Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Kit
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Bon anniversaire à

Michel Oliver 93 ans cuisinier (comme son père Raymond ou Maïté il a son émission cuisine à la télé La vérité est au fond de la marmite[)
Stefanie Powers 83 ans (séries Annie, agent très spécial, Pour l'amour du risque, L'Amour en héritage)
Jean-Luc Reichmann 65 ans animateur télé
Samuel Le Bihan 60 ans (Capitaine Conan, Le Cousin, Vénus Beauté (Institut), Le Pacte des loups, Mesrine : l'instinct de mort, série Alex Hugo)
David Schwimmer 59 ans (Le Porteur de cercueil, Un élève doué, Six jours, sept nuits, Madagascar, Le Prix du silence, séries Friends, Frères d'armes, American Crime Story)
Jaume Balagueró 57 ans réal (Darkness)
Marisol Nichols 52 ans (séries Blind Justice, The Gates, Teen Wolf, Riverdale)
Marie Portolano 40 ans journaliste/animatrice tv (Le Meilleur Pâtissier, Télé-matin)
Vosg'patt de cœur
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Pale
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Un des pires films de 2025 que j'ai vu, si ce n'est le pire. Une sorte de huis clos qui repose sur les épaules de Olga Kurylenko mais son personnage est tellement nul et ses agissements tellement à chier qu'elle se ridiculise plus qu'autre chose. C'est un film qui aurait pu durer 10 minutes chrono mais le réalisateur étire ça en 1h30. Tout n'est que remplissage, situations débiles et vides de sens, facilités et clichés éhontés.

:poop: :poop: :poop: :poop: :poop:
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Pale
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Pale a écrit : dim. 2 nov. 2025 11:41 Un des pires films de 2025 que j'ai vu, si ce n'est le pire.
Le pire reste malgré tout celui-ci :

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Mais Other n'est pas loin.
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Wickaël
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Pale a écrit : dim. 2 nov. 2025 11:41 Image

Un des pires films de 2025 que j'ai vu, si ce n'est le pire. Une sorte de huis clos qui repose sur les épaules de Olga Kurylenko mais son personnage est tellement nul et ses agissements tellement à chier qu'elle se ridiculise plus qu'autre chose. C'est un film qui aurait pu durer 10 minutes chrono mais le réalisateur étire ça en 1h30. Tout n'est que remplissage, situations débiles et vides de sens, facilités et clichés éhontés.

:poop: :poop: :poop: :poop: :poop:
Même l’affiche donne pas envie :lol:


De mon côté comme prévu j’ai regardé MaXXXine hier soir. Bien qu’assez différente des 2 films précédents (X et Pearl), la suite des aventures de Maxine est un bon film. Mia Goth est toujours excellente, les années 80 sont étonnamment bien retranscrite à l’écran. L’histoire est prenante surtout dans la première partie, avec un p’tit côté De Palma. Mais passé la grosse révélation du film, à savoir l’identité du tueur, j’ai été un peu déçu...
Mais dans l’ensemble je n’ai pas boudé mon plaisir devant le film, qui n’est pas non plus avare en scènes gore. Mention spéciale au coup de talon dans les testicules, ça m’a bien fait marrer :D

7/10

Si je devais faire un Top ça donnerait :

1. Pearl
2. X
3. MaXXXine
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NaughtyDog
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Vu, et c'est à la fois l'opus le plus faible à mon sens, mais paradoxalement le plus ambitieux.
Cette fois-ci, un Benoit Blanc toujours aussi truculent enquête au sein d'une petite communauté religieuse après l'obscur assassinat d'un prédicateur virulent (Josh Brolin).
Rian Johnson connait parfaitement son dujet, proposant là encore un whodunnit dous forme de véritable mille-feuilles narratif, où tout s'imbrique parfaitement en terme de fistillation d'indices au service d'un récit thématiquement à charge contre les récupérations religieuses (et fonc politiques et idéologiques).
Un pamplhet qui n'a rien de prosélythe ni de bas de plafond. De la nuance qui donne un véritable intérêt à une enquête qui (à mon sens) manque de la rythmique ludique des 2 premiers films.
On passe bien 40 minutes à présenter le contexte de manière didactique à travers les yeux d'un jeune prêtre ex-boxeur (Josh O'Connor est encore une fois excellent), pour un trombinoscope d'acteurs pas toujours exploités (Kerry Washington, Jeffrey Wright..).
De plus, l'enquête qui suit tourne principalement autour du duo Daniel Craig-O'Connor, sans que les circonvolutions ne baladent réellement le spectateur qui comprendra peut-être plus rapidement qui est le fameux Colonel Moutarde de cet épisode.
Pour le reste, c'est toujours bien fabriqué/mis en scène !

3/5
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Pale
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Ces dernières années le cinéma de Dupieux était composé de hauts et de bas (comme Le Deuxième acte qui m'avait profondément déçu, c'est même à cause de ça que j'avais fait l'impasse sur L'Accident de piano). Ici on est clairement dans le haut du panier, L'accident de piano s'impose même comme un de mes films préférés du réalisateur. Comédie, thriller, psychothérapie, misanthropie, satire de la célébrité/des réseaux... c'est d'une richesse et d'une profondeur vertigineuses. Adèle Exarchopoulos m'énervait ces derniers temps mais elle réalise ici sa meilleure performance à mes yeux. Complètement fou.
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Pale
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Mon programme ciné du week-end prochain :

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En VOD :

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J'étais censé voir Yoroï aujourd'hui mais j'ai eu la flemme, du coup ce sera le week-end prochain, d'autant plus que je vais avoir un très long week-end. Finalement je vais aussi aller voir Smashing Machine car mon ciné A&E le diffuse en VOST et je n'étais pas très motivé à l'idée de le voir en VF.
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Cocu
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Pale a écrit : dim. 2 nov. 2025 19:49 car mon ciné A&E le diffuse en VOST et je n'étais pas très motivé à l'idée de le voir en VF.
J'ai tellement hâte de voir Wicked :hot: un ciné pas loin propose une AP mais en VF +VOST pour les chansons et aussi un marathon 1er +second film mais aussi en VF/VOST pour les chansons :sarcastic: j'attendrai la VOST plus tard :miam:
Pouet
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Pale
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Cocu a écrit : dim. 2 nov. 2025 20:09
Pale a écrit : dim. 2 nov. 2025 19:49 car mon ciné A&E le diffuse en VOST et je n'étais pas très motivé à l'idée de le voir en VF.
J'ai tellement hâte de voir Wicked :hot: un ciné pas loin propose une AP mais en VF +VOST pour les chansons et aussi un marathon 1er +second film mais aussi en VF/VOST pour les chansons :sarcastic: j'attendrai la VOST plus tard :miam:
Donc dialogues en VF et chansons en VOST ? Je pensais qu'en VF, les chansons étaient juste en VF.
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Pale
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Sinon Influencers (suite de Influencer) est à 100% pour l'instant sur RT : https://www.rottentomatoes.com/m/influencers
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Cocu
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Pale a écrit : dim. 2 nov. 2025 20:23 Donc dialogues en VF et chansons en VOST ? Je pensais qu'en VF, les chansons étaient juste en VF.
Yes il existe une version VF avec chansons traduites et aussi une version VF avec chansons en VOST. Et donc une version tout VOST. Ce ciné passera les 3 😅
Pouet
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NaughtyDog
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Ça fait plaisir d'avoir enfin une vraie adaptation de Running Man, qui parvient à conserver la trame du roman de Stephen King, tout en illustrant à merveille sa dimension pamphlétaire concernant tput un milieu de l'entertainment et l'omnipotence des médias dans le contrôle des masses. La TV réalité est le nouveau Colisée, et même 40 ans après le matériau de base se veut d'actualité, si ce n'est encore +.
Mais il y a un mais dans cette adaptation signée Edgar Wright, le réalisateur britannique étant régulièrement coincé en terme de tonalité entre son propre style rigolard plus léger, et la noirceur du récit.
Pourtant, les 45 premières minutes sont tout à fait exemplaores, nous présentant un Ben Richards interprêté par un Glen Powell parfait en ordinary action man. Le tput dans un set piece usant à merveille des explosifs, de la topographie des lieux, et du caractère metatextuel des caméras du TV show.
Mais ensuite, The Running Man ne varie pas aussi bien son ton, enchainant les rencontres/scénettes d'action sans réelle tension malgré les enjeux...comme si on regardait ce jeu de la mort par le même prisme que le récit dénonce !
Même en terme de découpage de l'action, on.a connu Wright moins enclin au surdécoupage.
Heureusement, tout se rattrappe dans l'ultime mouvement du récit, via un climax aérien bien tenu. On.regrettera peut-être une fin modifiée dans la veine blockbusteresque de l'ensrmble, mais malgré ses heurts The Running Man ne trahit jamais la substantifique moelle de son histoire, ne sacrifie pas ses enjeux au service de la blague et n'oublie pas d'y injecter la patte de son réalisateur.
Le résultat est perfectible en terme de musicalité, mais en l'état on est heureusement loin du film de 87.

