Le Cercle des profileurs disparus
EL a beaucoup aimé Titane (4 étoiles) :
Quatre ans après avoir marqué les esprits avec son Grave, Julia Ducournau est bien décidée à remuer le genre français (et le cinéma tout court) avec son second long-métrage Titane. Sélectionné en compétition pour la Palme d'or à Cannes 2021 et visible dans tous les cinémas de France dès ce 14 juillet, le film tient-il toutes ses promesses ? La réalisatrice française confirme-t-elle son talent ? Critique.
TITANESQUE
C'est peu de dire que les attentes étaient élevées autour du Titane de Julia Ducournau. D'autant plus que le film se faisait bien mystérieux entre sa bande-annonce énigmatique et son pitch encore plus nébuleux : Titane : Métal hautement résistant à la chaleur et à la corrosion, donnant des alliages très durs, souvent utilisé sous forme de prothèses en raison de sa biocompatibilité. Tout juste entendait-on de lointains échos dépeignant "un slasher très trash" lorgnant sur les plates-bandes du Crash de David Cronenberg.
Et en effet, très vite, Titane roule dans cette direction et s'élance dans un pur slasher (à la limite du revenge movie) lorsque son héroïne tue froidement un de ses fans incapable de prendre un "non" pour un non. Suivant alors son anti-héroïne Alexia (une Agathe Rousselle absolument démente) dans ses plus cruels et "basic" instincts (un clin d'oeil au film de Paul Verhoeven est évident), le long-métrage s'engouffre dans un territoire ultra-violent. Les mises à mort s'y enchaînent de manière jubilatoire (cette maison bien trop habitée), novatrice (sacré tabouret) et particulièrement soignée visuellement.
Un terrain de jeu enflammé avec lequel Julia Ducournau semble partie pour suivre un chemin tout tracé, et ce malgré une scène de sexe à la mécanique bien rodée et agitant le spectre de Christine. Toutefois, la sensation d'une oeuvre mutante se dessine. Si le slasher est présent, il semble motivé par des envies différentes des prérequis du genre (malgré leur atroce brutalité, les massacres ont quelque chose d'étrangement amusant).
Et en effet, cette tonalité incongrue était un signe avant-coureur, la cinéaste déjouant les attentes après une grosse vingtaine de minutes pour mieux tout bousculer.
ALEXIA AU CRÂNE DE TITANE
Derrière le slasher gore et trash tant espéré s'offrant aux spectateurs, Julia Ducournau dissimule en fait une oeuvre bien plus passionnante et déroutante. Dès lors que d'étranges phénomènes se manifestent, le personnage d'Agathe Rousselle va se muer dans un geste radical (qu'est-ce qui ne l'est pas dans le film ?) provoquant in fine la bascule de registre du long-métrage. Le récit de serial killer s'éteint peu à peu pour se transformer en délire de body horror tout bonnement fascinant.
Une body horror frenchie qui emprunte évidemment aux oeuvres de Cronenberg tout autant qu'à David Lynch, deux cinéastes que la jeune cinéaste n'a jamais caché vénérer. Toutefois, force est de constater que la proposition cinématographique de la Française ne s'en contente pas. Bien au contraire, elle vient surtout visiter des contrées inexplorées, singulières et très personnelles, plongeant ses personnages dans un territoire aussi riche qu'innovant.
L'arrivée de Vincent Lindon dans l'équation Titane rebat encore un peu plus ses cartes, l'épate sanglante des premiers instants se métamorphosant en quasi-conte fantastique et drame familial intimiste (et parfois drôle, "hey macarena !"). Titane bascule alors dans une autre dimension où le choc visuel devient un choc viscéral qui ne prendra fin qu'au lancement du générique final.
Les corps des personnages y sont malmenés, mutilés, agressés, poussés dans leurs retranchements... mais Julia Ducournau finit par les sublimer, en tirer le meilleur. Et de fait, elle vient surtout exposer un regard vivifiant et neuf sur les corps de tous les sexes (voire plus encore). Dans un geste logique et évident, la Française étend alors les thématiques de son premier long-métrage voire les complète.
Si Grave explorait la quête de son soi tout en s'attaquant aux impératifs d'une féminité dictée par une société patriarcale, Titane vient complètement exploser la virilité masculine (ou toxique, c'est selon). Surtout, le long-métrage déconstruit complètement le male gaze. La cinéaste donne alors une vision innovante sur les corps et le regard que la caméra leur porte ; et plus encore, elle délivre un message universel sur l'idée même d'identité.
ANNIHILATION
Car finalement, pour la réalisatrice, l'idée même de genre n'a pas de sens. Par conséquent, les prérequis sociétaux de chaque sexe - la virilité masculine d'un côté, la sensualité féminine de l'autre, pour caricaturer - ne sont que des insultes à l'identité de chacun et chacune. Un homme a le droit d'être tendre et sensible (Vincent) tout autant qu'une femme peut se montrer violente, négligée ou carrément abominer la pensée d'être enceinte (vous vous souvenez du passage de la bouteille de vin dans Gone Girl ? Vous n'êtes pas prêts) comme Alexia.
Et au-delà de son questionnement sur les mutations des genres et corps humains, on peut supposer que c'est finalement la mutation même du cinéma (de genre) qu'ausculte Julia Ducournau à travers son Titane. En jonglant d'un style à un autre, d'une émotion à une autre, le long-métrage est aussi un objet en pleine mutation. Il se cherche lui-même constamment, prouvant que le genre n'a pas un seul et même visage et peut s'ouvrir les portes d'un possible sans limites pour complètement renaître (le dernier plan sans équivoque) s'il ne s'enferme dans aucune case.
Dans sa démarche meta, le film en perd ici ou là sa puissance, sa frénésie et son rythme (on accuse un petit coup de mou avant son dernier tiers). Des menu-défauts qui n'empêchent pas pour autant Titane d'être d'une beauté déconcertante (quel travail formidable du chef op Ruben Impens déjà derrière la photo de Grave) et de reposer sur une mise en scène aussi percutante que délicate.
Mieux encore, les quelques faiblesses n'empêchent pas le film de se clôturer dans un grand final d'une envoutante bizarrerie dont on ressort avec une intime conviction : celle d'avoir découvert un film à l'identité unique, la sienne.
En mutant du slasher trash au délire fougueux de la body horror et la douceur du drame familial intimiste, Titane surprend et décontenance. Une expérience viscérale singulière qui détruit le male gaze pour mieux explorer l'identité humaine, sublimer les corps et ouvrir les possibles du cinéma.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1626229265
Quatre ans après avoir marqué les esprits avec son Grave, Julia Ducournau est bien décidée à remuer le genre français (et le cinéma tout court) avec son second long-métrage Titane. Sélectionné en compétition pour la Palme d'or à Cannes 2021 et visible dans tous les cinémas de France dès ce 14 juillet, le film tient-il toutes ses promesses ? La réalisatrice française confirme-t-elle son talent ? Critique.
TITANESQUE
C'est peu de dire que les attentes étaient élevées autour du Titane de Julia Ducournau. D'autant plus que le film se faisait bien mystérieux entre sa bande-annonce énigmatique et son pitch encore plus nébuleux : Titane : Métal hautement résistant à la chaleur et à la corrosion, donnant des alliages très durs, souvent utilisé sous forme de prothèses en raison de sa biocompatibilité. Tout juste entendait-on de lointains échos dépeignant "un slasher très trash" lorgnant sur les plates-bandes du Crash de David Cronenberg.
Et en effet, très vite, Titane roule dans cette direction et s'élance dans un pur slasher (à la limite du revenge movie) lorsque son héroïne tue froidement un de ses fans incapable de prendre un "non" pour un non. Suivant alors son anti-héroïne Alexia (une Agathe Rousselle absolument démente) dans ses plus cruels et "basic" instincts (un clin d'oeil au film de Paul Verhoeven est évident), le long-métrage s'engouffre dans un territoire ultra-violent. Les mises à mort s'y enchaînent de manière jubilatoire (cette maison bien trop habitée), novatrice (sacré tabouret) et particulièrement soignée visuellement.
