Venez donner votre avis sur les films à l'affiche ou en provenance des plateformes SVOD, mais aussi réagir à l'actualité du 7ème Art (annonces, trailers, etc...)
Par contre, le truc qui le rend tout de même...euh..."intéressant" - faute de trouver un mot plus adéquat prenons le terme générique par excellence - c'est son absence intégrale de cohérence. Plus les scènes s'enchainent, moins ça a de sens, les personnages font n'importe quoi (vraiment n'importe quoi), et ça dure, ça dure...
Deux jours après le visionnage, oui c'est assez fabuleux comme rien n'a de sens.
Toujours pas compris si le film voulait essayer de nous tromper en faisant faire à ses personnages des choses totalement contraires d'une scène à l'autre, ou juste si chaque scène a été écrite sans se préoccuper des précédentes.
On ne comprend ni ce qui motive le couple à rester ensemble, ni leur attitude ni leur but à chacun.
Et encore moins tous les gens qui gravitent autour dont l'attitude est folle entre accusations, jemenfoutisme et psychologie de fin de soirée alcoolisée.
Thriller érotique, mon œil. Le plan le plus excitant ça doit être quand Ben hydrate l'un de ses escargots c'est dire.
Et cette poursuite finale...
Superbe la poursuite oui. Tant en terme de mise en scène que de rebondissements. Pour le coup vraiment digne de nanarland.
Mais Ben Affleck qui pense à sa femme en train de ken un autre homme en regardant son escargot lui baver sur les doigts c'est un truc qui ne s'oublie pas. Vraiment. Imprimé à tout jamais dans ma mémoire !
C'était dur à subir. Mais je ne regrette absolument pas d'avoir pris le temps de visionner ça.
Et quand même c'est fou de se dire que Ben Affleck et Ana de Armas se sont un temps mi en couple durant ou après le tournage de ce film.
Tant il n'y a pas la moindre alchimie ni tension sexuelle qui ressort de leur jeu dans le film.
Vu Heat au cinéma a une époque où moi et madame on y allait encore pas mal... C'était juste après Casino de Scorsese je crois et de l'Armée des 12 singes...Une époque où y avait encore des choses recommandables sur grand écran...
Tu oublies Seven (ou Se7en, écrit à l’américaine) sorti la même année. Et Braveheart, aussi.
Et je le dis à chaque fois le SON du Laserdisc du gunfight a faire exploser le mur de Berlin a lui tout seul...Chaque détonation déchirait la membrane des enceintes ! (et éventuellement celle des oreilles des voisins )
BOX OFFICE STORY a écrit : ↑sam. 19 mars 2022 16:15
Et je le dis à chaque fois le SON du Laserdisc du gunfight a faire exploser le mur de Berlin a lui tout seul...Chaque détonation déchirait la membrane des enceintes ! (et éventuellement celle des oreilles des voisins )
Ah ! la grande époque des LaserDiscs…
le paradoxe de ce format ( que j ai eu qui m avait coûté un bras mais dont j adorais les grandes galettes et la qualité ) c'est qu a l époque ou c'est sorti
c'etait trop en avance sur le support télévision . un peu comme si on avait sorti un moteur révolutionnaire qu aucun châssis ne pourrait recevoir .
alors c etait plus beau que la VHS indéniablement mais avec une télé actuelle ca aurait tout explosé !!
Philips a souvent eu ce problème d etre avant gardiste ( format cassette V2000 fabuleux ) mais a l arrivée se fait coiffer
Conclusion de la trilogie GTA de Bay (avec ses 2 meilleurs films : Pain.& Gain et Bad Boys 2), le real revient aux affaires serieuses avec un vrai bon.actioner ambiance 90s !
C'est souvent jubilatoire, avec des experimentations au drone qui rappellent presque le Tsui Hark de Time and Tide (toute proportion gardée), un montage qui eclate le temps et l'espace (parfois trop, faut prevoir l'aspirine), mais surtout un script tenu, un bon cast et meme un perso feminin reussi (une 1e chez Bay)
Meme la BO de Lorne Balfe est energique a souhait
En resulte un vrai plaisir qui se veut egalement une belle declaration d'amour à Los Angeles.
Ouais du bon Bay !
BOX OFFICE STORY a écrit : ↑sam. 19 mars 2022 16:15
Et je le dis à chaque fois le SON du Laserdisc du gunfight a faire exploser le mur de Berlin a lui tout seul...Chaque détonation déchirait la membrane des enceintes ! (et éventuellement celle des oreilles des voisins )
Ah ! la grande époque des LaserDiscs…
le paradoxe de ce format ( que j ai eu qui m avait coûté un bras mais dont j adorais les grandes galettes et la qualité ) c'est qu a l époque ou c'est sorti
c'etait trop en avance sur le support télévision . un peu comme si on avait sorti un moteur révolutionnaire qu aucun châssis ne pourrait recevoir .
alors c etait plus beau que la VHS indéniablement mais avec une télé actuelle ca aurait tout explosé !!
Philips a souvent eu ce problème d etre avant gardiste ( format cassette V2000 fabuleux ) mais a l arrivée se fait coiffer
Je me souviens de la beauté des pochettes, je bavais au Virgin...Ah le prix piquait un peu, 200 balles le disque en 95 cela faisait mal au fion...