3.5/5
Modifié en dernier par NaughtyDog le lun. 3 nov. 2025 00:07, modifié 2 fois.
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Wickaël
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Pale a écrit : dim. 2 nov. 2025 20:24 Sinon Influencers (suite de Influencer) est à 100% pour l'instant sur RT : https://www.rottentomatoes.com/m/influencers
Je viens justement de regarder le premier. Très bon thriller. À part le synopsis et ta critique récente je n’ai rien lu ou vu du tout donc le mystère était vraiment presque entier. Le film surprend énormément, si bien qu’on ne peut même pas prévoir à l’avance ce qu’il va se passer. On ressent bien la critique par rapport aux réseaux sociaux, le sujet est très actuel et Cassandra Naud est vraiment la révélation du film.
Et comme tu l’avais mentionné on a droit à de magnifiques paysages en prime. Hâte de voir la suite !

7/10
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Kit
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bon anniversaire à

Lois Smith 95 ans (À l'est d'Éden, Green Card, Beignets de tomates vertes, Chute libre, Twister)
Michel Boujenah 73 ans (Trois Hommes et un couffin, Lévy et Goliath, La Totale !, XXL, 18 Ans après)
Roseanne Barr 73 ans (série Roseanne)
Rebecca Gilling 72 ans (série La Vengeance aux deux visages)
Kate Capshaw 72 ans (Indiana Jones et le Temple maudit, Dreamscape, Cap sur les étoiles, Black Rain, Juste Cause) Mme Steven Spielberg
Gary Ross 69 ans réal (Pleasantville, Pur Sang, la légende de Seabiscuit, Hunger Games ; Président d'un jour -scén)
Dolph Lundgren 68 ans (Rocky 4, Johnny Mnemonic, Expendables : Unité spéciale et suites, Aquaman et suite)
Hal Hartley 66 ans réal (Trust me, Amateur, Henry Fool)
Davis Guggenheim 62 ans réal (Une vérité qui dérange) M. Elisabeth Shue
Antonia Thomas 39 ans (séries Misfits, Lovesick, Good Doctor)
Angus McLaren 37 ans (H2O, Packed to the Rafters)
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ClintReborn
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Eastwood n'a pas de réseaux sociaux et il ne donne plus que des nouvelles et interviews via la presse ultra spécialisée ou par Warner. Donc voici une interview relativement récente vers fin 2024 pour les curieux :

https://metrograph.com/magazine-1-clinteastwood/

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Pale
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Après le bide The Bikeriders : un film de maison hantée pour le super réalisateur de Take Shelter

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Après le bide du film The Bikeriders, le réalisateur Jeff Nichols (Take Shelter, Midnight Special) s’essaye au cinéma d’horreur avec King Snake, une histoire de maison hantée avec un super casting.

La carrière de Jeff Nichols avait pourtant bien commencé. Comment rêver d’un meilleur début qu’avec un premier film tourné avec trois francs six sous et repéré à travers le monde (Shotgun Stories, en 2007), puis un deuxième qui décolle à Cannes et va jusqu’aux Oscars (Take Shelter en 2011) ? Sauf que depuis, c’est plus compliqué pour le réalisateur américain.

Mud avec Matthew McConaughey et Loving avec Ruth Negga et Joel Edgerton ont certes rencontré leur petit succès, notamment auprès de la critique. Mais l’ambitieux film de science-fiction Midnight Special s’est planté en 2016, tout comme les bikers de The Bideriders en 2024. Et ça faisait particulièrement mal, puisque c’était les deux plus gros budgets de sa carrière.

Sachant que Jeff Nichols a travaillé pendant quatre ans sur un remake d’Alien Nation avant d’abandonner, et qu’il devait au départ réaliser Sans un bruit : Jour 1 avant de jeter l’éponge après quelques mois de travail, il y a de quoi se demander si ce talentueux cinéaste tient le coup. A priori oui, puisqu’il prépare un nouveau film – et ce sera une histoire d’horreur, pour notre plus grand bonheur.

Selon Deadline, Jeff Nichols prépare le film d’horreur gothique King Snake, et a embarqué avec lui un beau casting : Margaret Qualley (The Substance, Kind of Kindness), Drew Starkey (Queer) et son fidèle Michael Shannon (Shotgun Stories, Take Shelter, Mud, Midnight Special, Loving, The Bikeriders : il est dans tous ses films).

King Snake racontera l’histoire d’un jeune couple qui hérite d’une ferme paumée dans l’Arkansas. Mais ils devront affronter les démons, réels et symboliques, qui vont avec ce cadeau. Il y sera apparemment question de bataille entre le Bien et le Mal, de créatures venues d’un autre monde, et de mythes. Inutile d’en dire plus, on signe.

Ce sera la première fois que Jeff Nichols s’essaye à l’horreur, mais il s’intéresse évidemment au cinéma « de genre » depuis un moment. Au-delà de Take Shelter et Midnight Special, qui tournaient autour de personnages défiant la réalité grâce à des dons extraordinaires, il devait écrire et réaliser Sans un bruit : Jour 1, un prequel de Sans un bruit sur l’arrivée des aliens belliqueux à New York. C’est John Krasinski, acteur, réalisateur et scénariste des deux premiers films, qui lui avait proposé de prendre la relève ; c’est également lui qui l’a poussé vers la sortie, Jeff Nichols ayant poliment expliqué qu’il avait préféré s’en aller en comprenant qu’il ne pourrait pas véritablement faire le film qu’il avait en tête.

Le cinéaste devait aussi réaliser un remake du film de science-fiction Futur immédiat, Los Angeles 1991, qui raconte comment des esclaves extraterrestres qui se sont écrasés sur Terre essayant de cohabiter les humains, avec une intrigue policière tournant autour d’un duo entre un policier terrien et le premier détective alien. Engagé sur le projet dès 2016, Jeff Nichols a fini par abandonner vers 2020.

Aux dernières nouvelles, il devait aussi adapter Le Passager et Stella Maris de Cormac McCarthy. À voir si c’est toujours d’actualité, ou si c’est comme Yankee Comandante, le film avec Adam Driver adapté d’un article du New Yorker, sur deux hommes qui émergent pendant la révolution cubaine. Le projet a été annoncé en 2020, et rien depuis.

