à rien d'autre de connu (si ce n'est Summer Wars d'Hosoda )


le perso de Suzu/Belle est vraiment top et attendrissant via son drame personnel


Le film traite avec pertinence de l'impact des réseaux sociaux, tant d'un point de vue négatif mais également positif si l'on veut bien les utiliser à bon escient sans se cacher.

et surtout, Belle traite d'un thème (que je ne spoilerai pas) plutot bienvenu et inédit dans le film d'animation.


Dommage que ça soit un peu facile dans sa résolution, mais il n'empêche qu'on tient là un excellent Hosoda, et sans doute le film d'animation de l'année tout simplement !


8 ou 8,5/5

[ConFucKamus]

Avant d'aller retrouver tonton, j'ai revu le West Side Story original



Y'a des films qui vieillissent bien, WSS est de ceux-là. J'en avais quelques souvenirs ado et franchement c'était pas ma tasse de thé...bon, voir Roméo + Juliette dans les mêmes eaux, ça n'a pas aidé. Désolé, mais Baz Luhrmann j'y arrive pas. Et en règle générale, les comédies musicales ne m'enchantent guère.
Vieillir a donc du bon

D'une, les 2h32 passent toutes seules. C'est vif, coloré et touchant et Natalie Wood
J'aime beaucoup le discours beaucoup plus fin sur une terre dont chacun se dit l'occupant et pourtant tous les personnages sont issus de vagues d'immigration (Irlandais, Polonais, Portoricains).
Deux factions, mais chacune ayant plus qu'amassé sa part de colère et d'amertume, sauf qu'elle ne se dirige pas au bon endroit.

Les chorégraphies et dispositifs sont toujours parfaitement adaptées à la scène, dans les grands ballet aérien comme dans les moments intimistes (plus discrets et simples). On s'amuse pas mal des effets miroirs entre les groupes,
et des petites trouvailles pour représenter les sentiments (les deux tourtereaux "dans leur bulle").

Peut-être un ou deux moments un peu en dessous, du fait d'un surjeu parfois perceptible - le risque avec lequel fraye la comédie musicale (exercice on ne peut plus délicat). La La Land étant l'un des rares a m'avoir époustouflé...avec ce West Side Story.

Encore plus curieux de découvrir la version de Spielberg. Aussi bien pour la technique - ça promet une belle mandale - que pour la relecture concernant la peinture sociale.

[Next]

Désolé, mais Baz Luhrmann j'y arrive pas.

Merci !

[ConFucKamus]

Ah oui, j'avais oublié : j'ai fini la saison 4 de Peaky Blinders

Bon ça remonte un peu la pente après la très bordélique saison 3. Un coup de tonnerre pour débuter (bon épisode introductif) et un épisode final entre le bon (tout le début) et le mauvais (le double twist honteux sur Arthur). Entre les deux, encore beaucoup de bonnes idées mais jamais exploitées ou mal agencées.
C'est dingue, comme si les scénaristes écrivaient au jour le jour. Ils ont au moins 3-4 axes qui pourraient à eux seuls faire tenir la saison entière. Mais non, ils les entremêlent, donc ils n'en traitent en réalité que par petits bouts, par conséquent l'impression d'un surplace permanent. Et franchement, les ralentis n'aident pas DU TOUT ! On se croirait presque dans du Snyder...

Les personnages évoluent peu ou pas - comme depuis le début en fait. Et de temps en temps, un truc arrive et on se dit "ah là, ça va partir"...puis en fait non, le truc n'est jamais approfondi.

Adrian Brody est à peine convaincant, puisque le surjeu semble être une ligne de conduite pour les guest prestigieux (coucou Tom Hardy)...À l'exception du toujours très grand Sam Neill (qui aura bien brillé sur la saison 1 et SURTOUT la très bonne deuxième). Les comédiens tiennent la barre, la mise en scène est plutôt propre et il y a toujours de belles idées...indignement traitées.



Clairement, la série ne joue pas du tout dans la même catégorie que les cadors.

[ConFucKamus]

Et boum, vu West Side Story version Spielberg



@NaughtyDog n'a pas bluffé. Le maestro est en très grande forme. Dès le plan d'intro (d'ailleurs monstrueusement ample et génial), tonton Spielberg met les points sur les i :
OUI, ce sera la même histoire. NON, elle ne sera pas racontée de la même manière.

Le film de 1961 préférait les plans fixes pour magnifier les chorégraphies sans en perdre une miette, celui-là vous emmène sur la piste, sur les routes, au beau milieu des ballets ou des échauffourées.
West Side Story est à l'aune des meilleurs Spielberg en termes de conception et de DA. Les 2h36 passent très vite, d'autant plus que les personnages bougent à travers un quartier entier.
La plupart des plans laissent sans voix, le découpage des nombreuses séquences chorales est un émerveillement, La photographie est somptueuse, et que dire de la BO qui sublime les partitions déjà à l'œuvre il y a 60 ans.

