Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Enorme carton pour Sous la Seine, large numéro 1 dans le monde sur Netflix

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C'est le film le plus vu sur la plateforme, partout sur la planète, et de loin !

Paris, les JO, la Tour Eiffel... et maintenant son requin ! Tous les ingrédients étaient réunis pour faire de Sous la Seine un énorme hit sur Netflix. Le thriller horrifique porté par Bérénice Bejo se hisse ainsi, comme on pouvait s'y attendre, tout en haut du top Netflix.

Under Paris, de son petit nom américain, est numéro 1 du classement mondial de la plateforme, pour la semaine du 3 au 9 juin, avec 41 millions de vues et plus de 70 millions d'heures visionnées. Sous la Seine est numéro 1 dans dans tous les pays du monde ou presque (Amérique, Europe et Asie confondues) sauf aux Etats-Unis, où il arrive en deuxième position avec le film d'action inédit Hit Man, porté par la nouvelle star Glen Powell (Anything but you). Mais Hit Man reste très loin du film français au global, cumulant seulement 10,8 millions de vues dans le monde.

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Il faut noter que si le succès du long métrage de Xavier Gens était prévisible, il est d'une ampleur spectaculaire.

En effet, Sous la Seine écrase les scores des précédents blockbusters de Netflix en 2024 : Atlas (28 millions de vues en mai), Rebel Moon : part II (19 millions en avril), La Demoiselle et le Dragon (35 millions en mars). Il faut remonter à la sortie du film de Sam Esmail, Le Monde Après nous (42 millions en décembre 2023) pour trouver trace d'un tel carton sur Netflix. Ce qui veut dire qu'à ce rythme, Sous la Seine a une chance d'intégrer le top 10 absolu des plus gros succès ciné de l'histoire de la plateforme (toutes langues confondues) dominé par Red Notice.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... iIdyI50zcz
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... DOKG7X88p-
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[youtube]X5oqpxi3U7M[/youtube]

Bof ça a l'air basique au possible.
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Pale a écrit : jeu. 13 juin 2024 16:32 EL a moyennement apprécié Les Guetteurs (2,5 étoiles) :

[...]
Bon j'avoue que j'ai évité de la lire pour ne pas être mis involontairement sur la piste du pourquoi du comment :crazy:
Tu fais bien :o
Je fais pareil :)
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[youtube]nAYKaslCXPc[/youtube]

Un trailer incroyablement épique pour la sortie de Godzilla Minus One sur Netflix.
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Pale a écrit : sam. 15 juin 2024 00:43 [youtube]nAYKaslCXPc[/youtube]

Un trailer incroyablement épique pour la sortie de Godzilla Minus One sur Netflix.
bloqué en France ;)
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Kit a écrit : sam. 15 juin 2024 08:41
Pale a écrit : sam. 15 juin 2024 00:43 [youtube]nAYKaslCXPc[/youtube]

Un trailer incroyablement épique pour la sortie de Godzilla Minus One sur Netflix.
bloqué en France ;)
Bizarre, ça vient de la page officielle de Netflix sur Youtube.
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Vu :

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J'ai appris récemment l'existence de ce Wes Craven qui est tombé un peu dans l'oubli et j'ai eu envie de le découvrir. L'Amie mortelle c'est un peu la rencontre entre Short Circuit et Re-Animator. En gros l'amie du héros meurt et ce dernier (qui est un petit génie) va greffer la puce d'un robot qu'il a fabriqué dans le crâne du cadavre de son amie qui va revenir à la vie mais en mode robotique et elle va complètement disjoncter et buter des gens. Ça commence presque comme une comédie adolescente un peu concon mâtiné de science-fiction et ça se transforme ensuite en film d'horreur. On retrouve une ambiance typique de l'époque et je suis sûr que Blumhouse s'en est un tantinet inspiré pour M3GAN (que L'Amie mortelle met totalement à l'amende). J'aurais adoré ce film en étant gamin mais je l'ai quand même beaucoup apprécié malgré sa découverte à l'heure actuelle. Je tiens aussi à dire que j'ai beaucoup aimé la performance de Kristy Swanson, même si sa gestuelle robotique peut prêter à sourire je l'ai trouvée excellente. De plus elle réussit à conférer une certaine sensibilité au personnage.

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Le film sur les OVNIs de Steven Spielberg a peut-être trouvé son actrice principale

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Le mystérieux film sur les OVNIs de Steven Spielberg écrit avec David Koepp aurait trouvé sa tête d’affiche.

Malgré ses 77 ans, Steven Spielberg ne chôme pas. Si son projet de remake de Bullit avec Bradley Cooper se fait relativement discret depuis 2022, le réalisateur travaille activement sur de nombreux projets, dont l’un décrit comme un « film évènement » (un euphémisme quand on parle d’un film du cinéaste). Cela dit, le terme ne semble pas galvaudé puisque pour ce prochain long-métrage, Steven Spielberg retrouvera un de ses collaborateurs de longue date : le scénariste David Koepp.

En effet, le duo nous a déjà donné les deux premiers Jurassic Park, Indiana Jones 4 et surtout La Guerre des Mondes. Si l’on retire les dinosaures, la paire semble donc aimer tout ce qui ne vient pas de notre planète. Leurs retrouvailles semblent logiques puisque le film sur lequel ils vont travailler parlera des OVNIs. Et justement, ce projet très prometteur aurait trouvé son actrice principale.

Selon The Hollywood Reporter, Emily Blunt serait en discussions préliminaires pour rejoindre le bien obscur projet sans titre de Steven Spielberg. L’actrice, forte d’une nomination aux Oscars pour son rôle dans Oppenheimer, ajouterait un très beau nom de réalisateurs à son CV au milieu de Christopher Nolan, Mike Nichols, Pawel Pawlikowski, Jean-Marc Vallée, Rian Johnson ou encore John Krasinski (son mari à la ville également).

Pour le moment, on ne connaît aucun détail sur le synopsis précis, même si Universal, producteur du film, a annoncé une date de sortie, le 15 mai 2026 aux États-Unis. Toutefois, on peut espérer que ses OVNIs dissimuleront des aliens, ce qui ne dépaysera pas trop l’actrice, elle qui les a affrontés à la fois dans Edge of Tomorrow ou les films Sans un bruit.