Un terrain de jeu enflammé avec lequel Julia Ducournau semble partie pour suivre un chemin tout tracé, et ce malgré une scène de sexe à la mécanique bien rodée et agitant le spectre de Christine. Toutefois, la sensation d'une oeuvre mutante se dessine. Si le slasher est présent, il semble motivé par des envies différentes des prérequis du genre (malgré leur atroce brutalité, les massacres ont quelque chose d'étrangement amusant).
Et en effet, cette tonalité incongrue était un signe avant-coureur, la cinéaste déjouant les attentes après une grosse vingtaine de minutes pour mieux tout bousculer.
ALEXIA AU CRÂNE DE TITANE
Derrière le slasher gore et trash tant espéré s'offrant aux spectateurs, Julia Ducournau dissimule en fait une oeuvre bien plus passionnante et déroutante. Dès lors que d'étranges phénomènes se manifestent, le personnage d'Agathe Rousselle va se muer dans un geste radical (qu'est-ce qui ne l'est pas dans le film ?) provoquant in fine la bascule de registre du long-métrage. Le récit de serial killer s'éteint peu à peu pour se transformer en délire de body horror tout bonnement fascinant.
Une body horror frenchie qui emprunte évidemment aux oeuvres de Cronenberg tout autant qu'à David Lynch, deux cinéastes que la jeune cinéaste n'a jamais caché vénérer. Toutefois, force est de constater que la proposition cinématographique de la Française ne s'en contente pas. Bien au contraire, elle vient surtout visiter des contrées inexplorées, singulières et très personnelles, plongeant ses personnages dans un territoire aussi riche qu'innovant.
L'arrivée de Vincent Lindon dans l'équation Titane rebat encore un peu plus ses cartes, l'épate sanglante des premiers instants se métamorphosant en quasi-conte fantastique et drame familial intimiste (et parfois drôle, "hey macarena !"). Titane bascule alors dans une autre dimension où le choc visuel devient un choc viscéral qui ne prendra fin qu'au lancement du générique final.
Les corps des personnages y sont malmenés, mutilés, agressés, poussés dans leurs retranchements... mais Julia Ducournau finit par les sublimer, en tirer le meilleur. Et de fait, elle vient surtout exposer un regard vivifiant et neuf sur les corps de tous les sexes (voire plus encore). Dans un geste logique et évident, la Française étend alors les thématiques de son premier long-métrage voire les complète.
Si Grave explorait la quête de son soi tout en s'attaquant aux impératifs d'une féminité dictée par une société patriarcale, Titane vient complètement exploser la virilité masculine (ou toxique, c'est selon). Surtout, le long-métrage déconstruit complètement le male gaze. La cinéaste donne alors une vision innovante sur les corps et le regard que la caméra leur porte ; et plus encore, elle délivre un message universel sur l'idée même d'identité.
ANNIHILATION
Car finalement, pour la réalisatrice, l'idée même de genre n'a pas de sens. Par conséquent, les prérequis sociétaux de chaque sexe - la virilité masculine d'un côté, la sensualité féminine de l'autre, pour caricaturer - ne sont que des insultes à l'identité de chacun et chacune. Un homme a le droit d'être tendre et sensible (Vincent) tout autant qu'une femme peut se montrer violente, négligée ou carrément abominer la pensée d'être enceinte (vous vous souvenez du passage de la bouteille de vin dans Gone Girl ? Vous n'êtes pas prêts) comme Alexia.
Et au-delà de son questionnement sur les mutations des genres et corps humains, on peut supposer que c'est finalement la mutation même du cinéma (de genre) qu'ausculte Julia Ducournau à travers son Titane. En jonglant d'un style à un autre, d'une émotion à une autre, le long-métrage est aussi un objet en pleine mutation. Il se cherche lui-même constamment, prouvant que le genre n'a pas un seul et même visage et peut s'ouvrir les portes d'un possible sans limites pour complètement renaître (le dernier plan sans équivoque) s'il ne s'enferme dans aucune case.
Dans sa démarche meta, le film en perd ici ou là sa puissance, sa frénésie et son rythme (on accuse un petit coup de mou avant son dernier tiers). Des menu-défauts qui n'empêchent pas pour autant Titane d'être d'une beauté déconcertante (quel travail formidable du chef op Ruben Impens déjà derrière la photo de Grave) et de reposer sur une mise en scène aussi percutante que délicate.
Mieux encore, les quelques faiblesses n'empêchent pas le film de se clôturer dans un grand final d'une envoutante bizarrerie dont on ressort avec une intime conviction : celle d'avoir découvert un film à l'identité unique, la sienne.
En mutant du slasher trash au délire fougueux de la body horror et la douceur du drame familial intimiste, Titane surprend et décontenance. Une expérience viscérale singulière qui détruit le male gaze pour mieux explorer l'identité humaine, sublimer les corps et ouvrir les possibles du cinéma.
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ClintReborn
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- Enregistré le : mer. 14 oct. 2020 12:56
- Localisation : Avalon
Une théorie intéressante le personnage de Sean Connery dans le film The Rock pourrait être James Bond 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
Vu le week-end dernier
Beau spectacle, les divers affrontements entre les deux monstres envoient du lourd. Le seul point noir ce sont les humains qui ne servent strictement à rien (le père de la gamine par exemple). Après j'ai pas boudé mon plaisir.
Je partais sur un 6 mais finalement je suis monté à 7/10.
Beau spectacle, les divers affrontements entre les deux monstres envoient du lourd. Le seul point noir ce sont les humains qui ne servent strictement à rien (le père de la gamine par exemple). Après j'ai pas boudé mon plaisir.
Je partais sur un 6 mais finalement je suis monté à 7/10.
J'ai vu que Chappie était dispo sur Netflix, je le verrais ce week-end si l'envie est là 
15 juillet bon anniversaire à
Patrick Wayne 82 ans (act., fils de John Wayne)
happy 75th birthday
Linda Ronstadt (chant., avec James Ingram - Somewhere Out There de Fievel et le Nouveau Monde)
Anne Sinclair 73 ans (journ.)
Daniel Mesguich 69 ans (act., metteur en scène)
Terry O'Quinn 69 ans (Les Aventures de Rocketeer, The X-Files, le film, séries JAG, X-Files : Aux frontières du réel, Lost : Les Disparus, American Patriot)
Vincent Lindon 62 ans
Patrick Timsit 62 ans (humor., act.)
joyeux 60ème anniversaire & Happy 60th birthday
Jean-Christophe Grangé (écr., Les Rivières pourpres)
Lolita Davidovich (actr., L'Esprit de Caïn)
Forest Whitaker
joyeux 55ème anniversaire à
Irène Jacob
Stéphanie Lagarde 52 ans (actr.)
Scott Foley 49 ans (act., réal.)
Brian Austin Green 48 ans (act., Beverly Hills 90210)
joyeux 45ème anniversaire à
Diane Kruger
Lana Parrilla 44 ans (La Méchante Reine / Regina Mills / Roni dans la série Once Upon a Time)
joyeux 40ème anniversaire et happy 40th birthday
Alou Diarra (foot)
Taylor Kinney (act., séries Trauma, Vampire Diaries, Chicago Fire)
une pensée pour
Philip Carey (act.)
Ken Kercheval (act., série Dallas)
Larry Cohen (réal., créat. de la série Les envahisseurs)
Denis Héroux (réal., scén.)
Jan-Michael Vincent (Supercopter)
et pour les disparus un 15 juillet
Peter Van Eyck (act.)
Margaret Lockwood (actr.)
David Brian (act.)