Un niveau d'excellence très rarement atteint au cinéma (n'ayons pas peur des mots), et la relecture joue constamment sur les échos pour mieux illuminer les changements.
Ce qui était une toile de fond sur l'original devient la priorité du remake, ce qui pousse naturellement à en réorchestrer les grands mouvements. Et c'est rien de le dire.
Quelques moments forts sont changés de place, d'autres sont réinventées de l'intérieur (ex la chanson Cool). Ce n'est pas juste pour donner le change, mais cela rend cette version plus fluide, plus entraînante encore.

Le film nous amène à ce sentiment vertigineux de redécouvrir la même plainte sur laquelle on posera un regard sensiblement différent. Ça va passer pour une énorme point noir, mais je me suis moins intéressé aux deux interprètes
principaux qu'aux nombreux seconds-rôles. Non, les deux comédiens sont excellents, en particulier Rachel Zegler. Les quelques réserves concernant l'histoire étaient déjà là en 61, dommage de ne pas avoir cherché à décaler plus d'éléments sur la romance au premier plan.
Mais rien à faire, en sortant je n'avais qu'un nom à la bouche : Anita (la photo de présentation n'a pas été choisie au hasard )

Je n'avais d'yeux que pour Ariana deBose, qui impose son charisme, sa gouaille et sa beauté au delà du réel. La seule personne qui lui discute le moment le plus bouleversant, c'est Rita Moreno...qui incarna jadis Anita il y a 60 ans.
J'ai été saisi à la gorge quand l'actrice bientôt nonagénaire entonne "Somewhere", autre différence qui parachève de placer le film sur un terrain plus politique : racisme, homophobie, gentrification ; toutes les frontières bâties entre les individus. La notion même de frontière, tonton Spielberg la rend concrète par de simples dispositifs tout du long.
Anita

Les seconds-rôles sont légèrement épaissis, Chino, Riff et Anybodys. De plus, les jeux se veulent moins outrées, ce qui peut également faciliter la projection dans cette nouvelle versioN.

[NaughtyDog]

Ça merite + que 4/5

Le debut du film, la sequence du bal ou encore America sont de grands moments de cinoche

Faudra que jme cale une 2e seance à un moment

[ConFucKamus]

Ça merite + que 4/5

Le debut du film, la sequence du bal ou encore America sont de grands moments de cinoche

Faudra que jme cale une 2e seance à un moment

Je pense aussi sérieusement à y retourner. Rien que pour profiter une fois encore de la mise en scène incroyable de tonton Spielberg.

Après comme je l'ai dit, j'aime beaucoup le film puisqu'il il s'agit vraiment d'une nouvelle vision.

Par conséquent, le "tronc commun" consacré à l'amourette entre Tony et Maria, m'intéresse moins, en dépit des deux bons interprètes.

J'aime cependant l'idée que le film développe sur la barrière du langage. Très simple et très bel ajout

[Redzing]

Je ne vois que des retours dithyrambiques... (ici et ailleurs)
Vous me donnez presque envie de le voir ! Mais rien à faire, je déteste les comédies musicales, et je n'ai aucun amour pour le film de 1961 (pourtant j'aime beaucoup ce que ait Robert Wise, mais je préfère largement ses films d'horreur et de SF).

[Zefurin]

Je suis dans la même hésitation que toi @Redzing... d'un autre côté... s'il s'agit du meilleur film de Spielberg depuis 20 ans... je vais tenter le truc.

[ConFucKamus]

Je ne vois que des retours dithyrambiques... (ici et ailleurs)
Vous me donnez presque envie de le voir ! Mais rien à faire, je déteste les comédies musicales, et je n'ai aucun amour pour le film de 1961 (pourtant j'aime beaucoup ce que ait Robert Wise, mais je préfère largement ses films d'horreur et de SF).

Tu aimes tonton ?
Tu aimes avoir des émotions ?
Tu aimes voir de très belles partitions ?
Fonce.

Les comédies musicales ne sont pas mon fort, West Side Story est le premier depuis La La Land à fonctionner sur moi. Je programmerai une séance pour Annette, voir s'il peut compléter.

[Redzing]

Tu aimes tonton ?
Tu aimes avoir des émotions ?
Tu aimes voir de très belles partitions ?
Fonce.

Merci du conseil ! Je vois pas mal de gens qui, comme moi, détestent les comédies musicales et sont pourtant emballées par le film. Je lui donnerai une chance à l'occasion. Mais pas en salles, en ce moment c'est beaucoup trop compliqué d'aller au cinéma pour moi.

