C'est bon, j'ai vu les 2 précédents : X et Pearl.
Mais pas convaincu pour autant d'aller le voir en salle
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 26 juin 2024 17:41
par Wickaël
Pas encore vu Pearl mais je viens de voir qu'il sera dispo sur Netflix le mois prochain, moi content.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 26 juin 2024 19:11
par Pale
[youtube]vea9SdnRMyg[/youtube]
Cette comédie d'action a l'air très basique mais très sympa aussi, notamment grâce aux acteurs.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : mer. 26 juin 2024 21:34
par Pale
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : jeu. 27 juin 2024 16:40
par Pale
EL a moyennement apprécié Sans un bruit : Jour 1 (2,5 étoiles) :
Après le carton surprise de Sans un bruit en 2018, l’histoire a continué en 2020 avec une suite, Sans un bruit 2. Et plutôt qu’un simple Sans un bruit 3, l’équipe a préféré revenir en arrière avec un prequel pour raconter le début du cauchemar, avec l’arrivée des aliens à News York. Réalisé par Michael Sarnoski (Pig, avec Nicolas Cage) et porté par Lupita Nyong’o, Sans un bruit : Jour Un change de décor, de personnages et d’approche. Et pas forcément pour le meilleur.
LE COMMENCEMENT DE LA FIN DU MONDE
Sans un bruit : Jour Un ne sort pas de nulle part. Après le succès phénoménal de Sans un bruit en 2018 (plus de 340 millions au box-office, pour un budget de 17 millions), confirmé par le joli score de Sans un bruit 2 en 2020 (près de 300 millions pour un budget de 60 millions, en période de pandémie), un troisième film semblait inévitable. Mais où aller après ce point de non-retour dans l’histoire, avec la diffusion à la radio du signal qui immobilise les aliens ?
La réponse était dans Sans un bruit 2, qui commençait par un flashback montrant l’arrivée des aliens dans la petite ville de Millbrook, New York. Pendant une dizaine de minutes, John Krasinski suivait le début du cauchemar, et la cruelle ironie des humains encore inconscients de la nature de la menace. C’était l’une des meilleures scènes du film, mais aussi l’une des plus stratégiques puisque le réalisateur, scénariste, acteur et producteur avait déjà en tête un prequel sur le premier jour de l’invasion. Et il l’a vendue au studio Paramount avant même la sortie de la suite.
Quatre ans plus tard, Sans un bruit : Jour 1 arrive. Jeff Nichols (Take Shelter, Midnight Special), annoncé au départ comme réalisateur et scénariste, a entre temps quitté le navire. La raison : après un an de travail, il a compris qu’il n’allait pas réaliser son film mais celui de John Krasinski, qui dirige la saga.
En réalité, c’est encore pire que ça. Sans un bruit : Jour 1 n’est ni le film de son capitaine John Krasinski, ni celui de son réalisateur et co-scénariste Michael Sarnoski (révélé par Pig, avec Nicolas Cage). C’est un film anonyme, qui a perdu le peu d’âme que Sans un bruit avait jusque là.
NI CLOVERFIELD, NI LA GUERRE DES MONDES
Le plus gros problème de Sans un bruit : Jour 1 est paradoxalement son grand argument marketing : aller dans le pur spectacle avec une invasion alien à New York. Mais en changeant de décor pour quitter les zones rurales, le film se retrouve à marcher sur les plates-bandes du simple film catastrophe, pour convoquer tout l’imaginaire classique – météorites qui s’écrasent sur New York, rues dévastées, foules paniquées, et cendres dans l’air. Sans forcément avoir l’ambition ou les moyens d’y aller à fond comme ses évidents modèles, Cloverfield et La Guerre des mondes.
Le film se cantonne alors aux scènes et effets attendus, sans rien exploiter. Tous les décors (Harlem, le quartier des affaires, le métro, une église, le port) sont réduits à de simples couloirs, prétextes à de courts et répétitifs affrontements. La mise en scène est tellement pauvre que la première séquence de chaos est quasiment reproduite au milieu du film, avec plus de figurants et moins de fumée.
Entre les vulgaires plans aériens pour montrer quelques hélicos et bestioles CGI qui courent sur les toits, et les plans rapprochés sur les personnages écrasés par la peur, Sans un bruit : Jour 1 a du mal à trouver la bonne distance, et c’est bien ça le problème.
