Le Cercle des profileurs disparus

Inutile de vénérer Godard pour venir discuter sur ce forum. Le Général vous permet en effet d'aborder tous les sujets outre le cinéma.
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Pale
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Page 30 :sol:
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Cette zik :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love: :love:
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Vu les trois premiers épisodes, je suis fan :love2:
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NaughtyDog
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Pale a écrit :
mar. 24 nov. 2020 22:34
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Vu les trois premiers épisodes, je suis fan :love2:
La S1 est superbe

la S2 un peu moins
Fincher-addict, Cameron-sexuel, Cuaron-gourmet
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Cocu
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NaughtyDog a écrit :
mer. 25 nov. 2020 01:08
Pale a écrit :
mar. 24 nov. 2020 22:34
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Vu les trois premiers épisodes, je suis fan :love2:
La S1 est superbe

la S2 un peu moins
la S2 est un peu moins bien mais je la kiffe quand même 😍 on perd quand même l'histoire du départ.
Pouet
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NaughtyDog a écrit :
mer. 25 nov. 2020 01:08
La S1 est superbe

la S2 un peu moins
L'épisode 3 m'a mis sur le cul quand les personnages squattent dans la maison d'un psychopathe. La fin est tendue à l'extrême :ouch:
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Oscars 2021, ou comment Netflix pourrait battre des records et tout rafler

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Avec Mank et Les Sept de Chicago en grand favori, Netflix pourrait battre des records et rafler de nombreuses statuettes aux Oscars 2021.

Depuis quelques années, Netflix est devenu un véritable poids lourd dans l’industrie hollywoodienne. La plateforme a accueilli dans ses rangs des cinéastes prestigieux, tels que Martin Scorsese, Alfonso Cuarón, ou encore, plus récemment, David Fincher, avec son très attendu Mank. Le nouveau film du réalisateur de Seven et Zodiac est par ailleurs déjà prédit, par les premières critiques, comme l’un des grands favoris aux prochains Oscars.

Et chaque année, depuis quelque temps maintenant, Netflix accroit sa puissance aux Oscars. Ainsi en 2018, Netflix comptait neuf nominations (pour une statuette). En 2019, c'était quinze nominations, dont dix uniquement pour Roma (qui remportera trois oscars dont meilleur réalisateur). Enfin, en 2020, la plateforme dénombrait 24 nominations toutes catégories confondues (deux oscars, dont un pour Marriage Story, mais zéro pour The Irishman malgré ces dix nominations).

Et en 2021, au vu de son catalogue prestigieux, le géant du streaming pourrait bien battre de nouveaux records de nominations dont celui détenu par la MGM depuis 85 ans dans la catégorie meilleur film.

En effet, comme le rappelle Variety, MGM détient le record avec cinq films de la firme nommés pour l'oscar du meilleur film en 1937, et remporté par le studio grâce à The Great Ziegfeld.

Pour le moment, Netflix n’a jamais remporté cette statuette les années précédentes et établit son propre record à deux avec les nominations respectives de The Irishman et Marriage Story dans la catégorie reine en 2020. Mais en 2021, avec la crise sanitaire due à la Covid-19 et le prolongement de cette saison d’éligibilité, Netflix semble avoir la capacité de défier MGM et surtout de remporter enfin le Graal.

Tout d'abord, la plateforme compte dans ses rangs Mank de David Fincher et Les Sept de Chicago d’Aaron Sorkin, soit deux des grands favoris pour remporter l'oscar du meilleur film. En plus de ces deux, les premières critiques de Le Blues de Ma Rainey, avec le regretté Chadwick Boseman dans son dernier rôle, laissent à penser que le long-métrage a toutes ses chances d'être au minimum nommé dans cette catégorie.

Par ailleurs, selon certains, Boseman pourrait remporter l’Oscar du meilleur acteur à titre posthume, ce qui ferait de lui le deuxième acteur à recevoir cet honneur dans cette catégorie après Peter Finch pour Network, main basse sur la télévision de Sidney Lumet, en 1977.

Et évidemment, ce n'est pas fini avec Netflix : Minuit dans l'univers, le blockbuster post-apocalyptique SF de George Clooney, aurait également de grande chance de s'octroyer une nomination dans cette catégorie en plus des nominations techniques plus que probables. Il faut dire que George Clooney a déjà deux oscars à son actif dont celui du meilleur film pour Argo, de quoi ne pas le sous-estimer dans cette course.

Enfin, afin d’égaler le record de la MGM, le film sur la guerre du Vietnam de Spike Lee, Da 5 Bloods : Frères de sang, est également dans la course pour faire parti des nommés dans la catégorie. Sa sortie estivale pourrait affaiblir ses chances, mais sa bonne réception et son propos très engagé semblent le moyen suffisant de le garder dans les petits papiers. Il se dit d'ailleurs que feu Chadwick Boseman pourrait également être nommé à titre posthume dans la catégorie du meilleur second rôle.

Avec ces cinq films, Netflix pourrait donc déjà égaler le record de la MGM pour les nominations à l’Oscar du meilleur film. Et il pourrait même le dépasser tant la liste des possibles prétendants est longue entre la comédie musicale The Prom, mais aussi le drame déchirant Pieces of a Woman, le drame familial Une ode américaine ou encore le huis clos Malcolm & Marie (pour lequel Netflix n'a pas caché ses ambitions). La plateforme pourrait donc très largement détrôner le record de la MGM.