Je précise que je déteste réellement les comédies musicales, c'est vraiment LE genre que je ne peux pas supporter au cinéma. J'ai du traîner les pieds pour voir les grands classiques. J'apprécie Singing on the Rain parce que ça chante peu, les chansons sont courtes et intégrées au récit.
Ou à la rigueur les Demoiselles de Rochefort car le scénario est en fait très sombre par rapport aux images sucrées.
Mais typiquement j'ai horreur des films comme My Fair Lady où on ne sert toutes les 5 minutes une chanson de 5 minutes qui n'a aucun intérêt narratif (il suffit de dire "passe moi le sel", mais besoin de le chanter pendant un quart d'heure !).

[Zefurin]

La comédie musicale est vraiment un genre qui peine à me convaincre au cinéma.
Pour l'instant, les seules qui m'ont vraiment plu ont été celles de Tim Burton/Henri Sellick (L'étrange Noel et Sweeney Todd)... mais ce sont des comédies musicales tellement spéciales qu'elles font plus figure d'exception.

La La Land, j'ai pas pu tenir plus de 20 minutes (quand tout le monde autour de moi a été dythirambique dessus).
Les Mama Mia ! idem... (et pourtant j'adore Abba et le casting est dément).

Sur scène (mode Théâtre)... ça me convainc beaucoup plus.
Mais j'ai toujours l'impression d'un genre bâtard entre le théâtre et l'opéra... (que j'affectionne tous les deux énormément).

[BoBleMexicain]

La comédie musicale est vraiment un genre qui peine à me convaincre au cinéma.
Pour l'instant, les seules qui m'ont vraiment plu ont été celles de Tim Burton/Henri Sellick (L'étrange Noel et Sweeney Todd)... mais ce sont des comédies musicales tellement spéciales qu'elles font plus figure d'exception.

La La Land, j'ai pas pu tenir plus de 20 minutes (quand tout le monde autour de moi a été dythirambique dessus).
Les Mama Mia ! idem... (et pourtant j'adore Abba et le casting est dément).

Sur scène (mode Théâtre)... ça me convainc beaucoup plus.
Mais j'ai toujours l'impression d'un genre bâtard entre le théâtre et l'opéra... (que j'affectionne tous les deux énormément).

tout pareil
avec des exceptions comme Victor Victoria Julie Andrews sublime et forcement le HAIR de Milos Forman

[ConFucKamus]

Enfin vu The Green Knight de David Lowery



Bon bah une fois n'est pas coutume chez Lowery, de la merde comme d'hab'
Il passe dans la catégorie des cinéastes largement surévalués, conjointement avec Darren Aronofsky, Nicolas Winding Refn et Ari Aster.
Soporifique au possible, factice au delà de la pure camelote. Pas d'intention de mise en scène, pas de fond, aucune envergure, des acteurs en roue libre complète.
Un naufrage. Heureusement qu'il est pas sorti en salles. Elles méritaient mieux. Bon vous me direz, elles ont hérité de Kaamelott alors bon...Lowery ne tombe pas aussi bas, mais franchement 15 millions foutus en l'air.
Je ne sais pas sur quelle base noter un tel truc, donc je m'abstiens pour l'instant.

Allez, arrêtons-là. Non j'ai bien aimé. Lowery a le bon goût d'aller au bout de sa proposition quitte à laisser ses spectateurs interdits. Tant mieux. Les bonne fables fonctionnent parce qu'on peut être 10 à s'y plonger, on peut
avoir peut-être pas dix interprétations mais dix nuances dans nos interprétations.
Il sait donner un sentiment d'étendue, quand son personnage quitte sa citadelle, il n'occupe plus que très rarement le cadre, tout est concentré sur les paysages, la nature dans sa grande diversité et lui en est réduit à l'état de mouche.
Très beau, une bien belle utilisation de le courte focale alliée au grand angle. C'est honteux d'avoir privé les salles d'une telle expérience.

Je serai peut être moins emballé du fait d'un peu trop de zèle sur la bande-originale à mon goût trop présente. On peut également tiquer sur le choix d'étirer certains passages. J'imagine que chacun pourra avoir la scène qui l'a fait ressortir du film. Cela étant dit, j'aime l'idée de ressortir sans avoir toutes les clés. Comme le film est tout de même bien fourni (on questionne les notions d'honneur, de sacrifice, de "réalité" derrière le statut de chevalier), ça empêche de passer vite à autre chose.

[Redzing]

Soporifique au possible, factice au delà de la pure camelote.

Jeu de mots volontaire ?

[ConFucKamus]

Soporifique au possible, factice au delà de la pure camelote.

Jeu de mots volontaire ?

Oui, tu l'as remarqué. Il y a quelques vérités glissées sous l'amas de mensonges et d'exagérations

[Next]

Bon bah une fois n'est pas coutume chez Lowery, de la merde comme d'hab'
Il passe dans la catégorie des cinéastes largement surévalués, conjointement avec Darren Aronofsky, Nicolas Winding Refn et Ari Aster.

Tu m'as fait peur j'étais prêt à bondir !