Gianni Versace (couturier)
Tsilla Chelton (actr., Tatie Danielle)
Celeste Holm (actr., La Fosse aux serpents
)Jacques Thébault (vx fr. d'Audie Murphy, Steve McQueen + Roy Scheider, Patrick McGoohan (Le Prisonnier), Robert Conrad (Les Mystères de l'Ouest, Les Têtes Brûlées) + Christopher Lee, Paul Newman ou Clint Eastwood + Lucky Luke de 84 à 91 annimation)
Martin Landau
Vosg'patt de cœur
Cannes 2021 : on a vu Aline, le faux-biopic de Céline Dion qui va faire un carton
Comme (presque) chaque année, Cannes bat son plein, et fait déferler sur la Croisette des centaines de films plus ou moins attendus. Après une ouverture sensationnelle avec Annette, le festival dévoile un peu plus ses films chaque jour. L'heure pour nous de vous livrer notre avis à chaud sur Aline, nouveau film drôle et émouvant de Valérie Lemercier, pastichant et honorant la carrière de Céline Dion.
De quoi ça parle ? Aline Dieu est la dernière d'une fratrie de quatorze enfants. À ses 12 ans, sa famille lui découvre un don : la chanson. Lorsqu'un producteur écoute sa voix, il est subjugué. La vie de cette jeune fille de campagnard québécois va se voir bouleversée.
C’était comment ? Lancé sur un coup de tête en mai 2017 en pleine promotion de Marie-Francine, Aline avait tout pour être une grosse blague, une fausse bonne idée. Mais c'était sans compter sur le savoir-faire de Valérie Lemercier. L'actrice et humoriste est déjà bien rodée à l'exercice de la réalisation et avec ce sixième métrage, elle parvient à offrir plusieurs films (biopic, hommage, comédie, romance) en un seul sans jamais perdre le fil.
Alors évidemment, Aline est en premier lieu un biopic de Céline Dion ou tout du moins un biopic de son alter ego fictionnel Aline Dieu. Un concept assez amusant avec lequel Lemercier va jouer tout au long de son récit (notamment dans cette séquence où le producteur de musique l'appelle Céline, avant d'être corrigé) pour bien surfer avec la fine limite entre ce qui découle de la fiction et ce qui relève pleinement de l'hommage.
Le moyen de jongler avec un premier degré très réaliste (de l'Eurovision aux Oscars de Titanic, toute la carrière de Céline Dion y passe) et un second degré bienveillant, pour mieux allier la force de la success-story et la drôlerie du concept imaginé par Lemercier.
Même s'il est un peu trop long (2h08 au compteur), le long-métrage est donc une belle balade amusante, foisonnant de milliers de détails (que les fans les plus hardcores se feront une joie de repérer) où le spectateur vogue du biopic basique à la comédie hommage. Mais ce n'est peut-être pas la plus grande réussite de Aline qui s'impose surtout grâce à la sincérité de Valérie Lemercier et sa véritable démarche : raconter la femme derrière l'artiste. Aline a beau être un faux biopic de la chanteuse Dion, il relate surtout la grande histoire d'amour de Céline.
C'est dans l'écriture de cette relation amoureuse naissante, fusionnelle et finalement éternelle entre René Guy Claude (Sylvain Marcel) et Aline que le long-métrage parvient à réellement émouvoir. Le récit est d'ailleurs construit sur son évolution, les hauts et les bas de Aline découlant en général de ses tourments amoureux (et familiaux) et s'appuie sur le répertoire musical de Céline Dion pour démontrer l'indissociable lien entre la carrière vertigineuse de la chanteuse et son amour fou (et réciproque) pour son mari et producteur.
Et ça sort quand ? Alors qu'il n'a pas pu sortir fin 2020 à cause du Covid, le film débarquera enfin le 10 novembre 2021 au cinéma et s'annonce d'ores et déjà comme un succès tonitruant au box-office.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626348010
Comme (presque) chaque année, Cannes bat son plein, et fait déferler sur la Croisette des centaines de films plus ou moins attendus. Après une ouverture sensationnelle avec Annette, le festival dévoile un peu plus ses films chaque jour. L'heure pour nous de vous livrer notre avis à chaud sur Aline, nouveau film drôle et émouvant de Valérie Lemercier, pastichant et honorant la carrière de Céline Dion.
De quoi ça parle ? Aline Dieu est la dernière d'une fratrie de quatorze enfants. À ses 12 ans, sa famille lui découvre un don : la chanson. Lorsqu'un producteur écoute sa voix, il est subjugué. La vie de cette jeune fille de campagnard québécois va se voir bouleversée.
C’était comment ? Lancé sur un coup de tête en mai 2017 en pleine promotion de Marie-Francine, Aline avait tout pour être une grosse blague, une fausse bonne idée. Mais c'était sans compter sur le savoir-faire de Valérie Lemercier. L'actrice et humoriste est déjà bien rodée à l'exercice de la réalisation et avec ce sixième métrage, elle parvient à offrir plusieurs films (biopic, hommage, comédie, romance) en un seul sans jamais perdre le fil.
Alors évidemment, Aline est en premier lieu un biopic de Céline Dion ou tout du moins un biopic de son alter ego fictionnel Aline Dieu. Un concept assez amusant avec lequel Lemercier va jouer tout au long de son récit (notamment dans cette séquence où le producteur de musique l'appelle Céline, avant d'être corrigé) pour bien surfer avec la fine limite entre ce qui découle de la fiction et ce qui relève pleinement de l'hommage.
Le moyen de jongler avec un premier degré très réaliste (de l'Eurovision aux Oscars de Titanic, toute la carrière de Céline Dion y passe) et un second degré bienveillant, pour mieux allier la force de la success-story et la drôlerie du concept imaginé par Lemercier.
Même s'il est un peu trop long (2h08 au compteur), le long-métrage est donc une belle balade amusante, foisonnant de milliers de détails (que les fans les plus hardcores se feront une joie de repérer) où le spectateur vogue du biopic basique à la comédie hommage. Mais ce n'est peut-être pas la plus grande réussite de Aline qui s'impose surtout grâce à la sincérité de Valérie Lemercier et sa véritable démarche : raconter la femme derrière l'artiste. Aline a beau être un faux biopic de la chanteuse Dion, il relate surtout la grande histoire d'amour de Céline.
C'est dans l'écriture de cette relation amoureuse naissante, fusionnelle et finalement éternelle entre René Guy Claude (Sylvain Marcel) et Aline que le long-métrage parvient à réellement émouvoir. Le récit est d'ailleurs construit sur son évolution, les hauts et les bas de Aline découlant en général de ses tourments amoureux (et familiaux) et s'appuie sur le répertoire musical de Céline Dion pour démontrer l'indissociable lien entre la carrière vertigineuse de la chanteuse et son amour fou (et réciproque) pour son mari et producteur.
Et ça sort quand ? Alors qu'il n'a pas pu sortir fin 2020 à cause du Covid, le film débarquera enfin le 10 novembre 2021 au cinéma et s'annonce d'ores et déjà comme un succès tonitruant au box-office.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626348010
Space Jam 2 : les critiques américaines descendent sans pitié LeBron James et les Looney Tunes
Space Jam : Nouvelle ère sort très bientôt en France. Toutefois, les caméricains ont pu voir le résultat et n'annoncent pas une grande réussite.
On ne présente plus le coup de maître marketing qu’a réalisé la Warner Bros. en associant Michael Jordan et les Looney Tunes dans Space Jam. Ce succès au box-office mondial évalué à 230 millions de dollars pour un budget (hors promotion) de 80 millions de dollars a effectivement été un grand coup de projecteur du retour de la méga-star Michael Jordan sur les terrains de basketball, après deux ans de retraite et une petite carrière dans le baseball.
