Le Cercle des profileurs disparus

[robinne]

Vu :



Le film divise, j'ai adoré. On retrouve la générosité de Matthew Vaughn, celui ci prend son temps pour développer son univers, son intrigue et ses personnages. Je remercie la promo pour en avoir révélé le moins possible même si on devine la plupart des événements mais ça reste jouissif, le film a des allures de poupée gigogne. Un gros point noir qui revient dans les critiques, c'est la qualité de certains CGI qui laissent à désirer mais perso je trouve que ça contribue un peu au côté kitsch qui ressort du film, un peu comme Speed Racer à l'époque. Sam Rockwell est absolument génial comme à son habitude, c'est assez drôle de le voir en action man. A ce propos les scènes d'action sont incroyables, surtout celles durant le grand final. J'avoue avoir eu pas mal de frissons.

Rien sur Bryce ?
Je pense que je vais passer mon tour. Je le verrai à la maison.
Hier, j'ai vu Emma

[Pale]

Vu :



Le film divise, j'ai adoré. On retrouve la générosité de Matthew Vaughn, celui ci prend son temps pour développer son univers, son intrigue et ses personnages. Je remercie la promo pour en avoir révélé le moins possible même si on devine la plupart des événements mais ça reste jouissif, le film a des allures de poupée gigogne. Un gros point noir qui revient dans les critiques, c'est la qualité de certains CGI qui laissent à désirer mais perso je trouve que ça contribue un peu au côté kitsch qui ressort du film, un peu comme Speed Racer à l'époque. Sam Rockwell est absolument génial comme à son habitude, c'est assez drôle de le voir en action man. A ce propos les scènes d'action sont incroyables, surtout celles durant le grand final. J'avoue avoir eu pas mal de frissons.

Rien sur Bryce ?
Je pense que je vais passer mon tour. Je le verrai à la maison.
Hier, j'ai vu Emma

Très bien également

Emma avec Anya Taylor-Joy ?

[Pale]

Mon programme ciné du week-end prochain :

[robinne]

Hier, j'ai vu Emma

Très bien également

Emma avec Anya Taylor-Joy ?

Non, avec Willem, Mark et Ramy

[Pale]

Hier, j'ai vu Emma

Très bien également

Emma avec Anya Taylor-Joy ?

Non, avec Willem, Mark et Ramy

Ah d'accord

[robinne]

Très bien également

Emma avec Anya Taylor-Joy ?

Non, avec Willem, Mark et Ramy

Ah d'accord

Tu pensais à quoi ?

[Pale]

Non, avec Willem, Mark et Ramy

Ah d'accord

Tu pensais à quoi ?

[robinne]

Ah d'accord

Tu pensais à quoi ?

Aaah, ok.
J'aurais écrit Emma.

[Pale]

Tu pensais à quoi ?

Aaah, ok.
J'aurais écrit Emma.

Je m'étais déjà fait la réflexion hier

[Pale]

Dune 2 : Christopher Nolan donne son avis sur le film (et fait encore grimper l'excitation)



Christopher Nolan a bien évidemment déjà vu le Dune: Deuxième Partie de Denis Villeneuve, et on commence à bouillir d'impatience.

Depuis quasiment une décennie, chacun des films de Christopher Nolan et Denis Villeneuve est attendu comme le messie. Et même lorsqu'ils s'écartent de la science-fiction, le public répond au rendez-vous. En 2023, le phénomène Oppenheimer a marqué les esprits (et le box-office, en frôlant le milliard de recettes à travers le monde). Et on a déjà hâte de 2025, année de sortie potentielle du Cléopâtre de Villeneuve (sûrement avec Zendaya).

Mais avant ça, on est déjà très impatients de voir Dune 2, et Christopher Nolan ne nous aide pas vraiment à faire redescendre la pression. Au contraire, le réalisateur américain a eu la chance de voir le film de Villeneuve en avant-première. Si le premier Dune de Lynch a été largement critiqué au moment de sa sortie, celui du cinéaste québécois a touché le (très) grand public en 2021. Et vu l'avis de Christopher Nolan, le phénomène pourrait bien encore grandir.

Après une projection exceptionnelle de Tenet en IMAX 70mm s'étant terminée sur un aperçu exclusif de Dune 2, Christopher Nolan et Denis Villeneuve ont longuement échangé. Outre leur discussion sur Tenet ou le succès d'Oppenheimer, ils ont évidemment parlé des influences du Dune 2 réalisé par le cinéaste québécois. Et pendant leur débat, Christopher Nolan s'est fendu du plus beau des compliments pour un réalisateur de films de science-fiction :

"Si je devais comparer Dune à un Star Wars, alors je dirais que Dune 2 est l'équivalent de L'Empire contre-attaque, qui est mon film préféré de la franchise. Je pense que c'est une incroyable et excitante extension de tout ce qui a été introduit dans le premier film."

Nolan n'a pas mâché pas ses mots, et Villeneuve n'y est pas resté insensible. Visiblement décontenancé par ces mots, le cinéaste québécois a répondu : "Je dois te le dire, Chris, c'est un énorme compliment que tu me fais là". Les deux s'échangent régulièrement des compliments, puisque Villeneuve avait qualifié Oppenheimer de chef-d'œuvre et que Nolan avait d'ores et déjà salué l'excellence du premier volet en 2021.

Savoir que Christopher Nolan a particulièrement adoré le deuxième Dune nous confirme qu'on devrait avoir droit à 2h46 d'un spectacle à grande échelle. On avait déjà hâte, on commence donc à bouillir de découvrir le premier vrai blockbuster de l'année 2024. Pour rappel, le film de Denis Villeneuve avec Zendaya et Timothée Chalamet arrivera dans les françaises le 28 février 2024.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... Gw8_hCRcqo

[Pale]

Un article bien WTF :

Jake Gyllenhaal voulait "gifler un poisson" : l'acteur était fou sur le tournage de ce film français



La première version de Soudain seuls avec Jake Gyllenhaal a été un immense bordel, à tel point que le film a complètement changé de casting (et de pays).

Il y a eu un paquet de tournages compliqué ces derniers temps entre l'énorme chaos sur le tournage d'Aquaman 2 chez Warner ou bien sur la télé-réalité Netflix Squid Game qui a eu son lot de moments WTF. Et d'un autre côté, on a connu notre lot de films annulés : un film de science-fiction Netflix avec Halle Berry ou encore le cas Batgirl chez Warner (toujours les mêmes studios en fait).

Mais rares sont les moments où on a eu les deux d'un coup : un tournage tellement difficile qu'il a débouché sur l'abandon d'un film (en tout cas, pendant un temps). C'est le cas de Soudain seuls. Avant de devenir une excellente surprise avec Gilles Lellouche et Mélanie Thierry, ce film sur un couple coincé sur une île déserte devait être franco-américain. Jake Gyllenhaal devait jouer le premier rôle avant que le comédien fasse tout capoter au moment de repérer les lieux du tournage.