Le scénario écrit par Michael Sarnoski (sur une idée co-écrite avec John Krasinski) s’accroche tant bien que mal à l’intime au milieu de l’apocalypse. C’était l’idée du premier Sans un bruit, avec sa petite famille dans sa petite maison comme dernier rempart face à la fin du monde. Mais le grand écart devient ici particulièrement périlleux, avec un drame personnel plus noir, et un cauchemar plus épique.
Résultat : tout est survolé, grossier, voire lourdingue. L’excellente Lupita Nyong’o fait de son mieux, et le très solide Joseph Quinn lui rend la pareille. Mais la dernière ligne droite arrive comme un bulldozer pour compiler quelques grandioses scènes de mélo qui auraient leur place dans un navet de Noël (le chat, la pizza, les cartes : pitié). Sachant que le film a alors complètement délaissé le spectacle de l’apocalypse, la machine tourne à vide.
SANS UN BRUIT ET SANS LA PEUR
L’autre grand échec du prequel est à chercher du côté des créatures. Depuis la très bonne scène d’intro de Sans un bruit, où l’une des bestioles chopait un môme de la famille Abbott pour placer d’emblée la menace, chaque nouvelle rencontre met en péril les règles de cet univers. C’était visible dès le premier film, c’était évident dès le deuxième, et c’est désormais un sérieux problème.
Dans Sans un bruit : Jour 1, les figurants et seconds rôles sont happés en quelques instants par des aliens ultra-rapides, mais les personnages principaux peuvent courir pendant 15 secondes sans être chopés. Les héros prennent le risque de casser une porte et hurler, à la grâce d’un orage qui sert de bulle protectrice légèrement absurde. La vitesse et l’intelligence des monstres semblent parfois recalibrés d’une scène à l’autre, pour arranger la mise en scène (un petit sursaut à trois francs six sous à côté d’un générateur) et l’écriture (il faut bien faire parler ces gens, on a une histoire neuneu à raconter).
Les dimensions de l’histoire et du décor mettent encore plus en lumière les failles. Le plus drôle étant que Sans un bruit : Jour 1 passe son temps à braquer un projecteur sur ces limites, au lieu de détourner l’attention et diriger le regard du public. Difficile de ne pas s’interroger sur ces aliens quand l’un d’eux ouvre en grand ses oreilles (littéralement) à quelques centimètres d’un personnage terrifié. Entre l’occasion manquée (imaginons si ces aliens, en mode ouïe fine, pouvaient entendre la respiration, les ronronnements du chat, ou les battements du coeur !) et le je-m’en-foutisme (à quoi bon tendre l’oreille si ça n’est même pas utile dans une scène si rapprochée ?), il y a beaucoup trop d’occasions de rire.
C’est d’autant plus vrai qu’au bout du troisième film, les extraterrestres ont perdu une grande partie de leur force. Leur design très classique n’est plus caché, et leurs particularités (grandes oreilles, grandes pattes, grandes dents) se résument à deux ou trois mouvements répétés en boucle. Qu’elles courent sous les hélicoptères, sur leurs victimes ou vers des alarmes de voiture, ces pauvres bêtes sont désormais des monstres génériques, sans mise en scène pour les… mettre en scène.
Entre les règles énoncées au haut-parleur au bout de 10 minutes, les rendez-vous manqués avec le frisson, et la minuscule miette de mythologie même pas assumée au détour d’une scène (avec un nid, ou un œuf, ou peut-être rien du tout en fait), Sans un bruit : Jour 1 devient vite le Fear the Walking Dead de la saga. Une promesse alléchante, une actrice talentueuse, mais un triste sentiment de réchauffé et mascarade.
Ce n’est pas mauvais, c’est juste extrêmement moyen. Mieux vaut revoir Cloverfield, et accepter que la saga Sans un bruit n’a déjà plus grand-chose à raconter.
pour hier c'était les anniversaires d'Isabelle Adjani (69 ans), Tobey Maguire (49 ans)
aujourd'hui
Mel Brooks 98 ans
Bruce Davison 78 ans
Anny Duperey 77 ans
Kathy Bates 76 ans
Alice Krige 70 ans
Mary Stuart Masterson 58 ans
John Cusack 58 ans
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : ven. 28 juin 2024 17:33
par NaughtyDog
Un prequel pas mal du tout mais qui très vite déjoue les attentes.
