Votre dernier film

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BoBleMexicain
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Dans un train pour New Delhi, une bande de voleurs prend en otage les passagers, sans savoir qu’un homme bien plus redoutable qu’eux est à bord. Quand ils s’en prennent à la femme qu’il aime, Amrit, membre des forces spéciales, répond par une vengeance sans merci.


Au pays de Bollywood ca va faire date .

condensé d’ultra-violence où pendant plus de 90min, ça se tape méchamment sur la gueule (ça casse des bouches, des côtes, des bras, des jambes et j’en passe). Il n’y a absolument rien de révolutionnaire là-dedans et ça a même un arrière goût (pas trop désagréable certes) de déjà-vu. Dans le même registre que The Raid

c'est extrêmement jubilatoire. "Kill" est finalement tout ce qu'on attend d'un film du genre, c'est jouissif, ultra violent et frénétique.
:star: :star: :star: :passtar: :passtar:

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ConFucKamus
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Demain, c'est lundi, une nouvelle semaine, du boulot, la fatigue tout ça, alors je m'étais dit "Hey, pourquoi Dimanche tu te ferais pas..."

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Sans surprise, ça n'aidera pas à affronter la semaine qui vient :lol:

C'était bien nul, mais un nul évolutif

C'est à dire que pendant une moitié, t'as l'impression de te retrouver devant un spot pour rejoindre le GIGN (une grande famille, des repères pour la vie, etc...je ne plaisante même pas)

C'est long, c'est con, c'est bourré de clichés et en plus Guillaume Canet en figure d'action bah non, ça marche pas (quelle surprise alors !).

Je ne spoilerai pas la seule scène d'action de ces 45 premières minutes, mais disons que la présence d'une femme enceinte la rend particulièrement risible

Deuxième partie, le "thriller parano" commence enfin. Et là, c'est toutes les grosses ficelles utilisées depuis très très très longtemps.

Les antagonistes sont aussi cons que très mal écrits, rien n'est crédible à un seul moment et les séquences où c'est censé dépoter sont soit ringardes(la poursuite sur les toits...mais qu'ils sont vifs ces policiers :lol: ) soit appelées à devenir cultes :lol:

On a quand même affaire à une poursuite en voitures et en paramoteur :lol: :lol: :lol:

Bref, pas la peine d'en rajouter. C'est du niveau téléfilm, typiquement le genre de production Netflix pensée et conçue pour être regardée d'un œil pendant qu'on fait des trucs plus essentiels comme se limer les ongles ou se fabriquer une sarbacane avec un vieil effaceur

Bon dimanche, et n'oubliez pas que demain c'est lundi :D

:star: :passtar: :passtar: :passtar: :passtar:
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Zefurin
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Knock at the Cabin de Night Shyamalan

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Je comprends pas Night Shyalaman... ou plutôt... je ne le comprends plus (j'en viens carrément à me demander si je l'ai vraiment compris). Je veux dire... comment peut-on aussi bien diriger des acteurs, franchement talentueux, au service d'une histoire aussi... vaine ?
C'est quoi le but de ce film ? Convaincre les homosexuels d'adhérer aux sectes et aux croyances de prédicateurs ? :crazy: Accepter de sacrifier ses idéaux au nom de croyances plus générales ?
Non vraiment, je ne comprends pas le but de ce film, qui pourtant permet à des acteurs de se démarquer (Ben Aldridge, Dave Bautista et Jonathan Groff en tête) et des second couteaux qui font le job (Abby Quinn, Kristen Cui, Rupert Grint et Nikki Amuka-Bird). C'est vraiment triste de voir des acteurs se démener au nom d'un film aussi insipide... qui, en plus, raconte un truc tréééés douteux.

A éviter.
C'est dommage, parce que l'atmosphère inquiétante est plutôt réussie.
Rachel Mcadams = Random Bonasse de Sherlock Holmes.
MisterM 06/02/2024
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BoBleMexicain
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ConFucKamus a écrit : dim. 12 janv. 2025 21:21 Demain, c'est lundi, une nouvelle semaine, du boulot, la fatigue tout ça, alors je m'étais dit "Hey, pourquoi Dimanche tu te ferais pas..."

