Ça va etre bieen
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NaughtyDog
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Il n'y a pas un petit côté Apocalypto mais version esclavage ?
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NaughtyDog
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Jvois le Inarritu et le David O Russel la semaine pro
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Les critiques de Amsterdam sont pas des plus rassurantes
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BOX OFFICE STORY
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Ni la bande annonce d'ailleurs
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La pierre philosophale transformait le plomb en or.
Disney transforme l'or en merde.
Kevin Feige tu fais de la merde.
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On rigole bien devant ces gros spécimens de riches péteux qui prennent cher
Pour le reste le film semble comme les précédents de son réalisateur : une montagne qui apparaît à l'horizon durant la première moitié du film pour finalement accoucher d'une souris vers la fin.
Plus j'y pense plus il semble baisser dans mon estime. Alors que ça fait même pas 24h que j'ai été le voir. Östlund est quand même un bel esbroufeur même si il y a de bonnes idées par ci et par là.
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
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ClintReborn
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J'ai arrêté de suivre la palme il y a 15 ans 
Ah ça y’est, j’viens de comprendre à quoi ça sert la canne. En fait ça sert à rien… Du coup ça nous renvoie à notre propre utilité : l’Homme face à l’Absurde ! (Perceval)
"Le chemin de la liberté commence la ou les croyances se meurent"
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Megalopolis : le nouveau film SF de Coppola agrandit encore son casting
Le casting de Megalopolis, le futur film de science-fiction réalisé par Francis Ford Coppola, s’agrandit encore.
Beaucoup de cinéastes rêvent de finir comme John Huston, en accouchant d'une oeuvre qui leur tient particulièrement à coeur (pour Huston, c’était Les Gens de Dublin) et en espérant qu'il devienne l'un des meilleurs de leur carrière (et c'est bien le cas pour Huston, même si beaucoup ne l'ont malheureusement pas vu). Et justement, pour Francis Ford Coppola, le rêve de concrétiser Megalopolis, un projet qu'il porte dans son coeur depuis des années et à la folle ambition se précise un peu plus chaque jour.
Alors que Coppola utilisera une technologie révolutionnaire pour le long-métrage, la démesure ne concerne pas seulement la partie technique. En effet, le casting cinq étoiles impressionne comme pour les précédents films du cinéaste qui a dirigé par le passé Al Pacino, Marlon Brando ou Gene Hackman. Cette fois, Adam Driver, Forest Whitaker, Nathalie Emmanuel ou Jon Voight seront à l’affiche de Megalopolis. Et ce n’est pas terminé, puisque ce casting continue de s’agrandir, toujours avec des noms prestigieux, à commencer par le vétéran et oscarisé Dustin Hoffman.
Le comédien, âgé de 85 ans, et dont les dernières apparitions n’ont pas laissé un souvenir impérissable (excepté l’honnête film de Noah Baumbach, The Meyerowitz Stories) rejoint le projet d’un des monstres sacrés du septième art encore en vie. L’interprète de Rain Man et de Little Big Man sera dirigé pour la première fois par le réalisateur.
Par ailleurs, Coppola s’octroie les services d’autres acteurs et actrices de talent : Chloe Fineman (qui tient un petit rôle dans le prochain long-métrage de Damien Chazelle, Babylon), Isabelle Kusman vue dans Licorice Pizza de Paul Thomas Anderson et D.B. Sweeney (qui a travaillé avec Coppola à l’occasion de Jardins de pierre) encadreront le débutant Bailey Ives.
Alors que la superproduction du cinéaste n’a pas entamé son tournage, Megalopolis impressionne déjà par des annonces aussi démentielles que le dessein de son auteur. Coppola va de nouveau superviser une pléiade de vedettes talentueuses comme dans Le Parrain, Dracula ou Apocalypse Now. Et on espère que ce sera l’occasion de prouver une nouvelle fois qu’il n’est pas seulement un formidable conteur, mais qu'il est également un fabuleux directeur d’acteurs.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... T8jshkztKo
Le casting de Megalopolis, le futur film de science-fiction réalisé par Francis Ford Coppola, s’agrandit encore.
Beaucoup de cinéastes rêvent de finir comme John Huston, en accouchant d'une oeuvre qui leur tient particulièrement à coeur (pour Huston, c’était Les Gens de Dublin) et en espérant qu'il devienne l'un des meilleurs de leur carrière (et c'est bien le cas pour Huston, même si beaucoup ne l'ont malheureusement pas vu). Et justement, pour Francis Ford Coppola, le rêve de concrétiser Megalopolis, un projet qu'il porte dans son coeur depuis des années et à la folle ambition se précise un peu plus chaque jour.
Alors que Coppola utilisera une technologie révolutionnaire pour le long-métrage, la démesure ne concerne pas seulement la partie technique. En effet, le casting cinq étoiles impressionne comme pour les précédents films du cinéaste qui a dirigé par le passé Al Pacino, Marlon Brando ou Gene Hackman. Cette fois, Adam Driver, Forest Whitaker, Nathalie Emmanuel ou Jon Voight seront à l’affiche de Megalopolis. Et ce n’est pas terminé, puisque ce casting continue de s’agrandir, toujours avec des noms prestigieux, à commencer par le vétéran et oscarisé Dustin Hoffman.
Le comédien, âgé de 85 ans, et dont les dernières apparitions n’ont pas laissé un souvenir impérissable (excepté l’honnête film de Noah Baumbach, The Meyerowitz Stories) rejoint le projet d’un des monstres sacrés du septième art encore en vie. L’interprète de Rain Man et de Little Big Man sera dirigé pour la première fois par le réalisateur.
