Le Cercle des profileurs disparus

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Oxygène : Alexandre Aja promet un survival haletant pour son thriller Netflix

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Après Crawl, le réalisateur Alexandre Aja va revenir sur Netflix avec Oxygène, un thriller claustrophobe qui promet d'être vraiment haletant.

Après ses débuts avec ses deux premiers films, Furia et Haute tension en France, le réalisateur Alexandre Aja s’est exilé aux États-Unis pour y trouver le succès et le public qu’il méritait. Son excellent remake de La Colline a des yeux lui a valu une réputation en or dans le cinéma de genre américain, et le cinéaste a enchaîné les succès avec l’horrifique Mirrors avec Kiefer Sutherland et le délirant Piranha 3D, avant une petite traversée du désert avec Horns, sa comédie horrifique avec Daniel Radcliffe et des cornes. Même chose encore pour le thriller La 9ème vie de Louis Drax, qui a terminé son parcours avec une sortie confidentielle en DVD chez nous.

Puis en 2019, Alexandre Aja est revenu en grande forme avec Crawl. Un retour au survival pur et dur avec cet honnête petit film de croco qui a eu son petit succès au box-office mondial (plus de 91 millions de dollars, pour un budget officiel d’environ 13 millions). Un retour aux sources qui est bien parti pour durer, puisque le réalisateur revient au bercail avec Oxygène. Dans ce thriller claustro Netflix, Mélanie Laurent se réveille amnésique dans un caisson de cryogénisation dont elle va devoir s’échapper avant d’être à court d’oxygène.

Un pitch très simple, mais qui semble diablement efficace. Il n’est d'ailleurs pas sans rappeler Buried de Rodrigo Cortés, un huis clos dans lequel Ryan Reynolds se réveillait dans un cercueil, mais cette fois six pieds sous terre. En tout cas, Oxygène est un projet qu'on attend depuis quelque temps puisque dès février 2020, Oxygène avait été annoncé sous le nom d’O2, avec Noomi Rapace dans le rôle-titre et Franck Khalfoun à la réalisation. A l'époque, Alexandre Aja devait se contenter de la place de producteur.

Une production tournée en anglais, dans la veine du remake de Maniac avec Elijah Wood, qui est finalement devenu un thriller tourné en français avec Mélanie Laurent dans le premier rôle, et réalisé par Alexandre Aja qui a dû réécrire le film dans la langue de Molière. Et lors d’une interview exclusive auprès du magazine Première, le réalisateur a été interrogé sur les changements imposés par cette adaptation :

« On y suivait déjà cette femme qui a oublié son identité. Dans un futur proche, elle se réveille enfermée dans un caisson de cryogénisation, et se demande ce qui s’est passé, pourquoi on l’a mise là et surtout comment en sortir avant de manquer d’oxygène. Il y avait un petit côté 28 jours plus tard qui me plaisait beaucoup.

Et sans trop en dire, le scénario, avant même la Covid, contenait déjà une partie pandémique. Évidemment, la situation sanitaire nous a donné des éléments qu’on n’attendait pas : tout à coup, il y a eu une sorte d’éducation mondiale sur ce qu’est une pandémie. On pouvait aller plus loin, et surtout tenir compte des avancées scientifiques. »


Une fois n’est pas coutume, la pandémie de Covid-19 a impacté la production même du long-métrage, puisque le réalisateur travaillait sur la préparation d’un autre film américain, avant de devoir rentrer à Paris pendant le premier confinement. Finalement, Aja a tourné Oxygène durant l’été 2020, dans les studios d’Ivry-sur-Seine, comme une réponse directe à la pandémie, ce qui en fait presque un film sur le confinement, produit et distribué par Netflix.

Mais alors, à quoi s'attendre vraiment ? De la science-fiction ? Un thriller ? Toujours interrogé par Première, Alexandre Aja est resté vague :

« Un peu des deux, mais je dirais surtout que c’est un film à suspense comme l’était Crawl. C’est-à-dire quelque chose de vraiment haletant. De la pure survie. »

Crawl n’était donc pas qu’une simple parenthèse dans la filmographie d’Aja, qui compte bien revenir à la survie pure et dure avec Oxygène. Son film aura d'ailleurs un air à la Memento de Christopher Nolan au niveau de sa narration selon les mots du cinéaste français.

Oxygène d’Alexandre Aja, avec Mélanie Laurent, mais aussi Mathieu Amalric et Malik Zidi au casting, est attendu pour une sortie courant 2021 sur Netflix. En attendant, notre critique de Crawl est disponible.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1614344600

Quelques photos du film :

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District 9 : Neill Blomkamp relance enfin la suite et promet son arrivée prochaine

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Après des années de galère, Neill Blomkamp a de nouveau lancé plein de projets, dont District 10, la suite tant réclamée de District 9.

Véritable choc de l’année 2009, District 9 a permis au jeune réalisateur sud-africain Neill Blomkamp d’émerger en tant que nouvelle voix puissante de la science-fiction. Par la suite, le cinéaste s’est construit une filmographie hautement cohérente, en prolongeant ses thématiques et son amour de la pop culture avec Elysium et Chappie.

Malheureusement, Neill Blomkamp est désormais aussi connu pour ses longs-métrages que pour ses nombreux projets avortés du côté d’Hollywood, à commencer par ses fantasmatiques Halo, Alien 5 et RoboCop Returns. Après avoir fait la nique aux studios pour fonder une petite structure indépendante (Oats), le cinéaste a eu le temps de tourner un petit film d’horreur en 2020, en plein pendant la crise sanitaire.

Et si on n'a toujours pas eu l'occasion de découvrir ce fameux film secredt, visiblement, Blomkamp a repris du poil de la bête puisqu’il a également relancé la machine District 10. En effet, l’idée d’une suite à son premier coup de maître a été évoquée assez tôt, sans jamais se concrétiser.

Pourtant, le réalisateur a annoncé, l’air de rien, sur son compte Twitter, que le projet devrait se faire plus vite que prévu :

“Le scénario de District 10 est en train d’être écrit par Sharlto Copley [acteur de District 9, ndlr], Terri Tatchell [scénariste de District 9 et de Chappie, ndlr] et par moi-même. Ça arrive...”

Si Neill Blomkamp avait évoqué par le passé avoir trouvé un bon concept pour cette suite, il semblerait que l’acteur Sharlto Copley soit de retour dans la peau de Wikus van der Merwe, héros malgré lui qui avait fini par lui-même muter en extraterrestre.