[ConFucKamus]

Bon bah une fois n'est pas coutume chez Lowery, de la merde comme d'hab'
Il passe dans la catégorie des cinéastes largement surévalués, conjointement avec Darren Aronofsky, Nicolas Winding Refn et Ari Aster.

Tu m'as fait peur j'étais prêt à bondir !

Entre-nous, j'ai souvent l'envie de publier des trucs en mode "en toute mauvaise foi"

[Zefurin]

@ConFucKamus
Presque déçu que tu ais aimé : je me serait bien fritté !

Pour l'instant Green Knight est mon film préféré de l'année : le plus singulier en plus d'être un véritable ovnis sensoriel.
Le dénouement est suffisamment curieux pour laisser libre cours aux interprétations : c'est devenu si rare du cinéma comme ça, que je ne peux que féliciter la démarche.

[ConFucKamus]

Pour l'instant Green Knight est mon film préféré de l'année : le plus singulier en plus d'être un véritable ovnis sensoriel.

C'est parce que tu n'as pas encore vu Kaamelott ça !



Allez, accorde-lui sa chance. À défaut d'avoir vu le meilleur, tu auras droit au pire

[BoBleMexicain]

Que s’est-il passé à bord du vol Dubaï-Paris avant son crash dans le massif alpin ? Technicien au BEA, autorité responsable des enquêtes de sécurité dans l’aviation civile, Mathieu Vasseur est propulsé enquêteur en chef sur une catastrophe aérienne sans précédent.

beau travail , très immersif , passionnant des le début , tout a fait le genre de film qu on peut écarter pour de mauvaises raisons .
le centre nerveux est forcément l'enquête mais les personnages ont vraiment du poids
ravi de mon dimanche matin

[NaughtyDog]

Wow !
Joel Coen signe avec The Tragedy of Macbeth l'adaptation filmique définitive de l'écrit de Shakespeare. Une tâche assez ardue vu le style très verbeux et cérébro-extériorisé du récit !
On oscille donc entre pur théâtre (si je devais pinailler ce sont formellement les passages les moins intéressants, mais heureusement validés grâce à la direction d'acteurs), style à la Kurosawa (tendance le Château de l'Araignée) et expressionnisme allemand.

A ce titre, Bruno Delbonnel (collaborateur attitré des Coen depuis Inside Llewyn Davis) livre une photographie au noir & blanc somptueux. Les décors sont très intéressants également, oscillant entre médiéval et style épuré proche d'une rêverie Calviniste. The Tragedy of Macbeth vire presque dans de la fantasy baroque via le personnage des 3 sorcières, interprétées magistralement par Kathryn Hunter en simili-Gollum grotesquement inquiétante par sa gestuelle et sa voix d'outre-monde.

En parlant d'acting, Denzel Washington et Frances Macdormand livrent parmi les très grosses performances de l'année. Le premier est parfait en roi virant progressivement dans la folie. L'autre également en épouse impitoyable affectée par le temps qui passe (et le peu qu'ils leur restent pour accéder au trône).

Le reste de la distribution (Corey Hawkins, Brendan Gleeson, Alex Hassel...) est également très bon !

D'un récit connu, Joel Coen parvient à faire rentrer le spectateur dans la propre psyché des 2 personnages centraux, que ce soit là encore la direction d'acteurs, sa réalisation pure (et des tableaux il y en a) et une bonne musique atmosphérique de Carter Burwell.

Si le rythme est pas toujours bien gêré à 2 reprises (mais là encore c'est du Shakespeare empli de monologues) et que par instants la mise en scène ne ranscende pas totalement l'approche théâtrale, grosso modo c'est d'une grande maitrise, avec notamment un superbe final !

4/5


déception que ce premier film de Maggie Gyllenhaal, qui tombe dans les travers de la première réalisation indé : un récit bcp trop étiré sur 2h (et pour pas grand chose), sur les pérégrinations crypto-intériorisantes d'une femme (cependant jouée comme toujours avec excellence par Olivia Colman) que l'on va suivre lors de ses vacances en Grèce.

En parallèle, on veut traiter des traumas maternels et faire une étude de personnages via flash-backs, mais l'émotion est amenée de manière bcp trop artificielle, pour un récit qui ne décolle pour ainsi dire jamais

En plus de ça on a le droit aux 3-4séquences musicales sur musique classique/son des 80's

C'est dommage car là encore la direction d'acteurs est très bonne (Dakota Johnson prouve encore que 50 Shades était juste une erreur de parcours, et Jessie Buckley, Ed Harris ou Peter Sarsgaard font bien le job) et la caméra arrive régulièrement à capter l'intime au plus près des corps ainsi que le dépaysement estival


Mis à part ça on rompiche fort, et on termine le métrage comme on l'a démarré : de manière neutre


2,5/5

[MisterM]

Ouh qu'il est bien ce gif !
Je le garde en réserve pour l'utiliser, dans un message digne cette fois.

