Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Le box-office US de ce week-end :

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https://www.boxofficemojo.com/weekend/2 ... _=bo_hm_rw

Tremblement de terre à prévoir le week-end prochain avec Spider-Man.
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BOX OFFICE STORY
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Bonne tactique de Disney d'attendre deux mois pour sortir les Eternels en video...Du coup il ne perd que 24% et les vacances arrivent, il peut espérer un 180 millions en bout de course
http://www.boxofficestory.com/
La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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Wickaël
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Pale a écrit :
dim. 12 déc. 2021 18:19
Prochaine série : The Witcher - Saison 2 :hot:
Pareil, je revois la saison 1 à partir de demain.
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NaughtyDog
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Wow !
Joel Coen signe avec The Tragedy of Macbeth l'adaptation filmique définitive de l'écrit de Shakespeare. Une tâche assez ardue vu le style très verbeux et cérébro-extériorisé du récit !
On oscille donc entre pur théâtre (si je devais pinailler ce sont formellement les passages les moins intéressants, mais heureusement validés grâce à la direction d'acteurs), style à la Kurosawa (tendance le Château de l'Araignée) et expressionnisme allemand.

A ce titre, Bruno Delbonnel (collaborateur attitré des Coen depuis Inside Llewyn Davis) livre une photographie au noir & blanc somptueux. Les décors sont très intéressants également, oscillant entre médiéval et style épuré proche d'une rêverie Calviniste. The Tragedy of Macbeth vire presque dans de la fantasy baroque via le personnage des 3 sorcières, interprétées magistralement par Kathryn Hunter en simili-Gollum grotesquement inquiétante par sa gestuelle et sa voix d'outre-monde.

En parlant d'acting, Denzel Washington et Frances Macdormand livrent parmi les très grosses performances de l'année. Le premier est parfait en roi virant progressivement dans la folie. L'autre également en épouse impitoyable affectée par le temps qui passe (et le peu qu'ils leur restent pour accéder au trône).

Le reste de la distribution (Corey Hawkins, Brendan Gleeson, Alex Hassel...) est également très bon !

D'un récit connu, Joel Coen parvient à faire rentrer le spectateur dans la propre psyché des 2 personnages centraux, que ce soit là encore la direction d'acteurs, sa réalisation pure (et des tableaux il y en a) et une bonne musique atmosphérique de Carter Burwell.

Si le rythme est pas toujours bien gêré à 2 reprises (mais là encore c'est du Shakespeare empli de monologues) et que par instants la mise en scène ne ranscende pas totalement l'approche théâtrale, grosso modo c'est d'une grande maitrise, avec notamment un superbe final !

4/5

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déception que ce premier film de Maggie Gyllenhaal, qui tombe dans les travers de la première réalisation indé : un récit bcp trop étiré sur 2h (et pour pas grand chose), sur les pérégrinations crypto-intériorisantes d'une femme (cependant jouée comme toujours avec excellence par Olivia Colman) que l'on va suivre lors de ses vacances en Grèce.

En parallèle, on veut traiter des traumas maternels et faire une étude de personnages via flash-backs, mais l'émotion est amenée de manière bcp trop artificielle, pour un récit qui ne décolle pour ainsi dire jamais

En plus de ça on a le droit aux 3-4séquences musicales sur musique classique/son des 80's

C'est dommage car là encore la direction d'acteurs est très bonne (Dakota Johnson prouve encore que 50 Shades était juste une erreur de parcours, et Jessie Buckley, Ed Harris ou Peter Sarsgaard font bien le job) et la caméra arrive régulièrement à capter l'intime au plus près des corps ainsi que le dépaysement estival


Mis à part ça on rompiche fort, et on termine le métrage comme on l'a démarré : de manière neutre


2,5/5
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Prisoner
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Blasé pour le Coen. J'avais trop envie de le voir
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ClintReborn
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Le trailer de Macbeth ne me donne pas envie :saint: c'est super austère comme présentation et c'est filmé en 4/3 ? :??: :??: :??:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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BoBleMexicain
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ClintReborn a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:01
Le trailer de Macbeth ne me donne pas envie :saint: c'est super austère comme présentation et c'est filmé en 4/3 ? :??: :??: :??:
Macbeth c'est sur , on est loin de la grande vadrouille question austérité :rofl: :rofl:
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ClintReborn
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BoBleMexicain a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:17
ClintReborn a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:01
Le trailer de Macbeth ne me donne pas envie :saint: c'est super austère comme présentation et c'est filmé en 4/3 ? :??: :??: :??:
Macbeth c'est sur , on est loin de la grande vadrouille question austérité :rofl: :rofl:
:lol: Je veux dire par là que la force de l’œuvre c'est aussi les dialogues et la mise en scène est super minimaliste :roll:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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BoBleMexicain
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ClintReborn a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:39
BoBleMexicain a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:17
ClintReborn a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:01
Le trailer de Macbeth ne me donne pas envie :saint: c'est super austère comme présentation et c'est filmé en 4/3 ? :??: :??: :??:
Macbeth c'est sur , on est loin de la grande vadrouille question austérité :rofl: :rofl:
:lol: Je veux dire par là que la force de l’œuvre c'est aussi les dialogues et la mise en scène est super minimaliste :roll:
adapter Shakespeare au ciné est toujours une gageure en soit , certains comme moi trouve très austère la lecture , d autre y trouve de la flamboyance
Soit on adapte au gout du jour et ca rentre dans quelque chose d irrationnel a l oeuvre initiale , soit on colle a l esprit et ca devient un peu "chiant"
le théâtre adapté au cinéma hormis peu être les vaudevilles devraient rester au théâtre , tout comme je prends un plaisir de regarder un opéra a l Opéra
au cinéma ça me gonfle
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ClintReborn
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BoBleMexicain a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:59
ClintReborn a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:39
BoBleMexicain a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:17