On a donc hâte d’en savoir plus sur son prochain Spielberg même si on devrait attendre un moment avant d’avoir des nouvelles concrètes. D’ici là, on pourra suivre Emily Blunt, actuellement à l’affiche avec The Fall Guy de David Leitch et Blue & Compagnie de John Krasinski. Par ailleurs, elle sera aussi aux côtés de Dwayne Johnson dans The Smashing Machine de Bennie Safdie film sur le MMA prévue pour 2025 a priori.

De son côté, avant de se plonger dans ces OVNIs, David Koepp planche avant tout sur l’écriture de Jurassic World 4. Et vu le résultat de la trilogie World, on espère qu’il va pouvoir redresser la barre et nous replonger dans la grande aventure de ces deux Jurassic Park.


https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... MTZieXRlcw
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Netflix : le thriller politique à la Maison-Blanche de Kathryn Bigelow dévoile son casting

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Le prochain film de Kathryn Bigelow avec Netflix a dévoilé son casting principal, et ça sent plutôt bon !

Si Kathryn Bigelow s’est illustrée grâce à une filmographie puissante et en devenant la première femme à recevoir l’Oscar de la meilleure réalisation avec Démineurs en 2010, ça fait malheureusement désormais plus de 7 ans qu’on ne l’a pas vu derrière la caméra. Son dernier film, Detroit, traitant des émeutes survenues dans la ville américaine en 1976, est en effet sorti en 2017. Et c’est pourquoi beaucoup attendent avec impatience que la cinéaste fasse son grand retour.

Alors qu’elle devait faire un film catastrophe abandonné par Netflix, la réalisatrice va malgré tout revenir chez le N rouge. Kathryn Bigelow prépare en effet un film de guerre, et depuis l’annonce, on se demande de quoi il en retournera. Et justement, on vient d’en apprendre un peu plus sur son casting, ce qui va déjà nous donner quelques précisions supplémentaires.

Comme l’a confirmé Deadline, on sait désormais qu’Idris Elba et Rebecca Ferguson feront partie du casting du prochain long-métrage de Kathryn Bigelow. On ne connait toutefois pas encore la nature de leurs rôles, tout comme l’histoire précise et le titre de ce film, restés secrets.

Néanmoins, certaines sources de Deadine avaient rapporté en mai 2024 qu’il s’agirait d’un thriller politique se rapprochant du ton de Detroit et que son intrigue se déroulerait dans la Maison-Blanche. Il parlerait notamment d’un groupe de responsables de crises devant faire face à une attaque de missile imminente contre les États-Unis.

À ce stade, il va falloir encore patienter un moment avant de découvrir le film. Comme le titre et l’intrigue, la date de sortie n’a évidemment pas encore été dévoilée. Reste qu’avec un peu de chance, si le film est un succès, on peut espérer que Kathryn Bigelow puisse relancer l’adaptation du roman Aurora de David Koepp qui promettait de très belles choses.


https://www.ecranlarge.com/films/news/n ... MTZieXRlcw
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Le réalisateur de Smile est prêt pour un remake de Possession avec Robert Pattinson

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Depuis Twilight, l’acteur surprend avec des choix de films aussi étranges qu’originaux.

Peut-être est-ce sa performance dérangée dans The Lighthouse ou Le Diable tout le temps qui a amené Parker Finn (Smile) à collaborer avec Robert Pattinson ? Alors que Smile 2, la suite du film d’horreur avec Sosie Bacon aux 216 millions de dollars de recettes mondiales, est prévue pour le 16 octobre au cinéma, le réalisateur tease un nouveau projet étonnant : un remake de Possession.

Bien que le long-métrage du réalisateur polonais, Andrzej Żuławski ait atteint le rang de film culte (il est considéré par Sight and Sound comme l’un des meilleurs films de tous les temps), Possession n’est pas à prendre à la légère. Sam Neill (Alan Grant dans Jurassic Park) y joue un espion retrouvant sa femme (Isabelle Adjani) à Berlin Ouest. Mais très vite, il la soupçonne d’infidélité et elle demande le divorce. S’ensuit une descente aux enfers, la destruction de leur mariage se manifestant par des épisodes horrifiques : des meurtres, des doubles terrifiants et une créature extra-terrestre tentaculaire.

Pour sa performance vivante, habitée, violente et hystérique, l’actrice française alors âgée à l’époque de vingt-six ans reçoit son premier César en 1982. Mais les prix ne sont d’aucune consolation face à un tournage éprouvant et cauchemardesque qui la hante quarante ans après. Possession est dérangé, troublant, choquant. Espérons que l’ambiance sera plus légère pour Robert Pattinson.

Pour l’heure, le script n’étant pas finalisé, on ne sait quel rôle tiendra l’acteur de The Batman. Étant également impliqué dans le projet en tant que producteur avec sa boîte Icki Eneo, il pourrait aussi se tenir à cette position. A24, Netflix, Warner Bros. Sony et Paramount auraient déjà les yeux rivés sur le projet.

Avec Possession, l’emploi du temps de Robert Pattinson ne désemplit pas. L’année prochaine, on devrait le voir dans Mickey 17, le prochain film de Bong Joon-Ho.


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... MTZieXRlcw
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ClintReborn
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Vu que les médias ont dit n'importe quoi sur Clint et sa santé surtout en France le voici en mars 2024 avec le bassiste Leland Sklar :o :D
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Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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robinne
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ClintReborn a écrit : sam. 15 juin 2024 20:10 Vu que les médias ont dit n'importe quoi sur Clint et sa santé surtout en France
ah bon ? Qui et quand ?
le voici en mars 2024 avec le bassiste Leland Sklar :o :D
C’était donc il y a 2-3 mois :o
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robinne a écrit : sam. 15 juin 2024 20:23
ClintReborn a écrit : sam. 15 juin 2024 20:10 Vu que les médias ont dit n'importe quoi sur Clint et sa santé surtout en France
ah bon ? Qui et quand ?
le voici en mars 2024 avec le bassiste Leland Sklar :o :D
C’était donc il y a 2-3 mois :o