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Sans surprise, ça n'aidera pas à affronter la semaine qui vient :lol:

C'était bien nul, mais un nul évolutif

C'est à dire que pendant une moitié, t'as l'impression de te retrouver devant un spot pour rejoindre le GIGN (une grande famille, des repères pour la vie, etc...je ne plaisante même pas)

C'est long, c'est con, c'est bourré de clichés et en plus Guillaume Canet en figure d'action bah non, ça marche pas (quelle surprise alors !).

Je ne spoilerai pas la seule scène d'action de ces 45 premières minutes, mais disons que la présence d'une femme enceinte la rend particulièrement risible

Deuxième partie, le "thriller parano" commence enfin. Et là, c'est toutes les grosses ficelles utilisées depuis très très très longtemps.

Les antagonistes sont aussi cons que très mal écrits, rien n'est crédible à un seul moment et les séquences où c'est censé dépoter sont soit ringardes(la poursuite sur les toits...mais qu'ils sont vifs ces policiers :lol: ) soit appelées à devenir cultes :lol:

On a quand même affaire à une poursuite en voitures et en paramoteur :lol: :lol: :lol:

Bref, pas la peine d'en rajouter. C'est du niveau téléfilm, typiquement le genre de production Netflix pensée et conçue pour être regardée d'un œil pendant qu'on fait des trucs plus essentiels comme se limer les ongles ou se fabriquer une sarbacane avec un vieil effaceur

Bon dimanche, et n'oubliez pas que demain c'est lundi :D

:star: :passtar: :passtar: :passtar: :passtar:
moi aussi j ai osé
moi aussi j ai ri
moi aussi j ai eu 50 fois le doigt sur "arrete ca jt en prie "
Netflix est comme un gros hyper marché , faut remplir les rayons quitte a mettre de la merde en barre
accumuler autant de conneries en 1H30 c'est une gageure
Canet devait avoir un arrieré d impots a payer surement ..
bref ya vraiment rien a sauver la dedans
meme TF1 aurait pas produit ca :bounce:
le pire de tout ca c'est que dans les mains d un bon scénariste , ca aurait pu avoir de la gueule , meme si c est mince .
la c juste ecrit sur un coin du lavabo en se brossant les chicots
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aureliagreen
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J'ai vu dimanche soir au cinéma Planète B, une incursion franco-belge dans un futur proche légèrement dystopique. Il est assez réussi pour un genre qui n'est pas dans la spécialité de ce cinéma, avec des effets minimums. Reposant surtout sur une interprétation de qualité, avec un ensemble de noms assez relevé pour un film de genre avec assez peu de moyens, qui aide la réalisatrice à mettre en place sur une ambiance oppressante, d'autant plus que le gros de "l'action" se déroule dans un cadre déplacé. Il joue principalement sur une extrapolation de l'évolution de la situation mondiale actuelle, dans un sens de plus en plus autoritaire aussi bien en Europe qu'ailleurs, l'Irak étant ainsi gouvernée par une junte militaire tandis que les pays européens glissent vers un sécuritarisme de plus en plus marqué (au point que la référence à la "démocratie en danger en France" faite dans une revue de réactions internationales à la toute fin paraît incongrue, tellement la référence celle-ci apparaît comme ne pouvant relever que de la pure propagande gouvernementale dans un contexte où le pluralisme est manifestement tellement réduit). Le truc d'Aude Léa Rapin, comme dans beaucoup de films à moyens réduits, est de présenter la situation socio-politique par petites touches en arrière-plan uniquement, laissant le spectateur l'imaginer à l'aide des quelques indices disséminés au film de l'intrigue. L'autoritarisme rampant sera ainsi surtout ressenti par le spectateur par le biais de la réalité virtuelle imposée aux activistes prisonniers qui donne son titre au film – au passage, les textes publicitaires induisaient quelque peu en erreur sur la nature de cette "Planète B", dont le nom même se veut ironique - et à tiroir - car comme la dernière parole-référence à une fameuse formule écologiste le rappelle, "il n'y a pas de planète B". Le cadre même de cette matrice au rabais, celui paradisiaque d'une résidence de vacances de la Côte d'Azur (les scènes ont été tournées près de Saint-Raphaël), est d'un raffinement cruel, vu le confinement doublé de torture mentale qu'il sert à infliger aux prisonniers, et très révélateur de la brutalité du régime qui sévit en France (et non sans précédent historique, vue la pratique des disparitions par le passé). Une assez bonne surprise, même si sans vraie originalité, mais qui passe assez bien dans le cadre de l'actualité du monde.
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ConFucKamus
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Aujourd'hui, c'était retour chez Walter Salles avec