Macbeth c'est sur , on est loin de la grande vadrouille question austérité :rofl: :rofl:
:lol: Je veux dire par là que la force de l’œuvre c'est aussi les dialogues et la mise en scène est super minimaliste :roll:
adapter Shakespeare au ciné est toujours une gageure en soit , certains comme moi trouve très austère la lecture , d autre y trouve de la flamboyance
Soit on adapte au gout du jour et ca rentre dans quelque chose d irrationnel a l oeuvre initiale , soit on colle a l esprit et ca devient un peu "chiant"
le théâtre adapté au cinéma hormis peu être les vaudevilles devraient rester au théâtre , tout comme je prends un plaisir de regarder un opéra a l Opéra
au cinéma ça me gonfle
Sacha Guitry était un créateur de théâtre mais au cinéma il s'en sortait bien aussi car c'était souvent lui le rôle principal. Il y a quand même moyen de faire de Macbeth quelque chose d'épique vu l'époque . Je me souviens de l'adaptation de Polanski qui était pas mal du tout :
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Pale
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Kahled
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ClintReborn a écrit :
lun. 13 déc. 2021 12:01
Le trailer de Macbeth ne me donne pas envie :saint: c'est super austère comme présentation et c'est filmé en 4/3 ? :??: :??: :??:
Bah Shakespeare quoi. C’est pas la poilade en général. :saint:
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robinne
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weird

A part Beaucoup de bruit pour rien ?
J’ai un souvenir assez joyeux du film de Branagh
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Pale
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:hello:

Marvel - les premières critiques de Spider-Man : No Way Home sont là

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Les premières critiques de l'Endgame de Spider-Man sont arrivées, l'occasion de voir si le No Way Home de Marvel brise la malédiction du troisième film Spidey.

Film le plus attendu de l'année 2021 en partie grâce à son marketing agressif et les nombreux indices dispersés dans ses bandes-annonces, Spider-Man : No Way Home est enfin là. Présenté comme l'Endgame de Spiderman qui allait ouvrir le Multivers et paver d'or l'avenir de la franchise, il fait saliver les aficionados du MCU comme les amateurs de Spidey depuis déjà de nombreux mois déjà.

Il a fait exploser les sites de préventes avec sa promesse d'un multivers bourgeonnant de souvenirs et de rappels aux anciennes prises de la franchise. Le retour de chaque méchant sous l'égide de Sam Raimi a été le fruit de débats, de polémiques interminables et de nombreuses théories, à commencer par celle sur le retour de Tobey Maguire et Andrew Garfield (dont on a classé les films Spider-Man).

Évidemment, cette revue de presse ne contient PAS de spoilers, et vous pouvez tout à fait la lire avant d'aller voir le film pour vous en faire une idée, ou pour commencer à vous humidifier les babines. On ne pourra donc, une fois n'est pas coutume, infirmer ou confirmer le retour des anciens interprètes du tisseur. Les critiques américains ont-ils donc apprécié Spider-Man : No Way Home ? Laissez-nous vous emmener sur les gratte-ciels de New York pour un petit tour d'horizon.

"Spider-Man: No Way Home touche en plein dans le mille en tant que dernière production signée MCU. Son impact sur l'univers tout entier, ainsi que ses moments d'émotion, tout semble authentique. Une performance stellaire qui donne le sentiment de regarder des cartoons un samedi matin. En résulte une claque attendue de la part de l'univers du tisseur. Si parfois il a du mal à se sortir des tropes de superhéros éculés, tout dans le film laissera les fans sur les rotules, dans le bon sens du terme." IGN

"Le chemin vers les moments cruciaux de No Way Home – à la fois chaleureux et déchirant – peuvent avoir quelques accrochages, mais la noirceur en vaut la peine. Après tout, à quand remonte la dernière fois qu’un troisième film d’une franchise a vraiment excité le public pour ce qui allait suivre ?" IndieWire