Certes on voit le début du cataclysme et le réalisateur propose quelques scènes massives pour ouvrir le film.
Mais rapidement l'ampleur s'amoindrit pour proposer un vrai film intimiste (on voit que c'est le cinéaste de Pig) drivé par une Lupita Nyong'o encore une fois éblouissante.
En prenant une protagoniste cancéreuse (n'ayant donc plus accès aux soins palliatifs), la quête de survie se troque contre une réflexion plus funèbre et mélancholique sur la fin de vie inéluctable.
Les scènes de tension sont présentes (les mondtres même plus terrifiants) mais le coeur du film est véritablement autre.
Je regrette cependant que ce Day One ne nous montre pas plus d'éléments inédits sur les créatures, ou que le perso de Joseph Quinn (seulement caractérisé par sa peur) ne doit pas mieux développé.
La relation entre les 2 protagonistes fonctionne ceci dit, jusqu'à un final bien touchant.
Bref une incursion qui ne révolutionne rien, mais qui a sa singularité, et qui est carrée.
6.5/10
Pale a écrit : ↑jeu. 27 juin 2024 21:06
[youtube]mfdOjxPOE4M[/youtube]
Voici une bande-annonce absolument époustouflante
Il me semblait bien que le métier de Serrurier c'était dangereux à Paris
En fait ça se passe à Bruxelles
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 29 juin 2024 11:48
par Pale
Cocu a écrit : ↑sam. 29 juin 2024 10:51
Hein!? Quoi!?
Comme c'est souvent le cas avec certaines séries phares, Netflix aime balancer une saison en deux parties (comme la dernière de Bridgerton par exemple) mais pour Cobra Kai ce sera en 3 parties :
- Première partie en juillet 2024
- Seconde partie en novembre 2024
- Troisième partie en 2025
Chaque partie sera probablement composée de 5 épisodes car la dernière saison en comprend 15 en tout
En gros il va falloir attendre un an pour voir la conclusion
Cocu a écrit : ↑sam. 29 juin 2024 10:51
Hein!? Quoi!?
Comme c'est souvent le cas avec certaines séries phares, Netflix aime balancer une saison en deux parties (comme la dernière de Bridgerton par exemple) mais pour Cobra Kai ce sera en 3 parties :
- Première partie en juillet 2024
- Seconde partie en novembre 2024
- Troisième partie en 2025
Chaque partie sera probablement composée de 5 épisodes car la dernière saison en comprend 15 en tout
En gros il va falloir attendre un an pour voir la conclusion
P'tain fait chier tu vas attendre ou regarder au fur et à mesure ?
Cocu a écrit : ↑sam. 29 juin 2024 10:51
Hein!? Quoi!?
Comme c'est souvent le cas avec certaines séries phares, Netflix aime balancer une saison en deux parties (comme la dernière de Bridgerton par exemple) mais pour Cobra Kai ce sera en 3 parties :
- Première partie en juillet 2024
- Seconde partie en novembre 2024
- Troisième partie en 2025
Chaque partie sera probablement composée de 5 épisodes car la dernière saison en comprend 15 en tout
En gros il va falloir attendre un an pour voir la conclusion
P'tain fait chier tu vas attendre ou regarder au fur et à mesure ?
Je vais carrément attendre l'année prochaine
Je ne serais pas surpris qu'ils fassent la même chose pour la dernière saison de Stranger Things, ils avaient déjà sorti la quatrième saison en 2 parties.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 29 juin 2024 12:45
par Cocu
Pale a écrit : ↑sam. 29 juin 2024 12:21
Je vais carrément attendre l'année prochaine
Je ne serais pas surpris qu'ils fassent la même chose pour la dernière saison de Stranger Things, ils avaient déjà sorti la quatrième saison en 2 parties.
Oui Strangers things je m'attendais à 2 parties aussi. Mais là 3 c'est un peu abusé
Idem mais ce qui m'ennuie un peu c'est que cette dernière saison va être divisée en 3 parties
Perso j'attendrai que les 3 parties soient toutes disponibles
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 29 juin 2024 19:00
par Miamsolo
Ils ne savent plus quoi faire pour que les utilisateurs maintiennent leur abonnement
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 29 juin 2024 19:22
par Pale
Miam
Suis-je le seul à ne pas être motivé à l'idée de voir Le Comte de Monte-Cristo ?