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Un sujet dont je ne suis pas familier et au final un film qui m'a beaucoup plu (et donné envie d'en savoir plus). J'ai trouvé que le rythme est vraiment bien tenu.

On a beau approcher les 2h20, zéro ennui. Salles approche ce morceau d'histoire avec humilité et une tendresse infinie pour ses personnages. Par la mise en scène,

il parvient à faire passer autant que par les dialogues (si ce n'est plus). C'est l'une des plus grosses forces du film, et le rappel que la fraicheur au cinéma passe avant tout

par la manière. Si on a l'impression de connaître ce type de récit, on ne l'a pas vu comme ça.

Je trouve que le film parvient à traiter tous les protagonistes sur la durée, et à rendre hommage à cette famille. Particulièrement à Eunice (Fernanda Torres, magnifique), dont

la force et l'abnégation fend le cœur. Ce n'est pas un film sur la résilience, au contraire sur la résistance et elle se manifeste de bien des façons.

Garder la tête froide, maintenir une cellule familiale soudée, et ne surtout pas oublier.

L'épilogue et le générique est à ce titre très émouvant.

:star: :star: :star: :star: :passtar:
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NaughtyDog
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Vu Ad Vitam aussi qui est bien rincé (et déjà mon pire film de 2025)
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Ce Mr & Mrs Smith sauce Netflix dait quasi illusion au début cia le gros capital sympathique qu'on peut avoir auprès du duo Jamie Foxx-Cameron Diaz (toujours aussi pétillante)mais qu'on s'y trompe pas : c'est du pur produit Netflix calibré, laid, sans réelle idée et qui abandonne même le traitement pourtant sympa de sa dynamique dzmiliale au profit d'un actioner random (avec qqes cascades réussies ceci dit)
Aussitôt vu aussitôt oublié

1.5/5

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Gros high concept aguicheur : une sex doll dernier cri tue un des amis de son mec lors d'un week-end dans une luxueuse baraque, et du coup elle tente de s'échapper. Le trailer dévoilait vite le pot aux roses, mais au final ce Companion bouffe a plein de rateliers (Ex Machina, Her, Gone Horl, Revenge) sans jamais vraiment trouver sa singularité. Pire les moments de tension sont souvent gachés par une irruption comique mal dosée. Même niveau survival c'est vraiment chiche, tout en étant une critique plrine de poncifs des relations toxiques et une mise en garde face a notre dépendance des nouvelles technologies.
Ça se matte sans gros déplaisir via une fabrication carrée, 1 ou 2 idées éparses, un Jack Quaid bien utilisé en antagoniste et une Sophie Thatcher convaincante. Mais on est clairement sur une proposition qui n'exploite pas ses promesses ou ses thématiques

2/5

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Premier film de William Goldenberg (monteur de Heat, Ali, Miami Bice, Zero Dark Thirty, les Transformers, Imitation Game, Argo, Insider...) qui reprend l'histoire vraie d'un jeune étudiant ayant une seule jambe qui va réussir dans la lutte malgré un contexte social défavorable.
Et même si le récit est inspirant, tout est globalement dans une formule vue dans 100 autres films de sport. Visuellement rien à se mettre sous la dent non plus devant le coté impersonnel global qui nuit à l'émotion. Heureusement le cast est bon (l'excellent Jharrel Jerome et une Jennifer Lopez à contre emploi dirons-nous), mais c'est ni bon ni mauvais