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
Conclusion de la trilogie GTA de Bay (avec ses 2 meilleurs films : Pain.& Gain et Bad Boys 2), le real revient aux affaires serieuses avec un vrai bon.actioner ambiance 90s !
C'est souvent jubilatoire, avec des experimentations au drone qui rappellent presque le Tsui Hark de Time and Tide (toute proportion gardée), un montage qui eclate le temps et l'espace (parfois trop, faut prevoir l'aspirine), mais surtout un script tenu, un bon cast et meme un perso feminin reussi (une 1e chez Bay)
Meme la BO de Lorne Balfe est energique a souhait
En resulte un vrai plaisir qui se veut egalement une belle declaration d'amour à Los Angeles.
Ouais du bon Bay !
Purée Bay qui se rappelle à notre bon souvenir... Ah son putain de Bad Boys 2 !!
Ah Rock produit par Bruckheimer avec sa musique omniprésente ! Y avait du zim boum même quand le héros allait aux WC
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
Conclusion de la trilogie GTA de Bay (avec ses 2 meilleurs films : Pain.& Gain et Bad Boys 2), le real revient aux affaires serieuses avec un vrai bon.actioner ambiance 90s !
C'est souvent jubilatoire, avec des experimentations au drone qui rappellent presque le Tsui Hark de Time and Tide (toute proportion gardée), un montage qui eclate le temps et l'espace (parfois trop, faut prevoir l'aspirine), mais surtout un script tenu, un bon cast et meme un perso feminin reussi (une 1e chez Bay)
Meme la BO de Lorne Balfe est energique a souhait
En resulte un vrai plaisir qui se veut egalement une belle declaration d'amour à Los Angeles.
Ouais du bon Bay !
Mon @NaughtyDog, je t'explique mon problème :
- Je méprise Pearl Harbor, Bad Boys 2, Armageddon, les 3/4 de Transformers et 6 Underground
- Je n'aime pas The Island, Bad Boys, Transformers
- Je tolère de justesse 13 Hours
- Je tolère moyennement Pain and Gain
- J'aime Rock
Donc puis-je apprécier Ambulance comme un Bay en mode plus mesuré, attendu que certaines critiques sont même choquées de voir un personnage féminin...intéressant ?
Bon en parallèle, je dénote surtout la mansuétude envers le style apparemment toujours aussi pété en termes de lisibilité et de géographie alors que pour d'autres cinéastes, on tape et sans retenue.
Je comprendrai jamais qu'on OSE le poser en maître de l'action. Jamais, m'entends-tu JA-MAIS ce réalisateur n'arrivera à un 10ème des vrais maîtres !
Voilà, pardon, excuse-moi, donc peux-tu maintenant me dire si Ambulance pourrait nuancer mon constat un rien polarisé ?
Et bisous
Conclusion de la trilogie GTA de Bay (avec ses 2 meilleurs films : Pain.& Gain et Bad Boys 2)
La double référence fait peur, Pain & Gain est mon préféré de Bay (un de ses rarissimes bons films) mais vanter l'étron Bad Boys 2 juste après annihile le compliment pour Ambulance.
Après le film semble plutôt bien reçu, et Gyllenhaal n'est pas du genre à accepter des rôles de merde (même dans Spiderman son personnage était plutôt intéressant). Donc plutôt optimiste pour ce film, je ne dirais pas non si on me propose d'aller le voir.
Bad Boys 2 c'est un gros film deviant mais que je trouve tellement taré (avec sans doute le plus d'idées chez Bay) que c'est impossible de bouder le plaisir
Bad Boys 2 c'est un gros film deviant mais que je trouve tellement taré (avec sans doute le plus d'idées chez Bay) que c'est impossible de bouder le plaisir
Et oui Ambulance est bcp plus mesuré et serieux !
Ah ça pour être déviant, Bad Boys 2 est un jalon !
Mais plus sérieusement, je suis réellement perplexe devant certains critiques qui louent le style Bay dans tout ce qu'il signifie (shaky-cam, hystérie au montage, zéro gestion de l'espace) alors que pour moins que ça ils taillent un paquet
d'autres cinéastes ou film...
Perso, je comprends pas du tout. Ça me paraît incroyable envers Bay et terriblement injuste envers les autres.
Paul WS Anderson ou John Moore se font bien plus allumer alors que franchement, je saurais pas dire lequel est le plus incapable
@NaughtyDog refusant de me répondre, j'ai donc été obligé de vérifier par moi-même ce fameux Ambulance, par Michael Bay
Premier film de Bay que je vais voir au cinéma depuis...depuis...depuis Pearl Harbor.
Je mettrai ce dernier long entre The Island et 13 Hours. Autrement dit, un film au potentiel évident, qui aurait pu être un bon film à l'aise...avec un autre cinéaste.
Je le répète : le gros point négatif du film, c'est Bay.
2 exemples :
- Sortis du braquage, les mecs se font griller et allumer par les flics (dans une fusillade bordélique au possible). Ils retournent en arrière, descendent, vont dans un parking sous-terrain puis remontent, se retrouvent dans un hall tout illuminé qu'on a jamais vu or au dessus logiquement c'est la banque,...bref c'est un bordel sans nom !
- Il y a une scène sur l'autoroute, on passe d'un tronçon à un autre à chaque plan, c'est pas croyable.
Je pourrais en prendre d'autres (la baston fraternelle au volant, modèle d'illisibilité qui fait passer Greengrass pour du Paul Schrader).