[MisterM]

Que s’est-il passé à bord du vol Dubaï-Paris avant son crash dans le massif alpin ? Technicien au BEA, autorité responsable des enquêtes de sécurité dans l’aviation civile, Mathieu Vasseur est propulsé enquêteur en chef sur une catastrophe aérienne sans précédent.

beau travail , très immersif , passionnant des le début , tout a fait le genre de film qu on peut écarter pour de mauvaises raisons .
le centre nerveux est forcément l'enquête mais les personnages ont vraiment du poids
ravi de mon dimanche matin

Très bon thriller qui semble d'ailleurs profiter d'un excellent bouche à oreille, il fait encore salle comble 3 mois après sa sortie !
Il en était déjà à 1,2 millions d'entrées fin novembre, curieux de voir jusqu'où il va aller.

[Zefurin]

Ouh qu'il est bien ce gif !
Je le garde en réserve pour l'utiliser, dans un message digne cette fois.

Si par "message digne" tu veux dire "un message où on ne parle pas de Kaamelot", je t'encourage à le faire.

[MisterM]

Si par "message digne" tu veux dire "un message où on ne parle pas de Kaamelot"

Non.

[Zefurin]

J'étais SÛR de cette réponse...
Tu deviens d'un prévisible !

[MisterM]

Tu me connais trop bien.

[Gekko]

Que s’est-il passé à bord du vol Dubaï-Paris avant son crash dans le massif alpin ? Technicien au BEA, autorité responsable des enquêtes de sécurité dans l’aviation civile, Mathieu Vasseur est propulsé enquêteur en chef sur une catastrophe aérienne sans précédent.

beau travail , très immersif , passionnant des le début , tout a fait le genre de film qu on peut écarter pour de mauvaises raisons .
le centre nerveux est forcément l'enquête mais les personnages ont vraiment du poids
ravi de mon dimanche matin

Très bon thriller qui semble d'ailleurs profiter d'un excellent bouche à oreille, il fait encore salle comble 3 mois après sa sortie !
Il en était déjà à 1,2 millions d'entrées fin novembre, curieux de voir jusqu'où il va aller.

Sérieux ? Il est encore dans les salles ?

[BoBleMexicain]

Que s’est-il passé à bord du vol Dubaï-Paris avant son crash dans le massif alpin ? Technicien au BEA, autorité responsable des enquêtes de sécurité dans l’aviation civile, Mathieu Vasseur est propulsé enquêteur en chef sur une catastrophe aérienne sans précédent.

beau travail , très immersif , passionnant des le début , tout a fait le genre de film qu on peut écarter pour de mauvaises raisons .
le centre nerveux est forcément l'enquête mais les personnages ont vraiment du poids
ravi de mon dimanche matin

Très bon thriller qui semble d'ailleurs profiter d'un excellent bouche à oreille, il fait encore salle comble 3 mois après sa sortie !
Il en était déjà à 1,2 millions d'entrées fin novembre, curieux de voir jusqu'où il va aller.

Sérieux ? Il est encore dans les salles ?

MK2 Paranasse par exemple , mais reste très peu de salles a l exploiter
très emballé par ce film (assez rare que je le sois sur des films français )

[ConFucKamus]

Bon,
J'ai fini par me décider à aller voir No Way Home



D'abord je réclame l'absolution auprès des membres du topic consacré au film. J'y suis allé malgré mes petites piques. Mais j'ai bien fait.
Je m'attendais à rien. J'étais optimiste. Très optimiste.

Si on parle dramaturgie, Sony/Marvel se dispute la place du moins apte, à force d'humour pachydermique et de concept noyée dans la mixture digitale et l'absence de courage.
À ce petit jeu, No Way Home va encore plus loin qu'un très médiocre Endgame ou que la tâche Black Panther.

Vu qu'il semblait se destiner à affronter une chose que le MCU s'est toujours refusé à faire (assumer sa double identité en plein jour), on pouvait espérer plus de concret, d'enjeux à échelle humaine.
AH AH AH, ne vous fatiguez pas, le prétexte est évacué en 20 minutes montre en main, de la manière la plus en surface qui soit. Pas crédible, pas drôle ni même touchant, et assaisonné d'une écriture proprement atroce.

Confirmation définitive que ce Spider-Man est non seulement le moins intéressant mais également le plus bête des 3 franchises. Comment s'attacher à un héros qui semble totalement oblitéré du cervelet ?
Vous n'êtes juste pas prêts pour l'un des "dilemmes" majeurs de ce film...J'en ai tellement ri que je crois que ça s'est entendu dans la salle.

Tom Holland/Zendaya/Jacob Batalon sont cinégéniques oui...mais qu'est ce qu'on leur fait jouer ? Je vous jure, vous pouvez cracher sur Spiderman 3 ou The Amazing Spider-Man 1 et 2, ils sont tellement supérieurs à ce truc...Et attendez, le clou du spectacle demeure les grands retours à peine dévoilés...