Cette publicité grandeur nature avait engendré d’autres projets aussi farfelus les uns que les autres, notamment la rencontre du golfeur Tiger Woods avec les Looney Tunes. Si ces différentes idées n’ont (heureusement) jamais donné suite, Warner n’a pas désespéré et a remis au goût du jour son concept en appelant LeBron James, le plus grand basketteur du moment, afin de remplacer Michael Jordan. Et cette fois-ci, Space Jam nouvelle ère promet une “vraie” histoire puisque l’ailier des Los Angeles Lakers va devoir sauver son fils du monde numérique de Jam en remportant un match de basket aux côtés des Bugs Bunny, Daffy Duck et autres personnages animés.
Alors que Space Jam : Nouvelle Ère est programmé en France à partir du 21 juillet prochain, les spectateurs américains vont pouvoir admirer le résultat à partir du 16 juillet au cinéma ou sur la plateforme HBO Max. Les critiques d’outre-Atlantique ont quant à eux déjà pu voir le mélange d’animation 2D, numérique et de live action.
A l'heure où les premiers avis publiés outre-Atlantique deviennent parfois des éléments promotionnels à part entière, presque systématiquement enthousiastes et laudateurs, le long-métrage réalisé par Malcolm D. Lee (Scary Movie 5, Girls Trip) n'a pas bénéficié de ces largesses, puisqu'il se fait descendre sans vergogne. Même si une petite partie de la presse défend le film, la moyenne affichée sur Metacritic de 40/100 est assez décevante, et annonce clairement un tir de barrage critique. Revue de presse.
“Ce nouveau Space Jam est un bon divertissement. Le travail du l'acteur principal LeBron James et la partie narrative basée sur la relation père-fils font des 115 minutes du film, un meilleur résultat que l’original, un peu rigide. Et bien que LeBron ne soit pas en finale pour le moment, il a ici remporté une victoire.” The Playlist
“Space Jam Nouvelle ère entre dans le 21ème siècle avec LeBron James, avec des effets-spéciaux impressionnants, des enjeux plus intimes et un formidable méchant incarné par Don Cheadle. Malheureusement, le long-métrage est trop préoccupé par la présentation des grosses franchises de la Warner Bros au détriment de Bugs Bunny et de ses amis, mis à l’écart de leur propre film.” IGN
“Space Jam Nouvelle-ère est chaotique, une absurdité aux couleurs de l’arc-en-ciel, mais à la différence de l’original, parvient à tenir le coup en tant que film.” Variety
“La nouvelle version est comparativement un bol d’air : c’est moins un film familial avec une légende du basket qu’une lettre d’amour référentielle à tous les contenus de la Warner.” USA Today
“Malgré une animation éblouissante, il s’agit d’un bazar de célébrités et de licences qui ne capturent jamais l’esprit orignal des années 90 et l’apogée (des Looney Tunes) des années 40 – c'est plus une souffrance qu’un succotash (plat américain aux haricots et aux maïs).” Empire
“L’animation mélangeant la traditionnelle 2D et la 3D est impressionnante et généreuse. Néanmoins, ce n’est jamais aussi brillant qu'espéré, l'ensemble évoquant plus le plan trop bien huilé d'une multinationale qu'un voyage imaginatif inspiré.” The Hollywood Reporter
"Les problèmes profonds du film : ses abrutissants tourbillons de lumière arc-en-ciel qui jaillissent à tout bout de champ, les atroces références à la pop-culture transformées en blagues, l'interprétation rigide' (si on peut encore employer ce terme) de Lebron avec laquelle il assène la poussiéreuse morale consistant à rester soi-même, le fait qu'il dure sans raison valable une demi-heure de plus que son prédécesseur. Tous paraissent mineurs en regard du projet insidieux qui consiste à alimenter cette économie à base de licences et de fanbase." The Guardian
Ces premiers retours mettent en évidence une politique jugée désastreuse de la part de Warner, qui consiste à faire des produits taillés pour les convaincus et les fans inconditionnels de ses licences. Un problème déjà présent dans Mortal Kombat (notre critique) qui n'était pas des plus hospitaliers pour les spectateurs non-avertis.
Enfin, Space Jam : Nouvelle ère va devoir affronter une concurrence impitoyable, les écrans américains accueillant déjà de gros poids lourds du box-office, partis pour être les leaders incontestés de l’été, notamment Black Widow et Fast & Furious 9. Une situation complexe, qui font de la sortie du blockbuster un défi de taille. En attendant de le découvrir sur grand écran dans l'Hexagone, vous pouvez retrouver notre dossier consacré au premier Space Jam.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626347967
Space Jam : Nouvelle ère sort très bientôt en France. Toutefois, les caméricains ont pu voir le résultat et n'annoncent pas une grande réussite.
On ne présente plus le coup de maître marketing qu’a réalisé la Warner Bros. en associant Michael Jordan et les Looney Tunes dans Space Jam. Ce succès au box-office mondial évalué à 230 millions de dollars pour un budget (hors promotion) de 80 millions de dollars a effectivement été un grand coup de projecteur du retour de la méga-star Michael Jordan sur les terrains de basketball, après deux ans de retraite et une petite carrière dans le baseball.
Cette publicité grandeur nature avait engendré d’autres projets aussi farfelus les uns que les autres, notamment la rencontre du golfeur Tiger Woods avec les Looney Tunes. Si ces différentes idées n’ont (heureusement) jamais donné suite, Warner n’a pas désespéré et a remis au goût du jour son concept en appelant LeBron James, le plus grand basketteur du moment, afin de remplacer Michael Jordan. Et cette fois-ci, Space Jam nouvelle ère promet une “vraie” histoire puisque l’ailier des Los Angeles Lakers va devoir sauver son fils du monde numérique de Jam en remportant un match de basket aux côtés des Bugs Bunny, Daffy Duck et autres personnages animés.
Alors que Space Jam : Nouvelle Ère est programmé en France à partir du 21 juillet prochain, les spectateurs américains vont pouvoir admirer le résultat à partir du 16 juillet au cinéma ou sur la plateforme HBO Max. Les critiques d’outre-Atlantique ont quant à eux déjà pu voir le mélange d’animation 2D, numérique et de live action.
A l'heure où les premiers avis publiés outre-Atlantique deviennent parfois des éléments promotionnels à part entière, presque systématiquement enthousiastes et laudateurs, le long-métrage réalisé par Malcolm D. Lee (Scary Movie 5, Girls Trip) n'a pas bénéficié de ces largesses, puisqu'il se fait descendre sans vergogne. Même si une petite partie de la presse défend le film, la moyenne affichée sur Metacritic de 40/100 est assez décevante, et annonce clairement un tir de barrage critique. Revue de presse.
“Ce nouveau Space Jam est un bon divertissement. Le travail du l'acteur principal LeBron James et la partie narrative basée sur la relation père-fils font des 115 minutes du film, un meilleur résultat que l’original, un peu rigide. Et bien que LeBron ne soit pas en finale pour le moment, il a ici remporté une victoire.” The Playlist
“Space Jam Nouvelle ère entre dans le 21ème siècle avec LeBron James, avec des effets-spéciaux impressionnants, des enjeux plus intimes et un formidable méchant incarné par Don Cheadle. Malheureusement, le long-métrage est trop préoccupé par la présentation des grosses franchises de la Warner Bros au détriment de Bugs Bunny et de ses amis, mis à l’écart de leur propre film.” IGN
“Space Jam Nouvelle-ère est chaotique, une absurdité aux couleurs de l’arc-en-ciel, mais à la différence de l’original, parvient à tenir le coup en tant que film.” Variety
“La nouvelle version est comparativement un bol d’air : c’est moins un film familial avec une légende du basket qu’une lettre d’amour référentielle à tous les contenus de la Warner.” USA Today
“Malgré une animation éblouissante, il s’agit d’un bazar de célébrités et de licences qui ne capturent jamais l’esprit orignal des années 90 et l’apogée (des Looney Tunes) des années 40 – c'est plus une souffrance qu’un succotash (plat américain aux haricots et aux maïs).” Empire
“L’animation mélangeant la traditionnelle 2D et la 3D est impressionnante et généreuse. Néanmoins, ce n’est jamais aussi brillant qu'espéré, l'ensemble évoquant plus le plan trop bien huilé d'une multinationale qu'un voyage imaginatif inspiré.” The Hollywood Reporter
"Les problèmes profonds du film : ses abrutissants tourbillons de lumière arc-en-ciel qui jaillissent à tout bout de champ, les atroces références à la pop-culture transformées en blagues, l'interprétation rigide' (si on peut encore employer ce terme) de Lebron avec laquelle il assène la poussiéreuse morale consistant à rester soi-même, le fait qu'il dure sans raison valable une demi-heure de plus que son prédécesseur. Tous paraissent mineurs en regard du projet insidieux qui consiste à alimenter cette économie à base de licences et de fanbase." The Guardian
Ces premiers retours mettent en évidence une politique jugée désastreuse de la part de Warner, qui consiste à faire des produits taillés pour les convaincus et les fans inconditionnels de ses licences. Un problème déjà présent dans Mortal Kombat (notre critique) qui n'était pas des plus hospitaliers pour les spectateurs non-avertis.