Alors évidemment, rien n'est fait et il faut tempérer. Pour Netflix, le record est encore loin puisqu'il faudra tout de même se méfier du Lion d'or Nomadland de Chloé Zhao, du magnifique Soul des studios Pixar, du spectaculaire Tenet dans les catégories techniques voire du One Night in Miami de son concurrent Amazon Prime Video. Toutefois, avec autant de possibilités dans son panier, la plateforme semble plus qu'en capacité à s'octroyer une ribambelle d'oscars dans toutes les catégories en 2021.

En attendant le verdict des nominations pour cette cérémonie qui aura lieu dans plus de cinq mois, rappelons que Mank de David Fincher est attendu pour le 4 décembre 2020 sur Netflix. Et vous pouvez toujours découvrir ce que l’on pense des Sept de Chicago d’Aaron Sorkin, l’autre grand favori, avec notre critique disponible par ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... gm-gq1OSPo
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Le film sur Nicolas Cage, avec Nicolas Cage dans le rôle de Nicolas Cage, agrandit son casting

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La comédie délirante sur Nicolas Cage, avec Nicolas Cage en Nicolas Cage, donne enfin des nouvelles, avec un nouveau venu dans son casting.

Depuis quelques années maintenant, Nicolas Cage est dans ce que l’on pourrait appeler un gros délire méta sur sa propre carrière. Une sorte de méga crise identitaire géante où l’acteur repasse toute sa filmographie dans un raid filmique, à notre plus grand plaisir.

Entre Mandy, le très bon The Color Out of Space et sa rencontre prochaine avec Sono Sion que l’on attend avec impatience, l’acteur est également parti récemment défoncer de l’alien, aux côtés de Tony Jaa, dans la série B d’action Jiu Jitsu, tandis qu’il ira se bastonner dans un parc d’attractions avec Willy's Wonderland très bientôt.

Mais au milieu de toutes ces joyeusetés, il y en a une qui nous fait particulièrement envie et elle s’intitule The Unbearable Weight of Massive Talent. Un long-métrage qui s’annonce comme un pur égo trip où Cage va jouer Cage dans une comédie délirante. Et l’acteur ne sera pas seul dans son délire puisqu’un autre acteur de marque vient de rejoindre le casting.

En effet, selon Deadline, l’acteur Neil Patrick Harris (How I Met Your Mother), connu pour son talent dans l’autodérision, rejoindra Pedro Pascal, Tiffany Haddish et Sharon Horgan, aux côtés de Nicolas Cage, dont il jouera l’agent fictif, ce qui promet d’envoyer du lourd.

Pour rappel, le film racontera l’histoire d’une version has been de Nicolas Cage, financièrement ruinée et au point mort sur le plan créatif. Ce dernier accepte une offre à un million de dollars pour se rendre à l’anniversaire d’un fan mexicain milliardaire (Pedro Pascal), qui s’avère être un baron de la drogue qui détient la fille d’un candidat à la présidentielle. Évidemment, le tout va prendre une tournure dangereuse, où l’acteur va devoir se hisser à la hauteur de sa légende, et de ses rôles emblématiques, pour se sauver lui et ses proches.

Un synopsis qui promet un trip sacrément barré, où Cage va probablement rejouer tous les rôles iconiques qui ont marqué sa filmographie, dans la veine du précédent trip sous acides qu’était le Mandy de Panos Cosmatos, en poussant cette fois le délire méta beaucoup plus loin. Car oui, après tout, qui d’autre que Nicolas Cage peut jouer Nicolas Cage ?

Pour rappel, The Unbearable Weight of Massive Talent sera réalisé par Tom Gormican, qui co-écrit également le scénario aux côtés de Kevin Etten, avec Kevin Turen, Kristin Burr et Mike Nilon à la production. Le film sera distribué par Lionsgate et n’a pas encore de date de sortie annoncée, étant en cours de production.

En attendant, on pourra retrouver Neil Patrick Harris au casting de Matrix 4 de Lana Wachowski, dont la sortie a été avancée récemment au 21 décembre 2021 en France. L’acteur en dit un peu plus sur son rôle dans ce nouveau film par ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... L3PCANhIz8
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Gaumont repousse le nouveau OSS 117 et bouleverse son planning de 2021

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Attendu de pied ferme pour le début de l'année 2021, OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire vient d'être repoussé par Gaumont, qui actualise son line-up.

C’était sans aucun doute l’un des films français les plus attendus du début de l’année 2021, qu’on a tous très envie de voir. Après avoir créé l’attente avec une première bande-annonce très excitante, qui promettait un troisième opus dans la lignée de ses deux prédécesseurs, réalisés par Michel Hazanavicius, Nicolas Bedos nous avait teasé un retour de l’espion "plus con que jamais", avec OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire.

Mais comme on pouvait s’en douter, le reconfinement et la fermeture des salles ont bousculé les plans, dont ceux de Gaumont. Avant une possible réouverture des cinémas français à la mi-décembre, le studio doit donc tout changer et revoir son agenda des sorties.