Bref, toujours 200 plans à la minute, même pour un simple dialogue. C'est un carnage complet pour toute personne cherchant à dégager une forme de sens.
Oui, les plans de drones sont sympas, indéniablement. Dommage qu'ils excèdent pas 2 secondes, parce que finalement c'est juste un cheveu sur la soupe, rien de plus.
On fait chier Nolan parce qu'il est brouillon sur Batman Begins ou TDK (perso, je trouve que l'action marche très bien dans TDK), mais c'est tellement à des années lumières de ce que Bay fait en permanence ! Et pourquoi là ça passerait ? NON, ça passe pas bordel !
À partir du moment où le réalisateur ne sait pas raconter quelque chose, et que tout est prétexte à un empilement de plans, tu obtiens une bouillie et c'est tout.
L.A est filmé de la même manière que Miami, c'est à dire mal. Friedkin et Mann sont peinards, Bay n'est même près de venir leur chatouiller les doigts de pieds sur tous les plans : action, immersion, narration, etc...
Attendez, attendez
Il y a du bon.
Un, les comédiens sont bien. Gyllenhaal est parfait, Yahya Abdul-Mateen II ne s'arrête pas de me faire plaisir, et Eiza González a un vrai rôle (une première !). Même les seconds-rôles jouent bien.
Bon il faut se fader les blagues à 90% pourries de chez pourries, certains personnages bien gonflants (le lieutenant Dhaszghig, mais qu'elle la ferme !), la ritournelle du marine devant lequel Bay bave, et la dimension familiale ridicule au possible.
Attendez, attendez, la fin est bien. Simple, grave, humaine. Grosse surprise, vraiment. À ce moment là on se dit "mais en fait, Michael, tu as également des vues sur de vraies questions morales"
Je suis curieux de voir l'original maintenant. Persuadé que la narration sera infiniment mieux gérée (à part Olivier Mégaton, je vois pas qui pourrait faire pire)
Vu Dans le silence de l'Ouest (The keeping room), un de ces westerns récents (inédit mais datant déjà de 2014) qui explorent des situations habituellement oubliées de Hollywood. En l'occurence, celle de ces civils du Sud durant la Guerre de Sécession, oubliés du conflit (mais plus pour très longtemps), un sujet qui a été traité par Retour à Cold Mountain mais un peu plus au nord. Là, on a deux femmes blanches, délaissées de leurs hommes mobilisés, et leur esclave en Géorgie, obligés de vaquer à leurs activités agricoles pour survivre, qui aimeraient bien que la guerre se finisse mais sont soumis aux signes inquiétants que celle-ci se rapproche.
Le film est lent, pour faire mieux ressentir le quotidien banal et ennuyeux de ces simples personnes, puis les inquiétudes tout aussi terre-à-terre qui commencent à les assaillir, les nouvelles de l'approche de l'armée nordiste du général Sherman et des dévastations qu'elle commet parvenant à leurs oreilles. Et elles en ont un avant-goût lorsqu'arrivent deux soldats pilleurs, des Sherman's bummers comme on les appelait, ces déserteurs et pillards qui tournaient autour de cette armée unioniste et venaient amener leur grain de sel à ses pillages "officiels", comme si ceux-ci ne suffisaient pas. Leur affrontement est bref et sobre, la scénariste Julia Hart et le réalisateur Daniel Barber mettant l'accent sur l'opposition des points de vue, aussi bien ceux des trois femmes que de leurs agresseurs mâles. Avec un Samuel Worthington qui est remarquablement à contre-emploi dans ce rôle de soldat perdu, qui de son propre aveu ne sait plus s'arrêter et court vers la mort. Les quelques interprètes, le film jouant la carte de la rareté, justifiée par le milieu rural et reculé, sont sobres (avec la rare Brit Marling et Hailee Steinfeld avant qu'elle ne se lance dans les clips), à l'image d'un film qui joue sur peu de moyens. Une simplicité qui ne plaira pas à tout le monde, mais ce film vaut d'être découvert à mes yeux.
après le très bon Deux Moi, Klapisch revient cette fois avec En Corps, l'histoire d'Elise, ballerine mise sur la touche après une vilaine entorse. Remettant en cause toute sa vie, elle va passer plusieurs jours auprès d'une compagnie de danseurs contemporains, et tenter de renaître d'une nouvelle manière.
Bref le concept de la chute et la renaissance est un concept usé jusqu'à la moelle au cinoche, en particulier le film de sport.
Et En Corps n'ajoutera rien à l'édifice, ce qui est bien dommage : autant passer par le principal reproche, son côté bicéphale. D'un côté Elise suit un chemin l'éloignant de la danse classique, et une voie de reconstruction pour se forger de nouveaux rêves. De l'autre le métrage suit un chemin assez balisé de rééducation facile en 3-4 mois, sans gros heurts ni obstacles (donc in fine assez peu de poids émotionnel sur la fin).
Cependant, et comme souvent chez le réal, le métrage bénéficie d'un soin de mise en scène, de direction d'acteurs et de gestion de l'humain qui transcende le tout.
Au fond point de grandiloquence, on apprécie suivre Elise (et la révélation Marion Barbeau qui est une danseuse chevronnée de l'Opéra de Paris, et la voir réaliser des prouesses sans trucage ajoute à la beauté globale) avec authenticité, au gré de ses rencontres.