En attendant d’en savoir plus sur cette proposition excitante, on vous renvoie vers notre critique de Chappie, ainsi que celle de Zygote, l’un des meilleurs courts-métrages d’Oats Studios.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1614334147
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Après Monster Hunter, Paul W.S. Anderson va réaliser un autre film de fantasy avec Milla Jovovich et Dave Bautista

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Accrochez-vous : Paul W.S. Anderson va adapter In the Lost Lands, une nouvelle de l'écrivain star George R.R. Martin, avec bien sûr Milla Jovovich au casting et Dave Bautista.

Après la série Game of Thrones de David Benioff et D. B. Weiss, c'est au tour de Paul W.S. Anderson (Mortal Kombat, Resident Evil, Alien vs. Predator) de s'emparer des écrits de George R.R. Martin. Le cinéaste au style savamment nanardesque laissera cependant Westeros tranquille et s'attaquera plutôt à In the Lost Lands (Dans les contrées perdues en français), une nouvelle fantastique écrite au début de la carrière de l'auteur, mais publiée pour la première fois en 2003 dans le recueil R.R.étrospective. En plus de passer derrière la caméra, le réalisateur écrira également le scénario.

D'après Variety l'histoire verra une reine désespérée d'assouvir ses désirs se lancer dans un jeu audacieux en engageant la sorcière Gray Alys, une femme aussi puissante que redoutée, pour l'envoyer dans le désert fantomatique des contrées perdues. Avec le vagabond Boyce qui lui sert de guide, ils doivent alors déjouer et combattre l'Homme et le Démon dans une fable qui explore la nature du Bien et du Mal, la reconnaissance, l'amour et la perte.

Bien évidemment, la sorcière badass sera incarnée par Milla Jovovich, la collaboratrice, femme et muse de longue date du réalisateur. Elle donnera également la réplique à Dave Bautista (Les Gardiens de la Galaxie, Stuber, Bushwick), qui incarnera Boyce et qu'on retrouvera aussi dans les prochains Army of the Dead de Zack Snyder, Dune de Denis Villeneuve et Les Gardiens de la galaxie 3 de James Gunn.

La production sera quant à elle assurée par Jeremy Bolt, qui a déjà travaillé avec Paul W.S. Anderson pour Event Horizon - Le vaisseau de l'au-delà, la saga Resident Evil, Les Trois Mousquetaires, Pompéi et son dernier film Monster Hunter. Bolt sera également rejoint par Anderson et Jovovich, mais aussi Bautista et Jonathan Meisner, par le biais de la société de production Dream Bros Entertainment. On est donc assez intrigué par le projet, qui devrait à nouveau permettre au réalisateur de se lâcher, à Milla Jovovich de faire ses têtes pas contentes et à Bautista de jouer un peu plus les gros bras, pour un résultat qu'on espère être un prochain gros plaisir coupable, et pourquoi pas un bon film.

En attendant d'en savoir plus, on revient sur les 5 raisons d'adorer les films Resident Evil, tandis que la bande-annonce de Monster Hunter (privé de sortie cinéma en France), est toujours de ce côté.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1614327445
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Nouvelle photo de Mission: Impossible 7 :

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Oui, ça pourrait être une photo de n'importe quel opus :D
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Premières photos de Bullet Train :

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Nouvelle grosse série à venir sur Netflix :

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Mortal Kombat bat déjà des records grâce à sa bande-annonce survoltée

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Attendu au tournant, Mortal Kombat a non seulement intrigué avec sa bande-annonce, mais a même battu un record grâce à elle.

Sortie le 18 février 2021, la bande-annonce du reboot de Mortal Kombat a pas mal convaincu les aficionados de bastons gratuites et de fatalities (y compris dans nos colonnes). Le film de Simon McQuoid, qui a la lourde tâche de surpasser les adaptations un peu pourries du jeu vidéo dans les années 90, est fortement attendu pour sa sortie simultanée en salles et sur HBO Max.

Après un début de promo extrêmement timide, Mortal Kombat a commencé à envoyer la sauce, entre des affiches de son casting flamboyant (et étonnamment fidèle aux personnages du jeu) et son trailer bien bourrin et non-censuré. C’est d’ailleurs grâce à lui que le long-métrage a pu d’ores et déjà réaliser un exploit, puisque cette bande-annonce “red band” a totalisé 116 millions de vues en une semaine, battant les précédents records de Logan et Deadpool 2 en la matière.

Il faut néanmoins souligner que contrairement à ses concurrents pré-cités, Mortal Kombat n’a pas eu droit à une seconde bande-annonce remontée pour un plus large public, ce qui lui a évité de diviser ses vues. À noter également qu’au vu de la crise sanitaire et du nombre réduit de blockbusters, le long-métrage a su profiter d’une fenêtre de tir idéale, sans trop de concurrence.

D’après Deadline, le trailer de Mortal Kombat a été en “Trends” dans pas moins de 52 marchés sur YouTube, et 28 sur Twitter, enregistrant au passage un taux de satisfaction estimé à 98%. Le site RelishMix a par ailleurs affirmé que la bande-annonce a été fortement partagée sur les réseaux sociaux par ses spectateurs, à un ratio impressionnant de 47 sur 1.

Autant dire qu’avec une telle hype, Mortal Kombat pourrait bien réaliser des scores impressionnants dans un box-office assez particulier, affirmant ou infirmant la viabilité de la stratégie hybride de Warner Bros. Prévu pour sortir le 16 avril aux États-Unis, ce reboot devrait éclabousser les grands écrans français le 7 avril, si tout va bien. En attendant, vous pouvez retrouver notre article sur Mortal Kombat 2 : Destruction finale, qui revient sur la production houleuse et improbable de ce nanar de compétition.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1614354508
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Wickaël
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Pale a écrit :
ven. 26 févr. 2021 19:33
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Encore...
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Wickaël a écrit :
ven. 26 févr. 2021 20:00
Encore...
Mais vu le choix de scénariste accolé au projet, ça pourrait être une version Calvin Ellis et non Clark Kent.
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Bon film catastrophe australien. La particularité de celui-ci c'est qu'il n'y a aucune échappatoire possible, une immense vague de feu recouvre la planète et arrive sur l'Australie suite à la chute d'une météorite. L'ambiance est apocalyptique à souhait, la fin est inéluctable et c'est assez immersif avec en prime une bonne ambiance sonore. Après tout n'est pas parfait. Le personnage principal est assez antipathique et il y a parfois des détails scénaristiques hasardeux pour faire progresser les personnages. Mais voilà, pour un film à petit budget ça reste bien foutu.
Modifié en dernier par Pale le dim. 28 févr. 2021 08:21, modifié 1 fois.
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robinne
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weird

Cocu a écrit :
ven. 26 févr. 2021 17:33
robinne a écrit :
ven. 26 févr. 2021 12:52
Pale a écrit :
ven. 26 févr. 2021 12:47


