Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... -en-France
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robinne
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Pale a écrit : ven. 7 juin 2024 20:33 Le box-office français de la semaine :

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1 film vu :o
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Pale
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robinne a écrit : ven. 7 juin 2024 20:47
Pale a écrit : ven. 7 juin 2024 20:33 Le box-office français de la semaine :

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1 film vu :o
Et ce n'est pas le premier de la liste j'en suis certain :o :D
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robinne
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Pale a écrit : ven. 7 juin 2024 21:50
robinne a écrit : ven. 7 juin 2024 20:47
Pale a écrit : ven. 7 juin 2024 20:33 Le box-office français de la semaine :

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1 film vu :o
Et ce n'est pas le premier de la liste j'en suis certain :o :D
Exact : c'est le 2ème :bounce:
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[youtube]pn5fdK61o9c[/youtube]
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Kit
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:hello:

bon anniversaire à
Michael J. Fox 63 ans
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Aaron Sorkin 62 ans scén/prod (Des hommes d'honneur, Le Président et Miss Wade (avec Michael J. Fox), La Guerre selon Charlie Wilson, Steve Jobs ; série À la Maison-Blanche)
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Johnny Depp 61 ans
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David Koepp 61 ans scén (La mort vous va si bien, Jurassic Park, Mission impossible,L e Monde perdu : Jurassic Park, Hypnose (+ réal), Spider-Man, Indiana Jones et le Royaume du crâne de cristal, Indiana Jones et le Cadran de la destinée)
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Sylvie Loeillet 60 ans actr (Génial, mes parents divorcent !, Oui, série Caméra café)
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Gloria Reuben 60 ans (Timecop, Lincoln, séries Urgences, Missing : Disparus sans laisser de trace)
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Sagamore Stévenin 50 ans (La Totale !, Michel Vaillant ; série Falco)
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Michaela Conlin 46 ans (série Bones)
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Natalie Portman 43 ans
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Vosg'patt de cœur
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Joyeux anniversaire à eux :hot:

Vu :

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C'est dans la droite lignée du précédent, le scénario est d'ailleurs dans la continuité de Bad Boys for Life. J'avoue avoir eu un peu de mal durant les 20-30 premières minutes mais lorsque les choses sérieuses commencent (en gros quand les personnages sont en cavale) le film trouve alors son rythme. Je trouve que le duo de réalisateurs fait des merveilles avec cette saga, ils ont réussi à apporter une certaine profondeur à l'ensemble. Même si on n'est pas chez Michael Bay, les scènes d'action sont assez stylées, notamment durant le final. Bref j'ai beaucoup aimé et j'avoue avoir eu quelques fous rires.

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Bien aimé même si ça manque un peu de folie, entre les mains de Alexandre Aja ça aurait pu être beaucoup plus vénère. Je pense notamment à la scène centrale celle des catacombes qui m'a un peu déçu tant elle manque de férocité. Cela dit le réalisateur prend son temps, il fait grimper la tension petit à petit et j'avoue que j'ai pris mon pied devant le climax WTF qui réussit à élever l'ensemble et vaut à lui seul le détour.

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Comédie dans laquelle un couple achète un duplex dans lequel se trouve une vieille locataire avec qui Ben Stiller et Drew Barrymore vont devoir cohabiter. Ce qui devait s'apparenter à un rêve va se transformer en cauchemar. Cela devient alors une succession de situations plus drôles les unes que les autres.

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C'est la découverte récente de The Yards qui m'a donné envie de découvrir le premier film de James Gray. Même si j'ai une préférence pour The Yards qui est devenu mon film préféré du réalisateur, Little Odessa est également une petite pépite, un mélange entre le drame, le thriller et la pure tragédie.

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Massacre au camp d'été en version française, j'avoue que j'ai appris l'existence de ce slasher datant du début des années 80 il y a peu et j'étais très curieux car il a apparemment une bonne réputation (notamment grâce à sa fin). Bon j'ai eu beau essayer de me mettre dans le contexte de l'époque, j'ai trouvé ça d'une ringardise et débilité absolues :D
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Wickaël
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Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 11:47 Image

Bien aimé même si ça manque un peu de folie, entre les mains de Alexandre Aja ça aurait pu être beaucoup plus vénère. Je pense notamment à la scène centrale celle des catacombes qui m'a un peu déçu tant elle manque de férocité. Cela dit le réalisateur prend son temps, il fait grimper la tension petit à petit et j'avoue que j'ai pris mon pied devant le climax WTF qui réussit à élever l'ensemble et vaut à lui seul le détour.
Vu hier soir et mon avis rejoint le tien. Aja aurait fait un carnage dans les catacombes, de même que la scène du triathlon :D
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Wickaël a écrit : dim. 9 juin 2024 12:19
Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 11:47 Image