SOUDAIN PLUS VRAIMENT SEULS

Dans un article à peine croyable publié par Technikart fin décembre 2023, on a appris que Jake Gyllenhaal aurait fait couler Soudain seuls (alors intitulé Suddenly) en 4 jours. Attention, chaque information est plus lunaire que la précédente.

Ainsi, après avoir convaincu le comédien de jouer dans son film, Thomas Bidegain aurait réécrit le scénario pour l'adapter à Gyllenhaal, très impliqué à l'époque. Cependant, avant même le début du tournage, l'acteur aurait créé des problèmes. Apparemment, son agenda l'obligeait en effet à tourner dans The Offer à l'automne 2021, le rendant indisponible pour le film. Légèrement agacé, Thomas Bidegain l'aurait appelé, aurait râlé et réussi à le faire revenir à temps.

En juillet 2021, l'équipe serait alors partie en exploration en Islande, en pensant que tout allait bien se passer. Sauf que le cauchemar aurait finalement commencé. D'abord, Gyllenhaal aurait demandé une voiture "ni rouge ni blanche" pour aller sur le tournage, refusant de prendre l'avion par peur du Covid. Thomas Bidegain a ainsi expliqué à Technikart que le premier jour, Jake Gyllenhaal et Vanessa Kirby lisaient leurs dialogues avec une voix ironique, "à la manière du personnage de dessin animé Pépé le putois".

GYLLENHAAL EN FURIE

Le deuxième jour, l'acteur serait parti en vrille à cause d'une histoire d'horaire, ne sachant pas si le rendez-vous était à 9h30 ou 10h. La scénariste Valentine Monteil a expliqué à Technikart que pour une scène sur le bateau, l'acteur avait alors eu une idée : "gifler un poisson". Ce n'était que le début d'un sacré caprice de star puisque Gyllenhaal aurait ensuite voulu changer l'histoire, menacé de quitter le film et demandé plus de précisions sur le scénario. Bref, il aurait été insupportable. Montrant un discours de Greta Thunberg à l'équipe du film tout en pleurant, l'acteur aurait même suggéré que le film parle d'amour de la nature.

Sa partenaire de jeu, Vanessa Kirby, ne semblait pas non plus encline à remettre le tournage sur les rails. En effet, la comédienne en aurait rajouté une couche, demandant à ce que le personnage de Gyllenhaal meure à la fin pour que le film soit féministe. Bidegain et Monteil n'ont pas pour autant baissé les bras jusqu'à un énième craquage de l'acteur de Zodiac.

Car oui, le quatrième jour, l'équipe l'aurait retrouvé en train de se baigner en slip dans l'eau gelée. Justification de l'acteur : "Quand je vois la mer, je me baigne dans la mer". Quoi de plus logique ? Finalement, entre les pétages de câble de Gyllenhaal, ses menaces de quitter le projet et ses remarques incessantes sur le scénario, Bidegain aurait craqué et lui aurait dit de partir.

Une histoire déjà bien délirante, mais aussi surprenant soit-il, ce n'était pas tout à fait terminé. Plus tard, Vanessa Kirby et Jake Gyllenhaal auraient eu l'énorme culot de vouloir racheter le scénario au cinéaste. Bidegain en a informé son producteur, Alain Attal, qui lui aurait répondu : "On les emmerde, tu vas le réécrire en français et on va le tourner avec de grands acteurs français", comme l'a révélé Technikart. Et c'est ainsi que Suddenly avec deux stars américaines s'est transformé en Soudain seuls avec Gilles Lellouche et Mélanie Thierry, sortie en France en décembre 2023.

Autant dire que Thomas Bidegain et son équipe n'ont rien lâché, et ils ont bien fait puisque le thriller était plutôt réussi selon nous. D'ailleurs, l'ancien scénariste fétiche de Jacques Audiard n'est pas rancunier. Dans une interview accordée à Variety, si Thomas Bidegain n'a pas souhaité commenter les différentes anecdotes racontées par Technikart, il est resté très discret sur cette pré-production, a priori, complexe. Selon lui, Jake Gyllenhaal n'a pas du tout ruiné son film et ils se sont séparés "à cause de visions différentes".

Il a également expliqué que Studiocanal n'avait pas perdu 26 millions d'euros à cause du film contrairement à ce qu'a affirmé Technikart. La raison ? Le film n'était tout simplement pas encore en production au moment des faits. Difficile en tout cas d'imaginer Thomas Bidegain retenter une expérience à l'américaine pour son prochain film. Quant à Gyllenhaal, il sera bientôt à l'affiche de Road House, sur Prime Video le 21 mars.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... FbZBtPJ0is

[Pale]

Après Beetlejuice 2, on sait quel sera le prochain film de Tim Burton, et ça a l'air bien curieux



Tim Burton a bel et bien réinvesti les plateaux de tournage. Après son prochain Beetlejuice 2, le cinéaste va s'attaquer au remake d'Attack of the 50 Foot Woman.

Tim Burton est l'un de ces cinéastes à la carrière délicate. Adepte aguerri de créatures, et autres univers baroques, l'ancien illustrateur de Rox et Rouky a rapidement été qualifié de grand cinéaste de genre en enchaînant les productions fantasques. Révélé au grand public en 1988 avec le désormais culte Beetlejuice, il revisite aussi bien Batman que La Légende de Sleepy Hollow sans jamais rechigner à s'essayer à diverses techniques. Il s'exerce ainsi au stop-motion au détour des Noces Funèbres, et plus tristement, à la surabondance d'effets numériques avec sa réinterprétation du conte d'Alice au Pays des Merveilles.

C'est d'ailleurs ce film qui marquera plus ou moins le début de la fin pour le cinéaste, dont les longs-métrages suivants ont chacun souffert un accueil critique des plus tièdes. Aussi, le cinéaste a préféré délaisser un temps les salles obscures, et ne retrouve les plateaux de tournage qu'en 2022 lorsqu'il dirige quatre des huit épisodes que compte la série évènement Mercredi sur Netflix.

Depuis, Tim Burton semble avoir repris du poil de la bête. Son vrai/faux grand retour sous l'égide du N rouge l'a vraisemblablement motivé à impulser une suite au susmentionné Beetlejuice ; il y retrouvera notamment la jeune Jenna Ortega, mais surtout, Winona Ryder et Michael Keaton. Plus notable encore, le cinéaste a d'ores et déjà déterminé quel serait son prochain projet. D'après un communiqué relayé par Deadline, l'amoureux des gentils monstres dirigera pour Warner Bros le remake d'un film SF des années 50, L'Attaque de la femme de 50 pieds.