Les critiques ont beau être élogieuses, la durée me rebute (3 heures de film, 15 minutes de publicités/bandes-annonces, 10 minutes d'entracte) et surtout Pierre Niney qui commence sérieusement à me sortir par les trous de nez
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : sam. 29 juin 2024 19:57
par Cocu
Miamsolo a écrit : ↑sam. 29 juin 2024 19:00
Ils ne savent plus quoi faire pour que les utilisateurs maintiennent leur abonnement
[mention]Miamsolo[/mention] comment ça va bieng?
Clairement oui c'est lourd! Surtout sur des séries de si peu d'épisodes..
Suis-je le seul à ne pas être motivé à l'idée de voir Le Comte de Monte-Cristo ?
Les critiques ont beau être élogieuses, la durée me rebute (3 heures de film, 15 minutes de publicités/bandes-annonces, 10 minutes d'entracte) et surtout Pierre Niney qui commence sérieusement à me sortir par les trous de nez
Suis-je le seul à ne pas être motivé à l'idée de voir Le Comte de Monte-Cristo ?
Les critiques ont beau être élogieuses, la durée me rebute (3 heures de film, 15 minutes de publicités/bandes-annonces, 10 minutes d'entracte) et surtout Pierre Niney qui commence sérieusement à me sortir par les trous de nez
Pierre Ninez alors
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 30 juin 2024 09:29
par Pale
Vu :
Oui c'est moyen mais c'est pas désagréable pour autant malgré plein de défauts qui prêtent plus à rire qu'autre chose. Ça se mate comme un Statham
Excellent film d'animation qui oscille entre Iron Man, Pacific Rim et Dragons. La caractérisation et l'évolution des personnages (en particulier le héros) est assez cliché et prévisible bien évidemment mais ça n'en reste pas moins poignant à certains moments et j'avoue que le final épique m'a presque décroché la mâchoire tellement c'est une dinguerie niveau action et visuel.
Ma réaction devant l'intégralité du film :
C'est censé être une comédie En fait tout repose sur un malentendu de départ extrêmement faible et pourri, à partir de là toutes les situations censées être drôles ne reposent sur rien, tout a l'air forcé et pas naturel du tout, c'en est souvent gênant. Il faut ajouter à cela une galerie de personnages creux et lisses au possible. Il y a heureusement une scène ou deux qui paraissent plus authentiques et sauvent le film du naufrage absolu mais c'est pas loin d'être une grosse merde.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 30 juin 2024 10:04
par ClintReborn
En attendant que warner sorte la bande annonce de Juror 2 Clint était au mariage de sa dernière fille Morgan Eastwood la semaine dernière
Suis-je le seul à ne pas être motivé à l'idée de voir Le Comte de Monte-Cristo ?
Les critiques ont beau être élogieuses, la durée me rebute (3 heures de film, 15 minutes de publicités/bandes-annonces, 10 minutes d'entracte) et surtout Pierre Niney qui commence sérieusement à me sortir par les trous de nez
Pas trop intéressé non plus, après ça fait un moment que je ne vais plus au cinoche, le dernier que j'ai vu c'était La Planète des Singes, je voulais aller voir Furiosa mais je n'en ai pas eu le temps, et je pense que mon prochain sera Deadpool et Wolverine. Et encore, c'est parce que ce dernier sort pendant les congés scolaires
Miamsolo a écrit : ↑sam. 29 juin 2024 19:00
Ils ne savent plus quoi faire pour que les utilisateurs maintiennent leur abonnement
@Miamsolo comment ça va bieng?
Clairement oui c'est lourd! Surtout sur des séries de si peu d'épisodes..
Ça va bieng et toi?
Mais là pour le coup, en 3 parties, c'est vraiment abusé
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 30 juin 2024 20:51
par Pale
J'ai adoré, c'est probablement mon épisode préféré de la franchise ou alors à égalité avec le premier (j'avais moyennement apprécié le second). J'avais vu et beaucoup aimé Pig de Michael Sarnoski et je trouve que le réalisateur a réussi à apporter sa patte dans ce Sans un bruit: jour 1. Bien sûr on retrouve des passages obligés propres à la saga mais j'ai retrouvé cette ambiance dépressive et anxiogène présente dans Pig. Ce qui fait également la force de ce nouveau Sans un bruit, c'est bien évidemment les personnages et à ce titre Lupita Nyong'o est exceptionnelle. J'attendais énormément ce spin-off et je n'imaginais pas qu'il me prenne autant aux tripes.