Jeff Nichols avait visiblement envie de revenir à quelque chose de plus personnel avec King Snake puisqu’il avait annoncé fin 2024 qu’il écrivait son premier scénario original depuis Midnight Special, et que ce serait 100% lui cette fois :

« J’ai fait des films d’époque et des films inspirés par le travail d’autres gens, et ce prochain film sera du pur Jeff Nichols, pour le meilleur ou pour le pire.«


https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... -9Y_M0vyFg
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Pale
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Keanu Reeves va affronter des requins dans un film de SF qui a déjà l’air aussi con que cool

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Hollywood a encore trouvé un énième moyen de tester notre seuil de crédulité avec le nouveau projet de Keanu Reeves et Tim Miller, qui promet des voyages temporels et des requins tueurs.

En attendant un hypothétique Constantine 2, Keanu Reeves continue d’avoir un agenda chargé. Entre un John Wick 5 qui compte s’arranger avec la mort de son héros dans le quatrième volet, son nouveau film Good Fortune où il jouera une sorte d’ange Gabriel déjanté, et l’adaptation de sa propre BD BRZRKR pour Netflix, l’acteur ne chôme pas. Ajoutez à cela un faux documentaire sur le groupe Weezer, et vous obtenez un agenda digne d’un multivers Reeves-ien à lui tout seul.

Et à ce calendrier bien rempli vient se rajouter la nouveauté du moment, Shiver, une curiosité SF que Keanu Reeves a accepté de tourner sous la direction de Tim Miller, le réalisateur de Deadpool et cocréateur de Love, Death & Robots. Un tandem improbable pour un projet qui, sur le papier, ressemble presque à une blague, avec des trafiquants surarmés, des fusillades dans les Caraïbes, des voyages dans le temps et des requins mangeurs d’hommes. Oui, tout ça.

D’après les informations de Deadline, Shiver sera donc réalisé par Tim Miller et écrit par Ian Shorr, scénariste du très oubliable Office Uprising et du navet Infinite avec Mark Wahlberg pour Amazon Prime Video. Autant dire qu’on part avec une légère méfiance vis-à-vis du scénario, mais qu’on garde l’espoir que Miller transforme la série B en expérience méta avec des explosions partout, son domaine de prédilection.

Le pitch, lui, relève de l’école du « plus c’est absurde, mieux c’est ». Keanu Reeves y incarnera un contrebandier raté qui se retrouve pris au piège au beau milieu de la mer des Caraïbes, cerné par des pirates bien décidés à lui faire la peau, et par des requins assoiffés de sang. Et comme si ça ne suffisait pas, Reeves se retrouvera coincé dans une boucle temporelle, condamné à revivre sans fin sa propre mort.

Et oui, on a aussi eu l’impression de lire le pitch d’un Edge of Tomorrow croisé avec Sharknado.

Pour l’instant, aucun autre nom n’est associé au projet, et Shiver n’a aucune fenêtre de sortie officielle.

De son côté, Tim Miller prépare également l’adaptation du roman de fantasy Servir Froid de Joe Abercrombie, avec Rebecca Ferguson dans le rôle de la mercenaire légendaire Monza Murcatto. Il sera aussi aux commandes du film de science-fiction Alien Legion, inspiré par la saga de comics du même nom de Carl Potts.


https://www.ecranlarge.com/films/news/k ... NgksyMlX0w
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Josh Hartnett va jouer dans un film de braquage complètement WTF, et ça rend curieux

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Après Trap et Fight or Flight, Josh Hartnett continue son exploration du bis et des pitchs impayables avec All Day & All Night, de Tommy Wirkola.

Josh Hartnett est-il jamais là où on l’attend ? Pas récemment en tout cas. Après nombre d’œuvres peu remarquées, l’ex-jeune premier des années 2000 a fait un retour fracassant dans le cœur des cinéphiles avec l’excellent Trap de M. Night Shyamalan (l’auteur de ces lignes assumera cette opinion envers et contre tous, dont la rédaction d’Ecran Large). Un retour durable au bon cinéma d’auteur pour celui qui s’est notamment fait connaître chez Sofia Coppola ? Question de point de vue, tout du moins.

Car si Trap était indéniablement un très bon long-métrage d’auteur (si si), il était aussi un film de genre qui embrassait pleinement son côté bis. C’est plutôt ce deuxième aspect que l’acteur a semble-t-il prolongé dans son film suivant, Fight or Flight (pas encore sorti en France), sorte de Bullet Train avec moins d’argent et dans un avion. Qu’en sera-t-il pour la suite ? Josh Hartnett a visiblement en ce moment un penchant affirmé pour le cinéma WTF…

Selon une information exclusive de Deadline, Josh Hartnett jouera dans le thriller d’action All Day & All Night, de Tommy Wirkola, écrit par ce dernier et John Niven. Le nom de Wirkola ne vous dit rien ? Ses faits d’armes (ou plutôt de tronçonneuses) vous parleront sans doute plus. Dead Snow, Hansel et Gretel : Witch Hunters, Violent Night : le cinéaste norvégien s’est fait le spécialiste des histoires impayables mâtinées de gore. L’argument de All Day & All Night n’est pas moins original que ceux de ses précédentes œuvres :

« Lorsque sa fille entre à Harvard, Billy Davies (Hartnett), ancien braqueur de banque, replonge dans le crime pour financer ses études. Mais lorsque le braquage part en vrille, lui et son équipe tombent sur le tournage d’une émission de télé-réalité. Billy doit alors rester à l’antenne suffisamment longtemps pour échapper aux policiers qui tentent de l’arrêter et à la mafia qui cherche à le tuer. »

Le long-métrage sera produit par la société XYZ Films, qui avait déjà produit avec Tommy Wirkola Violent Night, The Trip, ainsi que le remake américain de ce dernier Over Your Dead Body, sur lequel le Norvégien n’est que producteur exécutif. Selon les dires du réalisateur, Josh Hartnett était son premier choix et il sera également producteur sur le projet. All Day & All Night devrait entrer en production en 2026.

Pour les fans du monsieur, Josh Hartnett jouera aux côtés d’Anne Hathaway dans Verity, produit par Amazon/MGM, qui est annoncé aux États-Unis en octobre 2026. Et Wirkola vient de finir le tournage de Violent Night 2 pour Universal, prévu pour décembre de la même année.


https://www.ecranlarge.com/films/news/j ... X4af7UIpWA
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Après Rebel Moon, première image intrigante pour le prochain film de Zack Snyder au milieu de la jungle

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Après ses Rebel Moon, Zack Snyder va revenir avec un nouveau film, The Last Photograph, dont il a dévoilé a un premier aperçu.

Fut un temps, pas si lointain, où Zack Snyder était un réalisateur prometteur, avec comme premier fait d’armes le très chouette film de zombies L’Armée des morts (écrit par James Gunn). Depuis, l’eau a coulé sous les ponts, et Zack Snyder sous les navets.

Après des films cultes ou a minima populaires (300, Watchmen et Man of Steel), son passage sur Netflix a marqué un tournant décisif, d’abord avec le raté Army of the Dead (dont la suite a été abandonnée), puis les très ratés Rebel Moon 1 et 2, qui ont fait durer le supplice avec des versions longues. Il y a aussi eu la série d’animation Twilight of the Gods qui ne mérite pas tellement qu’on s’y attarde plus que ça.

Mais peut-être que le réalisateur s’apprête à revenir par la grande porte après être passé par la petite lucarne. Il prépare en effet un nouveau long-métrage, sans Netflix, et avec apparemment l’envie de refaire du cinéma.