Tout le cast secondaire est super (François Civil en lourdeau attachant, Pio Marmaï et Souheila Yacoub en couple disruptif, Denis Podalydès en paternel distant mais cinglant ou bien Muriel Robin en mentor acariatre dotée d'un grand coeur), on regrettera quand même une romance un peu bazardée rapidement, et sans réel poids émotionel
Depuis son précédent film, Klapisch met le visuel a un plan supérieur, et c'est encore le cas ici (notamment toute l'intro usant de couleurs primaires), et la BO (à laquelle un des ex Daft Punk a participé est réussie).
Bref, si le film aurait pu aller plus loin (en exploitant un peu plus les blessures familiales d'Elise, notamment la disparition de la mère), En Corps aurait pu accéder un lever supérieur
Reste un bon film, bien réalisé, très bien interprêté, drôle, humain
3,5/5
pas mal mais manque d'une direction digne de ce nom (et d'un script qui aille plus loin)
je trouve que la progression narrative tourne un peu en rond ensuite, mais heureusement ce biopic a pour lui son contexte des télévangelistes et surtout son perso principal très très bien incarné par une Chastain qui s'efface réellement (ça sent l'Oscar). Par ailleurs il y a un boulot assez génial sur toutes les prothèses qu'elle arbore, pour un résultat qui ne parait pas artificiel Du plus jeune âge jusqu'a sa fin de carrière, elle campe une Tammy Faye complexe, bien épaulée par Andrew Garfield
bcp aimé ce thriller certes ultra classique dans ses tenants et aboutissants (du home invasion assez proche d'Harry un ami qui vous veut du bien),mais bénéficiant d'une réalisation,d'un sound design,d'une photographie 16 mm et d'un casting réellement très bons
déjà Benoît Poelvoorde très intense (on a l'a pas vu aussi bon depuis des lustres), et que ce soit Mélanie Doutey (offrant un contraste intéressant en femme distinguée face à son mari plus prolétaire) ou la révélation Alba Gia Belluggi (qui joue bien sur l'aspect tantôt innocent tantôt vénéneux du perso)
Du coup le film se suit avec plaisir, de manière un peu balisée il est vrai alors que des révélations se font, mais pour le dernier tiers Fabrice du Welz opère un shift intéressant, en jouant allègrement de la tension et du suspense. Là encore gros travail sur le montage et le son, pour un résultat bien viscéral
au final, le tout dure 1h30, file à toute vitesse et malgré son aspect classique, est efficace et très bien emballé.
3,5/5
Après un 1er opus pas terrible (malgré un Sonic et un Robotnik réussis), cette suite est plutôt plaisante (conservant toutefois quelques problèmes)
Déjà, on est bien plus dans une vraie adaptation, en proposant plus de lore et de level designs hérités de la franchise vidéoludique
du coup voir Sonic, Tails, Knuckles (le trio est bien réussi en plus d'être très bien animé) et du gros robot Robotnik est un vrai plaisir, tandis que l'aventure ne se cantonne pas à une ptite bourgade US de teen movie.
Si bien qu'on a de la montagne, du temple labyrinthique et même un climax assez généreux, malgré quelques irruptions comiques qui dénotent en suivant des persos humains dont on se fiche assez royalement
Tout le cast VO est très bon (forcément y a Idris Elba enplus) et Jim Carrey s'amuse encore en cabotinant comme il faut
même l'action est plutot lisible, tout comme la BO de Junkie XL assez épique par instants
bref c'est pas non plus une grosse réussite, mais une suite honnête qui peut se targuer d'être un film Sonic cette fois
Oui ça se sent via les trailers que ce second opus est moins pourri et plus généreux concernant l'univers Sonic.
Tu me rassures, je pourrai y aller avec mon gosse sans trop d'appréhensions.
Ah, et j'espère qu'en VF ils nomment Dr Robotnik et non Dr Eggman !
"On peut manger tous les champignons !
Tous les champignons sont comestibles, certains ne le sont qu'une fois, c'est tout !"
Oui ça se sent via les trailers que ce second opus est moins pourri et plus généreux concernant l'univers Sonic.
Tu me rassures, je pourrai y aller avec mon gosse sans trop d'appréhensions.
Ah, et j'espère qu'en VF ils nomment Dr Robotnik et non Dr Eggman !
Apres y a tjs des soucis mais c'est + honnete et plus divertissant
Après une journée qui m'a lessivé, j'ai décidé de revoir A toute Epreuve de John Woo. Film que j'aime beaucoup, mais que je n'avais pas du voir en entier depuis 10 ans. J'ai donc pris le temps de le revoir hier.
Et bon sang que ça fait du bien !
Ca ne vieillit pas (bon à part les costumes des mafieux ), et pourtant le film a maintenant 30 ans (!). C'est toujours diablement efficace et tonitruant, du vrai travail d'orfèvre. Rien que la séquence d'intro du salon de thé met une mandale à l'immense majorité des films d'action hollywoodiens sortis depuis 2000. Même sur le fond, les personnages sont finalement plus subtils que dans mes souvenirs (on voit les dommages collatéraux qu'ils commettent, Tequila ne sourcille pas à l'idée de flinguer froidement un adversaire pourtant neutralisé...).
J'ai l'impression de l'avoir encore plus apprécié qu'il y a 10 ans. L'effet d'avoir subit des années 2010 plutôt pauvres en terme d'action ?