Par ailleurs, Coppola s’octroie les services d’autres acteurs et actrices de talent : Chloe Fineman (qui tient un petit rôle dans le prochain long-métrage de Damien Chazelle, Babylon), Isabelle Kusman vue dans Licorice Pizza de Paul Thomas Anderson et D.B. Sweeney (qui a travaillé avec Coppola à l’occasion de Jardins de pierre) encadreront le débutant Bailey Ives.
Alors que la superproduction du cinéaste n’a pas entamé son tournage, Megalopolis impressionne déjà par des annonces aussi démentielles que le dessein de son auteur. Coppola va de nouveau superviser une pléiade de vedettes talentueuses comme dans Le Parrain, Dracula ou Apocalypse Now. Et on espère que ce sera l’occasion de prouver une nouvelle fois qu’il n’est pas seulement un formidable conteur, mais qu'il est également un fabuleux directeur d’acteurs.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... T8jshkztKo
Un an après le drame, Alec Baldwin va reprendre le tournage de Rust
La directrice de la photographie, Halyna Hutchins, avait perdu la vie sur le plateau. Son mari a accepté un règlement à l'amiable et sera même désormais producteur exécutif du film.
Malgré la tragédie, le choc et les traumatismes, the show must go on. Il y a tout juste un an, en octobre 2021, le tournage de Rust était brutalement interrompu par deux coups de feu : le premier blessant le réalisateur, le second tuant la directrice de la photographie Halyna Hutchins. C'est Alec Baldwin, star et producteur de ce western, qui est accusé d'avoir appuyé sur la détente du revolver du personnage, pensant que le pistolet était chargé à blanc, comme il aurait dû. Mais ce sont de vraies balles qui sont sorties du canon, entraînant un dramatique accident qui secoua toute la profession.
Aujourd'hui, on apprend que Rust reprendra sa production, au Nouveau-Mexique, en janvier 2023, "avec tous les principaux acteurs originaux à bord".
Comment est-ce possible ? Un accord amiable a été trouvé avec les proches de Halyna Hutchins. Après les différentes enquêtes, l'époux, Matthew Hutchins, a décidé de tourner la page et a publié une déclaration ce 5 octobre annonçant qu'il n'y aurait pas au procès contre les producteurs de Rust ou Alec Baldwin.
"Nous sommes parvenus à un règlement à l'amiable, sous réserve de l'approbation du tribunal" dit le veuf de Halyna Hutchins. "Dans le cadre de ce règlement, notre affaire sera donc close. Le tournage de Rust, que je vais maintenant produire, reprendra avec tous les principaux membres, présents au départ, en janvier 2023." Il explique dans la foulée sa décision : "Je n'ai aucun intérêt à me livrer à des récriminations ou à chercher des gens à blâmer (les producteurs ou M. Baldwin). Nous pensons tous que la mort de Halyna fut un terrible accident. Je suis reconnaissant que les producteurs et la communauté du divertissement se soient réunis pour rendre hommage au dernier travail de Halyna."
Son dernier travail, ce sera donc Rust, qui sera encore réalisé par Joel Souza, de retour après sa blessure : "Dans mes propres tentatives de guérison, si je décidais de revenir pour terminer la réalisation de ce film, cela ne pouvait avoir de sens qu'avec la participation de Matt et de la famille Hutchins. Même si le sentiment est ambiguë, je suis heureux qu'ensemble, nous achevions maintenant ce que Halyna et moi avons commencé. Tous mes efforts seront voués à honorer l'héritage de Halyna et à la rendre fière. C'est un privilège de faire cela en son nom."
Alec Baldwin sera donc aussi de retour, flingue à la main, au centre du film Rust, qui s'annonce comme une étrange oeuvre cinématographique posthume. L'acteur n'a pas officiellement réagi, mais via ses avocats, il a juste commenté sur Instagram : "Nous sommes reconnaissants à tous ceux qui ont contribué à la résolution de cette situation tragique et douloureuse."
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... N-cUmsjXnk
La directrice de la photographie, Halyna Hutchins, avait perdu la vie sur le plateau. Son mari a accepté un règlement à l'amiable et sera même désormais producteur exécutif du film.
Malgré la tragédie, le choc et les traumatismes, the show must go on. Il y a tout juste un an, en octobre 2021, le tournage de Rust était brutalement interrompu par deux coups de feu : le premier blessant le réalisateur, le second tuant la directrice de la photographie Halyna Hutchins. C'est Alec Baldwin, star et producteur de ce western, qui est accusé d'avoir appuyé sur la détente du revolver du personnage, pensant que le pistolet était chargé à blanc, comme il aurait dû. Mais ce sont de vraies balles qui sont sorties du canon, entraînant un dramatique accident qui secoua toute la profession.
Aujourd'hui, on apprend que Rust reprendra sa production, au Nouveau-Mexique, en janvier 2023, "avec tous les principaux acteurs originaux à bord".
Comment est-ce possible ? Un accord amiable a été trouvé avec les proches de Halyna Hutchins. Après les différentes enquêtes, l'époux, Matthew Hutchins, a décidé de tourner la page et a publié une déclaration ce 5 octobre annonçant qu'il n'y aurait pas au procès contre les producteurs de Rust ou Alec Baldwin.
"Nous sommes parvenus à un règlement à l'amiable, sous réserve de l'approbation du tribunal" dit le veuf de Halyna Hutchins. "Dans le cadre de ce règlement, notre affaire sera donc close. Le tournage de Rust, que je vais maintenant produire, reprendra avec tous les principaux membres, présents au départ, en janvier 2023." Il explique dans la foulée sa décision : "Je n'ai aucun intérêt à me livrer à des récriminations ou à chercher des gens à blâmer (les producteurs ou M. Baldwin). Nous pensons tous que la mort de Halyna fut un terrible accident. Je suis reconnaissant que les producteurs et la communauté du divertissement se soient réunis pour rendre hommage au dernier travail de Halyna."