Ainsi, Adieu les cons d'Albert Dupontel est reprogrammé pour la réouverture des salles (normalement prévue pour mi-décembre), afin que le film puisse continuer son bon démarrage durant les fêtes de Noël, si réouverture il y a. Ce qui implique les reports des plus grosses sorties de Gaumont, dont Aline de Valérie Lemercier, désormais prévu pour une sortie le 17 février 2021, mais aussi le troisième volet de la trilogie OSS 117, prévu quant à lui pour une sortie le 14 avril 2021, au lieu du 3 février 2021.

À la place de la comédie de Nicolas Bedos, on retrouvera donc Mystère de Denis Imbert, prévu désormais pour le 3 février, mais aussi Le sens de la famille de Jean-Patrick Benes, prévu quant à lui pour le 3 mars 2021. Tandis que Les Fantasmes de David et Stéphane Foenkinos et Illusions perdues de Xavier Giannoli sont respectivement décalés au 25 août et 27 octobre 2021.

Comme quoi, il n’y a pas que les grosses majors hollywoodiennes qui reportent leurs blockbusters respectifs à 200 millions de dollars, puisque le cinéma français réorganise aussi son agenda des sorties. Il va donc falloir prendre son mal en patience pour découvrir la suite des aventures de Hubert Bonnisseur de la Bath (Jean Dujardin) dans OSS 117 : Alerte rouge en Afrique noire. Le film a d'ailleurs été décalé notamment pour éviter d'affronter Les Tuche 4, repoussé récemment par Pathé du 16 décembre 2020 au 3 février 2021 (l'ancienne date du nouveau OSS 117).

En attendant, on ira tous soutenir les salles de cinéma au mois de décembre, avec le retour d’Adieu les cons d’Albert Dupontel à la réouverture, ainsi que Wonder Woman 1984 de Patty Jenkins, le dernier blockbuster programmé en 2020 dans nos salles, attendu pour le 16 décembre 2020 en France.

Et si vous n’avez pas eu le temps d’aller voir le nouveau Dupontel avant le reconfinement, vous pouvez toujours découvrir tout le bien que l'on en pense, avec notre critique disponible par ici.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... zzUWgB_cFU
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Mathieu Kassovitz raconte le tournage magique mais absurde avec Terrence Malick

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L’acteur-réalisateur a confié faire partie du casting de The Way of the Wind, le nouveau film de Terrence Malick sur la vie du Christ.

Si Mathieu Kassovitz fait souvent parler de lui pour ses multiples coups de gueule, il ne cesse de surprendre son monde avec certaines de ses actualités. Qu’on partage ou non ses opinions sur le septième art, le réalisateur de La Haine et L'Ordre et la Morale est un cinéphile averti, bien heureux d’avoir pu obtenir des rôles dans les films de ses modèles, de Steven Spielberg (Munich) à Luc Besson (Le Cinquième Element) en passant par Steven Soderbergh (Piégée).

Clairement, l’acteur-cinéaste ne va pas s’arrêter en si bon chemin. Au micro de Konbini, pendant un épisode de Vidéo Club pensé pour fêter les 25 ans de La Haine, Kassovitz a annoncé l’air de rien qu’il avait participé au tournage du nouveau film de Terrence Malick. On vient d’ailleurs d’apprendre que ce projet intrigant, initialement intitulé The Last Planet, possède désormais un titre définitif : The Way of the Wind (le chemin/sens du vent en français).

Il s’agit d’une référence à un passage de la Bible : “Comme tu ne sais pas quel est le chemin du vent ni comment se forment les os dans le ventre de la femme enceinte, tu ne connais pas non plus l'œuvre de Dieu qui fait tout” (Ecclésiaste 11:5). Car oui, Terrence Malick a l’ambition de retracer la vie du Christ ! Rien que ça !

D’abord l’auteur de chefs-d'œuvre comme La Balade sauvage ou Les Moissons du ciel, Terrence Malick s’est imposé en tant que véritable poète du cinéma, prenant souvent de nombreuses années pour concevoir ses films. Pourtant, depuis The Tree of Life et sa Palme d’Or en 2011, le réalisateur ne cesse d’enchaîner les tournages.

Après sa trilogie abstraite composée de À la merveille, Knight of Cups et Song to Song, Malick est revenu à un cinéma (un peu) plus narratif avec Une vie cachée (qui nous avait époustouflés à la rédaction). C’est d’ailleurs pendant la présentation de ce dernier à Cannes en 2019 qu’on a appris l’existence de The Way of the Wind, tout simplement parce que Malick s’est présenté sur les marches du Festival avant d’aller tourner en Italie, chose qu’il évite habituellement.

C’est en voyant le DVD de La Vie de Brian des Monty Python pendant l’émission de Konbini que Mathieu Kassovitz a évoqué ce tournage si particulier, et la méthode unique de travail du réalisateur :

“C’est dur. C’est six mois de tournage. Il tourne 5 heures par jour. Je crois qu’ils ont 1 500 heures de rushes. Il tourne tous ses films comme ça. Il a deux ou trois ans de montage après. Il a une technique de travail totalement différente de tout le monde. C’est son outil. Et surtout, il attend des accidents. Il fait des films sur la grâce, sur les moments magiques, donc il va chercher ces moments d’une manière très, très libre et complètement folle.”