Je pense que Naughty l'ignorait jusqu'à ce que je lui en parle :D
C’est bien ce que je pensais ;)
Après, Allociné est réglo, car leur droit d’utiliser « nos » critiques est marqué dans leurs conditions d’utilisation qu’on approuve quand on s’inscrivait.
Mais s’ils étaient bien élevés, ils en informeraient la personne concernée avant :o
Mitigée aussi par cette utilisation, moi perso ça me ferait rire s'ils utilisaient mes écrits avec comme signature "Cocu" ça ferait très pro 🤣 Je ne pourrais même pas m'en vanter lol.
:lol:
Ce serait bien pour une comédie sur un mariage qui prend l’eau :o
ClintReborn a écrit :
ven. 26 févr. 2021 18:22
robinne a écrit :
ven. 26 févr. 2021 12:52
Après, Allociné est réglo, car leur droit d’utiliser « nos » critiques est marqué dans leurs conditions d’utilisation qu’on approuve quand on s’inscrivait.
Mais s’ils étaient bien élevés, ils en informeraient la personne concernée avant :o
Ils recommencent ! :ouch: :lol: :rofl:

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Si cette publicité était vraie, je les attaquerais pour usurpation d’identité, diffamation.
D’autant plus que je n’avais pas d’avatar sur Allociné :p
Pale a écrit :
ven. 26 févr. 2021 18:40
robinne a écrit :
ven. 26 févr. 2021 12:52
Mais s’ils étaient bien élevés, ils en informeraient la personne concernée avant :o
Naughty a peut-être reçu le mail dans une boite mail qui date de Mathusalem :D
une adresse @caramail :D
Pale a écrit :
ven. 26 févr. 2021 19:02
Nouvelle photo de Mission: Impossible 7 :

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Oui, ça pourrait être une photo de n'importe quel opus :D
C’est clair :jap:
Ça permet d’éviter un gros plan sur le visage tiré de Cruise :saint:
Pale a écrit :
ven. 26 févr. 2021 18:53
District 9 : Neill Blomkamp relance enfin la suite et promet son arrivée prochaine
Cool. Mais est-ce que cela signifie qu’il n’arrive pas à avancer sur ses autres projets ?
Pale a écrit :
ven. 26 févr. 2021 19:33
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Encore ? :??:
Next a écrit :
ven. 26 févr. 2021 20:07
Wickaël a écrit :
ven. 26 févr. 2021 20:00
Encore...
Mais vu le choix de scénariste accolé au projet, ça pourrait être une version Calvin Ellis et non Clark Kent.
C’est qui Calvin ? Le frère de Clark ?
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robinne
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weird

Wickaël a écrit :
ven. 26 févr. 2021 20:00
Pale a écrit :
ven. 26 févr. 2021 19:33
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Encore...
Même réaction :jap:
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robinne a écrit :
sam. 27 févr. 2021 07:39
Next a écrit :
ven. 26 févr. 2021 20:07
Wickaël a écrit :
ven. 26 févr. 2021 20:00
Encore...
Mais vu le choix de scénariste accolé au projet, ça pourrait être une version Calvin Ellis et non Clark Kent.
C’est qui Calvin ? Le frère de Clark ?
Non c'est une autre version. L'origin story est proche, mais Calvin Ellis est en partie inspiré de Barack Obama et est à la fois Superman et Président des Etats-Unis.

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robinne a écrit :
sam. 27 févr. 2021 07:39
Ça permet d’éviter un gros plan sur le visage tiré de Cruise
Ça devient une obsession le visage de Tom Cruise :D
Cool. Mais est-ce que cela signifie qu’il n’arrive pas à avancer sur ses autres projets ?
Et bien il a quand même dû être refroidi après les annulations de son Alien 5 ou sa suite officielle du premier Robocop. Après il a quand même tourné un nouveau film d'horreur durant la pandémie.
Encore ?
Ce sera juste la quatrième fois au ciné depuis son apparition au ciné :o
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A propos de Neill Blomkamp justement :

Avant District 10, le film d’horreur de Neill Blomkamp dévoile son synopsis démoniaque

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Grâce à une projection test, on a pu en apprendre plus sur le projet mystérieux de Neill Blomkamp, tourné en pleine pandémie mondiale.

Après le succès de District 9, le réalisateur Neill Blomkamp a eu le vent en poupe à Hollywood, et s’est imposé comme l’un des créateurs de science-fiction et de fantastique les plus fascinants du moment. Malheureusement, une suite de projets avortés (dont l’adaptation du jeu vidéo Halo, Alien 5 et RoboCop Returns) a poussé le réalisateur à faire la nique aux studios, et à monter sa propre structure indépendante : Oats.

Après avoir signé une série de courts-métrages fascinants sur YouTube, Blomkamp a s'est construit une équipe solide, sachant équilibrer des budgets réduits avec la créativité débordante de l’auteur. Et visiblement, le cinéaste en a profité malgré la crise sanitaire, puisqu’il est allé tourner un long-métrage (son premier depuis Chappie en 2015) dans les tréfonds du Canada, en à peine quelques semaines durant l’été 2020.

Si le réalisateur a comparé sa démarche économe à celle du Projet Blair Witch et de Paranormal Activity, on se doutait bien que ce projet secret allait reposer sur un high-concept fort. The Film Stage l’a en tout cas confirmé, puisque le site a pu mettre la main sur un synopsis du long-métrage partagé lors d’une projection test.

Pour le moment titré Unlocked (ce qui était le cas depuis son tournage), ScreenDaily a néanmoins précisé que le film a changé pour se nommer Demonic. Le titre original a cependant été conservé pendant cette projection test, qui nous a donc permis de savoir ce qui nous attend :

“UNLOCKED suit Carly, une jeune femme vivant dans une petite ville à cause de l’infamie provoquée par sa mère, qui a commis une série de meurtres lorsque Carly n’était encore qu’une enfant. Lorsqu’un mystérieux scientifique lui demande de l’aide sur une technologie expérimentale qui lui permettrait de plonger dans l’esprit de sa mère désormais comateuse, elle accepte malgré la méfiance de ses amis proches.

Alors qu’elle évolue dans le processus, les frontières de la réalité commencent à se flouter, et les intentions des conducteurs de l’expérience deviennent plus claires lorsque Carly découvre la terrifiante force surnaturelle à l'origine de son trauma d’enfance.”