"Encore une fois, tous les éléments laissés de côté en tant que spoilers pourraient remplir leur propre Multiverse. Des surprises, des souvenirs, des personnages secondaires qui reviennent vous frapper de nostalgie et d'émotion, une histoire ehhhhhhhhhh [sic] avec des décisions qui nous rappellent les pires tendances des comics. Tout y est, il y a du bon, du mauvais, et de l'entre les deux. Mais No Way Home est plutôt clair sur un point: Vous aurez exactement ce que vous souhaitiez, pour le meilleur et pour le pire." Collider

"C’est de loin le moins fun des films du duo Watts/Holland (de façon tout à fait consciente), mais c’est bien mieux que le dernier troisième volet d’une trilogie Spidey, le surchargé et malade Spider-Man 3." The Hollywood Reporter

"C’est dans le gargantuesque et profondément satisfaisant Spider-Man : No Way Home dans lequel l’ancien Billy Elliot prouve qu’il est plus qu’une idole adolescente avec un parfait accent américain. Cette fois, son Peter a du poids, du peps, de la brutalité, un amour crédible et une angoissante scène sous la pluie. Le film est la meilleure performance de l’acteur à ce jour, en tout point, costume ou non." New York Post

"S'il aurait été préférable d'être face à un scénario moins convoluté, qui aurait pu être conduit par l'envie de progrès, et non pas de régression en comptant sur le fan service comme moteur principal, le scénario demeure néanmoins plus cohérent qu'il aurait pu l'être en considérant tous les éléments qu'il devait assembler. [...] No Way Home est parfois défectueux, mais il demeure beaucoup plus agile que la plupart des films Marvel [...] et la fin suggère une forme de conscience de la franchise de ses racines, laissant présager un futur radieux. Considérez donc que la malédiction du troisième Spider-Man est rompue." The Guardian

"C’est un mariage heureux de fan service et de développement de personnage qui fonctionne, et ce malgré les plaisanteries et les interactions parfois trop longues entre certains personnages. Si vous cherchez tous les petits trous scénaristiques du film, Spider-Man : No Way Home commence à se défaire. Mais si vous le prenez avec plus de légèreté, c’est une expérience douce et émouvante de Spider-Man, qui réussit à l’atterrissage." Total Film

"Spider-Man : No Way Home est maximaliste, regorge de personnages familiers et de rappels, et parfois tout ce qui rappelle les plus grands succès du divertissement. Mais on peut aussi y trouver des choses qui en font une suite régressive de la franchise Spider-Man, qui est trop nostalgique de ses beaux jours." The Playlist

"Le réalisateur Jon Watts arrive à tenir cette grande réunion d’anciennes et de nouvelles propriétés avec suffisamment de verve pour que son film tienne. Mais tout cela demande une telle Frankensteinistation de franchises qu’il n’y a pas de temps pour en développer la texture. Une grande partie de l’éclat des deux derniers films s’est perdu dans tout ça." Vanity Fair

Les critiques semblent ainsi plutôt sur la même longueur d'onde quant au résultat de ce très attendu Spider-Man : No Way Home. Entre fan service et conclusion d'un arc en soit, ce troisième volet de la Home trilogie a été perçu comme un divertissement généreux et fort en émotion. Les critiques américains relèvent également que le ton de ce nouvel opus de la saga est plus sombre et grave que les précédents, ce qui n'est pas pour nous déplaire tant Marvel a régulièrement su prouver sa réticence à aller dans la franche dramatisation.

Néanmoins, la quasi-totalité des textes s'accorde à dire que, même s'il suit le chemin plutôt balisé et éculé du film de super-héros Marvel, ce Spider-Man a quelques lacunes en termes d'écriture, voir quelques incohérences. Cependant, à lire les critiques, l'énergie de l'ensemble l'emporte sur ces défauts, et nos amis anglophones ne manquent ainsi pas de rappeler que le nouveau long-métrage de Jon Watts est toujours plus réussi que le dernier film de la trilogie de Sam Raimi, Spider-Man 3 (quelle prouesse!).

Les critiques de ce Spider-Man : No Way Home sont donc plutôt positives, comme souvent pour ce type de production, mais continuent d'entretenir une excitation générale qui est sur le point d'arriver à son terme avec la sortie du film ce mercredi 15 décembre dans nos salles françaises.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1639476883
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Pale
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Kingsman 3 : le réalisateur donne de bonnes nouvelles avant King's Man : Première Mission

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Alors que le public doit encore découvrir le préquel The King's Man : Première Mission, le réalisateur Matthew Vaughn a donné des précisions sur Kingsman 3.

Après Kingsman : Services secrets et Kingsman : Le Cercle d'or, la saga d'espionnage adaptée des comics de Mark Millar et Dave Gibbons va délaisser un temps le duo de Taron Egerton et Colin Firth pour revenir sur les origines de l'agence de renseignements britannique tirée à quatre épingles avec The King’s Man : Première Mission. Ce prequel - toujours réalisé par Matthew Vaughn - mettra ainsi en vedette Harris Dickinson et Ralph Fiennes à l'aube de la Première Guerre mondiale, avant de retrouver Eggsy.