Et si cette perspective a déjà largement de quoi attiser la curiosité, il s'agira de noter que la réécriture du projet a été confiée à Gillian Flynn, la scénariste derrière Gone Girl, mais aussi, le roman Dark Places. Pour celles et ceux qui ne seraient pas familiers du film de Nathan Juran, celui-ci fait le récit de Nancy Archer (initialement interprétée par Allison Hayes), une jeune femme aussi richissime que malheureuse en ménage. Lors d'une virée en voiture, celle-ci souffre une attaque mystérieuse, et toute la ville en paiera les conséquences.

Inutile de chercher bien loin pour découvrir ce qui pu séduire Burton là-dedans. Outre son affection sans limites pour les figures marginales, le cinéaste aime à explorer les faits de société pour mieux en tirer une critique plus ou moins acerbe. Reste à savoir désormais si ce retour à la science-fiction s'inscrira plutôt dans la lignée de Mars Attacks !, ou de La Planète des singes...

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... Q5fH8ZXYZ0

[Pale]

The Movie Critic : le "dernier" film de Tarantino dévoile son casting, et personne n'est surpris



Pour son "dernier" film, The Movie Critic, Quentin Tarantino a choisi de rappeler l'un de ses collaborateurs réguliers, et ce n'est guère surprenant.

Voilà plus d'une décennie que le célèbre cinéaste prévient dès que l'occasion se présente que son dixième long-métrage sera également son dernier (les deux Kill Bill ne comptant que pour un). Une décision prise, selon le principal intéressé, dans le but d'aboutir à une filmographie dite parfaite, et surtout, de se préserver d'un éventuel appauvrissement créatif dû à l'âge. Si cela a pu décevoir certains de ses aficionados, il s'agira de noter que le cinéaste a nuancé ses propres propos en mai dernier, et confié que bon, finalement, non, The Movie Critic ne serait pas son dernier projet.

Sémantique mise à part, le film a longtemps joué la carte du mystère depuis son annonce initiale en mars 2023, jusqu'à ce qu'un premier synopsis soit dévoilé quelques semaines plus tard. Depuis, seul Paul Schrader a donné de franches nouvelles de The Movie Critic ; mais voilà qu'un premier acteur – déjà bien habitué à collaborer aux côtés de Tarantino – vient d'être annoncé au casting du film.

On savait depuis août dernier que Tarantino avait très envie de faire revenir Bruce Willis pour son dernier film ; néanmoins, l'état de santé de ce dernier s'étant drastiquement dégradé depuis, ce désir pourrait, au mieux, se limiter au simple caméo. Aussi, et d'après un communiqué relayé par Deadline, c'est donc Brad Pitt qui devrait tenir l'un des rôles principaux. Bien connu pour son rôle d'Aldo l’Apache dans le bien barré Inglorious Basterds en 2009, l'acteur a également retrouvé le cinéaste dix ans plus tard à l'occasion de l'excellent Once Upon a Time... in Hollywood.

Pour rappel, ce prochain récit devrait s'articuler autour d'un critique cinématographique officiant pour un magazine pornographique à la fin des années 70. Si pour l'heure, le rôle que tiendra l'acteur dans cette histoire n'a pas encore été dévoilé, il est peu probable que celui-ci se soit vu attribuer le rôle-titre.

Comme l'a souligné ScreenRant, le cinéaste se serait inspiré d'un auteur bien réel, et serait à la recherche d'un acteur d'environ trente-cinq ans pour lui prêter ses traits. Brad Pitt a beau être Brad Pitt, le bougre vient tout de même de souffler sa soixantième bougie en décembre dernier. Reste à savoir désormais si un coup à la Benjamin Button est de l'ordre du possible, si Tarantino a vieilli son personnage, ou si l'acteur sera amené à tenir un tout autre rôle. Pour le découvrir, il s'agira de prendre son mal en patience, The Movie Critic ne disposant pas encore de date de sortie.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... ENuUnlSd7c

[Pale]

Antoinette dans les Cévennes va être remaké avec Toni Collette, par la réalisatrice de Twilight



Catherine Hardwicke prépare A French Pursuit, écrit par Olivia Hetreed (La Jeune fille à la perle).

Après Laure Calamy partant à la recherche de son amant dans les Cévennes, accompagnée d'un âne, ce sera bientôt au tour de Toni Collette de faire ce même parcours spirituel et amoureux. Variety annonce que le film A French Pursuit va être adapté du joli succès de Caroline Vignal, Antoinette dans les Cévennes (2020), avec l'actrice phare de Hérédité dans le rôle principal. Elle sera filmée par Catherine Hardwicke, la réalisatrice du premier Twilight, qui l'a déjà dirigée dans Miss You Already et Mafia Mamma.

Les deux femmes reprennent le concept du film français, réécrit pour une protagoniste britannique par Olivia Hetreed (La Jeune fille à la perle), qui s'appellera dans cette version Zoe. Collette (via sa société Vocab Films), Hardwicke et son partenaire Christopher Simon de New Sparta Productions seront aussi producteurs du film.

"J'ai hâte de tourner ma version du séjour fou de Zoe ce printemps, dans les décors naturels magiques des Cévennes", a fait savoir la réalisatrice. "Nous sommes ravis de soutenir cette réinvention britannique avec de si bons collègues et amis, (ainsi qu'un âne ou deux !)", ajoute l'ensemble de l'équipe de New Sparta dans le communiqué relayé par le site américain.

Notez à ce sujet que l'âne qui accompagnera l'héroïne dans ce remake ne s'appellera plus Patrick, mais... Napoléon.

Les ventes internationales d'A French Pursuit s'effectueront au marché du film de la prochaine Berlinale. Le festival se déroulera du 15 au 25 février. Avant ce remake, Toni Collette sera à l'affiche de Juror #2, de Clint Eastwood (qui marque ses retrouvailles avec Nicholas Hoult, qui jouait son fils dans Pour un garçon), ainsi que dans Mickey 17, de Bong Joon ho.

https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... HXhDlVe8o8

[Pale]

Le box-office américain du week-end :



https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw

[Pale]

[Pale]

Je découvre d'ailleurs le trailer de Lisa Frankenstein, le côté rétro est sympa :

[robinne]

Aaah, ok.
J'aurais écrit Emma.

Je m'étais déjà fait la réflexion hier

Tu me connais trop

[NaughtyDog]

Eh bien c'est pas mauvais..mais ce n'est pas bon non plus !
Au rayon des points positifs : le script de Terence Winter et Zach Baylin se veut plutôt cohérent dans son contexte historique (à part dur la blessure au pied qui intervient après normalement) et respectueux du Dieu du reggae.