Bon je pense que la majorité (totalité ?) de ceux qui viennent ici l'ont déja vu. Si ce n'est pas le cas, foncez évidemment, c'est un must.
Bonjour à tous et il sera sûrement meilleur que le mien puisque je viens de voir Morbius
Mais de rien je sais que cette image vous donne encore plus envie d'y aller
Sony passe pas loin de l'impensable avec ce film, surtout après l'emblématique Venom, l'exceptionnel Let There Be Carnage et l'autre croute de No Way Home.
C'est un film nul, simplement nul, définitivement nul.
En détails, j'ai eu constamment l'impression que c'était un film fait au jour le jour, sans idée, sans scénario et sans motivation.
Résumons-ça en un dialogue probablement survenu tous les jours sur le plateau :
"- Coupez, elle est bonne
- Non, t'es sûr ? Parce que là, je vois pas où on peut on la mettre cette séquence. Puis en plus, elle est nulle"
- Ta gueule. Allez, on avance ! "
Le film n'est
- pas construit : le flashback en montage parallèle, incompréhensible...je savais même plus qui étaient les gosses ! )
- pas intéressant : intrigue tellement rushée qu'on se croirait chez Asylum
-Et évidemment mal fait. Lors des scènes de castagne c'est drôle puisqu'il n'y a zéro sang. La première fois que Morbius arrache la gorge d'un figurant, le mec se la tient et y'a pas une goutte de sang ! Ça rend le truc génial, tellement au rabais !
Jared Harris change pas en 25 ans, il apparait 2 minutes au début, puis disparait pendant 1 h on s'en fout
On ne croit jamais à cette histoire d'amitié, encore moins à la romance (pauvre Adria Arjona, je ne serai pas original elle est vraiment magnifique )
Si l'Oscar du meilleur premier rôle endormi ira à Ben Affleck ( pour Eaux Profondes), Tyrese Gibson n'a aucune concurrence pour le second-rôle. Le mec m'a déprimé à chaque moment où il apparait tellement il a l'air ailleurs.
Faut le comprendre, son duo avec Al Madrigal (2 flics qui enquêtent) est LE truc le plus inutile du film. Vous le virez, on ne le remarque même pas.
Hélas, Jared Leto a remisé son goût pour la performance hors de contrôle, et zut il est plutôt pas mal en héros. Mais pourquoi Jared ??
Le petit plaisir, c'est Matt Smith qui cabotine avec un certain panache (même s'il a droit à quelques ralentis très embarrassants). Et puis en soi, assister à un truc qui semble excavé des 90's, aux effets complètement ringards, emballé en 3ème vitesse par un réal qui manifestement y prend autant de plaisir que moi devant un discours de Castex...
Bref, c'est nul. Mais on peut en rire.
PS Les scènes post-génériques sont débiles. Cela dit, je conchie la politique des scènes post-gén depuis perpète alors je m'en fiche. J'étais par contre amusé par l'animation du générique
Tellement fainéant et lambda qu'on se croirait devant un écran de veille windows
Modifié en dernier par ConFucKamus le mer. 30 mars 2022 21:10, modifié 1 fois.
De toute maniere Sony a programme son autodestruction...
Entre Venom et Morbius ou Morpion lol le cinema ne vas jamais s en remettre...
Sinon sur l echelle de Venom tu le mettrais a combien ?
J'ai eu une grosse envie de chefs d'oeuvres ces derniers jours (sans doute pour me préparer psychologiquement à Morbius).
Du coup en vrac j'ai regardé :
- Blood Red Sky sur Netflix : de la grosse série B qui mélange thriller de détournement d'avion avec vampirisme. C'est un gros n'importe quoi clairement, avec tous les clichés et personnages habituels du genre.
Il fut un temps où ça aurait fait un petit DTV de fond de catalogue. Désormais c'est une sortie Netflix comme une autre (de l'an passé).
- Peur Bleue 3 (en ce moment sur Canal) : j'ai découvert en passant que le bidon Peur Bleue et ses requins CGI mal fichus avait déjà droit à une deuxième suite en 2020.
Là encore, du gros DTV pur jus, qui mélange tous les poncifs du genre avec des gros requins pas beaux numériques (qu'on peut parfois apprivoiser comme des vélociraptors), des acteurs de troisième zone, des méchants qui font du karaté et les protagonistes principaux désormais forcément blogueurs ou influenceurs. Le tout sur une minuscule île artificielle qui peut s'écrouler à tout moment.
Du grand Art !
- Death on the Nile est l'archétype même du film Fox que Disney a balancé à l'arrache. Probablement même pas fini tant les (nombreux) plans CGI paraissent sortis d'un vieux jeu vidéo mal fichu. Je ne peux pas croire qu'ils soient considérés comme finalisés, de même que certains fonds verts.
Au-delà de ça, c'est fidèle à ce que proposent les trailers. Parfois passable, parfois ridicule et manquant cruellement de subtilité dans sa mise en scène.
Bonjour à tous et il sera sûrement meilleur que le mien puisque je viens de voir Morbius
Mais de rien je sais que cette image vous donne encore plus envie d'y aller
Sony passe pas loin de l'impensable avec ce film, surtout après l'emblématique Venom, l'exceptionnel Let There Be Carnage et l'autre croute de No Way Home.
C'est un film nul, simplement nul, définitivement nul.