Même si le deuxième volet a été moins performant au box-office (surtout national) et a davantage divisé la critique que le premier opus, la franchise aura bien droit à une suite malgré le rachat de la Fox par Disney, comme l'avait annoncé l'acteur principal en 2019 et comme l'a plus récemment confirmé le réalisateur, qui retournera bien derrière la caméra.

Lors d'une interview promotionnelle avec Comicbook, le cinéaste a notamment dévoilé que le tournage de Kingsman 3 devrait commencer en septembre 2022, et que ce prochain film conclura l'histoire d'Eggsy, ce qui en fera le dernier volet d'une trilogie consacrée à son personnage. Aucune date de sortie n'a encore été communiquée pour l'instant, mais comme l'a fait remarquer Screenrant, le planning du studio prévoit un film encore sans titre pour le 15 septembre 2023.

L'identité ou la nature du long-métrage n'a pas été confirmée, mais Kingsman 2 est sorti le même week-end de septembre en 2017, tandis que le premier Kingsman et son prequel avaient initialement des dates de sortie calées en septembre avant d'être reportées. En revanche, la suite de la saga semble plus incertaine. Un plan de franchise démesuré calqué sur la saga James Bond avec pas moins de sept suites avait été annoncé en décembre 2020, de même qu'un spin-off se déroulant aux États-Unis avec les Statesman, et une série dérivée des films.Aucun des projets n'a cependant donné signe de vie depuis.

Avant d'en savoir plus sur l'avenir des Kingsman sur le grand et le petit écran, The King's Man : Première Mission sortira dans les salles françaises à partir du 29 décembre 2021.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1639470003
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Modifié en dernier par Pale le mar. 14 déc. 2021 17:18, modifié 1 fois.
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Un trailer complètement taré :

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EL n'a pas trop aimé Spider-Man : No Way Home (2,5 étoiles) :

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Marvel a eu du mal à relancer sa franchise avec ce début de Phase 4 entre le minuscule Black Widow, l'arrivée timide de Shang-Chi et la légende des Dix Anneaux et le trop ambitieux Les Éternels au cinéma, et ses séries aux niveaux aléatoires entre WandaVision, Falcon et le Soldat de l'Hiver, Loki, What If...? et maintenant Hawkeye. Les espoirs se portaient donc sur le très attendu retour de l'homme-araignée de Tom Holland avec Spider-Man : No Way Home pour exploser le MCU et ouvrir les portes du multiverse. Alors, mission réussie ?

L'ASCENSION DE SPIDER-MAN


Une grande philosophe du nom de Michelle Jones, aka MJ, ne cesse de répéter une phrase tout au long de Spider-Man : No Way Home : "Je m'attends toujours à être déçu, pour que je ne le sois jamais". Et les paroles du personnage de Zendaya sont peut-être celles qui correspondent le plus à l'état d'esprit avec lequel il faut se lancer dans ce troisième opus des aventures de l'homme-araignée dans le MCU.

Après plus de deux ans et demi d'attente de la part des fans et plusieurs reports de la date de sortie à cause de la pandémie, la promotion du film Marvel est devenue complètement ingérable à cause des multiples fuites (vraies ou fausses) sur les réseaux sociaux, des théories infinies des fans de l'univers et des nombreux couacs sur les bandes-annonces dévoilées, alimentant l'espoir des fans. Et en même temps, il y avait de quoi être plein d'espoir devant ce Spider-Man : No Way Home.

Au fil des mois de promotion et des révélations de Kevin Feige, Amy Pascal et autres pontes derrière la production, le film était incontestablement plein de promesses. D'abord, avec la présence de Doctor Strange pour aider Peter Parker dans sa mission, mais surtout grâce aux retours confirmés de plusieurs antagonistes des anciennes versions du Tisseur. Dans un premier temps, le Docteur Octopus et Electro, puis au fil des trailers balancés, les spectateurs ont très vite pu s'assurer des présences du Lézard, de l'Homme-Sable et évidemment du Bouffon Vert de Willem Dafoe.

La hype a donc très vite grimpé en flèche et le potentiel de Spider-Man : No Way Home a littéralement explosé avec tous les atouts qu'il semblait avoir dans sa poche. Des atouts indéniables qu'il n'arrive malheureusement jamais à exploiter dignement.

CHAOS CRYING

Avant toute chose, écrire une critique de Spider-Man : No Way Home sans spoiler quoi que ce soit de l'intrigue est presque mission impossible tant le film joue évidemment sur l'idée de surprise entre petits caméos et grands retours, mais on va tâcher d'en dire le moins possible. Spider-Man : No Way Home reprend donc exactement là où s'était terminé Spider-Man : Far from Home avec un Peter Parker en plein chaos, sa véritable identité étant révélée aux yeux du monde entier. Une révélation qui va gâcher la vie de ses proches et notamment MJ et Ned, ses deux amis se voyant refuser les bancs du MIT à cause des "récents événements".