Mais le douci c'est le regard global qui est beaucoup trop lisse pour convaincre.
Le climat de guerre civile est énoncé en début de film mais reste trop évasif, tandis que Marley se retire en Angleterre avant son retour avec le culte Exodus.
C'est propre sans fulgurance, la BO (que des titres du chanteur) est utilisée à bon escient, et même les acteurs sont bons (surtout Lashana Lynch) mais on se contente d'être dans l'hagiographie et la célébration plutôt que l'incarnation pure.
Kingley Ben-Adir est solide, mais voilà on sait tous à quoi ressemble Bob Marley mais là ça colle pas totalement malgré l'accent (gros point positif) et les dreadlocks.

Et contrairement à Ali ou Ferrari de Mann (qui avaient le meme postulat de nous immerger auprès d'un personnage dans une période précise), on veut pas trop gratter derrière la figure historique (les infidélités ou les enfants illégitimes sont à peine esquissés).

Bref y a du joint, mais sans ganja.

2.5/5

[Pale]

Jurassic World 4 : on connait le nom du réalisateur (potentiel) et la date de sortie du nouveau film



On connait le nom du réalisateur en lice pour mettre en scène Jurassic World 4, le nouveau volet de la franchise Jurassic Park.

Si Jurassic Park premier du nom, réalisé par Steven Spielberg et sorti en 1993, a été à l'origine d'un engouement planétaire pour les dinosaures, il a aussi lancé une grande et fructueuse franchise cinématographique. À l'heure où toutes les grandes sagas sont ramenées à la vie, pour le meilleur et souvent pour le pire, les dinos sont revenus en 2015 avec le film Jurassic World de Colin Trevorrow, très mal placé dans notre classement des films Jurassic Park.

Dans son ensemble, la nouvelle trilogie a été une grosse déception et le dernier volet, le tout naze Jurassic World : Le Monde d'après, a confirmé la catastrophe. Mais si Jurassic World 3 est un total ratage, il a bien marché au box-office. Alors un Jurassic World 4 a été lancé, et le cinéaste en lice pour le réaliser est... intrigant.

Si l'on savait déjà que le scénario de ce nouveau film avait été confié à David Koepp, le scénariste des deux premiers films de la saga réalisés par Steven Spielberg, quand ce nouveau projet a été annoncé, le nom du réalisateur n'avait pas été dévoilé. Deux semaines après cette annonce, Deadline a révélé que le film pourrait être confié à David Leitch, actuellement en pourparlers.

David Leitch est connu pour avoir co-réalisé le premier John Wick avec Chad Stahelski. Après ça, il a réalisé Atomic Blonde avec Charlize Theron puis Deadpool 2 avant de rejoindre la franchise Fast and Furious en mettant en scène le spin-off Fast and Furious: Hobbs and Shaw. Le cinéaste a continué son exploration du cinéma d'action avec Bullet Train en 2022, film dans lequel Brad Pitt tient le rôle principal.

Selon Deadline, l'idée est toujours de proposer une nouvelle vision avec un nouveau casting. Les petits nouveaux Chris Pratt et Bryce Dallas Howard, mais aussi les trois anciens Jeff Goldblum, Laura Dern et Sam Neill, ne devraient pas revenir. Une date de sortie a aussi été partagée sur X (Twitter) par le compte officiel de la saga : le 2 juillet 2025.

Si l'implication de David Leitch n'est pas encore actée, il y a de fortes chances qu'il succède à Steven Spielberg, Joe Johnston, Colin Trevorrow et Juan Antonio Bayona. Le cinéaste dévoilera bientôt son nouveau film, The Fall Guy, avec Ryan Gosling, Emily Blunt et Aaron Taylor-Johnson, qui arrivera le 1er mai 2024 dans les salles françaises.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... pTmr4-nZUI

[Pale]

Evil Dead : un nouveau film se prépare, avec un réalisateur français très prometteur



Non, la saga Evil Dead n'est toujours pas morte. Après Evil Dead Rise, un nouveau film se prépare avec un réalisateur français.

Comme Halloween ou Scream, Evil Dead fait partie de ces sagas d'horreurs increvables qui se déclinent sous toutes les formes possibles. Le phénomène a débuté avec le film de Sam Raimi, sorti en 1983, qui a mis en scène deux suites, toujours avec Bruce Campbell dans le rôle principal, celui d'Ash Williams. La franchise s'est poursuivie au cinéma avec le très bon remake (mal-aimé) Evil Dead de Fede Alvarez, et en série, avec Ash vs. Evil Dead, créée par Sam Raimi.

Un cinquième film a vu le jour en 2023, Evil Dead Rise, un nouveau délire gore mis en scène par Lee Cronin, qui s'est retrouvé tout en bas de notre classement de la saga Evil Dead. Si ce dernier volet ne vous a pas suffi, aucune inquiétude, un nouveau film est déjà en préparation.

Les démons ne se reposent jamais, et l'industrie du cinéma non plus. Après le succès d'Evil Dead Rise, qui a récolté presque 150 millions de dollars dans le monde (le plus gros score de la saga) pour un budget de 17 millions, ce n'était qu'une question de temps avant qu'un nouveau projet soit lancé. Deadline a rapporté qu'un nouveau spin-off de la saga Evil Dead était en préparation, mais ce n'est pas tout. Le projet sera réalisé par le français Sébastien Vaniček.

Si ce nom ne vous dit peut-être rien, Sébastien Vaniček est pourtant le réalisateur de la grande surprise horrifique de l'année : Vermines, un film d'horreur avec beaucoup d'araignées certes, mais surtout un tout premier film. Sébastien Vaniček s'est donc fait remarquer à l'international et a été choisi pour succéder à Sam Raimi, Fede Alvarez et Lee Cronin. On ne sait encore rien du synopsis du film et de la façon dont il s'intégrera dans la franchise, mais c'est bien le terme "spin-off" qui a été utilisé par le média.

Avant Vermines, le réalisateur avait déjà fait ses preuves avec les courts-métrages Mayday et Crocs. En plus de réaliser ce nouveau film Evil Dead, Sébastien Vaniček en sera aussi le co-scénariste. Le film est produit par la société Ghost House Pictures, fondée par Sam Raimi et Robert Tapert. Aucune date de sortie n'a été annoncée, et on ne sait pas non plus quand le projet pourrait entrer en production.

Quant à Vermines, il a été nommé dans deux catégories, meilleurs effets visuels et meilleur premier film, à la 49e cérémonie des César qui se tiendra le vendredi 23 février 2024.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 2-Z9Nexm5c

[Pale]

[Skipper Mike]

Un article bien WTF :

Jake Gyllenhaal voulait "gifler un poisson" : l'acteur était fou sur le tournage de ce film français

J'avais vu passer l'article original, avec pas mal de détails dont celui que tu as posté ne parle pas. Assez fou comme histoire

[NaughtyDog]

[robinne]

[Pale]

Impressionnant.

[Pale]

[Pale]

[Pale]

Après Thor 4, Taika Waititi va revenir avec un film de science-fiction porté par deux super actrices



Deux actrices très appréciées viennent de rejoindre le casting de Klara and the Sun, le film de science-fiction de Taika Waititi.