Le comédien n'a pas oublié pour autant de souligner les difficultés liées à une telle méthode, tout en gardant un air amusé :

“C’est pénible pour un acteur, parce que tu ne comprends pas ce qu’il se passe. Tu n’as pas de 'action', pas de 'coupez'. T’es tout seul, il y a un mec qui mange des bonbons là-bas. Je te jure, j’étais là à dire, 'Oui, Jésus…' et je le regarde : je le vois en train de choisir des donuts. J’étais là, 'Il se fout de ma gueule ou quoi ? Ça fait 15 fois que je le fais et il ne me regarde même pas' (rires)."

En tout cas, on a hâte de voir ce que Terrence Malick nous réserve avec ce film, surtout au vu de sa filmographie déjà jalonnée de symboles bibliques et de thématiques théologiques. The Way of the Wind n’a pour l’instant pas de date de sortie, mais on sait qu’on y verra Géza Röhrig dans le rôle de Jésus, ainsi que Mark Rylance et Matthias Schoenaerts aux côtés de Mathieu Kassovitz (à moins qu'ils ne résistent pas au montage).


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... AzQhROp0ps

:rofl:
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Cocu a écrit :
mer. 25 nov. 2020 06:34
NaughtyDog a écrit :
mer. 25 nov. 2020 01:08
Pale a écrit :
mar. 24 nov. 2020 22:34
Vu les trois premiers épisodes, je suis fan :love2:
La S1 est superbe

la S2 un peu moins
la S2 est un peu moins bien mais je la kiffe quand même 😍 on perd quand même l'histoire du départ.
J'avais bien aimé la saison 1. Mais comme pour moi elle se suffisait totalement à elle-même, jamais eu envie de regarder la deuxième.
Et je pense que je ne la verrai jamais vu que tout le monde s'accorde à peu près sur le fait qu'elle est moins bonne depuis sa sortie. Bien content de mon choix. :D
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The 355 : le super thriller féminin repoussé en 2022

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https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... i9MF9Nw5tM
Modifié en dernier par Pale le mer. 25 nov. 2020 09:33, modifié 2 fois.
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Next a écrit :
mer. 25 nov. 2020 09:13
J'avais bien aimé la saison 1. Mais comme pour moi elle se suffisait totalement à elle-même, jamais eu envie de regarder la deuxième.
Et je pense que je ne la verrai jamais vu que tout le monde s'accorde à peu près sur le fait qu'elle est moins bonne depuis sa sortie. Bien content de mon choix. :D
Après vu la durée des épisodes, ça va vite être plié. En fait c'est en partie ce qui m'a motivé hier soir quand j'ai parcouru les séries dans ma liste :D

De mémoire Ecran Large avait particulièrement apprécié la seconde saison.
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Lyricis Interactive

De nouvelles images pour Cherry réalisé par Anthony et Joe Russo, scénario écrit par Jessica Goldberg et Angela Russo-Otstot avec en vedette Tom Holland, Ciara Bravo, Jack Reynor, Bill Skarsgård, Michael Gandolfini, Jeff Wahlberg. (Basé sur le roman de Nico Walker)

Un aide-soignant militaire est de retour de la guerre en Irak. Atteint de stress post-traumatique, il se met à braquer des banques pour financer sa dépendance aux opioïdes.

Sur Apple TV+ début 2021.


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Kit
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ouch

@Pale
mince ! d'abord il y avait Emilia Clarke et maintenant Sophie Turner, dur, dur pour M E W
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tu n'auras pas ton cadeau au pied du sapin
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mar. 24 nov. 2020 16:37
robinne a écrit :
mar. 24 nov. 2020 14:14
C'est fait.
Qu'est ce que je gagne ? :love:
Demande au propriétaire des lieux :o
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mer. 25 nov. 2020 09:01
Mathieu Kassovitz raconte le tournage magique mais absurde avec Terrence Malick
Intriguant :bounce:
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Miamsolo
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NaughtyDog a écrit :
mer. 25 nov. 2020 01:08
Pale a écrit :
mar. 24 nov. 2020 22:34
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Vu les trois premiers épisodes, je suis fan :love2:
La S1 est superbe