Son dernier travail, ce sera donc Rust, qui sera encore réalisé par Joel Souza, de retour après sa blessure : "Dans mes propres tentatives de guérison, si je décidais de revenir pour terminer la réalisation de ce film, cela ne pouvait avoir de sens qu'avec la participation de Matt et de la famille Hutchins. Même si le sentiment est ambiguë, je suis heureux qu'ensemble, nous achevions maintenant ce que Halyna et moi avons commencé. Tous mes efforts seront voués à honorer l'héritage de Halyna et à la rendre fière. C'est un privilège de faire cela en son nom."
Alec Baldwin sera donc aussi de retour, flingue à la main, au centre du film Rust, qui s'annonce comme une étrange oeuvre cinématographique posthume. L'acteur n'a pas officiellement réagi, mais via ses avocats, il a juste commenté sur Instagram : "Nous sommes reconnaissants à tous ceux qui ont contribué à la résolution de cette situation tragique et douloureuse."
https://www.premiere.fr/Cinema/News-Cin ... N-cUmsjXnk
Quelle drôle d'idée
Même si les années 2010 niveau Palme ont été très inégales. Remarque la décennie actuelle s'annonce de la même trempe pour le moment.
Modifié en dernier par shenbov le jeu. 6 oct. 2022 20:51, modifié 1 fois.
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Alors, t'as 2h30 à perdre pour aller la voir ?
Par contre ne mate surtout pas la bande-annonce si c'est dans tes intentions d'y aller, elle dévoile beaucoup trop de choses importantes du film
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
par contre je ne pense pas y aller désolée 
Tiens, le vrai film du moment qui à mon avis me convaincra davantage que la Palme d'Or de cette année mais qui a l'air de passer inaperçu.
Il a l'air plutôt pas mal. Même si je n'ai vu aucune bande-annonce
L'heure de la sortie était une bonne surprise, avec entre autres une BO de Zombie Zombie bien recherchée et inquiétante
Je me tâte d'aller le voir. Peut-être demain matin, histoire d'être certain d'avoir le moins de monde possible (plus une salle est remplie, plus je sature).
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Pale a écrit : ↑jeu. 6 oct. 2022 20:30Megalopolis : le nouveau film SF de Coppola agrandit encore son casting
Le casting de Megalopolis, le futur film de science-fiction réalisé par Francis Ford Coppola, s’agrandit encore.
Beaucoup de cinéastes rêvent de finir comme John Huston, en accouchant d'une oeuvre qui leur tient particulièrement à coeur (pour Huston, c’était Les Gens de Dublin) et en espérant qu'il devienne l'un des meilleurs de leur carrière (et c'est bien le cas pour Huston, même si beaucoup ne l'ont malheureusement pas vu). Et justement, pour Francis Ford Coppola, le rêve de concrétiser Megalopolis, un projet qu'il porte dans son coeur depuis des années et à la folle ambition se précise un peu plus chaque jour.
Alors que Coppola utilisera une technologie révolutionnaire pour le long-métrage, la démesure ne concerne pas seulement la partie technique. En effet, le casting cinq étoiles impressionne comme pour les précédents films du cinéaste qui a dirigé par le passé Al Pacino, Marlon Brando ou Gene Hackman. Cette fois, Adam Driver, Forest Whitaker, Nathalie Emmanuel ou Jon Voight seront à l’affiche de Megalopolis. Et ce n’est pas terminé, puisque ce casting continue de s’agrandir, toujours avec des noms prestigieux, à commencer par le vétéran et oscarisé Dustin Hoffman.
Le comédien, âgé de 85 ans, et dont les dernières apparitions n’ont pas laissé un souvenir impérissable (excepté l’honnête film de Noah Baumbach, The Meyerowitz Stories) rejoint le projet d’un des monstres sacrés du septième art encore en vie. L’interprète de Rain Man et de Little Big Man sera dirigé pour la première fois par le réalisateur.
Par ailleurs, Coppola s’octroie les services d’autres acteurs et actrices de talent : Chloe Fineman (qui tient un petit rôle dans le prochain long-métrage de Damien Chazelle, Babylon), Isabelle Kusman vue dans Licorice Pizza de Paul Thomas Anderson et D.B. Sweeney (qui a travaillé avec Coppola à l’occasion de Jardins de pierre) encadreront le débutant Bailey Ives.
Alors que la superproduction du cinéaste n’a pas entamé son tournage, Megalopolis impressionne déjà par des annonces aussi démentielles que le dessein de son auteur. Coppola va de nouveau superviser une pléiade de vedettes talentueuses comme dans Le Parrain, Dracula ou Apocalypse Now. Et on espère que ce sera l’occasion de prouver une nouvelle fois qu’il n’est pas seulement un formidable conteur, mais qu'il est également un fabuleux directeur d’acteurs.
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Après Morbius, Jared Leto va incarner Karl Lagerfeld dans un biopic
Jared Leto jouera le rôle de Karl Lagerfeld dans un biopic consacré au styliste.
Décidément, Jared Leto n’a pas fini de nous surprendre, souvent en mal. Malgré une filmographie conséquente et un oscar obtenu pour sa prestation dans Dallas Buyers Club, on a pu parfois qualifier le comédien d’arnaque vu ses choix douteux et son inconstance. Le très nase Morbius a ainsi retenu l’attention aussi bien par sa mise en scène indigeste que par l’interprétation ou plutôt la non interprétation de l’acteur.