Les médias people et les émissions de télé poubelle :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit : sam. 15 juin 2024 20:10 Vu que les médias ont dit n'importe quoi sur Clint et sa santé surtout en France le voici en mars 2024 avec le bassiste Leland Sklar :o :D
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OMG mais c'est absolument... pas terrible. En vrai ça commence plutôt bien, disons que les 30-40 premières ressemblent à un très bon pilote de série genre From, c'est mystérieux et doté d'une bonne ambiance. Malheureusement la suite s'effondre complètement, on se retrouve alors avec une succession de situations et réactions plus stupides les unes que les autres et des facilités à pisser de rire. Même les acteurs (hormis Dakota) sont pas très bons, mais en même temps ils sont pas aidés par les personnages à la ramasse qu'ils interprètent.
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Pale a écrit : sam. 15 juin 2024 23:35 Image

OMG mais c'est absolument... pas terrible. En vrai ça commence plutôt bien, disons que les 30-40 premières ressemblent à un très bon pilote de série genre From, c'est mystérieux et doté d'une bonne ambiance. Malheureusement la suite s'effondre complètement, on se retrouve alors avec une succession de situations et réactions plus stupides les unes que les autres et des facilités à pisser de rire. Même les acteurs (hormis Dakota) sont pas très bons, mais en même temps ils sont pas aidés par les personnages à la ramasse qu'ils interprètent.
Ah bah mince :(
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robinne a écrit : dim. 16 juin 2024 11:50
Pale a écrit : sam. 15 juin 2024 23:35 Image

OMG mais c'est absolument... pas terrible. En vrai ça commence plutôt bien, disons que les 30-40 premières ressemblent à un très bon pilote de série genre From, c'est mystérieux et doté d'une bonne ambiance. Malheureusement la suite s'effondre complètement, on se retrouve alors avec une succession de situations et réactions plus stupides les unes que les autres et des facilités à pisser de rire. Même les acteurs (hormis Dakota) sont pas très bons, mais en même temps ils sont pas aidés par les personnages à la ramasse qu'ils interprètent.
Ah bah mince :(
Il y a des moments où j'ai ressenti de la gêne :D

Vu :

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Je le répète souvent mais j'ai un faible pour les thrillers domestiques qui datent de la fin des années 80/début 90, cela a donné lieu à énormément de pépites. Pensées mortelles est probablement un film qui est inaperçu à sa sortie et qui pourtant met la misère à une grosse partie de la production actuelle. Alors certes c'est un peu tiré par les cheveux mais l'ambiance est énorme, l'intrigue est captivante du début à la fin, les acteurs sont top (Demi Moore était alors à sa quintessence à cette époque là tandis que Bruce Willis joue à merveille l'enfoiré de service) et le compositeur Mark Isham était en grande forme.
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NaughtyDog
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Une vraie bonne suite que ce Vice-Versa 2, sans toutefois toucher le chef-d’œuvre original de Pete Docter.
Pourtant, passée une réintroduction de son concept hautement génial d'émotions personnifiées, cette suite se focalise rapidement sur son concept pour nous amener dans la tête d'une Riley ayant désormais 13 ans. Une période charnière pour le personnage mais également pour les fameuses émotions du 1er film, alors que la puberté débarque.

Résultat, les enjeux sont doubles : Riley débarque dans un campus où sa passion pour le hockey l'éloignera de ses amies, et où de nouvelles émotions prennent le contrôle du poste de commande.

Qui dit Pixar dit évidemment animation 3D de toute beauté, mais si la structure narrative fait globalement penser au premier (un exil de protagonistes avant un retour au poste de commande), Vice-Versa 2 parvient à être toujours très ludique via son humour ou son renouvellement situationnel. Mais avant tout, c'est dans le fond de sa problématique première (la construction psychique de Riley) que cette suite trouve non seulement sa singularité, mais aussi son vrai intérêt. Loin de la suite mercantile, le récit se justifie à lui seul dans sa dynamique émotionnelle plus complexe que celle du premier, mais paradoxalement moins lacrymale (pas de moment Bing Bong) ou poussée. Même la BO est moins marquante (même si on retrouve certaines sonorités de Giacchino)

Le tout fait parfois penser à Turning Red (autre récit qui s'intéressait à l'adolescence) du même studio, mais Vice-Versa 2 amène aussi une nouvelle construction de son monde psychanalytique (parfois même avec le degré de virtuosité du 1er).
Le tout devient franchement hilarant par instants, comme ce passage avec Lance Slashblade (ersatz de Cloud de Final Fantasy) ou bien Bloofy et sa banane (simili-Dora l'Exploratrice brisant le 4e mur), perosnnages loufoques mais intégrés dans la dramaturgie de Riley.
Et bien sûr, difficile de ne pas parler des nouvelles émotions, complètement cohérentes dans le projet de mise en scène qu'est cette suite, même si on aurait aimé voir plus d'Envie ou d'Ennui, là où Anxiété et Embarras sont plus mis en avant.

Quoi qu'il en soit un bon Pixar et une suite réussie tout simplement

7.5/10
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Réussite que ce revival de la plus grande icône du tokusatsu, dans un film d'animation au charme certain, et où les tropes super-héroïques du passage à l'age adulte se font au sens littéral. Ultraman devient ainsi père de substitution d'un bébé kaiju (aka la progéniture des menaces qu'il a toujours combattu). Et si la rythmique semble un poil moins tenue à mi-parcours, c'est pour mieux réinjecter des enjeux dramatiques où la paternité contrariée (que ce soit pour le méchant ou l'Ultraman originel) devient source de trauma pour ses personnages.
C'est beau, c'est fluide, et en plus le climax propose parmi les meilleures mises en scène de kaiju eiga qu'on ait eu depuis longtemps.

7/10

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Cela faisait depuis Cloclo que l'on semblait avoir perdu Florent-Emilio Siri, aka le plus grand réalisateur de film d'action français. Un cineaste rare dans le paysage hexagonal, donc dire que voir Elyas fait chaud au coeur est un euphémisme.
Pourtant le doute persistait de savoir si le réalisateur français le plus sous-coté des 20 dernières annés en avait encore sous le coffre.

Et la réponse est Oui (avec quelques réserves tout de même).
À la vue du pitch et sur l'ensemble des 1h39 de métrage, Elyas semble une resucée du fondamental Man on Fire de Tony Scott.
Un ex-soldat traumatisé par son passé se voit engager par une riche famille étrangère (ayant fui les Émirats arabes unis pour protéger une adolescente d'un mariage forcé par son sultan de paternel), tandis que le protagoniste taciturne va se révéler dans l'adversité face à un commando, mais aussi dans sa relation avec la famille sous sa responsabilité.