2.5/5

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Nouveau Soderbergh qui prouve qu'il est un des cinéastes hollywoodiens les plus singuliers qui soient (j'invite tout le monde à checker sa version des Aventuriers de l'Arche Perdue mise en noir & blanc sur les ziks de Reznor & Ross). Presence nous fait suivre un drame familial en huis-clos par les yeux d'un fantôme. Le spectateur est ainsi dans une position de voyeur, découvrant tel un épieur les interactions entre chaque personnage. Le souci étant que le concept n'est pas totalement congruent avec le script de Keopp à mon sens, étant donné que le caractére fantomatique n'est pas assez exploité (quelques livres bougés et des murs qui tremblent pour qu'au final les persos restent encore dans la baraque sans trop se poser de questions). Pas d'impact émotionnel à la A Ghost Story, pas de chronique aussi aboutie que Here ni de coup de boule visuel à la Enter the Void. Mais Presence traite à merveille son perso féminin central, use de l'iPhone comme nul autre piur offrir une dimension mélancolique portant ses fruits in fine. Dommage que niceau émotion là encore on soit plutôt en retrait, mais cela reste pas mal

3/5

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Nouveau Guadagnino et clairement son plus personnel malgré qu'il adapte du Burroughs (Le Festin Nu) dans un récit prenant place au Mexique dans les 50's. On y suit un Daniel Craig homosexuel et accro aux opioïdes dont le quotidien consiste à déambuler au bar chaque jour et trouver des partenaires sexuels, jusqu'à ce qu'il fasse la rencontre d'Eugene (un Drew Starkey magnétique), un jeune GI enigmatique. Une relation débutera, tandis qu'ils entreprendront un voyage en Amérique du Sud pour y trouver une plante hallucinogène.
Queer est déroutant, impeccablement filmé et interprété, mais c'est dans la fragilité cachée du personnage principal que le film tend à une universalité : la recherche de sentiments et l'incapacité à communiquer par peur de souffrir. Ce sont ces thématiques qui portent ce lent récit jusqu'à une finalité douce-amère existentielle, traversée ici et là de visions jamais ostentatoires.
La BO de Trent Reznor & Atticus Ross est encore une fois du velours, et Guadagnino n'hésite pas à mettre en scène la chair et le désir contrarié comme lui seul sait le faire (c'est l'anti-Challengdrs en somme). Une belle proposition, à contre-courant de ses travaux précédents mais thématiquement complètement raccord !

3.5/5
Kit
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Mort à 85 ans du réalisateur français Bertrand Blier
https://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_Blier
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Zefurin
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Je viens de me remater Mulholland Drive de Lynch

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En replay sur Arte en ce moment.
Deuxième visionage : ça devait faire dix ans que je ne l'avais plus revu.
Toujours aussi bouleversant, et je trouve qu'il a une saveur incroyable aujourd'hui même, vis à vis de tout ce qui arrive en ce moment.
La mort de Lynch, le combat féministe en cours, l'incendie qui ravage Los Angeles, la montée de l'extrême droite au pouvoir... Mulholland Drive a cet saveur de film qui montre la décrépitude du monde du spectacle derrière lequel on s'illusionne pour échapper à la réalité.
Ce film est d'une telle splandeur... :scared:

Un film qui parle si bien du narcissisme, des illusions que l'on se donne... et lorsque la réalité est là, elle est crue, amère, froide...
David Lynch est un peu comme John Carpenter : selon lui, Hollywood est mort, mais il n'en a toujours pas conscience... un peu comme un zombi.