Bien aimé même si ça manque un peu de folie, entre les mains de Alexandre Aja ça aurait pu être beaucoup plus vénère. Je pense notamment à la scène centrale celle des catacombes qui m'a un peu déçu tant elle manque de férocité. Cela dit le réalisateur prend son temps, il fait grimper la tension petit à petit et j'avoue que j'ai pris mon pied devant le climax WTF qui réussit à élever l'ensemble et vaut à lui seul le détour.
Vu hier soir et mon avis rejoint le tien. Aja aurait fait un carnage dans les catacombes, de même que la scène du triathlon :D
Bon je tiens aussi à dire qu'un membre du topic apparait dans le film en tant que figurant et qu'on le distingue très bien :sol:
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Wickaël
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C'est Miam ?
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Wickaël a écrit : dim. 9 juin 2024 12:38C'est Miam ?
Yes :jap:
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Il joue un requin ?
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Wickaël
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Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 12:58
Wickaël a écrit : dim. 9 juin 2024 12:38C'est Miam ?
Yes :jap:
Je me rappelle qu'il avait parlé d'un petit rôle (figuration) pour un film il y a quelques temps donc j'en ai déduit que c'était lui :D
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Next a écrit : dim. 9 juin 2024 15:25Il joue un requin ?
Non mais c'est assez drôle qu'il figure dans un film avec des requins justement en sachant que Miam en a toujours eu la phobie :D
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Kit
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Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 16:20
Next a écrit : dim. 9 juin 2024 15:25Il joue un requin ?
Non mais c'est assez drôle qu'il figure dans un film avec des requins justement en sachant que Miam en a toujours eu la phobie :D
parce que le requin en le voyant : "miam, miam", il n'a qu'à aller à la piscine
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Kit a écrit : dim. 9 juin 2024 17:32
Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 16:20
Next a écrit : dim. 9 juin 2024 15:25Il joue un requin ?
Non mais c'est assez drôle qu'il figure dans un film avec des requins justement en sachant que Miam en a toujours eu la phobie :D
parce que le requin en le voyant : "miam, miam", il n'a qu'à aller à la piscine
:lol:

Mon programme ciné du week-end prochain :

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Peut-être :

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Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 18:01 Image
J'ai pas suivi cette actu mais en gros c'est la nouvelle version de Thelma et Louise ? :saint:

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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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ClintReborn a écrit : dim. 9 juin 2024 19:00
Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 18:01 Image
J'ai pas suivi cette actu mais en gros c'est la nouvelle version de Thelma et Louise ? :saint:

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Je pense qu'il y a un peu de ça, dans l'univers du culturisme et du crime :D
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Miamsolo
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Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 12:32
Wickaël a écrit : dim. 9 juin 2024 12:19
Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 11:47 Image

Bien aimé même si ça manque un peu de folie, entre les mains de Alexandre Aja ça aurait pu être beaucoup plus vénère. Je pense notamment à la scène centrale celle des catacombes qui m'a un peu déçu tant elle manque de férocité. Cela dit le réalisateur prend son temps, il fait grimper la tension petit à petit et j'avoue que j'ai pris mon pied devant le climax WTF qui réussit à élever l'ensemble et vaut à lui seul le détour.
Vu hier soir et mon avis rejoint le tien. Aja aurait fait un carnage dans les catacombes, de même que la scène du triathlon :D
Bon je tiens aussi à dire qu'un membre du topic apparait dans le film en tant que figurant et qu'on le distingue très bien :sol:
:saint: :D
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Pale a écrit : dim. 9 juin 2024 16:20
Next a écrit : dim. 9 juin 2024 15:25Il joue un requin ?
Non mais c'est assez drôle qu'il figure dans un film avec des requins justement en sachant que Miam en a toujours eu la phobie :D
Quelle ironie hein :D
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yhi
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:rofl: Mais tu vas même pas oser regarder le film dans lequel tu apparais ?
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yhi a écrit : dim. 9 juin 2024 23:55 :rofl: Mais tu vas même pas oser regarder le film dans lequel tu apparais ?
Non ça va, suffit de plisser les yeux dans les moments tendus :sol: :D
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Je l'ai revu une seconde fois et je l'ai davantage apprécié :D
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Le casting de À couteaux tirés 3 (avec en prime un premier aperçu du look de Daniel Craig dans ce troisième épisode) :

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Toy Story 5 : excellente nouvelle pour la suite de la saga Pixar (finalement, on a hâte)

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Pixar sait attirer notre attention : le réalisateur de Toy Story 5 est un habitué de la saga, et ça fait envie.