Du canevas clairement emprunté (ce n'est pas un souci, Nid de Guêpes était déjà une superbe réinterprétation du Assaut de Carpenter), mais là où le bas blesse tient une dramaturgie moins bien travaillée que son inspiration première.
Le cadre est d'emblée efficacement posé, mais si l'intrigue conserve une efficacité de chaque instant (mis à part un passage en trop chez des gitans n'apportant que peu d'intérêt pour l'évolution du personnage, ou un usage un peu trop littéral de deepfake), c'est d'un point de vue purement émotionnel que cela coince.
Comme si on avait pas le temps de mieux développer le lien affectif entre Elyas et sa protégée (malgré le talent de la jeune actrice).
Le pay-off final marche moyennement donc, mais heureusement Siri use à bel escient des 12M de budget alloué!

Une somme dérisoire pour un film d'action, mais lorsqu'elle est là, Elyas envoie une patate de forain à la concurrence en terme de montage, de viscéralité et de travail sonore. C'est sur ce dernier point que le film impressionne le plus, usant par exemples des sonorités du couteau fu personnage pour illustrer le PTSD du héros, en intégrant même cela à des séquences ultérieures.

La psyché fracturée d'Elyas devient ainsi un enjeu autre (même si le script abandonne à mi-parcours les possibles doutes de la perception possiblement biaisée du personnage), tandis que Roschdy Zem fait preuve d'une impeccable physicalité pour le rôle.
Le tout notamment dans 2 excellentrs séquences musclées : un combat ultra brutal à 1 vs 5 dans un camping car, et un climax prenant tout droit hérité de Splinter Cell.

Je regrette une photo assez quelconque et peut-être un budget qui restraint les ambitions du cinéaste (notamment sur la non-exploitation de l'antagoniste principal).
Mais en l'état Elyas est une sympathique pioche avec de grandes qualités malgré tout.
Un retour de Siri prometteur pour la suite donc !

6/10
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Mon programme ciné du week-end prochain :

Peut-être :

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En VOD :

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Pour Vice-Versa 2 je vais attendre sa sortie sur Disney+ dans 2-3 mois.
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robinne
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Pale a écrit : dim. 16 juin 2024 17:21 Peut-être :

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Seulement « peut-être » ? :ouch:
Pour Vice-Versa 2 je vais attendre sa sortie sur Disney+ dans 2-3 mois.
Ah bah bravo :grrr:
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robinne a écrit : dim. 16 juin 2024 19:04 Seulement « peut-être » ? :ouch:
Je t'avoue qu'il ne m'attire pas plus que ça :saint:
Ah bah bravo :grrr:
En fait je suis pas du tout fan du premier épisode et ça me gonfle déjà l'idée de voir une salle remplie de chiards :D
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ClintReborn
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Kit a écrit : sam. 15 juin 2024 22:33
ClintReborn a écrit : sam. 15 juin 2024 20:10 Vu que les médias ont dit n'importe quoi sur Clint et sa santé surtout en France le voici en mars 2024 avec le bassiste Leland Sklar :o :D
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Oui mais il reste plus en forme que pas mal de gens de son âge :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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ClintReborn a écrit : dim. 16 juin 2024 19:19 Oui mais il reste plus en forme que pas mal de gens de son âge :saint:
Et de notre âge aussi je suis sûr :D
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Cette semaine je pars quelques jours, je serai de retour ici vendredi ou samedi. Inutile de dire que ça va spammer sévère :D :hello:
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Je poste quand même ceci :

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Ils ont mis les moyens pour la promo de la saison 2 de House of the Dragon.
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Et tant que j'y suis, le box-office US de ce week-end :

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https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw
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ClintReborn a écrit : dim. 16 juin 2024 19:19
Kit a écrit : sam. 15 juin 2024 22:33
ClintReborn a écrit : sam. 15 juin 2024 20:10 Vu que les médias ont dit n'importe quoi sur Clint et sa santé surtout en France le voici en mars 2024 avec le bassiste Leland Sklar :o :D
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on sent quand même le poids des ans
Oui mais il reste plus en forme que pas mal de gens de son âge :saint:
surtout que beaucoup n'atteignent pas cet âge
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j'ai vu il y a quelques jours Kevin Spacey en interview, il était méconnaissable, il disait qu'il était endetté à hauteur de plusieurs millions de dollars suite à ses démêlés judiciairespour plaintes pour agressions sexuelles, c'est le karma
https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-y ... 08052.html
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une pensée pour
Yves Robert 1920-2002
Louis Jourdan 1921-2015
Marisa Pavan 1932-2023 et sa sœur jumelle Anna Maria Pierangeli 1932-1971

bon anniversaire à
Gena Rowlands 94 ans
Kathleen Turner 70 ans
Laurent Gamelon 64 ans (P.R.O.F.S)
Anthony Edwards 62 ans (Top Gun série Urgences)
Mia Sara 60 ans (Legend, La Folle Journée de Ferris Bueller, Timecop, série Le Secret de Château Valmont )
Poppy Montgomery 52 ans (séries FBI : Portés disparus, Unforgettable)
Jean Dujardin 52 ans
Robin Tunney 52 ans ("Niagara, Niagara", La Fin des temps, Vertical Limit, séries Prison Break, Mentalist)
Hugh Dancy 49 ans (Adam, séries Hannibal, The Path, New York, police judiciaire s21)
Zoe Saldana 46 ans
Lauren Lee Smith 44 ans (séries Mutant X, The L Word , The Listener, Frankie Drake Mysteries)
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ClintReborn
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Kit a écrit : lun. 17 juin 2024 00:14 j'ai vu il y a quelques jours Kevin Spacey en interview, il était méconnaissable, il disait qu'il était endetté à hauteur de plusieurs millions de dollars suite à ses démêlés judiciairespour plaintes pour agressions sexuelles, c'est le karma
https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-y ... 08052.html
En fait il a été acquitté en 2023 :o Mais à Hollywood c'est un peu considéré comme une mort artistique vu que le doute sur son comportement subsistera toujours :saint: Ironiquement il incarnera le diable dans son prochain rôle :o
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Kit
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ClintReborn a écrit : mer. 19 juin 2024 11:32
Kit a écrit : lun. 17 juin 2024 00:14 j'ai vu il y a quelques jours Kevin Spacey en interview, il était méconnaissable, il disait qu'il était endetté à hauteur de plusieurs millions de dollars suite à ses démêlés judiciairespour plaintes pour agressions sexuelles, c'est le karma
https://www.tf1.fr/tmc/quotidien-avec-y ... 08052.html
En fait il a été acquitté en 2023 :o Mais à Hollywood c'est un peu considéré comme une mort artistique vu que le doute sur son comportement subsistera toujours :saint: Ironiquement il incarnera le diable dans son prochain rôle :o
ah, parce qu'il faut tirer le diable par la queue ? ironique en effet :sarcastic:
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:hello: Coucou les loulous, le spammeur fou est de retour :lol:

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[youtube]Fy7kaI3GKzo[/youtube]

Cette suite a l'air complètement folle.
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[youtube]sljURUzdRIs[/youtube]
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[youtube]1ZO5k948MkY[/youtube]
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Alien : Romulus – on a vu 20 minutes du film de Fede Alvarez et ça promet du sang

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Ecran Large a pu découvrir une vingtaine de minutes du très attendu Alien : Romulus, ainsi qu’un petit échange avec le réalisateur Fede Alvarez. On vous donne notre avis.

Quand Disney a acheté la Fox, les amateurs de cinéma d’horreur ont tremblé. Mickey mettait la main sur la saga Alien et il allait sans dire qu’après la réception critique et financière plus que mitigée de Covenant, il n’allait pas se gêner pour l’exploiter, si possible avec supplément nostalgie mal placée. Mais l’espoir est né quand ce bon vieux Fede Alvarez, auteur de l’excellent Don’t Breathe et surtout du remake archi-méchant d’Evil Dead, a été annoncé à la barre.

Après quelques bandes-annonces encourageantes, la firme aux grandes oreilles vient de confirmer qu’elle est satisfaite de son travail ou tout du moins qu’elle le pense susceptible de plaire à la presse. Elle a invité la moitié des journalistes cinéma de France et de Navarre à la présentation de 15-20 minutes du long-métrage par le réalisateur en personne. Ecran Large était évidemment de la partie, et notre mauvaise foi habituelle n’a pas résisté aux images découvertes ce vendredi 21 juin. On vous raconte, la bave aux lèvres.

Attention mini-spoilers évidemment !

Les bandes-annonces et les dires du réalisateur (qui a réitéré auprès de nous son envie de revenir aux origines de la saga) laissaient présager une pure série B d’horreur, appliquant la formule à la lettre pour un maximum d’efficacité. Les quelques scènes découvertes ce jour vont dans ce sens. Il nous a été donné de voir la plupart des passages obligatoires d’un film Alien, de l’exposition dans les tréfonds de l’espace à la révélation tant attendue de la bête, en passant par la traditionnelle attaque de facehugger (entraperçue dans la promotion) et une naissance pour le moins explosive.

Alvarez, fan absolu du monstre (et ça se voit) ne fait pas forcément dans l’originalité et il n’a pas manqué de l’assumer : voyant ses amis se désespérer des audaces qu’il envisageait d’incorporer à son film, il a fait le choix de « mettre [son] ego de côté » et de ne pas chercher à améliorer un organisme cinématographique déjà parfait. Une modestie louable, mais qui pourrait faire peur. Si c’est pour voir un énième produit de studio nous agiter un hochet nostalgique devant les yeux pendant deux heures, autant retourner poncer la résine de son coffret Blu-ray.

Des doutes balayés par le visionnage de ces quatre séquences. De toute évidence, ce n’est pas parce qu’il utilise une vieille recette que le cinéaste n’ajoute pas de nouveaux ingrédients. C’est bien simple : Alien : Romulus est absolument splendide. Baignant dans un clair-obscur crépusculaire, il revient à l’esthétique cyberpunk prolétaire du premier volet. La tension atmosphérique qui nous a fait tous frissonner laisse place à une ambiance particulièrement poisseuse qui ressemble bien à l’auteur du crado Evil Dead.

Sa mise en scène est à l’avenant. Epousant complètement sa direction artistique rouillée, elle enchaine les idées visuelles (une station spatiale qui éclipse l’écrasante lueur d’un soleil, un facehugger qui accapare le premier plan, un point de vue subjectif sous-marin) sans jamais trahir un rythme soutenu. C’est peut-être là l’autre qualité Alvarezienne décelée dans ces quelques minutes de panique spatiale : contrairement à un Scott qui laissait la pesanteur prendre en otage son récit, il se laisse aller à une hargne qui sied particulièrement bien à cette esthétique, notamment dans une scène d’attaque de facehuggers vicieuse ne laissant pas le moindre répit à ses personnages.

Il nous l’a promis, et on est tenté de le croire : ceux-ci vont prendre très cher (un véritable hobby chez lui). Bien que les scènes présentées prennent probablement place dans le premier tiers, il ne les ménage pas, bien au contraire. Il risque d’y avoir de la viande sur les murs.

Alien : Romulus serait-il un simple fantasme de fan techniquement irréprochable ? En partie. Interrogé d’ailleurs par nos soins sur le sujet (il nous tient à cœur), le metteur en scène a reconnu l’influence du fantasme de fan le plus terrifiant de l’univers étendu Alien : le jeu Isolation, qui se déroule également entre les deux premiers opus. Comme lui, il se réapproprie la technologie rétro-futuriste de la fin des années 1970 pour faire glisser les enjeux du Hutième passager au Retour.

Toutefois, c’est justement en replongeant dans les origines du classique original qu’il semble se démarquer. Le design du xénomorphe, qui nous a été révélé dans une succession de gros plans une fois de plus magnifiques (la communion des effets pratiques et numériques est impressionnante), rappelle les premières ébauches de H.R. Giger, à l’époque jugées trop radicales par la Fox. Reprenant certaines de ses idées inédites, Romulus explicite encore plus la dimension sexuelle du cauchemar biomécanique, lorgnant presque sur la body-horror turgescente de Possession.