Et Naomie Watts... quelle actrice... MAIS QUELLE ACTRICE ! :wut:
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NaughtyDog
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Vu I'm Still Here et oui très beau retour pour Walter Salles avec ce drame familial poignant en plein chamboulement politique dans le Brésil des 70's. Alors que la dictature s'installe, c'est la vie de la superbe Fernanda Torres qui est chamboulée, s'engageant dans une lutte acharnée pour retrouver son mari. Ça tire peut-être un poil niveau longueur sur la fin mais l'épilogue nous achève bien, dopée par la perf de son actrice principale : c'est très bon !

4/5

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Un Jesse Eisenberg relativement mineur en apparence, jouant avec Kieran Culkin 2 cousins issus d'une famille juive qui se rabibochent lors d'un trip en Pologne et du dècès de leur grand-mère. Programme Sundance un peu attendu mais c'est proprement réalisé, avec de bons dialogues et surtout 2 acteurs au top

3/5
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NaughtyDog a écrit : dim. 26 janv. 2025 18:27 Image

Vu I'm Still Here
Pourquoi donner le titre traduit en anglais ?

Plutôt envie de le voir celui-là. Beaucoup d'échos positifs.
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Parce que c'est moins long à écrire !
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Gros coup de coeur que Sing Sing, sorte de Cercle des poètes disparus au sein de Shawshank ou la prison d'Oz.
Une ode à la créativité et au pouvoir de l'imagination même dans les moments les plus sombres (on y suit une troupe de prisonniers tentant de se réhabiliter au sein d'un programme de théâtre).

Le programme semble attendu au premier abord mais le réalisateur parvient à contrecarrer les poncifs dans un script à combustion lente où les personnages se dévoilent au fur et à mesure.
Et dans ce casting de gueules, c'est particulièrement probant poyr le perso de Divine Eye, gros lascar au premier abord mais qui bénéficie d'un arc narratif sans aucune fausse note.
Et en plus de cela on a ni plus ni moins que Colman Domingo dans la meilleure performance (de l'année ?) de sa carrière.
À la fois mentor et vulnérable, ce dernier est fantastique et offre à lui seul un joli poids émotionnel à ce très bon film !

4/5
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MisterM
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NaughtyDog a écrit : lun. 27 janv. 2025 00:22 Parce que c'est moins long à écrire !
Valable. :D
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Aujourd'hui, tout le monde se tait car

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Premier film aussi bien pour le réalisateur Leonardo Van Dijl que son actrice principale Tessa Van den Broeck. Essai transformé avec le sujet on ne peut plus délicat de la libération de la parole.

Mise en scène braqué du début à la fin sur Julie, avec une multitudes de plans statiques, un second plan majoritairement flou et un non-rythme apparent. Pas des plus évidents, pour le spectateur.

Mais le regard posé sur le personnage est avant tout là pour inviter le spectateur à comprendre ce qui se passe en elle, et donc à dépasser les préjugés ou jugements alors que la situation influe peu à peu sur elle.

Ce temps qui passe, on nous le fait ressentir et ça n'est pas pour rien. Qui sait, peut-être que la vision d'un long-métrage comme celui-ci pourrait servir à beaucoup.

:star: :star: :star: :demistar: :passtar:
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NaughtyDog a écrit : lun. 27 janv. 2025 00:22 Parce que c'est moins long à écrire !
Pour 3 lettres de plus, tu aurais pu écrire le titre original :o
Ainda Estou Aqui

Très beau film.
Dommage de ne pas voir plus de films de Walter Salles.
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The Descendants de Alexander Payne

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Et bien je m'attendais à une comédie dramatique moyenne où seul le charme de Clooney opèrerait... et bien en fait, c'est un assez beau film sur la mort et le deuil où les charmes de Clooney, Shailene Woodley, Amara Miller et Nick Krause sont à l'unisson pour rendre ça très émouvant.
Le chaud et le froid du comique et du pathétique sont assez bien soufflés... on suit la perdition du personnage de Clooney avec intérêt, où il règle un poil ses comptes avec l'héritage que lui lègue sa femme. Je ne dirais pas que c'est bien filmé, mais l'intrigue est assez belle et les acteurs jouent vrai.