Il y avait de quoi avoir peur. Après un troisième volet déchirant, la saga Toy Story avait rempilé pour un épisode 4 inégal, mais très beau, qui apportait lui aussi une douce conclusion à la franchise. Mais une fois encore, Pixar et Disney relancent la machine en préparant un Toy Story 5. La suite de trop ? Peut-être, mais lors d’une projection de Vice-versa 2, le cinéaste Pete Docter a annoncé une bonne nouvelle qui pourrait rassurer les amoureux de la franchise.

En effet, le cinéaste derrière Monstres et Cie et Soul a révélé le nom du réalisateur de Toy Story 5, à savoir Andrew Stanton. Une sacrée annonce puisque le metteur en scène de 1001 pattes, Le Monde de Nemo et WALL·E est un des artisans historiques de Pixar. Toy Story 5 serait la première réalisation d’Andrew Stanton pour la filiale de Disney depuis 2016 et son (inégal) Monde de Dory.

À noter que s’il n’a jamais (co)réalisé un Toy Story, Andrew Stanton est familier de cet univers puisqu’il a participé à l’écriture de tous les opus de la franchise. Depuis quelques années, le cinéaste a exclusivement officié du côté de la prise de vue réelle en mettant en scène des épisodes de série, notamment Stranger Things, For All Mankind et Le Problème à 3 corps. Tout récemment, le bonhomme a également écrit les deux derniers épisodes d’Obi-Wan Kenobi.

Un sacré CV qui rassurera quelques sceptiques de ce projet de Toy Story 5. À noter qu’Andrew Stanton ne devrait pas être le seul à faire son grand retour dans ce nouvel opus puisque les voix de Woody et de Buzz, respectivement Tom Hanks et Tim Allen, ont été contactées pour reprendre leur rôle. À défaut d’en savoir plus sur cette suite (titre, intrigue, casting), rappelons que sa sortie dans nos salles de cinéma françaises est actuellement fixée au 17 juin 2026.


https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... _Yv3mKy-Rk
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robinne
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Pale a écrit : lun. 10 juin 2024 17:19 Toy Story 5 : excellente nouvelle pour la suite de la saga Pixar (finalement, on a hâte)

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Pixar sait attirer notre attention : le réalisateur de Toy Story 5 est un habitué de la saga, et ça fait envie.

Il y avait de quoi avoir peur. Après un troisième volet déchirant, la saga Toy Story avait rempilé pour un épisode 4 inégal, mais très beau, qui apportait lui aussi une douce conclusion à la franchise. Mais une fois encore, Pixar et Disney relancent la machine en préparant un Toy Story 5. La suite de trop ? Peut-être, mais lors d’une projection de Vice-versa 2, le cinéaste Pete Docter a annoncé une bonne nouvelle qui pourrait rassurer les amoureux de la franchise.

En effet, le cinéaste derrière Monstres et Cie et Soul a révélé le nom du réalisateur de Toy Story 5, à savoir Andrew Stanton. Une sacrée annonce puisque le metteur en scène de 1001 pattes, Le Monde de Nemo et WALL·E est un des artisans historiques de Pixar. Toy Story 5 serait la première réalisation d’Andrew Stanton pour la filiale de Disney depuis 2016 et son (inégal) Monde de Dory.

À noter que s’il n’a jamais (co)réalisé un Toy Story, Andrew Stanton est familier de cet univers puisqu’il a participé à l’écriture de tous les opus de la franchise. Depuis quelques années, le cinéaste a exclusivement officié du côté de la prise de vue réelle en mettant en scène des épisodes de série, notamment Stranger Things, For All Mankind et Le Problème à 3 corps. Tout récemment, le bonhomme a également écrit les deux derniers épisodes d’Obi-Wan Kenobi.

Un sacré CV qui rassurera quelques sceptiques de ce projet de Toy Story 5. À noter qu’Andrew Stanton ne devrait pas être le seul à faire son grand retour dans ce nouvel opus puisque les voix de Woody et de Buzz, respectivement Tom Hanks et Tim Allen, ont été contactées pour reprendre leur rôle. À défaut d’en savoir plus sur cette suite (titre, intrigue, casting), rappelons que sa sortie dans nos salles de cinéma françaises est actuellement fixée au 17 juin 2026.


https://www.ecranlarge.com/films/news/t ... _Yv3mKy-Rk
Ca fait plaisir, mais au bout d'un moment, y en a un peu marre d'user la même recette :o
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Zack Snyder

REBEL MOON - THE DIRECTOR’S CUTS

Chapter One: Chalice of Blood
Chapter Two: Curse of Forgiveness

August 2, only on Netflix.