Quand on lui en parle, Alvarez se fait plus mystérieux. Ces choix de designs seraient a priori au service du scénario. Voilà qui est particulièrement intrigant : peut-être qu’outre cette dévotion envers les canons Alien, il va bel et bien plus loin dans la dégueulasserie organique et libidineuse. D’autres indices viennent appuyer cette hypothèse : le casting volontairement très jeune, mais surtout très sommaire, quelques plans étranges disséminés dans la super-bande-annonce qui clôturait la projection, ainsi que le mystère qui entoure ladite station Romulus… encore très épais.

Difficile d’en dire plus : à notre plus grand plaisir, le studio a résisté à l’envie de trop nous en montrer, ce qui ne fait qu’augmenter nos attentes… et nous forcer à écrire avec prudence. Peut-être le résultat final sera-t-il moins ambitieux qu’escompté. Dans ce cas, il faudra se contenter d’une direction artistique soignée et d’une mise en scène solide. Par les temps qui courent, c’est déjà pas mal.

Alien : Romulus sort le 14 août 2024 en France


https://www.ecranlarge.com/films/news/a ... G2yIDQygrA
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Sauvé par Bad Boys 4, Will Smith a déjà trouvé son prochain gros film

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Après le gros succès de Bad Boys: Ride or Die, réalisé par Adil El Arbi et Bilall Fallah, l’acteur Will Smith est déjà de retour avec un gros thriller de science-fiction.

Lors de la Cérémonie des Oscars 2022, Will Smith remportait l’Oscar du Meilleur Acteur pour son rôle dans La Méthode Williams. Toutefois, ce n’est pas forcément cette image dont on se rappelle le plus, mais plutôt de sa gifle à l’humoriste Chris Rock après que celui-ci ait blagué sur les cheveux de sa femme. S’en sont suivi paroles et vidéo d’excuse, démission de l’Académie des arts et des sciences du cinéma, interdiction de participer aux évènements de l’Académie (dont les Oscars) pendant 10 ans, etc, etc…

On pensait alors logiquement que la suite de la carrière de Will Smith allait être impactée d’une manière ou d’une autre par cet écart de conduite, qui avait même entrainé son lot de débats. Mais finalement, il semblerait que les gens n’en aient pas grand-chose à faire, en témoigne le succès de Bad Boys 4 (qui contient d’ailleurs une scène faisant référence à l’épisode de la baffe) et ses quasi 219 millions de dollars de recettes. Will Smith, qui sait pourquoi tant de films se plantent au cinéma ces derniers temps, semble donc désormais de retour dans le cœur des fans, et on vient justement d’en apprendre sur l’un de ses prochains gros films après Bad Boys 4.

Comme l’a révélé Deadline, ce projet se nomme Resistor, et il sera basé sur le livre Influx de l’auteur américain à succès Daniel Suarez. On ne connait pas encore exactement les détails de l’intrigue, mais le roman de 2014 raconte l’histoire du physicien Jon Grady (aucun lien de parenté avec Owen Grady de Jurassic World), qui découvre avec son équipe un appareil capable de simuler l’effet de la gravité. Mais au lieu d’être acclamé, le laboratoire de Grady est fermé par une organisation secrète connue sous le nom de Bureau du Contrôle Technologique.

Si aucune information n’a circulé concernant le reste du casting ou sur le nom du réalisateur qui sera assigné au film, on sait que Will Smith incarnera évidemment le rôle principal. On a également appris que Zak Olkewicz (Bullet Train) et Eric Warren Singer (Top Gun : Maverick, American Bluff) avaient respectivement rédigé la première et dernière ébauche du scénario.

On ne connait évidemment pas la date de sortie de Resistor, mais nul doute qu’on devrait rapidement en apprendre plus. Concernant Bad Boys 4, il sera intéressant de voir ce que le film réalisera dans les prochaines semaines et s’il parviendra à atteindre les mêmes sommets que son grand-frère (plus de 426 millions de dollars de recettes au box-office mondial).


https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... 1lx02koqxQ
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Sous la Seine continue à cartonner sur Netflix et bat un record pour un film français

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Sous la Seine de Xavier Gens ne cesse de surprendre et continue d’être un énorme succès sur Netflix, battant même un record au passage.

Mais jusqu’où nagera ce requin ?! Il y a quelques jours, Sous la Seine cartonnait sur Netflix un peu partout dans le monde, et ça ne devrait pas s’arrêter de sitôt. En effet, personne n’a l’air d’échapper aux mâchoires du film de Xavier Gens, y compris Stephen King qui a donné son avis sur Sous la Seine.

Et tandis que Sous la Seine 2 a déjà été teasé, on peut voir que le film aux gentils poissons continue sa brasse en eau douce (bon ok, on arrête les métaphores aquatiques). Les chiffres du film porté par Bérénice Bejo et Nassim Lyes ne font ainsi qu’augmenter depuis sa sortie, et il est toujours un énorme succès sur Netflix, au point de battre un record pour un film français et de pouvoir prétendre à des sommets encore plus impressionnants.

Pour la deuxième semaine consécutive, Sous la Seine est donc toujours le film non-anglophone le plus vu sur Netflix. Sans évidemment égaler les 41 millions de vues de son démarrage sur la plateforme, le long-métrage aux requins parisiens a tout de même cumulé quasiment 29 millions de vues supplémentaires durant la semaine du 10 au 16 juin, pour totaliser environ 69,6 millions de vues (soit presque 121 millions d’heures de visionnages). Il se place ainsi largement devant les films du moment, le film d’action indien Bade Miyan Chote Miyan (5 millions de vues cette semaine), et du numéro 3, Les Couleurs du mal : Rouge (4,7 millions de vues).

Au niveau mondial, Sous la Seine est toujours dans le top 10 des films les plus vus du moment sur Netflix de 93 pays, en étant même premier dans 65 d’entre eux (contre 76 la semaine dernière). Encore plus impressionnant, il a récemment fait son entrée dans le top 10 des films non-anglophones les plus vus de tous les temps de la plateforme au N rouge, plus précisément à la cinquième place.

Sous la Seine fait ainsi mieux que tous les autres films français sur Netflix, comme Le Salaire de la Peur ou Balle Perdue 2, et bat le record d’AKA, anciennement plus gros succès sur la plateforme pour un film originaire de l’Hexagone. Le long-métrage avec Alban Lenoir est d’ailleurs lui-même septième du top 10 des films non-anglophones les plus vus de tous les temps, avec environ 61 millions de vues (en 91 jours).