la S2 un peu moins
Personnellement, je préfère la saison 2 :saint:
+ de 4400 jours sur AlloCiné
*Mister gentil comme un coeur 2013*
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Kit
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Kit a écrit :
mer. 25 nov. 2020 10:28
@Pale
mince ! d'abord il y avait Emilia Clarke et maintenant Sophie Turner, dur, dur pour M E W
Qu'elle se rassure, elle reste ma number one :love:
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robinne a écrit :
mer. 25 nov. 2020 10:45
Intriguant :bounce:
Bof, il sera peut-être viré du montage :D
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C'est... moyen. On est à des années-lumière du premier épisode. Ce qui rendait le premier magique, c'était l'apparition du fantastique dans le quotidien et la découverte par petite touche de l'univers qui gravite autour du Père Noël. Ici c'est full fantaisie et on frôle limite l'overdose. Après ça reste quand même sympa mais voilà, la magie n'a pas vraiment fonctionné sur moi :D
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Kit
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Pale a écrit :
mer. 25 nov. 2020 11:52
Kit a écrit :
mer. 25 nov. 2020 10:28
@Pale
mince ! d'abord il y avait Emilia Clarke et maintenant Sophie Turner, dur, dur pour M E W
Qu'elle se rassure, elle reste ma number one :love:
est-ce qu'elle le sait ? parce que tu ne postes plus de photo d'elle :saint: :D
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Kit a écrit :
mer. 25 nov. 2020 12:04
est-ce qu'elle le sait ? parce que tu ne postes plus de photo d'elle :saint: :D
Elle le sait oui, c'est fusionnel entre nous :love2:
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Cocu
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Pale a écrit :
mer. 25 nov. 2020 12:36
Kit a écrit :
mer. 25 nov. 2020 12:04
est-ce qu'elle le sait ? parce que tu ne postes plus de photo d'elle :saint: :D
Elle le sait oui, c'est fusionnel entre nous :love2:
Quelle genre de fusion? 😁
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Cocu a écrit :
mer. 25 nov. 2020 17:48
Quelle genre de fusion? 😁
:rofl: Surtout mentale malheureusement :hehe:
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elle n'utiliserait pas le même gel que Cameron Diaz dans Mary à tout prix ? :o
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Kit a écrit :
mer. 25 nov. 2020 22:53
elle n'utiliserait pas le même gel que Cameron Diaz dans Mary à tout prix ? :o
Ça c'est confidentiel :covid: :D

J'ai terminé la première saison de The End of the F***ing World. Difficile de ne pas s'attacher aux personnages et de rester insensible devant cette cavale désespérée. Peut-être que la saison 1 se suffit à elle-même mais je suis quand même curieux de connaître la suite des événements :D
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Top des séries vues en 2020 :

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1. Le jeu de la dame - Saison 1
2. Better Call Saul - Saison 5
3. Better Call Saul - Saison 4
4. Maniac - Saison 1
5. Unbelievable - Saison 1
6. I Am Not Okay with This - Saison 1
7. The End of the F***ing World - Saison 1

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8. Dark - Saison 3
9. The Haunting of Bly Manor - Saison 1
10. The Umbrella Academy - Saison 2
11. La Forêt de l'Étrange - Saison 1
12. The Witcher - Saison 1
13. Bodyguard - Saison 1

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14. The Umbrella Academy - Saison 1
15. Hollywood - Saison 1

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16. Ragnarök - Saison 1
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Palm Springs (2020), réalisé par Max Barbakow

"L'insouciant Nyles fait la connaissance de la demoiselle d'honneur Sarah lors d'un mariage à Palm Springs. Dès leur rencontre nait une histoire loin d'être de tout repos..."

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Intrigué par les notes positives de ce film sorti cet été aux U.S. sur la plateforme Hulu (et je crois nulle part chez nous pour le moment ?), j'ai lancé ce film sans même véritablement en connaître le synopsis.
Relecture ou variation autour de Groundhog Day aka. Le Jour de la Marmotte aka. Un Jour Sans Fin, c'est une jolie "rom com" devant laquelle j'ai passé un bon moment !

Avant tout et surtout grâce à l'alchimie parfaite du duo formé par Cristin Milioti (How I Met Your Mother) et Andy Samberg (Saturday Night Live, Brooklyn Nine-Nine,...). Deux personnages désabusés, nihilistes et alcooliques sur les bords (le cocktail idéal pour que je m'identifie instantanément à eux. :saint: ) dont le rapprochement fonctionne dès le premier regard partagé. Parti de là, le principe de la comédie romantique qui en découle ne pouvait que fonctionner finalement.

Et si on pourra lui reprocher un schéma très classique du genre, et peut-être que le principe de la même journée répétée à l'infini commence à avoir été peut-être trop vu ces dernières années, après avoir paradoxalement longtemps été sous-exploité je trouve, le film contient tout de même suffisamment de bonnes trouvailles scénaristiques et visuelles pour rester accrocheur quasi jusqu'au bout. A mon sens il pêche juste un peu scénaristiquement sur la fin, un peu plus bâclée que le reste, mais sur le global, il gère joliment son rythme, son humour et ses moments plus teintés d'émotion.

★★★★☆☆

P.S. ... Réservé à ceux qui ont suivi How I Met jusqu'au bout ...

C'était déjà le cas pour moi avant ce film et la raison principale de mon désamour de la dernière saison de la série : mais après avoir vu Palm Springs : Cristin Milioti est la seule et unique "mother" qui compte ! :o :love:
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Kit
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Pale a écrit :
mer. 25 nov. 2020 22:58
Kit a écrit :
mer. 25 nov. 2020 22:53
elle n'utiliserait pas le même gel que Cameron Diaz dans Mary à tout prix ? :o
Ça c'est confidentiel :covid: :D

J'ai terminé la première saison de The End of the F***ing World. Difficile de ne pas s'attacher aux personnages et de rester insensible devant cette cavale désespérée. Peut-être que la saison 1 se suffit à elle-même mais je suis quand même curieux de connaître la suite des événements :D
bah alors on dira que c'est stylé à défaut de Stiller :p
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Pale
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weird