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Pale a écrit : mar. 11 juin 2024 16:40 Zack Snyder

REBEL MOON - THE DIRECTOR’S CUTS

Chapter One: Chalice of Blood
Chapter Two: Curse of Forgiveness

August 2, only on Netflix.


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P'têt que j'regard'rai :o

Si ça ne dure pas trop longtemps :sweat:
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robinne a écrit : mar. 11 juin 2024 17:19 P'têt que j'regard'rai :o

Si ça ne dure pas trop longtemps :sweat:
Les versions normales font 2 heures, ici ce sont des versions longues :D
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[youtube]njPNg0A9VpY[/youtube]

[youtube]3iHLk8nHX80[/youtube]

La première bande-annonce vendait davantage du rêve.
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[youtube]inFF5a4uXpQ[/youtube]
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[youtube]AEbfiLaOdJA[/youtube]

[youtube]5NAToAswd9c[/youtube]
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Premier aperçu du film d'animation Le Seigneur des Anneaux : La Guerre des Rohirrim :

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Pale a écrit : mar. 11 juin 2024 16:38 Image

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[youtube]1-cyKzpYTa8[/youtube]

[youtube]Fp-1L1KOIk8[/youtube]
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Vice-Versa 2 : les premiers avis sur la suite du Pixar culte sont là

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Les premiers avis de la presse américaine sur Vice-Versa 2 viennent de tomber, et ça sent plutôt bon pour la suite du film de Pixar.

Grâce à la sortie de Vice-Versa en 2015, Pixar a su prouver qu’il était encore capable de réaliser de véritables chefs-d’œuvre de l’animation. Avec son concept intrigant, son esthétisme marquant et ses personnages géniaux inspirés de la théorie des émotions du psychologue Paul Ekman, le film de Pete Docter (désormais actuel directeur artistique de Pixar) et Ronnie del Carmen a été un énorme succès.

Et après un tel triomphe (quasiment 859 millions de dollars de recettes au box-office mondial et beaucoup de critiques extrêmement positives), il était assez logique que Pixar revienne avec une suite. On avait déjà pu voir la bande-annonce pleine de nouvelles émotions de Vice-Versa 2, et on peut maintenant avoir accès aux premiers avis américains sur le dernier bébé du studio à la lampe.

« Vice-Versa 2 est absolument brillant. C’est un de mes Pixar préférés. C’est un de mes films préférés de tous les temps. Quelle joie incroyable de voir Kelsey Mann et compagnie développer le concept avec autant de réussite. Ça m’a rendue encore plus certaine qu’il existe d’innombrables recoins/étapes de la vie qui valent la peine d’être explorés de cette façon. »
Perri Nemiroff – Collider

« Vice-Versa 2 signe le retour de Pixar au sommet de sa forme. Tout, de l’animation à l’histoire et l’introduction d’Anxiété, Envie et Embarras, en font l’une des meilleures suites depuis des lustres. Rempli de comédie, d’easter eggs et de beaucoup d’émotions. C’est la perfection animée. »
Jazz Tangcay – Variety

« Pas besoin de s’inquiéter pour Vice-Versa 2. La suite de Pixar aborde le fait de grandir d’une manière aussi drôle, inventive et touchante que le premier film. Ça ne frappe pas aussi fort émotionnellement (pas de moment « emmène-la sur la lune pour moi »), mais le film livre un message pertinent efficacement. »
Ian Sandwell – Digital Spy

« Vice-Versa 2 est ABSOLUMENT INCROYABLE et est l’un des films Pixar les plus PUISSANTS jamais réalisés. Une suite magnifiquement conçue et émotionnellement mature à la hauteur de l’original. Maya Hawke est INOUBLIABLE dans le rôle d’Anxiété et vole la vedette à tout le monde. UN INCONTOURNABLE pour tous les âges ! »
Daniel Baptista – The Movie Podcast

« Bien qu’il ne soit pas aussi impressionnant que le premier, Vice-Versa 2 rafraîchit son concept en ajoutant de nouvelles émotions pour aider Riley à grandir et à devenir une personne plus complexe. Le résultat est un film vibrant, drôle et émouvant qui nous ramène à une période tumultueuse de nos vies où tout était exacerbé, où rien ne semblait avoir de sens et où le changement était inévitable. »
Matt Neglia – Next Best Picture

« J’ai vraiment pleuré devant Vice-Versa 2. Ça a déclenché toutes mes émotions. Je vais avoir besoin que tu fasses un film sur Riley tous les 10 ans, Pixar. Ils sont bons pour l’esprit. »
Sean O’Connell – Cinema Blend