Se sentant coupable, Peter décide donc d'aller voir Doctor Strange, pour lui demander de jeter un sort afin que le monde entier oublie qui est Spider-Man et qu'il puisse régler la situation. Mais comme le sort est bâclé à cause d'un Spidey perturbant, la réalité est déchirée juste assez de temps pour que quelques méchants s'y engouffrent et que le multivers rentre en jeu.

Sauf que pour être honnête, même si le public criera indéniablement dans les salles bondées lorsque ces méchants feront leur première apparition dans le MCU, tout ce qui tourne autour d'eux est plus qu'une douche froide. Même si l'idée de relier les anciens univers de l'homme-araignée (ceux de Sam Raimi et Marc Webb) au MCU pour voir le nouveau Tisseur affronter les antagonistes d'antan est aguicheuse, à l'écran, l'exécution est absolument laborieuse. C'est bien simple, aucun des cinq méchants ne semble avoir envie de porter le lourd fardeau du passé nostalgique.

Vu sa notoriété, Docteur Octopus d'Alfred Molina est probablement la plus grosse déception des cinq tant il est sous-exploité par le récit et devient surtout très vite une marionnette dirigée par les simples envies des scénaristes. De leurs côtés, l'Homme-sable jouit d'effets spéciaux moins réussis que dans Spider-Man 3, le Lézard reste camouflé dans le noir 95% de son temps et n'a absolument aucun arc d'évolution, quand Electro n'a plus rien du super-vilain qu'il était devenu dans The Amazing Spider-Man 2 avec son nouveau look et un Jamie Foxx flambant neuf.

Seul Willem Dafoe a l'air de vraiment s'éclater dans la peau du Bouffon Vert, son personnage de Norman Osborn étant toujours tiraillé par sa double personnalité. Il est d'ailleurs le seul des antagonistes qui a un vrai rôle à jouer dans la partie, Jon Watts laissant libre cours au génie de comédien de Dafoe pour intensifier le personnage tout en lui donnant les actions les plus impactantes pour Spider-Man.

A STRANGE STRANGE WORLD

En parlant de Jon Watts, il faut tout de même souligner qu'il y a du mieux chez le metteur en scène. On ne sait pas ce qu'il s'est passé depuis Spider-Man : Far From Home, mais il a indéniablement progressé derrière la caméra, en témoigne un plan-séquence savamment orchestré dans les premières minutes du film. Et d'ailleurs, même si le long-métrage ne regagne jamais une mise en scène aussi affinée et précise pour raconter les péripéties de ses personnages, l'action y est plus soignée.

L'assemblage du climax n'est pas forcément plus inventif ou simplement plus qualitatif que dans les précédents films, d'autant plus que l'action se déroule une fois de plus dans le noir quasi-complet. Cependant, le film délivre quelques jolis tours de montagne russe (presque littéralement) notamment dans une séquence impressionnante entre Doctor Strange et Spider-Man, où les jeux de miroirs, de perspectives et de profondeurs donnent une vraie identité à leur duel chevronné.

Mieux encore, il vient surtout offrir une vraie poigne de fer au personnage incarné par Tom Holland dans une confrontation lourde de sens, certes au découpage très déficient, mais plus brutal, net et vif qu'à l'accoutumée.

Malheureusement, l'enjeu est trop grand pour le cinéaste et finalement, c'est peut-être la plus grande tare de ce Spider-Man : No Way Home : au milieu de son ride nostalgique, le film déçoit surtout à cause de son multivers. Alors qu'il aurait pu être totalement fou, le multivers se révèle un immense bordel sans réelle valeur ajoutée. À moins que son but soit simplement de faire vibrer les fans de la première heure et les moins exigeants d'entre eux, il a davantage la gueule d'un hyper-gadget reposant sur pas grand-chose, n'ayant rien de particulièrement fascinant, entraînant ou même amusant.

Pire, il ressemble à un énorme poids que le long-métrage n'arrive jamais à porter sur ses épaules, tant il encombre énormément le scénario et le vrai fil émotionnel du long-métrage : Spider-Man lui-même.

MARVEL RESURRECTIONS

En effet, au milieu de cette histoire sans véritable surprise, de ses caméos plaisants, mais jamais transcendants, de ses blagues toujours aussi mal-dosées et d'une action plus soignée, mais jamais extraordinaire, il se cache pourtant une superbe idée autour de Peter Parker dans ce Spider-Man : No Way Home. Durant les 2h28 du film - beaucoup trop long pour son propre bien d'ailleurs -, Peter Parker connaît une véritable évolution, passant du jeune garçon complètement naïf et puéril au super-héros "aux grands pouvoirs impliquant de grandes responsabilités'.

Ainsi, alors que le long-métrage joue la carte de la nostalgie un peu facile, il dissimule en son fond un jeu beaucoup plus séduisant sur la figure même du super-héros, de son impact sur ses proches et son rôle dans la société. Et véritablement, le personnage est enfin confronté à l'héritage comics qu'il n'a cessé de délaisser depuis son introduction dans le MCU.