Dès lors, on sait également qu’Unlocked devrait avoir pour actrice principale Carly Pope, surtout connue pour la série Popular, et qui a fait une apparition dans Elysium. Elle sera accompagnée par Chris William Martin et Michael Rogers (aperçu dans l’un des courts-métrages ADAM d’Oats Studios) dans ce mélange intrigant entre Inception et L'Expérience interdite.

En tout cas, Neill Blomkamp est visiblement de retour en pleine forme, puisqu’il a également confirmé sur ses réseaux sociaux l’écriture de District 10, la suite de son premier chef-d'œuvre. En attendant d’en savoir plus, vous pouvez toujours retrouver notre critique de Chappie, et notre retour détaillé sur l’annulation d’Alien 5.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1614362830
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The Division : le film Netflix adapté du jeu vidéo post-apocalyptique change de réalisateur

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Après un long parcours du combattant, le film Netflix adapté du jeu vidéo The Division change soudainement de réalisateur à la barre.

Si les jeux vidéo ont du mal à garder leur majesté sur le grand écran, le succès de Sonic le film a confirmé l'appétence du public pour les projets d’adaptations vidéoludiques. Alors forcément, Hollywood a mis les bouchées doubles, entre Tomb Raider 2 qui vient de trouver une nouvelle réalisatrice, Mortal Kombat dont la bande-annonce semble bien plus enthousiasmer les fans que prévus, ou encore le Uncharted avec Tom Holland et Mark Wahlberg qui a dévoilé de nouveaux indices en images.

Le jeu vidéo est partout à Hollywood, et l’industrie compte bien capitaliser sur d’autres franchises moins évidentes, comme c’est le cas notamment avec l’adaptation de Borderlands dont le casting devient de plus en plus étonnant. Et parmi ses nombreuses adaptations, il y a notamment le cas du film The Division, l'histoire d'un vétéran qui revient d’un long chemin depuis sa mise en chantier.

En effet, annoncée en 2016, l’adaptation du jeu Ubisoft a erré sans capitaine à son bord pendant plus de deux ans, avant que le réalisateur David Leitch (Deadpool 2, Atomic Blonde) n’arrive sur le projet en avril 2018.

Les choses ont alors commencé à s’accélérer en 2019 lorsque Ubisoft a annoncé pendant l’E3 que Netflix avait sorti le chéquier pour lancer la production de The Division sur la plateforme, travaillant en étroite collaboration avec Ubisoft Film and Television, responsable notamment du Assassin's Creed avec Michael Fassbender (ça va aller, respirez). Toutefois, la présence des deux acteurs prestigieux Jake Gyllenhaal et Jessica Chastain et du réalisateur David Leitch derrière la caméra avait de quoi rassurer un minimum sur le résultat final.

Et désormais, grâce à Deadline, ce n’est plus vraiment le cas, puisque The Division a redonné de ses nouvelles, mais cette fois pour annoncer que David Leitch avait abandonné le projet. En cause ? Un problème de calendrier avec son prochain film d’action qui se situe entre Speed et Snowpiercer : Bullet Train.

Mais pas de panique ! Finalement, The Division sera réalisé par Rawson Marshall Thurber, le réalisateur de Skyscraper avec Dwayne Johnson. Il vient récemment de terminer le tournage de Red Notice, un autre film d’action chez le N rouge où il a de nouveau retrouvé l’ancien catcheur.

Tandis que David Leitch restera producteur de l’adaptation, le film change aussi de scénariste, puisque Thurber coécrira le scénario aux côtés d'Ellen Shanman. Pour rappel, l’histoire du film reprendra les évènements du premier jeu sorti en 2016, se déroulant dans un futur proche où un virus a ravagé New York, à cause d’un agent pathogène qui s’est répandu sur les billets de banque lors du Black Friday. On y suivra des agents de Division, probablement incarnés par Gyllenhaal et Chastain, qui font tout pour reprendre la ville après les ravages causés par le virus.

Encore une adaptation qui sent bon la pandémie de Covid-19 et le confinement. The Division, qui devait sortir initialement le 1er septembre 2020 sur Netflix (c’est un peu raté), n’a pas encore de nouvelle date de sortie annoncée pour le moment sur la plateforme. En attendant, on revient par ici sur la chute d’une icône du jeu vidéo, Tomb Raider, Lara Croft.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1614353026
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Wickaël
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Fini la première saison de Cobra Kai, vraiment excellente. J'étais vraiment à fond dans chaque épisode. Les persos, la musique... tout est réussi. Et puis avec cette fin de saison j'ai qu'une envie, attaquer la saison 2 !
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Wickaël a écrit :
sam. 27 févr. 2021 08:45
Fini la première saison de Cobra Kai, vraiment excellente. J'étais vraiment à fond dans chaque épisode. Les persos, la musique... tout est réussi. Et puis avec cette fin de saison j'ai qu'une envie, attaquer la saison 2 !
La saison 2 est ma préférée :D

Le tournoi dans l'épisode 10 est vraiment excellent.
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sam. 27 févr. 2021 08:03
robinne a écrit :
sam. 27 févr. 2021 07:39
Next a écrit :
ven. 26 févr. 2021 20:07


Mais vu le choix de scénariste accolé au projet, ça pourrait être une version Calvin Ellis et non Clark Kent.
C’est qui Calvin ? Le frère de Clark ?
Non c'est une autre version. L'origin story est proche, mais Calvin Ellis est en partie inspiré de Barack Obama et est à la fois Superman et Président des Etats-Unis.

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Ah oui, tout de même : c’est un super super-héros. Fini le bouseux journaliste anonyme.
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Pale a écrit :
sam. 27 févr. 2021 08:53
Wickaël a écrit :
sam. 27 févr. 2021 08:45
Fini la première saison de Cobra Kai, vraiment excellente. J'étais vraiment à fond dans chaque épisode. Les persos, la musique... tout est réussi. Et puis avec cette fin de saison j'ai qu'une envie, attaquer la saison 2 !
La saison 2 est ma préférée :D

Le tournoi dans l'épisode 10 est vraiment excellent.
Oui les combats sont bien chorégraphiés