Enfin, Space Jam : Nouvelle ère va devoir affronter une concurrence impitoyable, les écrans américains accueillant déjà de gros poids lourds du box-office, partis pour être les leaders incontestés de l’été, notamment Black Widow et Fast & Furious 9. Une situation complexe, qui font de la sortie du blockbuster un défi de taille. En attendant de le découvrir sur grand écran dans l'Hexagone, vous pouvez retrouver notre dossier consacré au premier Space Jam.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626347967
The Suicide Squad : incroyable mais vrai, la critique applaudit un film sauvage, fou et cool
L'équipe de super-vilains rempile pour The Suicide Squad de James Gunn dont les premiers avis sont arrivés.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que The Suicide Squad signé James Gunn est très attendu des fans de DC, de super-héros et de grosse castagne. Après la douche froide qu’avait été Suicide Squad réalisé par David Ayer qui n’avait rien de drôle ni de violent, James Gunn n’a pas le droit à l’erreur. L’engouement ne cesse de monter alors que les images et autres bandes-annonces arrivent les unes après les autres (et donne toujours de plus en plus envie.)
Tandis qu’on retrouvera une des favorites de l’univers DC : la Harley Quinn de Margot Robbie (qui ne savait pas que son personnage était mort dans le Snyder Cut), The Suicide Squad apporte avec lui son lot de nouveaux anti-héros azimutés pour une mission suicide qui semble vouloir se rapprocher de l’âme des comics.
De l’autre côté de l’Océan Atlantique, des petits veinards ont déjà pu glisser un coup d’œil à The Suicide Squad et ils en ont profité pour donner leurs avis. Et le verdict semble sans appel : c’est dingue, fun et sanglant comme il se doit. Aller, petite revue de la Twittosphère :
"J'ai eu la chance de voir The Suicide Squad il y a quelques semaines et mon Dieu, c'était génial. Il explose à l'écran. Vous allez adorer les personnages. Une envergure épique. Une action impressionnante. Le classement R est plus que mérité, d'ailleurs. Un truc sauvage. Les gens vont l'adorer. Voyez-le en IMAX !"
"J'ai récemment pu voir The Suicide Squad en IMAX, ce qui a été une expérience dingue. James Gunn a profité pleinement de ce classement R, en livrant une véritable folie qui est le film le plus James Gunn que j'ai jamais vu. Selon moi, le meilleur choix de Warner Bros."
"Le film The Suicide Squad de James Gunn est glorieusement fou et tellement, tellement amusant. (Après l'avoir regardé, vous penserez que vous l'avez peut-être rêvé.) Tout le monde est excellent et profondément engagé dans le récit, son ambiance singulière et son esthétique sauvage. J'ai hâte de repartir sur ces montagnes russes."
"The Suicide Squad est fantastique ! Une cocktail génial de super-héros/comics où tous les coups sont permis. Une histoire imprévisible, un style unique et plein de risques. C'est aussi violent et hilarant. Les scènes d'action sont folles. Idris Elba, Margot Robbie et le reste du casting sont géniaux. James Gunn a remis ça."
"Le sceptique que je suis a adoré The Suicide Squad. C'est un film complètement fou et très divertissant. Si vous vous demandez si James Gunn et les acteurs du film sont vraiment prêts à aller jusqu'au bout avec le matériel et le classement R, ils le sont."
"Tous les doutes que vous pourriez avoir sur The Suicide Squad s'envoleront après l'ouverture fracassante. C'est un blockbuster violent, hilarant et imprévisible, et chacun aura son propre favori parmi le formidable casting. C'est tellement divertissant que vous aurez envie de le revoir immédiatement."
"J'ai passé un moment incroyable en regardant The Suicide Squad - c'est une adaptation de comics sans limite et j'adore ça. C'est massif, audacieux et visuellement époustouflant. Vous verrez les racines horrifiques de James Gunn éparpillées partout dans ce film. C'est violent, mais hilarant. C'est furieux, mais aussi vraiment tendre."
"The Suicide Squad est un film tellement amusant, violent et divertissant qui ressemble à un mélange parfaitement équilibré de sang, de comédie et de cœur. James Gunn est un génie et tire pleinement parti de la classification R, ce n'est certainement pas un film pour les enfants. Il y a aussi deux scènes post-générique."
Même si les attentes étaient stratosphériques, The Suicide Squad ne semble décevoir personne (pour le moment). Se plongeant pleinement dans l’esprit tordu du comics, James Gunn parait faire un sans-faute. Le film débarque sur les écrans français le 28 juillet 2021. En attendant que la rédaction jette un œil au film et vous livre sa critique, vous pouvez toujours en découvrir plus sur le personnage de King Shark, doublé par Sylvester Stallone.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626341894
L'équipe de super-vilains rempile pour The Suicide Squad de James Gunn dont les premiers avis sont arrivés.
Le moins que l’on puisse dire, c’est que The Suicide Squad signé James Gunn est très attendu des fans de DC, de super-héros et de grosse castagne. Après la douche froide qu’avait été Suicide Squad réalisé par David Ayer qui n’avait rien de drôle ni de violent, James Gunn n’a pas le droit à l’erreur. L’engouement ne cesse de monter alors que les images et autres bandes-annonces arrivent les unes après les autres (et donne toujours de plus en plus envie.)
Tandis qu’on retrouvera une des favorites de l’univers DC : la Harley Quinn de Margot Robbie (qui ne savait pas que son personnage était mort dans le Snyder Cut), The Suicide Squad apporte avec lui son lot de nouveaux anti-héros azimutés pour une mission suicide qui semble vouloir se rapprocher de l’âme des comics.
De l’autre côté de l’Océan Atlantique, des petits veinards ont déjà pu glisser un coup d’œil à The Suicide Squad et ils en ont profité pour donner leurs avis. Et le verdict semble sans appel : c’est dingue, fun et sanglant comme il se doit. Aller, petite revue de la Twittosphère :
"J'ai eu la chance de voir The Suicide Squad il y a quelques semaines et mon Dieu, c'était génial. Il explose à l'écran. Vous allez adorer les personnages. Une envergure épique. Une action impressionnante. Le classement R est plus que mérité, d'ailleurs. Un truc sauvage. Les gens vont l'adorer. Voyez-le en IMAX !"
"J'ai récemment pu voir The Suicide Squad en IMAX, ce qui a été une expérience dingue. James Gunn a profité pleinement de ce classement R, en livrant une véritable folie qui est le film le plus James Gunn que j'ai jamais vu. Selon moi, le meilleur choix de Warner Bros."
"Le film The Suicide Squad de James Gunn est glorieusement fou et tellement, tellement amusant. (Après l'avoir regardé, vous penserez que vous l'avez peut-être rêvé.) Tout le monde est excellent et profondément engagé dans le récit, son ambiance singulière et son esthétique sauvage. J'ai hâte de repartir sur ces montagnes russes."