« Soulagé de dire que Vice-Versa 2 est vraiment bon – il manque inévitablement le sentiment de nouveauté/surprise du premier, mais il fait un excellent travail en restant fidèle au ton tout en élargissant son monde. Il n’a pas l’énorme punch émotionnel de l’original, mais il comporte plusieurs moments émouvants et reste très drôle, inventif et visuellement génial. »
Matt Maytum – Total Film

Les critiques américaines semblent donc très satisfaites de ce Vice-Versa 2. En sa qualité de suite, le film de Pixar parvient à retrouver le même humour avec un style visuel toujours efficace, en explorant de manière ludique mais inventive des thématiques qui parlent à tous les âges. L’addition de nouveaux personnages permet également que son propos garde de l’intérêt sans perdre de son originalité.

Est-il aussi bon que le premier ? À ce niveau-là, les opinions divergent, mais pour se faire son propre avis, Vice-Versa 2 sera en salles en France dès le 19 juin 2024.


https://www.ecranlarge.com/films/news/v ... hOba-UmHFo
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bon anniversaire à
Malcolm McDowell 81 ans (Orange mécanique, Caligula, C'était demain)
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José Pinheiro 79 ans réal (Parole de flic)
Stellan Skarsgård 73 ans (A la poursuite d'Octobre Rouge, saga Thor séries River, Chernobyl, Andor)
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Richard Thomas (série La Familles des collines)
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Tim Allen 71 ans (Super Noël, série Papa bricole !)
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Lance Kinsey 70 ans (Proctor saga Police Academy, Alarme fatale)
Ally Sheedy 62 ans (WarGames, The Breakfast Club, St. Elmo's Fire, Short Circuit, High Art)
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Chris Evans 43 ans (Les 4 Fantastiques, saga Captain America et Avengers, Sex List)
Ethan Embry 46 ans (séries Dragnet s1, Grace et Frankie)
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Kat Dennings 38 ans (Thor, séries 2 Broke Girls, WandaVision, Dollface)
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Mary-Kate Olsen et Ashley Olsen 38 ans (Papa, j'ai une maman pour toi)
Aaron Taylor-Johnson 34 ans (Kick-Ass et 2, Godzilla, Kraven le chasseur)
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Kodi Smit-McPhee 28 ans (La Planète des singes : L'Affrontement)
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EL a beaucoup aimé Love Lies Bleeding (4 étoiles) :

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L’excellent Saint Maud avait fait un véritable triomphe au festival de Gérardmer. Mais la pandémie de COVID est passée par là, reléguant ce premier film à une discrète sortie SVOD. Cela n’a pas empêché sa réalisatrice Rose Glass de poursuivre sur sa lancée, s’octroyant les services d’une vedette hollywoodienne (Kristen Stewart) et d’une comédienne en pleine ascension (Katy O’Brian) pour les prestigieux studios A24 et Film4. Love Lies Bleeding sort bien en France ce 12 juin 2024 et donne enfin à voir au plus grand nombre le talent de la cinéaste.

MESDAMES MUSCLES


Les premières minutes annoncent la couleur : Saint Maud s’intéressait à la piété religieuse, Love Lies Bleeding ne sera que muscles, stéroïdes et white trash. La stratégie reste la même : nous immerger dans un milieu refermé sur lui-même, inextricable pour des personnages forcés plus ou moins malgré eux de s’en imprégner. Ici, la messe est dite dès l’ouverture et son ballet d’inserts dégoulinants de chair et de sueur. L’épicentre géographique du récit sera une salle de musculation gérée par Lou (Kristen Stewart) et dans laquelle débarque Jackie (une Katy O’Brian au physique impressionnant). Deux femmes évoluant dans un bain de testostérone et de coupes mulets, qui vont très vite s’enticher l’une de l’autre.

À vrai dire, l’univers du film tourne plutôt autour de deux pôles : la salle et le stand de tir. Nos deux héroïnes ne cesseront de se revendiquer du premier, assurant privilégier le poing au canon, le physique au matériel, parfois verbalement. Mais tandis que les prises de stéroïdes se succèdent, mais ne s’espacent pas, une réalité terrifiante finit par les rattraper. Les deux approches sont tout aussi artificielles, illusoires. Et de toute manière, elles prouvent bien que dans ce coin d’Amérique des années 1990, les deux seuls projets de vie consistent à dompter d’une manière ou d’une autre l’usage de la force. Et ce afin de cesser de la subir.

Aidée au scénario par Weronika Tofilska (Mon Petit Renne), Glass ne se vautre pas dans le fétichisme de la capsule temporelle. Il y a avait de quoi tomber dans ce piège avec la musique rétro du trop rare Clint Mansell et l’armada de looks, bagnoles et références balancées à l’écran. Pourtant, la cinéaste révèle assez tard dans le récit un marqueur historique, de manière pas si anecdotique par ailleurs, et s’intéresse moins aux détails de ce microcosme qu’à la manière dont il broie ses héroïnes et la relation qu’elles tentent de tisser.