Zack Snyder est actuellement en train de tourner The Last Photograph, un projet qu’il a imaginé, sur lequel il était attaché dès 2011 et qu’il devait initialement réaliser après Man of Steel. Sauf que le cinéaste a préféré se concentrer sur la construction du DCEU à la place, restant uniquement à la production exécutive. Le relai a donc été passé à Niels Arden Oplev (Millénium), tandis que Christian Bale et Sean Penn étaient pressentis au casting.

Alors qu’il est désormais libéré de ses obligations chez DC et que Rebel Moon 3 a toutes les chances de ne jamais voir le jour, Zack Snyder s’est finalement tourné vers ce projet laissé en attente. Les ambitions ont toutefois l’air d’avoir été un peu été revues à la baisse, puisque le film mettra finalement en scène Stuart Martin et Fra Fee. Tous deux ont d’ailleurs joué dans Rebel Moon, parce que personne n’est parfait.

Le tournage se déroule donc en Amazonie, comme l’a partagé Snyder sur son compte Instagram. Et pour le coup, c’est très intrigant.



« Tout ce dont vous avez vraiment besoin pour faire un film, c’est une boite, une caméra et l’Amazonie »

L’histoire de The Last Photograph, coécrite avec Kurt Johnstad (300, Rebel Moon 1 et 2), suivra un ancien agent du DEA qui retourne en Amérique du Sud lorsqu’une tragédie familiale le pousse à affronter les fantômes de son passé. Il fera la rencontre d’un reporter de guerre qui a assisté à la tragédie. Le pitch précise également qu’il s’agira de brouiller la frontière entre réalité et surnaturel, sans plus de détails.

Hans Zimmer composera par ailleurs la bande originale après celles Man of Steel et Batman v Superman.

Avec cette première image, Snyder semble toutefois promettre que son film sera entièrement filmé caméra à l’épaule, (et non juste le temps de quelques scènes, comme dans Army of the Dead). Le tout avec une seule caméra, pour un résultat qu’on espère plus nerveux et introspectif. On peut même pousser l’optimiste plus loin : peut-être la caméra de Snyder sera en réalité celle du journaliste de guerre, à la manière d’un faux documentaire dans une démarche un peu plus expérimentale, mais peut-être qu’on s’emballe.

En tout cas, on ne prend pas de risque en affirmant que ce nouveau film devrait être TRÈS différent de ses derniers space operas, et a priori loin des fioritures esthétiques habituelles du réalisateur, dont les Rebels Moon semblaient être une caricature involontaire. Après tout, on n’est jamais à l’abri d’une bonne surprise.


https://www.ecranlarge.com/films/news/z ... 254pf9O7tg
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Pale
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Le film Call of Duty : deux gros réalisateurs sur le coup, et ça rassure un peu…?

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Après dix ans d’errance et de promesses avortées, Call of Duty semble enfin prêt à partir en formation de combat pour envahir les salles obscures. Paramount a confirmé deux grands noms pour diriger le projet.

Il aura donc fallu une décennie pour que l’une des franchises les plus lucratives du monde passe le cap du grand écran. Avec plus de 500 millions d’exemplaires vendus et près de 100 millions de joueurs actifs sur ses modes en ligne, Call of Duty est une armée mondiale à elle seule, une licence capable de transformer n’importe quel lancement en événement planétaire, défendue par une fanbase d’une fidélité absolue prête à sortir la carte bleue pour acheter n’importe quel skin d’arme inédite.

En 2015, Activision Blizzard annonçait même la création de son propre studio de production, Activision Blizzard Studios, avec pour ambition de bâtir un Call of Duty Cinematic Universe. Mais les années ont passé, les scénarios sont tombés au front, et l’idée d’un film Call of Duty semblait avoir pris une balle perdue. Même Steven Spielberg a voulu adapter Call of Duty, sans succès. Désormais, Paramount a repris la charge d’un film Call of Duty et, surtout, confie la mission à deux poids lourds du cinéma américain.

L’information vient de Deadline, Taylor Sheridan et Peter Berg ont pris les commandes de l’adaptation live de Call of Duty. Le premier coécrira le scénario, le second passera derrière la caméra. Et d’un coup, le projet qui sentait le sapin reprend quelques couleurs. Sheridan, c’est l’un des maîtres du western contemporain, qui décrit les États-Unis à coups de chevrotine parfumée au bourbon, tandis que Berg est un habitué des films musclés à la morale ambiguë.

Sheridan, c’est le showrunner de Yellowstone, 1883, Tulsa King ou encore Lawmen : L’histoire de Bass Reeves, qui a bâti un empire sur des antihéros taiseux, des territoires sauvages et des dilemmes moraux plus épais qu’un gilet pare-balles. Il faut aussi rappeler qu’il a signé le scénario de Sicario pour Denis Villeneuve. Sa rigueur d’écriture et son sens du tragique transposés à Call of Duty font rêver du premier film de guerre inspiré d’un jeu vidéo qui ne ressemblerait pas à un sous-Platoon sous Prozac.

Par contre, la présence de Peter Berg laisse plus dubitatif. À la télévision, il s’en sort très honorablement (Painkiller, À l’aube de l’Amérique), avec un vrai regard sur la violence sociale et les blessures américaines. Mais au cinéma, c’est une autre histoire. Son CV oscille entre de belles réussites (Very Bad Things, Du sang et des larmes) et des naufrages complets (Battleship, Spenser Confidential).

Reste la question à 500 millions de ventes : quelle époque sera choisie ? Call of Duty, c’est une anthologie de conflits allant de la Seconde Guerre mondiale au futur dystopique, en passant par la Guerre froide et les guerres du Moyen-Orient… autant de fronts potentiels pour un scénario.

On pourrait supposer que Sheridan, habitué aux grands espaces et à la poussière, voudrait lorgner vers le réalisme historique, tandis que Berg, plus porté sur le spectaculaire, rêverait sans doute d’un Modern Warfare stéroïdé. Pour l’instant, aucune date de sortie ni aucun casting n’ont été annoncés.

Soulignons tout de même que Paramount a su choisir son moment pour révéler les noms des pilotes du projet Call of Duty. Pile à deux semaines du lancement de Call of Duty : Black Ops 7 sur PC, Xbox Series et PS5, prévu pour le 14 novembre 2025, c’est du marketing d’élite.


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Le bordel Road House 2 : une suite sans Jake Gyllenhaal se prépare, juste pour embêter Amazon

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Doug Liman, le réalisateur du remake de Road House, préparerait une autre suite pour rivaliser avec celle d’Amazon, contre qui il est toujours en colère.

En voilà une question qu’on ne pensait pas poser : est-ce qu’on va avoir deux Road House 2 ? Pour recontextualiser, le remake du film de bagarre avec Patrick Swayze a été au cœur d’une guerre intestine entre son réalisateur Doug Liman (La Mémoire dans la peau, Edge of Tomorrow, Chaos Walking) et le studio MGM Amazon. Le film, porté par Jake Gyllenhaal et la star du MMA Conor McGregor, aurait dû sortir au cinéma. C’était stipulé dans le contrat de Liman (et il aurait même dû recevoir un certain pourcentage des recettes en cas de succès), avant qu’Amazon n’impose une exclusivité en streaming sur Prime Video.

Malgré une certaine compensation financière, Doug Liman s’est montré très déçu, et n’a pas manqué de le faire savoir, en abandonnant la promo du film, en fustigeant Amazon dans la presse et en quittant le projet de suite, très vite validé par la corporation. On comprend d’autant plus sa frustration que Road House a réalisé le meilleur démarrage de l’histoire d’Amazon Prime Video, et a été le film le plus vu de la plateforme à travers le monde. En avril 2025, Amazon a confirmé la mise en chantier d’un Road House 2, d’abord confié à Guy Ritchie, avant qu’Ilya Naishuller (Hardcore Henry, Nobody, Heads of State) ne récupère le bébé.