"The Suicide Squad est fantastique ! Une cocktail génial de super-héros/comics où tous les coups sont permis. Une histoire imprévisible, un style unique et plein de risques. C'est aussi violent et hilarant. Les scènes d'action sont folles. Idris Elba, Margot Robbie et le reste du casting sont géniaux. James Gunn a remis ça."
"Le sceptique que je suis a adoré The Suicide Squad. C'est un film complètement fou et très divertissant. Si vous vous demandez si James Gunn et les acteurs du film sont vraiment prêts à aller jusqu'au bout avec le matériel et le classement R, ils le sont."
"Tous les doutes que vous pourriez avoir sur The Suicide Squad s'envoleront après l'ouverture fracassante. C'est un blockbuster violent, hilarant et imprévisible, et chacun aura son propre favori parmi le formidable casting. C'est tellement divertissant que vous aurez envie de le revoir immédiatement."
"J'ai passé un moment incroyable en regardant The Suicide Squad - c'est une adaptation de comics sans limite et j'adore ça. C'est massif, audacieux et visuellement époustouflant. Vous verrez les racines horrifiques de James Gunn éparpillées partout dans ce film. C'est violent, mais hilarant. C'est furieux, mais aussi vraiment tendre."
"The Suicide Squad est un film tellement amusant, violent et divertissant qui ressemble à un mélange parfaitement équilibré de sang, de comédie et de cœur. James Gunn est un génie et tire pleinement parti de la classification R, ce n'est certainement pas un film pour les enfants. Il y a aussi deux scènes post-générique."
Même si les attentes étaient stratosphériques, The Suicide Squad ne semble décevoir personne (pour le moment). Se plongeant pleinement dans l’esprit tordu du comics, James Gunn parait faire un sans-faute. Le film débarque sur les écrans français le 28 juillet 2021. En attendant que la rédaction jette un œil au film et vous livre sa critique, vous pouvez toujours en découvrir plus sur le personnage de King Shark, doublé par Sylvester Stallone.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626341894
Star Trek : le nouveau film produit par J.J. Abrams s'offre le réalisateur de WandaVision
J.J. Abrams va produire un nouveau film Star Trek, qui a trouvé son réalisateur, Matt Shakman, du côté du petit écran et notamment de la série Marvel, WandaVision.
Après l'accueil décevant de Star Trek : Sans Limites (le troisième volet de la dernière trilogie rebootée par J.J. Abrams) et l'abandon officieux du Star Trek 4 de Noah Hawley (qui avait attiré à un moment l'attention de Quentin Tarantino), la Paramount semble bien décidée à sauver sa saga cinématographique, même si on ne sait pas encore très bien comment le studio compte s'y prendre (encore moins avec l'arrivée de Paramount+ dans l'équation).
Si Star Trek : Discovery ou Star Trek : Picard continuent de faire vivre la franchise sur petit écran, le retour de l'univers de Gene Roddenberry sur grand écran a l'air toujours prévu, avec en premier lieu un film produit par J.J. Abrams sous sa bannière Bad Robot. L'annonce a été faite en mars dernier, avec Kalinda Vazquez (Once Upon a Time, Prison Break) au scénario, bien que l'organigramme ait apparemment changé.
Sans même mentionner le nom de Vazquez, Deadline a rapporté dans un récent article que le film sera en fait écrit par Lindsey Beer (qui écrira également le prequel de Simetierre) et Geneva Robertson-Dworet (Tomb Raider, Captain Marvel), ce qui fera de lui le premier Star Trek écrit par des femmes. Il sera aussi réalisé par Matt Shakman, qui après nous avoir fait visiter Westview pour Marvel dans WandaVision, montera à bord de l'USS Enterprise pour la Paramount (quoique même ça, on ne peut pas vraiment l'affirmer).
Le média a précisé que Shakman avait choisi le film Star Trek parmi plusieurs autres projets qui lui ont été proposés. Emma Watts, la nouvelle présidente de la compagnie, se serait ainsi battue pour mettre la main sur le réalisateur et ses efforts auraient porté leurs fruits. Matt Shakman est quant à lui un habitué de la télévision avec de nombreux épisodes de séries à son actif (Philadelphia, Dr House, The Good Wife, You're the Worst, Game of Thrones). Il réalisera ainsi son deuxième long-métrage après Hell Town en 2014.
Comme le projet gelé de Noah Hawley, le film devrait abandonner la ligne temporelle Kelvin et n'entretenir aucun lien avec les précédents films et leur casting, composé de Chris Pine, Zoe Saldana, Zachary Quinto, Simon Pegg, Karl Urban ou encore John Cho. La nouvelle tombe ainsi au moment même où WandaVision obtient 23 nominations pour les prochains Emmy Awards (dont le meilleur réalisateur pour Shakman), soit une de moins que pour The Mandalorian et The Crown, qui établissent le record de nominations de cette future édition.
Toujours d'après Deadline, la production devrait débuter dès le printemps prochain, probablement en vue d'une sortie courant 2023. En attendant d'en savoir plus sur le scénario et la distribution, on a fait un classement de tous les films Star Trek de la première génération de ce côté.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626330240
J.J. Abrams va produire un nouveau film Star Trek, qui a trouvé son réalisateur, Matt Shakman, du côté du petit écran et notamment de la série Marvel, WandaVision.
Après l'accueil décevant de Star Trek : Sans Limites (le troisième volet de la dernière trilogie rebootée par J.J. Abrams) et l'abandon officieux du Star Trek 4 de Noah Hawley (qui avait attiré à un moment l'attention de Quentin Tarantino), la Paramount semble bien décidée à sauver sa saga cinématographique, même si on ne sait pas encore très bien comment le studio compte s'y prendre (encore moins avec l'arrivée de Paramount+ dans l'équation).
Si Star Trek : Discovery ou Star Trek : Picard continuent de faire vivre la franchise sur petit écran, le retour de l'univers de Gene Roddenberry sur grand écran a l'air toujours prévu, avec en premier lieu un film produit par J.J. Abrams sous sa bannière Bad Robot. L'annonce a été faite en mars dernier, avec Kalinda Vazquez (Once Upon a Time, Prison Break) au scénario, bien que l'organigramme ait apparemment changé.
Sans même mentionner le nom de Vazquez, Deadline a rapporté dans un récent article que le film sera en fait écrit par Lindsey Beer (qui écrira également le prequel de Simetierre) et Geneva Robertson-Dworet (Tomb Raider, Captain Marvel), ce qui fera de lui le premier Star Trek écrit par des femmes. Il sera aussi réalisé par Matt Shakman, qui après nous avoir fait visiter Westview pour Marvel dans WandaVision, montera à bord de l'USS Enterprise pour la Paramount (quoique même ça, on ne peut pas vraiment l'affirmer).
Le média a précisé que Shakman avait choisi le film Star Trek parmi plusieurs autres projets qui lui ont été proposés. Emma Watts, la nouvelle présidente de la compagnie, se serait ainsi battue pour mettre la main sur le réalisateur et ses efforts auraient porté leurs fruits. Matt Shakman est quant à lui un habitué de la télévision avec de nombreux épisodes de séries à son actif (Philadelphia, Dr House, The Good Wife, You're the Worst, Game of Thrones). Il réalisera ainsi son deuxième long-métrage après Hell Town en 2014.
Comme le projet gelé de Noah Hawley, le film devrait abandonner la ligne temporelle Kelvin et n'entretenir aucun lien avec les précédents films et leur casting, composé de Chris Pine, Zoe Saldana, Zachary Quinto, Simon Pegg, Karl Urban ou encore John Cho. La nouvelle tombe ainsi au moment même où WandaVision obtient 23 nominations pour les prochains Emmy Awards (dont le meilleur réalisateur pour Shakman), soit une de moins que pour The Mandalorian et The Crown, qui établissent le record de nominations de cette future édition.