Vraiment hâte de voir la suite.
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L'intro est très drôle et l'idée de départ est cool mais le film est un peu mou et semble long alors qu'il ne dure que 1h30. Il y a également des grosses facilités scénaristiques qui nuisent à l'ensemble comme les zombies qui finalement peuvent courir quand ça les arrange. Après il y a quand même de très bonnes scènes ici et là et un optimisme qui fait plutôt plaisir. Il faut aussi saluer les bonnes performances de Teresa Palmer et Nicholas Hoult. Au final c'est sympa mais pas fou.
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Je découvre ce classique. Après une intro riche en tension, le film est un peu long et coche toutes les cases du film carcéral. Le film est assez éprouvant mais paradoxalement on a parfois l'impression que les personnages peuvent faire ce qu'ils veulent. Enfin on n'aimerait pas être à la place du personnage principal pour autant. Par contre j'ai trouvé la fin assez douteuse le gars réussit à rentrer chez lui après un prolongement injuste de sa peine d'accord mais il tue quand même un gardien lors de son évasion... Dans les bons points il y a bien évidemment l'excellente bande-originale électro. Au final j'ai modérément apprécié.
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Kit
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27 février
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Joanne Woodward actrice
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Madame Paul Newman durant 50 ans
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le couple avec Robert Wagner qui a aussi fêté ses 91 ans il y a peu (Virages 1969 James Goldstone)
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Modifié en dernier par Kit le dim. 28 févr. 2021 06:00, modifié 1 fois.
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28 février,
avec un peu d'avance sur moi
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Rae Dawn Chong
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Kit a écrit :
dim. 28 févr. 2021 05:59
Rae Dawn Chong
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Elle m'a principalement marquée dans Commando :D
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Cette relecture de Frankenstein alterne le bon et le moins bon. Le principal défaut du film selon moi c'est son rythme en dents-de-scie. Il y a vraiment de grosses baisses de rythme ici et là qui nuisent à la bonne tenue du long métrage. Ce qui m'a impressionné par contre c'est la facture visuelle. On sent qu'ils ont mis les moyens, les décors et les costumes sont grandioses. L'ambiance londonienne rappelle un peu les Sherlock Holmes de Guy Ritchie. Un bon divertissement même si un peu long par moments.
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Wickaël
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J'ai découvert Jack Reacher 2 hier soir. J'aime bien Tom Cruise dans ce rôle, même si le film tire parfois en longueur et est un peu avare en action. Largement préféré le premier.

6/10
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J'avais juste vu La Chute de Londres. Je découvre donc ce premier opus et j'ai vraiment kiffé. Niveau action c'est même hallucinant, la longue scène durant laquelle la maison blanche est prise d'assaut est absolument grandiose et d'une violence assez inouïe. Bien sûr c'est ultra classique dans le genre niveau histoire mais je ne m'attendais pas à ce que ça défouraille autant.
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Golden Globes 2021 : petite razzia pour Netflix dans une cérémonie politique et surprenante

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Les Golden Globes 2021 ont connu une édition particulière, menée par l’hégémonie des plateformes de streaming, dont Netflix.

Drôle de cérémonie que ces Golden Globes 2021, qui ont saisi le pouls d’une industrie au ralenti. Une nouvelle fois présentée par Amy Poehler et Tina Fey, l’antichambre des Oscars a opté pour une édition en ligne, où les nommés sont apparus de chez eux. Comme on pouvait s’y attendre, les plateformes de streaming sont reparties grandes gagnantes de la cérémonie.

Si Apple TV+ a empoché son premier Golden Globes grâce à Jason Sudeikis pour Ted Lasso, c'est évidemment le mastodonte Netflix, nommé 34 fois sur l’ensemble des catégories, qui a mené les débats en remportant dix statuettes. Il faut dire que la très estimée série The Crown a permis à la firme de gagner le Golden Globe de la meilleure série dramatique, celui du meilleur acteur dans une série dramatique (Josh O'Connor, qui a incarné le Prince Charles), celui de la meilleure actrice (Emma Corrin, interprète de la Princesse Diana) et celui du meilleur second rôle féminin (Gillian Anderson, dans le rôle de Margaret Thatcher). Et ce n'est pas nous que ça va déranger vu notre critique de la saison 4.

Par ailleurs, le phénomène Le Jeu de la dame a logiquement remporté la statuette de la meilleure mini-série (notre critique ici), tandis que la géniale Anya Taylor-Joy a décroché le prix de la meilleure actrice dans une mini-série.

Côté film, si Mank de David Fincher est reparti bredouille (et du coup on est un peu triste, même si Fincher s'est payé des shots pour compenser), le grand N a tout de même reçu le Golden Globe du meilleur scénario pour Les Sept de Chicago d’Aaron Sorkin (notre critique ici). L’écriture du maître a toujours été d’une maitrise exceptionnelle, mais son récit sur la répression policière a clairement résonné avec l’actualité. Et la cérémonie s’est mise au diapason en mettant en avant des œuvres ouvertement politiques.

Par exemple, John Boyega été récompensé pour sa performance dans la série anthologique Small Axe de Steve McQueen (notre avis ici), dans lequel il a incarné un policier noir devant faire face au racisme systémique dans le milieu des forces de l’ordre. Mais surtout, Amazon Studios s'est démarqué grâce à Borat : Nouvelle Mission Filmée (notre critique).

La satire de Sacha Baron Cohen, portée par un discours anti-Trump, a non seulement remporté le Golden Globe de la meilleure comédie, mais aussi celui du meilleur acteur dans une comédie pour son interprète principal. La surprise a plutôt été l’absence de récompense pour sa partenaire de jeu Maria Bakalova, qui s’est révélée comme le cœur de cette suite, sans parler des risques qu’elle a choisi de prendre devant la caméra (notamment dans sa fameuse scène avec Rudy Giuliani). L’actrice a été devancée par Rosamund Pike, qui a été sacrée pour sa performance dans I Care a Lot (notre critique).

Par ailleurs, les Golden Globes ont largement choisi de récompenser la diversité de l'industrie (alors que l'organisation est en pleine polémique). Ils ont logiquement rendu hommage à Chadwick Boseman. L’acteur, célébré par Black Panther, est décédé en 2020 des suites d’un cancer longtemps combattu dans l'ombre et le secret. À titre posthume, le comédien a ainsi reçu la récompense du meilleur acteur dans un film dramatique pour l’un de ses derniers rôles : celui de Levee dans Le Blues de Ma Rainey (notre critique)

Si les Golden Globes ont souvent été jugés pour l’absence de représentation des acteurs et actrices noirs (et aussi de la composition de leurs propres membres), l’édition 2020 a enfin rectifié le tir. Daniel Kaluuya (Get Out) a été sacré dans la catégorie second rôle masculin, pour l’attendu Judas and the Black Messiah.

Plus surprenant encore, Andra Day a remporté la statuette de la meilleure actrice dans un film dramatique pour son incarnation de Billie Holiday dans Billie Holiday, une affaire d'État. C'est seulement la deuxième Afro-Américaine a remporté ce prix après Whoopi Goldberg en 1986 pour La Couleur Pourpre. Et son sacre a également été l’une des grandes surprises de la cérémonie puisque c étant donné qu'elle était loin d'être la favorite derrière Vanessa Kirby pour Pieces of a Woman, Carey Mulligan pour Promising Young Woman ou encore Frances McDormand pour Nomadland. De quoi relancer la course aux Oscars dans certaines catégories.