Mais il se pourrait bien que Doug Liman réalise sa propre suite dans son coin, grâce à une technicalité juridique.

En effet, Deadline vient d’annoncer que Doug Liman s’est associé avec le scénariste du Road House des années 80, R. Lance Hill, pour essayer de mettre en branle leur projet, intitulé Road House : Dylan. L’auteur du scénario original est lui aussi en guerre contre Amazon, et on sent bien que cette démarche a quelque chose du doigt d’honneur amusé.

Cette bravade est rendue possible grâce à des questions de droits qui sont au cœur d’un actuel procès. R. Lance Hill prétend avoir écrit le scénario de Road House comme un spec script, c’est-à-dire un scénario qui ne lui a pas été commandé par un studio. L’idée et le traitement venaient de lui, et le résultat a été ensuite acheté par United Artists (qui appartient à MGM Amazon). La section 203 de l’U.S. Copyright Act stipule que Hill est de nouveau possesseur des droits de Road House après 35 ans s’il s’agissait bien d’un spec script.

Forcément, le remake d’Amazon ne respecte pas cette section 203, que la multinationale réfute puisque Hill a vendu le scénario de Road House au travers de Lady Amos Inc., sa société de prêt (une forme d’entité commerciale américaine où le créateur est un « employé » dont les services sont prêtés par la personne morale). Selon Amazon, c’est comme si le studio avait commandé à cette société le scénario (pratique). Ce cas est en train de créer un précédent, qui pourrait concerner de nombreux scénaristes des années 80 (et bientôt les années 90).

Alors que Road House 2 a été confirmé avec Jake Gyllenhaal, Dave Bautista, Aldis Hodge et Leila George, Doug Liman veut se lancer dans l’adaptation du nouveau scénario de R. Lance Hill. Les deux films peuvent-ils coexister ? Affaire à suivre.


https://www.ecranlarge.com/films/news/b ... u_xTPjGZ0w
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À couteaux tirés version débile : bande-annonce de l’enquête de Fackham Hall

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Downton Abbey rencontre À couteaux tirés avec l’humour des ZAZ et le génial Jimmy Carr au scénario : première bande-annonce pour Fackham Hall.

Connaissez-vous Jimmy Carr ? Cet humoriste irlandais de 53 ans est principalement reconnu et apprécié au Royaume-Uni depuis le début des années 2000, période à laquelle il est notamment apparu dans quelques films (Alien Autopsy ou Alex Rider : Stormbreaker). Le comédien s’était surtout illustré sur petit que grand écran avec des séries comme Just for Laughs ou The Fix, plutôt confidentielles en France.

Mais, depuis une petite décennie environ, sa célébrité a pris de l’ampleur dans l’Hexagone, si bien que ses réparties cinglantes ne sont peut-être plus inconnues de tous. Et peut-être a-t-il même entamé une nouvelle phase dans sa carrière avec Fackham Hall, réalisé par Jim O’Hanlon (Ton noël ou le mien ?), qu’il a produit et écrit avec d’autres talents de la comédie made in UK : Patrick Carr (Brotherhood), Andrew Dawson (Big School), Steve Dawson (Blast Lab) et Tim Inman (Balls of Steel).

On a d’ailleurs eu un aperçu de ce que l’humour de l’homme peut donner sur grand écran avec la première bande-annonce de Fackham Hall.

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Voici le pitch de l’œuvre : « Le pickpocket Eric Noone décroche un emploi au manoir anglais de Fackham Hall. Il gravit rapidement les échelons et entame une liaison avec Rose Davenport, la maîtresse de maison. Mais lorsqu’un meurtre se produit, Eric se fait piéger, laissant Rose et l’avenir de sa famille dans l’incertitude la plus totale. » Mais ne vous y fiez pas trop. Derrière cet argument entre Downton Abbey et Agatha Christie se trouve un film qui, après visionnage de la bande-annonce, semble bien plus proche de l’humour des ZAZ.



Si Y a-t-il un pilote dans l’avion ? a déjà 45 ans d’existence, son type très particulier d’humour n’a, de mémoire, pas fait beaucoup d’émules au Royaume-Uni. Bien sûr, quelques parallèles pourront être faits avec l’esprit des Monty Python, ce qui pourrait brouiller les pistes. Mais à bien y regarder, les gags présents dans la vidéo promotionnelle (le ball-trap qui fait tomber des cerfs du ciel, le serveur qui tombe dans la cave dans la profondeur de champ) font bel et bien penser au comique si caractéristique des ZAZ.

Pourtant, le cadre so english n’a pas non plus l’air d’un décor. Le pasteur, incarné par Jimmy Carr en personne, fait par exemple penser à celui joué par Rowan Atkinson dans Secrets de famille, comédie joyeusement amorale à l’humour typiquement anglais (vous savez, ce terme que personne ne parvient à précisément définir mais qu’on emploi tous). Et le casting – Damian Lewis, Katherine Waterston, Thomasin McKenzie, Ben Radcliffe, et même notre serpentard préféré Tom Felton – achève de jouer la carte « 100% Commonwealth ».

Pas de doute, si on ne peut juger sur bande-annonce si le long-métrage sera réussi, il s’agit en tout cas pour Jimmy Carr et son réalisateur d’un produit bien marketé. Il coche toutes les bonnes cases du moment, donc, du Whodunit remis au goût du jour par À couteaux tirés jusqu’à l’humour Y a-t-il un flic, qui a eu droit à son reboot cet été, en passant par cet inoxydable esprit anglais qui charme toujours, même chez nous, pourtant ennemis jurés de la perfide Albion.

Distribué par Bleecker Street dans ses propres frontières, Fackham Hall sortira le 5 décembre en Angleterre et aux États-Unis. Aucune date française n’est pour l’instant communiquée.


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Netflix : après Adolescence, Adam Driver et une prise d’otages de l’extrême

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Netflix retrouvera le créateur du choc émotionnel Adolescence pour une nouvelle série dramatique, intitulée Rabbit, Rabbit, avec Adam Driver en tête d’affiche.

Il fallait s’y attendre, puisque quand une série devient la révélation de l’année, Netflix ne tarde pas à aussitôt ressortir son chéquier. Après l’énorme carton public et critique d’Adolescence, drame social et thriller psychologique de très haut vol, la plateforme n’a pas laissé le temps à son équipe créative de souffler. Philip Barantini, réalisateur déjà remarqué de The Chef (le film et sa série dérivée), rempilera chez le N rouge avec le projet Rabbit, Rabbit, annoncé comme un drame sous haute tension.

Le projet s’inscrit dans la continuité thématique du précédent, en s’intéressant une nouvelle fois à des personnages poussés dans leurs retranchements. Cette fois, l’histoire quitte le terrain de l’adolescence pour celui du drame psychologique, autour d’une prise d’otage qui dégénère. Netflix a confirmé qu’Adam Driver faisait partie du projet, dans un récit présenté comme un mélange de thriller et d’étude de comportements humains.

L’information a été révélée par Deadline : Adam Driver tiendra le rôle principal de Rabbit, Rabbit, série coécrite et produite par Philip Barantini et Peter Craig, scénariste de Top Gun : Maverick et créateur de la série Apple Dope Thief (produite par Ridley Scott).

Le scénario s’articule autour d’un détenu en fuite, coincé par les forces de l’ordre dans un relais routier du Midwest. Acculé, il prend plusieurs personnes en otage dans l’espoir de négocier sa liberté. La situation se transforme rapidement en huis clos tendu, où les rapports de force et les émotions des protagonistes deviennent le véritable enjeu. Face à lui, un négociateur du FBI, vétéran des situations de crise et adepte de « l’empathie tactique » (une technique de négociation visant à se mettre à la place du preneur d’otages) tente de résoudre le conflit sans effusion de sang.