Et Shailene Woodley est super belle. :love2:

Je recommande.
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MisterM 06/02/2024
Tranber
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Bonjour,

je me suis enregistré aujourd'hui, je viens parler de ciné.

Et donc le dernier film que j'ai vu en entier au cinéma c'était Brooklyn Affairs d'Edward Norton sorti en décembre 2019.

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Voici le Synopsys d'Allociné : New York dans les années 1950. Lionel Essrog, détective privé souffrant du syndrome de Gilles de la Tourette, enquête sur le meurtre de son mentor et unique ami Frank Minna. Grâce aux rares indices en sa possession et à son esprit obsessionnel, il découvre des secrets dont la révélation pourrait avoir des conséquences sur la ville de New York… Des clubs de jazz de Harlem aux taudis de Brooklyn, jusqu'aux quartiers chics de Manhattan, Lionel devra affronter l'homme le plus redoutable de la ville pour sauver l'honneur de son ami disparu. Et peut-être aussi la femme qui lui assurera son salut…

Mon avis : Vraiment pas mal, surtout pour un film qui dure 2h20, on ne s'ennuie pas et l'intrigue est de qualité, bien jouée, et bien mise en scène. Seuls petit bémols persos : certains dialogues sont légèrement pompeux et il y a aussi je trouve un manque de profondeur dans certains personnages du film (méchants parce-que méchants et puis voilà, assez fréquent dans le cinéma américain, je trouve ça un peu dommage).

Ma note : 15/20.
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Zefurin
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Tranber a écrit : mar. 11 févr. 2025 15:26 Bonjour,

je me suis enregistré aujourd'hui, je viens parler de ciné.

Et donc le dernier film que j'ai vu en entier au cinéma c'était Brooklyn Affairs d'Edward Norton sorti en décembre 2019.

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Voici le Synopsys d'Allociné : New York dans les années 1950. Lionel Essrog, détective privé souffrant du syndrome de Gilles de la Tourette, enquête sur le meurtre de son mentor et unique ami Frank Minna. Grâce aux rares indices en sa possession et à son esprit obsessionnel, il découvre des secrets dont la révélation pourrait avoir des conséquences sur la ville de New York… Des clubs de jazz de Harlem aux taudis de Brooklyn, jusqu'aux quartiers chics de Manhattan, Lionel devra affronter l'homme le plus redoutable de la ville pour sauver l'honneur de son ami disparu. Et peut-être aussi la femme qui lui assurera son salut…

Mon avis : Vraiment pas mal, surtout pour un film qui dure 2h20, on ne s'ennuie pas et l'intrigue est de qualité, bien jouée, et bien mise en scène. Seuls petit bémols persos : certains dialogues sont légèrement pompeux et il y a aussi je trouve un manque de profondeur dans certains personnages du film (méchants parce-que méchants et puis voilà, assez fréquent dans le cinéma américain, je trouve ça un peu dommage).

Ma note : 15/20.
Vu y a 1 an ou 2 ans : bon souvenir aussi.
J'étais juste un peu critique vis à vis de l'image, le côté numérique qui rend le visuel du film assez fade, trop proprette. Un peu plus de crasse et de texture aurait été bienvenu afin de marier la forme avec le fond.

Mais les dialogues et la directions des acteurs est impec : il faut dire que le cinéaste étant à la base un des meilleurs acteurs de sa génération, il ne risquait pas de délaisser cet aspect du film.

Hier, j'ai pu revoir Ad Astra de James Gray :

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Et bien je confirme que je n'ai pas eu la lubie : c'est le meilleur film de SF des années 2010 pour moi. :saint:
Il est magnifique et jouit d'une ambiance superbe.
Et Brad Pitt tient dans ce film l'une de ses plus belles perf.
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MisterM 06/02/2024
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Soit dit en passant : bienvenue @Tranber !
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Bienvenue !!
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@Tranber
BIENVENU DANS NOTRE COMMUNEAUTE !