En prenant en compte sa trajectoire, il est tout à fait envisageable que Sous la Seine parvienne à accrocher la première place de ce Top 10, le numéro 1 Troll ayant totalisé 103 millions de vues en 91 jours sur Netflix. Reste donc à voir jusqu’où pourra monter le film français.


https://www.ecranlarge.com/films/news/s ... _Oyc2GAX8w
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EL a modérément apprécié Vice-Versa 2 (3 étoiles) :

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Vice-Versa 2 est sorti en salles, non sans porter tous les espoirs de Pixar, qui peine à se remettre dans la course depuis la pandémie. Mais peut-être devrions-nous déjà conjuguer tout ça au passé, étant donné le démarrage quasi-record de cette suite réalisée par Kelsey Mann. Ainsi, Vice-Versa 2 est bien parti pour se hisser parmi les plus gros cartons du studio à la lampe aux côtés des Indestructibles 2, Toy Story 4 ou Le Monde de Dory. Revers de la médaille, il est pourtant décevant d’un point de vue critique.

POLYCOPIÉ


Vice-Versa 2 n’est pas un mauvais film, au contraire même. Il est visuellement attrayant et soigné, notamment pour son travail toujours aussi minutieux sur les textures pelucheuses des Émotions. Il est aussi très drôle par moment, ne serait-ce que le passage dans le coffre-fort des secrets inavouables, qui donne une idée de ce à quoi ressembleraient les parodies des KASSOS en version PG. L’histoire quant à elle n’accuse aucun temps mort, mais prend tout de même le temps de respirer pour n’asphyxier personne, tandis que le propos sur la complexité de l’identité et de ce qui fait notre personnalité est finement vulgarisé.

Pourtant, Vice-Versa 2 reste une déception par rapport au premier volet, comme Le Monde de Dory pouvait l’être par rapport au Monde de Nemo. Même s’il est préférable d’y voir un moyen maladroit de créer une continuité plutôt qu’un aveu de paresse, Vice-Versa 2 reprend grosso modo le même schéma narratif que son aîné, ce qui a pour effet de diluer la formule.

L’idée de repasser par les mêmes endroits permet effectivement de constater l’évolution psychologique d’une Riley en pleine mutation, mais toutes les grandes étapes du récit hurlent la redite : le nouvel environnement et changement de vie, la difficulté pour l’adolescente de s’intégrer aux autres, les chamailleries et l’incompréhension entre les Émotions, l’escapade imprévue hors du Quartier cérébral et Riley en plein décrochage.

Non seulement le charme opère moins bien, mais tout paraît plus mécanique et donc ironiquement moins émotionnel. Rien dans cette suite ne réussit par exemple à égaler la puissance émotionnelle de la mort de Big Bong – qui pour beaucoup est LE moment lacrymal du premier film.

CRISE ÉMOTIONNELLE

C’était une blague sur l’affiche, mais c’est une réalité dans le scénario : les Emotions se marchent dessus et cela traduit plus un scénario surchargé qu’un quelconque débordement ou bouillonnement émotionnel lié à l’adolescence. Comme la bande-annonce le laissait présager, les projecteurs sont braqués sur Axiété, alias le joyau du film et nouveau totem de tous les stressés de la vie. Conséquence de cette mise en lumière : Peur, Colère et Dégoût, qui participent pourtant à l’aventure, jouent les cinquièmes roues du carrosse, tandis qu’Embarras, Ennui et Envie sont des outils plus que des personnages.

Enfin, s’il métaphorise subtilement l’estime de soi et la nécessité d’accepter nos travers (ce qui dépasse le simple cadre de l’adolescence ou du passage à l’âge adulte), le film offre un traitement un peu trop sage et superficiel de la puberté et plus généralement des affres de l’âge ingrat. Encore plus quand le compare à celui d’Alerte Rouge, un précédent Pixar qui abordait plus ou moins les mêmes thématiques, mais plus frontalement. Vice Versa 2 n’a donc pas transformé l’essai après la réussite magistrale du premier film de Pete Docter et Ronnie Del Carmen, laissant de fait à Toy Story 2 le titre de meilleure suite de Pixar.

Vice-Versa 2 est au cinéma en France à partir de ce 19 juin

La principale faiblesse de Vice-Versa 2 est d’être la suite de Vice Versa.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... ctoE-6C6-w
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EL a beaucoup aimé The Bikeriders (4 étoiles) :

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Depuis 2016 et Loving, Jeff Nichols vivait une sorte de petit cauchemar hollywoodien. Entre sa série remake Alien Nation qui n’a jamais vu le jour et ses projets de cinéma portés disparus (Yankee Comandante adapté de David Grann) ou désertés (Sans un bruit : Jour 1 confié à Sarnoski après son départ), Jeff Nichols a erré avant de se plonger dans The Bikeriders, adaptation du roman-photo éponyme de Danny Lyon. Terminé depuis début 2023, le film de motards a été abandonné par Disney avant de retrouver une maison avec Focus Features (division d’Universal) et heureusement. Mené par Austin Butler, Jodie Comer, Tom Hardy ou encore Michael Shannon, The Bikeriders signe le beau retour de l’Américain aux affaires, ce 19 juin en salles.

CONDUITE SAUVAGE


« On veut tous appartenir à un groupe. On est rejeté partout, mais là, on est ensemble », explique un personnage dans les premières minutes de The Bikeriders. Ce message encapsule une grande partie de la filmographie de Jeff Nichols. L’Américain s’est en effet toujours attelé à raconter le parcours de réprouvés : qu’ils soient perdus (comme dans Shotgun Stories), pris pour des fous (comme dans Take Shelter), vagabondent (comme dans Mud), fuient une simili-chasse aux sorcières (comme dans Midnight Special) ou affrontent le système qui les accable (comme dans Loving).

Avec son sixième film, Jeff Nichols continue à explorer ses marginaux-indésirables (et/ou prolétaires en général) subissant une société qui préfère les repousser plutôt que les accepter tels qu’ils sont. Dans une succession de flashbacks, The Bikeriders raconte ainsi l’évolution des Vandals, un groupe de motards créé par Johnny (incarné par un Tom Hardy à son meilleur), à travers les yeux de Kathy (excellente Jodie Comer), jeune femme de caractère tombée amoureuse du séduisant casse-cou Benny (Austin Butler).