Pour l’heure, Adam Driver est le seul nom connu au casting. Aucune date de sortie n’a filtré, mais le tournage pourrait débuter dès 2026. Ce qui laisse le temps à Netflix d’affûter sa communication et aux fans d’Adolescence d’espérer la même rigueur d’écriture, voire un peu de cette rage sourde qui avait fait toute la force de la précédente création de Barantini. Le titre Rabbit, Rabbit évoque d’ailleurs un vieux rituel porte-bonheur britannique, censé attirer la chance… Une sacrée ironie, compte tenu du contexte dramatique.

Difficile de trouver un acteur plus présent sur tous les fronts que Driver. On le retrouvera bientôt dans Father Mother Sister Brother, sa troisième collaboration avec Jim Jarmusch après Paterson et The Dead Don’t Die, avant de se glisser dans la peau de William Alexander Morgan, soldat américain devenu révolutionnaire cubain, dans Yankee Comandante. Il enchaînera ensuite avec Paper Tiger de James Gray et un nouveau projet de Leos Carax.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... lPxcdLGcSA
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Jason Statham remplace Daniel Craig dans la « suite » du film de gangsters Layer Cake

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Vous vous souvenez du petit polar Layer Cake avec Daniel Craig pré-James Bond ? La suite Viva La Madness arrive, avec Jason Statham dans le premier rôle, et un gros réalisateur sur le coup.

C’est peut-être difficile à imaginer aujourd’hui mais fut un temps où le nom de Daniel Craig ne rimait pas encore avec 007. C’était alors le beau mec à poil (caché par une table) de Lara Croft : Tomb Raider, le tueur des Sentiers de la perdition, l’un des agents de Munich, mais surtout le gangster de Layer Cake. Et cette adaptation du livre de J. J. Connolly réalisée par Matthew Vaughn (Kick-Ass, Kingsman) avait tout d’une répétition générale avant Casino Royale, sorti deux ans après.

Layer Cake n’a pas vraiment été un succès au cinéma en 2004. Pourtant, cette histoire de drogues et de mafieux avec Tom Hardy, Colm Meaney, Michael Gambon et Sienna Miller a gagné un statut de petit film culte au fil des années, notamment pour toutes les personnes friandes de ces polars british plein de gangsters, de flingues et de pintes – on juge pas, chacun ses kinks.

À ce jeu, le réalisateur Guy Ritchie reste le petit roi, grâce à Arnaques, crimes et botanique, Snatch, Revolver, RocknRolla, ou encore The Gentlemen. C’était donc écrit dans les étoiles qu’il se charge de la suite inespérée de Layer Cake, adaptée du livre Viva La Madness. Et au cas où tout ça était trop subtil, c’est Jason Statham qui reprend le rôle de Daniel Craig.

Guy Ritchie et Jason Statham se connaissent bien. C’est même le cinéaste qu’on doit remercier (ou pas) pour la carrière de l’acteur au cinéma puisqu’il lui a donné ses premiers rôles dans Arnaques, crimes et botanique en 1998, puis Snatch en 2000. Leurs chemins se sont recroisés plusieurs fois depuis, avec Revolver en 2005, Un homme en colère en 2021, et Operation Fortune : Ruse de guerre en 2023.

Leur sixième collaboration est dans les tuyaux, comme annoncé en exclusivité par Variety. Jason Statham reprendra ainsi le rôle de XXXX, le gangster aux allures d’homme d’affaires de Layer Cake qui va encore être dans de beaux draps. Dans le livre Viva La Madness de J.J. Connolly, le dealer décidait de replonger dans les combines alors qu’il profitait d’une retraite au soleil dans les Caraïbes. Il se retrouvait ainsi embarqué dans une histoire internationale de blanchiment d’argent et de transactions à haut risque entre les cartels d’Amérique du Sud et Londres.

Sans surprise, Viva La Madness va être présenté comme un film à part entière, plutôt qu’une suite du film de Matthew Vaughn. Mais puisque c’est adapté d’un livre qui est la suite de Layer Cake, faut pas se foutre du monde.

Jason Statham semble en tout cas s’être accroché au projet puisqu’il avait mis la main sur les droits d’adaptation du livre dès 2015. À l’époque, Viva La Madness était développé en série, avec Gaumont International Television. L’écrivain J.J. Connolly devait alors se charger d’écrire l’adaptation. Dix ans après, le projet est devenu un film, écrit et réalisé par Guy Ritchie, et Jason Statham est toujours producteur, via sa boîte Punch Palace Productions.

Le tournage de Viva La Madness est prévu pour début 2026. D’ici là, Jason Statham aura emballé The Beekeeper 2, et sorti Mutiny (l’histoire d’un homme qui fuit car accusé à tort d’un meurtre) et Shelter (l’histoire d’un homme qui défend sa maison attaquée, sur une île isolée).

De son côté, Guy Ritchie aura bouclé sa comédie noire Wife and Dog avec Benedict Cumberbatch et Rosamund Pike, et peut-être même In the Grey, son film d’action avec Henry Cavill et Jake Gyllenhaal qui a été tourné fin 2023 – et qui a de toute évidence quelques soucis en post-production, la rumeur parlant de reshoots à gérer.


https://www.ecranlarge.com/films/news/j ... sFFAVRodDw
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Shelby Oaks : premiers avis sur le film d’horreur en mode Blair Witch

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Une enquête paranormale réhaussée de found footage ? C’est Shelby Oaks de Chris Stuckmann et les premiers avis sur le film sont tombés.

Shelby Oaks est une affaire de passionnés. Avant de passer derrière la caméra, Chris Stuckmann, dont c’est le premier long-métrage, est un vidéaste et critique de cinéma sur Youtube. Spécialisé dans l’horreur, il a fait appel à sa communauté pour produire son projet. Après avoir rassemblé 1,4 million de dollars en moins d’un mois, Shelby Oaks est devenu le film ayant reçu le plus de financements sur la plateforme Kickstarter. L’œuvre a par la suite été acquise par le distributeur Neon, qui n’en est pas à son coup d’essai dans le genre.

Film d’enquête à l’argument fantastique, situé entre deux époques et faisant appel au found footage, Shelby Oaks raconte l’histoire de Mia (Camille Sullivan), qui cherche sa sœur, youtubeuse spécialisée dans le paranormal, disparue depuis 12 ans. On s’en doute depuis les bandes-annonces, la recherche ne sera pas de tout repos et va réveiller au passage des entités pas tout à fait humaines (ni bienveillantes). Le film est sorti ce 24 octobre aux dans les salles américaines, et les premiers avis de la presse sont désormais disponibles. Revue de presse.