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@Tranber
Bienvenue à toi !

De mon côté, j'ai réussi à me caler The Brutalist

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"Monumental", c'est marqué dessus. Il est déjà donné favori pour les Oscars 2025.

Et. Je. Ne. Comprends. Pas.

Grosse déception; voilà un film qui aimerait lorgner du côté de P.T Anderson ou Cimino mais qui passe complètement à côté de son sujet. Ou ses sujets.

D'ambition, il ne manque pas. Et j'ai du respect pour Brady Corbet car il réussit à emballer le morceau pour 10 millions.

Mais le Panavision, la durée maousse, le chapitrage, l'entracte, tout ça a plus à voir avec de l'affèterie plutôt qu'une direction réfléchie.

Je ne vois aucune justification à cette 3h35 (3h20 en réalité), tant The Brutalist n'attrape pas grand chose sur ces grandes thématiques (le trauma post-Shoah, l'immigration compliquée aux USA, le capitalisme)

au point de nous asséner un épilogue honteux qui balaye en 5 minutes oralement ce qui aurait dû hanter tout le film dans son âme.

Le film reste très à distance de l'architecture (un comble), bâcle même l'édifice communautaire qui restera à l'arrière-plan, et se sent obligé de verser dans l'outrance (le viol de László), séquence parfaitement

inutile puisque la teneur de leur relation (toxique) était déjà établie plus tôt dans le long-métrage.


Bref, un film qui aurait pu raconter beaucoup et se révèle finalement anecdotique.

:star: :star: :passtar: :passtar: :passtar:
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Après la déception (voir ci-dessus), j'ai remonté la pente avec

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Plongée quasi en apnée dans les locaux d'ABC Sports au moments des attentats aux JO de Munich.

Une belle surprise qui fonde sa réussite sur son casting international. Tim Fehlbaum s'empare avec force du sujet, et offre un huis-clos fiévreux sur la débâcle de l'évènement.

Et la distribution est en titane. Peter Sarsgaard nickel chrome comme d'hab', Ben Chaplin (que je n'ai même pas reconnu) excellent. Mais mon attention a été un peu plus

portée sur John Magaro et Leonie Benesch qui ouvrent des perspectives intéressantes sur la course à l'audience, la course à l'info (fut-elle fausse) et surtout la tragédie que fut l'attaque pour la population allemande qui

ne demandait qu'à être considérée au delà de son passé proche.

:star: :star: :star: :star: :passtar:
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The Brutalist
ConFucKamus a écrit : sam. 15 févr. 2025 19:08 Grosse déception; voilà un film qui aimerait lorgner du côté de P.T Anderson ou Cimino mais qui passe complètement à côté de son sujet. Ou ses sujets.

D'ambition, il ne manque pas. Et j'ai du respect pour Brady Corbet car il réussit à emballer le morceau pour 10 millions.

Mais le Panavision, la durée maousse, le chapitrage, l'entracte, tout ça a plus à voir avec de l'affèterie plutôt qu'une direction réfléchie.
Je ne serai pas aussi dur que toi sur le constat global. Cela reste une belle fresque à mon sens. Et un vrai petit exploit de faire tenir ça sur un budget aussi réduit. Rien que pour ça il mérite des récompenses d'ailleurs.

Mais oui le film souffre du fait que son réalisateur surligne sans cesse sa volonté de réaliser un chef d'œuvre et il en ressort pas mal d'esbrouffe assez vaine finalement. Le film aurait gagné à un peu plus d'épure, simplicité et concision.

On a bien compris que Brady Corbet maîtrise ses outils formels de mise en scène, mais il a encore du travail sur l'écriture (avec sa femme à priori) pour être au niveau de ses prétentions.

Cela reste une œuvre qu'il faut voir en salle pour profiter de son ambition.

:star: :star: :star: :demistar: :passtar:
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NaughtyDog
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C'est bien Brutalist à mon sens (surtout pour sa très bonne 1e partie) mais loin du masterpiece vendu yes
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