Tenez-vous bien, ce point là est encore pire. Je ne m'attendais pas à un raté dans de telles proportions.
Je sauve Willem Dafoe, qui y met de la bonne volonté. Andrew Garfield semble à peu près motivé tandis que Tobey Maguire lui ne se foule même pas. Et je le comprends. L'apparition de ce dernier en terme de pure mise en scène tient du non-évènement total, c'est horrible.
La plupart des séquences impliquant les 3 Spider-Man atteignent un niveau de gêne déplorable (mention de cette conversation lunaire autour de la toile perso de Maguire )

Vous me direz ce que vous en pensez mais le découpage (frénétique) induit que les comédiens n'ont pas été souvent sur le même plateau au même moment.

Des références verbales, des clins d'œils à deux balles, la ritournelle épuisante autour des grands pouvoirs, et des méchants littéralement violés.
Octopus est ridicule, Electro lamentable, L'homme de sable est fade, quant au lézard c'est au mieux un caméo sans intérêt. Voilà.

Le reste est intégralement à vomir. Plus le temps passe, plus les films deviennent enfantins. Ce No Way Home le confirme.

La séance fut pénible, douloureuse. Et assister à des applaudissements quand les Garfield et Maguire se pointent m'a poussé à verbaliser mon désespoir (une ou deux injures que la décence m'interdit de partager ici avec vous mes amis).

Pour le côté technique, sachez que les SFX sont globalement moyens, les fonds verts sont légion et grillés pour la plupart. Quasi zéro inventivité, pas mal de déjà-vu en bien mieux (chez Raimi, évidemment).
Même la séquence la plus folle visuellement (entre Strange et Spider-Man) parait incongrue puisque rien ne peut la légitimer.
On en revient à l'histoire...qui tient de la plus mauvaise blague. Rien ne tient debout, vraiment rien.


Les deux premiers Spider-Man version Watts/Holland étaient insipides. Dîtes-vous que celui-là conclue la trilogie dans la tristesse, sombrant dans le néant et l'affront en souillant les deux autres sagas consacrées au personnage.
La promo fut calamiteuse, et à moins d'être passablement naïfs, on savait très bien qui allait repointer le bout de son nez. Ils sont donc de retour.

.

J'hésitais à mettre moins, mais je trouverais ça cruel envers le trio de cette franchise ou Cumberbatch ou Dafoe ou Garfield.
Mais honnêtement, c'est le pire que j'aie vu dans la licence, des trois sagas, et parmi les pires de tout le genre. Voilà.


Merci donc à Sony qui selon toute vraisemblance entend livrer une belle série d'étrons fumants après Venom 2 et avant le d'ores et déjà incontournable Morbius.

Ah oui, @Next , je suis au regret de te dire que ce film n'a même pas la décence de tenter le diable en se laissant contaminer par Venom. Le symbiote et son colocataire gênant (oui oui, je parle de Tom Hardy) ne se pointe que pour une scène, fort heureusement la seule qui soit "respectueuse" des films commis par Ruben Fleisher/Andy Serkis/Sony.

[Next]

Mais sur une échelle Venom 2 on est comment en terme de chiasse @ConFucKamus ?
On peut en rire comme DU film de Serkis au moins ?

[Zefurin]

Comment j'ai hâte de voir ça ce soir...

[ConFucKamus]

Mais sur une échelle Venom 2 on est comment en terme de chiasse @ConFucKamus ?
On peut en rire comme DU film de Serkis au moins ?

Je me doutais que tu me demanderais ça.
Venom 2 m'a sidéré par sa bêtise, et comme il était sa propre victime, je regardais ça comme un suicide assisté. Comme je suis humain, je soutiens

Là, le truc c'est que le film salope non seulement les deux précédents qui étaient déjà complètement oubliables, mais en plus il enchaîne les bastos à l'encontre des précédents.

Hâte d'entendre les fans galérer à la défendre ce truc face aux volets avec A. Garfield ou même le Spiderman 3 de Raimi. Il y a même un plan de baiser devant le soleil qui ferait pâlir Michael Bay, c'est te donner une idée du niveau.

Alors oui, j'ai ri à de nombreux moments tellement l'histoire est nullissime, bâclée dans tous les sens et pitoyable. Niveau indigence, on est pas loin du tout de Venom 2

D'un autre côté, je suis choqué du cynisme et du manque d'égard pour les prédécesseurs, c'est atroce. Insultant.


Après réflexion, je pense qu'il faut le voir pour le croire. Et comme toi et moi, on soutient Sony dans leur entreprise de destruction totale, alors...Fonce !
Prépare quand même les mouchoirs. À défaut de pleurer de rire, tu pourras au moins étouffer les dégénérés qui applaudissent en dépit de toute forme de bon sens.

[Next]

Mais sur une échelle Venom 2 on est comment en terme de chiasse @ConFucKamus ?
On peut en rire comme DU film de Serkis au moins ?