Par ailleurs, les Golden Globes ont choisi de se tourner vers l’avenir justement en récompensant le nouveau long-métrage de la jeune Chloé Zhao du prix du meilleur film dramatique et de la meilleure réalisation. Elle est devenue ainsi la deuxième réalisatrice (et oui seulement) à recevoir le Golden Globes de la meilleure réalisation, 37 ans après Barbra Streisand pour Yentl.

Une sacrée prouesse pour une auteure en plein essor, qui devrait sans peine s’imposer parmi les prochains grands noms du cinéma américain. Elle a d’ailleurs été entretemps approchée par Marvel pour réaliser l’un des films les plus importants de la Phase 4 : Eternals.

Le palmarès complet :

Meilleur film dramatique : Nomadland
Meilleure comédie ou film musical : Borat 2
Meilleure réalisation : Chloé Zhao – Nomadland
Meilleur acteur dramatique : Chadwick Boseman – Le Blues de Ma Rainey
Meilleure actrice dramatique : Andra Day – Billie Holiday, une affaire d’Etat
Meilleur acteur dans un film musical ou comédie : Sacha Baron Cohen – Borat 2
Meilleure actrice comédie : Rosamund Pike – I Care a Lot
Meilleur acteur dans un second rôle : Daniel Kaluuya - Judad and the Black Messiah
Meilleure actrice dans un second rôle : Jodie Foster - Désigné coupable
Meilleur scénario : Les Sept de Chicago
Meilleure musique : Soul
Meilleure chanson originale : Io Si – La Vie devant soi
Meilleur film en langue étrangère : Minari (USA-Corée du Sud)
Meilleur film d'animation : Soul

Meilleure série dramatique : The Crown
Meilleure série comique : Bienvenue à Shitt's Creek
Meilleure mini-série : Le Jeu de la dame
Meilleur acteur dans une série dramatique : Josh O'Connor - The Crown
Meilleure actrice dans une série dramatique : Emma Corrin - The Crown
Meilleur acteur dans une série comique : Jason Sudeikis - Ted Lasso
Meilleure actrice dans une série comique : Catherine O'Hara - Bienvenue à Shitt's Creek
Meilleur acteur dans une mini-série : John Boyega - Small Axe
Meilleure actrice dans une mini-série : Anya Taylor-Joy - Le Jeu de la dame
Meilleur acteur dans un second rôle : Mark Ruffalo - I Know this Much is True
Meilleure actrice dans un second rôle : Gillian Anderson - The Crown


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1614596293
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Ça s'amuse sur le tournage de Thor 4 :

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C'est sympa, mention spéciale à la première demi-heure assez délirante. Le film vire malheureusement à la comédie potache et n'exploite jamais véritablement son potentiel, ce qui est bien dommage car il y aurait eu moyen de faire quelque chose de beaucoup plus fou et profond.
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les oscars de la meilleure actrice (1927 à 2019)

les oscars du meilleur acteur (1929 à 2017)
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:hello:

EL a moyennement apprécié Monster Hunter (2,5 étoiles) :

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Alors que le souvenir de sa saga Resident Evil hante encore les cauchemars de bien des fans (même si la dérive grotesque des films est directement tirée des jeux), le réalisateur Paul W.S. Anderson a jeté son dévolu sur une autre licence de Capcom : Monster Hunter. Milla Jovovich ressort les armes pour taper du monstre, accompagnée par Tony Jaa et Ron Perlman. Attendu au cinéma en avril en France, après un bide côté américain et chinois, le film sort finalement directement en vidéo, le 28 avril. Mais comme il est déjà disponible à l'étranger, en VOD et Blu-ray, on a sauté dessus.

Paul W.S. ANDER-SON OF A B****


L'amour plus ou moins déviant pour Mortal Kombat, Event Horizon et Soldier semble bien loin. Désormais, Paul W.S. Anderson est considéré par beaucoup comme l'abominable homme des nerds, celui qui a commis six films Resident Evil portés par Milla Jovovich. Entre Les Trois Mousquetaires et Pompéi, il aurait massacré, souillé et trahi la franchise culte de Capcom, avec un succès (environ 1,2 milliard en tout au box-office) qui rend la chose encore plus douloureuse.

Mais a-t-il vraiment trahi Resident Evil ? Pendant que les films sombraient dans le Z, les jeux suivaient le même chemin, avec Resident Evil 5, Resident Evil 6 et autres Revelations. Des deux côtés, le bestiaire devenait de plus en plus ridicule, laid et presque aussi bête que les intrigues à base de revenants, de familles et pouvoirs spéciaux. C'est aussi pour ça que Paul W.S. Anderson n'était pas le pire choix pour Monster Hunter, autre grande saga Capcom qui se résume pour le coup à un modeste, mais généreux programme de bastons et monstres.

Depuis 2004, avec cinq jeux officiels (et un sixième en 2021) plus une tripotée de dérivés, Monster Hunter raconte les parties de chasse de guerriers et guerrières, dans un monde étranger peuplé de créatures titanesques. Découpé en missions, réduit au b.a.-ba du genre (explorer, récolter, tuer, et acheter armes et armures), c'est devenu un modèle d'action-RPG. C'est donc une formule idéale pour un film d'action, et pour un Paul W.S. Anderson qui ne cherche visiblement qu'à filmer Milla Jovovich dans un décor semi-CGI pour taper au ralenti contre des bestioles. D'où l'espoir d'un spectacle digne de ce nom... et une mission à moitié remplie.

SEUL TWO AU MONDE

Passé l'intro classique, la première heure de Monster Hunter est la meilleure parce qu'elle assume la simplicité du programme : deux personnages (Milla Jovovich et Tony Jaa), un seul lieu, quasi pas de dialogues, et beaucoup de problèmes. La barrière de la langue qui sépare les héros rappelle que l'action prime sur la parole. Cet oasis rocailleux des enfers est comme une île au milieu d'un océan, avec un Diablos en guise de requin des sables. Les Nerscyllas, eux, ont le rôle des gardiens de nuit, qui viennent inlassablement hanter les héros. Il n'y a pas d'issue, et le compte à rebours vers une mort atroce ne s'arrêtera pas.

Paul W.S. Anderson n'a aucune pitié pour les seconds rôles, rapidement sacrifiés et mâchouillés comme tout bon figurant de luxe (et comme dans ses Resident Evil). Encore une fois, Milla Jovovich s'en prend beaucoup dans la tronche, pour arborer les plus belles égratignures derrière son mascara. C'est ce plaisir simple et bête qui donne une sympathique énergie à la première partie, sous très forte inspiration Pitch Black.