Toujours d'après Deadline, la production devrait débuter dès le printemps prochain, probablement en vue d'une sortie courant 2023. En attendant d'en savoir plus sur le scénario et la distribution, on a fait un classement de tous les films Star Trek de la première génération de ce côté.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626330240
Titane : les critiques françaises du nouveau film de Julia Ducournau sont tombées
En salle dès ce 14 juillet, Titane, le nouveau film de Julia Ducournau, continue de retourner le cinéma de genre et d'emballer la critique française.
Quatre ans après le choc de Grave, la réalisatrice Julia Ducournau revient pour dynamiter le cinéma hexagonal avec Titane, son second long-métrage sélectionné en compétition pour la Palme d'or au Festival de Cannes de 2021. Une nouvelle expérience cinématographique viscérale à en juger par la précédente bande-annonce et les photos promotionnelles, qui reflètent l'univers déroutant et fascinant de la cinéaste dans un film dérangeant et énigmatique, aussi bien en ce qui concerne l'intrigue, à peine dévoilée, que l'esthétique métallique à la Crash.
Si Annette, réalisé par Leos Carax, semblait un peu plus diviser, le slasher gore et trash tant attendu avec Agathe Rousselle, Vincent Lindon et Garance Marillier emballe visiblement la critique française, qui salue notamment la transgression et la singularité de l'oeuvre.
"Proposition dingue, film mutant, explosant les frontières de la féminité et de sa violence, body-horror transhumaniste sur un amour inconditionnel car inespéré, « Titane » ose tout, frôle souvent la sortie de route mais garde le cap sans ciller. C’est le cantique de deux âmes mortes réfugiées dans une caserne de pompiers pour fuir un monde qui ressemble à un clip de Snoop Dogg signé Bernard de La Villardière." L'Obs
"Titane avec sa tôle froissée, ses corps abimés, ses métamorphoses ensanglantées, ses sécrétions empoisonnées, est sans doute ce qu’on verra de plus agité et malaisant du présent cru. On remercie donc la cinéaste pour cet appel d’air - et quand on sait à quel point l’univers qu'elle propose ici est étouffé et cloisonné, la notion d’air est toute relative." Premiere
"Avec Titane, Julia Decournau signe un film de genre et transgenre en trois tableaux, que son personnage de guerrière mutante, Alexia/Adrien (Agathe Rousselle), traverse comme l’on fuit les flammes de l’incendie, pour sauver sa peau, du moins ce qui reste d’une vie fracassée depuis l’enfance." Le Monde
"Il y a cinq ans, Julia Ducournau s’imposait, d’emblée, avec Grave, son premier long métrage, où elle malaxait tranquillement les attendus du genre horrifique. Titane, lui, les réduit en cendres, dépassant toutes les bornes, pour une expérience où les codes et stéréotypes explosent les uns contre les autres." Télérama
"La réalisatrice de Grave, aujourd’hui sur les écrans, passe à la vitesse supérieure et confirme avec ce second long-métrage ses goûts hors norme. Un choc." Le Figaro
"Main de fer dans gant de titane, l’ex-étudiante à la Fémis érigée cheffe de file du renouveau du cinéma de genre français prend un malin plaisir à violenter son audience, joue au passage avec les stéréotypes et les tabous les plus ancrés (l’inceste) et déverse sa rage de n'être qu'une femme dans ce film hybride d’amour et de métamorphoses inspiré par la mythologie grecque qui affirme la nécessité de muter." Paris Match
"Avec son deuxième long-métrage, Titane, le commandant Ducournau envoie tout balader, conventions, bon goût, vraisemblance et bienséance, pour dérouler avec furie son film qui ne ressemble à aucun autre — ou plutôt si : à plein d’autres, mais jamais combinés de cette manière." Les Inrockuptibles
Malgré les attentes très élevées, le film n’a apparemment pas déçu ses premiers spectateurs. Ce qui est une bonne nouvelle pour le long-métrage, qui est visible dans les salles obscures françaises depuis ce 14 juillet. Notre critique de Titane est quant à elle disponible de ce côté. On refait également un point sur les 10 films les plus attendus à Cannes cette année par là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626275784
En salle dès ce 14 juillet, Titane, le nouveau film de Julia Ducournau, continue de retourner le cinéma de genre et d'emballer la critique française.
Quatre ans après le choc de Grave, la réalisatrice Julia Ducournau revient pour dynamiter le cinéma hexagonal avec Titane, son second long-métrage sélectionné en compétition pour la Palme d'or au Festival de Cannes de 2021. Une nouvelle expérience cinématographique viscérale à en juger par la précédente bande-annonce et les photos promotionnelles, qui reflètent l'univers déroutant et fascinant de la cinéaste dans un film dérangeant et énigmatique, aussi bien en ce qui concerne l'intrigue, à peine dévoilée, que l'esthétique métallique à la Crash.
Si Annette, réalisé par Leos Carax, semblait un peu plus diviser, le slasher gore et trash tant attendu avec Agathe Rousselle, Vincent Lindon et Garance Marillier emballe visiblement la critique française, qui salue notamment la transgression et la singularité de l'oeuvre.
"Proposition dingue, film mutant, explosant les frontières de la féminité et de sa violence, body-horror transhumaniste sur un amour inconditionnel car inespéré, « Titane » ose tout, frôle souvent la sortie de route mais garde le cap sans ciller. C’est le cantique de deux âmes mortes réfugiées dans une caserne de pompiers pour fuir un monde qui ressemble à un clip de Snoop Dogg signé Bernard de La Villardière." L'Obs
"Titane avec sa tôle froissée, ses corps abimés, ses métamorphoses ensanglantées, ses sécrétions empoisonnées, est sans doute ce qu’on verra de plus agité et malaisant du présent cru. On remercie donc la cinéaste pour cet appel d’air - et quand on sait à quel point l’univers qu'elle propose ici est étouffé et cloisonné, la notion d’air est toute relative." Premiere
"Avec Titane, Julia Decournau signe un film de genre et transgenre en trois tableaux, que son personnage de guerrière mutante, Alexia/Adrien (Agathe Rousselle), traverse comme l’on fuit les flammes de l’incendie, pour sauver sa peau, du moins ce qui reste d’une vie fracassée depuis l’enfance." Le Monde
"Il y a cinq ans, Julia Ducournau s’imposait, d’emblée, avec Grave, son premier long métrage, où elle malaxait tranquillement les attendus du genre horrifique. Titane, lui, les réduit en cendres, dépassant toutes les bornes, pour une expérience où les codes et stéréotypes explosent les uns contre les autres." Télérama
"La réalisatrice de Grave, aujourd’hui sur les écrans, passe à la vitesse supérieure et confirme avec ce second long-métrage ses goûts hors norme. Un choc." Le Figaro
"Main de fer dans gant de titane, l’ex-étudiante à la Fémis érigée cheffe de file du renouveau du cinéma de genre français prend un malin plaisir à violenter son audience, joue au passage avec les stéréotypes et les tabous les plus ancrés (l’inceste) et déverse sa rage de n'être qu'une femme dans ce film hybride d’amour et de métamorphoses inspiré par la mythologie grecque qui affirme la nécessité de muter." Paris Match
"Avec son deuxième long-métrage, Titane, le commandant Ducournau envoie tout balader, conventions, bon goût, vraisemblance et bienséance, pour dérouler avec furie son film qui ne ressemble à aucun autre — ou plutôt si : à plein d’autres, mais jamais combinés de cette manière." Les Inrockuptibles
Malgré les attentes très élevées, le film n’a apparemment pas déçu ses premiers spectateurs. Ce qui est une bonne nouvelle pour le long-métrage, qui est visible dans les salles obscures françaises depuis ce 14 juillet. Notre critique de Titane est quant à elle disponible de ce côté. On refait également un point sur les 10 films les plus attendus à Cannes cette année par là.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1626275784
Box-office français du 13 juillet : Black Widow vole la vedette à Cruella
Une héroïne de Disney en détrône une autre. (Source : Le Film Français)
Avec 909 000 entrées enregistrées dans 607 salles de l'Hexagone, Black Widow démarre en tête du box-office hebdomadaire français (et même de l'année !), suivi par une autre nouveauté, Les Croods 2 : Nouvelle ère, qui a été vu par 454 653 spectateurs dans 693 cinémas. Cruella, qui était en tête depuis sa sortie, tombe ainsi à la troisième place avec 218 466 tickets supplémentaires répartis sur 655 copies. En trois semaines, ce film live des studios Disney, qui s'inspire de leur classique animé Les 101 Dalmatiens, a été vu par 1 168 000 personnes. Les aventures en solo de la super agent de Marvel devrait faire mieux.