Si l’ange diabolique d’Hollywood a défrayé la chronique par le passé, cela ne l’a toutefois pas empêché de nouer des liens très forts avec quelques noms illustres et pas seulement dans le milieu cinématographique. Parmi ces figures importantes, on trouve Karl Lagerfeld, le défunt créateur de mode. Or, Jared Leto vient d’annoncer qu’il incarnera le styliste à l’occasion d’un biopic qui lui sera consacré très bientôt. Une information notamment relayée par Deadline et WWD.
Le magazine WWD a ainsi révélé une anecdote amusante autour de la rencontre entre Karl Lagerfeld et Jared Leto. À cette occasion, Jared Leto aurait confié au créateur qu'il souhaitait l'incarner dans un éventuel long-métrage consacré à sa vie et sa carrière. Une idée que Lagerfeld aurait approuvé et qui va donc devenir réalité, malgré la mort du styliste en 2019. L’acteur n’a d’ailleurs pas caché son admiration envers Karl Lagerfeld lorsqu'il s'est exprimé à Deadline :
« Il a toujours été une source d’inspiration pour moi… c’était un véritable polymathe, un artiste, un avant-gardiste, un chef et surtout un homme gentil. »
En outre Jared Leto ne sera pas seulement l’interprète principal du biopic, il officiera également en qualité de producteur aux côtés de sa compagne Emma Ludbrook, via leur propre société de production, Paradox. Si les grandes lignes du scénario n’ont pas encore été dévoilées pour le moment, la carrière de Karl Lagerfeld est suffisamment riche et le personnage suffisamment fascinant pour que Leto y trouve matière.
Par ailleurs, les proches confidents et collaborateurs du styliste, Pier Paolo Righi, Caroline Lebar et Sébastien Jondeau, se sont associés au projet en tant que producteurs exécutifs. On peut alors imaginer que les scénaristes ou le metteur en scène s’appuieront sur leurs témoignages afin de dresser un portrait aussi fidèle que possible.
Espérons en tout cas que Jared Leto ne saccage pas son nouveau bébé, notamment en délivrant une piètre performance dont il a malheureusement le secret. On se rêverait même à imaginer retrouver le Jared Leto des bons jours, celui de Lord of War ou de Dallas Buyers Club, mais le réveil risquerait de faire un peu trop mal. En tout cas, ce biopic s’inscrit dans la lignée d'autres œuvres consacrées à l’univers de la mode comme House of Gucci (dans lequel jouait aussi Jared Leto) ou encore Saint Laurent. Reste à savoir s'il sera aussi étrange que le premier ou réussi que le deuxième.
https://www.ecranlarge.com/films/news/1 ... gkPhYdDJMw
Jared Leto jouera le rôle de Karl Lagerfeld dans un biopic consacré au styliste.
Décidément, Jared Leto n’a pas fini de nous surprendre, souvent en mal. Malgré une filmographie conséquente et un oscar obtenu pour sa prestation dans Dallas Buyers Club, on a pu parfois qualifier le comédien d’arnaque vu ses choix douteux et son inconstance. Le très nase Morbius a ainsi retenu l’attention aussi bien par sa mise en scène indigeste que par l’interprétation ou plutôt la non interprétation de l’acteur.
Si l’ange diabolique d’Hollywood a défrayé la chronique par le passé, cela ne l’a toutefois pas empêché de nouer des liens très forts avec quelques noms illustres et pas seulement dans le milieu cinématographique. Parmi ces figures importantes, on trouve Karl Lagerfeld, le défunt créateur de mode. Or, Jared Leto vient d’annoncer qu’il incarnera le styliste à l’occasion d’un biopic qui lui sera consacré très bientôt. Une information notamment relayée par Deadline et WWD.
Le magazine WWD a ainsi révélé une anecdote amusante autour de la rencontre entre Karl Lagerfeld et Jared Leto. À cette occasion, Jared Leto aurait confié au créateur qu'il souhaitait l'incarner dans un éventuel long-métrage consacré à sa vie et sa carrière. Une idée que Lagerfeld aurait approuvé et qui va donc devenir réalité, malgré la mort du styliste en 2019. L’acteur n’a d’ailleurs pas caché son admiration envers Karl Lagerfeld lorsqu'il s'est exprimé à Deadline :
« Il a toujours été une source d’inspiration pour moi… c’était un véritable polymathe, un artiste, un avant-gardiste, un chef et surtout un homme gentil. »
En outre Jared Leto ne sera pas seulement l’interprète principal du biopic, il officiera également en qualité de producteur aux côtés de sa compagne Emma Ludbrook, via leur propre société de production, Paradox. Si les grandes lignes du scénario n’ont pas encore été dévoilées pour le moment, la carrière de Karl Lagerfeld est suffisamment riche et le personnage suffisamment fascinant pour que Leto y trouve matière.
Par ailleurs, les proches confidents et collaborateurs du styliste, Pier Paolo Righi, Caroline Lebar et Sébastien Jondeau, se sont associés au projet en tant que producteurs exécutifs. On peut alors imaginer que les scénaristes ou le metteur en scène s’appuieront sur leurs témoignages afin de dresser un portrait aussi fidèle que possible.
Espérons en tout cas que Jared Leto ne saccage pas son nouveau bébé, notamment en délivrant une piètre performance dont il a malheureusement le secret. On se rêverait même à imaginer retrouver le Jared Leto des bons jours, celui de Lord of War ou de Dallas Buyers Club, mais le réveil risquerait de faire un peu trop mal. En tout cas, ce biopic s’inscrit dans la lignée d'autres œuvres consacrées à l’univers de la mode comme House of Gucci (dans lequel jouait aussi Jared Leto) ou encore Saint Laurent. Reste à savoir s'il sera aussi étrange que le premier ou réussi que le deuxième.