@Pale
tu es ce qu'on appelle une tête à clarke :sarcastic:
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Pale
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Kit a écrit :
jeu. 26 nov. 2020 00:50
@Pale
tu es ce qu'on appelle une tête à clarke :sarcastic:
Désolé j'ai pas pu m'empêcher :D

Sinon Mads Mikkelsen remplace officiellement Johnny Depp dans Les Animaux fantastiques 3.
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Kit
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Pale a écrit :
jeu. 26 nov. 2020 00:59
Kit a écrit :
jeu. 26 nov. 2020 00:50
@Pale
tu es ce qu'on appelle une tête à clarke :sarcastic:
Désolé j'ai pas pu m'empêcher :D

Sinon Mads Mikkelsen remplace officiellement Johnny Depp dans Les Animaux fantastiques 3.
désolé mais j'ai sauté sur l'occasion pour le jeu de mot :D
pour Mikkelsen beau cadeau d'anniversaire
Vosg'patt de cœur
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robinne
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weird

Pale a écrit :
mer. 25 nov. 2020 11:52
robinne a écrit :
mer. 25 nov. 2020 10:45
Intriguant :bounce:
Bof, il sera peut-être viré du montage :D
Ce serait dommage :sweat:
Mais bon, tu as raison, on a connu des stars plus grandes coupées par Malick :lol:
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Cocu
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Pale a écrit :
mer. 25 nov. 2020 22:58
Kit a écrit :
mer. 25 nov. 2020 22:53
elle n'utiliserait pas le même gel que Cameron Diaz dans Mary à tout prix ? :o
Ça c'est confidentiel :covid: :D

J'ai terminé la première saison de The End of the F***ing World. Difficile de ne pas s'attacher aux personnages et de rester insensible devant cette cavale désespérée. Peut-être que la saison 1 se suffit à elle-même mais je suis quand même curieux de connaître la suite des événements :D
cool, j'espère que t'enchaines, sinon tu vas y perdre goût !
Pouet
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Cocu
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Kit a écrit :
mer. 25 nov. 2020 23:16
ah alors on dira que c'est stylé à défaut de Stiller :p
:D
Pouet
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Cocu a écrit :
jeu. 26 nov. 2020 08:10
cool, j'espère que t'enchaines, sinon tu vas y perdre goût !
Oui c'est prévu :jap:
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Pale
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Xavier Dolan : la première série d'horreur du prodige canadien se précise sur Canal +

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C'est auprès de Canal + que Xavier Dolan a choisi de se lancer dans le projet d'une première série, à première vue fort intrigante.

Il y a onze ans, le premier long métrage de Xavier Dolan sortait au cinéma. Aujourd'hui, la carrière du réalisateur canadien compte déjà 8 films. C'est peut-être le moment qu'il aura choisi pour bousculer ses habitudes d'écriture et de format, car pour la première fois, il faudra se tourner du côté du petit écran pour découvrir sa nouvelle oeuvre. C'est en effet auprès de Canal + que Xavier Dolan a choisi de se lancer dans le projet d'une première série, à première vue fort intrigante.

Après l'expérience hollywoodienne Ma vie avec John F. Donovan et son lot de dimensions chaotiques (notamment l'histoire de son montage rocambolesque, et l'accueil parfois glacial chez le public, dans la presse et les festivals), la carrière de Xavier Dolan semblait prendre la direction d'un retour aux thèmes et aux formes de mise en scène qui ont fait ses plus grands coups d'éclat comme J'ai tué ma mère ou Mommy, avec Matthias & Maxime.

En 2020, on a eu des nouvelles du Dolan très énergique et à en croire les indices qu'il a semés dans la presse, tout porte à croire que le réalisateur souhaite prolonger ce mouvement de retour à l'intime. Ce choix s'incarnera en partie dans le format même de sa nouvelle oeuvre, puisque ce n'est plus au cinéma qu'on la découvrira, mais directement chez soi - à condition d'être abonné à Canal +.

En quoi consistera la première série écrite, réalisée, et jouée par Xavier Dolan ? Portant le titre énigmatique de La nuit où Laurier Gaudreault s'est réveillé, la série est présentée à la fois comme un "thriller psychologique", mais aussi, de façon plus étonnante et attirante, comme un "film d'horreur" par son réalisateur. La série sera courte - elle ne comptera pas plus de cinq épisodes. Quant à Canal +, le studio évoque "une œuvre poignante où se côtoieront l’horreur, l’humour, le mystère et le drame."

Il s'agira d'une adaptation de la pièce de théâtre éponyme, connue pour le succès considérable qu'elle avait rencontré lors de ses représentations en 2019. Après avoir été un temps annoncée sur Netflix (fin juin 2019) puis finalement refusée par la plateforme, c'est finalement Canal + qui s'en est emparé et a officiellement annoncé que le tournage débutera en mars 2021.

La pandémie et l'arrêt forcé des productions n'auront pas été vécus comme une chose foncièrement néfaste par Xavier Dolan, au contraire. Le réalisateur, dont on ne saurait nier la productivité plutôt spectaculaire, a évoqué cette période pourtant creuse du cinéma comme inspirante et motivante dans le communiqué officiel du studio :

« Au-delà de l’évidence qui s’est imposée à moi, d’écrire et de tourner ce récit sur la vie et la mort, sur le deuil, l’acceptation de soi, la famille, il y a eu entre l’idée et la concrétisation des mois d’attente causés par la pandémie, et qui m’auront plus que jamais inspiré, excité, impatienté, même, de passer à l’acte, et de repousser toujours plus mes limites, d’explorer le genre du thriller, de renouveler ma façon de raconter, auprès qui plus est d’une distribution de rêve."