« Malin comme un diable, Shelby Oaks ne mise pas sur les jump scares, même s’ils sont nombreux. Sa véritable terreur réside dans la capacité du scénariste et réalisateur Chris Stuckmann à passer sans effort des décharges d’adrénaline à une tension psychologique rampante. Ainsi, même si l’on compte sans aucun doute certaines des morts les plus viscérales à l’écran cette année, Stuckmann puise l’essentiel de sa terreur dans un sentiment d’angoisse de plus en plus profond. »
The Austin Chronicle

« Shelby Oaks est une première expérience louable pour Stuckmann en tant que cinéaste. Avec son bagage de critique en ligne, il a alimenté un cauchemar sororal qui confirme qu’il a appris de chaque film qu’il a pu analyser dans sa carrière. Le long-métrage est glaçant, bien interprété et porté par une narration riche et empreinte de folklore, profondément ancrée dans la réalité. »
Collider

« À aucun moment on ne sent que Shelby Oaks est autre que la meilleure version de ce que son réalisateur avait prévu de faire, contrairement aux nombreux films de débutants qui passent trop de temps à essayer de réaliser ce qu’ils pensent devoir faire. Le résultat est une vision profondément troublante, qui ne perd jamais son émotion ni son humanité. Grâce à la performance phénoménale de Sullivan et au regard perçant de Stuckmann, Shelby Oaks nous permet d’assister aux débuts de l’une des nouvelles voix les plus prometteuses de l’horreur. »
Slash Film

« Il n’y a vraiment rien qui puisse faire peur dans ce mélange maladroit de found footage, de faux documentaires et de récits conventionnels. […] Stuckmann jette désespérément tout ce qu’il peut, des clichés du genre aux films dont il s’inspire : une stratégie prévisible pour quelqu’un qui est reconnu comme un passionné du genre. Mais le film ne parvient jamais à s’imposer comme quelque chose d’unique. C’est l’œuvre clichée de quelqu’un qui n’a pas encore trouvé sa voie et se contente d’imiter les autres »
The Guardian

« Les dialogues de Stuckmann sont guindés et génériques, sa narration et sa construction d’univers le sont encore plus. On y trouve quelques subtiles fioritures stylistiques appréciables – une caméra glissante ici, un passage soudain du jour à la nuit là – jusqu’à ce qu’on réalise, attendez une seconde, que ce sont des choses vues et revues dans d’autres films d’horreur récents. »
The Hollywood Reporter

« Il y a des moments assez troublants lorsque la quête de Mia la conduit à fouiller un ancien parc d’attractions délabré, la prison déserte et d’autres sites. Mais on n’a jamais l’impression de sortir de la routine habituelle du genre lorsque le personnage craint pour la 90e fois qu’un être étrange l’observe dans l’ombre. Et on tombe carrément dans le ridicule lorsqu’elle est menacée par des « chiens de l’enfer » aux yeux brillants. »
Variety

« Pris sous l’angle du film étudiant à gros budget, Shelby Oaks pourrait obtenir une note honorable. Réalisé avec professionnalisme, il est parfois impressionnant, notamment dans ses 20 premières minutes, où il s’en tient au format du faux documentaire et du found footage. Cependant, au fil de son histoire clichée et maladroitement écrite, le film passe d’un intérêt modéré à un manque de profondeur, puis à une fin franchement mauvaise. »
Looper

« Si Shelby Oaks était une version assumée du film d’horreur found footage, ou une parodie impertinente, du genre Scary Movie, il aurait pu s’en sortir. Au lieu de cela, ces hommages ne font que nous rappeler d’autres films, meilleurs, auxquels Shelby Oaks ne peut se comparer. »
The Wrap

Si les avis restent partagés, force est de constater qu’une majorité de critiques est déçue par Shelby Oaks (qui récolte, pour l’instant, la modeste note de 43% sur Metacritic). Le film semble davantage évoquer le premier devoir studieux d’un fan sincère que les débuts en fanfare d’un nouveau talent à suivre. On reste tout de même curieux de se faire notre propre avis : le long-métrage sort le 19 novembre 2025 dans nos salles.


https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... LfvJFXHZ2A
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Wickaël
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Parce qu’il n’y a pas que Sydney Sweeney dans la vie, voilà quelques clichés de Samara Weaving au LACMA Art & Film Gala 2025 qui a eu lieu le 1er novembre.

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Wickaël a écrit : lun. 3 nov. 2025 18:40 Parce qu’il n’y a pas que Sydney Sweeney dans la vie, voilà quelques clichés de Samara Weaving au LACMA Art & Film Gala 2025 qui a eu lieu le 1er novembre.

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Je crois que je suis plus team Samara :D
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La seule Samara que je connais
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robinne a écrit : lun. 3 nov. 2025 20:23 Je crois que je suis plus team Samara :D
Perso ça m'arrange :o :D
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Cocu a écrit : lun. 3 nov. 2025 20:51 La seule Samara que je connais
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Cocu a écrit : lun. 3 nov. 2025 20:51 La seule Samara que je connais
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Pas le même style :D
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Pale a écrit : lun. 3 nov. 2025 20:55
robinne a écrit : lun. 3 nov. 2025 20:23 Je crois que je suis plus team Samara :D
Perso ça m'arrange :o :D
Tu m’étonnes :lol:
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Pale a écrit : lun. 3 nov. 2025 20:55
Cocu a écrit : lun. 3 nov. 2025 20:51 La seule Samara que je connais
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Plus jeune quand je vivais seule j'avais une hypergrande affiche de cinéma de The Ring, avec Samara devant son puit, juste devant mon lit. Elle me tenait compagnie :D
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robinne a écrit : lun. 3 nov. 2025 21:17
Cocu a écrit : lun. 3 nov. 2025 20:51 La seule Samara que je connais
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Pas le même style :D
Elle était peut-être très bien gaulée on ne sait pas :o
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robinne a écrit : lun. 3 nov. 2025 20:23
Wickaël a écrit : lun. 3 nov. 2025 18:40 Parce qu’il n’y a pas que Sydney Sweeney dans la vie, voilà quelques clichés de Samara Weaving au LACMA Art & Film Gala 2025 qui a eu lieu le 1er novembre.

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Je crois que je suis plus team Samara :D
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Pale pas de souci tu peux garder Sidney
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bon anniversaire à

Marlène Jobert 85 ans (Alexandre le Bienheureux, Dernier Domicile connu, Le Passager de la pluie, Les Mariés de l'an II, La Poudre d'escampette, Julie pot de colle) également conteuse, mère d'Eva Green, tante d'Elsa Lunghini et Joséphine Jobert
Charles Frazier 75 ans écriv (Retour à Cold mountain)
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Cocu a écrit : lun. 3 nov. 2025 21:28 Plus jeune quand je vivais seule j'avais une hypergrande affiche de cinéma de The Ring, avec Samara devant son puit, juste devant mon lit. Elle me tenait compagnie :D
Tu n'as jamais eu peur ? :D
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Kit a écrit : lun. 3 nov. 2025 23:02 :plusone: :love:
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Violent Ends : les premiers avis sur le film de vengeance sont tombés

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Le nouveau film de vengeance du cinéaste ­John-Michael Powell, Violent Ends, est disponible aux États-Unis et la critique américaine ne s’est pas tellement montrée indulgente.

Enveloppé dans la brume de la chaîne de montagnes des Ozark, le dernier opus de John‑Michael Powell revisite le schéma archétypal de l’homme pieux tombant dans les ténèbres de la vengeance. Le personnage central de son film, Lucas Frost (Billy Magnussen), est issu d’une famille de truands ultra violents, mais aspire désormais à une vie paisible auprès de sa fiancée, Emma (Alexandra Shipp). Le fragile équilibre vole en éclats lorsqu’un cousin, Eli (Jared Bankens) commet un braquage et embarque Lucas dans une spirale d’emmerdes.

Powell, encore auréolé des modestes succès du court-métrage Shit You Knot! (une réunion familiale qui dérape) puis The Send Off (une soirée entre potes qui tourne mal), livre ici un film de vengeance à mi-chemin entre thriller familial et western moderne. Sorti aux États-Unis le 31 octobre 2025, Violent Ends a divisé la critique, malgré de belles qualités de mise en scène et un jeu d’acteurs solide. Revue de presse.

« Le décor, la lumière et les personnages baignent tous dans une noirceur poisseuse. Même le sang ressemble à de l’acajou brûlé. Comme on pouvait s’y attendre, la violence annoncée par le titre verse dans le sordide : têtes explosées, scènes de torture, plaies psychologiques béantes débouchant sur des représailles d’une brutalité féroce — filmées avec une caméra immersive qui suscite davantage le choc que l’admiration.