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EL a aimé Werewolf by Night (3,5 étoiles) :
The Batman, Jurassic World 3, Buzz L’Eclair, Thor : Love and Thunder... Quelle que soit la qualité des films, l’année 2022 a été portée par les bandes-originales du prolifique Michael Giacchino. En plus d’être l’un des compositeurs les plus talentueux de sa génération, le bonhomme est un passionné de pop culture, un vrai, qui avait envie depuis longtemps de passer derrière la caméra. Sa relation privilégiée avec Marvel lui a permis de signer la première Special Presentation du studio sur Disney+ : Werewolf by Night.
MARVEL DARK UNIVERSE
Cloverfield aurait dû nous mettre la puce à l’oreille : bien que le film de Matt Reeves soit un found-footage sans musique, le générique de fin a été accompagné d’une création de Michael Giacchino. Intitulé Roar!, le morceau est une modernisation aussi savante que maline du style ampoulé et épique des productions de la Tōhō.
Le compositeur de Là-Haut, Les Indestructibles ou encore Star Trek le revendique : il a toujours été un grand fan de films de monstres, des Universal Monsters aux classiques de la Hammer en passant par le Kaiju Eiga, dont il a rendu un joli hommage avec son court-métrage Monster Challenge (disponible sur YouTube). Maintenant qu’il est devenu un collaborateur régulier de Marvel Studios (Doctor Strange, Spider-Man : No Way Home, et même le thème du logo de la firme, que vous avez dans le crâne depuis 2016), il est finalement assez logique que le MCU soit sa porte d’entrée vers la réalisation.
On pourrait être déçu qu’un tel talent aille se contenter de la plus grosse usine du divertissement actuel, mais il faut bien admettre que le postulat des Marvel Special Presentations est plutôt intrigant. Même si Disney+ a offert un nouveau champ des possibles pour la marque, celle-ci s’est jusque-là empêtrée dans des formats rigides d’épisodes pour ses séries, souvent au détriment de récits rachitiques rallongés pour rien.
Avec cette nouvelle approche, le MCU peut se permettre des stand-alones aux durées variables, un peu à la manière des Holiday Special et autres moyens-métrages saisonniers. Si Werewolf by Night est clairement pensé comme un petit film d’Halloween, cette évidence commerciale ne l’empêche pas d’être une pastille aussi amusante que bien troussée.
Giacchino y adapte vaguement le comics du même nom comme fenêtre vers un monde de monstres et de cauchemars. D’ailleurs, le lycanthrope est loin d’être la seule surprise du film, qui sur sa durée de cinquante minutes parvient intelligemment à distiller quelques surprises sympathiques. En suivant une cabale de chasseurs de monstres aux trognes identifiables, Werewolf by Night assume sa dimension ultra-référencée, et a le mérite de le faire avec pas mal de générosité dans l’espace contenu d’un huis-clos, arène d’un (léger) mystère et d’un jeu de massacre qui traduit presque littéralement une partie de… Loup-garou.
IN GIACCHINO WE TRUST
Le concept peut sembler bête à manger du foin, mais Michael Giacchino le fait éclore grâce à une réelle sincérité, qui pourrait presque paraître révolutionnaire à l’heure où Marvel s’embourbe dans son humour bas de gamme autour de la déconstruction de ses icônes. Ici, le surjeu des comédiens est une profession de foi, en accord avec ses personnages archétypaux tout droit sortis d’épisodes des Contes de la crypte, de La Quatrième Dimension, et plus généralement de l’héritage cinématographique de la littérature gothique. Aux côtés du toujours génial Gael García Bernal, on retiendra surtout le cabotinage hilarant d’Harriet Sansom Harris (habituée à ce type de performance depuis des séries comme Desperate Housewives).
Comme quoi, Marvel a encore la capacité à surprendre au sein de son expansion agressive tendance Panzer Division, même si le nivellement par le bas est tel qu’un noir et blanc classieux, quelques effets gores (oui oui, il y en a) et une superbe bande-originale (composée par Giacchino lui-même) suffiraient presque à emporter l’adhésion.
Pour autant, ce serait amoindrir les réelles qualités du film, dont la mise en scène élégante compense la misère habituelle de la firme. Non pas qu’elle soit particulièrement spectaculaire ou inventive, mais Michael Giacchino s’adapte à la nature de son moyen-métrage et à ses référents, à savoir la série B américaine des années 40 à 60. S’il se complaît parfois comme un Robert Rodriguez dans les élans kitsch et caricaturaux (jusqu’à affubler le logo Marvel d’éclairs et de coups de griffes), il est aussi conscient que ce cinéma de la débrouille a toujours été un vivier de créativité, justement contraint par ses limites budgétaires.
Werewolf by Night surprend ainsi par son exigence de fabrication, son savoir-faire étonnant dans la suggestion (des flashs qui révèlent la silhouette du loup-garou en pleine transformation) et la clarté de sa topographie. Ses plans larges lisibles, ses élans chorégraphiques plutôt ambitieux, et même ses costumes et prothèses à l’ancienne joliment réalisés, confirment que la proposition a pour principal mérite d’assumer son identité bis.
Giacchino n’essaie pas de réinventer la roue du post-modernisme, et exploite au maximum les possibilités de son concept sans tirer sur la corde. C’est bien simple : aucune production Marvel n’a su être aussi plaisante et divertissante depuis longtemps, loin des kouglofs indigestes qui brassent du vent. Il y a dans Werewolf by Night une humilité, ou plutôt une conscience de la noblesse du cinéma d’exploitation, que l’usine Marvel devrait avoir en permanence dans le rétroviseur. Et si ce petit programme alternatif de 50 minutes était la véritable surprise de la Phase 4 ?