Le fétichisme, c’est celui des muscles de Jackie, interprétée par une Katy O’Brian qui crève l’écran dans un rôle difficile, aux côtés d’une Kristen Stewart également très juste. La mise en scène tourne autour d’eux en permanence, en faisant l’épicentre de l’intrigue. Ces muscles, tantôt chargés d’érotismes, tantôt chargés tout court, provoquent et dénouent les enjeux, à la fois résultat d’un trop plein de violence et de sa libération, au point de carrément faire basculer le récit dans le fantastique.

LOVE, DEATH AND GROS BRAS

Mais avant tout, Love Lies Bleeding est une histoire d’amour sincère, qui sera corrompue par la violence dont suinte son environnement. Car si certains risquent de trouver le temps long dans la première partie, c’est parce que la cinéaste prend bien soin d’accorder à ses personnages principaux un début d’idylle amoureuse et notamment des scènes intimes et charnelles faisant office de cocon dans un océan mortifère (peuplé à la fois par un Dave Franco détestable et par un Ed Harris parfait). Evidemment, celui ci finira par éclater dans un éclat de brutalité plus que sévère.

C’est deux types de violence qui se côtoient : la violence rituelle, couverte par tout à chacun, et la violence impulsive, conséquence de la première. C’est évidemment la seconde qui sera la plus réprimée, dans une logique héritée de Bonnie and Clyde. Les scénaristes ne mettent pas tous leurs œufs dans le même panier : l’horreur, défiant jusqu’à la raison de la victime, de la violence conjugale, n’a rien à voir avec celle qu’elle finit par provoquer. Et l’amour des femmes, entre femmes, ne cesse de se débattre avec un monde d’agressivité, jusqu’à en être submergé presque intégralement.

Bien qu’il ne laisse à aucun moment douter de l’empathie qu’il éprouve pour son couple en roue libre, Love Lies Bleeding fait preuve d’un nihilisme encore mieux dissimulé que dans le fameux dernier plan de Saint Maud. Volontairement grotesque, son final a la bonne idée de convoquer directement les grandes figures de la culture populaire, ayant cette cette manie d’à la fois perpétuer et pourfendre la culture de la violence qui corrompt chaque ligne de dialogue passé le premier tiers du long-métrage. La jolie rêverie fantasmagorique qui clôturerait le dernier acte de n’importe quelle série B se craquèle pour laisser apparaitre une fausse victoire amère.

À première vue, et à travers son affiche, Love Lies Bleeding semblait crier « elles contre le monde ». Sa cruelle qualité aura été de liguer le monde contre elles, puis d’ériger le cinéma grand public dans lequel il s’inscrit non pas en solution, mais en une étape supplémentaire sur leur route. Et ce jusqu’à un générique qui ressemble à une épitaphe : ci-gît l’amour, en sang.

Rose Glass raconte comment la violence corrompt l’amour et confirme que son cinéma développe un passionnant nihilisme féministe.


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Blade : le film de Marvel a (encore) perdu son réalisateur et on se demande qui y croit encore

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Après le départ de Bassam Tariq, c’est au tour de Yann Demange de quitter la production du film maudit de Marvel, Blade.

Si Marvel et son MCU sont encore et toujours sur le devant de la scène, il faut tout de même avouer que les derniers mois/années n’ont pas été si faciles. L’année 2023 a notamment été marquée par le catastrophique Ant-Man et la Guêpe : Quantumania et par l’énorme flop de The Marvels, et il est désormais vital pour la super-entreprise (dans le sens super-héros évidemment) de se remettre en selle.

Mais tandis que Deadpool 3 explose déjà des records au box-office et qu’Avengers 5 a peut-être enfin trouvé son réalisateur, une énième mauvaise nouvelle risque de mettre du plomb (béni) dans l’aile de Marvel et de son président Kevin Feige. En effet, on a récemment appris que le prochain film Blade avait (encore) perdu son réalisateur, et on se demande donc comment cette histoire va bien pouvoir finir.

Tout semblait enfin bon pour Blade. Alors que son premier réalisateur, Bassam Tariq, avait quitté le navire en 2022, le film s’était en effet dégoté un nouveau metteur en scène en la personne de Yann Demange (Undercover : Une histoire vraie). Malheureusement pour Marvel et comme l’a révélé The Wrap, on a donc appris que le réalisateur franco-algérien avait à son tour décidé de quitter la production.