Il y a donc quelque chose de déchirant, voire d'exaspérant, à voir le long-métrage se concentrer en grande majorité sur son exploitation bancale du multivers alors que son coeur émotionnel se trouve ailleurs, dans quelque chose de plus simple et plus humain. Car oui, Peter Parker, MJ (et aussi Ned) sont indiscutablement l'âme de cette trilogie Spider-Man. Le trio offre les moments les plus émouvants de ce troisième volet, notamment dans le dernier tiers du film, voyant à la fois Peter Parker s'effondrer et grandir vers d'autres horizons.

Se dégage alors une désagréable sensation à la fin de Spider-Man : No Way Home : derrière ce grand délire de multivers spectaculaire, Marvel a gâché un joli film intime et délicat sur l'homme-araignée. Gageons qu'avec sa conclusion plus inspirée et excitante, le MCU nous offrira probablement un Peter Parker (et donc un Spider-Man) plus exaltant, plus familier, à l'avenir. Reste à savoir si c'est vraiment ce qu'on attendait du MCU, criant depuis toujours sa singularité, sans jamais la prouver.

Spider-Man : No Way Home sera peut-être un grand film pour les fans du MCU, mais il restera un tout petit film pour le cinéma.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 1639502613

Simon n'a pas du tout aimé (1,5 étoiles) :

"Un film aussi techniquement rabougri et artistiquement rachitique que ses prétendues ambitions étaient grandes. Ou comment traiter un fantasme de fans avec la déférence d'un nourrisson pour une couche sale."
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 14 déc. 2021 19:17
EL n'a pas trop aimé Spider-Man : No Way Home (2,5 étoiles)
Malgré la présence de Benedict, je passerai mon tour :o
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Pale
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Aujourd'hui c'est l'anniversaire de Vanessa Hudgens (33 ans).

Je vais être plus sobre que pour Hailee Steinfeld (même si je préfère Vanessa) mais pour fêter ça :

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Faut que je me calme moi :o :D
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NaughtyDog
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Pale a écrit :
mar. 14 déc. 2021 19:35
Aujourd'hui c'est l'anniversaire de Vanessa Hudgens (33 ans).

Je vais être plus sobre que pour Hailee Steinfeld (même si je préfère Vanessa) mais pour fêter ça :

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Faut que je me calme moi :o :D
Bof

:D
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Pale
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NaughtyDog a écrit :
mar. 14 déc. 2021 19:44
Bof

:D
:lol: J'aurais pu faire mieux :o
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Skipper Mike
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Wickaël a écrit :
mer. 8 déc. 2021 06:44
La beauté de ce coffret est égale à celle du film :love:

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:hello:

Je l'ai revu pour la première fois sur grand écran, wow c'était quelque chose ! Je l'avais vu pour la dernière fois il y a un peu plus de trois ans et je m'étais demandé si je pouvais toujours le considérer comme mon film préféré : je le connaissais tellement par cœur que le plaisir de le revoir s'était quand même un peu émoussé. Mais là ça a été une redécouverte ! Je me souvenais de tout du point de vue scénario mais il y a pas mal de choses auxquelles je n'avais jamais tellement fait attention qui m'ont sauté aux yeux cette fois-ci. Notamment les gros plans sur les visages, en particulier sur les yeux : je ne l'avais jamais vraiment remarqué mais il y en a partout, et sur grand écran c'est à chaque fois renversant.

Surtout je crois que je n'ai jamais autant été terrassé par la dernière partie. Je n'arrête pas de penser au film depuis ce week-end, ce qui ne m'était pas arrivé depuis que je l'ai découvert il y a presque dix ans. Déjà hâte de le revoir :hot:
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The Gray Man : le film Netflix des frères Russo avec Chris Evans précise sa date de sortie

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Les réalisateurs Joe et Anthony Russo ont précisé la date de sortie de The Gray Man, leur prochain thriller d'espionnage pour Netflix avec Chris Evans.

Après avoir retrouvé Tom Holland à l'occasion de Cherry pour Apple TV+ et Chris Hemsworth dans Tyler Rake de Netflix - qu'ils ont produit et écrit - les frères Anthony et Joe Russo (Avengers : Infinity War et Endgame) ont également retrouver Chris Evans dans The Gray Man, le prochain film de science-fiction du géant du streaming. Les deux cinéastes sont attachés à l'écriture et à la réalisation de cette adaptation du roman Gray Man de Mark Greaney depuis 2014, alors qu'ils venaient tout juste de terminer leur première collaboration avec le MCU : Captain America : Le Soldat de l'hiver.