Je me doutais que tu me demanderais ça.
Venom 2 m'a sidéré par sa bêtise, et comme il était sa propre victime, je regardais ça comme un suicide assisté. Comme je suis humain, je soutiens

Là, le truc c'est que le film salope non seulement les deux précédents qui étaient déjà complètement oubliables, mais en plus il enchaîne les bastos à l'encontre des précédents.

Hâte d'entendre les fans galérer à la défendre ce truc face aux volets avec A. Garfield ou même le Spiderman 3 de Raimi. Il y a même un plan de baiser devant le soleil qui ferait pâlir Michael Bay, c'est te donner une idée du niveau.

Alors oui, j'ai ri à de nombreux moments tellement l'histoire est nullissime, bâclée dans tous les sens et pitoyable. Niveau indigence, on est pas loin du tout de Venom 2

D'un autre côté, je suis choqué du cynisme et du manque d'égard pour les prédécesseurs, c'est atroce. Insultant.


Après réflexion, je pense qu'il faut le voir pour le croire. Et comme toi et moi, on soutient Sony dans leur entreprise de destruction totale, alors...Fonce !
Prépare quand même les mouchoirs. À défaut de pleurer de rire, tu pourras au moins étouffer les dégénérés qui applaudissent en dépit de toute forme de bon sens.

J'irai de toute façon, je veux voir le bordel même si je n'en attends rien.

En tout cas sur Twitter les fans locaces sont ravis et commence déjà à balancer des vidéos screeners pleines de spoils, donc faîtes gaffe si vous ne voulez pas savoir.
Mais de toute façon le spectateur lambda (qui a potentiellement sincèrement apprécié/aimé Venom 2) aura une sensation de jouissance absolue rien qu'avec le secret le moins bien gardé de l'année en terme de promo. Le reste passera à la trappe.

[BoBleMexicain]

oé
ya une fièvre boutonneuse sur Tweeter , l'acné a parlé
les neurones surement moins

[ConFucKamus]

J'irai de toute façon, je veux voir le bordel même si je n'en attends rien.

En tout cas sur Twitter les fans locaces sont ravis et commence déjà à balancer des vidéos screeners pleines de spoils, donc faîtes gaffe si vous ne voulez pas savoir.
Mais de toute façon le spectateur lambda (qui a potentiellement sincèrement apprécié/aimé Venom 2) aura une sensation de jouissance absolue rien qu'avec le secret le moins bien gardé de l'année en terme de promo. Le reste passera à la trappe.

Je préfère pas les lire, parce que je serai probablement très moqueur ou violent envers les retours. Franchement, un tel degré zéro dans l'histoire et les dialogues, je vois vraiment pas ce qu'on peut défendre.

Tu passes l'effervescence des retrouvailles (largement éventées dans les BA), faut être raisonnables : pas grand chose à se mettre sous la dent en termes de spectaculaire. C'est même très décevant, voire laid (les incrustations sont grillées de chez grillées).

[Redzing]

Ces dernières semaines je me rends compte a posteriori que j'ai fait un trip 90's, (re)découvrant beaucoup de films de cette décennie assez incroyable.

Hier, j'ai par exemple revu avec énormément de plaisir Die Hard with a Vengeance (Die Hard 3).



Film que je connais très bien, pour l'avoir vu un paquet de fois quand j'étais étudiant.
En le revoyant après plusieurs années, je me rends compte qu'il est encore très efficace. La gestion de la caméra à l'épaule est juste géniale pour l'époque, anticipant les films comme Jason Bourne ou Casino Royale, avec la séquence de l'ascenseur par exemple.
Cela anticipe aussi les abus qui seront faits autour de ce procédé (films m'as-tu-vu et shaky cam)...

Et puis cette intro géniale : on voit des plans généraux de NY comme dans n'importe quelle exposition, on s'attend à un dialogue ou à voir McClane dans son quotidien... et BOUM, première explosion moins d'une minute après le titre.

Bon, le film a un peu vieilli sur quelques points : l'intrigue basée sur des cabines téléphoniques et des portables peu fiables, les références/blagues typiquement 90's un peu datée (une vanne géniale sur Rodney King... et ma femme m'a demandé qui c'était ) voire carrément de mauvais goût aujourd'hui (référence à Donald Trump, à Hilary Clinton comme prochaine présidente, aux attentats du World Trade Center...).
Mais ça reste diablement efficace, le film trouve le juste milieu entre l'action décomplexée omniprésente, le scénario malin, et les perso intéressants.

Pas étonnant que Die Hard 4 et 5 aient tenté de le copier, avec à mon goût beaucoup moins de brio pour le 4, et de l'excrément en barre pour le 5.

[Zefurin]

Die hard 3... j'adore ce film.