Les trois premiers scénaristes de Blade, Michael Starrbury, Nic Pizzolatto et Michael Green, avaient également décidé de partir un peu plus tôt, laissant les rênes de l’écriture à Eric Pearson (Thor : Ragnarok, Black Widow, Les Quatre Fantastiques).

On avait pourtant (et avons encore même si ça semble compliqué) pas mal d’attentes concernant Blade. Le film sur le super-héros vampire s’était doté d’un casting plutôt impressionnant, avec notamment Mahershala Ali (Green Book, Moonlight, House of Cards) pour interpréter le rôle titre, ainsi que Mia Goth (la trilogie X de Ti West) et Delroy Lindo (Da 5 Bloods : Frères de Sang).

Également, Marvel avait expliqué que Blade serait classé R (le deuxième film du MCU avec Deadpool 3 à avoir droit à cette classification). De quoi laisser imaginer des séquences de combat plus sanglantes et violentes qu’à l’accoutumée dans l’univers (et tant mieux vu le personnage). Officiellement, Blade est toujours prévu pour le 5 novembre 2025, mais il ne serait pas étonnant que sa date de sortie soit reportée. Affaire à suivre…


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EL a moyennement apprécié Les Guetteurs (2,5 étoiles) :

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Les Guetteurs est le premier film d’Ishana Night Shyamalan. Oui, comme M. Night Shyamalan, le cinéaste derrière Sixième sens, Signes, Le Village et Split. Après avoir fait ses armes auprès de papa, elle se lance en solo (mais avec papa comme producteur) avec une adaptation du livre d’A. M. Shine. L’idée est diabolique : des gens piégés dans une forêt mystérieuse, face à des créatures cauchemardesques. Mais il faut plus qu’un bon point de départ pour réussir un tel film.

TEL PÈRE TEL FILM


Ce serait pas un peu facile de parler du père Shyamalan pour aborder le premier film de sa fille Ishana Night Shyamalan ? Peut-être. Mais est-ce que c’est pas nécessaire quand même ? Parce qu’au-delà du vaste sujet des nepo babies (nom donné aux célébrités enfants de célébrités), la réalisatrice et scénariste de Les Guetteurs n’a pas cherché à tracer sa route loin du paternel.

À seulement 21 ans, elle était invitée par son père à rejoindre la saison 2 de sa série Servant, pour faire ses premiers pas comme réalisatrice entre lui (également producteur et showrunner) et Julia Ducournau. Un sacré top départ puisqu’elle a finalement mis en scène six épisodes, en plus d’en écrire une dizaine. En parallèle, elle devenait réalisatrice de seconde équipe sur Old et Knock at the Cabin.
Les Guetteurs | Bande Annonce officielle (VOST) | Dakota Fanning, Ishana Shyamalan

Quand elle s’est lancée dans son premier projet, c’était logiquement avec le soutien de papa, qui a appliqué la même recette que sur ses propres films depuis The Visit : le financer lui-même, puis le vendre à un studio. En l’occurrence à Warner Bros., qui aurait lâché 30 millions pour se payer Les Guetteurs – sachant qu’ils sortiront cet été le prochain film de papa, Trap.

C’est donc une affaire de famille rondement menée, d’autant plus qu’il y a une ligne imaginaire simple à tracer entre Les Guetteurs et les films de M. Night Shyamalan. La forêt, avec ses créatures mystérieuses et ses règles à respecter, rappelle forcément Le Village. Manque de chance (et de talent), ça ressemble plutôt à La Jeune Fille de l’eau et Old.

MATER N’EST PAS JOUER

Pendant trente ou quarante minutes, Les Guetteurs fait presque illusion. Ishana Night Shyamalan place ses pions en installant son décor (une forêt labyrinthique sans issue, et une étrange maisonnette comme seul refuge), ses personnages (une jeune femme solitaire, et trois inconnus), et sa menace (des choses tapies dans l’ombre). Elle ne réinvente pas la roue de l’horreur, comme en témoigne la simplette séquence d’intro, mais elle a un joker : un concept-cauchemar alléchant qui offre un fascinant carburant horrifique.

En plus d’être des monstres qui n’hésiteront pas à bouffer le moindre humain qui traîne après l’heure du souper, ces mystérieux « guetteurs » sont des spectateurs. En échange d’une fragile trêve avec les survivants, ils veulent observer ces âmes égarées nuit après nuit, à travers un immense miroir sans tain qui fait office de fenêtre dans le refuge. Pourquoi ? Là est la question, et tout l’intérêt de cette idée digne d’un épisode de La Quatrième Dimension.