Après avoir été laissé de côté, le développement du thriller d'espionnage a été retardé par la crise sanitaire mondiale et la production n'a pu démarrer qu'en mars dernier pour s'achever en juillet. The Gray Man mettra ainsi en vedette Ryan Gosling dans le rôle d'un vétéran de la CIA contraint à prendre la fuite avoir été mis sur liste noire, et Chris Evans, qui campera l'agent engagé pour le traquer. Aucune information n'avait encore été donnée sur la date de sortie, mais lors d'une récente interview avec Variety sur le tapis rouge du dernier Spider-Man : No Way Home, Joe Russo a précisé que la sortie était prévue pour l'été prochain :

"Nous travaillons actuellement sur The Gray Man avec Ryan Gosling et Chris Evans, dont la sortie est prévue pour cet été. Nous travaillons d'arrache-pied sur ce film. Je pense que nous allons probablement boucler la photographie courant février. On doit travailler sur d'importants effets spéciaux. "

The Gray Man devrait donc sortir sur Netflix entre juin et août 2022, probablement pour se placer dans la lignée des blockbusters estivaux, notamment Thor : Love and Thunder et Black Adam. Concernant le reste du casting, Ana de Armas (Mourir peut attendre) retrouvera Ryan Gosling après Blade Runner 2049 et Chris Evans après À couteaux tirés, avant de repasser sur Netflix avec le biopic de Marilyn Monroe, Blonde, récupéré par la plateforme. L'actrice donnera la réplique à Jessica Henwick, également au casting de Matrix : Resurrections, Regé-Jean Page, révélé dans La Chronique des Bridgerton, ou encore Billy Bob Thornton (Fargo, Bad Santa 2).

Joe Russo a également écrit le scénario de Tyler Rake 2, qui a entamé son tournage sous la neige et sera une fois de plus co-produit par Anthony Russo.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1639556053
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Pale
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Des nouvelles photos de tournage de Avatar 2 :

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ClintReborn
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Après l'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux
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Voici l'homme qui murmurait à l'oreille des dinos
Pale a écrit :
mer. 15 déc. 2021 18:43
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:lol: :lol: :lol:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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BoBleMexicain
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Pale a écrit :
mer. 15 déc. 2021 18:23
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avant on faisait des jeux vidéos en rapport avec les films
a présent on fait des films en rapport avec les jeux vidéos
franchement
J ai hâte de voir l'adaptation de FIFA 2021 ... :o
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ClintReborn
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BoBleMexicain a écrit :
mer. 15 déc. 2021 20:58
Pale a écrit :
mer. 15 déc. 2021 18:23
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avant on faisait des jeux vidéos en rapport avec les films
a présent on fait des films en rapport avec les jeux vidéos
franchement
J ai hâte de voir l'adaptation de FIFA 2021 ... :o
Il n'y a rien a adapter avec Fifa alors que Uncharted notamment le 4 a développer un scénario largement digne d'une grande production d'aventure hollywoodienne :o :D Faut pas négliger les jeux vidéos les opus comme assassin creed , a plague tale, bioschock infinite etc... On largement de quoi nourrir un cinéma de qualité si il y a les bonnes personnes aux manœuvres et ce sera bien au dessus des Marvel :D :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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Le box-office français de la semaine :

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https://premiere.fr/Cinema/News-Cinema/ ... xrCdTpwlIw
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Des images de la comédie d'action The Lost City of D avec Sandra Bullock, Channing Tatum, Daniel Radcliffe et Brad Pitt :

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NaughtyDog
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sympa ce Spidey (sans doute le meilleur film live depuis la trilo de Raimi),par contre c'est parasité par des problèmes et c'est dommage


points positifs :

- un vrai traitement de Tom Holland, qui in fine devient presque un Spidey emblématique (sans spoil): c'est lui le fil rouge et ça fonctionne très bien

- de l'émotion (au milieu et à la fin) là encore très bien adaptée au parcours du héros

- 2 scènes d'action bien bourrines contre le Bouffon (j'en étais même surpris)

- niveau mise en scène Watts s'est amélioré, et le découpage est bon

- une bonne OST de Giacchino

- de bonnes idées avec Stephen Strange

- le retour d'<spoiler> d'Andrew qui s'amuse comme un fou et qui trouve même une rédemption dans ce film </spoiler>

- du fan service qui fait plaisir (Willem Dafoe a jamais quitté le rôle, Molina est bon,et Jamie Foxx suinte le charisme contrairement à TASM2)



points négatifs :

- du fanservice pas toujours bien gêré, avec une utilisation du multivers et des vilains qui n'est pas totalement satisfaisante selon moi

- <spoiler> l'intro de Tobey, qui semble digne d'un sketch SNL, malgré que ça fait plaisir de le revoir </spoiler>

- un tiers central moins bien tenu en terme d'écriture

- un climax quia son lot de moments cools, mais qui aurait mérité bcp + d'epicness

- le Lézard, tjs aussi naze

- Sandman a de bons moments, mais sous-utilisé



au final, malgré ces soucis,je mets un 6/10 car au fond, on a un vrai film Spider-Man qui fait de Tom Holland une vraie belle incarnation du perso (et on a même envie de voir ce que le futur lui réserve


mention spéciale à l'ambiance dans la salle et ce rassemblement qui célèbre 20 ans de films
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ClintReborn a écrit :
mer. 15 déc. 2021 18:57
Après l'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux
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Voici l'homme qui murmurait à l'oreille des dinos
Pale a écrit :
mer. 15 déc. 2021 18:43
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:lol: :lol: :lol:
:lol: :lol: :lol:
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Après Dune, Denis Villeneuve s'attaque à un autre immense classique de SF

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Après Dune de Frank Hebert, Denis Villeneuve va réaliser un autre fantasme de science-fiction : Rendez-vous avec Rama, d'Arthur C. Clarke.