Difficile de ne pas penser au petit film culte réalisé par David Twohy, où Vin Diesel affronte des monstres qui fuient la lumière, sur une planète désertique. La scène où Milla Jovovich s'extirpe d'un sous-sol cauchemardesque par une cheminée en terre est plus qu'un hommage. Tel un Tarantino bloqué en pleine puberté, le réalisateur s'amuse comme un gosse avec les idées piochées ailleurs. Il reprend des images ou idées de Mad Max : Fury Road, King Kong, et bien sûr Alien. Les spectres de Dune et La Tour sombre de Stephen King planent aussi, comme dans les jeux. Et Anderson ressort pour la énième fois des figurines de militaires (comme dans Resident Evil), qui trouvent le temps de citer Marvel.

Les fans du jeu, eux, auront tout le loisir de se réjouir ou s'exaspérer. Diablos, Nerscylla, Rathalos, Apceros, Gore Magala, sans oublier les navires et les armes : les bases de Monster Hunter sont bel et bien là. Il y a même l'animation cuistot des Palicos et le teasing de quelques éléments de la mythologie.

À SUIVRE (OU PAS)

Hélas, le bon goût trépasse. Paul W.S. Anderson traîne les mêmes problèmes de film en film : découpage approximatif des scènes d'action, chorégraphies hachées au montage, abus de ralentis, et autres joyeusetés de grosses séries B (mention spéciale aux bruitages des bastons, dignes de Steven Seagal). Monster Hunter souffre d'une autre limite vue sur Resident Evil avec un budget similaire (environ 60 millions de dollars) : les effets visuels, régulièrement laids.

Ces problèmes étaient plus ou moins camouflés dans la formule resserrée de la première partie, mais ils explosent dans la deuxième. L'arrivée de nouveaux personnages implique plus de dialogues, la découverte de nouveaux lieux amène des plans larges dégoulinants, et très vite, Monster Hunter revient sur les rails d'une grosse et laide série B friquée. La perruque de Ron Perlman, les sourires de Milla Jovovich au Palico et l'arrivée d'un nouveau groupe de figurants aussi inutile que le premier n'aident pas.

Mais le pire est à venir avec la fin du film. Ce climax en deux temps est un bel exemple de ratage, la faute à un terrible manque de souffle épique, avec un grand paradoxe : l'action s'étale dans le temps et l'espace, et pourtant elle reste désespérément plate, simple et expédiée. À tel point qu'il semble manquer plusieurs minutes pour donner un peu de consistance à ces péripéties. Le fait que tout ceci amène à un ridicule cliffhanger (et donc, à tout sauf une fin digne de ce nom), puis une scène post-générique presque auto-parodique, est la goutte d'eau.

Paul W.S. Anderson a toujours prévu une suite, mais l'a conçue de la pire des manières : comme une obligation, et pas une option. Il suffit de comparer avec le travelling arrière final du premier Resident Evil, qui dévoile Raccoon City dévastée. D'un côté, il y a une touche finale excitante, qui laisse imaginer sans frustrer. De l'autre, il y a Monster Hunter, qui ressemble à un pilote de série, ou plutôt une mauvaise blague - similaire à Artemis Fowl, autre exemple récent de non-fin.

Sans cette dernière partie, Monster Hunter aurait pu rentrer dans une petite, mais irrésistible case : celle du plaisir simple et régressif, concocté sans génie, mais avec un certain savoir-faire, entre mauvaise série B et excellente série Z. À la place, le film tombe dans la série B un peu trop gourmande pour son propre bien, et flirte avec le (très) mauvais blockbuster.

Spectacle régressif s'il en est, Monster Hunter fonctionne surtout dans sa première partie, plus simple et efficace. La suite est tellement plus convenue et la fin, tellement ratée, que l'arrière-goût est plus amer qu'autre chose.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1614685151
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Raya et le Dernier Dragon : les premiers avis sur la nouvelle héroïne de Disney sont enfin tombés

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Les premiers avis de la presse américaine sont finalement tombés pour Raya et le Dernier Dragon, le nouveau film de Disney censé débarquer en décembre 2020.

Après le succès de Soul (qui a récemment remporté le Golden Globe du meilleur film d'animation), Disney agrandira bientôt son catalogue animé original avec Raya et le Dernier Dragon, réalisé par Don Hall (Les Nouveaux Héros) et Carlos López Estrada (Blindspotting). Inspirée de la mythologie asiatique, cette nouvelle aventure fantastique se passera donc de l'étendard de Pixar pour présenter la nouvelle héroïne de la firme au public.

Le film se déroule au royaume imaginaire de Kumandra, où une force maléfique ancestrale réapparaît cinq siècles après avoir provoqué la disparition des dragons, qui vivaient autrefois en paix avec les hommes. Raya, une jeune guerrière solitaire, se met alors en quête du légendaire dernier dragon pour restaurer l'harmonie sur la terre de Kumandra où les peuples sont désormais divisés. Si le pitch paraît un peu grossier, les deux bandes-annonces étaient néanmoins la promesse d'une histoire épique ne lésinant pas sur l'action et les visuels léchés. On avait donc assez hâte.

Alors qu'aux États-Unis le film sortira le 5 mars prochain sur Disney+, mais aussi en salles (de la même façon que le catalogue cinéma de la Warner pour 2021), une partie de la presse américaine a déjà donné son avis sur le film, qui, loin d'être qualifié de chef-d'oeuvre, a visiblement bien emballé la critique.

"Le film n'est rien d'autre qu'une expérience joviale qui défend un optimiste plein d'espoirs sur la capacité des Hommes à se faire confiance malgré les nombreuses preuves du contraire." Observer

"Toutes les excuses sont bonnes pour s'éloigner du monde réel et s'évader dans un pays imaginaire, surtout dans un film qui parle de confiance et de lien affectif entre la famille et les amis, tout en parvenant à nous faire rire entre les deux." The Globe and Mail

"En elle-même, Raya est un mélange séduisant des nombreux héros d'action intelligents, sans prétention et terre-à-terre qui l'ont précédée. Le genre de personnages autour desquels on gravite autant pour leur familiarité que pour leur caractère innovant." Los Angeles Times

"Le film lutte contre ses incohérences de ton, mais présente des scènes d'action fantastiques qui vont de pair avec un récit sous-jacent touchant sur le pouvoir de la confiance." USA Today

"C'est un film familial ambitieux qui conviendra à tous les âges, et qui ne prend jamais son public de haut en lui présentant une histoire divertissante et stimulante. Il contient également certaines des images les plus frappantes que Disney ait jamais produites, plongeant ses personnages dans un monde qui semble à la fois classique et nouveau." RogerEbert.com