Il a juste un moment un peu "ventre mou" une fois que McLane et Zeus quitte la banque de dépot d'or... ils se dispatchent : John va suivre le convoie des terroristes et Zeus va au stade de baseball. Ce moment là est un peu en mode "Pilote automatique"... surtout la façon dont Zeus récupère McLane qui se fait propulser dans les airs par une bouche d'égou... à l'endroit même ou Zeus regardait par la fenêtre.
Bref, ce passage me fait toujours un peu grincer des dents.

MAIS...
Mais... le reste est un pur bonheur.
C'est drôle. Les dialogues sont piquants. Le méchant est délectable (Jeremy Irons est pour moi l'être humain le plus claaaaaaaaaaasse de cette planète... affable, moqueur, dandy... et en plus il a une éthique quand on découvre qu'il n'a jamais mis de bombe dans la moindre école. "Je ne suis pas un Monstre John... je suis un soldat"), et le concept du héros et de l'adversaire qui sont tous les deux souffrant de mots de tête qui va faire provoquer sa seule erreur du film, à savoir laisser à John un tube d'aspirine qui indique l'endroit où se trouve la cache de Simon... c'est magistral.

Ca reprend le concept de Die hard 1... où tous les petits détails ont une importance. Le nom de famille de Holly (Gennero), le massage de pied que John teste sur les conseils du chauffeur de la limousine, la photo de famille dans le bureau qui est rabattue, LA ROLEX... c'est la foire au Chekov Gun ce film.

Die hard 3... on retrouve assez bien ce concept avec la migraine de John, le numéros des chiffres du loto, les pièces de 10 cents, le coup de fil que John doit passer à Holly...
Ces petits détails me plaisent trop et font que le film est délectable.

Et la VF est tellement chouette.
- Vous savez où se terre Mclane ?
- A cette heure-ci ? Surement pas dans un monastère...

[BoBleMexicain]

c'est vrai que DH3 est bon
mais
quand même face au DH1 , l effet de surprise n est plus la
piège de cristal me semble bien au dessus quand même

[ConFucKamus]

@Redzing & @Zefurin

Die Hard 3, Une Journée en Enfer, deux titres possibles mais une référence ultime. Vous me voyez au regret de vous le dire, mais je vais devoir prendre le temps de jouir.

À part le premier, un micro-chouïa supérieur sur son scénario, je n'ai jamais vu mieux dans le domaine (si y'en a un qui a le malheur de citer les croutes The Raid 1 et 2, je lui arrache les balloches)

McTiernan est la première star du film : le genre de cadors qui va relancer son titre, défoncer les codes qu'il a instaurés et redéfinir (encore) le cinéma d'action pour les décennies suivantes. Tranquille.
Caméra portée, chaos ambiant et accès de violence sans prévenir (le gars coupé en deux par les câbles ...mes yeux sont sortis des orbites à ce moment).

Ce que Paul Greengrass et je ne sais combien de réalisateurs galèrent à faire, McTiernan te le synthétise en 100 fois mieux ici. L'influence de Police Fédérale Los Angeles est claire, McTiernan le revendique.
Et qui mieux que lui pour passer derrière le génie Friedkin ? Vous embêtez pas, les meilleures poursuites au ciné c'est chez lui, McT et George Miller que ça se passe.

Bref, McT c'est un demi-Dieu, minimum.

Niveau scènes cultes, il y en a littéralement partout.
- L'intro géniale, qui te met tout de suite dans le bain (j'ai toujours eu Summer in the City de Lovin Spoonful dans ma playlist )
- La rencontre drôle et bien tendue entre McClane/Zeus
- Le dialogue hilarant entre Zeus et Simon suivi de la provoc' de McClane.
- La poursuite en Taxi (si en plus tu as joué à Die Hard Trilogy, orgasme)
- La bombe dans le métro
- La fontaine et les 4 gallons
- Le flingage dans l'ascenseur (comment on a pu comparer une dégueulasserie comme la scène de Winter Soldier avec ce monument?)
- Le double climax La poursuite sur l'autoroute/évacuation de l'école
- Le duel McClane/Zeus/Simon

Et cette nom de dieu de putain de VF de la mort qui tue. Ce film est l'une des meilleures réponses aux sectaires anti-VF


Toutes les séquences entre Willis et L. Jackson sont mémorables. J'adore tellement quand Zeus impose ses conditions à McClane

OK, le final est légèrement en dessous mais franchement je m'en cogne, le plaisir est là d'un bout à l'autre. Je retiens même une brassée de seconds-rôles bien castés et un joli panel de répliques cultes.


Le dernier Die Hard pour moi ( , point final)

Le 4 est acceptable au mieux comme film d'action, comme Die Hard c'est indigne. Le 5 n'existe pas, c'est faux.

[Redzing]

Je trouve effectivement DH légèrement supérieur à DH3. Je leur mets respectivement 10/10 et 9/10. Tous les deux des super films d'action !

[Redzing]

Vous me voyez au regret de vous le dire, mais je vais devoir prendre le temps de jouir.