Deux autres nouveautés intègrent ce top 10 : Benedetta, en sixième position avec 111 255 billets vendus dans 361 salles depuis vendredi (et non mercredi, puisque le film de Paul Verhoeven est sorti le soir de sa projection au festival de Cannes), et Annette, de Leos Carax, qui a justement ouvert les festivités le mardi 6 juillet, est huitième grâce à 98 500 spectateurs déplacés dans 242 cinémas, soit la plus petits distribution du classement.
Parmi les continuités, Pierre Lapin 2, Le Sens de la Famille et Présidents cumulent respectivement 683 303, 400 040 et 345 979 entrées en quinze jours, Conjuring 3 atteint 1,8 million de contremarques écoulées en cinq semaines, et Opération Portugal, 409 553 en trois.
Box-office hebdomadaire français du 7 au 13 juillet 2021 :
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... P-_MwVdppw
Une héroïne de Disney en détrône une autre. (Source : Le Film Français)
Avec 909 000 entrées enregistrées dans 607 salles de l'Hexagone, Black Widow démarre en tête du box-office hebdomadaire français (et même de l'année !), suivi par une autre nouveauté, Les Croods 2 : Nouvelle ère, qui a été vu par 454 653 spectateurs dans 693 cinémas. Cruella, qui était en tête depuis sa sortie, tombe ainsi à la troisième place avec 218 466 tickets supplémentaires répartis sur 655 copies. En trois semaines, ce film live des studios Disney, qui s'inspire de leur classique animé Les 101 Dalmatiens, a été vu par 1 168 000 personnes. Les aventures en solo de la super agent de Marvel devrait faire mieux.
Deux autres nouveautés intègrent ce top 10 : Benedetta, en sixième position avec 111 255 billets vendus dans 361 salles depuis vendredi (et non mercredi, puisque le film de Paul Verhoeven est sorti le soir de sa projection au festival de Cannes), et Annette, de Leos Carax, qui a justement ouvert les festivités le mardi 6 juillet, est huitième grâce à 98 500 spectateurs déplacés dans 242 cinémas, soit la plus petits distribution du classement.
Parmi les continuités, Pierre Lapin 2, Le Sens de la Famille et Présidents cumulent respectivement 683 303, 400 040 et 345 979 entrées en quinze jours, Conjuring 3 atteint 1,8 million de contremarques écoulées en cinq semaines, et Opération Portugal, 409 553 en trois.
Box-office hebdomadaire français du 7 au 13 juillet 2021 :
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... P-_MwVdppw
Il est aussi bon que les précédents.
Je ne sais pas si certains suivent l'actu mais en ce moment la Belgique connait des inondations qui tiennent du jamais vu. Des villages ont été évacués d'urgence, le niveau de l'eau n'est jamais monté si haut. C'est une catastrophe absolue. Une image qui en dit long sur l'ampleur de la catastrophe :
Des gens ont carrément été pris au piège chez eux, d'autres ont attendu des secours sur leur toit. Du jamais vu tout simplement.
Impressionnant
le Grand Est (Champagne, Ardennes, Lorraine, Alsace) est juste en dessous et connaît les mêmes soucis, bon courage. dire que des régions connaissent ça plusieurs fois par an et tous les ansPale a écrit : ↑jeu. 15 juil. 2021 19:26Il est aussi bon que les précédents.
Je ne sais pas si certains suivent l'actu mais en ce moment la Belgique connait des inondations qui tiennent du jamais vu. Des villages ont été évacués d'urgence, le niveau de l'eau n'est jamais monté si haut. C'est une catastrophe absolue. Une image qui en dit long sur l'ampleur de la catastrophe :
Des gens ont carrément été pris au piège chez eux, d'autres ont attendu des secours sur leur toit. Du jamais vu tout simplement.
Vosg'patt de cœur
Oui j'ai un peu suivi ça... c'est hallucinant !Pale a écrit : ↑jeu. 15 juil. 2021 19:26Il est aussi bon que les précédents.
Je ne sais pas si certains suivent l'actu mais en ce moment la Belgique connait des inondations qui tiennent du jamais vu. Des villages ont été évacués d'urgence, le niveau de l'eau n'est jamais monté si haut. C'est une catastrophe absolue. Une image qui en dit long sur l'ampleur de la catastrophe :
Des gens ont carrément été pris au piège chez eux, d'autres ont attendu des secours sur leur toit. Du jamais vu tout simplement.
De ton côté ça va ?
Bon, tant mieux si toi déjà ça va...
Mais putain, les dégats que ça a fait !
Quelle tristesse, c'est là qu'on voit la vraie force de la naturePale a écrit : ↑jeu. 15 juil. 2021 19:26Il est aussi bon que les précédents.
Je ne sais pas si certains suivent l'actu mais en ce moment la Belgique connait des inondations qui tiennent du jamais vu. Des villages ont été évacués d'urgence, le niveau de l'eau n'est jamais monté si haut. C'est une catastrophe absolue. Une image qui en dit long sur l'ampleur de la catastrophe :
Des gens ont carrément été pris au piège chez eux, d'autres ont attendu des secours sur leur toit. Du jamais vu tout simplement.
En France il y a régulièrement ce genre de catastrophes, pourvu qu'il n'y ai pas de morts 
Pouet
J'ai fait mon 1er ciné cette aprèm, en famille. Petit ciné, petite salle. 4 "familles" seulement dans la salle, mais les gens se sentent obligés de venir se coller à toi, en + sans le masque 
Donc le gars devant moi a passé sa séance a regarder son tel et à montrer à sa fille des paires de baskets (mais pourquoi 
) et les 2 filles à côté n'ont fait que parler
P'tain j'en ai vraiment marre des gens
Ah sinon j'ai vu Les Croods 2, c'était sympa
Donc le gars devant moi a passé sa séance a regarder son tel et à montrer à sa fille des paires de baskets (mais pourquoi ) et les 2 filles à côté n'ont fait que parler P'tain j'en ai vraiment marre des gens
Ah sinon j'ai vu Les Croods 2, c'était sympa
Pouet
Définition de l'enfer en salleCocu a écrit : ↑jeu. 15 juil. 2021 21:05J'ai fait mon 1er ciné cette aprèm, en famille. Petit ciné, petite salle. 4 "familles" seulement dans la salle, mais les gens se sentent obligés de venir se coller à toi, en + sans le masque
P'tain j'en ai vraiment marre des gens
Il doit exister un Enfer pour les gens qui s'assoient près toi alors qu'il y a 1000 autres places dans la salle.Cocu a écrit : ↑jeu. 15 juil. 2021 21:05J'ai fait mon 1er ciné cette aprèm, en famille. Petit ciné, petite salle. 4 "familles" seulement dans la salle, mais les gens se sentent obligés de venir se coller à toi, en + sans le masque
P'tain j'en ai vraiment marre des gens
Ah sinon j'ai vu Les Croods 2, c'était sympa
Moi c'est dans le train que je déteste ça.
Ah oui c'est relou aussi, et encore t'es pas une femme, souvent c'est un mec relou qui vient pour te faire chier
si c'est une femme peut-être ça la rassure d'être près de quelqu'un ? Je cherche une raison 
Pouet