Werewolf by Night est disponible sur Disney+ à partir du 7 octobre 2022
Si le mot "exigence" n’est plus vraiment associé au Marvel Cinematic Universe depuis un moment, Werewolf by Night retrouve le savoir-faire des films de monstres dont il s’inspire, au point de s’imposer en charmant petit film B. Pour ses débuts derrière la caméra, Michael Giacchino offre une parenthèse revigorante dans le monde lénifiant de Marvel, que la firme devrait ériger en standard.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 3a5bAxScMg
The Batman, Jurassic World 3, Buzz L’Eclair, Thor : Love and Thunder... Quelle que soit la qualité des films, l’année 2022 a été portée par les bandes-originales du prolifique Michael Giacchino. En plus d’être l’un des compositeurs les plus talentueux de sa génération, le bonhomme est un passionné de pop culture, un vrai, qui avait envie depuis longtemps de passer derrière la caméra. Sa relation privilégiée avec Marvel lui a permis de signer la première Special Presentation du studio sur Disney+ : Werewolf by Night.
MARVEL DARK UNIVERSE
Cloverfield aurait dû nous mettre la puce à l’oreille : bien que le film de Matt Reeves soit un found-footage sans musique, le générique de fin a été accompagné d’une création de Michael Giacchino. Intitulé Roar!, le morceau est une modernisation aussi savante que maline du style ampoulé et épique des productions de la Tōhō.
Le compositeur de Là-Haut, Les Indestructibles ou encore Star Trek le revendique : il a toujours été un grand fan de films de monstres, des Universal Monsters aux classiques de la Hammer en passant par le Kaiju Eiga, dont il a rendu un joli hommage avec son court-métrage Monster Challenge (disponible sur YouTube). Maintenant qu’il est devenu un collaborateur régulier de Marvel Studios (Doctor Strange, Spider-Man : No Way Home, et même le thème du logo de la firme, que vous avez dans le crâne depuis 2016), il est finalement assez logique que le MCU soit sa porte d’entrée vers la réalisation.
On pourrait être déçu qu’un tel talent aille se contenter de la plus grosse usine du divertissement actuel, mais il faut bien admettre que le postulat des Marvel Special Presentations est plutôt intrigant. Même si Disney+ a offert un nouveau champ des possibles pour la marque, celle-ci s’est jusque-là empêtrée dans des formats rigides d’épisodes pour ses séries, souvent au détriment de récits rachitiques rallongés pour rien.
Avec cette nouvelle approche, le MCU peut se permettre des stand-alones aux durées variables, un peu à la manière des Holiday Special et autres moyens-métrages saisonniers. Si Werewolf by Night est clairement pensé comme un petit film d’Halloween, cette évidence commerciale ne l’empêche pas d’être une pastille aussi amusante que bien troussée.
Giacchino y adapte vaguement le comics du même nom comme fenêtre vers un monde de monstres et de cauchemars. D’ailleurs, le lycanthrope est loin d’être la seule surprise du film, qui sur sa durée de cinquante minutes parvient intelligemment à distiller quelques surprises sympathiques. En suivant une cabale de chasseurs de monstres aux trognes identifiables, Werewolf by Night assume sa dimension ultra-référencée, et a le mérite de le faire avec pas mal de générosité dans l’espace contenu d’un huis-clos, arène d’un (léger) mystère et d’un jeu de massacre qui traduit presque littéralement une partie de… Loup-garou.
IN GIACCHINO WE TRUST
Le concept peut sembler bête à manger du foin, mais Michael Giacchino le fait éclore grâce à une réelle sincérité, qui pourrait presque paraître révolutionnaire à l’heure où Marvel s’embourbe dans son humour bas de gamme autour de la déconstruction de ses icônes. Ici, le surjeu des comédiens est une profession de foi, en accord avec ses personnages archétypaux tout droit sortis d’épisodes des Contes de la crypte, de La Quatrième Dimension, et plus généralement de l’héritage cinématographique de la littérature gothique. Aux côtés du toujours génial Gael García Bernal, on retiendra surtout le cabotinage hilarant d’Harriet Sansom Harris (habituée à ce type de performance depuis des séries comme Desperate Housewives).
Comme quoi, Marvel a encore la capacité à surprendre au sein de son expansion agressive tendance Panzer Division, même si le nivellement par le bas est tel qu’un noir et blanc classieux, quelques effets gores (oui oui, il y en a) et une superbe bande-originale (composée par Giacchino lui-même) suffiraient presque à emporter l’adhésion.
Pour autant, ce serait amoindrir les réelles qualités du film, dont la mise en scène élégante compense la misère habituelle de la firme. Non pas qu’elle soit particulièrement spectaculaire ou inventive, mais Michael Giacchino s’adapte à la nature de son moyen-métrage et à ses référents, à savoir la série B américaine des années 40 à 60. S’il se complaît parfois comme un Robert Rodriguez dans les élans kitsch et caricaturaux (jusqu’à affubler le logo Marvel d’éclairs et de coups de griffes), il est aussi conscient que ce cinéma de la débrouille a toujours été un vivier de créativité, justement contraint par ses limites budgétaires.
Werewolf by Night surprend ainsi par son exigence de fabrication, son savoir-faire étonnant dans la suggestion (des flashs qui révèlent la silhouette du loup-garou en pleine transformation) et la clarté de sa topographie. Ses plans larges lisibles, ses élans chorégraphiques plutôt ambitieux, et même ses costumes et prothèses à l’ancienne joliment réalisés, confirment que la proposition a pour principal mérite d’assumer son identité bis.
Giacchino n’essaie pas de réinventer la roue du post-modernisme, et exploite au maximum les possibilités de son concept sans tirer sur la corde. C’est bien simple : aucune production Marvel n’a su être aussi plaisante et divertissante depuis longtemps, loin des kouglofs indigestes qui brassent du vent. Il y a dans Werewolf by Night une humilité, ou plutôt une conscience de la noblesse du cinéma d’exploitation, que l’usine Marvel devrait avoir en permanence dans le rétroviseur. Et si ce petit programme alternatif de 50 minutes était la véritable surprise de la Phase 4 ?