L’obstination de Powell à façonner un thriller lugubre et hyperviolent serait louable, voire remarquable, s’il assumait réellement cette tonalité. Mais un épilogue émotionnellement bon marché, montrant l’un des souvenirs heureux de Lucas avec Emma, vient gâcher l’ensemble, offrant au réalisateur une échappatoire commode face au carnage qu’il a lui-même orchestré. »


Robert Daniels – RogerEbert.com

« Powell est un cinéaste exceptionnellement prometteur, mais au moment où il aligne tous ses pions pour le grand final, il semble avoir perdu de vue une question essentielle : Lucas perpétue-t-il le cycle de vengeance qui a empoisonné sa famille, ou bien tente-t-il enfin de le briser ?

Si Violent Ends invite son spectateur à réfléchir à la futilité de la violence, il se délecte bien trop (violemment) de son propre bain de sang pour y parvenir. Lucas, véritable crotale humain, n’a d’autre choix que de se mordre la queue. Hélas, c’était le film — et le destin — dans lequel il est né ; la grande tragédie de sa vie étant de ne pas être né dans un meilleur récit. »


David Ehrlich – IndieWire

« Violent Ends est une proposition très impressionnante de la part de John-Michael Powell, surtout pour un second long-métrage. Film indépendant à l’allure de production de studio, Violent Ends s’impose comme un drame percutant dissimulé sous les atours d’un thriller sanglant.

J’adore tomber sur ce genre d’œuvres qui vous prennent par surprise et s’incrustent dans la mémoire. Quant à Billy Magnussen, souvent cantonné à des seconds rôles au fil de sa carrière, il signe ici l’une des performances les plus marquantes de l’année — et sans doute une pierre angulaire de sa filmographie. »


Alex Maidy – JoBlo

« Violent Ends constitue une seconde œuvre particulièrement réussie, tant pour Powell que pour l’ensemble de son équipe, avec Billy Magnussen et James Badge Dale qui offrent parmi leurs meilleures prestations. Sorti dans les salles américaines pour Halloween, le film s’impose sans tapage comme un thriller d’une redoutable efficacité, capable de tenir le spectateur en haleine du début à la fin. Espérons qu’il trouvera son public, car une chose est sûre : on suivra de très près les prochains projets de John-Michael Powell. »

Jim Vorel – Paste

« Quelques passages parviennent à instaurer une tension palpable, notamment lors de fusillades bien menées où Powell s’efforce de traiter la violence avec réalisme et brutalité plutôt qu’avec sensationnalisme. Dans l’ensemble toutefois, le film ressemble davantage à l’écho de meilleures œuvres qu’à une relecture originale du genre.

La scène finale tente de réaffirmer Violent Ends comme une tragédie, mais ne fait finalement que souligner son caractère creux — une variation un peu vide sur le thème éculé de la vengeance. Peut-être le film aurait-il gagné à assumer un ton plus stylisé et outrancier, puisqu’il échoue à atteindre la profondeur émotionnelle qu’il vise. »


Eric Goldman – MovieWeb

La presse a souligné la bonne tenue visuelle, les performances solides et l’ambiance mélancolique de Violent Ends. Mais il ne déclenche pas le feu d’artifice qu’on aurait pu espérer. Le « revenge movie » semble bien produit, sans jamais vraiment vouloir questionner ou renouveler le genre. La plupart des critiques ont également mis en lumière le fait que la fin du film se perd dans des atermoiements qui cassent l’atmosphère âpre du reste de la production.

Violent Ends n’a pas de date de diffusion en France pour le moment, donc patience avant de pouvoir se mettre un avis.


https://www.ecranlarge.com/films/news/v ... HV39xSxoqg
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Pale
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robinne
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Pale a écrit : mar. 4 nov. 2025 16:21 Violent Ends : les premiers avis sur le film de vengeance sont tombés

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Le nouveau film de vengeance du cinéaste ­John-Michael Powell, Violent Ends, est disponible aux États-Unis et la critique américaine ne s’est pas tellement montrée indulgente.

Enveloppé dans la brume de la chaîne de montagnes des Ozark, le dernier opus de John‑Michael Powell revisite le schéma archétypal de l’homme pieux tombant dans les ténèbres de la vengeance. Le personnage central de son film, Lucas Frost (Billy Magnussen), est issu d’une famille de truands ultra violents, mais aspire désormais à une vie paisible auprès de sa fiancée, Emma (Alexandra Shipp). Le fragile équilibre vole en éclats lorsqu’un cousin, Eli (Jared Bankens) commet un braquage et embarque Lucas dans une spirale d’emmerdes.
Film, réalisateur et acteurs inconnus au bataillon :sweat:
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robinne
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Pale a écrit : mar. 4 nov. 2025 16:11
Cocu a écrit : lun. 3 nov. 2025 21:28 Plus jeune quand je vivais seule j'avais une hypergrande affiche de cinéma de The Ring, avec Samara devant son puit, juste devant mon lit. Elle me tenait compagnie :D
Tu n'as jamais eu peur ? :D
Je me pose la même question :lol:
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Pale
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robinne a écrit : mar. 4 nov. 2025 17:47
Pale a écrit : mar. 4 nov. 2025 16:21 Violent Ends : les premiers avis sur le film de vengeance sont tombés

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Le nouveau film de vengeance du cinéaste ­John-Michael Powell, Violent Ends, est disponible aux États-Unis et la critique américaine ne s’est pas tellement montrée indulgente.

Enveloppé dans la brume de la chaîne de montagnes des Ozark, le dernier opus de John‑Michael Powell revisite le schéma archétypal de l’homme pieux tombant dans les ténèbres de la vengeance. Le personnage central de son film, Lucas Frost (Billy Magnussen), est issu d’une famille de truands ultra violents, mais aspire désormais à une vie paisible auprès de sa fiancée, Emma (Alexandra Shipp). Le fragile équilibre vole en éclats lorsqu’un cousin, Eli (Jared Bankens) commet un braquage et embarque Lucas dans une spirale d’emmerdes.
Film, réalisateur et acteurs inconnus au bataillon :sweat:
Billy Magnussen ? C'est un acteur qu'on a vu pas mal de fois ces dernières années.
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Pale
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robinne a écrit : mar. 4 nov. 2025 17:48
Pale a écrit : mar. 4 nov. 2025 16:11
Cocu a écrit : lun. 3 nov. 2025 21:28 Plus jeune quand je vivais seule j'avais une hypergrande affiche de cinéma de The Ring, avec Samara devant son puit, juste devant mon lit. Elle me tenait compagnie :D
Tu n'as jamais eu peur ? :D
Je me pose la même question :lol:
J'avais également des posters mais genre Le Seigneur des Anneaux et même des visages en gros plan ça me faisait parfois flipper en soirée :D
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EL a modérément apprécié Predator Badlands (3 étoiles) :

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Le monde n’avait probablement pas besoin d’un septième film Predator, et Badlands le confirme. On peut néanmoins lui donner un bon point pour l’envie de sortir de la formule du quasi remake (n’est-ce pas Predators et Prey) avec une approche vraiment nouvelle, et une générosité réjouissante du côté des monstres. Ce qui ne veut pas dire que la suite de tout cet univers ne fait pas peur, surtout avec Alien vs Predator à l’horizon proche.

https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... fcyyMLbq6g
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Kit
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Pale a écrit : mar. 4 nov. 2025 16:11
Kit a écrit : lun. 3 nov. 2025 23:02 :plusone: :love:
Pale pas de souci tu peux garder Sidney
*Sydney :o :D
tu chipotes :scary:
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Kit
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bon anniversaire à

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