Si à ce stade de l'article, la question de savoir si Dolan est une vaste arnaque ou un vrai génie vous turlupine, on vous propose de faire le point en revenant sur sa carrière ici. Quant à La nuit où Laurier Gaudreault s'est réveillé, sa sortie est prévue en janvier 2022.


https://www.ecranlarge.com/series/news/ ... vZXxGQkluc
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Pale
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EL n'a pas trop aimé Come Play (2 étoiles) :

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Le succès stratosphérique de Dans le noir a poussé bien des producteurs américains à regarder de plus près les court-métrages viraux horrifiques, capables d'être vus des millions de fois sur Youtube. Même Amblin, la célèbre boite de production de Steven Spielberg, s'y est mise, en donnant au réalisateur Jacob Chase de quoi rallonger son film Larry, une valeur sûre des programmations de courts d'épouvante. Un pari systématiquement gagnant ?

Petit Larry deviendra grand


Comme Lights Out, l’efficace court qui avait inspiré Dans le noir, Larry fonctionnait sur un principe très simple, un modèle maintes et maintes fois reproduit, à toutes les sauces. Une durée très courte. Un lieu unique. Une entité invisible. Un jeu sur l’obscurité. Et un jump-scare final bien bourrin. L’exercice du court-métrage horrifique a beau être un des défis les plus exigeants du 7e art, ce genre de productions très schématiques, parfois assurées d’un succès d’estime sur Internet, ont tendance à alourdir les programmations de courts de festival.

Mais les cinéastes à leur origine, souvent handicapés par des moyens limités, ne risquent pas d’en démordre. Après David F. Sandberg, c’est le monteur et réalisateur confirmé Jacob Chase, avec déjà une dizaine de courts et même un long-métrage à son actif, qui s’est vu proposer un chèque pour adapter sa courte histoire en film taillé pour le grand écran. Un travail très loin d’être aisé.

En effet, la durée et le genre du matériau d’origine supposent une simplicité narrative qu’il faut redéployer et approfondir pour atteindre le cap fatidique de l’heure et demie. Lights Out accordait à son metteur en scène une marge de manœuvre confortable, puisqu’il ne reposait que sur un concept simple. Larry, légèrement plus alambiqué, supposait un rapport aux écrans et une micro-mythologie pour sa créature.

Deux terrains glissants qu’il a fallu complexifier et envelopper dans une intrigue plus conséquente. Et pour parvenir à ses fins, Chase n’a pas hésité à s’inspirer de tous les succès récents, quitte à paraître finalement bien anonyme. On est donc face à un film dit « d’ami imaginaire » classique, mettant principalement en scène, comme la tradition le veut, une mère et son fils liés par une relation très dysfonctionnelle. Voilà la perspective qui a dû séduire Amblin, connue pour faire des enfants et de leurs problèmes familiaux ses fers de lance thématiques.

La petite boutique de l’horreur

Malheureusement, ici, cela se traduit par un recours à tous les gimmicks éculés d’un cinéma d’épouvante mainstream américain en manque crucial de renouvellement. Visiblement très inspiré du Mister Babadook de Jennifer Kent, Chase n’en garde cependant que les ficelles les plus évidentes ou une identité visuelle précise (le style graphique du e-book maléfique est quasi-similaire à celui du livre pour enfant de Babadook). Le reste, il le colmate avec les habituels carcans préconçus du genre, encore une fois maladroitement utilisés.

Le film se perd donc en choix au mieux invisibles, au pire à côté de la plaque. Convaincu que les apparitions du monstre l’imposent, le cinéaste choisit par exemple un cinémascope pertinent dans le cas du court métrage (qui se déroule dans un décor vide), mais ici pas tant adapté à son sujet : les écrans de tablettes et autres téléphones, par défaut en 16/9.

Comme ses collègues, il met également l’emphase sur le sound design, arme de prédilection de James Wan et de ses nombreux imitateurs, au point de surcharger des séquences pourtant prometteuses et faire du fameux Larry un personnage de cartoon horrifique. Avait-on besoin d’entendre ses pas dans la scène où il approche du laser ?

Un trop-plein d’effets qui s’impose de lui-même, histoire de coller au reste de la production actuelle, dans une quête désespérée de légitimité, primordiale (a priori) pour les auteurs s’essayant à l’épouvante aujourd’hui. C’est d’autant plus dommage que Chase ne manque manifestement pas de talent : il parvient à parfaitement doser un climax pourtant exigeant, et tire parfois bien parti de son argument technologique, notamment grâce à une utilisation des filtres faisant violemment basculer la flippe dans notre XXIe siècle adoré.