La situation est simple mais diablement riche. Piégés dans une forêt qui leur joue des tours, les prisonniers ne peuvent s’aventurer trop loin, sous peine d’être à la merci des créatures nocturnes. Condamnés à fixer leurs reflets pour satisfaire ce monstrueux public, ils se contentent d’écouter les bruits. C’est du pain béni pour Ishana Night Shyamalan, dont la mise en scène joue sur les deux faces de cette horreur (entre le cocon de la maison et la fragilité de cette fenêtre-miroir vue de l’extérieur, entre la surface de la forêt et ce qui se cache sous terre). Elle emballe même quelques scènes glaçantes, comme ces « applaudissements » de bienvenue.

Mais cette première petite victoire était la plus facile. L’évocation est toujours plus simple que la démonstration. Très vite, Les Guetteurs entame sa descente aux enfers, victime du piège de tous les films d’horreur à concept : ne pas savoir quoi en faire, et s’écrouler dès qu’il faut donner des réponses.

AIE CONCEPT

En réalité, Les Guetteurs annonçait la couleur du problème dès l’introduction, écrite avec la finesse d’une tractopelle. Beaucoup de choses viennent du livre dans cette présentation du personnage de Dakota Fanning (elle est seule et triste, elle a un trauma et un perroquet), mais ça n’explique pas la lourdeur des situations et des dialogues. La fille Shyamalan est aussi subtile que son père dans les 3/4 de sa filmographie, et c’est évident dès la scène où l’héroïne se parle à elle-même dans un miroir. Le pire étant que le pire est à venir.

Dès qu’elle doit définir et affronter ces fameux guetteurs, Ishana Night Shyamalan se prend les pieds dans le tapis. D’une petite brocante en territoire interdit à une partie de cache-cache sous des racines, la réalisatrice et scénariste a bien du mal à tenir les règles de son petit jeu. Les Guetteurs accumule alors les rendez-vous manqués, les idées sous-exploitées, voire les éléments inexplicables. Les questions sur l’univers laissent place à celles sur le film, sa cohérence interne, et ses personnages extrêmement sommaires.

C’est le début d’une longue et lente glissade, où la réalisatrice semble quasiment renoncer à certains aspects de son univers (notamment la forêt et ses illusions), quand elle ne tombe pas dans les pires travers de la série B (l’interminable scène où quelqu’un explique la mythologie en vidéo, ou le mini-cours d’histoire en plein milieu d’une course : pitié). Le pire étant que ça n’est toujours pas le pire.

EN PIRE, VOUS AVEZ DIT EN PIRE ?

Les Guetteurs a au moins l’audace de sa candeur. Après un faux climax qui franchit quelques caps du mauvais goût (un personnage stupide par-ci, un plan visuellement hideux par-là), le scénario ouvre une dernière porte inattendue. Ce sera le dernier clou dans le cercueil d’un film qui sentait le sapin depuis une bonne demi-heure.

Difficile de parler d’un art du twist à la Shyamalan tant cette fausse surprise sert moins à retourner le récit qu’à offrir un troisième acte pseudo spectaculaire. Ishana Night Shyamalan sort alors l’artillerie lourde pour confirmer tous les problèmes de son film, tant dans la mise en scène que dans l’écriture (le coup des photos, pitié). Le clou du spectacle sera un ultime échange consternant de niaiserie, qui échoue absolument à transformer l’horreur en émotion.

Mais le plus grand échec d’Ishana Night Shyamalan est d’abord à chercher du côté de ces foutus guetteurs. Ne sachant jamais sur quel pied danser, la réalisatrice essaye d’en faire des monstres purs et abstraits, puis des créatures humanoïdes fascinantes, et finalement des personnages à part entière. Mais derrière les silhouettes intrigantes et terrifiantes, il n’y a que des scènes trop attendues, trop mécaniques, et trop bancales. En voulant exploiter une large mythologie qui dépasse le simple cadre horrifique, Shyamalan en a oublié le principal : faire exister ces créatures au-delà du concept.

Inutile donc de dire que le film aura globalement raté toutes les marches du trouillomètre. Dans la famille des films d’horreur en forêt, autant oublier Les Guetteurs et se (re)faire Le Rituel, réalisé par David Bruckner, sur Netflix.
les guetteurs affiche

Si on doit comparer le film de la fille Shyamalan à son père (ici producteur), on est plutôt sur La Jeune Fille de l’eau que Le Village. Mais même sans parler d’hérédité, Les Guetteurs est un beau gâchis, qui sabote une excellente idée d’horreur avec un scénario terriblement mal écrit.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... k6rHFPcrSu

Bon j'avoue que j'ai évité de la lire pour ne pas être mis involontairement sur la piste du pourquoi du comment :crazy:
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