"Disney livre une vibrante épopée d'action fantastique avec une autre héroïne qui se considère légitimement révolutionnaire." Empire

"Les nombreuses similitudes entre Raya, Mulan et Vaiana suggèrent que Disney a mis au point une nouvelle formule pour leurs contes de fées, une formule qui met l'accent [...] sur les princesses guerrières. Dans ce cas, au moins, la formule fonctionne." Screen Crush

"C'est certainement un bon film familial pour les spectateurs jeunes et moins jeunes, mais ceux qui ont apprécié les offres de Disney en matière d'animation ces dernières années y trouveront leur compte. Avec une animation riche et détaillée, de l'action stimulante et une histoire fascinante sur le thème de la confiance, Raya et le Dernier Dragon a tout d'un classique moderne de Disney." Screenrant

"C'est un film qui a beaucoup à penser et beaucoup d'intrigues et de personnages à faire tourner, mais le résultat est à la fois impressionnant et captivant." The Wrap

"Alors que la marque des princesses Disney a continué d'évoluer, de l'introduction de nouvelles venues comme Vaiana, à la popularité continue de classiques comme La Princesse et la Grenouille et Mulan, Raya et le Dernier Dragon est un exemple parfait de la façon dont le trope peut encore se développer, tout en prouvant que certains des ingrédients originaux peuvent encore tenir la route." IndieWire

"Une grande partie de l'histoire est maladroite, précipitée ou peu élégante, mais le message d'unité et de confiance du film résonne toujours parce que les cinéastes ont trouvé une fin satisfaisante, même si elle lie les choses un peu trop facilement avec toute la construction d'un monde au service d'un événement unique." Variety

"Un film ne devrait pas avoir à supporter le poids de représenter toute une région géographique, et je ne m'attends pas à ce que Raya et le Dernier Dragon le fasse, même s'il semble le vouloir désespérément. Mais quand on le prend simplement comme un film d'action épique, Raya et le Dernier Dragon est un vrai régal." Film

En France, la stratégie de distribution sera néanmoins bien différente et il faudra attendre encore quelques semaines. Alors que le film devait sortir en salles le 3 mars, il a finalement été repoussé au 14 avril prochain, en espérant que cette fois sera la bonne. En attendant, la bande-annonce est toujours disponible de ce côté, tandis que notre critique du dernier Soul est à retrouver par là.


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Tom & Jerry démarre fort au box-office malgré la Covid-19

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Tom & Jerry a réalisé le deuxième meilleur démarrage au box-office américain depuis le début de la pandémie, devant Les Croods 2 et après Wonder Woman 1984.

Au milieu des blockbusters qui sont au cœur de sa stratégie HBO Max, avec la sortie simultanée dans les salles et sur la plateforme de Godzilla vs. Kong, The Suicide Squad, Dune ou encore Matrix 4 aux États-Unis, Warner Bros. a également décidé de remettre au goût du jour ses célèbres personnages de cartoon. Après Space Jam en 1996, Bugs Bunny et les Looney Tunes vont donc revenir en 2021 avec Space Jam : Nouvelle ère, pour faire cette fois des passes à LeBron James, après Michael Jordan dans le premier volet.

Mais avant, c'est le duo Tom & Jerry qui a eu le droit à son retour sur grand écran, dans un nouveau film mélangeant animation et prises de vues réelles, façon Qui veut la peau de Roger Rabbit ?, avec le réalisateur Tim Story derrière la caméra (Les 4 Fantastiques, Mise à l’épreuve, Shaft). Le long-métrage a révélé récemment une première bande-annonce pas très alléchante, dans laquelle on pouvait voir Chloë Grace Moretz pas très à l’aise dans un rôle de wedding planneuse.

Si on n’attend pas particulièrement le film de Tim Story dans nos salles, d'autant qu'il n’a plus de date de sortie pour le moment en France, Tom & Jerry est en revanche bien sorti aux États-Unis. Et pas pour rien, puisqu'il a réalisé le deuxième meilleur démarrage au box-office domestique en pleine pandémie de Covid-19, depuis la réouverture des salles américaines en août 2020. En effet, selon Deadline, le retour du cartoon se place sur la deuxième place du podium avec un score de 13,7 millions de dollars pour une exploitation dans 2475 salles sur le territoire américain.

La première place du classement est toujours détenue par le blockbuster DC sorti au cinéma et sur HBO Max en décembre aux États-Unis (et pas encore chez nous en France), à savoir Wonder Woman 1984. Malgré son box-office mitigé et rattrapé par son score sur la plateforme, il reste le meilleur démarrage avec 16,4 millions de dollars durant son premier week-end.

Au box-office mondial, Tom & Jerry est pour le moment à 38,8 millions de dollars, ce qui est encore loin de son budget à 79 millions. À titre de comparaison, si le chat et la souris démarrent moins fort que Wonder Woman 1984, c’est au-dessus du score des Croods 2 : Une Nouvelle Ère lors de son week-end d’ouverture à Thanksgiving, le film d’animation de Dreamworks ayant atteint les 9,7 millions de dollars à son démarrage.

Tom & Jerry se place donc entre ces deux extrémités avec son démarrage qui, malgré des critiques assez mitigées, prouve que les gens ont envie de retourner dans les salles aux États-Unis. C’est également ce qu’a affirmé Jeff Goldstein, directeur de la distribution de Warner aux États-Unis, par rapport au score du long-métrage durant ce week-end : « Cela prouve que les gens sont prêts à retourner au cinéma quand ils veulent voir quelque chose ».

Difficile de savoir si les gens ont réellement envie de retourner en salles pour voir Tom & Jerry et la qualité de son mélange entre animation et live-action qui laisse à désirer. Mais en attendant, ce constat redonne espoir à propos de la fréquentation, en espérant qu’il en sera de même en France, lors de la réouverture prochaine des salles de cinéma. En tout cas, cela peut potentiellement rassurer sur la stratégie HBO Max.

Pour rappel, Tom & Jerry n’a pas encore de nouvelle date de sortie pour le moment chez nous. En attendant, dans le catalogue HBO Max, on attend également une plateforme de diffusion pour le Snyder Cut de Justice League en France. Et on en a encore pour un moment.


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Voir Johnny Lawrence se servir d'Internet pour la première fois ça n'a pas de prix :lol:
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Wickaël a écrit :
mar. 2 mars 2021 22:05
Voir Johnny Lawrence se servir d'Internet pour la première fois ça n'a pas de prix :lol:
:hello: Où en es-tu dans la saison 2 ?
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