Werewolf by Night est disponible sur Disney+ à partir du 7 octobre 2022
Si le mot "exigence" n’est plus vraiment associé au Marvel Cinematic Universe depuis un moment, Werewolf by Night retrouve le savoir-faire des films de monstres dont il s’inspire, au point de s’imposer en charmant petit film B. Pour ses débuts derrière la caméra, Michael Giacchino offre une parenthèse revigorante dans le monde lénifiant de Marvel, que la firme devrait ériger en standard.
https://www.ecranlarge.com/films/critiq ... 3a5bAxScMg
J'ai adoré. Malgré sa courte durée (50 minutes), le réalisateur prend le temps de développer son univers et ses personnages. Mais c'est surtout au niveau de l'ambiance et de la mise en scène que je me suis régalé, c'est vraiment une petite tuerie qui sera très haut dans mon classement malgré son format.
Vu :
Au vu du trailer on pouvait s'attendre à un film d'horreur lambda mais en fait pas du tout. Niveau ambiance visuelle et surtout sonore, le film possède de l'identité. Par contre au niveau de l'histoire et de son évolution, on est dans quelque chose de plus classique, entre It Follows et Le Cercle. J'assume mais je suis une flipette devant ce genre de film car je suis toujours plongé dedans à 100% et j'avoue que le visionnage ne fut pas sans mal tant certaines scènes sont assez terrifiantes
J'ai adoré. Tout d'abord j'aime beaucoup John Lee Hancock. Ce n'est pas vraiment un réalisateur qui a un style bien à lui mais c'est souvent du travail bien fait. Ce que j'ai particulièrement apprécié avec Le Téléphone de M. Harrigan, c'est qu'on dirait vraiment un film à l'ancienne (avec des thèmes qui sont dans l'air du temps). C'est posé, ça prend son temps sans qu'on sache trop où ça va mener. Tout est dans l'ambiance, les dialogues et l'intrigue que j'ai trouvé captivante.
Je découvre seulement ce film, 26 ans après sa sortie. On va dire que c'est le décès de Coolio qui m'a quand même donner envie de le voir. Bon c'est sympa mais terriblement ancré dans son époque, il est difficile de ne pas esquisser un sourire devant la tonne de clichés qui se trouvent dans le film. Mais ce qui m'a fait le plus rire, c'est l'absence de charisme du gros bad boy de la classe (en plus je l'ai maté en VF donc c'est encore plus risible). Cela dit je me suis rendu compte en parcourant la fiche de l'acteur (Wade Dominguez) qu'il était mort quelques années après la sortie du film. Bref pour en revenir au film, c'est complètement dépassé mais c'est pas trop désagréable à suivre, en partie grâce au talent de Michelle Pfeiffer.
Au vu du trailer on pouvait s'attendre à un film d'horreur lambda mais en fait pas du tout. Niveau ambiance visuelle et surtout sonore, le film possède de l'identité. Par contre au niveau de l'histoire et de son évolution, on est dans quelque chose de plus classique, entre It Follows et Le Cercle. J'assume mais je suis une flipette devant ce genre de film car je suis toujours plongé dedans à 100% et j'avoue que le visionnage ne fut pas sans mal tant certaines scènes sont assez terrifiantes
J'ai adoré. Tout d'abord j'aime beaucoup John Lee Hancock. Ce n'est pas vraiment un réalisateur qui a un style bien à lui mais c'est souvent du travail bien fait. Ce que j'ai particulièrement apprécié avec Le Téléphone de M. Harrigan, c'est qu'on dirait vraiment un film à l'ancienne (avec des thèmes qui sont dans l'air du temps). C'est posé, ça prend son temps sans qu'on sache trop où ça va mener. Tout est dans l'ambiance, les dialogues et l'intrigue que j'ai trouvé captivante.
Je découvre seulement ce film, 26 ans après sa sortie. On va dire que c'est le décès de Coolio qui m'a quand même donner envie de le voir. Bon c'est sympa mais terriblement ancré dans son époque, il est difficile de ne pas esquisser un sourire devant la tonne de clichés qui se trouvent dans le film. Mais ce qui m'a fait le plus rire, c'est l'absence de charisme du gros bad boy de la classe (en plus je l'ai maté en VF donc c'est encore plus risible). Cela dit je me suis rendu compte en parcourant la fiche de l'acteur (Wade Dominguez) qu'il était mort quelques années après la sortie du film. Bref pour en revenir au film, c'est complètement dépassé mais c'est pas trop désagréable à suivre, en partie grâce au talent de Michelle Pfeiffer.
J’ai commencé la mini-série Dahmer. Vu les 2 premiers épisodes : c’est absolument dément et fascinant (j’apprécie de plus en plus le boulot de Ryan Murphy) !! 
Surtout le premier qui se déroule sur une seule soirée et quasi intégralement dans un appartement, j’en dis pas plus (niveau mise en scène, c’est quand même ouf, ça prend la peine d’étirer les scènes jusqu’au malaise le plus total).
Le second est un peu plus classique dans son déroulement mais toujours aussi fascinant (le dernier quart d’heure et notamment les deux dernières minutes où le réel appuie la fiction c’est juste sidérant).
Je poursuis mais pour l’instant je suis en admiration totale !
Surtout le premier qui se déroule sur une seule soirée et quasi intégralement dans un appartement, j’en dis pas plus (niveau mise en scène, c’est quand même ouf, ça prend la peine d’étirer les scènes jusqu’au malaise le plus total).