En détails, j'ai eu constamment l'impression que c'était un film fait au jour le jour, sans idée, sans scénario et sans motivation.
Résumons-ça en un dialogue probablement survenu tous les jours sur le plateau :
"- Coupez, elle est bonne
- Non, t'es sûr ? Parce que là, je vois pas où on peut on la mettre cette séquence. Puis en plus, elle est nulle"
- Ta gueule. Allez, on avance ! "
Le film n'est
- pas construit : le flashback en montage parallèle, incompréhensible...je savais même plus qui étaient les gosses ! )
- pas intéressant : intrigue tellement rushée qu'on se croirait chez Asylum
-Et évidemment mal fait. Lors des scènes de castagne c'est drôle puisqu'il n'y a zéro sang. La première fois que Morbius arrache la gorge d'un figurant, le mec se la tient et y'a pas une goutte de sang ! Ça rend le truc génial, tellement au rabais !
Jared Harris change pas en 25 ans, il apparait 2 minutes au début, puis disparait pendant 1 h on s'en fout
On ne croit jamais à cette histoire d'amitié, encore moins à la romance (pauvre Adria Arjona, je ne serai pas original elle est vraiment magnifique )
Si l'Oscar du meilleur premier rôle endormi ira à Ben Affleck ( pour Eaux Profondes), Tyrese Gibson n'a aucune concurrence pour le second-rôle. Le mec m'a déprimé à chaque moment où il apparait tellement il a l'air ailleurs.
Faut le comprendre, son duo avec Al Madrigal (2 flics qui enquêtent) est LE truc le plus inutile du film. Vous le virez, on ne le remarque même pas.
Hélas, Jared Leto a remisé son goût pour la performance hors de contrôle, et zut il est plutôt pas mal en héros. Mais pourquoi Jared ??
Le petit plaisir, c'est Matt Smith qui cabotine avec un certain panache (même s'il a droit à quelques ralentis très embarrassants). Et puis en soi, assister à un truc qui semble excavé des 90's, aux effets complètement ringards, emballé en 3ème vitesse par un réal qui manifestement y prend autant de plaisir que moi devant un discours de Castex...
Bref, c'est nul. Mais on peut en rire.
PS Les scènes post-génériques sont débiles. Cela dit, je conchie la politique des scènes post-gén depuis perpète alors je m'en fiche. J'étais par contre amusé par l'animation du générique
Tellement fainéant et lambda qu'on se croirait devant un écran de veille windows
Vu le bazar aussi
On tient notre Venom 2 de l'année (hâte de voir Kraven l'an prochain du coup )
Morbius est une des plus grosses bouses que j'ai vu dans le milieu blockbusteresque
C'est simple, y a rien qui ne va à part qu'il s'agit d'un objet filmique qui se regarde et sans aspérité
C'est d'un lisse et d'une vacuité sidérante, tout en se foirant à absolument tous les niveaux
Espinosa est en mode yes man complet, ça a la meme gueule que les blockbusters super-heroiques Sony
On dirait presque que ça a été tourné dans des studios hongrois avec les memes decors industriels d'interieur
Jared Leto est meme pas cabotin, rien il est eteint
Pire ça foire completement le perso (qui de base etait pas le mechznt le plus interessant de Spidey)
Exit tout le romantisme ou le tragique du mythe vampirique, tout est stérile et évacué en 2 scenes, alors que le perso se refuse à boire du sang humain
Tout le ptn de film où ton pseudo mechant est en fait un pseudo gentil qui se bat contre un Mqtt Smith qui lui a (mon seul ptit point positif) un leger background
Sauf que rapidos tout ça vire au ridicule total à coups de CGI 2000's et de faciès pas possibles (Matt Smith ressemble au Fils du Mask c'est navrant)
Adria Arjona joue la demoiselle de service (comme Michelle Williams dans Venom)
Et surtout le film ne developpe pour ainsi dire aucun parcours ni aucune histoire, tout est crée en vue du teasing final qui n'a absolument aucun sens
Mais pour moi le clou du spectacle de ce vide intersideral, ce n'est pas l'absence de violence, la vacuité ambiante ni l'incomprehension totale des persos, c'est que les mecs ont carrément batisé un navire "Murnau" en hommage au film Nosferatu (ca montre le niveau deglingo de toute cette entreprise)
Bref ça ferait presque reconsiderer Venom 1 (je dis bien presque parce que faut pas deconney lol)
Lorsque Branagh se présentera devant le grand barbu et qu' il croisera sans doute Agatha .... j 'espère pour lui qu' il aura de bons arguments pour lui expliquer pourquoi il a autant torturer son roman et pourquoi il a pris autant de liberté .
au delà de ca , c'est plutôt mal joué , parfois théâtral 1900 , parfois MJC du quartier ... une mise en scène assez asthmatique hormis la dernière demi heure .
pourquoi diable Ridley Scott a t il produit ca???
Esthétiquement c'est plutôt beau , mais ca sauve pas du naufrage
Étonnant film que Apollo 10 1/2, réalisé par Richard Linklater sur Netflix
La bande-annonce n'est pas mensongère et pourtant vous êtes loin de ce feeling très particulier que le visionnage procure.
Comme Cuaron, Tarantino et P Thomas Anderson, Linklater se raconte vraiment et de manière très autobiographique. À tel point que l'intrigue (si tant est qu'il y en ait une) devient accessoire, rapidement d'ailleurs.