Un petit mot sur la séance : c'était ma première séance en IMAX (merci à la fête du ciné en France, 5€ alors qu'en temps normal c'est pas loin de 25 balles) et c'était vraiment des conditions optimales +++, j'ai vécu le film comme si j'y étais.
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : dim. 30 juin 2024 21:08
par Pale
Mon programme ciné du week-end prochain :
Peut-être :
En VOD :
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : lun. 1 juil. 2024 04:16
par Kit
1er juillet
une pensée pour
William Wyler en 1902 (1981) réal
Olivia de Havilland en 1916 (2020) actr
Farley Granger en 1925 (2011) act
Claude Berri en 1934 (2009) cinéaste
Sydney Pollack en 1934 (2008) réal
Karen Black en 1939 (2013) actr
Andre Braugher en 1962 (2023) act (Glory, La Cité des anges, séries Homicide, Brooklyn Nine-Nine)
bon anniversaire à
Leslie Caron 93 ans actr
Geneviève Bujold 82 ans actr
Dan Aykroyd 72 ans act
Alan Ruck 68 ans act (La Folle Journée de Ferris Bueller, série Spin City)
Jordi Mollà 56 ans act (Riddick)
Claire Forlani 52 ans (Rock, Rencontre avec Joe Black)
Liv Tyler 47 ans actr
Hilarie Burton 42 ans actr (série Les frères Scott)
Mitch Hewer 35 ans act (série Skins)
Hannah Murray 35 ans actr (série Skins)
une pensée pour les disparus un 1er juillet
Michael Landon en 1991 (né en 1936) act/réal (séries Bonanza, La Petite maison dans la prairie, Les routes du Paradis)
Margaux Hemingway en 1996 (née en 1954) actr
Robert Mitchum en 1997 (né en 1917)
Edward Dmytryk en 1999 (né en 1909) réal
Sylvia Sidney en 1999 (née en 1910) actr (Du sang dans le soleil)
Walter Matthau en 2000 (en 1920) act
Marlon Brando en 2004 (né en 1924) act
Karl Malden en 2009 (né en 1912) act
Kit a écrit : ↑lun. 1 juil. 2024 04:16
1er juillet
une pensée pour
William Wyler en 1902 (1981) réal
Olivia de Havilland en 1916 (2020) actr
Farley Granger en 1925 (2011) act
Claude Berri en 1934 (2009) cinéaste
Sydney Pollack en 1934 (2008) réal
Karen Black en 1939 (2013) actr
Andre Braugher en 1962 (2023) act (Glory, La Cité des anges, séries Homicide, Brooklyn Nine-Nine)
bon anniversaire à
Leslie Caron 93 ans actr
Geneviève Bujold 82 ans actr
Dan Aykroyd 72 ans act
Alan Ruck 68 ans act (La Folle Journée de Ferris Bueller, série Spin City)
Jordi Mollà 56 ans act (Riddick)
Claire Forlani 52 ans (Rock, Rencontre avec Joe Black)
Liv Tyler 47 ans actr
Hilarie Burton 42 ans actr (série Les frères Scott)
Mitch Hewer 35 ans act (série Skins)
Hannah Murray 35 ans actr (série Skins)
une pensée pour les disparus un 1er juillet
Michael Landon en 1991 (né en 1936) act/réal (séries Bonanza, La Petite maison dans la prairie, Les routes du Paradis)
Margaux Hemingway en 1996 (née en 1954) actr
Robert Mitchum en 1997 (né en 1917)
Edward Dmytryk en 1999 (né en 1909) réal
Sylvia Sidney en 1999 (née en 1910) actr (Du sang dans le soleil)
Walter Matthau en 2000 (en 1920) act
Marlon Brando en 2004 (né en 1924) act
Karl Malden en 2009 (né en 1912) act
En parcourant mon fil d'actu je vois que c'est également l'anniversaire de Léa Seydoux :
Le Cercle des profileurs disparus
Posté : lun. 1 juil. 2024 11:59
par Pale
Vu :
C'est mignon, il y a de belles images mais disons qu'il m'a été impossible de regarder le film sans penser aux conditions de tournage. Apparemment celles-ci furent bonnes mais le film manque cruellement de naturel et de spontanéité. Au final mieux vaut un bon documentaire je pense.