Avec la suite de Blade Runner, Denis Villeneuve avait osé le pari fou de reprendre un monument de la science-fiction, adapté d'un écrivain non moins monumental, Philip K. Dick. Avec Dune, il avait réalisé un fantasme d'adolescent qui semblait aussi lointain qu'Arrakis, en se mesurant à l'œuvre folle de Frank Herbert.

Mais le réalisateur canadien ira encore plus haut dans les étoiles avec son prochain film, une fois Dune 2 emballé. Et c'est dans la galaxie d'Arthur C. Clarke, l'auteur de 2001 : l'odyssée de l'espace, qu'il s'envolera avec un autre classique de science-fiction : Rendez-vous avec Rama.

The Hollywood Reporter annonce en exclusivité que Denis Villeneuve adaptera Rendez-vous avec Rama, pour Alcon Entertainement - avec lesquels il avait collaboré pour Prisoners et Blade Runner 2049.

Publié en 1973, Rendez-vous avec Rama tourne autour d'une idée aussi simple que follement excitante : en 2130, un gigantesque objet sorti des tréfonds de l'espace est repéré dans le système solaire, et une mission d'exploration est envoyée pour enquêter. Le vaisseau Endeavour, dirigé par le commandant Norton, pénètre dans cet immense cylindre parfaitement géométrique, de 50 kilomètres de long et 20 kilomètres de diamètres.

A l'intérieur de cet objet incroyable et mystérieux, Norton et son équipe découvrent d'immenses cités, une mer, et quantité de choses évidemment extra-terrestres, a priori endormies, dans l'attente de quelque chose. Qui a construit un telle chose ? Quelle est la fonction de cet objet nommé Rama ? Et pourquoi passe t-il dans le système solaire ?

Autant de questions qui hantent ce fascinant et magnifique Rendez-vous avec Rama, premier volet d'une saga qui a connu trois suites, jusqu'en 1993 (avec Gentry Lee en co-auteur dès Rama II).

Ce n'est pas la première fois que quelqu'un se frotte à Rama. Au début des années 2000, Morgan Freeman avait passionnément porté un projet d'adaptation, comme acteur et producteur, via sa société Revelations Entertainement. David Fincher, qui l'avait dirigé dans Seven, était sur le coup. Mais faute de financement, le film n'avait jamais pris forme, malgré des années d'effort.

Avec Denis Villeneuve, qui a dans la poche le succès de Dune et la commande officielle de Dune 2, nul doute que Rendez-vous avec Rama prendra forme. Autre certitude : les producteurs visent ici une franchise.

Le vent qui a soufflé sur Arrakis a dans tous les cas soulevé les sables de toute la SF. Apple TV+ a lancé le pari fou d'adapter la saga Foundation d'Isaac Asimov en série, avec une saison 2 déjà commandée. Warner Bros. a ressorti des placards le projet d'adaptation de Hyperion, classique de Dan Simmons. Le Problème à trois corps, roman de Liu Cixin, sera prochainement une série sur Netflix, chapeautée par David Benioff et D.B. Weiss, les créateurs de Game of Thrones. Et L'Incal, bande-dessinée cultissime d'Alejandro Jodorowsky et Moebius, va devenir un film grâce aux Humanoïdes associés, et au réalisateur Taika Waititi.

Ne reste plus qu'à ouvrir les paris sur les prochains à y (re)passer. Le Fleuve de l'éternité, de Philip José Farmer ? La Trilogie de Mars, de Kim Stanley Robinson ? 1984 de George Orwell ? Neuromancien de William Gibson ? Le Guide du voyageur galactique, de Douglas Adams ? Un peu de Kurt Vonnegut peut-être ?


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... 1639638011
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Hier soir j'ai vu :

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Une merveille de mélodrame à l'américaine. Le film est aussi drôle que bouleversant. Les acteurs sont formidables, mention spéciale à Debra Winger qui est sidérante. Enfin les autres le sont aussi.
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l'affiche de scream est superbe......
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popcorns Popcorn
@popcornsapp


Il s'agit également du meilleur démarrage pour un film Spider-Man avec Tom Holland (233 579 entrées pour Homecoming et 453 503 entrées pour Far From Home) et le second meilleur démarrage pour un film du MCU, juste derrière Avengers : Endgame (692 142 entrées).
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Pale a écrit :
jeu. 16 déc. 2021 18:12
Ah ce n'est pas une blague de mauvais gout c'est un véritable film ? :lol: Jean-Jacques Annaud est un fan des monuments religieux mais j'ai quand même un doute sur la démarche :saint:
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
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weird

Pale a écrit :
jeu. 16 déc. 2021 18:12
J'ai vu la bande-annonce en salles, et ça a l'air catastrophique :lol:
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