Babadook.com

Le bat blesse lorsque la maladresse de l’ensemble, non contente de gâcher un peu un potentiel flippant indéniable, touche aussi la structure narrative. Larry racontait la matérialisation d’un monstre à travers les écrans. Come Play se réapproprie la thématique avec un angle à l’origine très sensible (un garçon autiste souffre de devoir communiquer avec une tablette), mais qui lorgne vite sur la leçon technophobe classique, jusqu’au point de non-retour précédent le climax, où Larry révèle lui-même être issu du mal causé par la technologie.

L’intéressant Babadook numérique se mue en mauvais épisode de Black Mirror, refusant, contrairement au traitement de Jennifer Kent, de considérer la part d’humain qui réside dans les mauvaises relations qu’entretient Oliver avec sa mère, pour tout mettre sur le dos de la méchante tablette. Rechignant à accorder à son antagoniste la forme d’ambiguïté que demande pourtant le sujet (encore une fois, Babadook est un modèle à ce niveau), le film s’embourbe dans un manichéisme qui déteint sur tous les personnages.

Il suffit de voir les joutes entre gosses qui intéressaient tant Amblin, pourtant une thématique cruciale et parfois délaissée par un cinéma populaire qui préfère s’attarder sur les cellules familiales, sombrer dans le schématisme pur, distinguant les harceleurs et les repentis.

Tant de problèmes qui l’empêchent de vraiment s’inscrire dans la veine intimiste mainstream clairement revendiquée. Jacob Chase s’attaquait à gros en écrivant sur l’exclusion de l’enfant par le biais de la technologie. Mais sa métaphore grossière et très mécanique dans sa gestion de l’émotion se prend un peu les pieds dans le tapis. Et ce n’est pas un ultime sursaut sensible, relativisant l’impact des écrans, qui le sauvera de l’oubli où il risque bien – faute d’une distribution très médiatisée et d'une situation sanitaire plus propice – de sombrer dans l’oubli où croupissent déjà beaucoup d’amis imaginaires en CGI.

Le court-métrage polissé s'est mué en long-métrage polissé, et même un peu réac'.


https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... BsPTK0QMaU
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Pale
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The Adam Project : le film Netflix avec Ryan Reynolds agrandit son casting avec un Avenger

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Le prochain film de science-fiction de Netflix verra Mark Ruffalo et Ryan Reynolds se donner la réplique.

Après Chris Hemsworth dans Tyler Rake et le prochain Spiderhead, ainsi qu'Anthony Mackie dans Altered Carbon et le prochain The Ogun, Netflix va ramener un autre Avenger dans son catalogue. C'est cette fois au tour de Mark Ruffalo, qui a récemment brillé dans la série I Know This Much Is True, de rejoindre la plateforme pour la comédie de science-fiction The Adam Project.

Comme le veut la formule Netflix qui consiste notamment a accumuler les gros noms, l'interprète de Hulk dans le MCU rejoint ainsi Ryan Reynolds au casting du film de Shawn Levy, le réalisateur du prochain Free Guy, également avec Reynolds.

Jusqu'ici, on savait que le scénario de Jonathan Tropper (Banshee, Warrior) verrait le personnage de Ryan Reynolds probablement appelé Adam, retourner dans le passé afin de chercher sa version âgée de 13 ans, mais on n'avait aucune indication sur le pourquoi du comment de cette entreprise. Après que les noms de Zoe Saldana (Les Gardiens de la Galaxie, Star Trek, Avatar) et Jennifer Garner (Love, Simon, Alias, Elektra) aient été cités par Deadline, c'est au tour de The Hollywood Reporter de dévoiler le reste du casting et de nouveaux détails sur l'intrigue.

Les deux versions de Reynolds (enfin, de son personnage) devront ainsi retrouver leur défunt père, un physicien de génie campé par Mark Ruffalo. Le novice Walker Scobell incarnera quant à lui l'adolescent, tandis que Catherine Keener (Kidding, Get Out) campera l'antagoniste principale qui a dérobé une puissante technologie au personnage de Rufflalo et devrait être à l'origine de ce retour dans le temps. Alex Mallari Jr. (Dark Matter, Code 8) de son côté jouera son bras droit.

Il s'agira d'une nouvelle collaboration entre Ryan Reynolds et la plateforme après 6 Underground de Michael Bay (critique ici) et le prochain Red Notice de Rawson Marshall Thurber attendu pour 2021 avec Dwayne Johnson et Gal Gadot au casting. The Adam Project n'a pour l'instant pas dévoilé d'aperçu ni de date de sortie.


https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... k3dGwH-AGs
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robinne
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weird

Pale a écrit :
jeu. 26 nov. 2020 08:41
Xavier Dolan : la première série d'horreur du prodige canadien se précise sur Canal +
C’est bien tentant :bounce:
... ce n'est plus au cinéma qu'on la découvrira, mais directement chez soi - à condition d'être abonné à Canal +.
Ah bon ? :saint:
Si à ce stade de l'article, la question de savoir si Dolan est une vaste arnaque ou un vrai génie vous turlupine...
« arnaque », « génie », tout dans la mesure :sarcastic:
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Pale
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robinne a écrit :
jeu. 26 nov. 2020 08:59
Pale a écrit :
jeu. 26 nov. 2020 08:41
... ce n'est plus au cinéma qu'on la découvrira, mais directement chez soi - à condition d'être abonné à Canal +.
Ah bon ? :saint:
What ? :D
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