Passée l'intro, on a droit à un énorme flashback de 40 minutes où le narrateur (Linklater, qu'on devine aisément) déroule profils, caractères, habitudes, jeux, programmes télés, anecdotes et l'atmosphère fin 60's au travers des yeux de lui enfant.
Le dispositif technique rappelle A Scanner Darkly sans le côté psychédélique, le sujet est plus proche de Everybody Wants Some!!. Une ode à l'enfance, à l'innocence, aux rêves et à la famille.
Il se situe bien dans le sillon de Once Upon a time in...Hollywood et Licorice Pizza, dans cette veine tendre, simple, chaleureuse et déconcertante.
Modifié en dernier par ConFucKamus le ven. 1 avr. 2022 22:36, modifié 1 fois.
Bonne petite série B venue de Belgique prenant la forme d'une comédie d'horreur.
Avec un pitch qui vaut le détour : un couple se rend dans une clinique low coast d'Europe de l'Est pour que la jeune femme se fasse faire une réduction mammaire. Sauf qu'évidemment, avec leurs méthodes médicales et protocoles sanitaires plus que louches, le centre cache quelques secrets...
S'il n'a rien de bien neuf dans son déroulement, c'est un bon petit plaisir qui offre autant de moments gores plutôt très bien fichus que de gags assez fun et souvent liés à la maladresse du groupe de personnages que l'on suit. Et si j'ai crains que ça ne tienne pas la longueur, au final c'est tout l'inverse et le film propose même une fin au niveau et parfaitement en phase avec ses protagonistes.
Lars Damoiseaux, dont c'était le premier long, sera à suivre. Et comme toujours la Belgique (cette fois en flamand dans le texte) se montre à la pointe du film de genre en Europe.
The Wretched (2020, dispo sur Shadowz)
Dommage ! Il y avait pas mal d'éléments pour un bon film, à commencer par une créature à la mythologie et la forme intéressante sur le papier.
Et vraisemblablement un budget suffisant pour travailler correctement son propos.
Mais la mise en scène des frères Pierce est beaucoup trop basique et fade pour amener suffisamment d'élan et de tension à l'ensemble. De fait, si on évite l'ennui, c'est trop limité pour être vraiment prenant et il faut se contenter de deux-trois scènes un peu au-dessus du reste.
Un peu l'impression que tout le monde est en service minimum, casting compris.
Ce qui me plait chez Emmerich c'est que je vais me marrer pendant 2 heures tellement c'est con
et la croyez moi
on est pas déçu
son obsession des méchants aliens contre les gentils américains sauveur de la planète , c'est a se pisser dessus . je crois que celui surpasse de loin tous les autres .
les dialogues sont jubilatoires tellement c'est con
la moitié des FX ont été créé par la MJC de Trifoullis les oie , une autre étant plutôt réussi .
franchement passé un bon moment de rigolades
le problème
c'est que pas sensé le faire
En pleine folie Morbaque je me suis rappelé avoir vu ce Spiderman la semaine dernière.
On s'ennuie 10mn le temps de l'intro mais dès l'arrivée de Strange c'est vraiment divertissant et même si je me fous pas mal du fanservice dans cette franchise il est plaisant de voir autant de bons acteurs réunis pour s'amuser à l'écran. Mention spéciale à Electro qui revient mais alors de tellement très très loin, bon c'est vrai qu'il était difficile de faire pire que TASM2.
L'histoire n'a aucun sens par contre, ça se contente de répéter des tropes des autres sagas (bouffon vert, Ben version May, remake de la fin de Spiderman 3 en moins bien...) et rien compris à ce sort qui attire les gens des autres univers mais on leur ôte la mémoire pour qu'ils ne viennent plus ? Du coup ils vont être contents Garfield et McGuire en rentrant chez eux.
Humour bien lourd aussi.
Bref je rejoins la plupart des avis, c'est plutôt le meilleur des 3 bien que ça reste un blockbuster lambda.
@MisterM se décide enfin à voir des chef d'oeuvre de notre temps !
Je suis tout pareil que toi : film lambda mais levmeilleur des 3 proposés. Et revoir certains acteurs à l'écran a quelque chose de plaisant.
Rachel Mcadams = Random Bonasse de Sherlock Holmes.
MisterM 06/02/2024
En pleine folie Morbaque je me suis rappelé avoir vu ce Spiderman la semaine dernière. On s'ennuie 10mn le temps de l'intro mais dès l'arrivée de Strange c'est vraiment divertissant et même si je me fous pas mal du fanservice dans cette franchise il est plaisant de voir autant de bons acteurs réunis pour s'amuser à l'écran. Mention spéciale à Electro qui revient mais alors de tellement très très loin, bon c'est vrai qu'il était difficile de faire pire que TASM2.
L'histoire n'a aucun sens par contre, ça se contente de répéter des tropes des autres sagas (bouffon vert, Ben version May, remake de la fin de Spiderman 3 en moins bien...) et rien compris à ce sort qui attire les gens des autres univers mais on leur ôte la mémoire pour qu'ils ne viennent plus ? Du coup ils vont être contents Garfield et McGuire en rentrant chez eux.
Humour bien lourd aussi.
Bref je rejoins la plupart des avis, c'est plutôt le meilleur des 3 bien que ça reste un blockbuster lambda.
Rassure-moi, tu te moques du monde là ?