Ces temps-ci, Taika Waititi semble légèrement galérer puisque ses projets n'avancent plus. Son film Star Wars ne fait plus trop parler de lui, son adaptation d'Akira a été annulée et il en a profité pour faire Thor 4 (peut-être pas le meilleur des calculs), son adaptation de la BD L'Incal semble également stagner... Toutefois, le réalisateur ne se laisse pas abattre, car malgré tous ces films semi-condamnés, il continue à bûcher.

En effet, il va prochainement réaliser Klara and the Sun, adaptation du roman de science-fiction éponyme (Klara et le Soleil en version française) de Kazuo Ishiguro. Le casting vient de s'enrichir avec l'arrivée de deux actrices très appréciées.

Selon Deadline, Amy Adams et Jenna Ortega auraient rejoint le casting du film. Pour rappel, Klara et le Soleil est un best-seller qui dépeint un futur dystopique. Le synopsis officiel du livre est le suivant :

"Depuis sa place dans le magasin, Klara, une Amie Artificielle dotée de qualités d'observation exceptionnelles, observe attentivement le comportement de ceux qui entrent pour faire du shopping et de ceux qui passent dans la rue à l'extérieur. Elle garde l'espoir qu'un client la choisira bientôt, mais lorsqu'il apparaît que sa situation pourrait changer à tout jamais, Klara est avertie qu'elle ne doit pas s'investir dans les promesses des humains."

Selon Deadline, "c'est l'histoire de la quête de Klara pour sauver Josie, ceux qu'elle aime et ceux qui l'aiment d'un chagrin d'amour, et comment, dans ce processus, Klara apprend le pouvoir de l'amour humain".

Jenna Ortega devrait interpréter le personnage de Klara, tandis qu'Amy Adams jouera la dénommée Josie, une petite fille qui souhaite devenir amie avec le personnage-titre. Adams est notamment connue pour ses rôles dans le DCEU (en tant que Lois Lane), dans Il était une fois des studios Disney ou encore dans Premier Contact de Denis Villeneuve. Quant à Ortega, elle a été révélée ces dernières années dans les derniers opus de la saga Scream et dans le rôle éponyme de la série Mercredi.

Le projet étant encore en développement, il ne devrait pas sortir de sitôt. En attendant, les fans de Jenna Ortega sont sûrs de la retrouver souvent cette année, puisqu'elle sera au casting de Miller's Girl et retrouvera Tim Burton dans Beetlejuice Beetlejuice.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... lruX9pQMpE

[Pale]

EL a aimé Daaaaaali ! (3,5 étoiles) :



Après le succès de Yannick, le prolifique Quentin Dupieux est déjà de retour avec Daaaaaali !, faux biopic de Salvador Dali mais vraie rencontre de cinéma entre le peintre surréaliste espagnol et le réalisateur français. Si le goût des deux artistes pour l’absurde suffit à rapprocher leur œuvre respective, il libère aussi Dupieux des entraves habituelles de ses scénarios. Peut-être l’un de ses meilleurs films récents, porté (comme toujours) par un casting en or avec Anaïs Demoustier, Edouard Baer, Jonathan Cohen, Pio Marmaï et Gilles Lellouche.

TOILE BLANCHE DE MAÎTRE

C’est presque devenu un running-gag : malgré la courte durée de ses films, Quentin Dupieux semble de moins en moins capable de les terminer. Ses concepts (souvent excitants sur le papier) portent en eux une soif d’exploration de leurs limites, et pourtant, les microcosmes de cinéma qu’il dépeint n’existent que rarement en dehors de l’écran et après le générique, la faute à des conclusions qui laissent en bouche un sentiment d’inachevé et l'impression d’un couperet arbitraire.

Ce qui démarque Daaaaaali !, c’est sa façon d’assumer avec humour cette frustration – voire déception – par une structure cyclique, où la fin et le début s’entremêlent, se recoupent, se perdent et se retrouvent dans un fracas d’images. On pourrait presque s’amuser à démarrer le film en plein milieu, tant ses mises en abyme permanentes en font un palindrome qui, fatalement, ne peut exister qu’en vase clos.

Plus que jamais, Dupieux cadenasse son esthétique dans un instant T éphémère, quitte à laisser peu de traces après le visionnage. Seulement, il fallait bien cette humilité pour approcher la figure de Salvador Dali. Si le temps et sa linéarité échappent au réalisateur, il en profite pour marteler que cet hommage au peintre surréaliste n’est en aucun cas un biopic. Il s’agit même du point de départ du long-métrage : Judith (géniale Anaïs Demoustier, dont le jeu naïf donne vie aux événements les plus improbables) espère obtenir une interview du maître, dont les caprices et l’humeur changeante reportent constamment le rendez-vous.

Impossible de s’accrocher à une image fixe de l’artiste. À la manière du I’m Not There de Todd Haynes et ses multiples interprétations de Bob Dylan, Salvador Dali ne peut être abordé que par fragments et par différents acteurs (Edouard Baer, Jonathan Cohen, Pio Marmaï, Gilles Lellouche et Didier Flamand). Ne restent qu’une poignée de dénominateurs communs, à savoir un phrasé unique, un accent à couper au couteau, et bien sûr, une célèbre moustache.

PERSISTANCE DES MÉMOIRES

Ce qui intéresse Dupieux, c’est le paradoxe Dali, ou comment un artiste insaisissable a passé sa vie à façonner sa propre caricature. Il en joue et s’amuse à naviguer entre les facettes d’une image d’Épinal polémique (bien qu’il se prive de citer ses penchants franquistes). Daaaaaali ! ne cherche jamais à en tirer un portrait, avec toute la fixité que cela suppose. Au contraire, dès la reproduction du tableau Fontaine nécrophilique qui lui sert d'introduction, on est dans une œuvre du mouvement, qui ne peut pas s’empêcher de sauter du coq à l’âne.

Le moindre plongeon dans une peinture est immédiatement stoppé par un coup de téléphone ou un coup de feu, et cette fusion instable donne tout son charme comique au film. On pensera en particulier à un couloir de l’infini hilarant (type Sacré Graal), note d’intention d’un exercice de style où le montage est roi.

Bien sûr, on pourrait reprocher à Dupieux de tourner en rond, mais l’expérimentation dans l’absurde trouve au travers de son personnage une forme de candeur salvatrice. Comme un enfant qui entrechoquerait ses jouets, il appelle à la surprise à chaque coupe, à chaque rencontre impromptue entre les espaces, les objets et les corps par des rêves dans les rêves et autres allers-retours temporels.

Dali était un ami de Buñuel, et Quentin Dupieux convoque l’héritage de son cinéma surréaliste avec un plaisir évident pour le cadavre exquis. Si ce n’est en rien révolutionnaire, le fait de voir le réalisateur se laisser aller à une telle dimension ludique nous emporte dans son énergie communicative. Et c’était peut-être, au fond, le meilleur concept pour transposer sur grand écran la folie créative de Salvador Dali.