Car qu’à cela ne tienne, quitte à être exclu du reste du monde, autant s’en créer un autre : le sien. « Ces bikers du début des sixties n’avaient pas adopté un moyen de transport, mais un mode de vie hors de la société. Peu de gens le font vraiment. La plupart trempent leurs orteils dans la marginalité, juste pour le frisson. Eux s’y étaient plongés en entier », a confié le réalisateur à Les Échos. Le moyen d’expliciter les raisons de son intérêt pour cette histoire, cette époque et ces fous du guidon.

La moto est non seulement leur ticket pour la liberté, mais aussi leur religion. Un moyen de s’accrocher à ce qu’ils leur restent, de croire encore à l’intérêt de vivre dans une Amérique qui les a volontairement oubliés. Ce n’est pas anodin si on ne voit (presque) jamais ce que font ces motards au quotidien : leur vie, celle qui les anime, ne tient qu’à cet amour de la bécane. En faisant vrombir leur moteur, en roulant à perte de vue ou en riant jusqu’à l’aube une bière à la main, ces prolétaires (routiers, mécanos…) peuvent enfin rêver. Ces délaissés ont trouvé une façon de former un collectif, de trouver une famille de substitution prête à se soutenir jusqu’à la mort (littéralement).

LES OUTSIDERS

Ce fantasme d’une vie en dehors des codes va donc vite les rattraper. Jeff Nichols n’a jamais caché son amour pour Martin Scorsese (« Un exemple à suivre » selon lui) et The Bikeriders est incontestablement son film le plus scorsesien. Dans une structure rappelant Les Affranchis et sa bande de gangsters, le film de Nichols est une sorte de rise & fall, amorçant à la fois la chute inévitable de ses personnages (masculins tout du moins) et la fin d’un âge d’or de la moto (et pas uniquement).

Avec une vraie intelligence narrative, The Bikeriders n’oublie en effet jamais d’ausculter cette décadence croissante en parallèle de l’effondrement global de l’Amérique (les conséquences post-guerre du Viet-Nam en ligne de mire) à travers des clins d’œil furtifs, mais efficients. Car leur Vandals, ce petit bout de paradis créé de toute pièce, n’est en vérité qu’une lueur d’espoir. Un culte voué à disparaître, ou plutôt à être rattrapé par la triste réalité d’un système prêt à tout dévorer, déformer, détruire et que ces motards n’ont jamais pu réellement quitter (malgré eux).

On pourrait presque dire que The Bikeriders est un road movie immobile, suivant la fuite en avant de personnages roulant inlassablement vers leur point de départ. C’est ce qui rend le film particulièrement émouvant, d’autant plus que Jeff Nichols offre tout l’espace à sa troupe grâce à sa caméra. S’ils sont maîtres absolus de leur destin, prenant possession du cadre lorsqu’ils chevauchent leur moto ensemble, les Vandals ne sont presque rien, relégués à des silhouettes minuscules-isolés au milieu d’étendues vides, lorsqu’ils en ont séparé.

D’une fluidité déconcertante, la mise en scène de Jeff Nichols atteint d’ailleurs un niveau encore jamais vu durant sa carrière. Le cinéaste parvient avec un naturel impressionnant (caractéristique de son cinéma) à nous transporter au plus profond de cette époque, à creuser son groupe, à sonder son ambiguïté dans un geste à la fois mélancolique et violent, nostalgique et brutal. Ne reste plus qu’à espérer qu’on ne doive pas attendre encore huit ans pour que Jeff Nichols nous fasse autant vibrer.

Avec ce rise & fall scorsesien éthéré au cœur d’un gang de motards, Jeff Nichols continue à retracer le parcours mélancolique de marginaux-prolétaires cherchant leur place et ce en quoi croire dans cette Amérique oubliée. Retour gagnant.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... HQTJP79Q5w

Un avis beaucoup plus négatif (2 étoiles) :

"The Bikeriders, c'est comme Austin Butler dans le film : beau mais poseur, charmant de loin mais chiant de près. Jeff Nichols fait son petit film de mafieux avec des bikers, et c'est très certainement son scénario le plus faible, impersonnel, et grossier."
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[youtube]lwH9f1jmkBc[/youtube]

Je kiffe :hot:
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La saga M3GAN va se décliner avec un thriller érotique

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Soulm8te, de Kate Dolan, suivra la relation entre un veuf et son "lovebot".

Suite au joli succès de M3GAN au box-office, en 2022, James Wan prépare sa suite (en tant que producteur), toujours avec Allison Williams et Violet McGraw pour le 27 juin 2025. M3GAN 2.0 ne sera cependant pas le seul film développé dans cet univers, révèle Variety : Blumhouse compte aussi étendre cette franchise de SF horrifique avec un nouveau thriller, plus érotique, cette fois.

Si le robot au cœur du film original avait le corps d'une fillette, celui de Soulm8te sera celui d'une femme adulte. Kate Dolan (You are not my Mother) filmera ce spin-off pour le 2 janvier 2026, après avoir réécrit le script de Rafael Jordan (Salvage Marines) racontant le deuil d'un jeune homme qui vient de perdre sa femme. Acquérant une androïde dotée d'une intelligence artificielle pour tenter de l'aider à surpasser son chagrin, il va reprogrammer ce robot. Mais en voulant lui apporter plus de sensations humaines, "il va par erreur transformer ce lovebot incapable de blesser qui que ce soit en une âme sœur meurtrière", poursuit le synopsis. La réalisatrice précise aussi que Soulm8te sera "dans la tradition des thrillers domestiques des années 1990, mais avec un twist plus moderne et technologique."

"Dans le fond, je vois ce film comme une exploration de la solitude et des relations humaines, détaille-t-elle enfin. Même avec l'aide de technologies avancées, il y a des sentiments humains auxquels on ne peut échapper, et je compte explorer cela en profondeur."


https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... GHSOx-T-KA
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Le box-office français de la semaine :

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... 68qai9WZFQ
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robinne
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Pale a écrit : ven. 21 juin 2024 22:12 :hello: Coucou les loulous, le spammeur fou est de retour :lol:
:hello:
T'étais où ? :fou:
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