Le second est un peu plus classique dans son déroulement mais toujours aussi fascinant (le dernier quart d’heure et notamment les deux dernières minutes où le réel appuie la fiction c’est juste sidérant).
Je poursuis mais pour l’instant je suis en admiration totale !
Bouh tu as succombé à cet effet de mode, le même que Squid Game l'an dernier
J'ai lu y'a quelques années la BD adaptée du vécu d'un des "amis" de Dahmer, j'ai pas envie de voir les horreurs reproduites à l'écran. Ajouté à cela, l'effet de mode et la fascination malsaine d'une partie du public pour les tueurs en série de ce type me dégoûte pas mal
« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Quel effet de mode ? Je n’ai pas l’impression que le succès soit le même que celui de Squid Game. Je n’entends pas beaucoup de personnes en parler à part une ou deux dans mon entourage (sur SC, par exemple, il y a 0 note du coté de mes éclaireurs).
La série me semble au contraire être sortie dans une certaine indifférence.
Pour le reste, oui je suis d’accord, à la base j’étais assez frileux aussi pour regarder cette série (pour toutes les raisons que tu évoques) mais c’est surtout le nom de Ryan Murphy qui m’a incité et le fait que ça ne soit pas une série trop longue. Au final, c’est vachement bien.
Sinon, la violence graphique n’est pas particulièrement insoutenable, la série ne verse pas du tout dans le gore gratuit je trouve (contrairement, par exemple, à une série comme American Horror Story qui est aussi une création de Ryan Murphy). Par contre, l’ambiance est particulièrement glauque.
La série me semble au contraire être sortie dans une certaine indifférence.
Pour le reste, oui je suis d’accord, à la base j’étais assez frileux aussi pour regarder cette série (pour toutes les raisons que tu évoques) mais c’est surtout le nom de Ryan Murphy qui m’a incité et le fait que ça ne soit pas une série trop longue. Au final, c’est vachement bien.
Sinon, la violence graphique n’est pas particulièrement insoutenable, la série ne verse pas du tout dans le gore gratuit je trouve (contrairement, par exemple, à une série comme American Horror Story qui est aussi une création de Ryan Murphy). Par contre, l’ambiance est particulièrement glauque.
De mon côté j'ai vu les 4 premiers épisodesKahled a écrit : ↑dim. 9 oct. 2022 15:59J’ai commencé la mini-série Dahmer. Vu les 2 premiers épisodes : c’est absolument dément et fascinant (j’apprécie de plus en plus le boulot de Ryan Murphy) !!
Surtout le premier qui se déroule sur une seule soirée et quasi intégralement dans un appartement, j’en dis pas plus (niveau mise en scène, c’est quand même ouf, ça prend la peine d’étirer les scènes jusqu’au malaise le plus total).
Le second est un peu plus classique dans son déroulement mais toujours aussi fascinant (le dernier quart d’heure et notamment les deux dernières minutes où le réel appuie la fiction c’est juste sidérant).
Je poursuis mais pour l’instant je suis en admiration totale !
Les épisodes 3 et 4 sont énormes.J'étais censé voir Les Enfants des autres ce matin mais certaines circonstances m'en ont empêché.
Mon programme ciné du week-end prochain :
Peut-être :
Sur Netflix :
Et peut-être Les Enfants des autres si je trouve une séance qui m'arrange.
Mon programme ciné du week-end prochain :
Peut-être :
Sur Netflix :
Et peut-être Les Enfants des autres si je trouve une séance qui m'arrange.
Je viens de vivre une expérience trop flippante 
Ma fille de 8 ans est couchée, on attaque Locke & key. Au début il y a une scène avec un gamin qui parle à un puit (genre y a quelqu'un au fond). Je dis à mon chéri "Viens flotter avec moi", en référence à Ça. Et je lui dis que faudrait le montrer à notre fille, en rigolant.
Et là même pas 2 min après j'ai ma fille qui se lève en panique, qui me dit qu'elle n'arrive pas à dormir, qu'elle ne fait que penser à des clowns tueurs Alors qu'elle n'a jamais entendu parler de Ça (peut-être à l'école..). P'tain j'étais choquée de la coïncidence...
Ma fille de 8 ans est couchée, on attaque Locke & key. Au début il y a une scène avec un gamin qui parle à un puit (genre y a quelqu'un au fond). Je dis à mon chéri "Viens flotter avec moi", en référence à Ça. Et je lui dis que faudrait le montrer à notre fille, en rigolant.
Et là même pas 2 min après j'ai ma fille qui se lève en panique, qui me dit qu'elle n'arrive pas à dormir, qu'elle ne fait que penser à des clowns tueurs
Alors qu'elle n'a jamais entendu parler de Ça (peut-être à l'école..). P'tain j'étais choquée de la coïncidence...Pouet
Il paraît que l'âme sort du corps pendant le sommeil.Cocu a écrit : ↑dim. 9 oct. 2022 21:45Je viens de vivre une expérience trop flippante
Ma fille de 8 ans est couchée, on attaque Locke & key. Au début il y a une scène avec un gamin qui parle à un puit (genre y a quelqu'un au fond). Je dis à mon chéri "Viens flotter avec moi", en référence à Ça. Et je lui dis que faudrait le montrer à notre fille, en rigolant.
Et là même pas 2 min après j'ai ma fille qui se lève en panique, qui me dit qu'elle n'arrive pas à dormir, qu'elle ne fait que penser à des clowns tueurs
C'est littéralement improuvable scientifiquement
donc le doute subsiste.« Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut, et ce qui est en haut est comme ce qui est en bas »
Non mais je n'ai pas parlé de clowns tueurs, juste de Ça. C'est comme si elle avait eu les images que j'ai eu moi dans ma tête en en parlant
Pouet