En faisant de chaque plan la pièce d’un puzzle absurde, Quentin Dupieux nous donne envie de recomposer l’image finale qu’il se fait de Dali. Son film le plus ludique depuis un moment.

https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... JFlCim2bLg

[Pale]

Winnie the Pooh 2 : une bande-annonce bien gore pour la suite du film d'horreur



Une bande-annonce vient de sortir pour Winnie the Pooh : Blood and Honey II, la suite du film horrifique avec son méchant Winnie l'Ourson.

Reprendre certains personnages iconiques de l'enfance pour les détourner à travers des films d'horreur bien gores ? En voilà une idée qui fait son chemin. En 2022, Arthur, malédiction jouait avec l'univers de la saga Arthur et les Minimoys. Plus récemment, Internet a connu l'immense bonheur de voir Mickey Mouse tomber dans le domaine public, situation qui a permis l'officialisation de plusieurs films d'horreur comme Mickey's Mouse Trap.

Un personnage Disney qui ne sera pas le premier à être détourné puisqu'en 2023, Winnie the Pooh : Blood and Honey réalisé par Rhys Frake-Waterfield s'est amusé à transformer le gentil Winnie en tueur sanguinaire. Et si, tout comme Mickey, le pauvre ours en peluche a subi les sombres effets de l'expiration du copyright, c'est loin d'être fini pour lui. Le nounours va revenir effrayer tout le monde dans un second long-métrage et il a déjà commencé dans la bande-annonce.



Le succès du premier opus (4,9 millions de dollars dans le monde, pour un budget évalué à 100 000 dollars) se ressent beaucoup dans la bande-annonce de ce second volet. En effet, cette suite semble avoir bénéficié de moyens bien plus importants. Pour commencer, les décors sont bien plus nombreux. Alors que le premier opus se déroulait essentiellement dans la Forêt des Rêves Bleus, cette fois, Winnie et ses amis pelucheux vont envahir la ville d'Ashdown.

Le budget se ressent également dans l'apparence de Winnie, Porcinet et les autres, dont l'apparence est devenue bien plus convaincante. Alors qu'avant, le nounours jaune semblait juste porter un masque, la texture de son visage paraît désormais bien plus crédible. Lors d'une interview avec The Hollywood Reporter en novembre 2023, Frake-Waterfield avait expliqué que, pour cette suite, Winnie l'Ourson a été remodelé par une entreprise ayant travaillé sur Harry Potter et Star Wars. De suite, on comprend mieux pourquoi le nounours est devenu encore plus flippant.



Évidemment, la bande-annonce mise également à fond sur la violence et le gore. Du sang qui éclabousse de partout, des têtes décapitées, des visages complètement défigurés... ah, et une tronçonneuse enflammée, aussi. Parce qu'une tronçonneuse normale, c'est trop gentillet.

Avec tous ces moyens mis en oeuvre, il y a peut-être une chance pour que cette suite parvienne à surpasser l'original (ce qui ne serait pas bien difficile). Malheureusement pour les fans, la bande-annonce ne dévoile aucune date précise, se terminant par un simple "prochainement". Mais les adeptes de Frake-Waterfield peuvent se consoler en repensant à toutes les prochaines parodies prévues par le réalisateur : Pinocchio, Peter Pan ou encore Bambi. La hype grimpe (non).

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... K1pFsHyKic

J'ai pas vu le premier car ça avait l'air d'être à chier mais le trailer de cette suite a plutôt de la gueule

[Pale]

Evil Dead : le réalisateur de Vermines en dit plus sur son film pour la saga d'horreur culte



Evil Dead Rise a été une belle surprise en 2024, mais Sébastien Vaniček, le réalisateur de Vermines, voit plus grand et veut laisser sa trace dans la saga culte.

La trilogie Evil Dead de Sam Raimi a été une révolution dans la mécanique du gore grâce à ses effets pratiques virtuoses et sa mise en scène jubilatoire. Cette marque incontournable a amené à une certaine surenchère par le remake Evil Dead de Fede Alvarez en 2013 et par Evil Dead Rise de Lee Cronin de 2023. Maintenant, c'est au tour du jeune réalisateur français Sébastien Vaniček d'aller s'emparer du mythe.

Depuis sa sortie le 27 décembre 2023, son film d'horreur Vermines est un succès en France, en plus d'être un cauchemar arachnophobe qui sait exploiter la jonction entre effets mécaniques et numériques. Par ailleurs, son premier film a fait du bruit aux États-Unis lors de sa première au Fantastic Fest 2023. Et ça a dû plaire à la famille Evil Dead qui, de la banlieue de Detroit à Hollywood, a eu la même trajectoire folle que le Français. Alors qu'il se retrouvera bientôt au côté de Sam Raimi, de Bruce Campbell ou encore de Robert Tapert, Sébastien Vaniček reste modeste... mais ambitieux.

Passer d'un film de genre français à 4 millions d'euros au nouveau volet d'une saga culte du cinéma d'horreur a de quoi donner le vertige, mais Sébastien Vaniček reste lucide. Dans un entretien avec Première, le jeune cinéaste est revenu sur cette évolution soudaine et les coulisses d'une offre qu'on ne peut pas refuser :

"Après des rendez-vous avec les studios américains, j’ai vite vu que j’allais être contraint. [...] J’ai eu un entretien avec Ghost House Pictures [la société de Sam Raimi], durant lequel j'ai senti un vrai intérêt pour ma façon de travailler. [...] Et quand ils m'ont proposé de réfléchir à un film Evil Dead, j'ai posé mes exigences : tourner avec mes techniciens, faire la post-production en France, écrire le scénario... Ça tombait bien, c'était leur idée que ce soit un film 100 % original, dont j'aurais la maîtrise totale. Sam Raimi est un producteur très protecteur de la vision des gens avec qui il travaille. [...]

Quand ils ont fait officiellement la proposition, je me suis débrouillé pour avoir des garanties. [...] Pour l’instant – et j'espère que cela ne changera pas –, le personnage principal parle en anglais, mais est Français, et se retrouve entouré de personnages américains. Mais je veux absolument garder mon ADN français. Toutes proportions gardées et en toute humilité, j'ai envie de faire un move à la James Cameron sur Aliens. C'est-à-dire qu'on sache que ce Evil Dead est le mien, qu'il porte ma signature. [...] Je ne veux pas me perdre dans une franchise et juste faire un Evil Dead de plus."