Les 10 premières minutes sont les plus intéressantes avec les dix dernières, entre les deux c'est 2h10 de cauchemar !
De bons acteurs s'amuser ? Willem Dafoe et Garfield si tu veux, tout le reste c'est au mieux fade sinon honteux.
Electro revient de loin ? Je te signale que ses motivations de même que son retournement sont à ce point traités par dessus la jambe !
Le meilleur des 3 ? Non, vraiment tu as perdu la tête là ! Non pas que les deux premiers soient bons, mais celui-là les fait presque passer pour des classiques sur le plan visuel et scénaristique.
Reprends-toi, @MisterM
Modifié en dernier par ConFucKamus le dim. 3 avr. 2022 11:38, modifié 1 fois.
@MisterM se décide enfin à voir des chef d'oeuvre de notre temps !
Je suis tout pareil que toi : film lambda mais levmeilleur des 3 proposés. Et revoir certains acteurs à l'écran a quelque chose de plaisant.
Les 10 premières minutes sont les plus intéressantes avec les dix dernières, entre les deux c'est 2h10 de cauchemar !
Il est fou. En même temps à force de t'enfiler les purges de Sony ça devait finir par arriver.
A par McGuire, qui a toujours été mauvais acteur (enfin aussi ceux du lézard et de l'homme sable que je n'ai vu nulle part ailleurs) j'ai vraiment trouvé que tout le monde s'amusait ou avait quelque chose à donner. Cumberbatch, Molina, Foxx, Garfield et bien sûr Dafoe qui s'éclate tellement et ça se voit.
Electro revient de loin ? Je te signale que ses motivations de même que son retournement sont à ce point traités par dessus la jambe !
Mais qu'est-ce qu'on s'en fout après celles de TASM2 ! Electro revient d'une version purulente de l'enfer, même du sans intérêt est un immense progrès en comparaison. Surtout, on ne souffre pas le martyr à chacune des apparitions du personnage, c'est inestimable.
@MisterM se décide enfin à voir des chef d'oeuvre de notre temps !
Je suis tout pareil que toi : film lambda mais levmeilleur des 3 proposés. Et revoir certains acteurs à l'écran a quelque chose de plaisant.
ca a du se passer pendant que je dormais ....
Rachel Mcadams = Random Bonasse de Sherlock Holmes.
MisterM 06/02/2024
Il est fou. En même temps à force de t'enfiler les purges de Sony ça devait finir par arriver.
A par McGuire, qui a toujours été mauvais acteur (enfin aussi ceux du lézard et de l'homme sable que je n'ai vu nulle part ailleurs) j'ai vraiment trouvé que tout le monde s'amusait ou avait quelque chose à donner. Cumberbatch, Molina, Foxx, Garfield et bien sûr Dafoe qui s'éclate tellement et ça se voit.
Dafoe et Garfield ok ? Par contre, tu peux me dire à quel moment Molina a l'air de s'éclater ? Ou Rhys Ifans uniquement "présent" par la grâce du recyclage de plans de TASM, tout comme l'Homme-Sable qui est même moins bien fichu que Spider-Man 3 !
Tu retires Dafoe ils sont tous traités comme des bouffons. Moi, j'appelle ça de la profanation.
T. Holland et Zendaya ? Sérieux, je peux pas les blâmer. De là à les trouver bons, faut pas pousser non plus.
Mais qu'est-ce qu'on s'en fout après celles de TASM2 ! Electro revient d'une version purulente de l'enfer, même du sans intérêt est un immense progrès en comparaison. Surtout, on ne souffre pas le martyr à chacune des apparitions du personnage, c'est inestimable.
J'aime pas trop TASM 2 et quand bien même son écriture est déficiente, le personnage existe.
Là ?...Tu sais pas pourquoi il se fritte contre ce Spider-Man (comme Le Lézard, d'une indigence remarquable), apparemment lui n'en est pas sûr non plus puisqu'il se rend sans peine à la fin !
Je te parle même pas de Sandman qui change de camp sans raisons...C'est juste pas possible. Désolé mais voir autant de personnages traités comme des objets à qui l'intrigue fait faire n'importe quoi pourvu que ça serve le fantasme des fans.
Pour accepter un tel truc et l'applaudir, j'hésite entre la lobotomie et la consommation de substances illicites à un niveau industriel.
Sony a force de creuser..peut etre qu ils trouveront du petrole...
On dit que la France n a pas de petrole mais des idees...
Sony n a ni l un ni l autre...
Pablo et sa relation avec les femmes ... encore un qui n'échappe pas a la règle . l'intrigue est intéressante , mais parfois assez mal traité , quelques longueurs , limite télénovela par moment .
par contre un peu dommage de exploiter deux ficelles qui auraient peu être merité deux films bien distinct .
que serait Penelope Cruz et ROsy de Palma sans Amodovar ... cette derniere n 'apporte absolument rien de rien au film , genre un CDI signé a vie pour être la a chaque film de Pablo quoi ...
bref on a pas la patte incisive d il y a quelques années . ca reste tiède et c'est dommage , on sent que ca aurait pu etre mieux exploité .
ca n a pas la force d un "tout sur ma mere" "talon aiguille" ou "volver"
reste de beaux moments .
- c'est son absence intégrale de cohérence. Plus les scènes s'enchainent, moins ça a de sens, les personnages font n'importe quoi (vraiment n'importe quoi), et ça dure, ça dure...
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