Nous voilà rassurés, car l'identité de Vermines tient clairement à son côté débrouillard, qui ne peut exister qu'au travers d'une équipe solide et soudée. De plus, Sébastien Vaniček aura un guide de taille : le réalisateur français Alexandre Aja (derrière le remake génial de La Colline a des yeux en 2006), auprès de qui il a pris conseil pour éviter de perdre son identité dans l'aventure. Pour l'instant, aucune date de sortie n'a encore été annoncée pour ce nouvel Evil Dead.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... fTJ6ZH1CGw

[NaughtyDog]

Un Bonnello très déconcertant mais théoriquement très stimulant. Je dis bien théoriquement car derrière ce récit dystopique qui nous invite à travers 3 époques où le destin émotionnel de 2 personnes est lié (à la Cloud Atlas) est trop long pour ce qu'il veut raconter.
L'approche minimaliste est assez déconcertante également, mais cela oblige le metteur en scène à user de divers outils (musicaux, ratio ou texture d'image..) pour paradoxalement mieux nous tenir à distance.
Malgré tout, il y a un fond assez passionnant dans La Bête (qui fonnera une clé de compréhension à sa fin), dissésuant une humanité euthanasiée dans son rapport à l'aitre, ne parcenant pas à une catharsis de traumas passés (qu'il s'agisse d'amours brisés et gâchés, ou bien lié à une fra ture totale dans le rapport jomme-femme).
Et même si le fond du sujet est là, avec quelques idées qui traversent les époques (la poupée neutre, le semblant de destin funeste), c'est surtout le duo surprenant entre Léa Seydoux et George Mackay qui tient un édifice douvent précaire, mais réflexif au bout du compte

Un petit 3/5

[Kit]

8 février (je ne marquerai que les personnalités relatives au cinéma/tv

une pensée pour
Jules Verne 1928-1905 écriv (adapté au cinéma)
King Vidor 1894-1982 réalisateur, scénariste et producteur américain
Betty Field 1913-1973 actrice amér. (Des souris et des hommes 1939, Arrêt d'autobus 1956)
Georges Guétary 1915-1997 chant/act fr/grec (Un Américain à Paris)
Lana Turner 1921-1995 actr. amér.
Jack Lemmon 1925-2001 act. amér.
Christian Marin 1929-2012 act. fr. (Pouic Pouic, saga Le Gendarme à Saint-Tropez)
Claude Rich 1929-2017 act. fr. ( Les Tontons flingueurs, Paris brûle-t-il ?)
James Dean 1931-1955 act. amér. (La Fureur de vivre, Géant)
Gary Coleman 1968-2010 act. amér. (série Arnold et Willy)

Bon anniversaire à
John Williams 92 ans compositeur musiques de films
Nick Nolte 83 ans act. amér. (série Le Riche et le Pauvre)
Brooke Adams 75 ans actr. amér. (Les Moissons du ciel, Dead Zone)
Niels Arestrup 75 ans act. fr.
Mary Steenburgen 71 ans actr. amér. (C'était demain, Retour vers le futur 3, Philadelphia)
John Grisham 69 ans écriv. amér. (adapté au cinéma : La Firme, L'Affaire Pélican, Le Droit de tuer ? )
Marc Andreoni 63 ans act. fr. (La Vérité si je mens ! 2 & 3)
Mathilda May 59 ans actr. fr. (Lifeforce, La Vie dissolue de Gérard Floque)
Guillaume Gallienne 52 ans act. fr. (Yves Saint Laurent)
Seth Green 50 ans act. amér. (série Buffy contre les vampires https://fr.wikipedia.org/wiki/Seth_Green )

une pensée pour les disparus un 8 février
Robert Conrad 1935-2020 act. amér. (Les Mystères de l'ouest, Les Têtes brûlées)
Jean-Claude Carrière 1931-2021 scénar/ac. fr.

[Pale]

Vaiana 2 : un premier teaser pour la suite surprise de Disney, qui arrive très bientôt



Disney a annoncé qu'un Vaiana 2, suite de Vaiana, la légende du bout du monde, allait bientôt sortir et a déjà dévoilé les premières images.

Non, Disney ne rime plus forcément avec succès, en tout cas pas dernièrement. Après le crash de Buzz l'Eclair, Disney a continué de creuser sa tombe avec Avalonia, l'étrange voyage. Le dernier film d'animation de la firme, Wish – Asha et la bonne étoile, a aussi fait un méga-bide. Le seul à avoir un peu sauvé les meubles est la coproduction Pixar Elémentaire, qui n'a finalement pas bidé au box-office malgré un démarrage alarmant.

Mais Disney fait son beurre avec les remakes en prise de vues réelles de ses classiques, et n'a pas l'intention d'arrêter. On apprenait ainsi en avril 2023 que Disney et The Rock préparaient un remake de Vaiana, ou Moana en version originale, un film animé sorti en 2016. Mais avant ça, l'héroïne va revenir dans un Vaiana 2 surprise, tout récemment annoncé par Disney, qui a dévoilé une première image et un teaser pour fêter ça.



Vaiana devait à l'origine revenir dans une série prévue pour Disney+ mais le boss de Disney, Bob Iger, a récemment déclaré que cette série avait été transformée en film pour le cinéma. Un choix logique, quand on sait que le premier film avait récolté près de 690 millions de dollars au box-office mondial (sixième plus gros succès d'un film d'animation Disney) et quand on voit la popularité de l'héroïne auprès des spectateurs.

Il s'agit du premier film de David G. Derrick Jr., qui a notamment travaillé sur Encanto, la fantastique famille Madrigal et Le Roi Lion, et qui avait aussi participé à l'écriture du premier Vaiana. Lin-Manuel Miranda, qui avait écrit les musiques du premier volet, ne reviendra pas pour le second. Si le teaser ne révèle rien sur l'intrigue du nouveau film, on sait que l'héroïne, appelée par ses ancêtres, se verra embarquée dans une nouvelle aventure dangereuse avec son acolyte Maui.

L'annonce de cette suite ne change rien au projet de remake live action, qui doit toujours arriver pendant l'été 2025. Aucune annonce n'a été faite sur le casting vocal de Vaiana 2, mais il y a de fortes chances que Dwayne Johnson reprenne son rôle, tout comme Auli'i Cravalho qui, contrairement à The Rock, n'incarnera pas son personnage dans le remake.

Comme on peut le lire à la fin du teaser, Vaiana 2 arrivera au cinéma très prochainement, le 27 novembre 2024 aux Etats-Unis. En attendant, on pourra découvrir Vice-versa 2 le 14 juin 2024 dans les salles françaises.

https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 7QZ8xKThT0

Bon après ça sent la suite purement mercantile pour palier les récents échecs.

[Pale]

Le box-office français de la semaine :



https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... e-francais

[Pale]

[Pale]

[NaughtyDog]

Un bon premier long-métrage pour Cord Jefferson, dopé par le meilleur rôle de Jeffrey Wright.
Une histoire à la fois drôle et pertinente d'un auteur afro-américain embrassant à contre-coeur des codes contestataires viciés.
Et c'est traité avec une réelle intelligence, et il faut dire une certaine audace dans la manière de montrer l'instrumentalisation de tout un pan culturel émancipatoire où la victimisation est devenu caricaturale. À côté de cela le film traite bien son personnage en opposition, montrant que finalement le vécu réel n'est pas si sulfureux (belle utilisation du non-dit dans la dynamique familiale), jusqu'à un final évitant tout sensationnalisme de par son côté doux-amer.

3.5/5

Je préfère Incroyable mais vrai ou Yannick dans les plus récents, mais le caractère excentrique de Dali sied très bien au surréalisme global du film.
Le casting est top, et à ce titre Dupieux sait ériger le n'importe quoi vers le grand art (avec une grosse influrnce de Buñuel)
Ça méritait peut-être plus de tenue et de raconter quelque chose de plus profond dur l'artiste ceci dit.

3/5

[Kit]

@Pale
si L'Homme qui n'a jamais existé (The Man Who Never Was) 1956 d'après l'opération Mincemeat qui donna La Ruse (Operation Mincemeat) de John Madden avec Colin Firth t'intéresse
mp

[Pale]

[Pale]

[robinne]

L'affiche n'est pas top, mais je suis assez impatient
Prochain film que j'irai voir en salle Dolby

[NaughtyDog]

Grosse déception, malgré un travail technique régulièrement bluffant (c'est simple on est parfois devant un des métrages d'animation 3D les plus impressionnants jamais fait), Le Royaume des Abysses s'apparente + à une jolie aventure en eaux plates plutôt qu'un récit fantaisiste supportant la charge émotionnelle qu'il souhaite afficher.

Passée une belle mise en place de ces enjeux (où l'abandon de la mère devient finalement vecteur d'une échappée fantasmagorique), on tient là un sous-Life of Pi saupoudré de Miyazaki. Sauf que contrairement à ces films (et même A Monster Calls, l'Histoire sans Fin ou Le Labyrinthe de Pan), on passe 1h30 dans un univers certes coloré (avec parfois une sacrée mise en scène emplie de fluidité où 100 détails se cachent par plan) mais finalement fourre-tout.
Pire, aucun personnage ne semble vraiment incarné, jusque dans la relation avec l'extravagant Lao Jin (seul perso avec un minimum de personnalité), magicien-cuistot voulant avant tout faire du profit, dont l'alchimie avec la jeune héroïne se fera en 5 secondes à coups de forceps vers la fin.

Un lien affectif finalement peu travaillé, tout cela pour supporter un faux twist amenant du pathos à coup de gros violon. Et si la démarche aurait pu être maline (pour offrir un 2nd regard sur ce qu'on a eu précédemment), c'est fait avec tellement peu de symbiose (et montre que l'univers à base de volutes colorées et de slime impersonnel est finalement très peu travaillé) qu'on reste totalement extérieur.

Bref c'est aussi bluffant visuellement que désincarné narrativement : pas terrible au final

2/5

[Pale]

[Pale]

Vu :



J'ai été le voir deux fois Pas que j'ai été transcendé mais certains éléments m'ont échappé durant le premier visionnage et à certains moments j'ai cru qu'il y avait eu un bug durant la projection vu certaines transitions parfois abruptes. Bref je suis retourné le voir dans un autre ciné et non c'est normal Bref je n'ai pas été transcendé mais ça n'en reste pas moins une expérience qui ne laisse pas indifférent. Bien évidemment le travail sur le son est sidérant et j'ai été particulièrement estomaqué par la musique d'intro et la musique de fin. La bande-originale de Mica Levi a l'air de provenir d'un autre monde.



Il faut avouer que le scénario est quand même bien tiré par les cheveux (en sachant que l'histoire aurait pu être réglée très vite) et que Audrey Hepburn est parfois trop dans le surjeu. Cela dit c'est quand même un thriller/suspense rondement mené et qui n'accuse pas trop le poids des années au niveau de sa mise en scène.



Je prends toujours beaucoup de plaisir devant le cinéma de Dupieux, son nouveau film ne déroge pas à la règle. Je ne suis pas un expert de l’œuvre de Dali mais il n'y avait probablement que Dupieux pour saisir l'excentricité du peintre tout en proposant une œuvre aussi surréaliste, le film retourne véritablement le cerveau au même titre qu'un Inception en puissance 10 On retrouve également une satire assez savoureuse de l'univers cinématographique par l'entremise du personnage joué par Romain Duris.



C'est beaucoup mieux que ce à quoi je m'attendais. J'avais lu plein de trucs négatifs sur les personnages et plus particulièrement sur la fille. Je suis le premier a être irrité par les gosses insupportables dans les films mais là ça passe Acide est donc un mélange de drame/film catastrophe et même si c'est pas sans défauts, il y a des choses plus osées que dans la plupart des grosses productions américaines. Je trouve que le film perd un peu en rythme et en puissance dans sa seconde partie mais franchement la toute première scène de pluie m'a vraiment retourné. Bref j'ai été assez agréablement surpris.

[robinne]

Il faut avouer que le scénario est quand même bien tiré par les cheveux (en sachant que l'histoire aurait pu être réglée très vite) et que Audrey Hepburn est parfois trop dans le surjeu. Cela dit c'est quand même un thriller/suspense rondement mené et qui n'accuse pas trop le poids des années au niveau de sa mise en scène.

c'est un film de Pakula, non ?

C'est beaucoup mieux que ce à quoi je m'attendais. J'avais lu plein de trucs négatifs sur les personnages et plus particulièrement sur la fille. Je suis le premier a être irrité par les gosses insupportables dans les films mais là ça passe Acide est donc un mélange de drame/film catastrophe et même si c'est pas sans défauts, il y a des choses plus osées que dans la plupart des grosses productions américaines. Je trouve que le film perd un peu en rythme et en puissance dans sa seconde partie mais franchement la toute première scène de pluie m'a vraiment retourné. Bref j'ai été assez agréablement surpris.

La fille est une tête-à-claques, surtout avec sa réaction à la "fin" quand elle va dans le champ

[Pale]

La fille est une tête-à-claques, surtout avec sa réaction à la "fin" quand elle va dans le champ

J'ai vu bien pire Je pense qu'elle ne s'attendait pas à être prise au piège de la sorte mais c'est surtout qu'elle n'en peut probablement plus des réactions de son père, entre le fait d'avoir lâché la mère sur le pont, sacrifier le chat ou s'enfuir en laissant les gens dans la cave, je pense qu'elle n'avait plus trop confiance en lui sur le moment Sans compter que dans ce genre d'ambiance fin du monde, c'est impossible de véritablement garder les idées claires et la tête sur les épaules je pense. Personnellement le fils de Tom Cruise dans La Guerre des mondes est au-dessus niveau comportement imbitable.

[Pale]

c'est un film de Pakula, non ?

Terence Young.

[Pale]